12
La revue de Presse KYLIA 1 LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 13 au 19 Août 2012 LES ARTICLES DE LA SEMAINE Passer par un courtier en crédit immobilier permet d’obtenir de belles ristournes Le 13/08/2012 © REA Un prêt immobilier sur quatre est aujourd’hui souscrit par l’intermédiaire d’un courtier spécialisé (on en compte une vingtaine en France). Sa mission : faire le tour des établissements de crédit, les généralistes (BNP Paribas, Crédit mutuel, LCL…) comme les spécialistes (Cetelem, Crédit foncier…), et négocier à votre place. En tant que grossiste apportant aux banques des centaines, voire des milliers de dossiers de prêt par mois, il décrochera souvent des conditions très avantageuses. Outre le taux d’intérêt du crédit, il pourra parvenir à réduire le coût de l’assurance décès (obligatoire pour un

Revue de presse de la semaine 33 2012

Embed Size (px)

DESCRIPTION

Retrouvez une sélection des meilleurs articles de la presse immobilière de la semaine.

Citation preview

Page 1: Revue de presse de la semaine 33   2012

La revue de Presse KYLIA

1

LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

Du 13 au 19 Août 2012

LES ARTICLES DE LA SEMAINE

Passer par un courtier en crédit immobilier permet

d’obtenir de belles ristournes

Le 13/08/2012

© REA

Un prêt immobilier sur quatre est aujourd’hui souscrit par l’intermédiaire d’un courtier spécialisé (on en

compte une vingtaine en France). Sa mission : faire le tour des établissements de crédit, les

généralistes (BNP Paribas, Crédit mutuel, LCL…) comme les spécialistes (Cetelem, Crédit foncier…),

et négocier à votre place. En tant que grossiste apportant aux banques des centaines, voire des

milliers de dossiers de prêt par mois, il décrochera souvent des conditions très avantageuses. Outre le

taux d’intérêt du crédit, il pourra parvenir à réduire le coût de l’assurance décès (obligatoire pour un

Page 2: Revue de presse de la semaine 33   2012

La revue de Presse KYLIA

2

emprunt immobilier), à faire sauter les indemnités de remboursement anticipé ainsi que les frais de

dossier.

Mis bout à bout, ces gains finissent par devenir appréciables : autour de 10 000 euros, par exemple,

pour 200 000 euros remboursables sur vingt ans. De quoi largement compenser les honoraires du

courtier, compris entre 0,8 et 1% du montant emprunté (le plus souvent plafonné à 1 000 euros). A

noter qu’en passant par les sites Internet d’intermédiaires comme AB Courtage, Empruntis ou

Meilleurtaux, vous n’aurez pas un centime à débourser (leur rémunération provient exclusivement de

la banque avec qui le prêt est signé). Précisons enfin que, s’il peut être utile de comparer les offres de

services des courtiers avant de faire votre choix, en lancer plusieurs dans la course ne sert

strictement à rien : les banques ne traitent un dossier qu’une seule fois.

Taux : vous décrocherez aisément un rabais de 5% su r le coût de votre prêt

A moins d’être un fin négociateur, le courtier parvient en général à obtenir un taux de crédit inférieur

de 0,1 à 0,2 point de moins à celui que vous auriez eu en traitant en direct avec le banquier. Avec un

dossier extrêmement solide (pas d’incident de paiement depuis trois ans, de 15 à 20% d’apport

personnel et plus de 100 000 euros d’épargne financière), le rabais peut atteindre 0,3 point. Soit une

économie sur le coût de votre emprunt de 6 à 7%, qui vous permet aujourd’hui, en taux fixe, de

descendre sous la barre des 3,90% sur quinze ans ou de 4,10% sur vingt ans. En pratique, votre

dossier ne sera pas envoyé à toutes les banques partenaires du courtier (autour d’une centaine pour

les plus gros), mais aux deux ou trois qui lui auront adressé la grille de taux la plus favorable du

moment. Il lui suffira ensuite d’entamer une ultime négociation pour les départager (comptez un délai

global d’environ un mois). Bon à savoir : au besoin, il pourra aussi intégrer dans son offre les crédits à

taux bonifiés auxquels vous avez peut-être droit, comme le PTZ+, le prêt action logement (ex-1%

patronal) ou le prêt à l’accession sociale.

Assurance : vous bénéficierez d’une offre bon march é d’un spécialiste

C’est devenu automatique : si vous êtes encore jeune (moins de 40 ans), le courtier se rapprochera de

compagnies spécialisées dans les garanties décès invalidité, comme April, Cardif ou Alptis, afin de

vous obtenir une offre de 30 à 40% moins chère que celles proposées habituellement par les

banquiers (lire notre banc d’essai page 66), voire plus attractive encore si vous avez le profil idéal : un

trentenaire en bonne santé et non fumeur peut ainsi décrocher un taux d’assurance inférieur à 0,2%

du capital emprunté, et économiser de 8 000 à 10 000 euros sur un prêt de 200 000 euros.

Page 3: Revue de presse de la semaine 33   2012

La revue de Presse KYLIA

3

Indemnités de remboursement anticipé : vous n’aurez pas à les payer

Nombre de crédits ne vont pas à leur terme. Cause principale : la revente du bien, qui intervient entre

huit et onze ans en moyenne. Les banques ont alors le droit de prélever des «indemnités de

remboursement anticipé», égales à six mois d’intérêts, dans la limite de 3% du capital restant dû. Cela

peut représenter gros : 3 000 euros pour 200 000 euros prêtés à 4% et remboursés au bout de cinq

ans au lieu de vingt. La banque accepte parfois d’annuler ces pénalités, mais ce traitement de faveur

est plutôt réservé aux bons clients. Et souvent sous conditions : acheter un autre bien dans la foulée

et prendre le nouveau crédit chez elle. Vous éviterez ces tracas avec un courtier : il demande d’office

la suppression des pénalités. Et obtient satisfaction dans 80% des cas.

Frais de dossier : vous obtiendrez la plupart du te mps leur suppression

Dernier avantage procuré par un courtier : l’effacement quasi systématique des frais de dossier,

correspondant aux coûts administratifs d’ouverture d’une ligne de crédit, et que les banquiers

facturent aux clients qui traitent en direct avec elles. Soit encore un gain immédiat non négligeable,

allant de 800 à 1 000 euros, parfois un peu moins pour les prêts les plus modestes, sachant que cette

ponction est habituellement plafonnée à 1% du montant emprunté.

Source : Capital.fr

Page 4: Revue de presse de la semaine 33   2012

La revue de Presse KYLIA

4

Trois questions à se poser avant d’investir

Le 14/08/2012

Investir dans un appartement, une maison, le neuf, l’ancien, attendre une baisse des prix, qu’espérer

des banques en matière de prêt immobilier ? Autant de questions sur lesquelles se pencher avant de

s’engager.

1 Si les appartements ne se vendent plus, les prix chuteront-ils ? Selon les notaires, le marché

est bel et bien entré dans « un nouveau cycle baissier ».

En Ile-de-France, le prix du mètre carré a déjà reculé de 0,5% à 5510 €/m2 entre décembre 2011 et

mars 2012. Dans Paris intra muros, la baisse a même atteint 1,1%. Si les professionnels ne croient

pas à un décrochage comme en 2008-2009, ils s’attendent à une baisse modérée de 5à 10% cette

année. « La demande reste soutenue à cause des taux d’intérêt très bas », explique Nicolas

Finkelstein, de la chambre des notaires d’Ile-de-France. Demande soutenue aussi par le fait qu’en

période de crise la pierre reste plus que jamais une valeur refuge. « 60à 70% de ma clientèle est

composée de jeunes retraités qui ont une résidence dans le Midi et réinvestissent dans un pied-à-

terre à Paris. Ils recherchent des surfaces de 35 m2. A la fois pour se rapprocher de leurs enfants,

mais aussi parce qu’ils n’ont plus confiance dans la solidité du système bancaire. Ils préfèrent vider

leur assurance vie et placer leurs économies dans la pierre », témoigne un agent immobilier dans le

XVe arrondissement de Paris.

2 Les banques vont-elles assouplir l’accès au crédi t ? C’est peu probable. Les taux d’intérêt sont

historiquement bas et devraient le rester. Pour un emprunt sur vingt ans, le taux moyen est

actuellement de 3,95%. Et pourtant, il devient de plus en plus difficile d’emprunter. « Les banques,

outre la situation financière de l’acquéreur, sont désormais très vigilantes sur sa situation

professionnelle : la qualification, la solidité de l’entreprise, elles passent tout au crible », raconte un

agent immobilier du XIe arrondissement. Pour décrocher un prêt, « l’acheteur doit être en CDI, avoir

20 à 30% d’apport et ne pas dépasser un ratio d’endettement de 30% », précise Nicolas Finkelstein.

Avec la crise qui s’éternise, il y a peu de chances que les banques se montrent moins strictes dans

les mois à venir

3 Faute de trouver dans l’ancien, doit-on se tourne r vers le neuf ? Avec la fin annoncée du

dispositif fiscal Scellier, les ventes des promoteurs ont plongé de 25% au premier trimestre, le prix des

maisons individuelles a également chuté de 17%, mais globalement le neuf demeure plus cher que

l’ancien. Les investisseurs préfèrent ralentir ou stopper leur programme, le temps d’écouler leurs

stocks. En tout cas pour l’instant, aucun ne brade ses invendus. Au deuxième trimestre, les prix ont

Page 5: Revue de presse de la semaine 33   2012

La revue de Presse KYLIA

5

ainsi continué d’augmenter de 7,7%, les investisseurs répercutant dans leurs prix l’augmentation du

foncier et des matières premières.

Source : LaTribune.fr

Page 6: Revue de presse de la semaine 33   2012

La revue de Presse KYLIA

6

Les ventes de logements anciens reculent mais les p rix ne

baissent pas

Le 14/08/2012

Copyright Reuters

Selon la Chambre des notaires, les transactions dan s l'ancien ont chuté de 17% à 40%. Ce

mouvement n'est pas de bon augure pour le marché im mobilier mais ne touche pas les prix

dans les zones tendues.

Les professionnels de l’immobilier sont quasiment tous unanimes sur le sujet : les prix dans l’ancien

ne baissent absolument pas dans les zones tendues. Ils auraient même tendance à reprendre leur

ascension après une courte période de stagnation. Phénomène pourtant totalement atypique par

rapport au reste de la France où l’on constate des reculs de prix dans la plupart des grandes

agglomérations.

Pendant ce temps, la Chambre des notaires publie des statistiques qui viennent remettre les pendules

à l’heure : Depuis le début de l’année, les transactions dans l’immobilier ancien ont chuté de 17% à

40% suivant les zones. Des chiffres plutôt inquiétants qui suscitent une série de réflexions.

D’abord, il faut bien voir que ce repli n’est pas soudain et qu’il est apparu dès le début de 2012. Avec

déjà plusieurs explications : d’abord la restriction du crédit de la part des banques, elles-mêmes en

Page 7: Revue de presse de la semaine 33   2012

La revue de Presse KYLIA

7

difficultés pour obtenir des financements. Mais aussi la perspective des élections présidentielles

habituellement propice au statu quo des candidats à la propriété. Depuis, plusieurs éléments sont

venus s’ajouter à cette morosité si l’on en croit les commentaires de nombreux agents immobiliers.

Compte tenu du contexte plutôt anxiogène du moment, la grande majorité des clients potentiels

préfère attendre avant de sauter le pas, espérant une baisse des prix. En face, les vendeurs et plus

particulièrement ceux qui ont acheté récemment à des prix déjà élevés et après travaux de rénovation

ne veulent pas brader leur bien. Et ce, d’autant plus que la fiscalité risque de leur être moins

avantageuse et qu’ils ne sont pas prêts à perdre finalement de l’argent. D’où cet abîme entre ceux qui

attendent pour faire de bonnes affaires et ceux qui n’acceptent pas d’être de leur poche.

Des délais de vente revus à la hausse

Du coup, là où les agents mettaient entre deux et trois mois pour réaliser une transaction, les délais

se sont nettement allongés pour atteindre dans certains cas entre dix et douze mois. Un comble

lorsque l’on sait que les taux d’intérêt pour les crédits immobiliers sont à des niveaux particulièrement

bas et devraient favoriser le trafic. En outre, après une période de flottement, les banques ont

manifestement ré-ouvert les vannes du crédit, du moins pour les bons dossiers dotés d’un apport de

20 à 30% du montant requis.

Cette situation va-t-elle pousser le gouvernement à réintroduire des mesures fiscales accommodantes

pour les primo-accédants à faibles revenus ? Le PTZ (prêt à taux zéro) dans l’ancien vient d’être

supprimé alors que celui accordé pour un achat dans le neuf a été restreint. Et vu l’état des caisses de

la France, on imagine mal l’introduction d’un tel coup de pouce à court terme. Les seules mesures

envisagées devraient plutôt toucher les conditions d’accès au logement social, ce qui est un autre

sujet.

Faute de transactions, les prix ne baissent pas

Si tous ces éléments ne se débloquent pas, il y a fort à parier, à la longue, que le marché se fragilise.

L’absence de transactions n’est bonne pour personne. Ni pour ceux qui ne peuvent vendre leur actif,

ni pour ceux qui ne parviennent pas à trouver de quoi se loger sans parler de toute la filière des

agents immobiliers. Très logiquement, les prix ne devraient pourtant pas s’en retrouver affaiblis

puisqu’en l’absence de transaction, une éventuelle poussée à la baisse ne peut intervenir.

Parmi les raisons d’espérer une possible reprise des transactions : le niveau des taux d’intérêt,

résolument au tapis et les possibles opérations émanant de ceux qui ont acquis leur bien voici très

longtemps et susceptibles de réaliser une belle plus-value, même en cas de prix de vente revus à la

baisse.

Page 8: Revue de presse de la semaine 33   2012

La revue de Presse KYLIA

8

Parmi les éléments négatifs : une conjoncture économique toujours aussi détestable poussant les

candidats à l’accession à repousser leur projet faute de moyens et de confiance en l’avenir. Un

environnent fiscal beaucoup moins favorable pour tous les propriétaires.

Source : Latribune.fr

Page 9: Revue de presse de la semaine 33   2012

La revue de Presse KYLIA

9

Les taux des crédits immobiliers à nouveau en repli

Le 17/08/2012

Copyright Reuters

Les taux moyens sont en baisse sur toutes les durées et plus particulièrement sur 30 ans. Une bonne

nouvelle pour ceux qui veulent acheter ou renégocier leur crédit

Si l’immobilier fait toujours figure de placement refuge pour bon nombre de Français, la chute des

transactions des biens anciens depuis le début de l’année, n’est pas sans les inquiéter (voir article de

la Tribune.fr du mardi 14 août). Evolution qui tient surtout à la paralysie du marché née de la volonté

des acheteurs d’attendre une baisse des prix avant de passer à l’acte et de la réticence des vendeurs

à accepter de brader leur propriété. Du coup, le flux habituel s’est largement tari ces derniers mois,

d’aucuns redoutant un repli des valeurs quand d’autres ne les voient absolument pas venir. Dans ce

contexte plutôt morose, de bonnes nouvelles interviennent pourtant. Le comparateur de crédits et

d’assurance, Empruntis.com, qui publie un baromètre régional régulier des taux d’intérêt en vigueur,

vient ainsi d’annoncer un nouveau recul des taux des crédits. « Le mois d’août a été marqué par le

retour des taux moyens sous la barre des 4%. Une première depuis 2010, confirme Maël Bernier,

directrice de la communication chez Empruntis.com. L’Ile de France reste la seule région à afficher un

taux moyen à 4% ». A noter, en effet, que le point bas historique est intervenu en octobre 2010.

Page 10: Revue de presse de la semaine 33   2012

La revue de Presse KYLIA

10

Des replis sur toutes les zones géographiques et su r toutes les durées

D’une manière générale, les taux moyen (c’est-à-dire ceux se situant dans le milieu de la fourchette

des taux pratiqués dans les différentes régions par les banques) sont en repli sur toutes les zones,

mais aussi sur toutes les durées, et particulièrement sur 30 ans (à 4,65% contre 4,8% le 1er août).

Sur 15 ans, le taux moyen ressort à 3,45%. Sur 20 ans, à 3,85%. Sur 20 ans toujours, la région Ouest

détient toujours le record du meilleur taux à 3,75%. Elle est rejointe dans le classement par la région

Nord (voir la carte détaillée à la fin de l’article).

Une bonne nouvelle aussi pour ceux qui veulent rené gocier leur prêt

La poursuite de ce mouvement baissier est une bonne nouvelle à double titres. D’abord parce qu’elle

permet logiquement aux candidats à l’accession à la propriété de payer moins cher leur projet. Et ce,

d’autant plus que la grande majorité des banques octroient actuellement une décote par rapport aux

taux affichés publiquement lorsque le demandeur offre un profil jugé satisfaisant. Mais aussi à ceux

qui ont des engagements à taux fixe de renégocier avantageusement leur crédit. « Mais pour que

l’opération soit intéressante, il faut en être aux premières années de remboursement du prêt et

bénéficier d’une différence de taux d’au moins 0,8% », prévient la porte parole d’Empruntis.com. De

fait, au début de la période de remboursement, l’emprunteur ne paye que les intérêts, il est donc plus

intéressant pour lui de voir son banquier à ce moment là. Tous ceux qui ont souscrit un crédit l’an

passé ou en 2009 ont tout intérêt à tenter de revoir les modalités de leur prêt. Il n’est d’ailleurs pas

obligatoire de n’en parler qu’à son banquier. D’autres banques pourront être partantes pour racheter

des crédits en offrant de meilleures conditions à leurs détenteurs. En moyenne, les niveaux de taux

actuels permettent de réaliser une économie de 25.000 euros ou 3 années de remboursement.

Les banques ont quasiment réalisé leur quota de cré dits

Certes, les taux des crédits ne font pas tout. Mais ils constituent un sérieux coup de pouce dans un

projet d’acquisition. Projet qui s’inscrit en outre dans la durée. Revers de la médaille, si les taux sont

aujourd’hui si bas, c’est parce que la conjoncture n’est pas bonne. Et qu’ils suivent les taux directeurs,

eux-mêmes au tapis afin de relancer la croissance. Et cette situation fragilise bien évidemment la

surface financière des emprunteurs potentiels qui ne veulent pas ou ne peuvent pas se lancer

actuellement dans une aventure lourde de conséquences. Tous les signaux ne sont donc pas au vert.

A la rentrée, prévient Maël Bernier, il n’est pas dit que les taux des crédits demeurent aussi bas. «

Nombre de banques ont quasiment réalisé leur quota assigné, et il est fort à parier qu’elles seront

moins accommodantes pour offrir des taux aussi attractifs que ceux constatés au mois d’août ».

Page 11: Revue de presse de la semaine 33   2012

La revue de Presse KYLIA

11

Bémol que l’on doit toutefois nuancer puisque même si les établissements bancaires relèvent de

quelques points de base leur crédit, ceux-ci demeureront à des niveaux historiquement faibles.

Source : Latribune.fr

Page 12: Revue de presse de la semaine 33   2012

La revue de Presse KYLIA

12

A propos de KYLIA

KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction. Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes : • La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières traditionnelles. • L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients. • La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun : La croissance ! Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier

Marie LAURENT / [email protected] / 01 46 51 93 39