View
214
Download
0
Category
Preview:
Citation preview
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MiNIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.80.01
VALORISATION DES PRODUITS
agro-alimentaires par GÉOTHERMIE
DANS UN CONTEXTE
"PAYS EN VOIE DE DÉVELOPPEMENT"
par
P. SCHERR
avec la collaboration de A.M. ROUGET
Département géothermieB.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.80.01
Rapport du B.R.G.M.
82 SGN 950 GTH Avni 1933
Réalisation : Département des Arts Graphiques
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MiNIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.80.01
VALORISATION DES PRODUITS
agro-alimentaires par GÉOTHERMIE
DANS UN CONTEXTE
"PAYS EN VOIE DE DÉVELOPPEMENT"
par
P. SCHERR
avec la collaboration de A.M. ROUGET
Département géothermieB.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.80.01
Rapport du B.R.G.M.
82 SGN 950 GTH Avni 1933
Réalisation : Département des Arts Graphiques
SOMMAIRE
PageI- introduction 1.
II - L'ARACHIDE ' . ... .'. ..'...... 2
II. 1 - Le traitement de l'arachide . 2
11. 2 - Le marché de l'arachide 5
11. 3 - Conclusion 5
III - LE CACAO 9
III. 1 - Le traitement du cacao 9111. 2 - Le marché du cacao 9111. 3 - Conclusion 9
IV - LE RIZ 13
IV. 1 - Le traitement du riz 13IV. 2 - La marché du riz 13IV. 3 - Conclusion 13
V - LE MANIOC 21
V.l - Le traitement du manioc 21V.2 - Le marché du manioc 22V.3 - Conclusion 22'.\
VI - LE THE 28
VI. 1 - Le traitement du thé 28VI. 2 - Le marché du thé 29VI. 3 - Conclusion '. . 29
VII - LA CANNE A SUCRE 31
VII. 1 - Le traitement de la canne à sucre 31VII. 2 - Le marché de la canne à sucre 31VII. 3 - Conclusion 31
SOMMAIRE
PageI- introduction 1.
II - L'ARACHIDE ' . ... .'. ..'...... 2
II. 1 - Le traitement de l'arachide . 2
11. 2 - Le marché de l'arachide 5
11. 3 - Conclusion 5
III - LE CACAO 9
III. 1 - Le traitement du cacao 9111. 2 - Le marché du cacao 9111. 3 - Conclusion 9
IV - LE RIZ 13
IV. 1 - Le traitement du riz 13IV. 2 - La marché du riz 13IV. 3 - Conclusion 13
V - LE MANIOC 21
V.l - Le traitement du manioc 21V.2 - Le marché du manioc 22V.3 - Conclusion 22'.\
VI - LE THE 28
VI. 1 - Le traitement du thé 28VI. 2 - Le marché du thé 29VI. 3 - Conclusion '. . 29
VII - LA CANNE A SUCRE 31
VII. 1 - Le traitement de la canne à sucre 31VII. 2 - Le marché de la canne à sucre 31VII. 3 - Conclusion 31
VIH - LE CAFE 35
VIII. 1 - Le traitement du café ............' 35VIII. 2 - Le marché du café ......'...'......'... 35VIII. 3 - Conclusion ' 35
IX - LE PALMIER A HUILE . . 39
IX. 1 - Le traitement des produits du palmier à huile .' . 39IX. 2 - La valorisation des déchets 39IX.S - Conclusion 39
X - LE COPRAH 41
X.l - Traitement du coprah 41X.2 - Valorisation des déchets 41X.3 - Conclusion 41
XI - CONCLUSION 43
BIBLIOGRAPHIE 44
VIH - LE CAFE 35
VIII. 1 - Le traitement du café ............' 35VIII. 2 - Le marché du café ......'...'......'... 35VIII. 3 - Conclusion ' 35
IX - LE PALMIER A HUILE . . 39
IX. 1 - Le traitement des produits du palmier à huile .' . 39IX. 2 - La valorisation des déchets 39IX.S - Conclusion 39
X - LE COPRAH 41
X.l - Traitement du coprah 41X.2 - Valorisation des déchets 41X.3 - Conclusion 41
XI - CONCLUSION 43
BIBLIOGRAPHIE 44
LISTE DES PLANCHES
Planche 1
Planche 2
Planche 3
Planche 4
Planche 5
Planche 6
Planche 7
Planche 8
Planche 9, 9bis
Planche 10, 10bis, lOter
Planche 1 1
Planche 12
Planche 13
Planche 14
Planche 15
Planche 16
Planche 17
Planche 18
Planche 19
Planche 20
Planche 21
Planche 22
Planche 23
Carte des zones productrices d'arachide dans le monde.
Schéma de transformation de l'arachide.
Production d'arachide en coques.
Production d'huile d'arachide.Commerce mondial de l'huile d'arachide.
Schéma de traitement du cacao.
Carte des zones productrices de cacao dans le monde.
Production du cacao.
Carte des zones productrices de riz dans le monde.
Production du riz.
Commerce extérieur du riz.
Diagramme de fonctionnement d'un projet dede grande usine d'amidon.
Carte des zones productrices de manioc dans le monde.
Production du manioc.
Importation d'amidon de manioc.Exportation de produits à base de manioc.
Carte des zones productrices de thé dans le monde.
Schéma de traitement de la canne à sucre.
Carte des zones productrices de sucre.
Production, du sucre.
Schéma de traitement du café.
Carte des zones productrices de café dans le monde.
Production du' café.
Schéma de transformation des produits du palmier à huile.
Schéma de traitement du coprah.
LISTE DES PLANCHES
Planche 1
Planche 2
Planche 3
Planche 4
Planche 5
Planche 6
Planche 7
Planche 8
Planche 9, 9bis
Planche 10, 10bis, lOter
Planche 1 1
Planche 12
Planche 13
Planche 14
Planche 15
Planche 16
Planche 17
Planche 18
Planche 19
Planche 20
Planche 21
Planche 22
Planche 23
Carte des zones productrices d'arachide dans le monde.
Schéma de transformation de l'arachide.
Production d'arachide en coques.
Production d'huile d'arachide.Commerce mondial de l'huile d'arachide.
Schéma de traitement du cacao.
Carte des zones productrices de cacao dans le monde.
Production du cacao.
Carte des zones productrices de riz dans le monde.
Production du riz.
Commerce extérieur du riz.
Diagramme de fonctionnement d'un projet dede grande usine d'amidon.
Carte des zones productrices de manioc dans le monde.
Production du manioc.
Importation d'amidon de manioc.Exportation de produits à base de manioc.
Carte des zones productrices de thé dans le monde.
Schéma de traitement de la canne à sucre.
Carte des zones productrices de sucre.
Production, du sucre.
Schéma de traitement du café.
Carte des zones productrices de café dans le monde.
Production du' café.
Schéma de transformation des produits du palmier à huile.
Schéma de traitement du coprah.
- 1 -
VALORISATION DES PRODUITS AGRO-ALIMENTAIRES
PAR GEOTHERMIE B.E. DANS UN CONTEXTE P.V.D.
I - INTEODUCTICN
Cette étude a pour objet d'établir une liste, qui n'a pas laprétention d'être exhaustive, des produits agricoles cultivés dans les paysen voie de développement et dont le process de traitement est consommateur,d'énergie, de décrire schématiquement ces process et de localiser géogra¬phiquement les zones de production et de transformation de ces produits.
Elle constitue en ce sens un outil permettant, lors de contacts àcaractère commercial avec l'un ou l'autre de ces pays, d'avoir une idée àpriori sur 1 'opportunuité de proposer une application possible de la géothermieà une branche particulière du secteur agro-alimentaire.
Les produits dont les traitements seront analysés dans cette- étude, ontété retenus à partir de trois critères :
- l'importance relative de leur production ;
- les perspectives d'une augmentation deleur consommation ;
- le recours nécessaire à un process de traitement consommateur d'énergie.
Ces principaux produits sont :
l'Arachide le Manioc le Caféle Cacao le Thé le Palmier à huilele Riz la Canne à sucre le Croprah
- 1 -
VALORISATION DES PRODUITS AGRO-ALIMENTAIRES
PAR GEOTHERMIE B.E. DANS UN CONTEXTE P.V.D.
I - INTEODUCTICN
Cette étude a pour objet d'établir une liste, qui n'a pas laprétention d'être exhaustive, des produits agricoles cultivés dans les paysen voie de développement et dont le process de traitement est consommateur,d'énergie, de décrire schématiquement ces process et de localiser géogra¬phiquement les zones de production et de transformation de ces produits.
Elle constitue en ce sens un outil permettant, lors de contacts àcaractère commercial avec l'un ou l'autre de ces pays, d'avoir une idée àpriori sur 1 'opportunuité de proposer une application possible de la géothermieà une branche particulière du secteur agro-alimentaire.
Les produits dont les traitements seront analysés dans cette- étude, ontété retenus à partir de trois critères :
- l'importance relative de leur production ;
- les perspectives d'une augmentation deleur consommation ;
- le recours nécessaire à un process de traitement consommateur d'énergie.
Ces principaux produits sont :
l'Arachide le Manioc le Caféle Cacao le Thé le Palmier à huilele Riz la Canne à sucre le Croprah
2 -
II - L 'ARACHIDE
II. 1 - Le traitement de l'arachide
II . 1 . 1 - L^Arachicie matière première
La culture de l'arachide est annuelle. Elle est située dans deszones où la pluviométrie est très variable, ce qui induit au niveau de laproduction des variations pouvant atteindre plus de 100 %.
Les principaux pays producteurs sont : (voir planche 1)
1 ' Inde 1 ' Indonésiela Chine le Brésilles U.S.A. la Birmaniele Soudan 1 'Argentinele Sénégal
La valeur de l'arachide "matière première" dépend non seulementde la qualité du matériel végétal dont elle provient, mais aussi et surtout del'état dans lequel elle est présentée aux acheteurs. C'est dire l'attentionparticulière qu'il y a lieu d'attacher aux traitements qui suivent immédiatementla récolte :
Le séchage, opération qui doit être parfaitement contrôlés ,et dont le but est d'abaisser le taux d'humidité à sa valeur optimale de l'ordrede 7 %, par pulsion d'air chaud à 35°C.
Le stockage, qui doit être ventilé.
L'arachide matière première subit ensuite des transformations,qui sont fonction de son utilisation future.
II. 1.2 - L'Arachide de bouche
Cette expression recouvre une gamme de produits qui sont lesarachides en coques, décortiquées, grillées, salées, le beurre d'arachide etdes produits pour la patisserie.
Les différentes transformations subies par l'arachide de bouchesont les suivantes :
2 -
II - L 'ARACHIDE
II. 1 - Le traitement de l'arachide
II . 1 . 1 - L^Arachicie matière première
La culture de l'arachide est annuelle. Elle est située dans deszones où la pluviométrie est très variable, ce qui induit au niveau de laproduction des variations pouvant atteindre plus de 100 %.
Les principaux pays producteurs sont : (voir planche 1)
1 ' Inde 1 ' Indonésiela Chine le Brésilles U.S.A. la Birmaniele Soudan 1 'Argentinele Sénégal
La valeur de l'arachide "matière première" dépend non seulementde la qualité du matériel végétal dont elle provient, mais aussi et surtout del'état dans lequel elle est présentée aux acheteurs. C'est dire l'attentionparticulière qu'il y a lieu d'attacher aux traitements qui suivent immédiatementla récolte :
Le séchage, opération qui doit être parfaitement contrôlés ,et dont le but est d'abaisser le taux d'humidité à sa valeur optimale de l'ordrede 7 %, par pulsion d'air chaud à 35°C.
Le stockage, qui doit être ventilé.
L'arachide matière première subit ensuite des transformations,qui sont fonction de son utilisation future.
II. 1.2 - L'Arachide de bouche
Cette expression recouvre une gamme de produits qui sont lesarachides en coques, décortiquées, grillées, salées, le beurre d'arachide etdes produits pour la patisserie.
Les différentes transformations subies par l'arachide de bouchesont les suivantes :
- 3 - Planche 1
CARTE DES ZONES PRODUCTRICES D'ARACHIDES
DANS LE MONDE
ZONES PRODUCTRICES
A R A C H I D E
- 4 -
. Le décorticage :
- Nettoyage des coques ;.
- Triage ;
- Stockage à basse température (7°) pour éviter lesproliférations de moisissures ;
- Dépelliculage . à sec par chauffage à 140°C pendant25 minutes, suivi d'un .refroidissement ;
. à l'eau chaude, suivi d'un séchageà 45°C ;
. à la soude ;
. Le grillage dans le but de développer l'arôme:
- Pour -la fabrication du beurre, les arachides sont portéesà 160°C pendant 50 à 60 minutes dans un four à contre courant d'air chaud à425°C, ce qui permet de baisser l'humidité résiduelle de 5 à 0,5 % (capacité :
200 kg/opération) .
- Pour la préparation- desi:arachidés-. salées, on applique soit laméthode précédente, soit le grillage par immersion dans une friture chaufféeà 135°/145°C pendant 3 à 10 minutes.
. Le salage
. Le conditionnement
II. 1.3 - L'Huile de table
suivantesLes principales étapes de la fabrication de l'huile sont les
Nettoyage. Décorticage. Stockage. Broyage.
Cuisson à 90°C pendant 20 minutes, suivie d'un séchage à 105 °Cpendant 30 minutes, de manière à faire baisser l'humidité relative de 5 à 6 % ;
Pressage
Extraction
Raffinage par traitement à l'acide phosphorique ;
Stockage. Conditionnement.
II. 1.4 - L^Araçhidej^_source_de_2rotéïnes_dans
1 ' alimenta tion_humaine .
On trouvera sur la planche 2 une méthode d'extraction simul¬tanée des protéines et de l'huile d'arachide pour la fabrication des concentrés.
- 4 -
. Le décorticage :
- Nettoyage des coques ;.
- Triage ;
- Stockage à basse température (7°) pour éviter lesproliférations de moisissures ;
- Dépelliculage . à sec par chauffage à 140°C pendant25 minutes, suivi d'un .refroidissement ;
. à l'eau chaude, suivi d'un séchageà 45°C ;
. à la soude ;
. Le grillage dans le but de développer l'arôme:
- Pour -la fabrication du beurre, les arachides sont portéesà 160°C pendant 50 à 60 minutes dans un four à contre courant d'air chaud à425°C, ce qui permet de baisser l'humidité résiduelle de 5 à 0,5 % (capacité :
200 kg/opération) .
- Pour la préparation- desi:arachidés-. salées, on applique soit laméthode précédente, soit le grillage par immersion dans une friture chaufféeà 135°/145°C pendant 3 à 10 minutes.
. Le salage
. Le conditionnement
II. 1.3 - L'Huile de table
suivantesLes principales étapes de la fabrication de l'huile sont les
Nettoyage. Décorticage. Stockage. Broyage.
Cuisson à 90°C pendant 20 minutes, suivie d'un séchage à 105 °Cpendant 30 minutes, de manière à faire baisser l'humidité relative de 5 à 6 % ;
Pressage
Extraction
Raffinage par traitement à l'acide phosphorique ;
Stockage. Conditionnement.
II. 1.4 - L^Araçhidej^_source_de_2rotéïnes_dans
1 ' alimenta tion_humaine .
On trouvera sur la planche 2 une méthode d'extraction simul¬tanée des protéines et de l'huile d'arachide pour la fabrication des concentrés.
- 5 -
11. 2 - -Le marché de l'arachide
Outre les variations liées aux aléas climatiques, ce marché enregistredes fluctuations provenant du fait que, dans la plupart dés cas, l'arachideconstitue pour le pays producteur une ressource nationale importante qui subit dece fait des interventions d'ordre politique et économique.
Les productions des principaux pays et les flux correspondant sontrassemblés :
pour l'arachide en coque dans les tableaux de la planche 3.;
pour l'huile d'arachide dans les tableaux de la planche 4.
11. 3 - Conclusion
Les températures utilisées dans le process de traitement de l'arachidesont compatibles avec les niveaux de températures obtenues en exploitation degéothermie Basse et Moyenne énergie, voire même Haute énergie. De plus, certaineszones productrices intéressent les régions où de telles ressources ont été misesen évidence. C'est pourquoi ce produit peut à l'évidence faire l'objet d'appli¬cations géothermiques.
- 5 -
11. 2 - -Le marché de l'arachide
Outre les variations liées aux aléas climatiques, ce marché enregistredes fluctuations provenant du fait que, dans la plupart dés cas, l'arachideconstitue pour le pays producteur une ressource nationale importante qui subit dece fait des interventions d'ordre politique et économique.
Les productions des principaux pays et les flux correspondant sontrassemblés :
pour l'arachide en coque dans les tableaux de la planche 3.;
pour l'huile d'arachide dans les tableaux de la planche 4.
11. 3 - Conclusion
Les températures utilisées dans le process de traitement de l'arachidesont compatibles avec les niveaux de températures obtenues en exploitation degéothermie Basse et Moyenne énergie, voire même Haute énergie. De plus, certaineszones productrices intéressent les régions où de telles ressources ont été misesen évidence. C'est pourquoi ce produit peut à l'évidence faire l'objet d'appli¬cations géothermiques.
- 6 -. - SCHEMA DE TRANSFORMATION DE L'ARACHIDE Planche 2
-» FSnes (alimentation du bétail)
Gousses d'arachide
Nettoyage
Energiemécanique
Décorticage - Débris de coques
Dépelliculage
Broyage
Vapeur is T~"^
1 ^^s
Chauffagehumidification
Raffinage
Raffinage
, Huile
Huile
1 s
1er pressage
2ëme pressage
>
->-
>
Extraction encontinu par
solvants
HuileRaffinage Huile
raffinée
Tourteaux(alimentation du bétail)
SoluCLon acide diluic
Arachides (Splccs)
Ccncrifugacion
(pR *.0)
huile bruce
«Cchas«
CancenCrCt procCitiucs
Arachides <Splees)
royale
Solución alcaline
Extraie liquide
Excraction- (pR 8.0)
Ccncrifuiacion RCsidus lolides
Pricipit.ciori 4 gjde» protéine^
SCchaKC
r(CcncrifugaCLoi
Kfflidu* fibreuxn
SCrua «oltdei huile bruce
SCchife
Itolics procêtqueaExcraccion ii''"tUjr^e H'^ 3ri>f*'n»i *t ¿f l'Vui led arachid» nnur '.a larriofion -'^ '"--ntr**
Îfilt. ¿a) tt d'iioljc^ ifiiiire & **'
(Rhee ec al., I«72 (II)).
- 6 -. - SCHEMA DE TRANSFORMATION DE L'ARACHIDE Planche 2
-» FSnes (alimentation du bétail)
Gousses d'arachide
Nettoyage
Energiemécanique
Décorticage - Débris de coques
Dépelliculage
Broyage
Vapeur is T~"^
1 ^^s
Chauffagehumidification
Raffinage
Raffinage
, Huile
Huile
1 s
1er pressage
2ëme pressage
>
->-
>
Extraction encontinu par
solvants
HuileRaffinage Huile
raffinée
Tourteaux(alimentation du bétail)
SoluCLon acide diluic
Arachides (Splccs)
Ccncrifugacion
(pR *.0)
huile bruce
«Cchas«
CancenCrCt procCitiucs
Arachides <Splees)
royale
Solución alcaline
Extraie liquide
Excraction- (pR 8.0)
Ccncrifuiacion RCsidus lolides
Pricipit.ciori 4 gjde» protéine^
SCchaKC
r(CcncrifugaCLoi
Kfflidu* fibreuxn
SCrua «oltdei huile bruce
SCchife
Itolics procêtqueaExcraccion ii''"tUjr^e H'^ 3ri>f*'n»i *t ¿f l'Vui led arachid» nnur '.a larriofion -'^ '"--ntr**
Îfilt. ¿a) tt d'iioljc^ ifiiiire & **'
(Rhee ec al., I«72 (II)).
- 7 - Planche 3
Production d'arichides en coques dans différents o»vs.
«u cours de 1» pfr:'.ode 1 170-1 97fi :
PAYS
Inde
Chine
U.S.A.
Soudan
SSnëgal
Indonésie
Brësil
Simanié
Argentine
Total mondial
1970
6. in2.772
1.351
.337
583
468
928
529
235
18.428
1971
6.181
2.678
1.363
394
988
473
945
502
388
19.275
1972
4.012
2.494
1.485
568
587
470
956
391
252
15.948
1973
5.932
2.698
1.576
635
675
505
590
412
440
17.085
1974
5.111
2.794
1.664
930
1.006
512
439
467
290
17.378
1975
6.991
2.891
1.750
931
1.476
550
441
517
375
19.598
1976 ':
5.700
2.889
1.701
980 ;
1.192
550
514
52C
338
1 18.495
Unité : I.OOO t, arachides en coquesSource : Food and Agriculture Irganisation (175 , 170).
Connerce wondinl de l'arachide pendant 1* périodf
- 1910-1976
Exportation! totales
dont :CanerounCambieHalauiMiterHifiriaStnfgalAfrique du SudSoudau
DSAIrétil
ChineIndeIndonésie
loDortations totales
dont :CanadaJaponTehfcoilcvaijuiefranceWAItaliePay«-BaiPortugalEspagneSuisseGrande-Bretagne
1970
993.189
13.37338.12322.511
131.877291.17751.44770.30363.923
48.756Î3.473
16.60525.83026.631
1.051.415
49.04758.84819.084
314. 40S89.163
116.88542.46448.01426.72680.88861.567
1971
867.216
6.96431.06929.19093.333
136.53432.54072.104
117.006
108.06235.666
21.33828.48220.881
866.706
51.37352.38218.443
224.47966.440
104.68040.20042.81027.60357.16550.231
1972
907.978
4.79343.41535.70492.720
106.15513.93545.611
109.350
187.6055:>.923
40.15225.32012.981
850.323
î:.55962.32020.283
145.45454.149
105.693'.6.39771.79U27.61155.89963.276
1973
949.880
16.50827.38327.38041.657
198.6583.379
52.692136.242
186.140S4.2d5
34 .'4 1030.60421.030
962.441
59.95276.32416.987
242.87169.92494.31547.75851.91124.76165.71874.020
1974
847.340
23.27942.85920.653
7.30530.350
9.91740.000
128.398
254.114850.610
28.12288.21311.055
B6I.121
59.33852.65217.139
236.93057.06279.38546.61943.517
.16.4A245.04264.931
1975
872.329
18.11552.76525.814
2.4512.0009.484
60.000202.940
240.79653. 417
22.70U69.9647.075
858.084
60.37951.24714.410
199.26053.48676.03855.27461.48719.71250.04971.688
1976
995.039
6.68051.64026.050
5.0001.600
126.54030.000
250.000
129.75420.814
29.600170. OUO
2.271
1.019.256
61.58771.09613.946
256v61252.95099.32763.27973.44021.75350.60982.765
I
Uni tí : tonne
Source : Food and Agriculture Organisation Í171/I77).
- 7 - Planche 3
Production d'arichides en coques dans différents o»vs.
«u cours de 1» pfr:'.ode 1 170-1 97fi :
PAYS
Inde
Chine
U.S.A.
Soudan
SSnëgal
Indonésie
Brësil
Simanié
Argentine
Total mondial
1970
6. in2.772
1.351
.337
583
468
928
529
235
18.428
1971
6.181
2.678
1.363
394
988
473
945
502
388
19.275
1972
4.012
2.494
1.485
568
587
470
956
391
252
15.948
1973
5.932
2.698
1.576
635
675
505
590
412
440
17.085
1974
5.111
2.794
1.664
930
1.006
512
439
467
290
17.378
1975
6.991
2.891
1.750
931
1.476
550
441
517
375
19.598
1976 ':
5.700
2.889
1.701
980 ;
1.192
550
514
52C
338
1 18.495
Unité : I.OOO t, arachides en coquesSource : Food and Agriculture Irganisation (175 , 170).
Connerce wondinl de l'arachide pendant 1* périodf
- 1910-1976
Exportation! totales
dont :CanerounCambieHalauiMiterHifiriaStnfgalAfrique du SudSoudau
DSAIrétil
ChineIndeIndonésie
loDortations totales
dont :CanadaJaponTehfcoilcvaijuiefranceWAItaliePay«-BaiPortugalEspagneSuisseGrande-Bretagne
1970
993.189
13.37338.12322.511
131.877291.17751.44770.30363.923
48.756Î3.473
16.60525.83026.631
1.051.415
49.04758.84819.084
314. 40S89.163
116.88542.46448.01426.72680.88861.567
1971
867.216
6.96431.06929.19093.333
136.53432.54072.104
117.006
108.06235.666
21.33828.48220.881
866.706
51.37352.38218.443
224.47966.440
104.68040.20042.81027.60357.16550.231
1972
907.978
4.79343.41535.70492.720
106.15513.93545.611
109.350
187.6055:>.923
40.15225.32012.981
850.323
î:.55962.32020.283
145.45454.149
105.693'.6.39771.79U27.61155.89963.276
1973
949.880
16.50827.38327.38041.657
198.6583.379
52.692136.242
186.140S4.2d5
34 .'4 1030.60421.030
962.441
59.95276.32416.987
242.87169.92494.31547.75851.91124.76165.71874.020
1974
847.340
23.27942.85920.653
7.30530.350
9.91740.000
128.398
254.114850.610
28.12288.21311.055
B6I.121
59.33852.65217.139
236.93057.06279.38546.61943.517
.16.4A245.04264.931
1975
872.329
18.11552.76525.814
2.4512.0009.484
60.000202.940
240.79653. 417
22.70U69.9647.075
858.084
60.37951.24714.410
199.26053.48676.03855.27461.48719.71250.04971.688
1976
995.039
6.68051.64026.050
5.0001.600
126.54030.000
250.000
129.75420.814
29.600170. OUO
2.271
1.019.256
61.58771.09613.946
256v61252.95099.32763.27973.44021.75350.60982.765
I
Uni tí : tonne
Source : Food and Agriculture Organisation Í171/I77).
8 - Planche 4
Production mondiale 1972-1976 d'huile d'arachirir»
Production mondiale
donc :
-U.S.A.Argentine
' BrésilNigerNigeria
.SénégalAfrique du Sud
^Soudan.Chine P.R.,Ináe
FrataceItalieSuisie
1972
2.958
12062
1312492
2146144
3981.354
684324
iy73
2.501
126907934
1401675653
377949
843324
1974
2.508
8867442161
1484]45
4071.131
1142922
1975
2.565
10750462729
1927244
4211.116
1023717
1976
3.111
22152811343
2585088
4241.409
903718
Unité : I.OOO tonnes
Source : nil World T.nformation .Service for StatisticalAnalysis of the World Market of Oil Seeds, OilHeals, Vegetable, Animal, and "arine Oils and Fat».lEta-"ielIce and C*, 2100 Hambourg 90 - FOB 100803R.F. A.
Exportations totales
dont :
GambiaNigerNigeriaSénégalAfrique du SudU.S.A.ArgentineBrésilChineFrance
Importations totalesdonc :
Hong-KongBelgiqueFranceR.F. A.ItaliePays-BasRoyaume-Uni
1970
429.568
15.9977.871
90.292146.06513.91914.52842.56731.902
7.00020.364
430.836
12.26221.404
142.64852.2778.2359.350
95.778
1971
359.817 ;
i
14.25710.43643.01271.91416.82138.57244.39157.62411.00013.860
386.671
14.75528.502
123.95654.651
8. 18210.53"-67.766
CoEiserce mondial de l'huile ¿
(1970-1976)
1972
524.611
14.09321.55039.665
229.98510.26027.53235.83877.29414.00012.428
520.271
15.51232.926
205.92371.53515.087
' 9.48560.787
¡
1973
500.737
16.89221.302
110.79677.264
9.30647.02878.73844.42511.00017.698
534.077
16.22132.020
167.30366.27226.138r.0.P3fi74.836
1974
371.873
17.5825.353
23.496104.75411.80020.94968.85231.60514.00014.816
390.842
12.47422.579
142.59451.23535.07015.5:636.293
'arachide
1975
396.657 ,
1
1
13.2746.219
274196.65314.60013.249
-
37.58211.00043.914
420.016
15.72220.899
180.38238.12923.528
0.21728.834
1
1976
537. 5t:
18.251.2C
-
233. 8C
7. oc:
47.9'.:44.7;i94.12)15. oc:
i6.o::¡
513.52)
20.85;30,6;
217. 75j36.63f21.9:!
p ifi
19.95;1
Source : Food and Agriculture Organisation. (171, 177).
8 - Planche 4
Production mondiale 1972-1976 d'huile d'arachirir»
Production mondiale
donc :
-U.S.A.Argentine
' BrésilNigerNigeria
.SénégalAfrique du Sud
^Soudan.Chine P.R.,Ináe
FrataceItalieSuisie
1972
2.958
12062
1312492
2146144
3981.354
684324
iy73
2.501
126907934
1401675653
377949
843324
1974
2.508
8867442161
1484]45
4071.131
1142922
1975
2.565
10750462729
1927244
4211.116
1023717
1976
3.111
22152811343
2585088
4241.409
903718
Unité : I.OOO tonnes
Source : nil World T.nformation .Service for StatisticalAnalysis of the World Market of Oil Seeds, OilHeals, Vegetable, Animal, and "arine Oils and Fat».lEta-"ielIce and C*, 2100 Hambourg 90 - FOB 100803R.F. A.
Exportations totales
dont :
GambiaNigerNigeriaSénégalAfrique du SudU.S.A.ArgentineBrésilChineFrance
Importations totalesdonc :
Hong-KongBelgiqueFranceR.F. A.ItaliePays-BasRoyaume-Uni
1970
429.568
15.9977.871
90.292146.06513.91914.52842.56731.902
7.00020.364
430.836
12.26221.404
142.64852.2778.2359.350
95.778
1971
359.817 ;
i
14.25710.43643.01271.91416.82138.57244.39157.62411.00013.860
386.671
14.75528.502
123.95654.651
8. 18210.53"-67.766
CoEiserce mondial de l'huile ¿
(1970-1976)
1972
524.611
14.09321.55039.665
229.98510.26027.53235.83877.29414.00012.428
520.271
15.51232.926
205.92371.53515.087
' 9.48560.787
¡
1973
500.737
16.89221.302
110.79677.264
9.30647.02878.73844.42511.00017.698
534.077
16.22132.020
167.30366.27226.138r.0.P3fi74.836
1974
371.873
17.5825.353
23.496104.75411.80020.94968.85231.60514.00014.816
390.842
12.47422.579
142.59451.23535.07015.5:636.293
'arachide
1975
396.657 ,
1
1
13.2746.219
274196.65314.60013.249
-
37.58211.00043.914
420.016
15.72220.899
180.38238.12923.528
0.21728.834
1
1976
537. 5t:
18.251.2C
-
233. 8C
7. oc:
47.9'.:44.7;i94.12)15. oc:
i6.o::¡
513.52)
20.85;30,6;
217. 75j36.63f21.9:!
p ifi
19.95;1
Source : Food and Agriculture Organisation. (171, 177).
- 9 -
III - LE CACAO
III. 1 - Le traitement du cacao
III. 1.1 - Les principales étapes du traitement
Elles sont représentées sur la planche 5.
III. 1.2 - Les besoins 'énergétiques du séchage des fèves.
Le séchage à l'air libre est encore très pratiqué. Cependant,les taux d'humidité résiduelle après séchage sont très fréquemment supérieursà l'optimum (6 à 7 %) .
Dans les régions de plantation tres denses telles que laCôte d'Ivoire, on se dirige vers un traitement centralisé en usine, par séchoirsindustriels fonctionnant au fuel (1500 k cal. /kg d'eau évacuée, soit environ125 1 de fuel/tonne de fèves pour un taux d'humidité au départ de 60 %) .
III . 1.3- La valorisation des déchets
La cabosse de cacao, composée à 80 % d'eau, n'offre que detrès médiocres perspectives de valorisation.
Dans les beurreries ou chocolateries, les coques, quireprésentent 10 % du poids des fèves sèches sont brûlées en chaudière. Leurpouvoir calorique est de 400 leal. /kg.
III. 2 - Le marché du cacao .i -
Les principaux pays producteurs de cacao sont les suivants(voir planche 6) :
Mexique. Guatemala. Costa Rica. Cuba. Jamaïque. Haïti.République Dominicaine. Trinité. Colombie. Equateur. Pérou, Brésil.
Sierra Leone. Côte d'Ivoire. Ghana. Togo. Cameroun.Gabon. Congo. Zaïre.
On trouvera sur la planche 7 les données relatives â laproduction mondiale et pays par pays.
III. 3 - Conclusion
La tendance est à l'industrialisation du traitement ducacao par l'emploi de séchoirs au fuel ,consommateurs importants d'énergie.
Or les perspectives de valorisation énergétique des déchets
- 9 -
III - LE CACAO
III. 1 - Le traitement du cacao
III. 1.1 - Les principales étapes du traitement
Elles sont représentées sur la planche 5.
III. 1.2 - Les besoins 'énergétiques du séchage des fèves.
Le séchage à l'air libre est encore très pratiqué. Cependant,les taux d'humidité résiduelle après séchage sont très fréquemment supérieursà l'optimum (6 à 7 %) .
Dans les régions de plantation tres denses telles que laCôte d'Ivoire, on se dirige vers un traitement centralisé en usine, par séchoirsindustriels fonctionnant au fuel (1500 k cal. /kg d'eau évacuée, soit environ125 1 de fuel/tonne de fèves pour un taux d'humidité au départ de 60 %) .
III . 1.3- La valorisation des déchets
La cabosse de cacao, composée à 80 % d'eau, n'offre que detrès médiocres perspectives de valorisation.
Dans les beurreries ou chocolateries, les coques, quireprésentent 10 % du poids des fèves sèches sont brûlées en chaudière. Leurpouvoir calorique est de 400 leal. /kg.
III. 2 - Le marché du cacao .i -
Les principaux pays producteurs de cacao sont les suivants(voir planche 6) :
Mexique. Guatemala. Costa Rica. Cuba. Jamaïque. Haïti.République Dominicaine. Trinité. Colombie. Equateur. Pérou, Brésil.
Sierra Leone. Côte d'Ivoire. Ghana. Togo. Cameroun.Gabon. Congo. Zaïre.
On trouvera sur la planche 7 les données relatives â laproduction mondiale et pays par pays.
III. 3 - Conclusion
La tendance est à l'industrialisation du traitement ducacao par l'emploi de séchoirs au fuel ,consommateurs importants d'énergie.
Or les perspectives de valorisation énergétique des déchets
- 10
d'écabossage sont quasi nulles. Quant aux coques de fèves, elles sont déjàtotalement valorisées par ailleurs.
C'est pourquoi ont peut penser que l'application de lagéothermie au traitement du cacao est envisageable à priori.
Planche 5
Schéma de traitement du cacaoCabosse de cacao (400 g)
naturel artificiel (fuel) r
Prah
Fèves ( 100 g)
Fermentation
Séchage
. Conditonnement
Fèves
Cabosses vide (300 g)'80 % d'humidité
- 10
d'écabossage sont quasi nulles. Quant aux coques de fèves, elles sont déjàtotalement valorisées par ailleurs.
C'est pourquoi ont peut penser que l'application de lagéothermie au traitement du cacao est envisageable à priori.
Planche 5
Schéma de traitement du cacaoCabosse de cacao (400 g)
naturel artificiel (fuel) r
Prah
Fèves ( 100 g)
Fermentation
Séchage
. Conditonnement
Fèves
Cabosses vide (300 g)'80 % d'humidité
*« V -
r .? . . . . .« I » . M M
SIUM-lMOtÉ*!' > * " * . . " h i 0 A '• » I n w i » * * " " T in* ;»« i
¿ONES PRODUCTRICES
DE CACAO
1 • \
1 \1
\ '
•
t •
• v. .
".1-
• ' m
•'S r -rSuDoul.t J, _ . . , , , * / I '
fD
- 12 -
Planche 7
PRODUCTION MONDIALE DU CACAO
AFRIQXJE !
Ghui& Nigeria *
Cameroun
Togo Divers , T...
CQgtfl-Rica Divert
Total Amérique
INDES OCCIDENTAT.KS :
Total L O
ASm et OCÉANIE
En tannes
ml
18835
209800
9 945
10211 279
12 94321 089
9 B72
206 405
50 029
3 99311 462
6 58622 041
S 451
86 800
JBOt
19 9461388
32 4472 2C7
28 56084
73448 429
32 95032 11916 803
3407 410
89 128
19 00521 370
9 097
49 472
5 468
192 497
£n militer] de tonnes
JSlt
6710
134
1721
105
423820
17
108
1927
8
54
7274
JitO
12718
144
2031
178
574718
28
132
2328
8
59
6
375
JÍ30
223502010
814
85
338
631416
669
114
262710
63
g
524
IféO
237101422313
533
427
1291417
» 668
180
208
10
38
9
654
19Í0
262110604815
856
514
131231718
413
201
278
11
46
7
788
1SS8-iteo
£n minten de tonnet(1 Oie kç)
1904-JStl
270 557125 29460 145il '°
8 ;Il "
666
1703015.13
931
268
3496
49
18
901
116
1485
Ittt-J9tt
41018211178
laet-JP57
37626314784
Ittt
41523514490
Non pmiu«15
171
16
173
18
141
1209
Non publiéÎS3«I 1340
lonpaet
lies-1989
334187142101
J9t»'1970
380205160108
20
163
22
171
1 aSOJ 1 330
- 12 -
Planche 7
PRODUCTION MONDIALE DU CACAO
AFRIQXJE !
Ghui& Nigeria *
Cameroun
Togo Divers , T...
CQgtfl-Rica Divert
Total Amérique
INDES OCCIDENTAT.KS :
Total L O
ASm et OCÉANIE
En tannes
ml
18835
209800
9 945
10211 279
12 94321 089
9 B72
206 405
50 029
3 99311 462
6 58622 041
S 451
86 800
JBOt
19 9461388
32 4472 2C7
28 56084
73448 429
32 95032 11916 803
3407 410
89 128
19 00521 370
9 097
49 472
5 468
192 497
£n militer] de tonnes
JSlt
6710
134
1721
105
423820
17
108
1927
8
54
7274
JitO
12718
144
2031
178
574718
28
132
2328
8
59
6
375
JÍ30
223502010
814
85
338
631416
669
114
262710
63
g
524
IféO
237101422313
533
427
1291417
» 668
180
208
10
38
9
654
19Í0
262110604815
856
514
131231718
413
201
278
11
46
7
788
1SS8-iteo
£n minten de tonnet(1 Oie kç)
1904-JStl
270 557125 29460 145il '°
8 ;Il "
666
1703015.13
931
268
3496
49
18
901
116
1485
Ittt-J9tt
41018211178
laet-JP57
37626314784
Ittt
41523514490
Non pmiu«15
171
16
173
18
141
1209
Non publiéÎS3«I 1340
lonpaet
lies-1989
334187142101
J9t»'1970
380205160108
20
163
22
171
1 aSOJ 1 330
- 13 -
IV - LE RIZ
IV. 1 - Le traitement du riz
Le traitement que doit subir le riz immédiatement après sarécolte est le séchage, qui permet d'assurer sa conservation ultérieure. Onconsidère qu'un bon séchage doit amener le grain à environ 12 à 14 % d'humidité.Le séchage peut être conduit selon trois voies :
le séchage naturel ;le séchage artificiel à l'air ambiant ;le séchage artificiel par voie thermique.
./
C'est cette dernière voie qui sera étudiée ici, puisque laseule susceptible à priori d'intéresser la géothermie.
IV. 1.1 - Le séchage en vrac
Il est réalisé soit par des séchoirs sans brassage de grainsdont la capacité de séchage est de l'ordre de 25 tonnes/24h, soit par des séchoirsavec brassage de grains ayant des capacités de l'ordre de 60 tonnes/24h.
Les températures de séchage varient de 50''C .pour les séchoirssans brassage à 80°C pour les séchoirs avec brassage. Toutefois, une températurede séchage de 40''C est considérée comme optimale pour les semences.
IV. 1.2 - Le séchage en sacs
Ce procédé est utilisé essentiellement pour les semences. Laquantité d'énergie pour abaisser le taux d'humidité d'une tonne de riz de 25 %
.à 14 % est de 75 thermies.
IV. 2 - Lé marché du riz
Les pays producteurs de riz sont localisés sur la carte dela planche 8. Les planches: 9 et 9bis fournissent pour la plupart des paysrizicoles, une évaluation de la production de riz. On peut noter que pourl'année 1981 :
- Deux pays d'Extrême Orient, la Chine continentale enpremier lieu et l'Inde en second lieu, fournissaient à eux deux la moitiédu riz produit dans le monde (33,8 % et 21,6 %, soit 55,4 % au total) ;
- Cinq autres pays d'Asie : Japon, Pakistan, Indonésie,Thaïlande et Birmanie fournissaient respectivement 4,6 % ; 5,8 % ; 6 % ; 3,7 %
et 2,8 % ; soit ensemble 22,9 % de la production mondiale ;
- 13 -
IV - LE RIZ
IV. 1 - Le traitement du riz
Le traitement que doit subir le riz immédiatement après sarécolte est le séchage, qui permet d'assurer sa conservation ultérieure. Onconsidère qu'un bon séchage doit amener le grain à environ 12 à 14 % d'humidité.Le séchage peut être conduit selon trois voies :
le séchage naturel ;le séchage artificiel à l'air ambiant ;le séchage artificiel par voie thermique.
./
C'est cette dernière voie qui sera étudiée ici, puisque laseule susceptible à priori d'intéresser la géothermie.
IV. 1.1 - Le séchage en vrac
Il est réalisé soit par des séchoirs sans brassage de grainsdont la capacité de séchage est de l'ordre de 25 tonnes/24h, soit par des séchoirsavec brassage de grains ayant des capacités de l'ordre de 60 tonnes/24h.
Les températures de séchage varient de 50''C .pour les séchoirssans brassage à 80°C pour les séchoirs avec brassage. Toutefois, une températurede séchage de 40''C est considérée comme optimale pour les semences.
IV. 1.2 - Le séchage en sacs
Ce procédé est utilisé essentiellement pour les semences. Laquantité d'énergie pour abaisser le taux d'humidité d'une tonne de riz de 25 %
.à 14 % est de 75 thermies.
IV. 2 - Lé marché du riz
Les pays producteurs de riz sont localisés sur la carte dela planche 8. Les planches: 9 et 9bis fournissent pour la plupart des paysrizicoles, une évaluation de la production de riz. On peut noter que pourl'année 1981 :
- Deux pays d'Extrême Orient, la Chine continentale enpremier lieu et l'Inde en second lieu, fournissaient à eux deux la moitiédu riz produit dans le monde (33,8 % et 21,6 %, soit 55,4 % au total) ;
- Cinq autres pays d'Asie : Japon, Pakistan, Indonésie,Thaïlande et Birmanie fournissaient respectivement 4,6 % ; 5,8 % ; 6 % ; 3,7 %
et 2,8 % ; soit ensemble 22,9 % de la production mondiale ;
- 14 -
planche 8
RIZ Ory\a sativa LINNÉ, Ory\a glaberrima STRUDEL RICIN T A I R E
LES CULTURES VIVRIÊRES * PAR J.J. HEMARDINQUER. M . KEUL^W.G^L. RANPLES * CENTRE PE RECHERCHES HISTORIQUES ETJLABORATOIRE DE CARTOGRAPHIE DE L'ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES * PARIS
^ - • / - W / 5
v /o-ysr
Sen« de la diffusion
Culture abandonnée
12 7 ; Date hypothétique
(12) I Identl fita lion incertaine de la plante
Date de domestication ou d'inirodunion inconnue
r constatée entre 1200 et 1299 mai
| —2<Vp"-19 " ' ' -18 " ! ' -l
Ditefiion oí spread -—•»
Abandoned culnvaiion •
d"c J?"?lamí Mica non of plane uncertain (12)
le of dorn« lira lion or oí introduction u n k n o w n • + i
Cultivation observed briwrcn 1200 and 1299 but o U n 1 12
Millénaire. 1/2 Mill.
A n n e « Sied« 2U0Í_ • • ' " - 1 W Q •"'"-'¡M «v"l70D w ' - W Q i
— ^ - ^ X -* ( „ ^ ^ _- ^ 5/in I ' ID/IS *H0/28 15x20 ~~~ " 1"i i i* < .*>"!. - I - i ' i ' l - W - 1 M l * ' ' V * ' ' 1 3 " ! • 14" M S " " ~ M S " JTf" ^Tf=— • ij -
¿—A3C •''' ¿2P ' • ' . . . POO . . ' ' . . . 9H0 ' ]' O j'p...'....! J.?P...' ' ! . . 1?0n • ' ' ; 1300 •'•• U P O »v ISOO »vi 160D ' • • ' I70D ' v ^ ! M >•• ! ' 3 O j_J
Ç tft*r Frul^ur i)n HiMin tiwln - TAM-li • I***
iï'i de »il il ti ót T U cuHivttt luiourd'hui mpp>2 deux e*pccEl- I Or> za tiafíerrtma. purrmci
demiliec >» XIX- i,(ck. ti tur le N-prr move]ctupml encore > l ' u n « *i Frui(»ii Son mtn
duciion en Guyane CI peut être en Amérique centrale fau toui-npect» matea citemps úc la traite ?> n'eït tr^nalce qu'i uire dnehempk irci fuiee par les Indonesienmodeste d'êchanpes alro-tmericain«. Sur la côte d'Aftn^ut Euror>eeni et lei AmcncAimm ê m e . O rtaPerrtma a recule Oevani : O l a m o on- du m blanchi r\ 11 concurielin »ut it l'Ane du Sud-En- Crue npece (lubdinitC es par excellence lu ctreak ni : du Sud) priori
aulani de p ruble
bsente irrnealaiie de lrnpcce.zjiion IE-M de l'Inde. Indochine D U
de la culture w h e ou iquauqUC.d
The Ihousiïid! o( vanetiti u( rice Brown roda, bttoniiw» »pec.« I O n a . M m » « , a purclr V,e.l Air.c
. prob*l>ly d o m e u m u d m Sine.imhij ind alon» U11 ïN l d m l arti m !he ?Middle Niiier li the lo
m the lauer une
n u iduring the pt'iod of the slave through the agernrv oí Indonttiaiu. Arabs. Europcuii.» 1 It a >Er> modííl c l a m p * of Afro- A mirions In spue of i'l dclicienciei »hen hmledti O n tne A (r lean CDÍSI CI lia/irrrimn pohihtd an i de spin Ihe (rowinp comptliimn ol •
Itlii ipcciti iiuhd»ided into I he sun- Ihis rcsico. the Japanese hi-t carried I» culTlvatitH»ponitnl «il becomt »eri widespread Id the W l h paraUtl Ion Ihe A m u r ) The orifins nl
heat. India. IndiKhina ci & m m Chin:h of »ai F '«n hiloir »et tice ot Uw
Mlllralum. M MlDitirij
Y e a n , CrntumP e n «
the vmeakfrv r>l U1
11 dorrmttcaied 1 f Hier. and »heihcr •)••• nce > e m . ire ill pioblcm
- 15 -
- Sur les 21,7 % restant, le Brésil et les USA fournissaientrespectivement 2,1 % et 1,2 %, soit ensemble, 3, 3 % de la production mondiale ;
Le reliquat de la production provient essentiellement de l'Asie(12,6 %), puis de l'Afrique (2,5 %) , de l'Amérique du Sud, Brésil exclu (0.86 %) de.l'Europe (0,6%) ; de l'Amérique du Nord USA exclus (0,49%) et enfin de l'Océanie
Bien que ces chiffres soient relativement anciens, on peut considé¬rer en première approximation que cette répartition de la production entre lesdifférents pays n'a pas fondamentalement changé de puis 1971.
Quant aux données relatives au commerce extérieur, elles sontréparties dans les tableaux des planches 10, 10 bis et 10 ter.
IV. 3 - Conclusion
Le riz représente un marché important. Il nécessite untraitement consommateur d'énergie dont les niveaux de température, sont ceuxde la géothermie basse énergie. Par ailleurs, cette consommation d'énergie vacroissante dans la mesure où la tendance est à l'abandon des procédés de séchagenaturel au profit des procédés artificiels, qui permettent une meilleurequalité et une meilleure conservation du produit tout en réduisant considéra¬blement les pertes liées aux intempéries. Enfin, bon nombre des pays producteursbénéficient de ressources géothermales, telles l'Indonésie, les Philippines, _;.la Thaïlande, le Kenya, le Salvador, les Antilles, etc.. Tous ces élémentspermettent de conclure que ce produit est l'un des principaux qui soit susceptiblede présenter un intérêt particulier pour une application diversifiée de lagéothermie. La réalisation d'un projet pilote a d'ailleurs été proposée àl'Indonésie en 1981 par le BRGM. .
- 15 -
- Sur les 21,7 % restant, le Brésil et les USA fournissaientrespectivement 2,1 % et 1,2 %, soit ensemble, 3, 3 % de la production mondiale ;
Le reliquat de la production provient essentiellement de l'Asie(12,6 %), puis de l'Afrique (2,5 %) , de l'Amérique du Sud, Brésil exclu (0.86 %) de.l'Europe (0,6%) ; de l'Amérique du Nord USA exclus (0,49%) et enfin de l'Océanie
Bien que ces chiffres soient relativement anciens, on peut considé¬rer en première approximation que cette répartition de la production entre lesdifférents pays n'a pas fondamentalement changé de puis 1971.
Quant aux données relatives au commerce extérieur, elles sontréparties dans les tableaux des planches 10, 10 bis et 10 ter.
IV. 3 - Conclusion
Le riz représente un marché important. Il nécessite untraitement consommateur d'énergie dont les niveaux de température, sont ceuxde la géothermie basse énergie. Par ailleurs, cette consommation d'énergie vacroissante dans la mesure où la tendance est à l'abandon des procédés de séchagenaturel au profit des procédés artificiels, qui permettent une meilleurequalité et une meilleure conservation du produit tout en réduisant considéra¬blement les pertes liées aux intempéries. Enfin, bon nombre des pays producteursbénéficient de ressources géothermales, telles l'Indonésie, les Philippines, _;.la Thaïlande, le Kenya, le Salvador, les Antilles, etc.. Tous ces élémentspermettent de conclure que ce produit est l'un des principaux qui soit susceptiblede présenter un intérêt particulier pour une application diversifiée de lagéothermie. La réalisation d'un projet pilote a d'ailleurs été proposée àl'Indonésie en 1981 par le BRGM. .
- 16 Planche 9
PRODUCTION DE RIZ DANS LE MONDE
World area ami production ofpaddy
Country
A9AAfghanisuaBniTKÎBurmaCryionHoR| KongIndiaIndoKstaIraaIraqJapao
Khmer RepublicKorea DPRKorea RepublicLaosMalaysia
SabahSarawakWest Malaysia
NepalPaKistaoPhilippinesPon TimorRyu Kyj IslandsSaudi ArabiaSyna ARTaiwanThailandTurkeyVietnam DRVietnam Republic
Total
AiU China People's Republic
AniCAAlgeriaAngolaBurundiCameronCentral Arrican RepublicChadComoro IslandsCongoDahomeyEgyptGabonGambiaGhanaGuineaIvory CoastKenyaLiberiaMadagascarMalawiMaliMauritiusMoroccoMozambique.NigerNigenaPon Guinea
Areat thousur,^ ha 1
1961-65aterate
2M3
4.741495
1035.5677.036
M297
3J75
2.3 »4723
1.169728
36114
3S21.10110.242IJ47
S
61
1
7736.394
562.3412.472
I3.70«
30.180
.
211
II5
25S
S
2
348
2634
258249
4
214863
5178
5
629
22066
1971
2004
4.979611
7
3S.SU0
8.466380
732.695
1.880700*
1.200665
45130
5201.200
11.2503,159
941
1
9856,730
652.4002.511
89.669
3J.500*
2
224
20!433943
483
3255
300390
6
190
951
8171
_
1
8516
30030
productionJ thousand metrte tonti
faddy -
1961-65average
3434
7.786948
19
52.67012.393
851
13816.424
2.461
2.4634,809
609
77
107
9572.145
16.8593.957
14
203
1
2.83811.267 .
2224.6005.029
150.014
83.200
7
273
10
3
27104
1
1.8451
3335
318:;o
13
161
1.5635
173
2094II
348108
tsttmated
1971
3008
8.4131.616
13
66.500.18,585
1.100207
14.139
2.7322.7UO'5.500
900
98155
1,5332.300
18.0005.437
15
14
3
1
3.36513J70
241
4.6005.716
177.560
104.000
5
34
122214
3312
3
10
2.6231
6070
400310
28
153
1.9019
1501
45160
«0550
35
rice équivalent
1961-65average
2263
5.762645
12
35.1318.427
56291
11.497
1.6491.773*3.462
365
4870
6221.416
11.2452.564
9
13
2
1
1.9877.076
IJ32.9903.269
101.050
55.744
5
¡92
, 7
318
77
1
U301
2323
213. 143
8
106
1.0003
117
13
627
21971
1971
198
5
6J261.099
9
44.35512.538
726137
9,897
1,8301.944"3,960
540
61
101
9961.518
12.0063.523
10
921
2.3568.234
1452.9903.715
119.331
69.6K0
4
247
15
9
238
25
1.753' 1
4247
268201
19
101
IJ166
1021
28'10626
34623
Yield of paddynOOkgperkal
1961-65average
160ISO16-4
19-1
18-914-8
17629114-250-2
10-83414M8'4
21-59-4
25019-516-5
12617-2
30-824 921-736-717639-619-7
:U'5
17-9
27-6
39-2I2'626-4
9-38-9
no131704-5
53124-812-8
10-3
1218-9
3067-5
18-5
1009-7
20040815011-9
15816-3
1971
15022-416-926-420-017-1
22028-928-452-5
14-5
38-6'45 8
135
21 8
11-9
29-519-216 017-217-2
33-623-621-934-319-7
36-819-7
22-8
19-8
300'
26-515 5
32-4no10-310013 3
9-433-354-4171I8'812-7
13-310-7
Í0-5Sl
20 010-88-8
58-756-3I8'825018 311-7
'Estimate
- 16 Planche 9
PRODUCTION DE RIZ DANS LE MONDE
World area ami production ofpaddy
Country
A9AAfghanisuaBniTKÎBurmaCryionHoR| KongIndiaIndoKstaIraaIraqJapao
Khmer RepublicKorea DPRKorea RepublicLaosMalaysia
SabahSarawakWest Malaysia
NepalPaKistaoPhilippinesPon TimorRyu Kyj IslandsSaudi ArabiaSyna ARTaiwanThailandTurkeyVietnam DRVietnam Republic
Total
AiU China People's Republic
AniCAAlgeriaAngolaBurundiCameronCentral Arrican RepublicChadComoro IslandsCongoDahomeyEgyptGabonGambiaGhanaGuineaIvory CoastKenyaLiberiaMadagascarMalawiMaliMauritiusMoroccoMozambique.NigerNigenaPon Guinea
Areat thousur,^ ha 1
1961-65aterate
2M3
4.741495
1035.5677.036
M297
3J75
2.3 »4723
1.169728
36114
3S21.10110.242IJ47
S
61
1
7736.394
562.3412.472
I3.70«
30.180
.
211
II5
25S
S
2
348
2634
258249
4
214863
5178
5
629
22066
1971
2004
4.979611
7
3S.SU0
8.466380
732.695
1.880700*
1.200665
45130
5201.200
11.2503,159
941
1
9856,730
652.4002.511
89.669
3J.500*
2
224
20!433943
483
3255
300390
6
190
951
8171
_
1
8516
30030
productionJ thousand metrte tonti
faddy -
1961-65average
3434
7.786948
19
52.67012.393
851
13816.424
2.461
2.4634,809
609
77
107
9572.145
16.8593.957
14
203
1
2.83811.267 .
2224.6005.029
150.014
83.200
7
273
10
3
27104
1
1.8451
3335
318:;o
13
161
1.5635
173
2094II
348108
tsttmated
1971
3008
8.4131.616
13
66.500.18,585
1.100207
14.139
2.7322.7UO'5.500
900
98155
1,5332.300
18.0005.437
15
14
3
1
3.36513J70
241
4.6005.716
177.560
104.000
5
34
122214
3312
3
10
2.6231
6070
400310
28
153
1.9019
1501
45160
«0550
35
rice équivalent
1961-65average
2263
5.762645
12
35.1318.427
56291
11.497
1.6491.773*3.462
365
4870
6221.416
11.2452.564
9
13
2
1
1.9877.076
IJ32.9903.269
101.050
55.744
5
¡92
, 7
318
77
1
U301
2323
213. 143
8
106
1.0003
117
13
627
21971
1971
198
5
6J261.099
9
44.35512.538
726137
9,897
1,8301.944"3,960
540
61
101
9961.518
12.0063.523
10
921
2.3568.234
1452.9903.715
119.331
69.6K0
4
247
15
9
238
25
1.753' 1
4247
268201
19
101
IJ166
1021
28'10626
34623
Yield of paddynOOkgperkal
1961-65average
160ISO16-4
19-1
18-914-8
17629114-250-2
10-83414M8'4
21-59-4
25019-516-5
12617-2
30-824 921-736-717639-619-7
:U'5
17-9
27-6
39-2I2'626-4
9-38-9
no131704-5
53124-812-8
10-3
1218-9
3067-5
18-5
1009-7
20040815011-9
15816-3
1971
15022-416-926-420-017-1
22028-928-452-5
14-5
38-6'45 8
135
21 8
11-9
29-519-216 017-217-2
33-623-621-934-319-7
36-819-7
22-8
19-8
300'
26-515 5
32-4no10-310013 3
9-433-354-4171I8'812-7
13-310-7
Í0-5Sl
20 010-88-8
58-756-3I8'825018 311-7
'Estimate
- 17 -Planche 9 bis
Country
RhodcsiiRwandaSencfilSierra LeoneSouth ATricaSudiDSwazilandTanzaniaTogoUgandaUpper VolUZaire
TotJ
.NORTH AND CEKT1UU. AMEKICADhtish HondurasCos'.a RicaCubaDomiDJc RepublicEl SalvadorGuaiemaiaHam -HondurasJamaki.MntKONicaraguaPanamaPueno RicoTnnidad and TobagoLSA
Total
SOUTH AMEXICAArgentinaBolivtaBrazilChileColombiaEcuadorGuyanaParaguayPeruSurinamUruguayVenezuela
Area(lAüi.saJuíha)
I96I~65a'reroge
2
76273
1
1
2.* 74
23^
47102
3.173
252
11663II10
3514
3
139
23111
46
705
1.294
55
293.809
31
290106108
8SO
292)79
1971
3
1
120320
63
15326
<
41
135
3.853
2
501808212
12
3419
215043
100
6734
1.426
7750
4.70027
23980
117
231403631
130
productionflhousand
faddy
1961-65average
2
100336
21
6
11619
53469
5.724
1
72172
131
2617
39244
30534
1222
10
3.084
4.043
193
436.123
85576173
23919
324S3
67136
metric tons}
B estimated rice equivalent
1971
5
1
170450
7
6
185
226
37140
7.717
3
101
452210
4518
37
334
383.74135
10
3.820
5.325
28180
6.60067
780150
136
48600122
122240
1961-6!average
1
60215
1
47713
3
2239
3.738
1
451138617
II2614
3
2032273
1
6
2.159
2.780
122
294.164
5737495
155
12
216504495
1971
3
1
102288
I44
12214
42470
5.020
2
7329713930122420
3
2554981
62.674
3.665
181
544.488
45507
828830
4007379
168
Yield of paddy(100 kg,
1961-65hveruge
12-2;
13- 1
12-314-9
9-9;!3-5 .
15-7
8-123-8714-8
IIO
9-214' 1
I4'8:0'623-417111-2
16-516-521-914-510-95-8
17-1
43-7
31-2
35-414-716127-319-9
16-3
22-224-240-728832-317-1
per ha}
1971
17-016-2
14-214-1
11-724-01218-5809-0
10-4
200
18-1
20-325125-«37-515-9
IC817-8
16-1
25-517-313-5
16-7
520
37-3
37-316014024 6
32618811-620-942933-938-918-5
Total 5.650 8.061 5.413 6.195 17-4
El'aOfEAltvniaBLl^anarrance
GreeceHungaryItalyPonugalRomaniaSpainYugoslavia
Total
Add USSR
OCZANIAAustraliaFiji
Total
4
11
31
2219
121
3714
626
327
158
2213
35
5
17
21
2026
175392762
8
400
355
41
10
51
8
37120
8836
612167
40386
23
1.517
390
136
23
159
15
66
79100
55892164
70. 365
35
1.841
1,420
30018
318
5
24Sl5724
428117
26266
14
1,062
257
9015
105
1044
52
6536
624115
46252
21
1.259
937
192
18
210
21-432-639-2
40-518-7
5i)-845-529-1
62-2391
46-5
24'6
61-717-6
46-4
33-338-538-3
50020-951041825-758-948-7
460
400
73-8180 .
62 4
- 17 -Planche 9 bis
Country
RhodcsiiRwandaSencfilSierra LeoneSouth ATricaSudiDSwazilandTanzaniaTogoUgandaUpper VolUZaire
TotJ
.NORTH AND CEKT1UU. AMEKICADhtish HondurasCos'.a RicaCubaDomiDJc RepublicEl SalvadorGuaiemaiaHam -HondurasJamaki.MntKONicaraguaPanamaPueno RicoTnnidad and TobagoLSA
Total
SOUTH AMEXICAArgentinaBolivtaBrazilChileColombiaEcuadorGuyanaParaguayPeruSurinamUruguayVenezuela
Area(lAüi.saJuíha)
I96I~65a'reroge
2
76273
1
1
2.* 74
23^
47102
3.173
252
11663II10
3514
3
139
23111
46
705
1.294
55
293.809
31
290106108
8SO
292)79
1971
3
1
120320
63
15326
<
41
135
3.853
2
501808212
12
3419
215043
100
6734
1.426
7750
4.70027
23980
117
231403631
130
productionflhousand
faddy
1961-65average
2
100336
21
6
11619
53469
5.724
1
72172
131
2617
39244
30534
1222
10
3.084
4.043
193
436.123
85576173
23919
324S3
67136
metric tons}
B estimated rice equivalent
1971
5
1
170450
7
6
185
226
37140
7.717
3
101
452210
4518
37
334
383.74135
10
3.820
5.325
28180
6.60067
780150
136
48600122
122240
1961-6!average
1
60215
1
47713
3
2239
3.738
1
451138617
II2614
3
2032273
1
6
2.159
2.780
122
294.164
5737495
155
12
216504495
1971
3
1
102288
I44
12214
42470
5.020
2
7329713930122420
3
2554981
62.674
3.665
181
544.488
45507
828830
4007379
168
Yield of paddy(100 kg,
1961-65hveruge
12-2;
13- 1
12-314-9
9-9;!3-5 .
15-7
8-123-8714-8
IIO
9-214' 1
I4'8:0'623-417111-2
16-516-521-914-510-95-8
17-1
43-7
31-2
35-414-716127-319-9
16-3
22-224-240-728832-317-1
per ha}
1971
17-016-2
14-214-1
11-724-01218-5809-0
10-4
200
18-1
20-325125-«37-515-9
IC817-8
16-1
25-517-313-5
16-7
520
37-3
37-316014024 6
32618811-620-942933-938-918-5
Total 5.650 8.061 5.413 6.195 17-4
El'aOfEAltvniaBLl^anarrance
GreeceHungaryItalyPonugalRomaniaSpainYugoslavia
Total
Add USSR
OCZANIAAustraliaFiji
Total
4
11
31
2219
121
3714
626
327
158
2213
35
5
17
21
2026
175392762
8
400
355
41
10
51
8
37120
8836
612167
40386
23
1.517
390
136
23
159
15
66
79100
55892164
70. 365
35
1.841
1,420
30018
318
5
24Sl5724
428117
26266
14
1,062
257
9015
105
1044
52
6536
624115
46252
21
1.259
937
192
18
210
21-432-639-2
40-518-7
5i)-845-529-1
62-2391
46-5
24'6
61-717-6
46-4
33-338-538-3
50020-951041825-758-948-7
460
400
73-8180 .
62 4
- 18 -
COMMERCE EXTERIEUR
Planche 10
iRPOitrs - m
WOKL*
FKICII
CKIIEItoaNCkllllllCHONtCUIHE*ivoir coiiST¡.IlEXt*LIiYAll*»«C«SC*itimiittTiusKtCEKmtEUHtOHSCKECALStEtllK LEONESOUTH AFIICATAHZItHtllUrrEK VOLT*ZDItE
>l C aiicticii
IKHKAIIS:ilH*DIICUi*ioniHiCRH tr:u»»ELOurE1»ITIJ*II*IC»MEXICOIKIKIOAD TOt
SOUTH «HEKIC
SIII2ILCHILE'EKU
ASI*
9AHCAINlAHCLADESHCHIMAXOHC eONCIMDIAIMbOHEStAItAHI(*«tSKAELJAPANJOI»ANCOKE* CEPCUVAITlALATSIA
ÎAUDI AlAtlA3IHCAP0RESri LANKASYRIArUKCEYJ A EAIEATES«lETHAHrEHEN »CH
1 AOHTH
>0IITAT10
l7Stl
]>97
433»P
»
I3»F221
?»IO*F122231
1300F130FlOOF
0214
«»F2(
1»32
(F113SOI
333»F20.
137
37
3<
30FÍ»
723C
3«F174200F
itoo«
1lOOOF
700F93
3>t«213
200FU4S
(il703303
»»
200F100F73
1971
4 NONTH
NS - IHf
4(334
70I»
10l«»F
0
230F31312(.<29«F(373»3
3S00F300F2 7».
40
4(2200F
4(2»F
2073
ISF322
1030F114
5»F3».
233
m
123
10 OF
230
23J2(
l l»F174(0 0F
20372»0F
12441I300F
14 0F147333147
K400F
2103
1473137«
Ki(S(
««IOF130F240
> AOHTH
OITACION
(1933
1 1497
13«200FIIS.400Fi2(400F230F
12«t(21
3000F430F(00.
7023
300*3i32.
2772
20F477
1400r114
90F40.
330F0
231
220
130F70F
0
37343
IVOF171
1300F2(04
450r1(173
2(00.2100F
24(319112
1»(00F
3120
mo13311400Ft97
31(10F200F325
12II01TH J AOHTH
HUNItE» HT
ES
919(3
1(192
It*300F230.340
12(2(1033(
12327t3
3(31337
237i113
10334721«2322
3743
27il(
170(114132130.4SS
t273
((2
:i(1132(4
41921
30(119
1712F]43(
9 32li41(
4 0 00.
2900.310(22241
19(73
49t(
40411944lid1132
373137330F313
l»727
3710
13340F30F
liOF2((121100F31913(
1000.MO.200F200F3<t
30F(3
130.
1241
13.24 1
3(90
30f20.
100F90F
17;
1227
7923F
430.
7313
0
220200F»»l
27UOO.
(23.240
(1190
S
213312
579494300F273
0
ZOOF300FUO
1979
( AOHTH 9 HOHTH
- CENTAIHEt TH
44341
7190
227140F100F3(0F34 4
32 (2i3«700F443
2000.200F300F400F(17
iOF100FKi.
210i
2(.37(
UOOF0
30F33.
12(lAOF193
1(13
79320F
102.
23(34
IOF371(0 0F
lt392S0F
70732230.1730.' 343
13234 3
12321
1233
2010930
10332
127400F
1000F300F
(9743
12*73
109150F250F300F
ISit4A4400F
1400F(34
2200F400F
1300FÍOOF
1012I7(2 0 0F200F
2912
31.343
1300F0
100F92.
270F2T0F299
4074
311440F
920»
3(041
4 0F497(
iOOF2(7*
SOOF70733000F320*.
431141343439790
173(
2741-1342tSOOF
t2127
tOOOF1300F310
l2nOHTH 3 HOHTH
- CIEH TH
113253
1(320
4t3290F400.720
1977740351
1743724
2430.(14
2392*907
13(9254233.320*
3t3(
33.i9t
1(103
117170»2793373(4
1707
711114
1311
(1031
100(377.1200F3(11UOl
192204400.3200.
3*7130347
2414931
2391
34092143211(127722t
24702300.
727
22373
37tt
t04SOF30F
320F443171IOOF250F229900.I 00F200FIOOF403200F
70F90.
937
20.221230F
li30F70.50F
200Fri
1373
1 13123
400F
9149
30FioOFIOOF
107130F91
1 IOOF900.
7((3
1501103
125.37*
(75591400F14(
0200F33or
30F
191*
( HOHTH
53(71
(9*1
1*4I30FIOOF(40FI3i330F350F700F359
1000F200FSOOF200F(40400FISOF200F
1971
29.37150 0 F
2245»F
130.IOOF400F159
2*91
115290F50
32957
40F117>>
400F1910
(OF13902
2200F1750F
12*122310
43993S0F571
17431133
OOF300F
0(OOF9oorISOF
1 HOHTH
2431
12132
134200F2<0F
OOFI0^7
500F400F750F(71
3000F400F
ISOOF30OF990(OOF209F300F
3941
31«341
KOOF2241»0Flis.390F(OOF277
2902
11322S0F
1300F
47135
120F1500F
SOOF.
2443IOOF
199(73000F3200F
234133314
(30*OOF
115^
2>00F1(131200F
00.0
700FlOOOF
230F
12HaHTH
1127(3
11(29
207300F340.
12i0.2300.
(744S.
K 100
3>70>SU
27S3.411.
12(1900.290.400.
3412
34.922
2000.33014(2:3.320
303Sk
3399
2319300.
23 10*
59(75
3381Í70.1300F
. 3391191
20117470*.3450.
439131315
«995933F
2010
3SS(!«SSl(i31095.
571311127*.
271 .
I nOHTH
24t](
3944
tlOF(OF
OF400F
0200F150F210F234
1000F200F230FIOOF4S0F230F
OFIOOF
1317
14.210
. 300F445 '
30F20.30F
210FIOOF
1(33
1423IOF
200F
10773
(OF(OOF150F
100440F
11(712»0F
700F77
173120
1919ISOF30*.
I200F534400F220F
0250F400F
70 F
1911
( NOHTH
593**
917*
I2*FISOFISOF700F
0
400F2S0FtOOF490
2StOF3 00 F
1300F2S0F(SOFSOOFKOF230F
23(3
30 F
al3, 3 00 F
(OOF30F
, 50FIOOF400F190F
3442
2142IOOFSOOF
30007
IOOF(OOF3S0F
2000FtOOF
2(39.2300.2000F
200F<23300F
10A07500F700.
22S0FlOlt1000F
SOOF150F750F
1 IOOF2 00 F
- 18 -
COMMERCE EXTERIEUR
Planche 10
iRPOitrs - m
WOKL*
FKICII
CKIIEItoaNCkllllllCHONtCUIHE*ivoir coiiST¡.IlEXt*LIiYAll*»«C«SC*itimiittTiusKtCEKmtEUHtOHSCKECALStEtllK LEONESOUTH AFIICATAHZItHtllUrrEK VOLT*ZDItE
>l C aiicticii
IKHKAIIS:ilH*DIICUi*ioniHiCRH tr:u»»ELOurE1»ITIJ*II*IC»MEXICOIKIKIOAD TOt
SOUTH «HEKIC
SIII2ILCHILE'EKU
ASI*
9AHCAINlAHCLADESHCHIMAXOHC eONCIMDIAIMbOHEStAItAHI(*«tSKAELJAPANJOI»ANCOKE* CEPCUVAITlALATSIA
ÎAUDI AlAtlA3IHCAP0RESri LANKASYRIArUKCEYJ A EAIEATES«lETHAHrEHEN »CH
1 AOHTH
>0IITAT10
l7Stl
]>97
433»P
»
I3»F221
?»IO*F122231
1300F130FlOOF
0214
«»F2(
1»32
(F113SOI
333»F20.
137
37
3<
30FÍ»
723C
3«F174200F
itoo«
1lOOOF
700F93
3>t«213
200FU4S
(il703303
»»
200F100F73
1971
4 NONTH
NS - IHf
4(334
70I»
10l«»F
0
230F31312(.<29«F(373»3
3S00F300F2 7».
40
4(2200F
4(2»F
2073
ISF322
1030F114
5»F3».
233
m
123
10 OF
230
23J2(
l l»F174(0 0F
20372»0F
12441I300F
14 0F147333147
K400F
2103
1473137«
Ki(S(
««IOF130F240
> AOHTH
OITACION
(1933
1 1497
13«200FIIS.400Fi2(400F230F
12«t(21
3000F430F(00.
7023
300*3i32.
2772
20F477
1400r114
90F40.
330F0
231
220
130F70F
0
37343
IVOF171
1300F2(04
450r1(173
2(00.2100F
24(319112
1»(00F
3120
mo13311400Ft97
31(10F200F325
12II01TH J AOHTH
HUNItE» HT
ES
919(3
1(192
It*300F230.340
12(2(1033(
12327t3
3(31337
237i113
10334721«2322
3743
27il(
170(114132130.4SS
t273
((2
:i(1132(4
41921
30(119
1712F]43(
9 32li41(
4 0 00.
2900.310(22241
19(73
49t(
40411944lid1132
373137330F313
l»727
3710
13340F30F
liOF2((121100F31913(
1000.MO.200F200F3<t
30F(3
130.
1241
13.24 1
3(90
30f20.
100F90F
17;
1227
7923F
430.
7313
0
220200F»»l
27UOO.
(23.240
(1190
S
213312
579494300F273
0
ZOOF300FUO
1979
( AOHTH 9 HOHTH
- CENTAIHEt TH
44341
7190
227140F100F3(0F34 4
32 (2i3«700F443
2000.200F300F400F(17
iOF100FKi.
210i
2(.37(
UOOF0
30F33.
12(lAOF193
1(13
79320F
102.
23(34
IOF371(0 0F
lt392S0F
70732230.1730.' 343
13234 3
12321
1233
2010930
10332
127400F
1000F300F
(9743
12*73
109150F250F300F
ISit4A4400F
1400F(34
2200F400F
1300FÍOOF
1012I7(2 0 0F200F
2912
31.343
1300F0
100F92.
270F2T0F299
4074
311440F
920»
3(041
4 0F497(
iOOF2(7*
SOOF70733000F320*.
431141343439790
173(
2741-1342tSOOF
t2127
tOOOF1300F310
l2nOHTH 3 HOHTH
- CIEH TH
113253
1(320
4t3290F400.720
1977740351
1743724
2430.(14
2392*907
13(9254233.320*
3t3(
33.i9t
1(103
117170»2793373(4
1707
711114
1311
(1031
100(377.1200F3(11UOl
192204400.3200.
3*7130347
2414931
2391
34092143211(127722t
24702300.
727
22373
37tt
t04SOF30F
320F443171IOOF250F229900.I 00F200FIOOF403200F
70F90.
937
20.221230F
li30F70.50F
200Fri
1373
1 13123
400F
9149
30FioOFIOOF
107130F91
1 IOOF900.
7((3
1501103
125.37*
(75591400F14(
0200F33or
30F
191*
( HOHTH
53(71
(9*1
1*4I30FIOOF(40FI3i330F350F700F359
1000F200FSOOF200F(40400FISOF200F
1971
29.37150 0 F
2245»F
130.IOOF400F159
2*91
115290F50
32957
40F117>>
400F1910
(OF13902
2200F1750F
12*122310
43993S0F571
17431133
OOF300F
0(OOF9oorISOF
1 HOHTH
2431
12132
134200F2<0F
OOFI0^7
500F400F750F(71
3000F400F
ISOOF30OF990(OOF209F300F
3941
31«341
KOOF2241»0Flis.390F(OOF277
2902
11322S0F
1300F
47135
120F1500F
SOOF.
2443IOOF
199(73000F3200F
234133314
(30*OOF
115^
2>00F1(131200F
00.0
700FlOOOF
230F
12HaHTH
1127(3
11(29
207300F340.
12i0.2300.
(744S.
K 100
3>70>SU
27S3.411.
12(1900.290.400.
3412
34.922
2000.33014(2:3.320
303Sk
3399
2319300.
23 10*
59(75
3381Í70.1300F
. 3391191
20117470*.3450.
439131315
«995933F
2010
3SS(!«SSl(i31095.
571311127*.
271 .
I nOHTH
24t](
3944
tlOF(OF
OF400F
0200F150F210F234
1000F200F230FIOOF4S0F230F
OFIOOF
1317
14.210
. 300F445 '
30F20.30F
210FIOOF
1(33
1423IOF
200F
10773
(OF(OOF150F
100440F
11(712»0F
700F77
173120
1919ISOF30*.
I200F534400F220F
0250F400F
70 F
1911
( NOHTH
593**
917*
I2*FISOFISOF700F
0
400F2S0FtOOF490
2StOF3 00 F
1300F2S0F(SOFSOOFKOF230F
23(3
30 F
al3, 3 00 F
(OOF30F
, 50FIOOF400F190F
3442
2142IOOFSOOF
30007
IOOF(OOF3S0F
2000FtOOF
2(39.2300.2000F
200F<23300F
10A07500F700.
22S0FlOlt1000F
SOOF150F750F
1 IOOF2 00 F
- 19 -Planche 10 bis
COMMERCE EXTERIEUR
IHPOATS - H
EUtOPE
AUSTRIAELCIUN-LUXC2ECHUSLaVAI(OEHHARKF!KL«NOFDAHCECCRnAN OtUtiKHHt F2HUHIAtYITALYHETHL'tLAHCSHOtHArPCLAHI)rot TU CALlOHAKIASUEDEXSVIT2EtLAK9Ut
OCEAHIA
FU!PAPUA N CUI>
usst
OtVELOPEDH AHEtlCAV EUCOPEOTK r-EV FEP
OCVELCPIHCAFRICALAT ünERICAHEAF EASTmt EasT0T:< ov.piHC
CE.NTP PLAKHCAS ItH ceEUtCFE USSt
3 HOHTH
PORTATIO
4972
1123>(IOOF2142
9(3IOOFS3»101
9934(2
24201
tIOOF
47(9
(2(-
Ï5(
3(220*
4*F
3232193
4370(17
105172713
9531053349
23(1742
30014-2
1979
( nOHTH
HS - IRP
9324
233(33300F
4(100
1(79200F
10(0KO
:i2(737
43303
12 0 0F100119
1134
4*4
, 93109
1(*0F
9(0332213?
114233193
(3(71^7>332(
19220404
3735950
27IÎ
i .tOHTH
ORTACION
12912
33393(4S0F
71113
2223300F
153924(
23(01092
(15(11(4400F137lis
1739
70i
13^3 7*
3300F
13092477
109331((0
4990410422
25159711
234777og
(95717005257
12nOHTH I nOHTH
HUHDtE» NT
Í*
17310
4251259
(90UO135
2123434
194S300
30741449
77791431(22221237
2311
923
1(57(».
4139
1732(IK
143431 9(7
(5(0114121
33911337330^91
9259 0 3120(2(97(
3135
12(24(>I20F2tSS
(3120F43(
90(40320
2(93
4
ISOF(«
0413
199
27172«
1000F
411574 1
32.2(12
122(93229222(37922122
1992773
7001573
1979
( .lONTH
- CEHTA
7172
211(3300F
(0114
13*3240F711
941055
(7231
374152350F101129
12*3
423
(13(2*
ISOOF
791237(
(SIS1092
31902(29^3347
«11 29(4
4234457l((<02157
» nOHTH
IHES TM
11373
3(0972550F
3121
17373(0F
1197214
' 1322IOU
3757S3(0S* OF150173
1(32
(7*
1*0170.
2400F
11S9!543
9373K'4
S1JS310991
(443t310(20444
(70(19923004599
12nOHTH
- CIEH T
l(*iS
4(313498(0119127
24Í7441
159*217
17^5147g
(939
1192(702132S(
1921
940
170770'
(309
159I3>9a
13039202(423(
144001 l(i4I7((039373
94013033
37*0933S
3 HOHTH
N
3937
150377IOOF
28(0
(39IOOF407
271(24(3
19219472IOOF
3310243(
249
23223.
2940F
4135221
3391344
:449332i(2291349(31(2
2'i3937
4503497
19>0
( HOHTH
23*
24t9S(3* «F
57153
1359200F
32122731992
4042949(200F1171((42
521
2439.
300*F
24027»
(91093
«laio591 ;3(947^14
Î3J49521
SSSl30 0«251
> AOHTH
11512
3111277
(OOFS
KOiaa9
3S0F1199
1829(9
1424(3
4^7SOO400F173215
usa
t2t
107721.
4 00 0F
11392341
94931337
(334710742
(30912364332a4
12>75191500(019
!2naNTH
153(i
50(1757
730122178
252(444
1£1723(
12031929
1
93050170».237309
1337
1131
1389C0.
(944
15298922
12528182S4922
1(91999e9
l((2«4034:
113812334
23709984
: nOHTH
31*3
1*2300
033
Ul703140F301
30 F
U9741
23227
11liOF
3991
«SOF
272
41224.
3000F
4141219
3229701
1(911334429014120(004
2724127
S503377
1991
( HOHTH
t9((
207tOOOF
200F(3
1341305
300F9ilU29(9
132431
44912*250Ftoi144asoF
450
73(3*
53**F
974445
725(1273
422((127033(2939*
1>^>44 502(*
1450(110
- 19 -Planche 10 bis
COMMERCE EXTERIEUR
IHPOATS - H
EUtOPE
AUSTRIAELCIUN-LUXC2ECHUSLaVAI(OEHHARKF!KL«NOFDAHCECCRnAN OtUtiKHHt F2HUHIAtYITALYHETHL'tLAHCSHOtHArPCLAHI)rot TU CALlOHAKIASUEDEXSVIT2EtLAK9Ut
OCEAHIA
FU!PAPUA N CUI>
usst
OtVELOPEDH AHEtlCAV EUCOPEOTK r-EV FEP
OCVELCPIHCAFRICALAT ünERICAHEAF EASTmt EasT0T:< ov.piHC
CE.NTP PLAKHCAS ItH ceEUtCFE USSt
3 HOHTH
PORTATIO
4972
1123>(IOOF2142
9(3IOOFS3»101
9934(2
24201
tIOOF
47(9
(2(-
Ï5(
3(220*
4*F
3232193
4370(17
105172713
9531053349
23(1742
30014-2
1979
( nOHTH
HS - IRP
9324
233(33300F
4(100
1(79200F
10(0KO
:i2(737
43303
12 0 0F100119
1134
4*4
, 93109
1(*0F
9(0332213?
114233193
(3(71^7>332(
19220404
3735950
27IÎ
i .tOHTH
ORTACION
12912
33393(4S0F
71113
2223300F
153924(
23(01092
(15(11(4400F137lis
1739
70i
13^3 7*
3300F
13092477
109331((0
4990410422
25159711
234777og
(95717005257
12nOHTH I nOHTH
HUHDtE» NT
Í*
17310
4251259
(90UO135
2123434
194S300
30741449
77791431(22221237
2311
923
1(57(».
4139
1732(IK
143431 9(7
(5(0114121
33911337330^91
9259 0 3120(2(97(
3135
12(24(>I20F2tSS
(3120F43(
90(40320
2(93
4
ISOF(«
0413
199
27172«
1000F
411574 1
32.2(12
122(93229222(37922122
1992773
7001573
1979
( .lONTH
- CEHTA
7172
211(3300F
(0114
13*3240F711
941055
(7231
374152350F101129
12*3
423
(13(2*
ISOOF
791237(
(SIS1092
31902(29^3347
«11 29(4
4234457l((<02157
» nOHTH
IHES TM
11373
3(0972550F
3121
17373(0F
1197214
' 1322IOU
3757S3(0S* OF150173
1(32
(7*
1*0170.
2400F
11S9!543
9373K'4
S1JS310991
(443t310(20444
(70(19923004599
12nOHTH
- CIEH T
l(*iS
4(313498(0119127
24Í7441
159*217
17^5147g
(939
1192(702132S(
1921
940
170770'
(309
159I3>9a
13039202(423(
144001 l(i4I7((039373
94013033
37*0933S
3 HOHTH
N
3937
150377IOOF
28(0
(39IOOF407
271(24(3
19219472IOOF
3310243(
249
23223.
2940F
4135221
3391344
:449332i(2291349(31(2
2'i3937
4503497
19>0
( HOHTH
23*
24t9S(3* «F
57153
1359200F
32122731992
4042949(200F1171((42
521
2439.
300*F
24027»
(91093
«laio591 ;3(947^14
Î3J49521
SSSl30 0«251
> AOHTH
11512
3111277
(OOFS
KOiaa9
3S0F1199
1829(9
1424(3
4^7SOO400F173215
usa
t2t
107721.
4 00 0F
11392341
94931337
(334710742
(30912364332a4
12>75191500(019
!2naNTH
153(i
50(1757
730122178
252(444
1£1723(
12031929
1
93050170».237309
1337
1131
1389C0.
(944
15298922
12528182S4922
1(91999e9
l((2«4034:
113812334
23709984
: nOHTH
31*3
1*2300
033
Ul703140F301
30 F
U9741
23227
11liOF
3991
«SOF
272
41224.
3000F
4141219
3229701
1(911334429014120(004
2724127
S503377
1991
( HOHTH
t9((
207tOOOF
200F(3
1341305
300F9ilU29(9
132431
44912*250Ftoi144asoF
450
73(3*
53**F
974445
725(1273
422((127033(2939*
1>^>44 502(*
1450(110
- 20 -
COMMERCE EXTERIEUR
Planche 10 ter
3 AOHTH ( HOHTK 9 HOHTH l2HaHTH 3 HOHTH S !IOHTH |9 POHTH ¡i;
HUH»RE* HT - CEHTAIKES TH
3 AOHTH t HOHTH 9 HOMTH 12H0HTH
EKPORTATtOHt - EXPORTACIOHEt
EGYPTHALAtlI
H C AHERICA
COSTA tICAHEXICOUSA
SOUTH fiHERIC
AICCHTIHAltA2:LCOLOntIAGUYANASUtlNAHEVIUCUAYVEHE2UELA
ASIA
aURHACHINAHONG CQHCINDIAJAPAHtOREA »PtkUUAITNEPALPAdSiANPHILIPPINESS INCAPORETHAILAHO
EUROPE
PELGIUn-LUX(ENr.ARCFPCMCECEPAAHY FRITALYHETHCRLAHOSSPAIN 'Ut
OCEANIA
AUSTRALIA
USSR
PEVELH AA
U EUOCEAOTH
OEVElFRI
LA¬KE AC
FI17r EHTP
AS :EUf»
0PE9EtICAtOPENIA9EV .PEbOPIHCCAAHERICA
EPSTEûS7
PLAl"):?E
PE 'JSSt
34(1*F
70FSOF
42(1
27792(
0
2131)91(4
1(3(1
19334O00F
92009IS
1230F3CF
200F1327
135(3
(C93
1900
9(3
23^130(019530 3253
(i(
((
4«F
7((S42(11900
((t\t
12(131»
193 9
37S10270
5290S230
40
5*314
933
9983SF
ISOF2S0F
10(52
3(15
7221370
350F531250F392
29(40
2719ÎOOF
L4,. 300.
t\t2300F
(OF400F
50^331514(
t5(S
3727
2384
3(3349
13(33(031444(
1338
1338
(OF
IC3331»(S2
37271331
1^227(9
334013
958177(11 10(01 1000
(0
71234
1234
12*450F
220F400F
1 (099
539<
1I<31(7(
OOF733400F(43
4*0(3
3172I2000P
\l750.
193730F
MOF(OOF
(211423194
12029
3792
37(10
470327
272433144*(94
1921
1921
1**F
24(3(1(099
57 921929
19307(3
30(0191114
233l(1593015750
100
95110
1521
145177
3 0(5 9(
2279^
(U
1290194(
15310(1
737.10*4
0
3217(
3Soa1(777F
331434
2041*0.
17200'
77((473:2«
1(0«
273
32222
3 33(93
43907(44 90S33
249*
249*
133
34379227*^
2732499
2039722
7777131(23
3030921 01020977
133
2«*32
K9
1791*1
13*FIOF
(((9
(2
210
91229IOOF200F
32
2753S0OP
9
KSOF2
70 0 F
34200F
3(115113
5724
Ksa
1474
410323
1(214319<
724
72 4
0
9093(((9i(;«
7242
1277910
1002233
1153442004200
5(531
(10
57 (34F
250FI3F
12*13
41»»
39 0F«12200F«OOF
(3
3(017
21419000F
lt2500F
7(IO«OF
90550.
74(72(»
1112890
«441
32*10
233ia<
2(4S34932434 7
127*
127*
30F
17<0012013
«4411270
7(21(11
342130
((52515110050t OOOO
50
*9«(9
((
2145F
310F2 0F
1(934
3221
(301
130F(27400F(50F
(3
5t*44
47(2U200F
223000F40312000F
II»(SOF
1*711774
21213S^
(K*
32913
3*8293
332433144(317
2544
2344
10*F
29(701(934
(KO2544.031
4(10*«3
3(21934
114991330»13200
1 00
121351
lOtt
94970
32133
2300(
(243
9913
90141
10(0K(9
7(0
77*04
39*3I4593f
34375*(*323**0
132900F
13(721(S(
KI279(9
1(31
7(721
3433S>
325001
553S2(
4*89
4**9
2*3
41739230»t
S(31«0(9(032
(199370
(7911091
340471779917593
2(3
3(147
3(
K29F
90F0
9000
3090
242139IOOF200F.79
2334(
19392U0F
22loooF218«
«OOF50F
03025
820as
11313
.. 2713
2545
5475
1720384215
7
893
993
«
13792000
2713«95
218419443
201 137
((18203
2«102«10
((94
2(4
21943F1
19eF0
154*0
4911
2*0F349250F500F151
42243
299(9000F
242500F29341200F
IOOF*
«((21243
12(1*457
4892
5139
94172
3149(K33*
I*
1753
1733
(OF
250(0134*0«921 7332934
32574«3
2202219
3000992(09200
«0
9407*
9(3
9»*F(SF
233((
2««F»
230«(
3012
9797
300FSU«OOF(SOF1(*F
3(777
42111 1*0«F
50F3500F439»22i«F
110F0
(7331*20
2472229(
7090
74*13
14019(
«711l«53*4
13
27(1
27(1
IOOF
3752(230«(
7»9027(1«390
«3243iS
32921010
3(8771330013200
100
1 NOHTH ( NOHTH
123*91
1*79
9*191
50*0
115915
40013
1080.l<4t
1(5
74217
((34131 1»F
Si423*(S*3000.
132F9»F
9»t32(34
27027431
90*9
1010
1914*291
57741249
5*1lt
333*
333*
1(4
«9*5730542
90S93331(il*
577(19*
34(211 13
310*7I (274KI 10
I (4
31(5*
270
2S0F20F
IOOF0
9024
93
2S0F1 OOFIOOF5»0F
9F
254**
243«F4000r
1015»*F2(22
9*0F70F20F
374534(
449793
2204
2424
1212
9955952(7
7F
4 92
4 92
30
1434290242204
4912(22
I93*(20
113*320
17>8*49304900
30
72S7(
34*
3**F4*F
2»*r
17**»F
22019
300F33*F250F7»0F1**F
4(*92
40*OF(000F
30F3000F555115«0F
120r4*F
73*9I230F
3(179(0
<(3(
S**F7
20147
27(1 .
1004380F
UF
1227
1227
7»F
2*(15170**
4*3(12275551
3(3924»
2211420
337217 5 7*7500
70
- 20 -
COMMERCE EXTERIEUR
Planche 10 ter
3 AOHTH ( HOHTK 9 HOHTH l2HaHTH 3 HOHTH S !IOHTH |9 POHTH ¡i;
HUH»RE* HT - CEHTAIKES TH
3 AOHTH t HOHTH 9 HOMTH 12H0HTH
EKPORTATtOHt - EXPORTACIOHEt
EGYPTHALAtlI
H C AHERICA
COSTA tICAHEXICOUSA
SOUTH fiHERIC
AICCHTIHAltA2:LCOLOntIAGUYANASUtlNAHEVIUCUAYVEHE2UELA
ASIA
aURHACHINAHONG CQHCINDIAJAPAHtOREA »PtkUUAITNEPALPAdSiANPHILIPPINESS INCAPORETHAILAHO
EUROPE
PELGIUn-LUX(ENr.ARCFPCMCECEPAAHY FRITALYHETHCRLAHOSSPAIN 'Ut
OCEANIA
AUSTRALIA
USSR
PEVELH AA
U EUOCEAOTH
OEVElFRI
LA¬KE AC
FI17r EHTP
AS :EUf»
0PE9EtICAtOPENIA9EV .PEbOPIHCCAAHERICA
EPSTEûS7
PLAl"):?E
PE 'JSSt
34(1*F
70FSOF
42(1
27792(
0
2131)91(4
1(3(1
19334O00F
92009IS
1230F3CF
200F1327
135(3
(C93
1900
9(3
23^130(019530 3253
(i(
((
4«F
7((S42(11900
((t\t
12(131»
193 9
37S10270
5290S230
40
5*314
933
9983SF
ISOF2S0F
10(52
3(15
7221370
350F531250F392
29(40
2719ÎOOF
L4,. 300.
t\t2300F
(OF400F
50^331514(
t5(S
3727
2384
3(3349
13(33(031444(
1338
1338
(OF
IC3331»(S2
37271331
1^227(9
334013
958177(11 10(01 1000
(0
71234
1234
12*450F
220F400F
1 (099
539<
1I<31(7(
OOF733400F(43
4*0(3
3172I2000P
\l750.
193730F
MOF(OOF
(211423194
12029
3792
37(10
470327
272433144*(94
1921
1921
1**F
24(3(1(099
57 921929
19307(3
30(0191114
233l(1593015750
100
95110
1521
145177
3 0(5 9(
2279^
(U
1290194(
15310(1
737.10*4
0
3217(
3Soa1(777F
331434
2041*0.
17200'
77((473:2«
1(0«
273
32222
3 33(93
43907(44 90S33
249*
249*
133
34379227*^
2732499
2039722
7777131(23
3030921 01020977
133
2«*32
K9
1791*1
13*FIOF
(((9
(2
210
91229IOOF200F
32
2753S0OP
9
KSOF2
70 0 F
34200F
3(115113
5724
Ksa
1474
410323
1(214319<
724
72 4
0
9093(((9i(;«
7242
1277910
1002233
1153442004200
5(531
(10
57 (34F
250FI3F
12*13
41»»
39 0F«12200F«OOF
(3
3(017
21419000F
lt2500F
7(IO«OF
90550.
74(72(»
1112890
«441
32*10
233ia<
2(4S34932434 7
127*
127*
30F
17<0012013
«4411270
7(21(11
342130
((52515110050t OOOO
50
*9«(9
((
2145F
310F2 0F
1(934
3221
(301
130F(27400F(50F
(3
5t*44
47(2U200F
223000F40312000F
II»(SOF
1*711774
21213S^
(K*
32913
3*8293
332433144(317
2544
2344
10*F
29(701(934
(KO2544.031
4(10*«3
3(21934
114991330»13200
1 00
121351
lOtt
94970
32133
2300(
(243
9913
90141
10(0K(9
7(0
77*04
39*3I4593f
34375*(*323**0
132900F
13(721(S(
KI279(9
1(31
7(721
3433S>
325001
553S2(
4*89
4**9
2*3
41739230»t
S(31«0(9(032
(199370
(7911091
340471779917593
2(3
3(147
3(
K29F
90F0
9000
3090
242139IOOF200F.79
2334(
19392U0F
22loooF218«
«OOF50F
03025
820as
11313
.. 2713
2545
5475
1720384215
7
893
993
«
13792000
2713«95
218419443
201 137
((18203
2«102«10
((94
2(4
21943F1
19eF0
154*0
4911
2*0F349250F500F151
42243
299(9000F
242500F29341200F
IOOF*
«((21243
12(1*457
4892
5139
94172
3149(K33*
I*
1753
1733
(OF
250(0134*0«921 7332934
32574«3
2202219
3000992(09200
«0
9407*
9(3
9»*F(SF
233((
2««F»
230«(
3012
9797
300FSU«OOF(SOF1(*F
3(777
42111 1*0«F
50F3500F439»22i«F
110F0
(7331*20
2472229(
7090
74*13
14019(
«711l«53*4
13
27(1
27(1
IOOF
3752(230«(
7»9027(1«390
«3243iS
32921010
3(8771330013200
100
1 NOHTH ( NOHTH
123*91
1*79
9*191
50*0
115915
40013
1080.l<4t
1(5
74217
((34131 1»F
Si423*(S*3000.
132F9»F
9»t32(34
27027431
90*9
1010
1914*291
57741249
5*1lt
333*
333*
1(4
«9*5730542
90S93331(il*
577(19*
34(211 13
310*7I (274KI 10
I (4
31(5*
270
2S0F20F
IOOF0
9024
93
2S0F1 OOFIOOF5»0F
9F
254**
243«F4000r
1015»*F2(22
9*0F70F20F
374534(
449793
2204
2424
1212
9955952(7
7F
4 92
4 92
30
1434290242204
4912(22
I93*(20
113*320
17>8*49304900
30
72S7(
34*
3**F4*F
2»*r
17**»F
22019
300F33*F250F7»0F1**F
4(*92
40*OF(000F
30F3000F555115«0F
120r4*F
73*9I230F
3(179(0
<(3(
S**F7
20147
27(1 .
1004380F
UF
1227
1227
7»F
2*(15170**
4*3(12275551
3(3924»
2211420
337217 5 7*7500
70
- 21
V - LE MANIOC
V. 1 -^^ Le traitement du manioc
V.1.1 - i;e_manioc_mat ier e_£remière
La récolte du manioc s'effectue soit en saison sèchedans les régions à pluies saisonnières (Madagascar), soit toute l'année si lespluies sont régulièrement réparties (Malaisie).
Les rendements sont très variables suivant le type deculture employée, puisqu'ils varient de 5 t/ha à 60 t/ha. On trouve les plusgrandes plantations bénéficiant d'une mécanisation poussée au Mexique, au Brésilet au Nigeria, alors que d'une façon générale, les pays tropicaux concernentde petites parcelles au rendement médiocre.
V.l. 2 - Le s_grinci£ales_étages__du_trait ement
Le problème est de parvenir â extraire du tubercule lesgrains d'amidon, opération qui nécessite une purification en milieu aqueux,conduite de la manière suivante :
Préparation et extraction par broyage des cellules et quiincluent à ce stade les opérations préliminaires de lavage, épluchage, rapage desracines et tamisage de la pulpe.
Purification, consistant en une substitution d'eau pureà la solution aqueuse de la purée obtenue à l'issue du stade précédent.
Elimination de l'eau par centrifugation et séchage.
Le séchage s'effectue au four dans les fabriques modernes ;
le combustible le plus couramment employé étant le bois. Suivant le type.de séchoirutilisé, le taux d'humidité peut être abaissé de 40 % à 17 %, voire 10 % avecdes températures de séchage de l'ordre de ISO^C.
La planche 11 donne un schéma des opérations à effectuerdans une grande usine utilisant un équipement moderne, et dont l'installation estprévue au Nigeria.
V.l. 3 - Données relatives au fonctionnement
d ' une_unité_de_traitement
A titre d'exemple, les données relatives au fonctionnementd'une unité d'une capacité de 24 tonnes par jour (soit 7 200 tonnes/an) d'amidonde haute qualité ayant une teneur en eau de 10 à 12 % sont les suivantes :
Besoins annuels en racines fraîches : 31 300 tonnes
Surface de culture nécessaire : 1 255 hectares
- 21
V - LE MANIOC
V. 1 -^^ Le traitement du manioc
V.1.1 - i;e_manioc_mat ier e_£remière
La récolte du manioc s'effectue soit en saison sèchedans les régions à pluies saisonnières (Madagascar), soit toute l'année si lespluies sont régulièrement réparties (Malaisie).
Les rendements sont très variables suivant le type deculture employée, puisqu'ils varient de 5 t/ha à 60 t/ha. On trouve les plusgrandes plantations bénéficiant d'une mécanisation poussée au Mexique, au Brésilet au Nigeria, alors que d'une façon générale, les pays tropicaux concernentde petites parcelles au rendement médiocre.
V.l. 2 - Le s_grinci£ales_étages__du_trait ement
Le problème est de parvenir â extraire du tubercule lesgrains d'amidon, opération qui nécessite une purification en milieu aqueux,conduite de la manière suivante :
Préparation et extraction par broyage des cellules et quiincluent à ce stade les opérations préliminaires de lavage, épluchage, rapage desracines et tamisage de la pulpe.
Purification, consistant en une substitution d'eau pureà la solution aqueuse de la purée obtenue à l'issue du stade précédent.
Elimination de l'eau par centrifugation et séchage.
Le séchage s'effectue au four dans les fabriques modernes ;
le combustible le plus couramment employé étant le bois. Suivant le type.de séchoirutilisé, le taux d'humidité peut être abaissé de 40 % à 17 %, voire 10 % avecdes températures de séchage de l'ordre de ISO^C.
La planche 11 donne un schéma des opérations à effectuerdans une grande usine utilisant un équipement moderne, et dont l'installation estprévue au Nigeria.
V.l. 3 - Données relatives au fonctionnement
d ' une_unité_de_traitement
A titre d'exemple, les données relatives au fonctionnementd'une unité d'une capacité de 24 tonnes par jour (soit 7 200 tonnes/an) d'amidonde haute qualité ayant une teneur en eau de 10 à 12 % sont les suivantes :
Besoins annuels en racines fraîches : 31 300 tonnes
Surface de culture nécessaire : 1 255 hectares
- 22 -
Consommation annuelle de fuel pour le .
générateur de vapeur : 320 m3
Consommation annuelle d'eau : 469 800 m3
V.l. 4 Produit_de_base du manioc^cuit__ :
lfS_í§EÍ:°£§s__(Sagos_en_Malaisie2
On regroupe sous cette terminologie les morceaux d'amidonde manioc partiellement gélifiés , 'obtenus en chauffant de la farine humidedans des récipients de faible profondeur. Ainsi traités, les granulés d'amidonse gélifient, éclatent et se collent les uns aux autres. La gélification commenceà 60°C, pour devenir complète à 80°C.
La gélification est suivie d'un séchage qui permetd'abaisser le taux d'humidité à 12 % par passage dans les chambres à circulationd'air, dont la température varie de 40''C en début de traitement à 60/70°C en finde traitement.
V.2 - Le marché du manioc
Les principaux pays producteurs de Manioc sont figurés sur lacarte de la planche 12.
La production mondiale de Manioc est indiquée sur la planche 13.Le principal producteur est le Brésil, dont les exportations sont cependant insi¬gnifiantes. Il en va de même pour le Nigeria, l'Indonésie, le Zaïre, l'Inde etla Colombie. Par contre, le manioc ne constitue pas un élément important del'alimentation de base en Thaïlande, pays qui occupe la première place pour lesexportations.
Les principaux pays importateurs de Manioc sont les suivants :
(planche 14)
Les Etats Unis : 120 COQ tonnes par an.
Le Royaume Uni : 2 500 tonnes par an.
Le Japon, 'dont la politique est d'importer des matièresbrutes plutôt que des produits transformés, de manière à encourager son industrienationale ;
La Communauté Economique Européenne, du fait d'une demandeimportante d'aliments pour le bétail extraits du manioc.
V.3 - Conclusion
Les besoins énergétiques de l'insdustrie de transformation duManioc sont compatibles avec les possibilités offertes par la géothermie .basse-énergie.
- 22 -
Consommation annuelle de fuel pour le .
générateur de vapeur : 320 m3
Consommation annuelle d'eau : 469 800 m3
V.l. 4 Produit_de_base du manioc^cuit__ :
lfS_í§EÍ:°£§s__(Sagos_en_Malaisie2
On regroupe sous cette terminologie les morceaux d'amidonde manioc partiellement gélifiés , 'obtenus en chauffant de la farine humidedans des récipients de faible profondeur. Ainsi traités, les granulés d'amidonse gélifient, éclatent et se collent les uns aux autres. La gélification commenceà 60°C, pour devenir complète à 80°C.
La gélification est suivie d'un séchage qui permetd'abaisser le taux d'humidité à 12 % par passage dans les chambres à circulationd'air, dont la température varie de 40''C en début de traitement à 60/70°C en finde traitement.
V.2 - Le marché du manioc
Les principaux pays producteurs de Manioc sont figurés sur lacarte de la planche 12.
La production mondiale de Manioc est indiquée sur la planche 13.Le principal producteur est le Brésil, dont les exportations sont cependant insi¬gnifiantes. Il en va de même pour le Nigeria, l'Indonésie, le Zaïre, l'Inde etla Colombie. Par contre, le manioc ne constitue pas un élément important del'alimentation de base en Thaïlande, pays qui occupe la première place pour lesexportations.
Les principaux pays importateurs de Manioc sont les suivants :
(planche 14)
Les Etats Unis : 120 COQ tonnes par an.
Le Royaume Uni : 2 500 tonnes par an.
Le Japon, 'dont la politique est d'importer des matièresbrutes plutôt que des produits transformés, de manière à encourager son industrienationale ;
La Communauté Economique Européenne, du fait d'une demandeimportante d'aliments pour le bétail extraits du manioc.
V.3 - Conclusion
Les besoins énergétiques de l'insdustrie de transformation duManioc sont compatibles avec les possibilités offertes par la géothermie .basse-énergie.
- 23 -
Par ailleurs, ils sont loins d'être négligeables, puisqu'ilsreprésentent environ 900 000 TEP consommées annuellement dans le monde. On retien¬dra également la possibilité de faire fonctionner les unités de traitement 24 hsur 24 tout au long de l'année, ce qui est un élément favorable à l'utilisationde la géothermie.
- 23 -
Par ailleurs, ils sont loins d'être négligeables, puisqu'ilsreprésentent environ 900 000 TEP consommées annuellement dans le monde. On retien¬dra également la possibilité de faire fonctionner les unités de traitement 24 hsur 24 tout au long de l'année, ce qui est un élément favorable à l'utilisationde la géothermie.
24 -
Planche 11
Diagramme de fonctionnement d'un projet de grande usine d'amidon.
SlMMIUfM
I nu« fâMaaMita
NETTOYAGE ET PREPAliaTIQN"OES RACINES FRAÎCHES
M '«UaU ni I
[ SÉCHAGE I
CONCENTRATION -
-PURIFICATION DE L'AMIDON-
PlUl^lBI Mwl
24 -
Planche 11
Diagramme de fonctionnement d'un projet de grande usine d'amidon.
SlMMIUfM
I nu« fâMaaMita
NETTOYAGE ET PREPAliaTIQN"OES RACINES FRAÎCHES
M '«UaU ni I
[ SÉCHAGE I
CONCENTRATION -
-PURIFICATION DE L'AMIDON-
PlUl^lBI Mwl
- 25 -
MANIOC Manihot esculenta CRANTZI N V E N T A l R
LES CULTURES VIVRIÊRES * PAR J.J. HEMARDINQUER, M . K E U L W . G . L RANDLES * CENTRE DE RECHERCHES HISTORIQUES^ ET LABORATOIRE DE CARTOGRAPHIE DE L'ECOLE
Planche 12
MANIOCH A U T E T Ë T U D E S * PARIS 1968
\\2) IdeniificJllon incertaine de U plame
'"•" T ! Dale de domestica lion ou d'Éntroduciion inconnue
. 12 l Cuhureconsiaiêe entre 1200 el 1299 mais antérieure
Millénaire, 1/2 Mill.DaianonsAnnées. SièclesPeriod es
Abandoned culiivation +
Hypothetical daie . 12 T
Identification of plant uncenain (12)
late of domestication or of introduction unknown ¡+ •+
Culi iva lion observed between 1200 and 1299 but older | J2
4 » • 5 " - s - ¡ 7 •
•jiff,•••:•••.ffi •»• ™n -l|'m2£L^lJL-mmmmmmmMm^m^
I ID/15 _ _ 10^20 15/JB 1
-¡-¡-a—- 9 - I • iû"--rnr-~ n&~-nj- • u- - is -—nt^—TT—nr^• m -^ ' • i ^ w p ' i a ^ - ' i i D o ^ ^ ' M H ^ ^ w J ^ w J ^ I J M w 1S0° " " l i 0° ''•'" '700 »••" tar: • • 1=:: . • J
Millenium. 1/2 Mill.
Years. Ceniuries
Periods
Plmle tropicale tl plu1
-_. ficrle M cultiver, majs il est souvent de la Colombie ei lesLIanro du Venezuela. O U C I Q U I
urne Si docnc£ucïuon poïtule Veuiteüce. t m ' > ^ oct pLaque^ a C T Î M Ï enpéruvien ci mexicain, d'un troisième een- ceLt« qiie Colomb iro
mondule du manioc te fil lurtout par I1 intermedianiviFaleurt el wlúaf* portupa;s E n Afrique, il ïe repandi'
i nivrauK BSÏCJ vile de peuple en peuple, er »on rule alimentaire --- - . . _ _ ,h]ii>tti à considerable, mail la zone w u ú a m e n n e n'en UIIIIK RU
:orc en uuoe- La dtffuuon que lei ieuiltei. E n \ÏLC« maigre »on haut ïendcmem ci
qualuéi de conservation, latine en Terre ou rcduiT en farine,&on succèf demeure reurcini en dehors des plantaban* eides iribut de la iun|le.
tropical pla ïptcificallyrrinim in France 'ä EfnJr rririque d q Kjuln Eludo - PAftlt - 146B
i O U Í " heanh^ of a ihjfd centre of incipient cultivation in the u d e iprei-d or manioc look place munly üirouah ií»e hiah vielcb and kecpins qualities teavin« ihe rnou in thencDuni 01 m waici 11 qui re men11 niouiti [oiests of N o r U w m Columbia and the ¡Unos o( Cénemela aaency of 'onufueie navitaiori and loldiert. In AFnci 11 irround 01 gnndir.i ihrm inio flour, its lucceti renuuniI otien has 10 be lUliablv treaied fov eatirii m u i l x aiiumed. In Ihn aira a I m aichaeoloecal niel spread (air» rapidl» from tribe lo tribe and its importance limned eicepl »nere plintauom and jur.ilt I n t m »re
001 Kin i« bmtr manioc tl. For us domestica- have yielded, « to» ihr rtuuie levels, clay pmadkrs umilar u a food is considerable. alUiauíh in the Wei tem Sudan concerned.The »oild- practical!» onlj ihe Icaies are used. In Asia, in tpiie of
üon. the eusiena beiween the Peruv nd Mei. « hr m u It leoeKwhith ColumDui lound mil
- 26 -
Planche 13
Tableau 12. Production mondiale de racines de manioc en 1973(en milliers oe tonnes)
Amérique du Sud
Argentine 177
Bolivie 245
Brésil 26559
Colombie 1 320
Equateur 400
Paraguay 1 108
Pérou 482
Venezuela 272
Asie
Chine (province de Taiwan) . . 328
Inde 6 371
Indonésie 11 185
Malaisie 239
Philippines 480
Sri Lanka 616
Thaïlande 6 416
Viet-Nam 380
Afrique
Angola 1 630
Bénin 700
Cameroun 719
Congo 590
Côte-d'lvoire 625
Empire centrafricain 1 100
Ghana 1 660
Guinée 420
Libéria 250
Madagascar 1 175
Malawi 150
Mali " 120
Mozambique 2 500
Niger 156
Nigeria 9 600
Sénégal 122
Tanzanie 3 350
Togo 517
Zaïre 8 595
Total 90 457
Suurcg: fao, /tiiniiaïrt: <ln la production, J974. Séries révisées. Rome, 1975.
- 26 -
Planche 13
Tableau 12. Production mondiale de racines de manioc en 1973(en milliers oe tonnes)
Amérique du Sud
Argentine 177
Bolivie 245
Brésil 26559
Colombie 1 320
Equateur 400
Paraguay 1 108
Pérou 482
Venezuela 272
Asie
Chine (province de Taiwan) . . 328
Inde 6 371
Indonésie 11 185
Malaisie 239
Philippines 480
Sri Lanka 616
Thaïlande 6 416
Viet-Nam 380
Afrique
Angola 1 630
Bénin 700
Cameroun 719
Congo 590
Côte-d'lvoire 625
Empire centrafricain 1 100
Ghana 1 660
Guinée 420
Libéria 250
Madagascar 1 175
Malawi 150
Mali " 120
Mozambique 2 500
Niger 156
Nigeria 9 600
Sénégal 122
Tanzanie 3 350
Togo 517
Zaïre 8 595
Total 90 457
Suurcg: fao, /tiiniiaïrt: <ln la production, J974. Séries révisées. Rome, 1975.
Tableau 15. Importations' d'/<mÍdoñ" DE manioc par certains pays en 1973 Planche 14
Pays importateurs
Pays exportateurs
Thaïlande
Brésil .
Malaisie occidentale . .
Togo
Madagascar
Etats-Unis'
Canada '
Pays-Bas '
Inde
Nigeria
Hong-kong '
République Dominicaine
Colombie
Autres pays
Total
Etats-Unis
Royaume-Uni Canada France Japon
42 778
5 331
164
774
36
18
14
49 123
2 470
Tonnes
2 470
Source: Staiisiiques naiionaies du commerce.I Réexportaieurs.
Total
17
2 407
472
1033
135
17
^~
4 081
3 085
.
527
3 502
3 329
128
10 571
,
3
^~
3
45 880
7 738
3 633
3 502
3 329
1036
774
135
36
18
17
14
8
128
66 248
Tableau 13. Exportations de produits a base de maniocet production de racines, 1973
Pays Exportations Productionde racines
Thaïlande
Malaisie uccidenlale
Brésil
Togo
Madagascar
Angola
Milliers de tonnes
1 834
29
21
5
4
6416
239
26 559
517
I 175
1630
Tableau 14. Principaux exportateurs de racines de manioc a la Communautééconomique européenne, 1973
Payi importateurs
Pavï e.xpurtatuurs
Allemagne, Rép. féd. Belgique
Thaïlande . .
Indonésie . .
Chine . . . .
.Malawi . . .
Tanzanie . .
Mozambique
Total . . .
7o de racines séchées importées
IQSl
3,1
20,0
3,3
1.5
1,3
99,2
95,0
3,8
98,8
60,0
21,0
81,0
Tableau 15. Importations' d'/<mÍdoñ" DE manioc par certains pays en 1973 Planche 14
Pays importateurs
Pays exportateurs
Thaïlande
Brésil .
Malaisie occidentale . .
Togo
Madagascar
Etats-Unis'
Canada '
Pays-Bas '
Inde
Nigeria
Hong-kong '
République Dominicaine
Colombie
Autres pays
Total
Etats-Unis
Royaume-Uni Canada France Japon
42 778
5 331
164
774
36
18
14
49 123
2 470
Tonnes
2 470
Source: Staiisiiques naiionaies du commerce.I Réexportaieurs.
Total
17
2 407
472
1033
135
17
^~
4 081
3 085
.
527
3 502
3 329
128
10 571
,
3
^~
3
45 880
7 738
3 633
3 502
3 329
1036
774
135
36
18
17
14
8
128
66 248
Tableau 13. Exportations de produits a base de maniocet production de racines, 1973
Pays Exportations Productionde racines
Thaïlande
Malaisie uccidenlale
Brésil
Togo
Madagascar
Angola
Milliers de tonnes
1 834
29
21
5
4
6416
239
26 559
517
I 175
1630
Tableau 14. Principaux exportateurs de racines de manioc a la Communautééconomique européenne, 1973
Payi importateurs
Pavï e.xpurtatuurs
Allemagne, Rép. féd. Belgique
Thaïlande . .
Indonésie . .
Chine . . . .
.Malawi . . .
Tanzanie . .
Mozambique
Total . . .
7o de racines séchées importées
IQSl
3,1
20,0
3,3
1.5
1,3
99,2
95,0
3,8
98,8
60,0
21,0
81,0
- 28 -
VI - LE THE
VI. 1 - Le traitement du thé
VI . 1 . 1 - Préparation du thé noir
Les principales étapes de la préparation du thé noir sont lessuivantes :
-Le flétrissage, dont l'objet est de faire perdre à la feuillepar evaporation le liquide qui lui donne sa rigidité et sa fermeté. Diversesméthodes peuvent être utilisées à cet effet, depuis l'épandage des feuillesfraîches sur des claies exposées à l'air ambiant jusqu'à l'utilisation de courantsd'air chaud dont la température, l'humidité et la vitesse de' circulation sontmodulables. Cette opération permet d'abaisser le taux d'humidité de la feuillede 80 % à 60 %. Ce flétrissage tend à disparaître. Il est remplacé par l'emploidu "leg cutter", sorte de hache-paille assurant un découpage des feuilles enmenus morceaux.
-^ Le roulage, dont l'objet est de provoquer une rupture desmembrannes intérieures des cellules de la feuille, afin de permettre un mélangedes composants qui développe les qualités du thé par réaction enzymatique. Auroulage traditionnel peut se substituer le procédé CTC (Crushing, Teawing andCurling) , utilisant des machines composées de deux rouleaux au sens de rotationinversé, tournant à des vitesses différentes et entre lesquels sont introduitesles feuilles flétries. On obtient de la sorte les thés "C.T.C.", qui se présententen fines particules régulières donnant une infusion très colorée et de bonnequalité.
-La fermentation, en atmosphère conditionnée à 27°C. . : = 'Durée : 2 à 3 heures.
-La dessiccation, dont l'objet est d'arrêter le processus defermentation. Une bonne dessiccation s'effectue à environ 90°C, durant 20 minutes.Les dessicateurs comportent un rechauffeur d'air alimenté par un combustiblequelconque (charbon, bois, fuel, électricité). A la sortie de l'appareil, lesfeuilles ont une teneur en eau de l'ordre de 1 à 3 %, qui, après refroidissement, .
remonte à 4 ou 5 %.
- Le triage, qui est destiné à répartir les thés entre les diversesqualités commerciales. Il s'agit d'une opération mécanique.
-Le stockage et l'emballage.
VI . 1 . 2 - Préparation du thé vert non fermenté
Le thé vert est produit et consommé surtout en Chine, au Japonet à Formóse. Autrefois exporté en grande quantité, il ne représente plus que 2 %
du commerce intemationnal du thé, les principaux pays importateurs de thé vertétant le Maroc et 1 'Afganistán . .
Aussitôt après la cueillette, le thé est chauffé à la vapeurpendant quelques minutes, ce qui a pour conséquence de "tuer" la feuille parinactivation' des enzymes, et' donc de supprimer toute fermentation ultérieure.Le traitement est ensuite identique à celui du thé noir.
- 28 -
VI - LE THE
VI. 1 - Le traitement du thé
VI . 1 . 1 - Préparation du thé noir
Les principales étapes de la préparation du thé noir sont lessuivantes :
-Le flétrissage, dont l'objet est de faire perdre à la feuillepar evaporation le liquide qui lui donne sa rigidité et sa fermeté. Diversesméthodes peuvent être utilisées à cet effet, depuis l'épandage des feuillesfraîches sur des claies exposées à l'air ambiant jusqu'à l'utilisation de courantsd'air chaud dont la température, l'humidité et la vitesse de' circulation sontmodulables. Cette opération permet d'abaisser le taux d'humidité de la feuillede 80 % à 60 %. Ce flétrissage tend à disparaître. Il est remplacé par l'emploidu "leg cutter", sorte de hache-paille assurant un découpage des feuilles enmenus morceaux.
-^ Le roulage, dont l'objet est de provoquer une rupture desmembrannes intérieures des cellules de la feuille, afin de permettre un mélangedes composants qui développe les qualités du thé par réaction enzymatique. Auroulage traditionnel peut se substituer le procédé CTC (Crushing, Teawing andCurling) , utilisant des machines composées de deux rouleaux au sens de rotationinversé, tournant à des vitesses différentes et entre lesquels sont introduitesles feuilles flétries. On obtient de la sorte les thés "C.T.C.", qui se présententen fines particules régulières donnant une infusion très colorée et de bonnequalité.
-La fermentation, en atmosphère conditionnée à 27°C. . : = 'Durée : 2 à 3 heures.
-La dessiccation, dont l'objet est d'arrêter le processus defermentation. Une bonne dessiccation s'effectue à environ 90°C, durant 20 minutes.Les dessicateurs comportent un rechauffeur d'air alimenté par un combustiblequelconque (charbon, bois, fuel, électricité). A la sortie de l'appareil, lesfeuilles ont une teneur en eau de l'ordre de 1 à 3 %, qui, après refroidissement, .
remonte à 4 ou 5 %.
- Le triage, qui est destiné à répartir les thés entre les diversesqualités commerciales. Il s'agit d'une opération mécanique.
-Le stockage et l'emballage.
VI . 1 . 2 - Préparation du thé vert non fermenté
Le thé vert est produit et consommé surtout en Chine, au Japonet à Formóse. Autrefois exporté en grande quantité, il ne représente plus que 2 %
du commerce intemationnal du thé, les principaux pays importateurs de thé vertétant le Maroc et 1 'Afganistán . .
Aussitôt après la cueillette, le thé est chauffé à la vapeurpendant quelques minutes, ce qui a pour conséquence de "tuer" la feuille parinactivation' des enzymes, et' donc de supprimer toute fermentation ultérieure.Le traitement est ensuite identique à celui du thé noir.
- 29 -
VI. 2 - Le marché du thé
Les principaux pays producteurs de thé sont reportés sur la cartede la planche 15. La production de thé est répartie de la manière suivante :
Pays
Inde du Nord
" du Sud
Sri-LankaBangladesh
Indonésie
Kenya
Malaisie
Tanzanie
Ouganda
Argentine
Brésil
Turquie
Chine
URSS.
Production 1978 (enmilliers de tonnes)
441
130
199
36
73
93
31
17
11
31
8
2
268
15 exportées
Par son volume (650 000 tonnes /an) , l'exportation du théreprésente l'un des marchés de produits alimentaires les plus importants dansle monde.
VI. 3 - Conclusion
Le traitement du thé fait appel à des- process de séchage. C'esten ce sens une industrie consommatrice d'énergie, qui est implantée dans despays où des ressources géothermiques ont déjà été mises en évidence (Indonésiepar exemple). On peut d'ailleurs citer une application en URSS (Zugdidi -Géorgie)où de l'eau géothermale à 90°C est utilisée pour le séchage du thé.
- 29 -
VI. 2 - Le marché du thé
Les principaux pays producteurs de thé sont reportés sur la cartede la planche 15. La production de thé est répartie de la manière suivante :
Pays
Inde du Nord
" du Sud
Sri-LankaBangladesh
Indonésie
Kenya
Malaisie
Tanzanie
Ouganda
Argentine
Brésil
Turquie
Chine
URSS.
Production 1978 (enmilliers de tonnes)
441
130
199
36
73
93
31
17
11
31
8
2
268
15 exportées
Par son volume (650 000 tonnes /an) , l'exportation du théreprésente l'un des marchés de produits alimentaires les plus importants dansle monde.
VI. 3 - Conclusion
Le traitement du thé fait appel à des- process de séchage. C'esten ce sens une industrie consommatrice d'énergie, qui est implantée dans despays où des ressources géothermiques ont déjà été mises en évidence (Indonésiepar exemple). On peut d'ailleurs citer une application en URSS (Zugdidi -Géorgie)où de l'eau géothermale à 90°C est utilisée pour le séchage du thé.
30 -
Planche 1 5
Let rffioni ptodíftricei d* thí dant lo monde
30 -
Planche 1 5
Let rffioni ptodíftricei d* thí dant lo monde
- 31
VII - LA CANNE A SUCRE
VII . 1 - Le traitement de la canne à sucre
VII. 1.1 - .Les_2rincÍ2ales_éta2es_¿e_la_fabrication_du_sucre
Elles sont données dans le schéma de la planche 16.
VII. 1.2 - La valorisation des_déchets
Les principaux déchets obtenus lors de la fabrication dusucre à partir de la canne à sucre sont les suivantes :
les mélasses, qui, après' stockage en citerne, peuventêtre utilisées comme suit :
- alimentation du bétail ;- fabrication d'alcool par dilution, fermentation et
distillation ; (éthanol et rhum de qualité secondaire) .
- fabrication d'engrais- alimentation humaine ("molascuit" des américains,' levures,
protéines synthétiques, etc...).
Les écumes (30 à 50 kg/tonne de canne) , utilisées comme engrais ;
Les bagasses (300 kg à 45 % d'eau par tonne de canne) utiliséesprincipalement comme combustible des chaudières (3 kg de bagasse à 45 % d'eau =1 kg de charbon). Autres applications : panneaux de particules, gazéificationaprès séchage pour fabrication de combustible pour moteurs diesel, etc...).
VII. 2 - Le marché de la canne à sucre (voir planches 17 et 18)
En 1981, la production mondiale totale de sucre était de 91,9millions de tonnes. La part de la canne à sucre dans cette production était de 61 %
contre 39 % pour la betterave sucrière.
Les principaux pays exportateurs de sucre sont : (en 1981) :
Cuba : 7 millions de tonnes (canne à sucre)La CEE : 5,3 " " " (betterave sucrière)Australie : 3 " " " (canne à sucre)Brésil : 3 " " " (canne à sucre)
VII. 3 - Conclusion
La canne à sucre ne semble pas devoir se prêter à desapplications géothermiques. En effet, l'énergie obtenue à partir de la combustionde la bagasse est supérieure à celle nécessaire à la fabrication du sucre et àla valorisation des déchets.
- 31
VII - LA CANNE A SUCRE
VII . 1 - Le traitement de la canne à sucre
VII. 1.1 - .Les_2rincÍ2ales_éta2es_¿e_la_fabrication_du_sucre
Elles sont données dans le schéma de la planche 16.
VII. 1.2 - La valorisation des_déchets
Les principaux déchets obtenus lors de la fabrication dusucre à partir de la canne à sucre sont les suivantes :
les mélasses, qui, après' stockage en citerne, peuventêtre utilisées comme suit :
- alimentation du bétail ;- fabrication d'alcool par dilution, fermentation et
distillation ; (éthanol et rhum de qualité secondaire) .
- fabrication d'engrais- alimentation humaine ("molascuit" des américains,' levures,
protéines synthétiques, etc...).
Les écumes (30 à 50 kg/tonne de canne) , utilisées comme engrais ;
Les bagasses (300 kg à 45 % d'eau par tonne de canne) utiliséesprincipalement comme combustible des chaudières (3 kg de bagasse à 45 % d'eau =1 kg de charbon). Autres applications : panneaux de particules, gazéificationaprès séchage pour fabrication de combustible pour moteurs diesel, etc...).
VII. 2 - Le marché de la canne à sucre (voir planches 17 et 18)
En 1981, la production mondiale totale de sucre était de 91,9millions de tonnes. La part de la canne à sucre dans cette production était de 61 %
contre 39 % pour la betterave sucrière.
Les principaux pays exportateurs de sucre sont : (en 1981) :
Cuba : 7 millions de tonnes (canne à sucre)La CEE : 5,3 " " " (betterave sucrière)Australie : 3 " " " (canne à sucre)Brésil : 3 " " " (canne à sucre)
VII. 3 - Conclusion
La canne à sucre ne semble pas devoir se prêter à desapplications géothermiques. En effet, l'énergie obtenue à partir de la combustionde la bagasse est supérieure à celle nécessaire à la fabrication du sucre et àla valorisation des déchets.
- 32 -
CANNE A SUCRE
C«nnc fiOO hg)
PreptrstronEgalisation drs cannes
Broyage ImbibiciónCitracTion
Planche . 16
r«l (30 <9)
B*ga»s* (30 kgj
Jus trotiblt HOO kg)
Clanficarion des Jus
ChauffageSullitation Chaulaq»
Jus (75 kg]
Jus clair 170 k 72 kg)
Bouu 125 kg)
' Ecume (J i 5 kg)
¤vat>oration
Concentration
Sirop
CuiteaMalaxage
Turfalnage 1 ou i {«ts
Aliment du Misll
Maaie culte <
Melaiie t* kg)
Sucre (M kg)
Alcool VmatMS
- 32 -
CANNE A SUCRE
C«nnc fiOO hg)
PreptrstronEgalisation drs cannes
Broyage ImbibiciónCitracTion
Planche . 16
r«l (30 <9)
B*ga»s* (30 kgj
Jus trotiblt HOO kg)
Clanficarion des Jus
ChauffageSullitation Chaulaq»
Jus (75 kg]
Jus clair 170 k 72 kg)
Bouu 125 kg)
' Ecume (J i 5 kg)
¤vat>oration
Concentration
Sirop
CuiteaMalaxage
Turfalnage 1 ou i {«ts
Aliment du Misll
Maaie culte <
Melaiie t* kg)
Sucre (M kg)
Alcool VmatMS
Production mondiale de sucre 1981
.: :; ^i--yy%-y :-:
'..f o
" Ú.Í \:f-
' :: 8 \]J\'y''&\,'':y':i ' ) -f' :y-- ':'.^^'?^r'/^ ;.; ^;'-i->.' ^^ - ¿':: K- y<. ^.*''68' ::^ : :f -2 :'*r ;-: '. ^^-'r-.^V-^í ,- :%/ . % y -, - :
;.! 00°. N;/:^ '
I,, ',."'. i d ..-y i^
l.a i.É.'uli iiairr.fc[i.iirñ.ii ' '" ..l. .:. ....7 u >. .....¡rj.::'.' .... ;.,
'.< ' 1'
''- '- .-"*'..- .I.I.',;: .-.. -.->.. .,,... - , I ....:.. ,.^. V.V
!'' !
II. 1
1; t WOJ
Zone da productionds canne à sucre (o)et de beliaraves ()
Milliers de tonnessucre brut 1981
Source : OrganisationIniernatiorul duSucre
Canne à sucreEurope
CEEPortugalEspaflrre
AmériqueE.U. d'Am.
AmériqueBarbadaBelizeCosta RicaCubaRep. Dom.El SalvadorGuatemalaHaïtiHondurasJamaïqueMexiqueNicaraguaPanamaSt KiltsTrinité
3222
IS
du Nord2 45S
centrale97
103190
7 9251 107
182474
50172204
2 6422131853393
AmériqueArgentineBolivieBrézilColombteE<)uateurGuyanaParaguayPérouSurinameUruguayVenezuela
du Sud1624
2508 7261212
330320
76478
843
303
AsieBangladeshBirmanieChineTaiwanIndeIndonésieIrenIrakJaponMalaisieNépalPakistanPhilippinesSri LankaThailarKie
AfriqueAngolaCamerounTchadCongoEgypteEthiopieGabon
12065
2 850843
5 9911200
1515
2454520
9382 376
251702
65662520
55017020
GhanaGuinéeCAte d'h/oiraKenyaMadagascarMalawiMaliMauriceMozambiqueNigeriaRwandaSénégalSomalieAf. du SudSoudanSwazilandTanzanieOugandaHaute-VohaZeireZambieZimbabwe
722
147350112177
961017825
23750
198723036B122203060
102391
OceaniaAustralieFidjiW. Samoa
3 508487
3
BetteraveEuropeAlbanieAutricheBulgarie
25448220
Tchécoslovaquie
CEEFinlandeRDAHongriePolognePonugalRoumanieEspagneSuédeSuisseTurquieURSSYugoslavîe
u;>u15 152
98681584
182413
5531066
369134
12116 200
859
Amérique du NordCanada
.E.U. d'Am.99 .
3 179
Amwlqu* iwntrale
AalaAfghaniatanChineIrenIreklireetJaponLibanPakistanSyrieVietnam
0
2600
851020
5675 .
3235
100
Amérique du SudChileUruguay
20055
AfriqueAlgérieMarocTunisie
Océanle
16365
16
0
Totaux mondiauxcannebetteraveeb+c
66 26535 67''91 932
3O
(D
Production mondiale de sucre 1981
.: :; ^i--yy%-y :-:
'..f o
" Ú.Í \:f-
' :: 8 \]J\'y''&\,'':y':i ' ) -f' :y-- ':'.^^'?^r'/^ ;.; ^;'-i->.' ^^ - ¿':: K- y<. ^.*''68' ::^ : :f -2 :'*r ;-: '. ^^-'r-.^V-^í ,- :%/ . % y -, - :
;.! 00°. N;/:^ '
I,, ',."'. i d ..-y i^
l.a i.É.'uli iiairr.fc[i.iirñ.ii ' '" ..l. .:. ....7 u >. .....¡rj.::'.' .... ;.,
'.< ' 1'
''- '- .-"*'..- .I.I.',;: .-.. -.->.. .,,... - , I ....:.. ,.^. V.V
!'' !
II. 1
1; t WOJ
Zone da productionds canne à sucre (o)et de beliaraves ()
Milliers de tonnessucre brut 1981
Source : OrganisationIniernatiorul duSucre
Canne à sucreEurope
CEEPortugalEspaflrre
AmériqueE.U. d'Am.
AmériqueBarbadaBelizeCosta RicaCubaRep. Dom.El SalvadorGuatemalaHaïtiHondurasJamaïqueMexiqueNicaraguaPanamaSt KiltsTrinité
3222
IS
du Nord2 45S
centrale97
103190
7 9251 107
182474
50172204
2 6422131853393
AmériqueArgentineBolivieBrézilColombteE<)uateurGuyanaParaguayPérouSurinameUruguayVenezuela
du Sud1624
2508 7261212
330320
76478
843
303
AsieBangladeshBirmanieChineTaiwanIndeIndonésieIrenIrakJaponMalaisieNépalPakistanPhilippinesSri LankaThailarKie
AfriqueAngolaCamerounTchadCongoEgypteEthiopieGabon
12065
2 850843
5 9911200
1515
2454520
9382 376
251702
65662520
55017020
GhanaGuinéeCAte d'h/oiraKenyaMadagascarMalawiMaliMauriceMozambiqueNigeriaRwandaSénégalSomalieAf. du SudSoudanSwazilandTanzanieOugandaHaute-VohaZeireZambieZimbabwe
722
147350112177
961017825
23750
198723036B122203060
102391
OceaniaAustralieFidjiW. Samoa
3 508487
3
BetteraveEuropeAlbanieAutricheBulgarie
25448220
Tchécoslovaquie
CEEFinlandeRDAHongriePolognePonugalRoumanieEspagneSuédeSuisseTurquieURSSYugoslavîe
u;>u15 152
98681584
182413
5531066
369134
12116 200
859
Amérique du NordCanada
.E.U. d'Am.99 .
3 179
Amwlqu* iwntrale
AalaAfghaniatanChineIrenIreklireetJaponLibanPakistanSyrieVietnam
0
2600
851020
5675 .
3235
100
Amérique du SudChileUruguay
20055
AfriqueAlgérieMarocTunisie
Océanle
16365
16
0
Totaux mondiauxcannebetteraveeb+c
66 26535 67''91 932
3O
(D
- 34 -
Planche 18
Production mondiale de sucre 1981
cco
UJTJ(ACO
16
15
M
13
12
10
8
7
sJ
(La CEE et les 18 pays produisant plus d'un million tonnes)
c = canne à sucre b = betterave(tonnes sucre brut)
d
ir, m tnu
UJ
PINO
)U,
ZiaLU
ç çco li IO CM
_1 <o ra. I-
uj o
< (J
CN fN
ri 'J
UJ (/}
5 gg o= 9
c oz 6
2
5 -zs UJ
°. i0. a.LU trt
Source: Organisation Internationale du Sucre, Londres. En dépit de leur production pro¬pre, la moitié de ces pays, sunout l'URSS et les Etats-Unis, sont des imponateurs netsde sucre.
- 34 -
Planche 18
Production mondiale de sucre 1981
cco
UJTJ(ACO
16
15
M
13
12
10
8
7
sJ
(La CEE et les 18 pays produisant plus d'un million tonnes)
c = canne à sucre b = betterave(tonnes sucre brut)
d
ir, m tnu
UJ
PINO
)U,
ZiaLU
ç çco li IO CM
_1 <o ra. I-
uj o
< (J
CN fN
ri 'J
UJ (/}
5 gg o= 9
c oz 6
2
5 -zs UJ
°. i0. a.LU trt
Source: Organisation Internationale du Sucre, Londres. En dépit de leur production pro¬pre, la moitié de ces pays, sunout l'URSS et les Etats-Unis, sont des imponateurs netsde sucre.
- 35 -
VIH - LE CAFE
VIII.I - Le traitement du café
Les principales étapes du traitement du café sont données par le.schéma de la planche 19, qui montre qu'il existe deux technologies detransformation : la voie sèche et la voie humide.
Seule la voie humide est consommatrice d'énergie autre quel'énergie solaire. En réalité, ces besoins sont couverts par la combustion descoques, qui représentent 50 % du poids des cerises sèches et dont le pouvoircalorifique inférieur est de 4000 kcal/kg. A titre d'exemple, l'usine de SERIC(Côte d'Ivoire) produit 30 000 tonnes de café vert par an et 30 000 tonnes decoques. Le turboalternateur de l'usine n'en consomme que 8000 tonnes/an, pourune production de 2 millions de kwh (4 kg de coques_-1kwh) .
VIII. 2 - Le marché du café
la platiche 20.Les pays producteurs de café sont reportés sur la carte de
Le café est produit par 71 pays (voir planche 21) mais seuls43 d'entre eux sont membres de l'Organisation Internationale du café.
Le. premier producteur, est de loin le Brésil, avec 1/3 dela production mondiale (19 200 000 sacs en 19.78.) suivi par la Colombie(10 100 000 sacs en 1978).
La consommation est quant à elle et avant tout le fait despays développés. Au premier rang, on trouve depuis 1975 la CEE qui représenteprès de 40 % de la consommation mondiale, suivie des U.S.A.
VIII. 3 - Conclusion
Le traitement du café conduit à la production en grandequantité de déchets au pouvoir calorifique important, ce qui traduit par desbilans énergétiques élevés. De ce fait, il ne peut en aucun cas présenter uneapplication intéressante pour la géothermie, le problème étant bien au contrairede parvenir à une meilleure valorisation, qui n'est que très partielle actuel¬lement (26 %) . Les perspectives de valorisation sont les suivantes :
Vendre de l 'e'iectricité sur le réseau ;
Associer les usines de traitement de café à celles ducacao, au bilan énergétique largement déficitaire.
- 35 -
VIH - LE CAFE
VIII.I - Le traitement du café
Les principales étapes du traitement du café sont données par le.schéma de la planche 19, qui montre qu'il existe deux technologies detransformation : la voie sèche et la voie humide.
Seule la voie humide est consommatrice d'énergie autre quel'énergie solaire. En réalité, ces besoins sont couverts par la combustion descoques, qui représentent 50 % du poids des cerises sèches et dont le pouvoircalorifique inférieur est de 4000 kcal/kg. A titre d'exemple, l'usine de SERIC(Côte d'Ivoire) produit 30 000 tonnes de café vert par an et 30 000 tonnes decoques. Le turboalternateur de l'usine n'en consomme que 8000 tonnes/an, pourune production de 2 millions de kwh (4 kg de coques_-1kwh) .
VIII. 2 - Le marché du café
la platiche 20.Les pays producteurs de café sont reportés sur la carte de
Le café est produit par 71 pays (voir planche 21) mais seuls43 d'entre eux sont membres de l'Organisation Internationale du café.
Le. premier producteur, est de loin le Brésil, avec 1/3 dela production mondiale (19 200 000 sacs en 19.78.) suivi par la Colombie(10 100 000 sacs en 1978).
La consommation est quant à elle et avant tout le fait despays développés. Au premier rang, on trouve depuis 1975 la CEE qui représenteprès de 40 % de la consommation mondiale, suivie des U.S.A.
VIII. 3 - Conclusion
Le traitement du café conduit à la production en grandequantité de déchets au pouvoir calorifique important, ce qui traduit par desbilans énergétiques élevés. De ce fait, il ne peut en aucun cas présenter uneapplication intéressante pour la géothermie, le problème étant bien au contrairede parvenir à une meilleure valorisation, qui n'est que très partielle actuel¬lement (26 %) . Les perspectives de valorisation sont les suivantes :
Vendre de l 'e'iectricité sur le réseau ;
Associer les usines de traitement de café à celles ducacao, au bilan énergétique largement déficitaire.
- 36 -Planche 19
LE TRAITEMENT DU CAFE
Vela aeche Vele humid»
(36 h maximum apréa récolte]
L.
klocMmlque
chlmlqu* (carbonala de chau«. lolutlon NtUI
mécanique
Séchift artificiel
(Oépircheusea mécaniquaepar frottameitt)
Wllbaux (H.I.La Irallament du Café
Rome FJLO. IMI.
- 36 -Planche 19
LE TRAITEMENT DU CAFE
Vela aeche Vele humid»
(36 h maximum apréa récolte]
L.
klocMmlque
chlmlqu* (carbonala de chau«. lolutlon NtUI
mécanique
Séchift artificiel
(Oépircheusea mécaniquaepar frottameitt)
Wllbaux (H.I.La Irallament du Café
Rome FJLO. IMI.
Carte des pays producteurs et des pays achetant le plus de café
Tropiquedu Cancer
Tropique duCapricorne
Consommationannuellepar personne
8 kg et plus
3-7,99 kg
ï-i'iMH 1-2,99 kg
moins de 1
Régions de production de caté
38 -
PAYS PRODUCTEURS DE CAFE
Planche 21
1. Angola A2. Australie3. Bénln(*)A4. Bolivie A5. Brésil A6. Burundi () A7. Cambodge8. Cameroun () A9. Cap Vert ()
10. Centrafrique(») A11. Chine12. Colombie A13. Comores(»)14. Congo(») A15. Costa ñica A16. Côte d'Ivoire () A17. Cuba18. Equateur A19. Ethiopie () A20. Gabon () A21. Ghanar) A
() pays ACP.£, membre exportateur da i'OIC.
22. Guadeloupe23. Guatemala A24. Guinée () A25. Guinée Equatoriale (*)26. Guyana ()27. Haïti A28. Hawai29. Honduras A30. Inde A31. Indonésie A32. Jamaïque () A33. Kenya(«)A34. Laos35. Libéria(*)A36. Madagascar(*) A37. Malaisie38. Malavi/i(*)A39. Martinique40. Mexique A41. Mozambique42. Nicaragua A43. Nigeria () A44. Nouvelle Calédonie45. Nouvelles Hébrides46. Ouganda(*) A
47. Panama A48. Papouasie-Nouvelle Guinée (*) A49. Paraguay A50. Pérou A51. Philippines52. Púíynébie53. Porto-Rico54. République Dominicaine A55. Réunion56. Rwanda () A57. Salvador A58. Sao Tomé e Principe(*)59. Sierra Leone () A60. Soudan ()61. Suriname(*)62. Tanzanie () A63. Thaïlande64. Togo(») A65. Trinité et Tobago(*) A22. Venezuela A67. Vietnam68. Yémen69. Zaïre () A70. Zambie ()71. Zimbabwe
38 -
PAYS PRODUCTEURS DE CAFE
Planche 21
1. Angola A2. Australie3. Bénln(*)A4. Bolivie A5. Brésil A6. Burundi () A7. Cambodge8. Cameroun () A9. Cap Vert ()
10. Centrafrique(») A11. Chine12. Colombie A13. Comores(»)14. Congo(») A15. Costa ñica A16. Côte d'Ivoire () A17. Cuba18. Equateur A19. Ethiopie () A20. Gabon () A21. Ghanar) A
() pays ACP.£, membre exportateur da i'OIC.
22. Guadeloupe23. Guatemala A24. Guinée () A25. Guinée Equatoriale (*)26. Guyana ()27. Haïti A28. Hawai29. Honduras A30. Inde A31. Indonésie A32. Jamaïque () A33. Kenya(«)A34. Laos35. Libéria(*)A36. Madagascar(*) A37. Malaisie38. Malavi/i(*)A39. Martinique40. Mexique A41. Mozambique42. Nicaragua A43. Nigeria () A44. Nouvelle Calédonie45. Nouvelles Hébrides46. Ouganda(*) A
47. Panama A48. Papouasie-Nouvelle Guinée (*) A49. Paraguay A50. Pérou A51. Philippines52. Púíynébie53. Porto-Rico54. République Dominicaine A55. Réunion56. Rwanda () A57. Salvador A58. Sao Tomé e Principe(*)59. Sierra Leone () A60. Soudan ()61. Suriname(*)62. Tanzanie () A63. Thaïlande64. Togo(») A65. Trinité et Tobago(*) A22. Venezuela A67. Vietnam68. Yémen69. Zaïre () A70. Zambie ()71. Zimbabwe
- 39 -
IX - LE PALMIER A HUILE
très positif.
IX. 1 - Le traitement des produits du palmier à huile
IX . 1 . 1 - Les principales étapes du traitement
Elles sont reportées dans le schéma de la planche 22.
IX. 1.2 - Bilanénergétique deis huileries de palmes.
Les grosses usines (plus de 20t/h) ont un bilan énergétique
Les usines moyennes ont un bilan équilibré (quasi autonome) ,
Les petites usines ont, au contraire, un bilan déficitairenécessitant un apport énergétique extérieur.
La vapeur nécessaire au traitement est produite par deschaudières alimentées par les déchets (fibres ou coques). Cette vapeur estégalement utilisée pour la production d'électricité par des turboalternateursdont la puissance est en général de 500 KVA.
IX. 2 - Valorisation des déchets
Les rafles sont très humides (60 â 70 % d'eau) et doncdifficiles à brûler.
Les fibres sont brûlées (production de vapeur et d'électricité).
Les coques sont soit brûlées, soit stockées pour une utilisationmeilleure.
Les boues, très polluantes (DBO très forte) sont rejetéesà l'heure actuelle.
IX. 3 - Conclusion
Mises à part les petites usines dont le bilan énergétique estdéficitaire, l'industrie du palmier à huile ne présente pas d'intérêt majeurpour la géothermie, puisque la quasi totalité des besoins énergétiques qu'ellereprésente est couverte par la valorisation des déchets végétaux.
- 39 -
IX - LE PALMIER A HUILE
très positif.
IX. 1 - Le traitement des produits du palmier à huile
IX . 1 . 1 - Les principales étapes du traitement
Elles sont reportées dans le schéma de la planche 22.
IX. 1.2 - Bilanénergétique deis huileries de palmes.
Les grosses usines (plus de 20t/h) ont un bilan énergétique
Les usines moyennes ont un bilan équilibré (quasi autonome) ,
Les petites usines ont, au contraire, un bilan déficitairenécessitant un apport énergétique extérieur.
La vapeur nécessaire au traitement est produite par deschaudières alimentées par les déchets (fibres ou coques). Cette vapeur estégalement utilisée pour la production d'électricité par des turboalternateursdont la puissance est en général de 500 KVA.
IX. 2 - Valorisation des déchets
Les rafles sont très humides (60 â 70 % d'eau) et doncdifficiles à brûler.
Les fibres sont brûlées (production de vapeur et d'électricité).
Les coques sont soit brûlées, soit stockées pour une utilisationmeilleure.
Les boues, très polluantes (DBO très forte) sont rejetéesà l'heure actuelle.
IX. 3 - Conclusion
Mises à part les petites usines dont le bilan énergétique estdéficitaire, l'industrie du palmier à huile ne présente pas d'intérêt majeurpour la géothermie, puisque la quasi totalité des besoins énergétiques qu'ellereprésente est couverte par la valorisation des déchets végétaux.
- 40
TRAITEMENT DES PRODUITS DU PALMIER A HUILE
Planche 22
lU^im (too kg)
Soues
1 EorappA9« f-
Ftuill lU-U t«l
1
1
' 1 .HutU Liuto
\1 1" tXutttCélton
1
/ ^,.
1
/\11^ cUfifiution L// M
f Suuu IfciiUs c
J / lJ f fIr£cui<4> :* Mri boijcsj
1
Huif« insitiiùttWm
rfpiirjiiun
OeshrJiMiAiioii
IX ujiia liuJa finln .vu k|
TMl<li:a
U.(.(3y« 1
Vfitr.clHHi r
. Hallas «ISO k
Er
cr
1 ^^jy
1
1
C
1
AmJ
TCMWIUJUX
1S«rhii>jw
1DClilHdtjrr
AutDClJV*
1
C^>btmq%
)
1
1
1
ICfO»B«B
1 1
Triaq« j
nda» f <.oqit«i
1jStaVdléon (Uvatt«| p-.^
IZAi(iai)Ji
1Arnold* B
1
11 Mts« t.*ti S.H-
1
' 1
,..|
fibnm
IMk
y \Pcl:ta JibrU
(llnM)
Cequia
- 40
TRAITEMENT DES PRODUITS DU PALMIER A HUILE
Planche 22
lU^im (too kg)
Soues
1 EorappA9« f-
Ftuill lU-U t«l
1
1
' 1 .HutU Liuto
\1 1" tXutttCélton
1
/ ^,.
1
/\11^ cUfifiution L// M
f Suuu IfciiUs c
J / lJ f fIr£cui<4> :* Mri boijcsj
1
Huif« insitiiùttWm
rfpiirjiiun
OeshrJiMiAiioii
IX ujiia liuJa finln .vu k|
TMl<li:a
U.(.(3y« 1
Vfitr.clHHi r
. Hallas «ISO k
Er
cr
1 ^^jy
1
1
C
1
AmJ
TCMWIUJUX
1S«rhii>jw
1DClilHdtjrr
AutDClJV*
1
C^>btmq%
)
1
1
1
ICfO»B«B
1 1
Triaq« j
nda» f <.oqit«i
1jStaVdléon (Uvatt«| p-.^
IZAi(iai)Ji
1Arnold* B
1
11 Mts« t.*ti S.H-
1
' 1
,..|
fibnm
IMk
y \Pcl:ta JibrU
(llnM)
Cequia
41 -
X - LE COPRAH
X.l - Traitement du coprah
X . 1 . 1 - Les .principales étapes duj traitement du. coprah
Elles sont reportées dans le schéma de la planche 23.
X.1.2 - Bilan énergétique
Cinq tonnes de noix de coco sont nécessaires à la fabricationd'une tonne de coprah. Cela nécessite la mise en service de volumes importants.La main d'oeuvre étant de plus en plus rare, il s'avère nécessaire de faireappel à une mécanisation poussée. Plusieurs pilotes existent, dont le bilanénergétique est positif du fait de la valorisation énergétique des déchets.
X.2 - Valorisation des déchets
Valorisation énergétique des fibres par combustion en chaudière.
Valorisation des coques soit par combustion en chaudière( r vapeur et électricité) soit par pyrolyse (obtention de charbon actifet de gaz pauvre) .
X.3 - Conclusion
Le traitement du coprah ne constitue pas une applicationintéressante pour la géothermie, la valorisation énergétique des déchets permet¬tant de couvrir la totalité des besoins.
41 -
X - LE COPRAH
X.l - Traitement du coprah
X . 1 . 1 - Les .principales étapes duj traitement du. coprah
Elles sont reportées dans le schéma de la planche 23.
X.1.2 - Bilan énergétique
Cinq tonnes de noix de coco sont nécessaires à la fabricationd'une tonne de coprah. Cela nécessite la mise en service de volumes importants.La main d'oeuvre étant de plus en plus rare, il s'avère nécessaire de faireappel à une mécanisation poussée. Plusieurs pilotes existent, dont le bilanénergétique est positif du fait de la valorisation énergétique des déchets.
X.2 - Valorisation des déchets
Valorisation énergétique des fibres par combustion en chaudière.
Valorisation des coques soit par combustion en chaudière( r vapeur et électricité) soit par pyrolyse (obtention de charbon actifet de gaz pauvre) .
X.3 - Conclusion
Le traitement du coprah ne constitue pas une applicationintéressante pour la géothermie, la valorisation énergétique des déchets permet¬tant de couvrir la totalité des besoins.
- 42 - Planche 23
TRAITEMENT DU COPRAH
Vr'.i. de coco
j jt'iarage p Fibres
lissage
Energie themrique
îfchage
Sècr.i:» au foin-
rîj-actton r
SèzTitzs au four
lirrah sec
- Coiabustion en chaudièr(peu fréquente)
Combustion enchaudières spéciales
-CoquesC\^ diarbon actif
Pyrolyse ^> iioteur ^ ki."-.^ 'dual-fuel élecfiques
- 42 - Planche 23
TRAITEMENT DU COPRAH
Vr'.i. de coco
j jt'iarage p Fibres
lissage
Energie themrique
îfchage
Sècr.i:» au foin-
rîj-actton r
SèzTitzs au four
lirrah sec
- Coiabustion en chaudièr(peu fréquente)
Combustion enchaudières spéciales
-CoquesC\^ diarbon actif
Pyrolyse ^> iioteur ^ ki."-.^ 'dual-fuel élecfiques
- 43 -
XI CONCLUSION
La valorisation des déchets végétaux issus de la transformation decertains produits tels que le café, le palmier à huile, le coprah et la canneà sucre, cultivés dans les pays en voie de développement a permis .d'éviter unÉ'Écours systématique à des coinbustibles importés.
Cependant, un tel schéma n'est pas généralisable, et il est nécessairepour des produits tels que l'arachide, le manioc, le riz, le thé, le cacao etle coton d'avoir recours à des combustibles qui sont le plus souvent importés,le plus utilisé étant le fuel.
Or, il se trouve que nombre des pays où ces produits sont cultivés ettraités sont concernés par des ressources géothermiques, prouvées ou potentielles.Par ailleurs, les niveaux de température utilisés dans les process sont tout àfait compatibles avec ceux d'une ressource géothermale basse énergie ou moyenneénergie.
En ce sens, le recours à cette forme d'énergie pour couvrir les besoinscorrespondant à ces traitements peut paraître séduisant.
Toutefois, il apparaît à l'évidence que les unités de traitement dontl'importance serait telle qu'elle justifierait à priori la réalisation d'uneopération de géothermie sont très peu nombreuses , indépendemment des problèmesfinanciers que pose-. - un investissement de cette importance dans un contexte P.V.D.
Il semble en fait que les seuls recours possibles sont soit le captaged'eaux chaudes à très faible profondeur, soit le raccordement à un réseau dans lecadre d'une opération plus vaste, soit l'utilisation des eaux de condensât d'unecentrale géothermique. En effet, le problème est de minimiser le surcoûtd'investissement lié au captage d'une ressource géothermale par rapport à unesource thermique conventionnelle du type chaudière au fuel, surcoût qui doit êtrerentabilisé par les économies de combustible réalisées grâce à la géothermie.
Mis à part le cas particulier des captages d'eaux chaudes à trèsfaible profondeur, pour lesquels on peut envisager l'implantation de petites unitésde traitement indépendantes, le recours à la géothermie passe donc vraissemblablementpar une politique d'aménagement à l'échelon du pays ou de la région concernée,qui devra analyser les possibilités de regroupement des unités à proximité deschamps géothermiques en fonction de leurs éloignements par rapport aux zones deproductions, aux facilités d'accès, aux possibilités de transport, aux disponi¬bilités de main d'oeuvre, et, le cas échéant, aux possibilités de traiter dansune même unité différents types de produits aux cycles différents, de manière àassurer un fonctionnement le plus permanent possible.
- 43 -
XI CONCLUSION
La valorisation des déchets végétaux issus de la transformation decertains produits tels que le café, le palmier à huile, le coprah et la canneà sucre, cultivés dans les pays en voie de développement a permis .d'éviter unÉ'Écours systématique à des coinbustibles importés.
Cependant, un tel schéma n'est pas généralisable, et il est nécessairepour des produits tels que l'arachide, le manioc, le riz, le thé, le cacao etle coton d'avoir recours à des combustibles qui sont le plus souvent importés,le plus utilisé étant le fuel.
Or, il se trouve que nombre des pays où ces produits sont cultivés ettraités sont concernés par des ressources géothermiques, prouvées ou potentielles.Par ailleurs, les niveaux de température utilisés dans les process sont tout àfait compatibles avec ceux d'une ressource géothermale basse énergie ou moyenneénergie.
En ce sens, le recours à cette forme d'énergie pour couvrir les besoinscorrespondant à ces traitements peut paraître séduisant.
Toutefois, il apparaît à l'évidence que les unités de traitement dontl'importance serait telle qu'elle justifierait à priori la réalisation d'uneopération de géothermie sont très peu nombreuses , indépendemment des problèmesfinanciers que pose-. - un investissement de cette importance dans un contexte P.V.D.
Il semble en fait que les seuls recours possibles sont soit le captaged'eaux chaudes à très faible profondeur, soit le raccordement à un réseau dans lecadre d'une opération plus vaste, soit l'utilisation des eaux de condensât d'unecentrale géothermique. En effet, le problème est de minimiser le surcoûtd'investissement lié au captage d'une ressource géothermale par rapport à unesource thermique conventionnelle du type chaudière au fuel, surcoût qui doit êtrerentabilisé par les économies de combustible réalisées grâce à la géothermie.
Mis à part le cas particulier des captages d'eaux chaudes à trèsfaible profondeur, pour lesquels on peut envisager l'implantation de petites unitésde traitement indépendantes, le recours à la géothermie passe donc vraissemblablementpar une politique d'aménagement à l'échelon du pays ou de la région concernée,qui devra analyser les possibilités de regroupement des unités à proximité deschamps géothermiques en fonction de leurs éloignements par rapport aux zones deproductions, aux facilités d'accès, aux possibilités de transport, aux disponi¬bilités de main d'oeuvre, et, le cas échéant, aux possibilités de traiter dansune même unité différents types de produits aux cycles différents, de manière àassurer un fonctionnement le plus permanent possible.
- 44
Bibliographie
Traitement du Manioc. " M. GRACE. Expert conseil auprès de la FAO
Rice : production and utilization. Westport. AVI. 1980
Traitement industriel de l'Arachide. SEDIAC.
L'Arachide. GILLIER ET SYLVESTRE.
Le Cacao . François LERY
Le Thé. Jean RUNNER
Evaluation des energies renouvelables pour les pays en voie de développement
(Ministère de la Coopération. COMES)
Le Riz. A. ANGLADETTE
Rice. 5ème ed. Grist. Londres. Longnan 1975
- 44
Bibliographie
Traitement du Manioc. " M. GRACE. Expert conseil auprès de la FAO
Rice : production and utilization. Westport. AVI. 1980
Traitement industriel de l'Arachide. SEDIAC.
L'Arachide. GILLIER ET SYLVESTRE.
Le Cacao . François LERY
Le Thé. Jean RUNNER
Evaluation des energies renouvelables pour les pays en voie de développement
(Ministère de la Coopération. COMES)
Le Riz. A. ANGLADETTE
Rice. 5ème ed. Grist. Londres. Longnan 1975
Recommended