^ y .n avoiatdiBt, POLIR WiuT. - Chronicling America · 2017. 12. 13. · Les journanx radicaux...

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lparAIETOS

27S 1878-M- rt

bis - . ,

14or d'un boa et 8014 cq.

, gO.SatfiT. <164 er

,6 i.aIOOtUet don 4w

q IRnm mait eIIU

ou1te ore papulation et

44 u:amia iwl. Il laine.oufunte qui dpbo-

-'Jsta enterr jeudi der.

Li4W. ver. re *nvironn

vIlrv. ont, st~Ay de

Sgrocerie de l. fi Ga

altdj tdit mauter la gel-

Z49nroaumoyenle&rait de;k oedgnm

- w*irharfw lsene.

esm..u de ooaif sontp?. %@etse

P tue la quarahitaine tablie

emb. de pu*mwiio cee jours

4o VumeUoville, est leve,

das membres du

kom4si%.disqesu lieu la

a~'e aumosuUou de pmuple de

.relsu iMidi.

4wo ulecs.. deSIl'umcpatiou dePurtkiper I1'lief

SOU i ,~uIspar la

agmpris dea

m'lls Jugofilua

4" 'sl

pqg

W pouke

mu-

mi,

. Blanehard et 1'Enregis- Ntrement. pr

-- la pi[Extrait du Corillon.I pit,

Les journanx radicaux sont ta liesse. p<>

L'hoente M. Blanchard, raie damne le nels

Warmoth, vient dte sm dtid# A dclare!M.sonsi serment que "dans li dTire Elec- 80n, lion, il y a eno, la NoqviiOrlIans Paic

Seulnement, pluis de 6,000 evte; f'audu. mois

Sleux compts pour les ftueiites et que

%m amo ves rpublicatm eut 6 illegale-"nseffacts il'eawugtre| nU r.j-ts

* es eab*wujW*eute.6atIgp..#af thr. U Bmw rI tl toe' -ir.rreeUl ' une premire Tu

fols tout'e eeniraim. Lequel debes deux pen

* a- test ben I celui qui fait l'affaire Imp

. de radicaux, naturellement. Il aP

Rease expliquer comment il a pu s. D

L faise qu'un enregistrement qui a t con-

stamment surveill par des comnmiuasirt BlerSradicaux nompms ad hSo ait pu utre dirig 8a I

B de manire laisser de c6t trois msille na

-lectemn JRpublicasein. Reste cumpren- A y,

. dre aussi comment il a pu ae faire que de 1Ct

boites qui ont t constamment, jour et O

nuit, pendant quiaurs emSainef, surveil- Ia

l" par des commasires des deux pasitis, 'saus q lecette surveillassce *a soit relinche Mai

un aeuT instant, aisnt t ouvertes et coin- Pare ment il a t punib'e, sanu le consete ss

Sment dem dits commsuifeli, 4'ealaer dt en,

. dites boitte s oertain nombre de tickets A

n radicaux pour y substituer les tickets de ul Fusion. Ve

La vrit est, qu' anucune po'que, ni Ay

0 avant ni depuis la guerre, nous n'avua su Or,

A la Nlle-Orlians usne lectIon aussi loyale Qu

, que celle de Novembre 1872. La vrit 'Qu

est que, dans la paroitse d'Orlans, nous A

)ouvons compter sur une majorit anti- Qs

rad icatle de 17 18 mille votes. Le re- c's

e, senment, lui seul aiuflirait pour en faire AI

le foi. Et, en dpit de cette norme majori- Qu

re (& let ticket dInoeratique a t biatt sur El

ioute la ligne l'lection de 1870, gie Jeaut manoeuvres de U. rmoth et de se

amis d'alors, devenus - - rdbeli les asais

de M. KrIlngg. Il Mt lies enteede qu'il Je

lu o'y a de loyales et honntes, mui yezx des

la radicaws, que le 6icotioeM das lesquelles 4B ia ont le d"6e. . .

Que M. Itanchard ait reu *ae* etmaineSsomme d'argent delMAsg Je mes nou ..E

w velhsi elarmiona, c'tot e duot persmaselse deoute. Mais eotte o>peaUtion, dos I

Sle chiffre noe t ipesuse, *e wra pm la

l e le.-L'sonufte BregiMiur a s frire 1

dau-musm nosei, lequl ait 'hemauta co. -i

Slecteur d taxes de la paroisee Morehouoe. "

Le digne beomteu a de.amp, emportantt>' saoisaite mille piastre-, saitent qu'l a

a oubli de vrer dsas les eaisses de ltai. a

Jsqu' ce jour il a eu la nalret de se

S-tenir asu Canada nome 'il e avait us

* seul enemple qu*'Ot .fq.h radical aitou etieqit o 4lig de dgo" r.,

S1i tu lidwet q"'ap- tw Netj6 a&Sclaratiom de ub Kel' rsgiWteur, it lui

st w doeqA uittaae do ce. q'i de a

l'EBlat: Maibu 'l** p' ispposer ami,

a, ecome de sapou et -M posresia oMSaUendre i I. ve r avn Aiagemups ineveti

Spar M. Ksllogg de quelque oAes lerort .

qui ltM mttoM le sinyeu d*agiuwet@rSson petit avoir. M. Kslongg out le psi-

uteter n des defeafiters et de quiconque,Ss'approprie li-*a pub4lc. les nore

de mms indulgesoe, annule la respouabetit

W %m- i eluuwosa , -les luA#it pag" ea

dmusain smai q'Wle a8kt dbhappr a "a,et, l'ooeoion, le plaies d'm eo Mifflx.Me't e-se-rageuemt peu, luas col!wc-tief -* eseesie.

vit StaluS lwuav.-Noulp "mes~que dam le onmmp.u du soumbru orj'or le lmc Pomich*rtrain lessi <l'un baimau A

torpille qui se dirige mois l'eau, jtl4qu'i

d* dsan de 20 li1mes, veon le point

qu'eu machine amnd.b eovda s ott

maomW**is*Mm ~ ern

or~Ire a"1dul N. Amtugol 4 e.e.~s. p

lmI~ laJ

0Il

Poeur la cavig*weow kups a* pail tout

amsi "but ,8'es hisif deosOW~jJ

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'U v*pIhm.t .~eil$.6

oi.a, Mu.CQ ui& b.leo4t

wg. ;Mwx h prasiM 7.N M*It --i-amm U en

ba~ ntmm

oe~tek uutde

pau lefflk4c

Nons croyons faire plaisir a nos lecteurs enrprodusaiit le@ lignes qui suivent, des la plume d'un Ji e Iakihammas, M. Albert Del-pit, et qui out valu h l'auteur le grand pr ix deposie, que I'Acadmle Franaise lui a sollen-nellement dcern. Soldat, journaliste et pote,M. Delpit a tour-h-tour ofert b la Mre-Patrieson pfe, Ma plue et aM lyre. La France, quipaic lorsqo"elk- doit, vient 4de tlai donner un t-moignage detatant de s reonaiumanee.

LEBEPENTIM.'A

Riet dun cur de emaspyne.I.

Tous les journux d'alores s racomnte le fait. "ICet hone avait commies un horrible fortait.Pendant qne la rdvolte infmtoeet erilgepImposait a Paria 1'em'oI d'au autre ige,Il avait fusill trois soldats muans trembler.Pouts les deu dernier jours on l'avait vu braler 'Des masons et piller ua glise.

Cet homme,Bien qu'il f6t an bandit. m'intreualt en pomme,Sa mre tant da bourg dont je smis le cur.Pauvre femme [ elle avait toujours dwespirDe ce fla, qui s'tait a coduit avec elle.A vingt as, l avait sconu a tutell,lit quitt la alon pour aller k Paris.OHt la sombre dbauche au travail l'avait pria.Il avait cependant beaucoup d'ilatellgence, "

Et, bien que le logis f&t poque 1'andigence,La mire 'puiseant, il pat tudier.Mais l'homme ne grandit que pour tout oublier.Parla!- yer mnaudit que tant de haine attie ISa lvr bt le vin de l'pre convoliOMe,DPont Ivremse, fconde en rves ineenss.Mnfante k son rvell les sombres dclaims i

Ausi fut-Il aise a*m anm crire k sa mre,Qui, meute, -a foyer peuple duane cbimtrr,Veuve de nu peux, veuve de sou enfant,

SAyant perdu l'an, mort, pleurait l'antre, vivant.

Or..un jour, je mortala de divin meribe.a Quand on vint mvertlr, a la on de l'oMlee,Qu'une fentme pleurant et couverte de noir,A genoux sur l ol, dmandait a me voir.

Quelques instants aprs j'entrals au presbytre:C'tait elle.

Les pleua surs n visage austreAvalent coul, creusnt sillons de doulewarQui racontent l'angolue et seatent le'molheur.

r EllMe lies esyalt avec M masln-vreuae.Je m'arrtal devant cette douleur aBora,Ignorant de quel mal elle pouvait meiir;Alors elle me dit:

5 -"Mo eaout va mourir."Je n rpeuidai pam

S-"Vous allea me comprendre,"Reprit.elle. oUntOle: lUs veient me le reprendre;*On le endamni mort: je De le verrai pluas!"Puies d'us tos plu be :

-"'Le* rcite que j't lus"Solt mavrtats Il paraft qu'll a.eeaM des

aerlmes;UDea prItmo'. idus mm" oui t " varuusa'a"ila tut;.Iwrl. . -,Vuuihneleieen efe! ait

I 'S*scs-ssu la psia oaneabattue1"Re-mal'? glg q.shm.ulbcommeum 4L

4amn. -V-Comme un maudt, pourrait mmcrir, simad.. "I-Du ciel, ci mms avow au crites iun pretr I'i. b1sm , criant de tels not, que peut-dire.6ja umi ua* da de pureli. e -m LInd1Puis aPMr um incrment *

-&aiver le ooeli, Wbi1 uMM b Mr=6velame. "

"Ohb? ne refuires pau k celte pauvre femme '

VI'Il

-Lai qui ljuaq<b prdm art- men pue ~aI

S"Parsmat q'm a m eda 00 trus13uaUI e, 4

M1 omr a ouvui amu coeur renrfes mat-

~Cstai la mdr9u. P" m'e dan aroutso (

Cotumfao "64 1 mlaairit fait abandoD'a- mafheureu 1

Jraenlun6-tra%mr

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tibrl leoid1 ns uaisa lm X

Fr or h4aFmfsiB da 0"tu., 0s1- bte4n. 0E

to*.i tutfib bonuje Om1lm

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loi~ mn i umur 1,mod i

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Jeu-e *orod~FMa.a isce6 '. fte

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e-Mon elfant....-'"Votre enfant ! -

-"CoMnme tots ceux qui pleurent,|"lon devoir est d'aller vers les tres q(lui meurent."Et de leur montrer Dieu prt a tout pardonoer di-"Dieu s'est lait homme! Il galt Peulement di

condamner!" .

-"Mfalheureux 1" n-"On l'a vi dans lear rAquisitoire

*(Puiiqie c'est comume a qu'en nosmme leurhistoire !)

"J'ai fissill. bril. vol, pHll!....c'est vrai, v"J'ai commia des borreura,.bieu qua mon coup nt

d'euas!"Il dit, et sa fureur s'teignit dans un rle. P'-"Ah oui! je reconuais leur nouvelle morale,"'Repris-je alor "Enfant, vowu venem k Paris:"- est ce GCle insens qu'ils vous auront appris."Dieu ? qu'est-ce que cela T-La patrie T un meu-

songe!"Ces grands mots ternels qui reviennent en

@ongej"A l'homme, pour hausser son cour et son esprit,**Chaeun de son langage infime les ftrit!"Vou n'avez plus march qu'a travers le blas- Je

plitme ve"Apprenant douter de tout et de vous-mme, p*Apprenant k hair jasqula votre pays ! lA"Vos boune enseignements gisaient ensevcHls'Ar fond de votre cour, dans un linceul de

haine! le,"Quand la guerre eclata, quand late mare hu

maine"O France 1 eut envahi tes plaines et tes bois,"Qui donc de vous est mort comme ceux d'au-

trefois ?"Quand notre dsespoir, tel qu'un autre Pompe,"Frappait le sol fumant du fer de roUi pe,"Pour en faire Pailllr encor des lgions 9"A l'heure de I aguioise, l'heure oi nous son-

stonflt "Que nous verrions, belas ! l'effroyable dfaite, ^

"Eterniser son vol maudit sur notre tte,"Qui de vous imita les glorieuax hros PT"Tous ceux qui sont tombs soldats ou gnraux,

* "Tons ceux qui conservalent dans leur fime coaguerrie, pr

"Avec Ilmour de Dieu, l'amour de la patrie!"

Haletant, Il suivait mes paroles des yeux.Aprs tre n mimnOt resti silencieux : re

S: "-La France T--Qu'importait la France? Je l'a-voue,

"Je n'avais pas reu on smoulI-t our ma joue, S&"Pisue j'avals appris a l'oublier tonjours T la"Ah! Je me uis souvent rappel leurs discoars g,"Depuu que, me voyant ai pr-s du grand pro-

blme,

"J'ai senti riceans s'agiter en mol-mme *i"J'ai on que rl tous nous avnm succomb, m"Que id da leMtiaeur le pays et temb, Z"C'est que chacoun de noum n'a pas rempli st

re, tche!&; "0 Sk lt vertu de oepas tre Ilche?

" "Il faut sanvoir d'abord traboa citoyen : tg"Et ehasa a tle etar pouri comme le mien I b"Lai-mel. lissez-ri dam mo ndant Inftme le

S**Vousarrivetesp ad paour racheter mqu mle:IS 'Le l '-alrt peur mao qu'un regard eprl- m

saat.... n

"Je aes bus k ries mon pre.... allez-vous-.en i ti

-"sIils, l aUest jamais trop tard pour Dieu, p* lui Slje, v

Mn * Ie de chtiment que s mai vs i aige,W. "Vous l'avez mrit : doe vous seres poLaD "Mais il agudp an moumrant aun parmon i :

*"Conuese-vosm, etjPeu vus pearlone ! l

ru A erore, '

L'%0a11 k gbe@xu semblaite pier mona .Qamu- s nar vamupread p - r Umalm: 4-*boutes; -MVlw g n* l ee outeu d-afA

be. "Qq se mm e erta uo upeatir scfs, 4

| 'l saestos a asdadsk adem i?

laI**Its ! tt le pays va ooBJMmt et peahe,

ie "Moai pre, appmeassr hr genest ass 6ete 6"A lt egM-b*>O M egux meprideg la

**Lda'l a, loi T eu qul tet dem ause.^ ' ' eagabap :

ce "Car es mpris 1k ft te mutions qui tombeat

W, -Ce a' stea que dI'purease an peosa

.- " "C qal uet, e% ebq-r btar ms4,--og

"Mdueelelloed eut 8aM pplI e

. *'s f as doe t fnl' *L'eabit de 1Me pay tut sM Me i ofat

......... ........ a......'iffat>pf.."' 'Sa revea assumais k .ea . .sMe .l I .. "

.... ........ .. _--- ............*....-**

^...... y .n avoiatdiBt,LuI. le ur, peu a, venei ntHe parut d&re euI atrS mebre....Peat4tte, me )b-W -r-

Soal ir Csle

a ala

on l.as dii, on t i meal dcl pui.

qu le Aroi de etbI lue fiat palpervingt eian4Ioille pSdte pl par an. J

lv e tours f6 t i% ni* - e recon-

r t, ieu B4, pogrqni to con- 4

alqgeq ab Diu voaill 'IdeT t

vous svies fait pour tfi qee won ivo it mpour osee p!eatre de Kelloj.

-Tu et injuste. Les habitante de Boatoirli prendraiet peat-tire pas les *tosesuski bearoleekset que oeu de la 'oS .

veI*Orleuns. Co qui tV perdu, Oeux

o't t amour itmmodr pour te

, & das 'amies.*-Q pport'e t il u

-Wea Serh B , asX ta ihme

*twi :s p>q ets at fer4 4-Fiebhte, se dit tout bas te viemi pil.

ler fd, orpavre Ulysse est dcidment pa i

"bte que je Col rMsais.-Carillo

m iti f Et, will, maereredi le I

24 etrtA, M. W.. . MIty, Ibge

A1sa> .ea, .M U,2. .veni d n fBas ikerbe: aun plJe de profus-

see Jru8imiation p*imfaire 4 nqeebe,

Anglais et Allemand. 8'adreuer asu bu.reaM da journal. 27 sept. 3.

4* V.org.-Tn paire le jeanesMUasls Amrioain, ains qi'ua Huk No.l avlfa eo les hearais, a vendre s

o r deu comptant, e *s'sdre-

saut de siai au bureau de IAdvertier.Q0 sept. k873.

1 IL a ti arrt par le aoufigit, prsSde l'habitation de Mme Sosthnu Mouton,dans c.tte Paroisse, un cheval crole brun,g (d'environ 10 ans et portant cettemarque sur l'paule gauche:

89;Le proprittaire et pri de venir prou-.

ver Ma proprite, payel Iss fraie, et emme-ner le dit chieval, a ,treunemel il on ser die-

poM selon la loi.H. L. MONNIER, FiL

6 epL. 1873.

4frie Wfnx CcontrWinbitee.

L -ES Taxes de Pnri4ee poour l'anne1872, collectable4 on 1873, aont dis etje @croia conseiller anux contdilenh'.e devonir et payer leurs Taxe% d'Etat et (le

1Parniaee immndiatement. il* viteront pMrl desi dsagrmnents et d<es frti:i ad liti.n-

nels qui auinuteraient le montant deleurs Taxes dj mees fortes.

D. A. COCHRANE, *u30 sof. Dput Collertrur.

JURY DE POLICE. lenbut

aittVermillonrille, P.rui.-s LufVyetTr, !18 Ap6t 1873. du

Toius les minemitlbre pr%tlsts. Lictre yr,des minutes de la dernire Msainb est dis petpt.nee.. gin

MM. Duban, Landry et Montgonery, ,,comit <oenitn4 pour vrifier le able des e.proprits taxables de la puroise, rapporte citque le montant est de $516,228, avec Parecommandation que le rapport soit nc-cept. Sur motion le rapport est nocpt. mi

Il est unanimement rsolu, qne le taux tua prlever iur les proprita tixables de etla Paroisse, d'aprs le <6le de 1672, soit vefix a 20 miies par jastrs. * vu

Rsolu, Que le Collecteur soit siatris coaprs avoir fourni ane obligation de cinq jemille piastres, dment accepte et enr liegistir6e, a procder a la collectico de lataxe de paroisse.

Rsolu, Que la collectios de toulestaxes de poroise, cessera au ler. Dcem-bre prochaun, n vu*e de permettre a Cel- rlectrur.de prparer les litdes dlinquemnt4sspari6pet, poor chique **, coatfer-

. mnmet at .loi.. Rselu, Que toets comptes oM ieolama

1 tions eoteM la p9MiusO, seroat ispoei prsents a l'Avocat de Paroi.., qui les "

' vrifiera, et alors 1* *omettr s c0 erpMpour a*ci. dhtitive.

Sur motioo MM. R .C. Landry, R. Leblanc et V. Broussard, sont constitu co-mit *ai ' i aUer 'a chligement doobemii ubl ' fis' s Be*ard,'devra faire sOu rapport a re sojet. r

Les comnte suiants soat approvs etil est ordonn que des bous soeieat dlivrs tpour leurs paiement:

Trerille Bourd,.e4 Valia B1oi,$, $l5; U. A. Ubert, *1S; J. O.Gironasd,Mil 40; IL. aitia, 09940; A. J. Ma,S014; De.. OIilheae, b1i; .r. -. F.

y uip. *M.; F. P. POsUkM 50;a. Mas 86 ; Isias1A C. Mose, a; IWMI Thibod-x, 87 20;

5 J. Bernard, $30.t Sur oeiies le Jury de Polies 'e>qee

a jsqu'au premioer lfnedi d'Otdrole prtchbbt.r. G* . DUBAU, P.ise.L

S A. J. MOSS, Greser. g.

.8glr,-Jo seo^ige ai--* eNfipe-tueusement les habitants de la PurouseL *jml qt4'au at-Uelfieat pip.r.it offiswsM gwioeu4 *MrB. m weienpeair la rparuiion..p mealips a oa etpresses, ainsi ne la raviTies -dudentes, et enit tout o_ .qui concerne lem,caiieme de. moulin et proe % coton.

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dmt.t.aetoh asiPtd k <tee Ec6tea ra VetillonlTIidu des1 plmb I

I af Ilt dam ter atnst.h k t .. BaL.M. 4,. Moxusat.

Secrtaire. Prsidfent, 23& t 1873.

* Vente au Prit Ooutnt, ,I

* pour du comptant seuWnni..

1 !quMijn dresirnt clore wu &t* aL de auirchndiwi shes, etc, eois-x e oa Messelines Tadiennes, A<tielei

0otOnadwe, flabilfements O(tfectionas,* Botte Soulies, Chapeau, ete., etc. Egalte

ri mepit Q odieri., Vayerna, Verrerie.S. $eferi &-vendrn toes es arties puar

ifa O u ioleiment noa pris refvemts.le Ca 'ne aindlhs *ont toutes fmatehes et

* de qualits suprieures.DIirw ae tenir que l'Particle giceerie,il dima de ss msrchandiae.s&hes,ocmme il est dit plus haut.

u I invite donc le public en g4neral a lui

.rendre visite avant d'acheter millers., 2 so6t '73. C. P. CON NELLY.

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e-ir-City, chaoue LUNDI matin, prenantides minarnrandiaes et des passagers pourions les points du bayou Vermillon jusqu'

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attenition dans mes affaire!% ne litineaite une occasion se prseilter sas la sabirJdansMI l'intrt de mes clients. Me&msooranpi<Ies dans le 7lacienot de grmndes etpetites fermes, dans les Paroisses St. Mas-tin, Ibrie et St. Marie, suffisent et sont ounestire guarantie de mes effofts futurs pouressayer. d'introduire des.capitews et decitoyens intelligents et laborieux dnmeetteParosse, dj su riabe et qui promet tant.

J'annonce lbralement, et ne resolaunm lmontant qu'autant qW'une vente est ego-&tue. M comentmission est trs raisonnableet a-sure lsatikctinm. Ceo qui d6siritvendre par mon entremise, peuvent sm'en-voyer par la poste une description fidle. etcomplte de leur proprit, mon bUreau.Je me trasmporterat moi-mme -r leslieux, ayant toutes les facilits d6sirtblupour la vente des proprits dont je msainagent. Ayant une correspondsaoe tristendue, et tant en mme Iesps au faitde c" affairsm, jkoIp

* ration, donner las Pin ies clients.mges ED.H. LQMBAW.Ar atml lan-8 t epI4s

Avril 13, 71.-Sm.s

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Varimlles, Fcuesm det Vererie IM .mpu de Salon. Et %mantil. d'as. en'liCI% trop, [m~Ig a ee.a#v.

T*OT's ose rLnL.e44 x~e extrueme"de co.itaa.

miMr. EL Cail inw )pbjen gi-a. rai a mtdr-46 "IrIgmiIB%~soiavant.dabe.- w

23 nov. 8lm.

POLIR DU wrui WiuT.

pou, &u "Mou ~ qteurs pre.uii<m@t rrC~ration, d'q~te4t qp'Us4j trmoe~vmt dueAfit, car cen MOa~U#'" ont' Iald de Toe@

fourWir a leurs 'ettiiits dei ,bcech*fl.soili),rs'froldies et de preemi es hoix.

'iortimemt oh.ew et vrir U'UeoAandime.sches, Mtiefr de Y.mumc Vrvwe,Bossu et .5euiies,- &f4kr4O, Come*Ilea4f. #erni g . p.yeac le4t V iPW Qaeac.nsU.,i0, >'e,6l.ckserw e arwicle, .-

Lu.ctimbula i 'oudrotb iulm ten ra-dui visite, smeut smrs- W4tpe srvis usaspromptitude et~ entj5racliD.

MM. Plmou4y Rugir almt meule9 &Pulapir notre Paroisse des feinte .ulbinesBuek Brilliantt (Buack Brilliaunt CoukingStovt.u) et pour les oblbres machneslaver Ringen.

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