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L’ilot Ouvert : Christian De Portzamparc Biographie
Christian de Portzamparc ) est un architecte et urbaniste français né le 5 mai 1944 à Casablanca au Maroc.En 1994, il a été le premier Français à recevoir le prix Pritzker. Il a reçu en2004 le Grand Prix de l'urbanisme. Son épouse, Elizabeth de Portzamparc, est architecte urbaniste
Contexte• Il apporte une réponse
nouvelle au problème du confinement dans les cœurs d'îlots ,
• Il développe le concept de l'îlot ouvert,
• Il l'oppose aux deux types d'îlots qui ont dominé l'architecture depuis le 19e siècle .
• Les trois principaux types de blocs selon Ch. de Portzamparc
Les principes
Des bâtiments autonomes autour d'une rue traditionnelle
La hauteur des immeubles est différentes
Des bâtiments indépendant qui permet, des ouvertures visuelles et l’entrée du soleil, de la lumière et l’air.
Les façades sont alignées sur rue mais sans continuité et rejet de la mitoyenneté ( Bâtiment a plusieurs vue)
Mixité Fonctionnelle
Des rues plus étroite et mieux éclairé
Des jardin privatif dans a l’interieur des ilot, une hiérarchie claire des espace
SynthèseIlot ouvert ilot durableL’indépendance des bâtiment facilite leur transformation dans le temps, le durable c’est le transformable
BENNABI MOUNA G:03
Situation
Pays: FranceRégion :Paris Seine Rive Gauche
Accessibilité
Les deux bâtiments sont accessibles par deux voie mécaniquerue Hélène Brionrue Françoise Dolto
La rue Françoise Dolto est large ; elle permet des possibilités aisées de dégagement visuel et une confrontation sereine avec la Halle aux Farines
La rue Hélène Brion est beaucoup plus étroite. Elle est dominée par les hauts bâtiments de l’université qui contribuent à lui donner une silhouette encaissée et des parois un peu abruptes
Architecte de la ZAC : Christian de Portzamparc
Fleur de Seine
Programme : 52 logements Haute Qualité Environnementale en accession, Commerces & Parking
Rapport a la rueLe projet installe alors ces deux bâtiments, l’un sur la rue Françoise Dolto, l’autre sur la rue Hélène Brion, avec chacun son adresse et son autonomie
Voie piétonne
le rapport entre le plein et le vide
l’espace bâti plus grand que l’espace vide
TopographieLes bâtiments sont édifiés sur un terrain plat
Données techniques
Niveaux R+9
Hauteur du toit 30.00 m
SHONsurface
4 000 m² 445 m²
Habitat collectif
Rapport au l’environnement immédiat:
Élément naturel:On trouve des petits espaces vert (jardin)
Élément constructif:
Il ya des construction voisines :bâtiments de l’université ;
la Halle aux Farines
Ces discontinuités maîtrisées et finement calibrées pour préserver une perception globale de continuité urbaine et de 'parois' de rue permettent alors au soleil de pénétrer en cœur d’îlot et aux regards de profiter à la fois de vues proches, lointaines et biaisées. Elles permettent parallèlement de faire participer le traitement paysager des îlots à l’ambiance de la rue elle-même
les façades discontinues des différents objets architecturaux qui
la constituent.
.
. Le projet devait ici composer avec les deux immeubles des parcelles voisines et compléter le dispositif pour que la logique d’objets crée, malgré les discontinuités, une séquence unifiée de rue.
Son motif, comme un pavillon tourné vers la ville, permet à la fois de 'tenir' la rue et son alignement et d’unifier la séquence en une figure d’ensemble malgré la disparité des matériaux et des couleurs. Il permet également de ménager des échappées visuelles depuis certains appartements vers la Seine. Sur cette rue, le second bâtiment, très en retrait, se dévoile à peine : contrepoint et accompagnement discret. De fait, il appartient à l’autre rue
. Profitant du jardin appartenant à la parcelle, le projet se propose alors d’installer une véritable respiration dans le parcours. Les deux bâtiments tirent au mieux partie de leur élancement et de leur décalage. Ils jouent de leur différence de hauteur et d’un 'air de famille' pour instaurer une dynamique verticale et infléchir l’ordre orthogonal qui préside ici à l’organisation de la rue.
Les traitements particulier
La partie du socle occupée par les commerce sur lesquelles se posent les logements
Rapport au sol
L utilisation de toit en pente a définis une ligne de ciel dynamique et élégante
à l’échelle de chaque appartement, l’enjeu est celui de la lumière et des vues, d’un confort d’hiver tout comme d’été et d’un confort acoustique. Il se complète tout naturellement par l’utilisation de matériaux simples et durables (béton, enduits,...) garants d’un entretien aisé et d’une vie pérenne.
Rapport au cielTraitement d’angle
L’utilisation des fausses façades
tous les logements bénéficient d’un séjour d’angle qui offre des vues en fonction du contexte
On a des volume imbriqués Volume déformé
Un passage couvert à rez-de-chaussée les relie et assure la traversée de l’îlot
Les deux bâtiments s’organisent alors en figures géométriques simples jouant d’évidements pour alléger la composition et de plans colorés pour en souligner l’effet.
les douces inflexions des toitures préfèrent jouer de fausses symétries et instaurer un 'colloque' d’objets à la fois calme et dynamique à la manière d’une ligne musicale
les deux immeubles se sont naturellement séparés, ne laissant entre eux qu’une étroite faille biaise, non pas comme un entre-deux dramatique mais comme la trace d’un glissement entre l’un et l’autre, la distance nécessaire et suffisante pour jouer de l’unité de l’ensemble et de la distinction de chacun
Les balcons comme de généreux tiroirs vous projettent dans la ville. Les terrasses dominantes offrent également des vues sur les quais
Vue depuis un balcon
Les géométries complexes et découpées de certaines parties de l’édificeont fait appel à des solutions imaginatives qui ont pu être misesen œuvre grâce aux qualités techniques du béton armé et à sa souplesse
d’utilisation.
BENNABI MOUNA G: 03
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