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Cahier de recherches pour la création d'une sneakers pour la marque Nike.
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Quand Nike prend son premier souffl e, il respire l’esprit de deux hommesBill Bowerman, entraîneur d’athlétisme à l’université de l’Oregon, et Phil Knight, étudiant en comptabilité et coureur de demi-fond, ont l’idée d’importer du Japon des chaussures d’athlétisme peu chères et de haute-technicité. La même année, leur Compagnie “Blue Ribbon Sports” vend des chaussures du fabricant japonais Onitsuka Tiger.
Fondée sur une poignée de main, 500$ et une confi ance mutuelleEn 1965, Jeff Johnson les rejoint et est le premier vendeur-représentant à plein temps de la marque : il fait le tour des stades d’athlétisme pour promouvoir ces chaussures. L’année suivante, Johnson ouvre le premier magasin de la Compagnie à Santa Monica, en Californie. Johnson rebaptise l’entreprise “Nike” en 1966 et Bowerman s’occupe du design.
La naissance de la marque Nike et de la compagnieEn 1971, pour 35 dollars, une étudiante en art graphique, Carolyn Davidson, conçoit le logo en virgule de Nike. Elle s’occupe de la publicité de la fi rme jusqu’à la nécessité d’employer à plein temps une agence de communication. En 1972, Nike est crée par Phil Knight et Bill Bowerman.1973 : Nike lance sa célèbre basket Waffl e (gaufre en anglais). Elle était révolutionnaire car elle avait une semelle capable d’amortir les chocs et d’aider à rebondir.1979 : La chaussure de course Tailwind reçoit la nouvelle technologie “Air”. Des poches remplies de gaz sont incluses dans la semelle pour améliorer le confort du coureur.
1950s
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1990s
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1980s Une décennie de transition et de dédicacesEn 1981, Nike devient numéro 1 de la chaussure de sport aux États-Unis, et en profi te pour entrer en bourse. L’année d’après, Nike lance la Air Force One basketball. Le basket-ball devient le sport phare de la marque avec la signature du joueur Michael Jordan en 1984 et la création de la Nike Air Jordan. Le logo reçoit un slogan : “Just do it” (“Fais-le”, “Just” ajoute le sens de “cesse d’en parler, d’essayer, ou d’en rêver : fais-le”) et de nombreux sportifs sont sous contrat de fourniture durant l’année 1988.
Nike étend sa portée1994 : Nike fait de Bauer une fi liale du groupe. 1997 : C’est l’année noire de Nike, qui est accusé de confi er la production de ses produits par des sous-traitants employant des enfants.
Conduisant à une nouvelle génération2003 : Nike Inc. rachète son rival Converse Shoes pour 305 millions de dollars.2005 : Phil Knight prépare sa succession. Il désigne son successeur, Bill Perez, avant de pousser ce dernier vers la sortie et de le remplacer en janvier 2006 par Mark Parker. En 2006 Nike et Bauer crée la marque commune “Nike Bauer”, devenant au passage l’un des géants de l’industrie des équipements de hockey sur glace, notamment dans la Ligue nationale de hockey.2008 : Nike se sépare de Bauer en le vendant à un groupe d’investisseurs dirigé par l’homme d’affaires Graeme Roustan, d’origine québécoise, et la fi rme américaine d’investissement privé Kohlberg & Co. La vente est estimée à 200 Millions de dollars. Le 22 février 2009, la marque américaine devient l’équipementier de l’équipe de France de football.
La basket doit être mythique, authentique et marquer l’histoire de la marque Nike.
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Mark Parker, 53 ans, Président Directeur Général
Philip H. Knight, Chairman of the Board of Directors Charlie Denson, President, NIKE Brand
Fraser Cooke, 37 ans, Directeur marketing de la cellule Nike EnergyPionnier de la street culture, c’est un grand fan de Funk, Soul et Hip Hop
La basket doit être innovante et très impactante afin de séduire les dirigeants de Nike.
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Performance style « just do it » dépassement de soi mythe Succès « dans le vent » produits qui véhiculent une attitude Nike, c’est une religion valoir plus que nos adversaires spontanéité Avant gardiste Courage Victoire en grec Michael Jordan sentiment d’appartenance à une élite Réussite les gens «cool» portent Nike Sportivité liberté d’expression individualisme
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La basket doit véhiculer un message fort en mettant en avant des valeurs telles que la perfor-mance et la réussite. Elle doit également représenter la liberté d’expressionpar le fait de rendre un détail où même la basket entière customisable. Il faut jouer sur l’élitisme.
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• Le Swoosh a été dessiné en 1971 par Carolyn Davidson, une étudiante en graphisme à la Portland State University, pour la petite somme de 35 dollars.
• Le Swoosh est, selon un surnom courant, le logo de l’équipementier sportif Nike. Le logo est simple, consistant en une virgule posée à l’envers et à l’horizontale, supposée donner une idée de mouvement, et représenter de manière stylisée l’aile de Niké, déesse grecque de la victoire, qui a également donné son nom à la marque. C’est l’un des logos commerciaux le plus facilement reconnaissablepartout dans le monde.
Déesse grecque Athéna Niké
Simple, fl uide et rapide.
Reconnaissablemémorisable & impactant
Le logo Nike est un bel exemple qui montre bien qu’il est possible d’obtenir beaucoup de force tout en simplicité. La brutale simplicité est souvent la meilleure solution. La référence très symbolique à la déesse de la victoire Athena Niké renforce également le style et la symbolique de la marque. Simple, fl uide et rapide sont les clés du succès.
La basket doit posséder une forte identité afin d’être facilement reconnaissable et mémorisable.Il faut jouer avec la virgule, le swoosh Nike et éventuellement sur une symbolique.
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Michael Jordan Rugby Federer Star stratégie Air Jordan Joga Bonito SponsoringBranding valeurs tennis Spot publicitaire Stars, personnalités et athlètes connues Football
La stratégie Nike est axée sur le branding, et tout particulièrement celui des stars.
Mais qu’est-ce que le branding ?
L’un des principes fondateurs de Nike était de transformer un groupe sélect d’athlètes en superstars dans le style hollywoodien, et les associer non pas à leurs équipes ni même, à leurs sports, mais plutôt à certaines valeurs sur l’effort physique en tant que transcendance et perséverance dans l’effort.
Knight a beaucoup investi dans ce domaine avec notamment l’exemple le plus signifi catif qui est celui de Michael Jordan. Mais Knight ne s’arrêta pas à une seule star et se diversifi a dans tous les sports possibles avec la campagne Joga bonito dans le football
ou encore la sponsoring de Tiger Woods, grand champion de golf américain. Un grand nombre des spots télévisés les plus célèbres de Nike utilisent des stars pour mettre en avant l’idée de valeurs sportives, plutôt que la simple représentation que l’on peut se faire du sport.
Les spots mettent souvent en valeur des sportifs célèbres s’adon-nant à une discipline différente de celle qui est la leur sur le plan professionnel, ainsi, par exemple, le tennisman professionnel André Agassi exhibant sa version du « golf rock’n’roll ».
Depuis des années, Nike a su réagir aux évènements sportifs. C’est ce que les économistes appellent l’« opportunist mark », l’idée qu’une entreprise utilise l’actualité pour mener à bienses campagnes de pubs.
Les campagnes de publicité de Nike sont remarquablement bien étudiées et réalisées. Le fait d’utiliser des stars connues et de les glorifi er en les associant à des valeurs sportives est une idée extrêmement ingénieuse. Cette méthode propulse la star en une superstar et accroît férocement la notoriété de la marque auprès des consommateurs. Il ne manque plus qu’une phrase d’accroche courte et très forte au niveau des valeurs pour mettre la touche fi nale.
La basket doit être associée à une star ou bien à une célébrité telle que Michael Jackson et la glorifier en l’associant à des valeurs fortes comme le succès et la performance.
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Sur le plan national, la méthode est exactement la même qu’à l’échelle internationale. Une star connue mondialement est mise en avant et élevée au rang de “superstar”, s’accompagnant aussi d’une phrase forte et du swoosh Nike. La photographie faite dans un studio montre ici James Lebron à son avantage dans différentes positions de préparation précèdant un match de basket-ball. L’éclairage est très important et la position de l’athlète également. Chaque position dégage un instant clé de la préparation de l’athlète James Lebron juste avant un match important.
James Lebron 2009
Le concept store doit être en cohérence avec la basket et donc prévoir une campagne de publicité autour de la même star. Il faut, grâce à la photographie, mettre la star en avant dans différentes positions clés, ou attitudes. La phrase d’accroche doit être simple, courte, efficace et en anglais.
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1972Cortez
1973Waffl e
1973Blazer
1982Air Force 1
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1987Air Max 1
1990Air Max 90
2001Shox
2006Air Max 360
1990Air Max classic
1979Tailwind
1984Air Jordan
1984Vandal
1970 2009
Utilisation du logo en grand
Semelle imposante
Utilisation sportive
Utilisation citadine, urbaine
objets cultes, fashion
Increvable
Performante
Résistante
Graphisme contrasté entre parties blanches et colorées
Semelles à coussins d’air
Les baskets Nike ont toujours été un gage de qualité et de perfor-mance. Au lancement de la marque en 1972, le but était de réaliser des chaussures per-formantes de sport.
Avec l’évolution de la société, les bas-kets Nike sont de-venues de nos jours des objets à la mode.Toujours très contras-tées entre parties blanches et colorées, les baskets Nike se dé-marquent également par l’utilisation du logo en grand. Facilement reconnaissable dans la rue, les semelles imposantes renfor-cent l’impact visuel.
La basket doit comporter le swoosh Nike en grand tout en mettant en avant l’effet “culte“.Des effets de contrastes, très utilisés pour la plupart des modèles de la marque, sont à prévoir.
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# Dunk Low « Tiffany » - 900$# Dunk High Premium « Panda » - 540$# Dunk High « Gold » - 4500$
Il faut savoir que Nike est précurseur dans le lancement de baskets collectors. En effet, Nike est la première marque de sport a avoir sû tirer avantage de ce mode de vente. A la fois très marketing et astucieux, réaliser une paire de baskets collector est une manière d’enjoliver la basket et également la marque.Les baskets collector de Nike possèdent toutes entre elles plusieurs points communs : le swoosh de Nike en grand, un fort impact visuel par l’utilisation de couleurs vives très contrastées et un aspect graphique impactant, grâce à l’utilisation de matériaux rares et précieux.
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La basket doit être unique. Il faut jouer avec des matériaux nobles et précieux avec des effets mats, brillants ou satinés. Le graphisme de la basket doit posséder un fort impact visuel en présentant des particularités très marquées. L’utilisation de surpiqûres dorées ou argentées est astucieux.
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« Be true » : respectez vos couleurs, votre philosophie...C’est cet esprit que symbolisent les Dunks de Nike depuis leur lancement en 1985. Les équipes de basket de l’université de Secen ont bravé une règle tacite en affi chant leurs couleurs sur leurs chaussures Dunk. Une explosion de couleurs a suivi depuis ce temps, les Dunks de Nike symbolisent l’expression individuelle. Les joueurs, les skateurs et les collectionneurs adoptèrent tous la Dunk, et continuent à infl uencer aujourd’hui encore 24 ans plus tard.
Premier poster be True
expression individuelle8 équipes universitaires ont décidé de braver les règles et de mettre de la couleur sur leur terrain de basket
La basket Dunk est un mythe pour la marque Nike. Née en 1985, elle n’a pas perdu une ride. En version montante, la Dunk exprime toute sa singularité et son potentiel graphique.En effet, cette basket possède une grande surface graphique qui, correctement habillée, peut devenir une arme visuelle. Une des baskets Nike les plus connues, la Dunk est devenue culte !
L’utilisation de plusieurs types de matériaux tels que le daim, le cuir ou le nubuck est nécessaire.Il faut profiter de la grande surface de création graphique dont on dispose et éventuellement jouer sur un effet “miroir“ entre les deux baskets qui forment la même paire.
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La Reebok est très chargée graphiquement tandis que l’Adidas l’est moins et la Puma presque pas. Ces baskets possèdent trois styles différents qui varient en terme de sobriété. Mais une basket collector se doit d’être graphique. Sa rareté et son graphisme unique lui donne son aspect collector. C’est pourquoi, la basket se doît obligatoirement d’avoir un graphisme visuellement impactant. Une basket collector est fabriquée à l’aide de matériaux précieux et rares. Elle se démarque des autres baskets également par son nombre de paires existantes. Enfi n, ce qui lui donne surtout de la rareté, c’est la symbolique cachée qu’elle se réserve de donner. Elle est souvent réalisée par un(e) artiste connu(e) ou rend hommage à une célébrité, star.
# Adidas Stan Smith « Russ » - 330$# Puma Trail Mid « A.McQueen » - 280$# Reebok Freestyle Hi « Basquiat » - 180$
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La basket obtenue au final doit comporter des éléments liés au “Street art“ tout en se mêlant à des codes visuels de la star “Michael Jackson“. Le cocktail doit être équilibré afin de ne pas privilégier l’un ou l’autre aspect. Savoir doser, c’est réaliser une basket homogène et harmonieuse.
noir et blancRythme
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Michael Jackson est un chanteur danseur très à l’aise sur scène. Il s’est crée une identité propre avec ses codes et son mode de pensée. Lorsqu’on l’aperçoit entrain de danser ou de chanter, on le reconnaît immédiatement grâce à son aisance, sa sensualité et son rythme. Il s’est approprié plusieurs gestuelles et positions originales comme le Moonwalk qui, associées à sa musique, font qu’il est unique en son genre. Intitulé « King of Pop » depuis le début des années 1990, ses tenues extravagantes très contrastées entre noir et blanc et son look pailleté le mettent en valeur sous la lumière des projecteurs.
élégance
érotismesouplesse
sensuel
Minceur
innovations gestuelles
Maquillage
Danse
fl uidité
Moonwalk
Sophistication
chorégraphies originales et uniques
mocassins noirs vernis
chaussettes blanches pailletées
jeux d’ombres et lumièresgants
chapeauDualité
Verticalité
Asymétrie/symétrie
Look & tenuescodifi és, pensés
Métamorphose
Mat/brillant/satin
sexuel
Ambiguïté
La particularité essentielle de M.Jackson réside dans sa faculté à savoir brillamment danser.Son énergie corporelle et son élégance doivent se retrouver dans la basket. Reflets, strass, brillances, contrastes noir/blanc sont indispensables à sa création.
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Michael Jackson est indéniablement l’un des plus grand chanteur-danseur du 20ème siècle. Il est emblématique et connu dans le monde entier à travers son cé-lèbre pas de danse, le Moonwalk. Sa personnalité très mystérieuse et à la fois extravagante lorsqu’il est sur scène, témoigne de sa grande passion pour le chant et la danse. Il a connu le succès jeune avec les “Jackson fi ve” mais s’est vite repris en main dès l’âge de 21 ans pour lancer sa carrière solo. Il adorait les enfants et trouvait que lorsqu’une chanson plaisait aux enfants, elle était obligatoirement réussie. Cependant, Michael Jackson est devenu tout au long de sa vie prison-nier de son succès et c’est pour cette raison qu’ il aimait se retrancher en solitaire dans son ranch de Neverland.
NévroséCréateur
Mondial
frères et soeurs
Complexé
ambiguïté sexuelle
extrêmePoète
psychotropespsychotropes
introverti
AccuséMystérieux & secret
Seul
manque d’amourGénialInnovant
ObscurPerfectionniste
médicamentsAudacieux
compositeur
généreux
multiculturel PolémiquesChorégraphie
Businessman
Imaginaire
«King of Pop»
«Bambi»
Enfance difficileSoucieux de son image
Métamorphose physique
chorégraphies audacieuses Prisonnier de son succès
Retranché à Neverland
Il faut créer un graphisme très audacieux sur l’extérieur de la basket et plutôt reservé à l’intérieur.Par exemple, créer un intérieur mystérieux en utilisant pour seul contraste le noir et le blanc.L’extérieur doit être très excentrique et osé. Il s’agit avant tout du “King of Pop“.
Thriller
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Paul Mc Cartney
Rythmée
dance
funky
sexy
legendSoul
déchainée« I’m starting with the man in the mirror » Billie Jean
Beat it
Bad80s
Pop MusicDiana Ross
Quincy JonesJames Brown
Il faut absolument jouer avec le “rythme“, tant au niveau des couleurs que du graphisme. Pour cela, l’utilisation d’une fréquence cardiaque sous sa forme graphique est un bon élément.Un effet fluorescent sur une partie de la basket lui apporte une seconde nature la nuit.
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Michael Jackson était un chanteur, auteur-compositeur, danseur-chorégraphe américain. Il est mort le 25 juin 2009 d’un arrêt cardiaque à Los Angeles.
Né le 29 aout 1958 , Michael Jackson devient une vedette dès son plus jeune âge avec le groupe “Jackson Five” qu’il forme avec quatre de ses frères, sous la direction de son père Joe Jackson. Le premier hit des Jackson Five est “I want you back” qui devient numéro un. Il est suivi par les chansons “ABC”, “The Love You Save” et “I’ll Be There”. Le groupe se disloque en 1975. Il devient The Jacksons. En 1978 le groupe sort l’album Destiny, puis en 1980 l’album Triumph. Mais en 1984, l’album Victory entérine la désunion du groupe.
Michael Jackson commence en 1979 sa carrière solo avec l’album “Off The Wall”. Mais c’est avec l’album “Thriller” sorti en 1982 que Michael Jackson se retrouve propulsé au sommet. Avec sept titres qui deviennent des hits singles, l’album accède rapidement au titre du disque le plus vendu de l’histoire. Entre 1982 et 2006, l’album est certifi é 27 fois disque de platine aux Etats-Unis. Il sera aidé par plusieurs personnes tout au long de sa vie mais c’est véritablement Diana Ross ainsi que Quincy Jones qui resteront les plus grands soutiens de la star.
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Michael Jackson subit tout au long de sa carrière nombre d’opérations chirurgicales. En 1978, une chute sur scène l’oblige à subir une première opération de rhinoplastie, qui n’étant pas totalement réussie doit être corrigée par une seconde. Offi ciellement, le Roi de la pop n’a subi que deux opérations. Mais un certain nombre de rumeurs circulent sur les modifi cations apportées à son visage et sur leur nombre.
De plus la couleur de la peau du chanteur évolue tout au long de sa carrière. Il affi rme être atteint de vitiligo, une maladie de peau qui blanchit la peau. Certains affi rment que l’artiste se blanchit la peau volontairement pour ne pas ressembler à son père, violent envers lui lorsqu’il était plus jeune. Dans la résidence de l’artiste, le ranch de “Neverland” (pays imaginaire de Peter Pan), les visites de groupes d’enfants se succèdent. Le 18 novembre 2003, 70 policiers perquisitionnent Neverland et un mandat d’arrêt est lancé contre la star soupçonnée d’avoir abusé des mineurs. Michael Jackson, qui se voit signifi er de dix chefs d’inculpation, clame son innocence. En juin 2005, le jury du tribunal rend son verdict. Il est innocenté de tous les chefs d’inculpation.
En 2009, l’artiste annonce son retour sur scène pour ce qui doit être sa denrière tournée planétaire. 900.000 billets sont vendus en quelques jours, les répétitions commencent à un rythme soutenu. Mais la mort met fi n à l’espoir des fans de revoir un jour sur scène leur idole.
Il faut jouer sur des détails graphiques, en référence au perfectionnisme de l’artiste.Utiliser un événement clé qui marque l’apogée de M.Jackson. La symbolique de l’étoile légendaire de la Pop est une bonne piste de création.
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Dansegestuelles, positions, pas de danse
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Il faut utiliser les positions clés des chorégraphies de l’artiste pour les retranscrire dans la cam-pagne publicitaire de la basket. De cette manière, on retrouve la magie de Jackson à travers ses pas de danse devenus célébres et universels. Eviter l’utilisation simpliste de photos de Jackson.
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Tenuesclinquantes, extravagantes
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mocassins noirs vernis
chaussettes blanches
Pailletes, strass
En rapport à ses tenues extravagantes et tape à l’oeil, il faut jouer sur des dorures et des détails soignés. Un rajout d’une cordelette dorée sur le haut de la basket afin d’obtenir un système supplémentaire de fermeture est à prévoir.
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nom donné au départ à « Thriller »1982
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clip vidéo originalSuccès fou« Cause This Is Thriller, Thriller Night »
Starlight
Il faut jouer sur la symbolique de l’étoile par l’utilisation du nom d’origine de Thriller : Starlight.Ce nom court, efficace et compréhensible à l’international convient parfaitement à la basket.Révélant quelque chose d’inédit, ce nom est un hommage qui séduira les plus grands fans.
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Tendance les amis l’apparence les coins insolites se différencier snob, bohème découverte les sorties élitisme 20-25ans humour la culture Lookés fashion citadins fi ers de possèder des objets uniques fort pouvoir d’achat House électro
Plusieurs styles et looks différents adorent la Musique HipHop, R&B, Rap
auto-dérision s’intéressent à la rareté, le collector curieux avides de nouveautés
En rapport au coeur de cible, la basket collector éditée à un nombre limité d’exemplaires doit être fashion et tendance. Portée au regard de tous ou bien gardée chez soi bien secrètement, la paire de basket doit transmettre un sentiment de fierté à son possesseur. Elle doit être enviée de tous.
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Quentin TarentinoDaft PunkJohn GallianoBarack ObamaJean Michel BasquiatMichael JordanTimbaland
David GuettaKanye WestBlack Eyed PeasTony HawkJohnny DeppMarc Jacobs
L’utilisation des stars dans la publicité est une pratique courante. Nike s’emploi très souvent a utili-ser des athlètes connus afin de “starifier” le produit. Lors du lancement de la basket, le célèbre DJ David Guetta ainsi qu’un sportif tel que Tony Parker devraient être présent dans le NikeStore.
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La basket doit devenir une référence culte et c’est pourquoi elle doit être vendue dans un endroit unique et bien situé dans Paris. Le magasin très design possèdera un emplacement idéal dans le centre de la capitale afin de bien crédibiliser et justifier son prix de vente d’environ 500 euros.
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Observé depuis maintenant des millions d’années sous diverses formes, le graffi ti est un support d’expression et de manifestation grandeur nature!Ayant ponctué sporadiquement l’univers de diverses civilisations, ce n’est cependant qu’au 20e siècle qu’il devient un art esthétique estimé du monde artistique mais aussi des amateurs qui cherchent à se procurer certaines de ces oeuvres très particulières.
Ainsi, l’art du graffi ti a prit son essor dans les années 1900 et plus particulièrement vers 1942, durant la seconde guerre Mondiale. C’est à cette époque qu’on associe véritablement un nom au graffi ti. Ce nom est Kilroy. Il s’agit d’un homme qui aurait travaillé dans une industrie qui fabriquait des bombes à Détroit, au Michigan.
Ainsi, ces bombes étaient transportées en Europe alors que la guerre battait son plein. C’est de cette façon que Kilroy devint populaire. Les soldats écrivaient l’inscription “Kilroy was here” sur tous les murs qui étaient demeurés intacts suite aux bombardements. Par la suite, le nom devint rattaché systématiquement au graffi ti et Kilroy est devenu synonyme de protestation pacifi que par le biais de ses inscriptions.
Dans les années 50 et 60, c’est au tour de Cornbread de voler la vedette. Ce dernier travaillait avec la collaboration de son acolyte nommé Kool Earl. Ces derniers ont contribué à faire du graffi ti ce qu’il est aujourd’hui. Cornbread avait commencé à faire des graffi tis pour impressionner une jeune femme, mais gagna à sa grande surprise en popularité. Ainsi, les médias se sont intéressés à ses oeuvres, lesquelles ont souvent connu une large publicité.
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Cela dit, la fi n des années 1960 fut forte en manifestations de tous genres. La guerre du Vietnam entraîna de nombreuses revendications et le signe de paix fut peint sur une multitude de murs de campus universitaires et d’écoles partout en Amérique, mais aussi en Europe. De plus, les revendications de la population afro-américaine, le féminisme, l’appel mondial à la paix, etc., furent causes de graffi tis et de manifestations de support et de solidarité. C’est d’ailleurs à la même époque que le graffi ti fait une entrée remar-quée à New York. Avec des noms importants et reconnus encore à ce jour dans le milieu, des individus qui ont eux aussi contribué à faire du graffi ti ce qu’il est à ce jour.
Certains artistes commencèrent à peindre d’avantage que leurs simples pseudonymes. Le mouvement était bien enclenché. Ces artistes avaient alors pour mission de peindre dans les lieux les plus interdits et contrôlés, privilégiant la transgression des lois et le malin plaisir qui en retourne. C’est aussi à cette époque qu’on voit apparaître les pre-miers « tags » féminins. En effet, le graffi ti était plutôt pratiqué par des hommes, résultat direct des risques encourus lorsqu’un dessin ou une signature étaient peints dans des lieux à hauts risques. En 1971, les graffeurs commencent à peindre leurs pseudonymes sur les wagons de trains, à l’intérieur de ceux-ci et même sur les murs des sta-tions. S’en suit une remarquable période d’évolution jusqu’à la fi n des années 70 : pseudonymes en trois dimensions, dessins élaborés, collectifs de plus en plus nombreux.
À New York, une nouvelle réglementation expressément conçue pour contrer les graffi ti fut adoptée. De cette façon, l’effet dissuasif devint palpable et le découragement fut à son plus haut niveau. Un infi me nombre d’artistes graffeurs persista ainsi à peindre trains et métros, malgré des contraventions coûteuses et même, des peines d’emprisonne-ment dans certains cas. Aujourd’hui, plusieurs pays considèrent certaines oeuvres comme étant de l’art contemporain et tolèrent le graffi ti avec une pointe de plaisir et d’admi-ration envers ces artistes qui jouent un rôle clé dans la liberté d’expression.
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1990 à aujourd’hui
Présent dans notre société mais souvent mal apprécié à sa juste valeur, l’utilisation du graffiti sur la basket a pour but d’améliorer son image et le considérer comme de l’art. La basket devient alors un outil d’expression qui véhicule un message de paix en l’honneur de M.Jackson.
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Performance Style Dépassement de soi liberté d’expression Risques danger
Sanctions et emprisonnement Art défi s signature Transmettre un message percutantillégal Territoires Mécontentement envers la société vise un large public
En analogie au street art, la marque Nike possède des valeurs telles que le dépassement de soi et la perfomance. C’est pourquoi, l’utilisation du graffiti comme moyen d’expression graphique prend ici tout son sens. Il permet aux acheteurs de montrer leur affect pour Nike et Jackson.
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Comme tout objet culte, la basket se doit être très graphique et donc très visible. L’acheteur sou-haite se démarquer et montrer qu’il est le seul à la posséder. Il faut insister sur le fait qu’elle soit collector en attribuant un nombre à chaque exemplaire. Ce nombre figurera à l’intérieur du coffret.
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Michael Perry est un artiste qui travaille à la main. Son style se caractérise par la combinaison de typographies et de graphismes. Il obtient un ensemble homogène et impactant qui s’apparente à une sorte de «motif». Cette méthode est à réutiliser pour créer un graphisme lié au Street art.
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Andy Beach est un artiste qui travaille de la même façon que M.Perry. Son style très typographique permet d’obtenir un ensemble de mots écrits pour chacun d’entre eux dans une police différente.En travaillant à la main, il va falloir créer des motifs typographiques en rapport à Michael Jackson.
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So Me (label Ed Banger Records)
Bertrand Lagros De Langeron alias So Me est un artiste qui travaille pour le label de musique électronique “Ed Banger Records”. Il est le créateur du blason logo de ce label. L’idée d’un blason logo serait un bon compromis pour allier Michael Jackson, le Street art et Nike.
So Me (label Ed Banger Records)
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