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marie-van-der-marliere
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Portfolio Marie-Graphiste.com • Web : site institutionnels et e-commerce • Print (sélection) : plaquettes, brochures, catalogues • Data-visualisation
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Data-Visualisation
exécution
WebMarie
conception
créativité
Page 2
Page 20
Page 10
Web
kk Design ergonomiquekk Création graphique
OPTIRISK SITE INTERNET
kk Design ergonomiquekk Création graphique
OSHIBORI CONCEPT SITE INTERNET
kk Création graphique
TOTAL SOLAR EXPERT SITE INTERNET
Maquette de l’e-newsletter
kk Design ergonomiquekk Création graphique
ELA SITE INTERNET
kk Création graphique
BOUGIES RIGAUDSITE E-COMMERCE
kk Création graphique
CUISINE & USTENSILESSITE E-COMMERCE
kk Design ergonomiquekk Création graphique
AU FORUM DU BÂTIMENT SITE E-COMMERCE + APP
OUTILLAGE ET FOURNITURES INDUSTRIELLESL’outillage de A à Z
ELECTRICITÉDe l’installation à l’éclairage
SANITAIRE PLOMBERIEDe la cuisine aux WC
CHAUFFAGEBallon, chaudières...
QUINCAILLERIEDes serrures au contrôle d’accès
ACCUEIL CATALOGUE RECHERCHE COMMANDE FAVORIS AUTRE
ETIQUET’ABLEPLAQUETTE
kk Création graphique
Etiquet’table®
Affichage pour une alimentation durable
Qu’est-ce que c’est ?Etiquet’table est une étiquette qui permet d’évaluer le contenu d’une assiette selon ses impacts environnementaux et socio-économiques.
À quoi ça sert ?• Pour le consommateur : prendre conscience de manière ludique et concrète des impacts des produits consommés
• Pour le restaurateur : valoriser sa démarche vers une alimentation saine et responsable et en informer le client.
Comment ça marche ?L’étiquette est composée de 4 critères d’évaluation du plat.
2,3kgCO2e
76% 84%
98%
Eco2Initiative - 119, rue Damrémont - 75018 ParisTel (+33)1.46.06.05.54 - http://etiquettable.eco2initiative.com - [email protected]
84% Les labels durables (bio, équitable, pêche responsable...) : pour assurer au consommateur la crédibilité de l’origine des produits et leurs conditions de production
76% La production locale : pour que les choix alimentaires rapprochent le consommateurdes producteurs et contribuent au développement économique local
98% La saisonnalité : pour choisir des produits qui ne nécessitent pas de consommation d’énergie excessive et qui respectentle rythme de la nature
2,3kgCO2e
Le CO2 : pour réduire l’empreinteenvironnementale de l’alimentation
Etiquet’table®
Affichage pour une alimentation durable
2,3kgCO2e
76% 84%98%
Calculs réalisés par Eco2Initiative - Tel (+33)1.46.06.05.54 - http://etiquettable.eco2initiative.com - [email protected]
Qu’est-ce que c’est ?Etiquet’table® est une étiquette qui permet d’évaluer le contenu d’une assiette selon ses impacts environnementaux et socio-économiques.
Comment ça marche ?L’étiquette est composée de 4 critères d’évaluation du plat.
84%Les labels durables (bio, équitable, pêche responsable...) : pour assurer au consommateur la crédibilité de l’origine des produits et leur conditions de production
76%La production locale : pour que les choix alimentaires rapprochent le consommateur des producteurs et contribue au développement économique local
98%La saisonnalité : pour choisir des produits qui ne nécessitent pas de consommation d’énergie excessive et qui respectentle rythme de la nature
2,3kgCO2e
Le CO2 : pour réduire l’empreinteenvironnementale de l’alimentation
EntréesPetit jardin de Légumes de saison
à l’huile de Truffe & Croustille de seigle de Chez Perrin
Saumon Fumé à chaud par nos soins,Légumes croquants et Petite crème acidulée
Velouté d’épinards et Asperges, Oeuf poché,Asperges crues et cuites
Foie Gras de chez Mitteault en terrine,Confiture de Figues & Brioche
à la Chataigne poêlée
PlatsMagret de canard de chez Mitteault,
Purée de pois chiche a la pistache, légumes aux épices
Filet de Merlu de chez Delsuc,Purée de patate douce à la coco,
Pakchoï et Artichaut, émulsion aux algues
Risotto aux asperges vertes et blanches,roquette & Vinaigrette à l’huile de truffe
Plateau de Fromages Affinés et Fermiers d’Ici et d’Ailleurs
DessertsGâteau au chocolat Grand cru d’origine
« Los Ancones »,
Glace cacao d’Amérique Centrale
Autour du Citron : Biscuit, mousse au fromage frais,crème brûlée et crumble noisette
Sélection de Glaces et Sorbets Maison aux Parfums de Saison.
2,3kgCO2e
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8,2kgCO2e
76% 39%23%
0,5kgCO2e
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6,4kgCO2e
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8,2kgCO2e
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0,5kgCO2e
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6,4kgCO2e
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4,5kgCO2e
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8,6kgCO2e
75% 87%68%
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Le Petit Nature••• restaurant •••
Eco2Initiative - 119, rue Damrémont - 75018 Paris
Tel (+33)1.46.06.05.54 - http://etiquettable.eco2initiative.com - [email protected]
Contactez-nous !
Nous prenons contact avec vous et vous expliquons la démarche
Vous nous envoyez le détail de vos menus
Nous calculons l’empreinte carbone des menus,ainsi que les autres critères
Nous vous remettons les étiquettes sur un menu déjà imprimé
Je suis restaurateur, comment puis-je avoir mon menu avec l’affichage ?
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F Vous n’avez rien à faire : nous nous occupons de tout et vous fournissons des étiquettes prêtes à l’emploi. Seule la communication de vos menus en amont est nécessaire.
F C’est rapide : nous travaillons directement à partir des recettes de vos menus.
F Le coût est minimisé : vous bénéficiez d’une méthodologie optimisée.
F C’est simple pour le consommateur : l’affichage est volontairement simple et compréhensible pour le consommateur.
F Votre démarche est valorisée : l'étiquette expose les résultats de vos choix responsables au consommateur, elle en présente les bénéfices concrets et légitime votre engagement..
F L’affichage est pédagogique : il donne aux consommateurs (et aux cuisiniers) des clés d’entrée concrets pour faire un repas “durable”.
Quelle est la valeur ajoutée de cette démarche ?
En collaboration avec Eco2Initiative
La démarche e.CO.popLa démarche e.CO.pop est menée depuis 2008 par le POPAI pour offrir à ses adhérents un outil de calcul simple de l’empreinte carbone d’une PLV.
L’outil, conçu par ECO2 Initiative, et basé sur des données de l’ADEME (l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie), a connu depuis plusieurs ver-sions et continue d’évoluer chaque année pour répondre aux besoins et remontées des utilisateurs.
A ce jour plus d’une vingtaine d’utilisateurs ont été formés à e.CO.pop.
Évaluezl’impact environnemental
de vos PLV avant ou après conception
Chiffrer précisément son impact carbone
Passer à l’éco-conception en toute facilité
Justifier le choix de matériaux en se basant sur des arguments concrets
Valoriser une PLV déjà conçue
Se différencier de ses concurrents en affichant son impact carbone dès la phase de devis
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bonnes raisons de connaître son impact5
Découvrez le fonctionnement d’e.CO.pop au verso !
Matières recyclées
Durée de vie
Logistique, fret
Consommation de ressources
Fin de vie
Emballages
Séparabilité
Gestion fine de la fin de vie des produitsInterface ergonomique
Au total, près de 500 données d’entrées !
Comparaison entre deux conceptionsEvaluation de l’ensemble du cycle de vie
Un outil d’aide à l’éco-conception
Au-delà du calcul de l’empreinte envi- ronnemental, e.CO.pop est un véritable
outil d’aide à l’éco-conception. Il permet de comparer plusieurs versions de PLV entre
elles et d’optimiser son empreinte en permettant de voir en direct l’évolution
des impacts selon les choix de matériaux, de poids, de logistique, de recyclabilité
ou de consommation d’énergie.
E.CO.POPCalculateur CO2 pour la PLV
Matériaux et procédés
Étude / Main d’œuvre
Emballages
Électricité
Fret
Fin de vie
e.CO.pop est accessible à travers une formation d’une demi- journée, réalisée par le POPAI. A l’issue de cette formation vous
connaitrez les bases de calculs et les principales fonctionnalités d’e.CO.pop. Vous repartirez avec la dernière version à jour
de l’outil et vous serez également informé de ses évolutions.
En complément d’e.CO.pop, le POPAI a rédigé une fiche pratique eco-conception, avec 10 critères et les bonnes questions à se poser lorsqu’on conçoit une PLV. L’application de ces critères et l’utilisation d’e.CO.pop permettent d’avoir une approche concrète et valorisable de l’eco-conception.
Comment acquérir e.CO.pop ? Les critères d’eco-conception
POPAI France Essca Entreprendre56 quai Alphonse Le Gallo92100 Boulogne-Billancourt
Nous contacter au sujet d’e.CO.pop :33(0)1 73 79 13 79
www.popai.fr - [email protected]
e.CO.pop
POPAIPLAQUETTE
kk Création graphique
En collaboration avec Eco2Initiative
POPAIPUBLICITÉ
kk Création graphique
Questions d’image, obligations règlementaires, optimisation et maîtrise industrielle, économies financières... Les enjeux du développement durable pour le secteur de la PLV sont multiples.
Concrètement, la mise en oeuvre d’une démarche de développement durable se fait à deux niveaux :
PLV
DéveloppementDurable
&
Les produitsL’organisationMatières recyclées
Durée de vie
Logistique, fret
Consommation de ressources
Fin de vie
Emballages
Eco-conceptionSystème de managementde l’environnement
Bilan Carbone
Consommationde papier
Déplacements de personnes Gestion
des déchets
Consommationd’énergie
Consommationd’eau
Créée dès 2009, la Commission PLV Verte de POPAI France vise à accompagner
les professionnels du secteur du marketing au point de vente dans leurs réflexions
autour du développement durable et de l’écoconception.
Les missions de la commission :> Assurer une veille réglementaire> Fournir des actualités environnementales spécifiques à la PLV> Former sur les outils et concepts du développement durable> Développer et mettre à disposition des outils spécifiques (fiches pratiques, calculateur …)> Animer un réseau de correspondants Développement Durable> Définir des standards pour la profession (empreinte carbone, Bilan Carbone®, etc.)
LA COMMISSION PLV VERTE
Pour faciliter la mise en œuvre de démarches de développement durable, POPAI France met à disposition des ses adhérents divers outils et supports :
Chiffrer précisément son impact carbonePasser à l’éco-conception en toute facilitéJustifier le choix de matériaux en se basant sur des arguments concrets Valoriser une PLV déjà conçue Se différencier de ses concurrents en affichant son impact carbone dès la phase de devis
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bonnes raisons de connaître son impact5
Calculateur e.CO.pop
> Cet outil, développé par POPAI France dès 2009, permet d’évaluer facilement les émissions des gaz à effet de serre générés par la fabrication d’une PLV (Outil réservé aux fabricants de supports et matériel de marketing au point de vente).
> Restez au fait de l’évolution de la règle-mentation environnementale grâce la veille règlementaire POPAI France.
Veille règlementaire
Guide pratique RSE> Le guide aborde le sujet de
la Responsabilité Sociétale des Entreprises d’une façon opérationnelle pour le secteur de la PLV.
> Il traite les enjeux, détaille la mise en place et présente l’ensemble des labels et certifications concernées, ainsi que les options de financement envisageables.
> Étude « Fin de vie des PLV et Valdelia »
> POPAI France a réalisé une étude qui vise à constituer un premier état des lieux des enjeux liés à la fin de vie des PLV : acteurs de la filière, types de matières et volumes concernés, pratiques du secteur et opportunités.
Étude Fin de Vie des PLV
POPAI France a édité deux fiches pratiques spécifiques au secteur de la PLV :> Bilan Carbone® : Comment réaliser
le Bilan Carbone® de son entreprise ?> Eco-conception : Qu’est-ce qu’une PLV
éco-conçue ?
Fiches pratiques
Pour en savoir plus au sujet de ces outils et supports : +33(0)1 73 79 13 79 - www.popai.fr - [email protected]
En collaboration avec Eco2Initiative
kk Création graphiquekk Exékk Préparation à la fabrication
DIFIQ PLAQUETTE 3 VOLETS
Une formation en partenariat
DiFiQ EnsaeDauphineBärchen
DiplômeFinance Quantitative
1. Gagnez une maîtrise incontournable des techniques quantitatives en finance
et gestion des risques Notre approche des mathématiques financières vous permettra de
maîtriser la valorisation des produits financiers aussi bien que les techniques de gestion des risques au sein des établissements finan-
ciers et de gestion d’actifs.
2. Bénéficiez d’un enseignement d’excellence académique et pratique
Les trois niveaux du Difiq vous permettent d’accéder à une exper-tise théorique mais aussi de bénéficier des apports d‘intervenants
professionnels pour assimiler l’état de l’art des techniques quanti-tatives à l’œuvre aujourd’hui au sein des établissements financiers.
3. Valorisez votre expérience et décrochez un double diplôme prestigieux Dauphine – Ensae
La validation de chaque niveau vous donne droit à une certification spécifique et l’examen de fin de cursus vous donne droit à un double
diplôme de l’Université Paris Dauphine et l’Ensae ParisTech.
Si vous décidez de ne suivre que le module un ou deux vous recevrez une certification officielle signée des trois partenaires.
4. Profitez d’un cursus conçu par et pour des professionnels
Les cours favorisent l’approche opérationnelle des concepts pour une mise en pratique immédiate. Enseignés par une équipe d’uni-
versitaires et de professionnels, ils auront lieu principalement le soir pour prendre en compte vos contraintes d’organisation.
5. Commencez votre formation à partir de votre niveau d’expertise initial
Les 3 niveaux du cursus constituent autant de point d’entrée pour les participants. En fonction de votre niveau de maîtrise (validée
sur dossier et par examen), vous intégrez le cursus au 1er, 2e ou 3e niveau. Vérifiez les critères d’admission pour chaque niveau grâce
aux questions-type sur notre site www.difiq.com.
5de s’inscrire au DiFiQ
bonnesraisons
Vous avez des questions ? Vous souhaitez avoir plus d’information ?Tel : 01 40 33 92 92 - [email protected]
L’Ensae (École nationale de la statis-tique et de l’administration économique) est la seule grande école d’ingénieur spécialisée en économie, statistique, finance et actuariat en France.
L’Ensae fait partie du GENES (Groupe des Écoles Nationales d’Économie et Statistique) qui rassemble les activi-tés de recherche et d’enseignement de l’INSEE et regroupe en plus de l’Ensae l’école d’ingénieur Ensai (École natio-nale de la statistique et de l’analyse de l’information) ainsi qu’un laboratoire de recherche (Crest), un centre d’accès sécurisé distant aux données (CASD) et un centre de formation continue (Cepe).
Plus d’information sur www.ensae.fr
L’Université Paris Dauphine est lea-der dans l’enseignement des sciences de l’organisation et de la décision : son éven-tail disciplinaire est large mais cohérent. Économie, gestion, mathématiques, infor-matique, droit, sciences sociales, langues.
Ouverte sur l’économie et l’entreprise : elle développe des cursus professionnali-sants, accueille de nombreux profession-nels parmi ses enseignants et cultive des relations étroites avec les entreprises.
Dauphine est un lieu où l’enseignement est nourri par la recherche : les étudiants profitent ainsi des connaissances les plus récentes. Dauphine est accrédité EQUIS depuis 2009 et est membre fondateur du réseau d’établissements d’excellence Paris Science et Lettres.
Plus d’information sur www.dauphine.fr
Bärchen est un organisme de formation indépendant spécialisé en formation financière pour banques, sociétés de gestion et assurances. Bärchen conçoit et anime des solutions de formation sur mesure ou sur catalogue avec plus de 360 séminaires disponibles.
Bärchen a été le premier organisme de formation continue à obtenir la certi-fication de l’Autorité des Marchés Fi-nanciers pour son examen de validation de connaissances (certification reçue le 20 mars 2010 sous le numéro C3).
Bärchen collabore également avec de nombreuses Ecoles et Universités.
Plus d’information sur www.barchen.fr
Modalités• Rendez-vous sur www.difiq.com pour vérifier les critères d’admission et accéder au formulaire d’inscription.
• Pour que nous puissions valider votre dossier dans les temps, il est recommandé que votre demande nous par-vienne au moins un mois avant le début des cours pour le niveau 1 et au moins un moins avant la date d’examen d’entrée (soit l’examen de sortie du niveau précédent) pour une admission directe aux niveaux 2 ou 3.
• Le nombre de places étant limité à 20 participants, il est recommandé de s’inscrire dès que possible.
Frais d’inscription• Les frais d’inscription au DiFiQ complet (3 niveaux soit 240 h) sont de 9 000 € pour un particulier et 12 000 € pour une entreprise. 1
• Les frais d’inscription à un seul niveau du DiFiQ (80 h) sont de 3 700 € pour un particulier et 5 000 € pour une entreprise.
• Les participants devront apporter avec eux un PC portable équipé d’Excel (version 2003 ou ultérieure) afin de réaliser les exercices et TP intégrés dans chaque cours.
1. Prestation de formation continue exonérée de TVA.
COMMENTS’INSCRIRE ?
Bruno BouchardBruno est responsable de la filière finance de marché de la troisième année de l’ENSAE- ParisTech et co-responsable du Master Re-cherche MASEF à Dauphine en mathématique
financière. Il a notamment obtenu le prix du meilleur jeune chercheur en finance de l’Institut Europlace 2013 et a de nom-breuses publications dans des revues de haut rang en mathéma-tiques appliquées à la finance.
Antonin ChaixDiplôme de l’Ensae et titulaire du DEA de Mathé-matiques appliquées MASE de Dauphine, Antonin est un spécialiste des dérivés de taux. Ancien ana-lyste quantitatif au sein de Calyon et Ixis Cib, Antonin
a développé pour Bärchen plusieurs modules sur les mathématiques financières et le pricing des dérivés complexes. Il intervient également à l’ENSAE ParisTech, au Cepe et à l’Université Paris VI.
Une équipe d’intervenants de haut niveau
Les intervenants sont sélectionnés au sein du corps enseignants de l’Université Paris Dauphine
et du de l'ENSAE ParisTech ainsi que parmi les intervenants professionnels collaborant pour Bärchen.
Ils sont dirigés par Bruno Bouchard et Antonin Chaix.
Le DIFIQ qu’est-ce que c’est ?Le Diplôme de Finance Quantitative est un double diplôme unique en France délivré par l’Université Paris Dauphine et l’ENSAE ParisTech. Il est délivré à l’issue d’un cursus consa-cré aux techniques quantitatives en finance et gestion des risques, constitué de trois niveaux distincts et réservés aux professionnels.
Il a pour ambition de permettre aux personnes déjà en poste et aux jeunes diplômés disposant d’une base minimum en mathématiques d’évoluer dans le secteur financier, de perfectionner et de valider leurs connaissances et savoir-faire. Le DiFiQ facilitera votre évolution de carrière au sein des services de négociation et d’ingénierie financière, de middle office et de gestion des risques mais aussi d’ALM et de gestion d’actifs.
L’excellence technique pour les professionnels de la financeLe DiFiQ a été conçu conjointement par l’Université Paris Dauphine, l’ENSAE ParisTech et l’organisme de formation continue Bärchen. L’alliance de ces trois établissements vous garantit un niveau d’excellence pour chacun des cours et une formation connectée à la réalité de la finance contemporaine. Les intervenants sont issus des équipes de Paris Dauphine et de l'ENSAE ParisTech mais aussi du monde professionnel.
Une formation vers l'expertise validée par un double diplôme Dauphine - ENSAE ParisTech
Le DiFiQ s’étend sur 240 heures d’enseignement théorique et pratique. Le cursus se structure en 3 niveaux de 80 heures chacun à raison d’un niveau par semestre. Le cursus commence au
niveau 1 à moins que votre maîtrise initiale en mathématique et finance ne vous permette d’entrer à partir du niveau 2 ou niveau 3. L’admission pour chaque niveau s’effectue sur dossier et en fonction d’un test d’aptitude ou d’un examen
(voir ci-dessous). Découvrez sur notre site www.difiq.com le niveau d’entrée qui vous convient le mieux. Les niveaux 1 et 2 peuvent être suivis indépendamment et donnent droit à une Certification
signée des trois partenaires. Réussir le niveau 3 donne droit au double diplôme Paris Dauphine - ENSAE ParisTech.
Quels sont les cours dispensés ?Les cours enseignés se concentrent sur les mathématiques financières
et leurs applications dans le monde de la finance et de la gestion des risques.
Edito
Niveau 1 Niveau 2 Niveau 3
Produits financiers et gestion d’actifs 54 h 15 h
Mathématiques Financières 12 h 60 h
Gestion des risques 14 h 45 h
TP informatiques 20 h 20 h
Chaque participant pourra en plus participer gratuitement à un séminaire de son choix parmi ceux proposés au sein du catalogue de Bärchen (www.barchen.fr) et assister aux différentes conférences organisées par les 3 partenaires sur les sujets liés
(réglementation, normes comptables, informatique…).
Séminaires professionnels complémentaires
En complément des 240 heures de cours vous pourrez participer à toutes les conférences
animées par des experts reconnus que pro-posent les trois partenaires pour aborder
des sujets connexes ou approfondir cer-taines notions.
Par ailleurs vous aurez la possibilité de participer à un séminaire de
votre choix parmi ceux proposé dans le catalogue Bärchen
(www.barchen.fr) dans la me-sure des places disponibles.
Aucun frais supplémen-taire ne sera demandé
pour la participation à ces conférences et
à ce séminaire.
Comment s’organise l’enseignement ?
La formation est conçue pour des professionnels en activité. Elle s’organise donc principalement en
cours du soir, de 18h00 à 21h00 et intègre éga-lement plusieurs journées complète à raison d’une
journée par mois.
Chaque niveau se déroule sur un semestre, il est donc possible de décrocher le DiFiQ en un an et demi.
Les cours ont lieu à Paris à l’Université Dauphine ou au sein des autres partenaires Ensae et Bärchen.
Les inscriptions sont ouvertes !
Le calendrier des prochaines sessions• Niveau 1 : mars à juillet 2014 (inscriptions ouvertes)
• Niveau 2 : septembre à décembre 2014• Niveau 3 : février à juin 2015
Retrouvez le calendrier détaillé sur www.difiq.com
Niveau 1 : Techniques des marchés financiers et gestion des risques
Il ne faut pas être complètement étranger au monde de la finance et disposer d’une certaine culture mathématique initiale. pour
suivre efficacement ce niveau.
Afin de décrire les produits et règles du jeu des marchés, une mise à niveau en mathématiques permet de formaliser et de mesurer
le concept d’incertitude inhérent aux marchés.
Les techniques usuelles de Pricing d’options et de Risk Manage-ment, basées sur l’absence d’opportunité d’arbitrage, sont introduites
ainsi que la modélisation actuarielle des risques de taux. Connaître le concept de mesure de risque, notamment la Value at Risk, semble
inévitable dans un contexte de régulation de plus en plus forte (Bâle, Solvency). Enfin, un cours de gestion de portefeuilles permettra
d’aborder sous un angle quantitatif l’approche usuelle de minimisa-tion du risque pour un rendement moyen donné.
1. Les fondamentaux mathématiques pour la finance (12H) 2. Les produits financiers (40H)
3. Introduction à la gestion des risques (14H) 4. Gestion de portefeuille (14H)
Niveau 2 : Modèles mathématiques et applications
Ce module présente les outils mathématiques et statistiques qui caractérisent la finance quantitative. Au-delà de son contenu
technique, notre ambition est d’apporter une bonne compréhen-sion de ces outils afin de pouvoir les manipuler avec aisance dans
un cadre professionnel.
1. Introduction au calcul stochastique (30h)2. Modélisations stochastiques des marchés financiers (15h)3. Statistique (15h)
4. Méthodes numériques 20hChaque module sera accompagné de travaux pratiques informatiques.
Niveau 3 : Finance quantitative avancée
Se fondant sur le socle théorique du DiFiQ niveau 2, le niveau 3 propose une série de modules avancés en modélisation, gestion
des risques et asset management. Tous les sujets de la finance quantitative actuelle sont abordés, de l’évaluation de structu-
rés complexes à la question aujourd’hui cruciale de la gestion du risque de contrepartie. Les modules du DiFiQ niveau 3 sont
complétés par un cycle de conférences animées par des profes-sionnels reconnus.
1. Modélisations avancées (14h)2. Techniques statistiques avancées en gestion des risques (12h)
3. Gestion du risque de contrepartie (12h)4. Gestion du risque de liquidité (8h)
5. Stratégies quantitatives de gestion d’actifs (10h)6. Eléments de réglementation prudentielle (8h)
7. Cycle de conférences (16h)
UN PROGRAMMEEN 3 NIVEAUX
Conditions d’entrée requises pour les admissions directes
Niveau 1 Niveau 2 Niveau 3
Mode d’admission directe Individuel sur dossier Individuel sur dossier Individuel sur dossier
Niveau d’étude initial minimum requis
Bac +3 Bac +4 Bac +4
Examen requis Test d’aptitude en ligne (mathématique
et finance)
Réussite à l’examen de sortie du Niveau 1
Réussite à l’examen de sortie du Niveau 2
Procédure Demande d’admission par internetEtude du dossier et retour en deux semaines maximum
Passage de l’examen ou du test d’aptitude si retour positif
PaulUne fois obtenue sa licence d'écono-métrie, Paul a choisi de travailler en finance après un stage en Back Office dérivés d’une banque d’investisse-ment. Aujourd'hui il souhaite évoluer rapidement et intégrer le service de gestion des risques.´ Il s’est décidé à reprendre une for-mation pour acquérir un socle solide de maîtrise des produits et des techniques d’évaluation des risques. Le DiFiQ est totalement adapté à sa situation et lui permettra d’améliorer dès le niveau 1 sa compétence professionnelle.
ArthurAprès 5 ans en gestion d’actifs en tant qu’assistant de gestion puis gérant de fonds, Arthur qui dispose d’un master 2 en Banque Finance souhaite rafraî-chir et développer son niveau en ma-thématiques financières pour amélio-rer la maîtrise de son environnement professionnel. ´ Grâce à son expérience profession-nelle et sa formation initiale, il pourra intégrer directement le niveau 2 du DiFiQ et développer son savoir-faire en techniques quantitatives.
GabrielleDiplômée d’une école d’ingénieur, Ga-brielle a occupé pendant plus de 10 ans différents poste en salle des marchés et s'apprête à intégrer l'équipe de gestion d'un hedge fund. Disposant d'une bonne maîtrise des marchés et de la théorie mathématique, elle souhaite acquérir l'état de l'art des techniques quantitative à l'oeuvre aussi bien en gestion d'actifs, en activités des marchés qu'en gestion des risques. Elle demandera à entrer directement au niveau 3 du DiFiQ.´ Elle s’est décidé à reprendre une for-mation pour acquérir un socle solide de maîtrise des produits et des techniques d’évaluation des risques. Le DiFiQ est totalement adapté à sa situation et lui permettra d’améliorer dès le niveau 1 sa compétence professionnelle.
3 EXEMPLES DE PROFILS DIFFÉRENTS POUR 3 NIVEAUX D’ENTRÉE
L’entrée dans le cursus du DiFiQ requiert une culture minimum en mathématique et des connaissances en finance.
En fonction de votre maîtrise initiale de ces sujets, vous avez la possibilité d’intégrer le cursus à partir du Niveau 1, Niveau 2 ou Niveau 3.
Vérifiez le niveau qui vous convient le mieux à l’aide des programmes des différents niveaux et des exemples de questions des tests d’entrée disponibles sur notre site www.difiq.com.
À noter que les niveaux 1 et 2 peuvent être suivis de façon indépendante sans obligation de poursuivre le cursus jusqu’au niveau 3. Si vous réussissez leur examen de sortie vous aurez droit à une triple Certification Ensae - Dauphine - Bärchen.
QUEL NIVEAU POUR VOUS ?
Déclinaison en 4 langues : français, anglais, allemand, italien
kk Création graphiquekk Exékk Export PDF interactif
FONDATION D’ART OXYLANE DOSSIER DE PRESSE
Exhibition of the BISAR Residence
La.Fondation.d’Art.Oxylane.est.le.projet.qui.a.mar-qué,. en. juillet. 2009,. l’entrée. du. groupe. Oxylane.dans. le. monde. de. l’art. contemporain. afin. de. dé-couvrir.et.accompagner.des.artistes.internationaux.
émergeants.pour.insuffler.une.nouvelle.énergie.dans.notre.façon.d’appréhender.le.sport.
Tout.comme.dans.ses.autres.secteurs.d’activités, Oxylane souhaite promouvoir, avec sa fondation d’art, la démocratisation des outils nécessaires à l’expression d’une passion et faciliter le rapprochement du plus grand nombre à l’art contemporain.
Les.racines.de.la.Fondation.d’Art.Oxylane.sont.ancrées.dans.la.communauté.urbaine.de.Lille.métropole,.rond-point.européen.de.Paris,.Londres.et.Bruxelles..Cette.localisation.pri-vilégiée.est.la.source.et.le.point.de.départ.de.la.fondation.
La volonté de la Fondation d’Art Oxylane est de promouvoir les liens entre l’art et le sport au.sens.large.;.rendre.visible.les.réflexions.artistiques.existantes.sur.le.sport.ou.sur.un.de.ces.aspects,. rechercher.de.nouvelles.synergies,.de.nouveaux.points.de.vue,. faire.parler.artistiquement.le.sport.et.son.monde.de.signes.et.cela.à.travers.tous.les.terrains.de.l’art.contemporain.:.musique,.peinture,.sculpture,.écriture,.danse,.théâtre,.vidéo,.cinéma,.photographie,. land.art,.design,. raw.art.et. internet.art..Toute. forme.de.collaboration.est.envisageable..Pour.chaque.événement.la.programmation.et.les.actions.de.la.Fondation.ont.lieu.dans.un.endroit. spécifique..Les. interlocuteurs.de. la. fondation.sont. les.musées,. les.galeries,. les.institutions,.les.associations,.les.écoles.et.tout.lieu.réadaptable.et.pertinent.à.l’occasion...Cela.traduit.la.volonté.de.se.situer.ou.plus.près.du.lieu.de.production,.de.diffusion.et.de.vie.de.l’œuvre.d’art.et.de.son.auteur.et.ainsi.créer.des.liens.entre.l’œuvre.d’art.et.le.grand.public..La prise sur l’actualité et le quotidien et son rapprochement avec l’art sont une priorité pour la Fondation d’Art Oxylane.
La. recherche,. l’engagement. et. l’action. de. la. Fondation. s’envisagent. à. l’international. et.s’articulent.en.trois.formes.ponctuelles.:.la.production,.le.mécénat,.le.partenariat.
LA FONDATION D’ART OXYLANE
Toute forme de collaboration est envisageable.
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Avril 2011 - Surface de réparationEn.documentant. la.pratique.du. football.en.Pales-tine,.la.photographe.Amélie.Debray.propose.un.re-gard.inédit.sur.la.jeunesse.palestinienne..Les pho-tographies témoignent tout à la fois de la passion universelle pour le ballon rond et de l’affirmation d’une identité dans un pays morcelé..Elles.rendent.compte.de.la.vie.sportive.de.plusieurs.clubs.de.foot-ball.représentatifs.de.la.diversité.du.pays..Le.projet.fait.partie.d’un.long.travail.d’investigation.autour.de.
la.pratique.du.football.à.travers.le.monde..Amélie.Debray.prolonge.ici.son.travail.d’enquête.commencé.en.Afrique.du.Sud.et.en.France.
Artiste : Amélie.Debray
Du 4.9.11 au 9.11.11 - Formes Olympiques A. travers. plus. d’une. vingtaine. d’œuvres. d’art,. allant. de.l’art.moderne.à.l’art.brut.en.passant.par.l’art.contempo-rain.;.le corps et le mouvement sont questionnés ou glo-rifiés, à travers un sport, une pratique artistique,.tout.en.impliquant.le.spectateur..
From 11.11.11 to 11.27.11 - SequenceMulticulturelle, riche, originale, festive : voilà quelques ad-jectifs qui caractérisent la 20ème édition du Festival inter-national Séquence de court-métrage, qui se déroule dans divers lieux de la ville de Toulouse et de la région Midi-Py-rénées. A l’occasion de cette édition anniversaire, l’asso-ciation toulousaine a souhaité ouvrir un nouveau champ d’exploration, le sport..Dans.ce.cadre,.le.partenariat.entre.l’association.et.la.Fondation.d’Art.Oxylane.a.donné.naissance.à.une.thématique.ouverte.Le.sport.dans.tous.ses.états..Le.court-métrage.est.un.format.peu.répandu.dans.les.circuits.de.distribution. traditionnels.et. il. vit.essentiellement.grâce.aux.festivals.spécialisés..Ainsi,.en.soutenant.le.festival.Sé-quence,.la..Fondation.d’Art.Oxylane.s’inscrit.complètement.dans.une.dynamique.d’aide.aux.artistes.en.devenir.
Í.Site.
Í.Site.
Í.Site.
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Le cycle de conférencesPendant. trois.mois,.d’avril.à. juin.2011,.BISAR.a.proposé.à.une.succession.d’artistes.de.présenter.leurs travaux dans une ambiance conviviale sous forme de conférence, de lec-tures, d’exposition photo et de dessin, de diffusion vidéos, d’échanges, d’appréhesion de l’espace urbain. BISAR.peut.ainsi.se.targuer.de.permettre.à.des.artistes.émergeants.ou.reconnus.de.pré-senter.à.un.public.toujours.présent.en.nombre.l’avancée.de.leurs.réflexions.
Conférenciers
PLUS QU’UNE RESIDENCE
Sam GriffinDessinateur.et.sculpteur.ayant.exposé.dans.de.nombreux.pays.européen.et.collaboré.avec.le. professeur. Ian. Borden. et. Raphaël. Zarka..Photos
Jonathan PetersPhotographe. et. vidéaste.dont.les.œuvres.enrichissent.sans.cesse.la.culture.skate-board..Photos
Adam SelloFondateur. du. célèbre.magazine. Anzeige. Berlin..Photos
RadioskateboardCollectif. de. skateurs. de.Kreuzberg..Photos
FrenchDessinateur.qui. illustre.merveilleusement.l’adage.«Skateboard.is.dirty.and.edges.are.rough»..Photos
East EricArtiste.polymorphe.dont.le.travail.tourne.au-tour.du.concept.de.penser.autrement. l’es-pace.et. l’envisager.sous.un.angle.nouveau.notamment.à.travers.sa.série.monochrome..Photos
Christian Roth (Captain Cracker) Photographe,. vidéaste. et. réalisateur. de.documentaire,. il. est. également. directeur.de.la.création.et.associé.au.sein.de.de.Mob.Skateboard..Photos
Scott BourneSkateboarder. professionnel,. écrivain. et.poète..Photos
Alexander HollsteinSkateboarder. emblématique. de. la. scène.berlinoise..Photos
Brad DowneyPlasticien.dont.le.travail.vise.à.attirer.l’at-tention. du. public. sur. sa. propre. situation.urbaine.et.sociale..Photos
Andrea BelfiBatteur. et. compositeur. électroacoustique.auteur.de.nombreux.albums.et.collabora-tions..Photos
Natas KaupasSkateur. précurseur. d’une. nouvelle. ap-proche.de.la.discipline.dans.les.années.80,.il.a.marqué.de.son.empreinte.le.skateboard.et.développe.aujourd’hui.des.design.novateurs..La.fondation.soutient.l’œuvre.2.foot.worlds.présentée. dans. le. cadre. de. l’exposition.Public.Domain.à.la.Gaîté.Lyrique..Photos
The WaPlasticien. et. vidéaste. se. définissant. lui-même. comme. un. «. guerilla. artist. »,. il.utilise.la.plupart.du.temps.la.ville.comme.objet.central.de.ses.œuvres..Photos
Dumar Brown aka Nov YorkGraphiste.et.maintenant.écrivain.de.nom-breuses.nouvelles,.de.scripts.pour.le.ciné-ma. et. la. télévision.. Son. inspiration. prin-cipale. vient. de. son. emploi. de. professeur.d’anglais.dans.les.prisons.new.yorkaises...Photos
http://bisar.tumblr.com
www.fondation-art-oxylane.com
BISAR Skateboard ConferencesJune 2011
Jeden Donnerstag 20 Uhr / Every Thursday 8pmProjektraum1 / Kunstraum Kreuzberg / Bethanien, Mariannenplatz2, 10997 Berlin
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Mettant en lumière une sélection d’œuvres créées par les artistes par-ticipant au projet de résidence BISAR (Berlin International Skateboard Artists Residence), l’exposition DO NOT THINK explore plusieurs as-pects de la culture du skateboard.
A.l’intérieur,.le.travail.des.artistes..explore,.de.façon.volontaire.ou.condi-tionnée.par.l’environnement.créé.au.sein.de.la.résidence,.plusieurs.as-pects.de.la.culture.skateboard..La décomposition et l’approche physique.de.l’architecture,.l’œuvre.des.vidéo-artistes.La notion de « Do It Yourself ».appliquée.à.l’invention.de.planches.im-possibles.ou.à.la.mise.en.scène.décalée.de.dessins,.conçues.par.le.car-tooniste.La réutilisation, la réadaptation et la réappropriation d’espaces,.artis-tiques,.extérieurs.ou.intérieurs,.détournés.par.le.plasticien.La répétition maniaque d’un trick.par.le.dessinateur.Ou. encore. l’approche. sonore. du. compositeur. à. travers. l’orchestration.
d’une symphonie skate de.musica.materica.
La fusion entre l’objet lui-même et les recherches menées à son propos est bien illustrée par la sculpture skateable.qui.accompagne.toujours.cette.exposition.L’œuvre.du.dessinateur.anglais.Dave.The.Chimp,.les.sculptures.ont.représenté.un.père.en-laçant.son.enfant.dans.un.geste.de.protection.et.qui.envoie.un.message.de.joie.et.de.liberté.(la.sculpture.skateable.«.Papa.und.Ich.».à.Berlin).et.l’image.de.deux.amis.qui.se.tiennent.par.la.main.(«.Friendship.Bowl.».à.Wroclaw.en.Pologne),.et.prendra.plusieurs.autre.formes.qui.parlent.de.l’univers.du.skateboard.tout.le.long.du.parcours.de.l’exposition.
L’ambition.de.la.Fondation.d’Art.Oxylane.est.d’offrir.à.chaque.ville.qui.héberge.l’exposition.une.sculpture.skateable.exécutée.spécifiquement.pour.l’occasion..Ainsi.«.Papa.und.Ich.».accueille.toujours.les.enfants,.le.publique,.les.skateurs….à.Berlin.et.le.«.Friendship.Bowl.».a.été.transféré.dans.une.espace.d’art.dans.le.centre.de.Wroclaw.
Produit.d’une.résidence.d’artistes.vivante.et.ouverte,.en.accord.avec.son.approche. fon-damentalement. pluridisciplinaire,. l’exposition. DO. . . NOT. THINK. s’accompagne. de. divers.évènements. autour. du. skateboard. –. projections. vidéo,. ateliers. pour. enfants. et. adultes,.concerts.et.skateboard.jams.
Sa.présence.est.complétée.par.un.catalogue,.un.disque.vinyle.en.édition.limitée.des.com-positions.d’Andrea.Belfi.et.un.livre.de.dessins.tirés.de.l’œuvre.de.Dave.The.Chimp.
L’EXPOSITION
Ausstellung der Berlin International Skateboard Artists Residence
Vom 10. September bis 23. Oktober 2011Täglich 12–19 Uhr
Projektraum 1 / Kunstraum Kreuzberg/BethanienMariannenplatz 2, 10997 Berlin
Ein Projekt der
In Zusammenarbeit mitdem Kunstraum Kreuzberg/Bethanien
L’intention de la Fondation d’Art Oxylane est d’offrir à chaque ville qui héberge l’exposition sa sculpture skateable exécutée pour l’occasion.
«Papa.und.Ich»
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Wrocław
Pour.toutes.demandes.d’images.HD,.merci.de.nous.contacter
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kk Création graphiquekk Exékk Export PDF interactif
MALTEUROP NEWSLETTER News
*Le magazine interne de Malteurop est édité par Malteurop Groupe, BP 1041, 51685 Reims Cedex 2, France - Tél. : +33 (0)3 26 78 61 00. Responsable de publication et rédaction : François Sutra Fourcade, Angélique Dard, Diptyque. Traductions : Lester traduction.© Copyright Malteurop 2014. Toute reproduction, même partielle, est interdite sans autorisation préalable de l’éditeur. *Nous cultivons vos malts
FocusResponsabilité sociétale
h Sécurité au travail .....................................2Les méthodes de sécurité “People Based Safety” aux Etats-Unis et au Canada
h Sécurité sanitaire alimentaire ..................4Diamalteria est certifiée FSSC 22000
h Réduire la consommation d’énergie ......6La centrale de cogénération biomasse de Gdansk, un système innovant et performant
h Développement local ...............................8Responsabilité Sociétale, l’engagement local
Développement Malteurop investit
dans les malts spéciaux .............................9
Conseil et ingénieriePartenariat technique en Afrique du Sud ...10
Système d’informationTour d’horizon des projets informatiques de Malteurop .............................................11
Equipe de directionNominations ......................... 13
PologneDouble récompense ................................15
Vivescia4 valeurs pour forger une culture commune ..............................16
Agenda ......................................................16
Mai 2014 - N°8
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Dans ce système de gestion de la sécurité, des ap-proches participatives sont mises en œuvre. Gary McLoughlin, Vice-Président des Opérations, nous dit quelle méthode et quels nouveaux outils sont déployés par MENA et MEC.
Sur quels principes se fonde votre approche de la sécurité ?L’objectif des systèmes de gestion sécurité-hy-giène de MENA et de MEC est de réduire les
risques et créer un environnement sûr et productif pour nos collaborateurs. Cela se fait notamment en leur donnant les outils dont ils ont besoin pour empê-cher les incidents avant même qu’il n’arrive quelque
chose. Plutôt que de réagir après l’incident, notre but est d’identifier les indicateurs majeurs, de prendre des mesures préventives avant la survenue d’un incident, et d’être proactifs dans notre analyse des tendances. La « People Based Safety » (PBS) est un des composants de base du système de gestion sécurité-hygiène de MENA.
Pouvez-vous décrire plus précisément la “People Based Safety”?La PBS repose sur des techniques simples d’observa-tion ; les collaborateurs s’observent et font un retour d’informations constructif et mutuel pour renforcer les comportements contribuant à la sécurité au travail et dissuader les comportements à risque.
La PBS n’est pas simplement un outil de reporting ; c’est un processus qui prend en compte la totalité de notre être, et non seulement nos réactions à ce qui se passe autour de nous. La People Based Safety est
basée sur 4 compétences-clés : Acting, Coaching, Thinking, and Seeing (ACTS – Agir, Coacher, Penser et Voir). Nos col-laborateurs utilisent ces 4 compétences afin de définir les comportements sécu-rité qui sont critiques pour l’usine.
Ces comportements critiques en ma-tière de sécurité sont déclinés sur une check-list qui compose notre Safety Ob-servation Audit Form (Formulaire SOA – Audit d’Observation Sécurité).
Comment ça se passe ? Qui fait ces observations ?Les SOA peuvent être initiés par les membres du personnel comme par
Chez Malteurop, la sécurité a une dimension organi-sationnelle. Les procédures de sécurité sont associées au fonctionnement quotidien et intégrées dans une approche systématique. Malteurop fait confiance au principe « People Based Safety », qui repose sur l’idée que les collaborateurs partagent la responsabilité à la fois de leur propre sécurité et aussi de celle des autres.
Sécurité au travailLes méthodes de sécurité “People Based Safety” aux Etats-Unis et au Canada
Mai 2014 3
Les méthodes de sécurité “People Based Safety” aux Etats-Unis et au Canada
l’encadrement. Nos collabora-teurs interviennent en notant si les comportements observés sont sûrs ou bien de nature à com-porter des risques, et en faisant des remontées dans un esprit de service, de responsabilité person-nelle, et d’interdépendance. Ces observations sont enregistrées et les tendances sont relevées en termes de pourcentage des com-portements sûrs par rapport aux comportements à risque observés. Nous prenons soin de reconnaître les réussites de chaque usine en matière de réduction de compor-tements à risque et de sensibilisa-tion à la sécurité.
Concrètement comment faire pour relever ces observations et les exploiter avec le maximum d’efficacité ?Les ressources étant limitées, il est souvent difficile de suivre les ana-lyses des tendances en temps réel et de profiter ainsi pleinement des avantages de ce programme. Si on perd conscience des 4 compétences-
clés (ACTS) et si on oublie les SOA, l’impact est perdu et le taux d’acci-dents commence à augmenter.
Notre solution est d’éliminer la gestion papier et de mettre en place un système mobile numé-rique avec des outils de suivi des tendances et de reporting auto-matiques.
Des appareils mobiles intelligents sont mis en œuvre chez MENA / MEC. Des smartphones, tablettes et mini-tablettes — conjugués à de nouvelles applications, constituent une alternative qui permet à notre équipe de gestion de la production de gagner du temps. Ces applica-tions permettent de générer en temps réel les SOA et les rapports de sécurité au travail, de GMP (« Good Manufacturing Practices » – Bonnes Pratiques de Production) et de Maintenance sans duplication des données saisies entre le papier et l’ordinateur. Les rapports sont générés instantanément, y compris avec intégration dans le rapport des photos de l’élément ou de la zone concernés. Les Safety Obser-vation Audits sont un élément-clé
de notre programme sécurité-hy-giène. Les formulaires sont conçus sur mesure et sont suffisamment flexibles pour être adaptés à l’évo-lution des besoins de chaque usine.
Avez-vous une solution applicative à nous recommander ?A notre sens, le meilleur logiciel d’audit et de création de check-lists pour les plateformes Apple et Android est l’application iAuditor de SafetyCulture Pty Ltd. Ce logi-ciel est très stable et permet de créer des formulaires personnali-sables sans nécessiter de formation en programmation. Ceux-ci sont intuitifs et la fonction de recon-naissance vocale les rend faciles d’emploi, même pour ceux d’entre nous qui avons des gros doigts !
Nous sommes actuellement en train de mettre ce système en place dans les usines nord-américaines et canadiennes. Ces nouveaux outils permettront à nos collaborateurs de stopper le processus avant la survenue d’un incident.
Les indicateurs suivis par les Responsables du personnel et Directeurs d’usine incluent :• nombre d’observations de comportements conduites
• taux de participation dans un processus de coaching interpersonnel
• nombre de sessions de peer-coaching par jour
• pourcentage de comportements sûrs / à risque observés
• nombre de réunions sécurité animées par le personnel
• nombre de suggestions sécurité soumis par des collaborateurs
• nombre de presque-accidents remontés
• nombre d’interactions de sécurité conduites
People Based Safety Les principaux indicateurs
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L’usine polonaise située à Gdansk se dote d’un nou-veau système énergétique répondant aux critères de réduction des énergies fossiles et des coûts énergé-tiques. Un chantier qui s’est concrétisé par la construc-tion d’une centrale de cogénération biomasse qui fonctionne d’ores et déjà à plein rendement.
Le choix de la biomasse et de la cogénérationMalteurop Pologne utilisait du gaz naturel pour le chauffage de la tou-raille de la malterie de Gdańsk. Il y a quelques années, un projet de rem-placement d’une partie de l’énergie gaz par de la biomasse a été lancé. En effet, la Pologne, comme les autres pays de l’UE, a l’obligation d’atteindre un certain pourcentage d’énergie de sources renouvelables dans le mix d’énergie électrique. Ce pourcentage doit être au moins égal à 19% d’ici 2020. Pour l’y inciter, un système de soutien basé sur ce qu’on appelle les “certificats verts” a été mis en place. Ces certificats
sont accordés pour la production de MW de puissance électrique issue de source renouvelable. De plus, des subventions d’investissement étatiques sont prévues si le projet génère des économies significatives de CO2 d’origine fossile.
Après des analyses techniques et commerciales, Malteurop Pologne pris la décision de construire une centrale de cogénération sur la base de l’utilisation de biomasse. Le prin-cipe est de générer deux sources d’énergie à partir d’une seule : dans le cas de Gdansk, il s’agit de pro-duire de l’électricité et de la cha-leur à partir de la seule biomasse.
Un système de tampon pour stocker l’énergieL’énergie produite – à la fois élec-trique et thermique – est entière-ment consommée sur place dans l’usine. La solution technique a été développée en coopération avec Denis Julien, Directeur Tech-nique Groupe. Sur ses conseils, un système de tampon (“buffer”) a été ajouté afin d’assurer un fonc-tionnement stable de la turbine en permettant de stocker l’éner-gie excédentaire pour des besoins ultérieurs. Inversement, en cas de pic de consommation d’énergie, le système est ouvert à d’autres sources, gaz et électricité, ce qui
Réduire la consommation d’énergieLa centrale de cogénération biomasse de Gdansk, un système innovant et performant
Système de circulation d’air Centrale de cogénération biomasse - vue générale
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La centrale de cogénération biomasse de Gdansk, un système innovant et performant
Système tampon en construction
offre une adaptabilité et une grande sécurité pour pro-duire à moindre coût.
Pour la turbine, Malteurop Pologne a choisi une techno-logie ORC (cycle organique de Rankine) avec chauffage à fluide organique utilisant un foyer et de l’huile ther-mique. Dans le même temps une analyse des sources de biomasse utilisables a été menée. Une partie de la biomasse provient de déchets - poussières d’orge notam-ment - de la production de l’usine. Il se trouve que Gdańsk est très bien situé en termes de biomasse puisque dans un rayon de 70 km autour de l’usine, l’industrie du bois est très développée, ce qui rend disponible une quantité importante de déchets de bois qu’il s’agisse de sous-pro-duits forestiers ou de déchets de bois de récupération (palettes par exemple).
La performance technique et économiqueLe projet a débuté en novembre 2012. La construction s’est terminée en octobre 2013. La première production d’énergie verte a eu lieu en décembre 2013. A l’heure actuelle la centrale de cogénération produit à la fois la chaleur de base de la touraille et l’énergie de base pour la malterie. La capacité maximale est de 4,15 MW de chaleur et 0,95 MW de puissance électrique. Les attentes commerciales ont été remplies. Le budget des coûts de production a été respecté.
Les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre (émissions de CO2 d’origine fossile) sont atteints et se situent largement en-dessous des recommandations et normes de l’U.E.
En conclusion, le nouveau système énergétique de la mal-terie de Gdansk est un système performant et flexible re-posant sur le multi-sourcing (biomasse en principal, mais aussi gaz, électricité) ; il contribue ainsi à la production des volumes de malt dans les qualités demandées par les clients. Cet investissement se situe dans la droite ligne de la politique de développement durable de Malteurop en matière d’énergie : rechercher l’efficacité énergé-tique maximale pour limiter l’usage des ressources.
Chaudière
Turbine
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Conseil et ingénieriePartenariat technique en Afrique du Sud
Malteurop a conclu un accord de partenariat technique avec son client SABMiller qu’il accompagne dans le développement d’une nouvelle malterie en Afrique du Sud. Un projet ambitieux qui illustre la capacité du groupe à accompagner ses grands clients brasseurs dans leur développement à l’international.
Avec SABMiller en Afrique du SudLe groupe SABMiller, brasseur in-ternational n°2 mondial, est un client de longue date avec lequel Malteurop entretient des relations de partenariat. Il a souhaité que Malteurop l’accompagne dans son projet de développement d’une nouvelle malterie à Johannesburg.
SABMiller est né en Afrique du Sud à la fin du XIX siécle et s’est beau-coup développé dans ce pays, à la fois en tant que brasseur et comme producteur et distributeur de bois-sons sans alcool. Sa grande marque régionale — Castle — détient 90% de part du marché sud-africain.
Un projet stratégiqueLe projet dans lequel Malteurop est impliqué porte sur la construc-tion d’une nouvelle malterie d’une capacité de production de 130 000 t. Située à Alrode dans la banlieue de Johannesburg à proxi-mité d’une brasserie qui produit la bière Castle, la nouvelle malterie remplacera une unité de 40 000 t.
On comprend l’importance de cet investissement et le caractère em-
blématique du projet pour SABMil-ler ; cela donne bien sûr à Malteu-rop une grande responsabilité. Ce chantier est aussi à resituer dans le contexte socio-politique particu-lier de l’Afrique du Sud post-apar-theid. Les projets économiques et industriels doivent y valoriser les ressources locales — recrutement, management, choix des fournisseurs — et sont à ce titre encouragés fis-calement par le gouvernement. Le projet que Malteurop a élaboré a bien rempli cet objectif et s’est attaché à impliquer les entreprises locales dans la construction et l’équipement de la malterie.
Ce que Malteurop apporteDans le cadre d’un Accord inter-national de Partenariat Technique (Technical Partnership Agreement) conclu avec le groupe SABMiller PLC et sa filiale sud-africaine SAB Ltd, Malteurop intervient à la fois en in-génierie, conseil technique et mana-gement de projet. Le contrat a été signé officiellement en janvier 2014.
En termes de compétences, Mal-teurop a mis en oeuvre une équipe dédiée : Reechad Benyahia, Direc-teur Technique Groupe adjoint est le chef de projet basé sur place ; Denis Julien, Directeur Technique Groupe en assure la supervision.
La philosophie technologique est ambitieuse, il s’agit de construire une malterie de premier plan, des-tinée à produire du malt de haute qualité répondant aux exigences de SAB pour sa marque-phare Castle, en répondant à des critères de grande efficacité énergétique et de faible consommation en eau.
Le démarrage de la production de malt est prévu en 2015. La malterie sera approvisionnée en orges directement par les fermiers sud-africains, SAB Ltd ayant pour objectif de développer l’approvi-sionnement local en soutenant les petits agriculteurs.
L’Afrique du Sud est le deuxième contributeur aux résultats du groupe devant l’Europe et les Etats-Unis. Sa filiale SAB Ltd y brasse de la bière depuis 1895, y possède 7 brasseries, 6 usines d’embouteillage, 40 plateformes de distribution et emploie 11500 personnes.
SABMiller en Afrique du Sud
Les valeurs sont un élément important de la culture d’entreprise, elles précisent l’identité et donnent des points de repère pour les actions et décisions collectives et individuelles. Initié en 2013, le chantier des va-leurs a mobilisé un groupe de ré-flexion auquel ont participé des col-laborateurs des différentes sociétés du groupe Vivescia. Ensemble ils ont contribué à l’élaboration des quatre valeurs retenues.
Malteurop dont les collaborateurs sont présents dans le monde entier a choisi de s’emparer du sujet lors d’une réunion du Comex rassem-blant les dirigeants des différentes business units. Ils ont réfléchi à l’adaptation et ont travaillé sur la traduction des valeurs en anglais puisque c’est leur langue de tra-vail. Malteurop étant implanté dans 14 pays sur 4 continents, il y a là un véritable enjeu de manage-ment interculturel. Par exemple, la compréhension d’une valeur comme “être authentique” peut varier d’une culture à l’autre ; l’authenticité ne signifie pas la même chose en Chine, en Russie et aux Etats-Unis !
Voici l’intitulé et la définition de chacune des quatre valeurs :
• Agir ensemble C’est le plaisir de partager nos idées et de construire en équipe des solutions en commun pour at-teindre nos objectifs et relever les défis de demain.
• Oser entreprendreC’est l’envie de bâtir notre avenir avec audace et agilité, en se dé-passant, en créant, en innovant et en prenant des risques maîtrisés.
• Etre authentiqueC’est le choix d’être soi-même en étant vrai et juste dans nos relations. C’est savoir se remettre en cause en respectant l’individu, les cultures, les règles et l’environnement.
• S’inscrire dans la duréeC’est la volonté d’anticiper, d’agir et de transmettre dans une vision long terme, avec patience et dé-termination.
Vivescia4 valeurs pour forger une culture commune
Agenda Salons professionnelsAustralie
Australian Grains Industry Conference (AGIC)
Site
28-30/07
Melbourne, Australie
Grande conférence sur la filière de l’orge australienne.
Pologne
RMI Analytics Crop Tours 2014
Site
10-11/07
République tchèque et Slovaquie
Journées de Rencontres des professionnels de la filière orge-malt-bière.
Australie
Barley Australia Forum
Site
17/09
Adelaide, Australie
Forum technique réunissant producteurs, instituts de recherche, associations et organismes gouvernementaux.
Europe USA-Canada
Brau Beviale
Site
11-13/11
Nüremberg, Allemagne Stand Malteurop
Tendances et nouveaux produits pour la production et le marketing de la bière et des boissons non-alcoolisées.
• Vivescia est l’actionnaire majoritaire de Siclaé, le groupe industriel de transformation de productions agricoles qui possède Malteurop à 100%
• 4,2 milliards d’euros de chiffre d’affaires
• 8 100 collaborateurs dans 25 pays
• 1ère coopérative céréalière de France (1 million d’hectares, 3,9 millions de tonnes collectées)
• un leader mondial du malt
• un leader européen de la meunerie et de la boulangerie- viennoiserie-pâtisserie
• 2ème maïsier européen
Chiffres de l’exercice 2012-2013
http://rapport2013.vivescia.com
Vivescia, infos clés
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In questo sistema di gestione della sicurezza vengono adottati modelli partecipativi. Gary McLoughlin, vice-presidente operazioni, ci illustra il sistema e gli stru-menti innovativi implementati da MENA e MEC.
Su quali principi si fonda il vostro approccio alla sicurezza? L’obiettivo dei sistemi di sicurezza e di igiene adottati da MENA e MEC
è quello di ridurre i rischi e creare un ambiente sicu-ro e produttivo per i nostri collaboratori. Per conse-guire tale obiettivo offriamo ai nostri dipendenti gli strumenti necessari per evitare gli incidenti. Invece di intervenire a sinistro avvenuto, il nostro scopo è indivi-duare gli indicatori più importanti, applicare le misure
preventive prima che si verifichi l’evento infortunisti-co e adottare un approccio proattivo nell’analisi del-le tendenze. Il People Based Safety (PBS) è una parte fondamentale del sistema di gestione della sicurezza e dell’igiene di MENA.
Come descriverebbe in modo più preciso il People Based Safety?Il PBS si basa su alcune semplici tecniche di osservazio-ne; i collaboratori si osservano a vicenda e forniscono un feedback costruttivo e reciproco allo scopo di pro-muovere i comportamenti che favoriscono la sicurezza sul lavoro e di scoraggiare quelli a rischio.
Il PBS non è un mero strumento di reporting, è un processo che prende in considerazione la persona nel suo insieme e non soltanto le sue reazioni agli stimoli ambientali. Il People Based Safety si basa su 4 com-petenze-chiave: Acting, Coaching, Thinking, and Seeing
(ACTS – Agire, Affiancare, Pensare e Vedere). I nostri collaboratori utilizza-no queste 4 competenze per definire i comportamenti a rischio per la sicurezza nella fabbrica.
I comportamenti a rischio per la sicu-rezza sono inseriti in una check-list che costituisce la nostra Safety Observation Audit Form (formulario SOA – Audit di osservazione della sicurezza).
Come si svolge questo processo? Chi sono le persone che osservano? Le osservazioni possono essere svolte dal personale o dai dirigenti. I nostri
In Malteurop, la sicurezza assume una dimensione organizzativa. Le procedure di sicurezza sono considerate in funzione dello svolgimento quotidiano delle attività, e sono implementate secondo un approccio sistematico. Malteurop condivide i principi della People Based Safety che si fonda sul presupposto che i collaboratori sono responsabili della propria sicurezza e allo stesso tempo di quella altrui.
Sicurezza sul lavoroI sistemi di sicurezza People Based Safety negli Stati Uniti e in Canada
Май 2014 г. 2
В этой системе управления безопасностью труда реа-лизованы принципы личной ответственности каждого сотрудника за обеспечение общей безопасности. Гари МакЛауглин (Gary McLoughlin) Вице-президент по про-цессам поделился с нами тем, какие методы и какие новые инструменты внедрены на практике компания-ми MENA и MEC в этой связи.
MENA На каких принципах основывается ваш подход к системе безопасности труда?
Целью систем управления безо-пасностью и санитарными усло-виями на производстве, которые применяются на предприятиях MENA и MEC, является уменьше-ние возможных рисков и создание безопасной и продуктивной рабо-чей среды для всех наших сотруд-
ников. С этой целью сотрудникам предоставляют-ся необходимые средства, позволяющие избежать несчастных случаев прежде чем они могли бы про-изойти. Вместо того, чтобы реагировать на не-счастный случай после того, как он произошел, мы поставили перед собой цель заранее выявлять клю-чевые моменты, принимать превентивные меры до возникновения опасных инцидентов и проявлять по-стоянную активность в вопросах анализа возника-ющих тенденций. Принцип People Based Safety (PBS) является одной из основных составляющих систе-мы управления безопасностью и санитарными усло-виями на производстве в компании MENA.
Можете ли вы описать более точно прин-цип People Based Safety?Принцип PBS основан на простых методах наблю-дения. Сотрудники внимательно наблюдают за тем, что происходит вокруг них в процессе ра-боты и предоставляют затем обобщенную кон-
структивную информацию, направленную на совершенствование техники безопасности на ра-бочем месте и способствующую профилактике действий, заключающих в себе какой-либо риск.
PBS это не просто инструмент для создания отче-тов, это прежде всего процесс, который принима-ет во внимание совокупность всех наших повсед-невных действий, а не только нашу реакцию на то, что происходит вокруг нас. Принцип People Based Safety базируется на 4 ключевых правилах: Acting, Coaching, Thinking, and Seeing (ACTS – Действовать, Учиться, Думать и Видеть). Наши сотрудники ис-пользуют эти 4 правила для того, чтобы опреде-лить безопасные нормы поведения на рабочем ме-сте, которые критически важны для завода.
Эти критически важные нормы поведения с точ-ки зрения техники безопасности на рабочем ме-сте заносятся в специальный контрольный спи-сок, который является составной частью Safety Observation Audit Form (формуляр SOA – Аудитор-ская проверка соблюдения техники безопасности).
Как это действует? Кто занимается сбо-ром данной информации?Аудиторские проверки соблюдения техники безо-пасности могут быть инициированы как рядовы-ми сотрудниками предприятия, так и руковод-ством. Наши сотрудники принимают участие в этих проверках, отмечая являются ли проверяе-мые действия безопасными или могут таить в себе определенные риски, что позволяет повы-сить их профессиональную, личную и взаимную ответственность. Предоставляемые ими данные регистрируются, что дает возможность обозна-чить существующие тенденции в процентном со-отношении, сопоставляя безопасные действия с действиями, заключающими в себе определенные
В компании Malteurop безопасность труда имеет организационное значение. Техника безопасности непосредственно связана с повседневной производ-ственной деятельностью и применение ее норм на практике носит системати-ческий характер. Malteurop полностью доверяет принципу People Based Safety, который основывается на идее, согласно которой все сотрудники должны не-сти ответственность как за свою собственную безопасность, так и за безопас-ность остальных членов трудового коллектива.
Техника безопасности на рабочем местеметоды обеспечения безопасности People Based Safety, действующие в Сое-диненных Штатах и Канаде FSSC 22000
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W takim systemie zarzą-dzania bezpieczeństwem stosuje się podejście partycypacyjne. Gary McLoughlin, wiceprezes do spraw operacyjnych opowie nam, jaką meto-dę i jakie nowe narzędzia wprowadzają MENA i MEC.
Na jakich zasadach opiera się Wasze podejście do bezpieczeństwa?Celem systemów MENA i MEC w zakresie zarządzania bezpieczeństwem i higieną jest ograniczenie ryzyka oraz stworzenie pewnego i produktywnego otoczenia dla naszych pracowników. Cel ten osiągamy przede wszystkim wtedy, gdy dajemy im narzędzia, których potrzebują, aby powstrzymać szkody zanim nastąpi wy-
padek. Zamiast reagować po szkodzie, chcemy określić najważniejsze wskaźniki, podjąć działania prewencyjne przed wystąpieniem wypadku i proaktywnie analizować tendencje. People Based Safety (PBS) to jeden z pod-stawowych składników systemu zarządzania MENA w zakresie bezpieczeństwa i higieny.
Na czym dokładnie polega „People Based Safety”?PBS opiera się na prostych technikach obserwacji; pra-cownicy obserwują się nawzajem i przekazują sobie kon-struktywne informacje zwrotne, aby utrwalić zachowania przyczyniające się do bezpieczeństwa w pracy i odwieść tym samym od zachowań stwarzających zagrożenie.
PBS nie jest zwykłym narzędziem do raportowania; to proces, który uwzględnia nie tylko nasze reakcje na to, co dzieje się wokół nas, lecz całą naszą istotę. People Ba-sed Safety opiera się na czterech kluczowych kompeten-
cjach: Acting, Coaching, Thinking, and Seeing (ACTS – działanie, coaching, my-ślenie i dostrzeganie). Nasi pracownicy wykorzystują te cztery kompetencje do określania zachowań z obszaru bezpie-czeństwa, które są kluczowe dla zakładu.
Te kluczowe zachowania w dziedzinie bezpieczeństwa zostały ujęte w formie listy kontrolnej, która jest częścią na-szego Safety Observation Audit Form (formularz SOA – Audyt obserwacji bez-pieczeństwa).
Jak to się odbywa? Kto dokonuje obserwacji?Audyt mogą uruchomić zarówno pra-
W grupie Malteurop bezpieczeństwo ma wymiar organizacyjny. Procedury bez-pieczeństwa są powiązane z codziennym funkcjonowaniem i stanowią część sys-tematycznego podejścia. Grupa Malteroup ma zaufanie do zasady People Based Safety, która opiera się na założeniu, że pracownicy wspólnie ponoszą odpowie-dzialność za swoje własne bezpieczeństwo oraz bezpieczeństwo innych.
Bezpieczeństwo w pracyMetody bezpieczeństwa „People Based Safety” w Stanach Zjednoczonych i Kanadzie
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En este sistema de gestión de la seguridad, se han apli-cado enfoques participativos. Gary McLoughlin, vicepre-sidente de Operaciones, nos explica qué método y qué nuevas herramientas se han desplegado en MENA y MEC.
¿En qué principios se basa este enfoque de la seguridad?
El objetivo de los sistemas de gestión seguridad e hi-giene de MENA y de MEC consiste en reducir los riesgos y crear un entorno seguro y productivo para nuestros empleados. Para conseguirlo, se les propor-
cionan las herramientas necesarias para evitar sinies-tros, antes incluso de que acaezca cualquier incidente. En vez de reaccionar tras el siniestro, nuestro objetivo
es identificar los indicadores mayores, tomar las medi-das preventivas antes de que suceda un incidente y, ser proactivos en nuestro análisis de tendencias. El People Based Safety (PBS) es uno de los componentes básicos del sistema de gestión de la seguridad e higiene de MENA.
¿Puedes contarnos algo más sobre el “People Based Safety”?El PBS se basa en técnicas sencillas de observación: los empleados se observan y desarrollan una retroalimen-tación constructiva y consensuada para reforzar los comportamientos que contribuyen a la seguridad en el trabajo y eliminar los comportamientos peligrosos.
El PBS es mucho más que una herramienta de repor-ting, es un proceso que comprende la totalidad de nuestro ser, y no sólo nuestras reacciones a lo que su-cede a nuestro alrededor. El “People Based Safety” se basa en 4 competencias clave: Acting, Coaching, Thin-
king, and Seeing (ACTS – Actuar, Guiar, Pensar y Observar). Nuestros emplea-dos utilizan estas cuatro competencias para definir los comportamientos en materia de seguridad que resultan crí-ticos para la fábrica.
Estos comportamientos críticos en mate-ria de seguridad se registran en una lista de control que conforma nuestro Safety Observation Audit Form (Formulario SOA – Auditoría de Observación de Seguridad).
¿Cómo sucede? ¿Quién hace estas observaciones?Los SOA pueden ser iniciados tanto por los miembros del personal como por
En Malteurop, la seguridad posee una dimensión organizativa. Los procedimientos de seguridad están asociados al funcionamiento diario, integrándose dentro de un enfoque sistemático. Malteurop confía en el principio de People Based Safety, basado en la idea de que los empleados comparten la responsabilidad tanto de su propia seguridad como la de los demás.
Seguridad en el trabajoLos métodos de seguridad “People Based Safety” en los Estados Unidos y Canadá
2014 年 5 月 2
在这套安全管理系统中,实施了多项参与方式。Gary McLoughlin, 运营部副总裁, 告诉了我们 MENA 与 MEC 现在采用的方法和新工具。
你们采取的安全方式基于什么原则?
MENA 与 MEC 安全健康管理体系之目的在于降低员工安全风险并为员工们营造一个既安全又富有效率的工作环境。这包括向他们提供一些在事故发生前需要用来阻止损失产生的工具。我们的目标不是要应对已产生的损失,而
是要鉴别出其中的重要指标,提前采取防范措施并积极地进行趋势分析。以人为本的安全性原则 (PBS) 是构成 MENA 安全健康管理体系的核心元素之一。
您能更加详细地描述一下以人为本的安全性原则吗?
以人为本的安全性原则 (PBS) 基于简单的观察技巧。员工们相互观察并给予对方建设性的、双向的反馈以完善自身行为,提高工作场所的安全性,以及劝阻对方危险性的行为。
以人为本的安全性原则 (PBS) 不单只是一项报告工具;它还是一项考虑到了我们所有行为的程序,不仅仅只考虑到了我们对发生在周遭事情的反应。以人为本的安全性原则基于以下四个关键技能范畴:行为、辅导、思考以及观察 (ACTS)。我们的员工采用这四项技能范畴来定义工厂的关键安全性行为。
这些关键的安全性行为在一张清单上逐条列了出来,构成了我们的安全观察审计 (SOA) 表。
这一程序如何运作?谁来进行观察呢?
安全观察审计表 (SOA) 由诸如时薪制员工或管理人员等发起。如果观察到的安全或存在危险的行为,观察员会秉承着服务、个人责任感以及相互依存的精神进行反馈,提醒我们的员工纠正自己的行为。这些观察都会被记录在案,并将采用观察到的安全与危险行为的百分比对其趋势进行跟踪。对每家工厂在减少危险行为提高安全意识方面所取得的成绩,我们感到欢欣鼓舞。
具体而言,如何跟踪这些观察数据并最大效率地加以利用呢?
由于资源有限,跟踪实时的趋势分析并充分实现这一计划带来的好处常常很难实现。如果以人为本的安全性原则 (PBS) 四项技能范畴 (ACTS) 被无视,安全观察审计表 (SOA) 被遗忘,结果便是导致损失和受伤率也开始增加。
我们的解决方案是摒弃冗长的书面记录,转而实施具有自动趋势分析及撰写报告功能的移动数字化系统。移动智能设备在 MENA / MEC 已正式投入了使用。配备新应用程序的智能手机、平板电脑以及迷你型平板电脑是我们生产管理团队高效省时的替代选择。这些应用程序可以实时生成安全观察审计表 (SOA)、工作安全规范、良好生产规范 (GMP) 以及维护工作报告,而无须重复将书面数据输入电脑的过程。报告会即时生成,并附有项目或区域图片。安全观察审计是我们安全健康计划的核心元素。这些表格经定制设计,能够灵活地满足各工厂不断变化的需求。
在 Malteurop,安全具有组织性维度。安全程序与日常作业息息相关,且通常包含于系统的方法之中。Malteurop 坚信以人为本的安全性原则,它的基础理念是员工同时承担着自己和其他所有人的安全责任。
工作安全
美国与加拿大以人为本的安全方法
Bi-annuelle en 9 langues : français, anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, polonais, russe, chinois
kk Création graphiquekk Exékk Préparation à la fabrication
INRSBROCHURES 32 PAGES
Consignations et déconsignations
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6. Formation.du.personnel.
Les différents intervenants doivent avoir reçu la formation et l’information adéquates aux opérations à effectuer.
6.1..Objectifs.de.la.formationL’objectif de la formation est d’être capable d’exécuter en sécurité des opérations sur les équipements de travail et plus particulière-ment :
• savoir évaluer les risques et prendre les mesures qui s’imposent ;
• avoir, en fonction de la nature de l’opéra-tion, la maîtrise des équipements de tra-vail concernés ;
• savoir utiliser correctement les protec-tions en fonction du risque encouru et des consignes ;
• savoir apprécier les limites des opéra-tions à réaliser.
6.2..DéroulementLa formation doit intégrer des parties théo-riques illustrées de cas pratiques pour facili-ter l’acquisition des compétences.
Les parties pratiques sont réalisées au cours de la formation et complétées chaque fois
que cela est possible, au sein même de l’éta-blissement de l’apprenant.
Les travaux pratiques en salle permettent de vérifier les acquis théoriques :
• vérifier la fonction et le rôle des organes mis en œuvre pour assurer la sécurité des opérations, les essayer et manœuvrer ;
• connaître et mettre en œuvre les équi-pements de protection collective et indi-viduelle.
Les travaux pratiques sur site doivent per-mettre :
• d’analyser le comportement de l’appre-nant dans le cadre du domaine d’activi-té attribué ;
• de vérifier sa bonne connaissance des équipements sur lesquels il est amené à intervenir ;
• de valider la connaissance et l’applica-tion des prescriptions de sécurité de l’en-treprise.
6.3..Formation.spécifique..électriqueLes principes de la formation relative à la maîtrise du risque électrique sont détaillés dans la norme NF C18-510.
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7. Exemples.de.moyens.de.condamnation.
Les exemples de réalisations présentés ci-après correspondent à des situations industrielles réelles.
Ils sont destinés à expliciter différentes possibilités de réalisation pratique de dispositifs concou-rant à la consignation.
Selon le cas, ils présentent une consignation complète ou seulement l’une de ses quatre phases.
À ce titre : • les solutions présentées ne sont pas toujours exemplaires, certaines sont même inacceptables ;• ces solutions ne constituent pas une liste exhaustive de toutes les réalisations possibles.
7.1..Risque.électriqueSéparation sur armoire électrique
Non parce que :
k armoire ouverte ;k pièces nues sous tension ;k fusibles laissés à disposition ;k pas de signalisation ;k conducteur neutre pas coupé.
Consignation d’une prise électrique
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Consignation partielle :
La consignation partielle d’un équipement de travail ne peut être mise en œuvre que si elle ne présente pas de risques pour les per-sonnes.
Les précautions suivantes doivent être prises lors d’une consignation partielle :
• bien identifier les parties d’équipement qui restent sous énergie ;
• s’assurer de l’absence d’interaction entre les différentes parties de l’équipement (parties consignées, parties non consi-gnées).
4.1..Consignation..et.déconsignation.électrique.
4.1.1. Consignation électrique
La consignation électrique d’un équipement de travail comprend les opérations suivantes :
• séparation de l’équipement de travail concerné, préalablement identifié, de toute source d’énergie électrique (opéra-tion 1) ;
• condamnation en position d’ouverture des organes de séparation (opération 2) ;
• identification sur le lieu de travail de l’équipement concerné, pour être certain que les opérations seront bien exécutées sur l’équipement de travail prévu (opé-ration 3) ;
• vérification d’absence de tension (VAT) (opération 4) ;
• mise à la terre et en court-circuit4 immédiatement après la VAT (opération 5).
Les cinq prescriptions essentielles ci-dessus doivent être appliquées dans l’ordre spécifié.
La consignation électrique fait l’objet de pres-criptions spécifiques données au chapitre 5 « Opérations hors tension » de la norme NF C18-510.
h Séparation
L’équipement de travail doit être séparé de façon certaine de toutes les sources possibles de tension, amont et aval.
La séparation peut être obtenue de diffé-rentes manières :
• par vue directe des contacts séparés ;• par enlèvement de pièces de contacts
pour certains matériels spéciaux (dépose de pont, etc.) ;
• par interposition d’un écran entre les contacts ;
• localement, par asservissement (élec-trique, mécanique, etc.) assurant en toute circonstance l’adéquation entre la posi-tion des contacts et celle du dispositif ex-térieur reflétant cette position.
En basse tension, la certitude de la sépara-tion peut également être obtenue par l’uti-lisation des dispositions prescrites pour les dispositifs de sectionnement dans la norme NF C15-100, article 536.2.
Pour toutes les tensions, la dépose de ponts, l’enlèvement de fusibles, le retrait d’une fiche de prise de courant constituent une sépara-tion certaine.
Attention au risque de confusion des circuits :• le verrouillage par transfert de clefs est
actuellement le seul système qui, par conception, rend matériellement obliga-toire la réalisation de la consignation dans l’ordre prévu et empêche toute confusion de circuit ;
• l’appareil de séparation permettant d’iso-ler un équipement de travail ou une partie de cet équipement doit être parfaitement et durablement identifié (par étiquetage, etc.) ;
• dans tous les cas, l’installation du dispo-sitif de séparation au plus près de la zone à isoler est vivement conseillée.
4. Cette mise à la terre et en court-circuit n’est pas toujours requise en basse tension. Se référer à la norme NF C18-510.
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h Condamnation
La condamnation en position d’ouverture a pour but d’interdire la manœuvre de l’organe de séparation.
Elle consiste en une immobilisation de cet organe. Celle-ci est réalisée par blocage mé-canique (serrure, cadenas, etc.).
Des dispositifs de signalisation (pancartes, etc.) doivent être très visibles et porter une inscription telle que :
CONDAMNÉ
DÉFENSE DE MANŒUVRER SANS AUTORISATION
.................................... (Nom, date, heure, repère, etc.)
h Vérification
La vérification d’absence de tension (VAT) doit être effectuée sur chacun des conduc-teurs actifs, y compris le neutre, à l’aide d’un dispositif vérificateur d’absence de tension spécialement conçu à cet effet. Elle doit être réalisée au lieu de travail.
Nota :– les appareils de mesurage et les détecteurs
de type voltmètre, tournevis testeur, etc. ne sont pas des VAT.
– les détecteurs de tension conformes aux normes en vigueur ne détectent pas les ten-sions induites, ils indiquent sans ambiguïté la présence ou l’absence de tension de service.
h Mise à la terre et en court-circuit
Ces termes propres aux électriciens corres-pondent à la phase de dissipation pour les autres énergies ou les fluides.
La mise à la terre et en court-circuit des conducteurs est réalisée immédiatement après la vérification d’absence de tension. La dissipa-
tion des énergies accumulées telle que celle contenue dans les condensateurs est réalisée lors de la mise à la terre et en court-circuit préalablement aux travaux ou aux interven-tions.
Cette mise à la terre et en court-circuit per-met de se prémunir contre les réalimenta-tions éventuelles de tension amont ou aval ou produite par des sources autonomes. Elle participe aussi à la protection contre les ef-fets de l’induction électromagnétique et du couplage capacitif. Pour les modalités pra-tiques de mise en œuvre, se référer à la norme NF C18-510.
Elle doit concerner tous les conducteurs ac-tifs, y compris le neutre, et être réalisée au plus près possible de la zone de travail pour les équipements considérés.
Il faut utiliser des équipements de mise à la terre et en court-circuit conçus à cet effet. Ces équipements doivent être conformes aux normes les concernant.
Dans tous les cas, la mise à la terre doit être raccordée côté terre avant d’être raccordée côté conducteur.
4.1.2. Déconsignation électrique
Les opérations de déconsignation sont géné-ralement conduites dans l’ordre inverse des opérations de consignation.
Elles consistent à :• retirer les éventuels écrans, protecteurs,
balisages, etc. ;• déposer les mises en court-circuit, puis
les mises à la terre en commençant par l’extrémité côté conducteur actif ;
• ouvrir les sectionneurs ou interrupteurs de mises à la terre et en court-circuit, s’ils sont utilisés ;
• retirer la condamnation de l’organe de séparation.
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libre efficace de la portion de conduite située entre eux (position ouverte de la purge).
k Un joint plein est l’association d’une bride pleine et de joints assurant l’étan-chéité.
k Un joint plein matérialisé est l’asso-ciation de deux brides d’une queue de poêle et de joints assurant l’étanchéité.
La pose d’un joint plein ou la dépose d’un élément de tuyauterie est une opération qui peut être dangereuse et donc impliquer préalablement une procédure de consigna-tion en amont ou de mise à l’arrêt de l’équi-pement.
Le degré d’efficacité de la séparation du fluide devra être apprécié en fonction des risques engendrés (mouvements mécaniques, brûlures thermiques ou chimiques, intoxica-tion, inflammation, explosion, atteintes ocu-laires ou cutanées, réactions violentes, ense-velissement, etc.).
Les procédés d’isolement renforcé «R1, R2, R3» seront utilisés selon l’analyse du risque, notamment pour :
• les produits classés comme dangereux au sens de l’article R. 4411-6 du code du travail (toxiques, corrosifs, inflam-mables, etc.) voir encadré ci-contre ;
• les produits incompatibles susceptibles de se rencontrer (par exemple eau/so-dium) ;
• les produits susceptibles de provoquer un phénomène explosif (fluide sous pres-sion, etc.) ;
• les produits susceptibles de rendre l’at-mosphère asphyxiante (azote, gaz carbo-nique, argon, etc.) ;
• les produits susceptibles de pro-voquer des brûlures (vapeur, etc.).
Un nouveau système de classification et d’étiquetage des produits chimiques, le système général harmonisé (SGH), a été élaboré au niveau international. Il est pro-gressivement appliqué en Europe, dans les secteurs du travail et de la consommation, grâce au règlement CLP du 16 décembre 2008, qui entraîne notamment l’adoption de nouvelles classes de danger ainsi qu’une modification des critères de classification. Il engendre également de nouvelles éti-quettes sur tous les produits dangereux. Le règlement CLP remplace progressive-ment le système européen de classifica-tion et d’étiquetage préexistant : il s’ap-plique de façon obligatoire aux substances depuis le 1er décembre 2010, et s’appli-quera aux mélanges au 1er juin 2015. (cf. dossier web INRS « Classification et éti-quetage des produits chimiques »).
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1 Principes de séparation de circuits
Code couleurs intérieur de conduite: • Rouge : présence du fluide sous pression• Vert : zone en isolement renforcé• Jaune et orange : présence du fluide possible en cas de fuite
1. Une vanne seule fermée
Quels que soient le type de la vanne et son principe de fonctionnement, une vanne seule présente toujours un risque de fuite et ne peut donc constituer une séparation efficace.
Cette solution est acceptable seulement si une légère fuite n’engendre pas de risque.
De même, une vanne et un robinet de purge assurent une séparation plus sûre que la précédente mais ne suffisent pas toujours pour garantir une séparation ef-ficace dans le cas où le robinet de purge se colmate.
Cette solution est acceptable seulement si une légère fuite n’engendre pas de risque.
2. Deux vannes fermées en série
En raison du principe énoncé précédem-ment, ce dispositif présente toujours un risque de fuite.
La partie de ligne située entre les deux vannes peut en effet soit rester en charge, soit risquer de s’y mettre en cas de fuite sur la vanne la plus en amont.
Cette solution est acceptable seulement si une légère fuite n’engendre pas de risque.
www.barchen.fr
2014Certifications Professionnelles
Pricing et risk management des options vanillesMathfi 2 : pricer et gérer votre book sur Excel
Bärchen : Ce séminaire est présenté comme la formation incontournable pour comprendre ce qu’est une option ; avec quoi ressort-on au bout des deux jours ?
Antonin Chaix : En effet, ce séminaire vise une compréhension approfondie des options euro-péennes (calls & puts) tant du point de vue de leur utilisation que de leur évaluation et de leur risk-management. Le but du séminaire est de s’approprier les principaux concepts liés aux options et d’acquérir toute une série de réflexes du type : quel est approximativement le prix de ce call en dehors de la monnaie ? Comment va-t-il évoluer si le cours de l’actif sous-jacent aug-mente ? Quid de son delta ? Quel est l’impact d’une hausse de la volatilité de l’actif sur le prix de ce call ? etc. Le participant aura donc acquis à l’issue de ces deux jours une compréhension très intuitive des options et maîtrisera leurs prin-cipaux facteurs de risque. Avec les nombreux TP sur Excel, il sera en mesure de construire des outils simples de pricing et de risk-management d’options vanilles, et abordera même quelques options exotiques comme les barrières et look-back…avec une simulation de Monte Carlo.
Ce programme a l’air dense, peut-on réelle-ment intégrer en deux jours les connaissances mathématiques sous-jacentes à la valorisa-tion d’options ?
L’ambition de ce séminaire n’est pas d’ingurgi-ter tout une série de formules mathématiques ! L’accent est volontairement mis sur la compré-hension intuitive des phénomènes. Les modèles utilisés, notamment celui de Black & Scholes, seront présentés de façon compréhensible par tous. Dans ce séminaire, l’important n’est pas de savoir en détail l’ensemble des modèles mathé-matiques sous-jacents, mais de connaître leurs
principales propriétés, et par-dessus tout, de savoir les utiliser correctement !
Y a-t-il des prérequis pour ce séminaire ? À qui s’adresse ce séminaire ?
Une culture générale minimum en mathématique et en finance est l’unique prérequis, ce séminaire n’a pas vocation à faire découvrir ce qu’est une courbe de taux, un call ou l’actualisation, j’anime d’autres séminaires sur ces sujets ! [Rq : Voir MF38 « Calcul actuariel, pricing d’obligations et de swaps » ]. Nul besoin d’être un as des pro-babilités et du calcul stochastique. Ce séminaire s’adresse donc à toute personne du monde fi-nancier souhaitant s’initier ou se perfectionner sur les options. Il est particulièrement prisé par les collaborateurs Middle ou Back Office, risque et IT qui sont de plus en plus confrontés à ce type de produits.
Les options couvertes lors du séminaire portent sur quels sous-jacents ? Vous avez-vous-même manipulé ces produits ?
Cette formation n’est pas spécifique à tel ou tel type de sous-jacent et vise une compréhension globale des options, de nombreux exemples seront pris dans différentes classes d’actifs : actions, taux et change. Concernant les modèles et le pricing des options, on prendra le plus sou-vent l’exemple d’options sur actions, car ce sont les plus abordables sur le plan de la compré-hension et de l’intuition. J’ai pour ma part une connaissance approfondie des dérivés exotiques de taux, pour avoir travaillé plusieurs années sur ces produits en tant qu’analyste quantitatif. J’ai également côtoyé les dérivés actions à mes dé-buts, ainsi que certains dérivés hybrides mélan-geant risques financiers et risques assurantiels.
Antonin Chaix
Antonin est un spécialiste des dérivés de taux. Ancien analyste quantitatif au sein de Calyon et Ixis Cib,
Antonin a développé pour Bärchen plusieurs modules sur les mathématiques financières et le pricing des dérivés complexes. Il inter-vient également à l'ENSAE, au CNAM et à l'université Paris VI.
Antonin anime les séminaires présentiels :- Calcul actuariel, pricing d’obligations
et de swaps .................................................. 96- Pricing et risk management
des options vanilles .................................... 99- Pricing et risk management
des options exotiques ............................... 102- Pricing et modélisation
des dérivés de taux ................................... 103- Pricing et modélisation
des structurés de taux ............................. 105
Antonin anime les classes virtuelles :- Calcul actuariel et pricing
d’obligations .................................................97- Pricing et risk management
des options vanilles ................................... 100- Pricing et modélisation
des dérivés de taux ................................... 104
101barchen.fr
barchen.fr192
Ana
lyse
Analyse comportementale des marchésTirez profit des irrationalités des marchés
ANA109-CV
Programme1. Théorie et évidence des biais comportementaux• Comprendre la limite de la rationalité
des décisions• Appréhender les biais personnels et émotionnels
les plus courants• Maîtriser la relation entre raisonnement
individuel et investissement
2. L’impact de la finance comportementale sur les marchés
• Comprendre l’impact des biais comportementaux dans des interactions sociales au sein de groupe
• Savoir analyser des situations de comportements irrationnels dans les marchés
• Quelles règles en retirer en tant qu’investisseur ?
3. Mettre en place des stratégies « comportementales »
• Connaître l’attitude à avoir en cas de mouve-ments extrêmes
• Identifier ses propres biais• Découvrir ses préférences comportementales
face à l’adversité
Objectifs• Connaître vos propres biais
dans un processus de trading• Comprendre les principes
de comportement de groupe sur les marchés
• Savoir en tirer profit par des stratégies adaptées
Niveau : Maîtrise
IntervenantAnthony Cros
Durée : 3 sessions d'1h30Participants max : 8
DatesPériode 1 : MaiPériode 2 : Décembre
Tarif Par cours : 168 € HT Le cycle : 480 € HT
Bulletin d’inscription page 265
Contact au +33 (0)1 40 33 80 71 ou par mail : [email protected]
Toutes nos classes virtuelles ont lieu, quel que soit le nombre de participants.
99barchen.fr
Mat
hém
atiq
ues
Fina
nciè
res
Pricing et risk management des options vanillesMathfi 2 : pricer et gérer votre book sur Excel
MF41
ProgrammeIntroduction aux options vanilles• Qu’est-ce qu’une option ? • Un sous-jacent ?• Un call et un put ?• Payoff d’un call / d’un put et stratégies
d’exercice Option Vs contrat forward µ TP Excel : exemples d’utilisation de stratégies à base d’options dans différents cas
– Investissement (effet de levier) – Couverture de risques de marché
• Options à la monnaie, dans et en dehors de la monnaie
Hypothèses d’évaluation et premières propriétés• L’absence d’opportunité d’arbitrage• Inégalités vérifiées par les prix des calls et puts• Parité Call-Put et inégalité de convexité• Quels facteurs déterminent le prix d’une option ?• Introduction aux sensibilités : Delta, Gamma,
Véga, Théta et Rhô µ TP Excel
– Vérification de la parité Call-Put sur différents exemples – Modifications à apporter en cas de décrochement de dividendes sur l’actif sous-jacent
Évaluation d’un call dans le modèle binomial• Présentation du modèle binomial
(1 période et deux états du monde) • Le prix d’une option comme valeur
du portefeuille de couverture• Concept de probabilité risque-neutre
µ TP Excel : pricing d’un call sur parapluie (sic) dans le modèle binomial.
Le modèle de Black & Scholes• Présentation intuitive des hypothèses du modèle• La formule de Black & Scholes• Valeur intrinsèque et valeur temps• Volatilité historique Vs volatilité implicite• Introduction à la problématique du smile / skew
de volatilité µ TP Excel
– Pricing d’un call et d’un put au moyen de la formule de Black & Scholes – Effet des différents paramètres – Parité Call-Put
La couverture des options• Effets du cours sous-jacent et de la maturité
sur le prix, le delta et le gamma d’une option• Principe de la couverture delta-neutre
d’une option• Le PnL du trader : gamma Vs théta• De la couverture d’une option à la gestion
d’un book d’options µ TP Excel
– Simulation d’une gestion delta-neutre – Impact de la fréquence de réajustement et de la différence entre volatilité de pricing et volatilité réalisée
Objectifs• Se familiariser avec les mathématiques
des options• Comprendre Black & Scholes
et l’utiliser pour pricer des options vanilles
• Développer une compréhension qualitative et intuitive des options
Niveau : Maîtrise
IntervenantAntonin Chaix
Durée : 2 joursParticipants max : 6
DatesSession 1 : 12 et 13 juin 2014Session 2 : 27 et 28 novembre 2014
Tarif : 1 680 € HT
29 rue de Trévise - 75009 Paris
Bulletin d’inscription page 265
Contact au +33 (0)1 40 33 80 71 ou par mail : [email protected]
Toutes nos formations ont lieu, quel que soit le nombre de participants.
Calcul actuariel, pricing d’obligations et de swapsMathfi 1 : votre formation initiale en mathématiques financières
Convoquez l’expertiseDécouvrez nos classes virtuelles
Comment participer à une classe virtuelle en 5 étapes1. Inscrivez-vous à l’aide du bulletin d’inscription
p. 265 ou sur notre site www.barchen.fr à un ou plusieurs cycles ou sélectionnez des cours spécifiques à l’intérieur d’un cycle.
2. Vous recevez une convocation qui vous per-met d’accéder à l’interface de WebexTraining où vous êtes accueillis par notre équipe.
3. Vous choisissez d’être appelé sur votre télé-phone ou de participer à la formation à l’aide d’un casque branché sur votre ordinateur.
4. Pendant tout le cours vous interagissez avec l’intervenant et les apprenants par la voix et à l’aide des multiples outils que Webex met à votre disposition.
5. Entre chaque cours vous pouvez revoir l’en-registrement des cours précédents et accé-dez à des ressources complémentaires pour préparer le cours suivant.
Les + organisation• Cours du soir : de 18h00 à 19h30, ne bloquez
plus de journée complète• Durée courte : chaque session dure 1h30 pour
se concentrer sur l’essentiel• Cycles de 2 à 9 cours : le cycle est complété en
quelques semaines• Possibilité de ne suivre qu’un cours précis :
organisation à la carte
Les + pédagogie• Interaction intense grâce au questionnement
oral, phases de débat, QCM en direct, chat, sys-tèmes de Questions / Réponses et annotation directe sur les diapositives et le tableau
• Groupe restreint à 8 personnes maximum• Fractionnement des cours : rythme hebdoma-
daire pour « digérer » la connaissance• Possibilité de revoir le cours enregistré et de
poser des questions entre les cours
In English All our web based courses are available in English. Please ask us when the course you are interested in will be given in English.
Il n’est désormais plus besoin de bloquer une journée complète pour suivre une formation. Grâce à la technologie des classes virtuelles vous pouvez bénéficier de l’expertise de nos intervenants directement de votre PC en direct et sans perdre en qualité d’animation.
Nous utilisons le dispositif WebexTraining pour vous apporter plus de 15 cycles couvrant les sujets les plus demandés. Chaque cycle comprend 2 à 9 cours d’une heure trente et vous pouvez ne sélectionner que les sessions que vous voulez.
Gagnez du temps et choisissez les cours dont vous avez besoin grâce à nos Classes Virtuelles.
barchen.fr16
Une question ? Vous souhaitez bénéficier d’une démonstration gratuite ? Contactez-nous au 01 40 33 80 71 ou sur [email protected]
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Classes virtuelles et E-learning : le cocktail de votre succès aux certifications AMF, CFA ou PRM. La technologie nous permet aujourd’hui de mixer les ressources éprouvées de quizz en ligne et de documentation écrite avec la dynamique des classes virtuelles pour réunir les ingrédients d’un apprentissage complet et adapté à la prépa-ration d’examens.
µ Retrouvez en pages 27, 30 et 148 les nou-veaux formats qui vous permettent de vous préparer de la manière la plus efficace pos-sible au CFA Level I, au PRM et à notre exa-men certifié AMF.
17barchen.fr
Code Titre Mai Juin Juillet Septembre Octobre Novembre Décembre
Env
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r ENV01 Comprendre les marchés financiers 22 & 23 02 & 03ENV02 L’essentiel des marchés financiers 13 & 16 & 17 10 & 13 & 14ENV03 La nouvelle économie financière 15 & 16 24 & 25ENV04 Comprendre la crise financière dans la zone euro 27 (matin) 02 (matin)ENV05 La banque dans l’économie financière 26 & 27 06 & 07ENV06 Comprendre les opérations de bourse et Opcvm 30 Juin & 1er Juil. 15 & 16ENV07 Réalité de l’exécution action en 2014 20 21ENV08 Comprendre le fonctionnement d’une BFI 12 & 13 29 & 30ENV09 Comprendre le risque dans la banque 13 27ENV10 Microfinance et « social business » 23 16ENV11 Éthique et finance 20 15ENV12 Fondamentaux de la finance islamique 11 19
Pro
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Fin
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Multi sous-jacent
PRO13 Produits dérivés 1 : mécanismes et utilisations 26 & 27 06 & 07PRO14 Produits dérivés 2 : dérivés complexes 19 & 20 24 & 25PRO15 ETF : montage et utilisation en gestion 06 21PRO16 Credit Valuation Adjustment 19 & 20 20 & 21PRO17 Constant Proportion Portfolio Insurance 16 19PRO18 Les produits dérivés sur fonds 15 18
Actions
PRO19 Les dividendes comme classe d’actifs 16 19PRO20 Marchés actions au quotidien 07 & 08 04 & 05PRO21 Les produits dérivés sur actions et indices 16 & 17 23 & 24PRO22 Futures et options sur actions 12 25PRO23 Structurés actions : montages et utilisations 05 & 06 20 & 21PRO24 Variance swaps et volatilité 27 12
Taux
PRO25 Marché monétaire au quotidien 26 & 27 20 & 21PRO26 Obligations convertibles 22 & 23 09 & 10PRO27 Les produits dérivés de taux 12 & 13 17 & 18PRO28 Construction de courbes swaps en environnement post-crise 09 & 10 24 & 25PRO29 Gérer un book de swaps 12 & 13 17 & 18PRO30 Gérer un book d’options de taux 23 & 24 16 & 17PRO31 Structurés de taux : montages et utilisations 26 & 27 13 & 14PRO32 Produits indexés sur inflation 22 & 23 29 & 30
Crédit
PRO33 Dérivés de crédit 1 : mécanismes et utilisations 05 & 06 16 & 17PRO34 Dérivés de crédit 2 : pricing et gestion 12 & 13 20 & 21PRO35 Structurés de crédit : montages et utilisations 27 08PRO36 La Titrisation 05 & 06 09 & 10
Change PRO37 Dérivés et structurés de change 26 & 27 02 & 03
CommoditiesPRO38 Commodities : les marchés physiques et dérivés 02 & 03 23 & 24PRO39 Produits dérivés sur commodities 30 Juin & 1er Juil. 18 & 19
Mat
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MF40 Calcul actuariel, pricing d’obligations et de swaps 05 & 06 09 & 10MF41 Pricing et risk management des options vanilles 12 & 13 27 & 28MF42 Pricing et risk management des options exotiques 19 & 20 04 & 05MF43 Pricing et modélisation des dérivés de taux 22 & 23 16 & 17MF44 Pricing et modélisation des structurés de taux 26 & 27 11 & 12MF45 Pricing et modélisation des obligations convertibles 05 & 06 04 & 05MF46 Pricing et modélisation des options de change 19 & 20 16 & 17MF47 Pricing et modélisation des CMS 12 & 13 13 & 14MF48 Implémenter des méthodes numériques de pricing 16 & 17 20 & 21
Ris
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Gestion des risques
RIS49 Risk Management 1 : Les fondamentaux 16 & 17 20 & 21RIS50 Risk Management 2 19 & 20 24 & 25RIS51 Gouvernance du risque 24 02RIS52 Mesure et gestion du risque de marché 23 & 24 04 & 05RIS53 Mesure et gestion du risque de crédit 13 02RIS54 Mesure et gestion du risque opérationnel 27 21RIS55 Mesure et gestion du risque de liquidité 19 15RIS56 Risque opérationnel en post-marché dérivés 30 09RIS57 Piloter la liquidité d’un établissement de crédit 23 & 24 17 & 18RIS58 Risk Management en société de gestion 26 & 27 04 & 05RIS59 Sélection de clientèle par scoring 15 & 16 25 & 26
ALMRIS60 ALM Bancaire 1 : gérer un bilan au quotidien 09 & 10 27 & 28RIS61 ALM Bancaire 2 19 & 20 08 & 09RIS62 ALM Assurance : les fondamentaux 19 & 20 27 & 28
Co
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CPL63 Bâle 2 : application pour les banques 23 23CPL64 Les impacts du passage à Bâle 3 13 17CPL65 Solvabilité 2 : application pour les assurances 16 & 17 15 & 16CPL66 La gestion d’actifs face aux grandes réformes en 2014 16 & 17 15 & 16CPL67 Règlementation FATCA 12 (matin) 19 (matin)CPL68 Règlementation des Fonds d'Investissements Alternatifs 24 28CPL69 Relation Client des PSI 20 25CPL70 Protection de la clientèle dans la distribution d’assurance 13 16CPL71 Abus de marché : mettre en place un dispositif adapté 20 23CPL72 Le blanchiment et le financement du terrorisme 17 28CPL73 Conformité et déontologie en société de gestion 1er 27CPL74 Starter 1 : s’organiser pour réussir l’examen AMF 1 session /moisCPL75 Starter 2 : les fondamentaux financiers et règlementaires 1 session /mois
ContrôleCPL76 Principes de contrôle interne bancaire 30 1er
CPL77 Fondamentaux du contrôle de gestion bancaire 23 & 24 18 & 19
Ju
rid
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JUR78 Droit des produits dérivés 22 24JUR79 Approche juridique des Credit Default swaps 19 (matin) 27 (matin)JUR80 Finance Carbone 19 (après-midi) 27 (après-midi)JUR81 Documentation des opérations de prêts de titres et des pensions livrées 23 (matin) 28 (matin)JUR82 EMIR et Dodd Frank Act 12 30JUR83 Dérivés de gré à gré : présentation des contrats-cadres 11 (matin) 19
Code Titre Mai Juin Juillet Septembre Octobre Novembre Décembre
Bac
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Securities Services
BAO84 Securities Services : mode d’emploi 12 & 13 13 & 14BAO85 De l’actif d’une institution à la vision de passif pour l’OPC 24 15BAO86 Compensation des dérivés OTC 15 & 16 17 & 18BAO87 Dérivés OTC Securities Services 13 24
Gestion Back Office
BAO88 Gestion Back Office Trésorerie 12 & 13 13 & 14BAO89 Gestion Back Office Titres 05 & 06 17 & 18BAO90 Gestion des Opérations sur Titres 16 29BAO91 Règlement / Livraison 16 & 17 11 & 12BAO92 Migration SEPA 16 12BAO93 Gestion du Prêt-Emprunt de titres 10 & 11 09 & 10BAO94 Gestion du collateral 13 11BAO95 Gestion Back Office des Opcvm 22 & 23 09 & 10BAO96 Gestion Back Office des produits dérivés 12 & 13 15 & 16
Tech
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TCO97 Comptabilité bancaire 19 & 20 27 & 28TCO98 L’essentiel de la consolidation des comptes 12 & 13 22 & 23TCO99 Les normes IFRS pour les banques 16 07TCO100 Comptabilité des titres 13 23TCO101 Techniques comptables pour Opcvm 30 Juin & 1er Juil. 17 & 18TCO102 Comptabilité des opérations en devises 17 18TCO103 Comptabilité des produits dérivés 26 12
An
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ANA104 Analyse économique : indicateurs et prévisions 10 & 11 18 & 19ANA105 Introduction pratique à l’analyse financière 15 & 16 06 & 07ANA106 Analyse actions 26 & 27 23 & 24ANA107 Chartisme 1 02 & 03 24 & 25ANA108 Chartisme 2 17 02ANA109 Analyse comportementale des marchés 10 02ANA110 L’objectivité dans les décisions d’investissement 19 20ANA111 Les fondamentaux de l’analyse financière d’une banque 22 & 23 17 & 18ANA112 Analyse financière d’une collectivité territoriale 03 & 04 25 & 26ANA113 Analyse financière du logement social 30 20ANA114 L’analyse financière des Sociétés d’Économie Mixte 11 11ANA115 Investissement et produits dérivés dans les Institutions
de Prévoyance et Caisses de Retraite03 02
Imm
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r IMM116 Marché de l’immobilier résidentiel et commercial en France 20 07IMM117 Collecter l’épargne immobilière aujourd’hui 08 19IMM118 Mesurer le risque de financement des opérations
de promotion immobilière26 & 27 22 & 23
IMM119 Les financements immobiliers structurés 03 & 04 04 & 05IMM120 Techniques avancées d’analyse et de modélisation d’actifs immobiliers 30 Juin & 1er Juil. 1er & 02
Ass
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AMG121 Comprendre les sociétés de gestion 07 & 08 09 & 10AMG122 Comprendre la Gestion Privée 22 & 23 17 & 18AMG123 Les Opcvm 30 Juin & 1er Juil. 16 & 17AMG124 Techniques de gestion 16 & 17 20 & 21AMG125 Gestion sous mandat 26 & 27 06 & 07AMG126 Mesure de performance en gestion de portefeuille 03 & 04 24 & 25AMG127 Gestion obligataire 02 & 03 20 & 21AMG128 Gestion alternative 19 & 20 27 & 28AMG129 Indexation Smart Beta 05 02AMG130 La gestion structurée UCITS 27 20AMG131 Produits structurés et dérivés en gestion 26 & 27 02 & 03AMG132 Comprendre l’investissement responsable 17 18AMG133 Développer une offre ISR 20 24AMG134 Investir sur les matières premières 29 17AMG135 L’allocation d’actifs stratégique 23 & 24 17 & 18AMG136 L’allocation d’actifs tactique 26 & 27 02 & 03AMG137 Gestion monétaire en pratique 23 & 24 20 & 21AMG138 Multigestion : l’analyse et la sélection de fonds 03 & 04 04 & 05AMG139 Multigestion alternative : l’analyse et la sélection de hedge funds 30 Juin & 1er Juil. 22 & 23AMG140 Les stratégies quantitatives d’investissement 06 (matin) 03 (matin)
Co
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CF141 La nouvelle donne du financement en Europe 05 & 06 18 & 19CF142 Financement des collectivités territoriales 07 & 08 18 & 19CF143 Financement mezzanine et dette privée 12 02CF144 Structurer le financement d’une acquisition Mid-cap 13 09CF145 Les financements structurés 26 & 27 02 & 03CF146 Les fondamentaux du financement de projets 02 & 03 29 & 30CF147 Fondamentaux du Private Equity 19 & 20 06 & 07CF148 Opérations de capital investissement 05 & 06 1er & 02CF149 Mener une Due Diligence en Private Equity 23 & 24 18 & 19CF150 Financement par LBO en Private Equity 26 & 27 20 & 21CF151 Financement d’une Start-up 15 & 16 20 & 21CF152 Management Package et partage de valeurs 30 09
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s Gestion de projets
GO153 Gestion de projet 13 19GO154 Notions fondamentales d’excellence opérationnelle 16 16
Systèmes d’information
GO155 Marchés financiers et systèmes d’information 27 19GO156 Programmer en VBA 23 & 24 27 & 28
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VEC157 S’exprimer en public 07 & 08 1er & 02VEC158 Managez ses collaborateurs 02 & 03 18 & 19VEC159 Intégrez et managez vos collaborateurs de la génération Y 12 & 13 02 & 03VEC160 Préparez et animez une formation avec succès 17 24VEC161 Comprendre la vente 03 09VEC162 Faites la conquête de nouveaux capitaux et faites-vous recommander 08 1er
VEC163 Être plus efficace pour atteindre vos objectifs 13 Mai & 06 Juin 26 Sept. & 24 Oct.VEC164 Animer son équipe au quotidien 04 08VEC165 Techniques commerciales avancées 22 & 23 15 & 16VEC166 Mieux se préparer à un monde qui change 11 & 26 Juin et 03 & 10 Juil. 24 Sept. & 1er Oct et 08 & 22 Oct.
Couvertures 3 voletsReliure spirale enveloppée
kk Création graphiquekk Exékk Préparation à la fabricationkk Gestion de fabrication
BÄRCHENCATALOGUES FORMATION
kk Création graphiquekk Exékk Export PDF interactif
TERRITOIRE DE LA COTE OUEST PLAQUETTE / INFOGRAPHIE
Plan Climat Energie de la Côte Ouest
Construisons ensemble un territoire durable
Réduire le bilan carbone territorial, c’est réduire la dépendance aux énergies et inventer de nouvelles manières de consommer pour améliorer la qualité de vie des Réunionnais.
Le diagnostic a permis d’identifier les sujets majeurs sur lesquels agir. Ils sont résumés dans l’arbre ci-bas. L’ensemble des acteurs du territoire -Citoyens, Elus, Collectivités, Entreprises, Associations- sont concernés et sont invités en 2014 à donner leur avis et contribuer à la construction du plan climat.
Énergie
Mobilité
Aménagement
Economie
Un Plan construit avec et pour les Réunionnais Calendrier
Augmenter la production
d’énergies renouvelables
Réduire les déplacements
en voiture
Développer des modes de déplacements plus
propres (voiture électrique, hybride, 2l/100 km...)
Augmenter le recours aux transports collectifs en
les rendant performants
Réduire lesconsommations
des bâtiments
Construire des habitations sobres en énergie
Augmenter la production et la consommation locales
Protéger les habitants et les réseaux des aléas climatiques
Aménager des infrastructures réduisant les déplacements motorisés
Créer une filière de recyclage et de réparation sur l’Île
Développer une économie indépendante et innovante
Diagnostic & Bilan Carbone
Mise en œuvre
du PCET
Élaboration du Plan Climat Énergie Territoire
Depuis Septembre 2013, Réalisation de l’état des lieux
Novembre 2013 & Février 2014 :Groupes de travail collectivités-entreprises-état
Décembre 2014 :Proposition du plan final et adoption en conseil communautaire
Novembre 2014 :Consultation de la population
2015
À partir de 2015Une fois adopté le Plan climat, commencera alors le temps de l’action ! Ensemble, transformons le territoire de la Côte Ouest en un territoire autonome énergétiquement et économiquement, exemplaire et avec une qualité de vie préservée.
Entreprises & Industries Collectivités
Soyez prêts,ce sera à vous d’agir !
Pour participer, contactez le TCO : 0262 32 12 12 - www.tco.re
L’etat des lieux Concertation et plan d’action Et après ?
Le Bilan Carbone de la Côte Ouest : 3 défis principaux
Le bilan carbone de la Côte Ouest a permis d’identifier les causes principales d’émissions de gaz
à effet de serre (GES) :Les produits
importés
24%Les transports
40%L’énergie
des bâtiments
36%
Importation : 72% des produits consommés sont importés
4000 emplois nouveaux possibles grâce au développement de l’économie locale
L’Economie locale : un potentiel inexploité
Sur l’ensemble des énergies consommées, 87,2% sont importées, émettrices de GES
et dépendantes des variations de prix du marché mondial.
Les principales énergies renouvelables (Hydraulique et bagasse issue de la canne) ne représentent que 11,5% de la production
et le solaire seulement 1,3%.
La consommation d’énergie : dépendance au pétrole
87,2%
11,5%
1,3%
Habitants
Le Plan Climat Energie constitue le plan d’action que se donne un territoire pour lutter contre le changement climatique.
Celle-ci s’inscrit de façon cohérente avec les autres politiques territoriales : développement économique, aménagement, services publics, etc.
400 dans toute la France, dont 4 à La Réunion
Le Plan Climat c’est : • Un engagement politique• La participation des
habitants à sa construction
Les défis majeurs du Plan Climat :RÉDUIRE les Émissions de GES
ADAPTER LE TERRITOIRE aux Changements Climatiques
OPTIMISER la Consommation d’Energie
DÉVELOPPER une Économie Locale
Le « Plan Climat Énergie »,c’est quoi ?
Quels sont les enjeux ?
État des Lieux
Quelles solutions envisager ?
Concertation et Plan d’Action
Mise en ŒuvreC’est parti !
3 étapes pour réussir
Pour en savoir plus : www.tco.re
Le changement climatique en bref
Énergie solaire réfléchie
Énergie solairecaptée
Chaleur retenue par les gaz à
effet de serre
Chaleur renvoyée vers l’espace
SOLEILL’effet de serre permet de maintenir une température vivable
sur la Terre. Mais depuis la révolution industrielle, les activités humaines, à travers les émissions de gaz à effet de serre dans l’atmosphère,
contribuent à en augmenter la concentration et par conséquent la température globale.
Afin de lutter contre le réchauffement climatique, l’Union Européenne et la France se sont fixé 3 objectifs d’ici à 2020 :• réduire les émissions de CO2
des pays de l’Union de 20 % ;• accroître l’efficacité énergétique de
20 % d’ici à 2020;• faire passer la part des énergies
renouvelables dans le mix énergétique européen à 20 %.
Le 3x20
• Augmentation de température moyenne annuelle de l’ordre de 1 à 3°C
• Baisse de 6 à 8% des précipitations
• Élévation du niveau des eaux de 40 à 60 cm
• Augmentation de l’intensité des phénomènes climatiques extrêmes (cyclones, inondations...)
• Perte de biodiversité, augmen-tation des risques sanitaires
les conséquences sur l’île de La RéunionÀ moyen et long termes,
seront encore plus fortes
En collaboration avec Eco2Initiative
Data-visualisation
AS LEASE INFOGRAPHIE
kk Création graphique
Les gains environnementaux relatifs à la prestation d’AS Lease sont de plusieurs ordres :
• Allongement de la durée de vie du matériel si un contrat de Maintien en Conditions Opérationnelles (MCO) est choisi par le client,
• Maîtrise complète du parcours du matériel en fin de vie : revalorisation des modules et des pièces détachées par leur réutilisation dans des systèmes existants,
• Maîtrise de la chaîne de traitement des déchets finaux, et revalorisation optimale des matériaux.
Le calcul des impacts carbone se fait pour l’ensemble des phases du cycle de vie du matériel :
• Extraction et transformation des matières premières,
• Production des pièces et assemblage des systèmes,
• Transport des marchandises (fret amont, interne et aval),
• Main-d’oeuvre (assemblage, désassemblage des systèmes et maintenance),
• Fin de vie (récupération et traitement des déchets).
Le logiciel utilise les données issues de la Base Carbone de l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie) et Ecoinvent (base de données d’Analyse de Cycle de Vie).
Développée par ASLease, la démarche CO2Lease® est une méthodologie,
un logiciel et une base de données. Elle permet d’évaluer le bilan CO2
du cycle de vie d’une configuration louée par AS Lease et de le comparer
à une solution d’autofinancement ou de leasing classique, sans recyclage
et revalorisation du matériel.
Agile Green Development (AGD), société de services en développement durable (SS2D)
a accompagné ASLease dans sa réflexion.
t CO2-50%
d’impactcarbone
La méthodologie de calcul a été développée par ECO2 Initiative, un expert reconnu dans le domaine des évaluations
d’émissions de gaz à effet de serre. ECO2 Initiative a réalisé le Bilan Carbone® de plusieurs grandes organisations (ADEME, SNCF, Microsoft France...)
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Pres
tataire Bilan Carbone®
AS Lease47 rue de Ponthieu, 75008 Paris
Tél. : +33 (0)1 56 43 68 20 - Fax : +33 (0)1 56 43 68 21 www.aslease.com - [email protected]
AS Lease est une entreprise du groupe CapVert France
Jusqu’à -50% d’impact carbone
avec CO2Lease® !
En collaboration avec Eco2Initiative
kk Proposition de mise en avant des résultats de l’étudekk Création graphique
MAIRIE DE PARISDATA-VISUALISATION
Déclinaison en affiche et dépliant A5
kk Création graphiquekk Exékk Préparation à la fabrication
GALECINFOGRAPHIE
Bonnes Pratiques à respecter
Je n’oublie rien sur mon bureau, à l’imprimante, à la photocopieuse.Je conserve sous clé mes documents confidentiels.
1
Je choisis un mot de passe robuste et difficile à deviner.
Un mot de passe de qualité doit être : difficile à deviner + facile à mémoriser.
2azerty ? 12345 ? motdepasse ? password ? Leclerc ? Galec ?
« Je vous parle d’un tempsQue les moins de vingt ans »" Jvpd1tQlmd20a
Je ne stocke pas mes photos devacances ou des fichiers personnelssur mon poste ou sur le réseau.
3
Je n’utilisemon matériel informatiquequ’à des fins professionnelles.
4
Je n’échange pas de donnéesconfidentielles par mail.
Je n’échange pas de donnéesconfidentielles par mail.
Je suis vigilant lors de l’utilisationde supports amovibles.
5
J’utilise Internet avec prudence et m’assure de la fiabilité
des liens ou des pièces jointes avant de cliquer.
J’utilise Internet avec prudence et m’assure de la fiabilité
des liens ou des pièces jointes avant de cliquer.
6
7Je veille toujours à la sécurité de mon matérielinformatique et de mes données.
• J'utilise le câble antivol pour verrouiller mon ordinateur portable à mon socle.• Je fais attention à ne pas laisser traîner mon badge et je préviens le poste 111 si je l'ai perdu.• Je verrouille mon ordinateur à chaque fois que je quitte mon bureau (touches Windows L).
Je protège mon matériel et mes données lors de mes déplacements, en voyage comme à la maison.
8
••••••••
tous responsables !soyons
En cas de doute,je contacte la hotline
Informatique au 33 33
La Sécuritéde l’Information au
Bonnes Pratiques à respecter
Je n’oublie rien sur mon bureau, à l’imprimante, à la photocopieuse.Je conserve sous clé mes documents confidentiels.
1
Je choisis un mot de passe robuste et difficile à deviner.
Un mot de passe de qualité doit être : difficile à deviner + facile à mémoriser.
2azerty ? 12345 ? motdepasse ? password ? Leclerc ? Galec ?
« Je vous parle d’un tempsQue les moins de vingt ans »" Jvpd1tQlmd20a
Je ne stocke pas mes photos devacances ou des fichiers personnelssur mon poste ou sur le réseau.
3
Je n’utilisemon matériel informatiquequ’à des fins professionnelles.
4
Je n’échange pas de donnéesconfidentielles par mail.
Je n’échange pas de donnéesconfidentielles par mail.
Je suis vigilant lors de l’utilisationde supports amovibles.
5
J’utilise Internet avec prudence et m’assure de la fiabilité
des liens ou des pièces jointes avant de cliquer.
J’utilise Internet avec prudence et m’assure de la fiabilité
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6
7Je veille toujours à la sécurité de mon matérielinformatique et de mes données.
• J'utilise le câble antivol pour verrouiller mon ordinateur portable à mon socle.• Je fais attention à ne pas laisser traîner mon badge et je préviens le poste 111 si je l'ai perdu.• Je verrouille mon ordinateur à chaque fois que je quitte mon bureau (touches Windows L).
Je protège mon matériel et mes données lors de mes déplacements, en voyage comme à la maison.
8
••••••••
tous responsables !soyons
En cas de doute,je contacte la hotline
Informatique au 33 33
La Sécuritéde l’Information au
Bonnes Pratiques à respecter
Je n’oublie rien sur mon bureau, à l’imprimante, à la photocopieuse.Je conserve sous clé mes documents confidentiels.
1
Je choisis un mot de passe robuste et difficile à deviner.
Un mot de passe de qualité doit être : difficile à deviner + facile à mémoriser.
2azerty ? 12345 ? motdepasse ? password ? Leclerc ? Galec ?
« Je vous parle d’un tempsQue les moins de vingt ans »" Jvpd1tQlmd20a
Je ne stocke pas mes photos devacances ou des fichiers personnelssur mon poste ou sur le réseau.
3
Je n’utilisemon matériel informatiquequ’à des fins professionnelles.
4
Je n’échange pas de donnéesconfidentielles par mail.
Je n’échange pas de donnéesconfidentielles par mail.
Je suis vigilant lors de l’utilisationde supports amovibles.
5
J’utilise Internet avec prudence et m’assure de la fiabilité
des liens ou des pièces jointes avant de cliquer.
J’utilise Internet avec prudence et m’assure de la fiabilité
des liens ou des pièces jointes avant de cliquer.
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7Je veille toujours à la sécurité de mon matérielinformatique et de mes données.
• J'utilise le câble antivol pour verrouiller mon ordinateur portable à mon socle.• Je fais attention à ne pas laisser traîner mon badge et je préviens le poste 111 si je l'ai perdu.• Je verrouille mon ordinateur à chaque fois que je quitte mon bureau (touches Windows L).
Je protège mon matériel et mes données lors de mes déplacements, en voyage comme à la maison.
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Je choisis un mot de passe robuste et difficile à deviner.
Un mot de passe de qualité doit être : difficile à deviner + facile à mémoriser.
2azerty ? 12345 ? motdepasse ? password ? Leclerc ? Galec ?
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Je ne stocke pas mes photos devacances ou des fichiers personnelssur mon poste ou sur le réseau.
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Je n’utilisemon matériel informatiquequ’à des fins professionnelles.
4
Je n’échange pas de donnéesconfidentielles par mail.
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Je suis vigilant lors de l’utilisationde supports amovibles.
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des liens ou des pièces jointes avant de cliquer.
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• J'utilise le câble antivol pour verrouiller mon ordinateur portable à mon socle.• Je fais attention à ne pas laisser traîner mon badge et je préviens le poste 111 si je l'ai perdu.• Je verrouille mon ordinateur à chaque fois que je quitte mon bureau (touches Windows L).
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Je ne stocke pas mes photos devacances ou des fichiers personnelssur mon poste ou sur le réseau.
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Je suis vigilant lors de l’utilisationde supports amovibles.
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