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1 2 5 4 Ils sont des « rôle modèles » dans les quartiers. Ils sont engagés et investis dans les associations pour accompagner les futurs créateurs. Favoriser l’open data de la statistique publique et amener les banques à évaluer leurs interventions dans les quartiers, afin d’avoir une connaissance plus fine de ces entreprises. Créer des produits financiers spécifiques dédiés aux TPE et PME des quartiers (de type affacturage). Créer des accélérateurs de croissance pour de jeunes entreprises, à l’initiative de régions pilotes. Réaliser un baromètre des échanges grands groupes/entreprises des quartiers. Téléchargez l’étude complète sur bpifrance-lelab.fr dont de 130 000 entreprises en 2013 de 1/3 sont des entreprises de services aux entreprises Développer des montages sous la forme de « contrats à impact social » pour pérenniser les associations de quartiers, qui jouent un rôle fondamental dans la détection des talents. DANS LES LES QUARTIERS NE SONT PAS DES DÉSERTS ENTREPRENEURIAUX LES ENTREPRENEURS DE QUARTIER NE SONT PAS DIFFÉRENTS DES AUTRES ENTREPRENEURS… L’enquête OpinionWay pour Bpifrance Le Lab et Terra Nova 2016. âge moyen de l’entrepreneur des quartiers 39,5 ont un Bac +2 et au-delà sont salariés au moment de la création 47 % 69 % … MAIS, ILS DOIVENT FAIRE FACE À PLUS DE DIFFICULTÉS QUE LES AUTRES L’enquête OpinionWay pour Bpifrance Le Lab et Terra Nova 2016. est la 1 re difficulté pour 43 % des entrepreneurs. 90 % des sources de financement au lancement sont des ressources personnelles, y compris pour des projets qui nécessitent + de 5 000 au lancement. L’accès aux financements sont une difficulté pour 37 % des entrepreneurs, notamment à cause de leurs clients grandes entreprises et acteurs publics Les retards de paiement ET POURTANT, ILS JOUENT UN RÔLE FONDAMENTAL DANS CES TERRITOIRES LES CONDITIONS POUR RÉUSSIR 3 2 DIFFICULTÉS MAJEURES Ce ne sont pas des chômeurs qui créent leur emploi XLS

Bpifrance Le Lab - Infographie - Entreprendre dans les quartiers

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Ils sont des « rôle modèles » dans les quartiers.

Ils sont engagés et investisdans les associations pour accompagnerles futurs créateurs.

Favoriser l’open data de la statistique publiqueet amener les banques à évaluer leurs interventions dans les quartiers,afin d’avoir une connaissance plus fine de ces entreprises.

Créer des produits financiers spécifiquesdédiés aux TPE et PME des quartiers (de type affacturage).

Créer des accélérateurs de croissance pour de jeunes entreprises, à l’initiative de régions pilotes.

Réaliser un baromètre des échanges grands groupes / entreprises des quartiers.

Téléchargez l’étude complète surbpifrance-lelab.fr

dontde 130 000 entreprises en 2013

de 1/3 sont des entreprises deservices aux entreprises

Développer des montages sous la formede « contrats à impact social »pour pérenniser les associations de quartiers, qui jouent un rôlefondamental dans la détection des talents.

DANS

LES

LES QUARTIERS NE SONT PASDES DÉSERTS ENTREPRENEURIAUX

LES ENTREPRENEURS DE QUARTIERNE SONT PAS DIFFÉRENTS

DES AUTRES ENTREPRENEURS…

L’enquête OpinionWaypour Bpifrance Le Lab et Terra Nova 2016.

âge moyende l’entrepreneurdes quartiers

39,5ont un Bac +2et au-delà

sont salariésau momentde la création

47 % 69 %

… MAIS, ILS DOIVENT FAIRE FACEÀ PLUS DE DIFFICULTÉS QUE LES AUTRES

L’enquête OpinionWaypour Bpifrance Le Lab et Terra Nova 2016.

est la 1re difficulté pour 43 % des entrepreneurs.90 % des sources de financementau lancement sont des ressourcespersonnelles, y compris pour des projetsqui nécessitent + de 5 000 €au lancement.

L’accèsaux financements

sont une difficulté pour 37 % des entrepreneurs,notamment à cause de leurs clients grandesentreprises et acteurs publics

Les retardsde paiement

ET POURTANT, ILS JOUENTUN RÔLE FONDAMENTAL DANS CES TERRITOIRES

LES CONDITIONS POUR RÉUSSIR

3

2 DIFFICULTÉS

MAJEURES

Ce ne sont pas

des chômeurs

qui créent

leur emploi

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