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PRÉ-REQUIS pour l’examen
• - Connaissances des L.O.T., L.O.C., et L.O.O. selon la description dans:
• http://mac.me.com/tinturierclaude
Médecine ostéopathique complémentaire
COPYRIGHT © C. TINTURIER D.O. 2004
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ASPECTSTHÉORIQUES
PLAN GÉNÉRALIntroductionBases physiologiquesRappel du conceptRéflexes conditionnésVariation de la vigilancePrincipes du traitement
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INTRODUCTION
LES DIFFÉRENTS COMPORTEMENTS
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RESEAU MOTEUR
SYSTÈME EFFECTEUR
AFFÉRENCES SPÉCIFIQUES
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Informations externes recueillies
Activités internes
Traitement mémoires
Création dʼun besoin Action sur le monde extérieur
Attente dʼun résultat Confrontation
plaisir - échec
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INTRODUCTION
RENFORCEMENT DE L ’APPRENTISSAGE
L. O. C.
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ACTION RÉACTION DE LʼENVIRONNEMENT
1. LE RÉSULTAT COÏNCIDE AVEC INTENTION INITIALE
= MFB ACTIVÉ (DOP. +NE) = PLAISIR
RENFORCEMENT APPRENTISSAGE INHIBITION AXE H-H-C-S ET NE PÉRIPH.
= PVS ACTIVÉ (ACH)
= ÉVITEMENT DE LA DOULEUR PAR LA LUTTE OU LA FUITE (E)
SI EFFICACE = PLAISIR
RENFORCEMENT APPRENTISSAGE INHIBITION AXE H-H-C-S ET NE PÉRIPH.
MÉCANISME DIRECT
MÉCANISME INDIRECT
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BASES PHYSIOLOGIQUES
L ’INHIBITION DE L ’ACTION • LE RÉSULTAT NE COÏNCIDE PAS AVEC L ’INTENTION
== S.I.A. == NE +H-H- C-S• SELON ANOKHIN: L ’INHIBITION INTERNE EST LA
CONSÉQUENCE OBLIGATOIRE DE LA DISSOCIATION ET DE LA RENCONTRE CONFLICTUELLE DE DEUX SYSTÈMES D ’EXCITATION, DE DEUX ACTIVITÉS INTÉGRALES DE L ’ORGANISME.
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BASES PHYSIOLOGIQUES
EFFETS DE L ’INHIBITION DE L ’ACTION
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SYSTÈME INHIBITEUR DE LʼACTION (ACh)
LÉSION OSTÉOPATHIQUE MNÉSIQUE
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02/20/2006 réf.: Laborit + E.S.O.
LÉSION OSTÉOPATHIQUE MNÉSIQUE ET SYSTÈME IMMUNITAIRE
ABSENCE DE PHÉNOMÈNE EXTÉRIEUR FAVORABLE
LÉSION OSTÉOPATHIQUE MNÉSIQUE PRIMAIRE
SYSTÈME INHIBITEUR DE LʼACTION HIPPOCAMPE, AMYGDALE , (ACh)
HYPOTHALAMUS
HYPOPHYSE (ACTH)
SURRENALES (GLUCO-CORTICOIDES)
antérieur (CRF) postérieur
+
+
_
_
INTERLEUKINE 1 THYMOSINE ALPHA 1
GIF FACTEUR AUGMENTANT LES GLUCOCORTICOIDES
_
+
LYMPHOCYTE T AUXILIAIRE
_
_
MAF = FACTEUR ACTIVANT LES MACROPHAGES
MACROPHAGE
BACTERIESVIRUSPARTICULESDECHETS CELLULAIRES
HYPERSENSIBILITE retardéeCHAMPIGNONSMICROBACTERIESAGENTS granulomateux
INTERLEUKINE 2
LYMPHOCYTE T CYTOTOXIQUE
CELLULE TUEUSE NATURELLE
LYMPHOCYTE T SUPPRESSEUR
ADRENALINE
+
+
_ _
_
MELATONINE+
ß ENDORPHINES
_+
TRANSPLANTSC. TUMORALESVIRUS
+
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CONCEPTION " " CLASSIQUE
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BASES PHYSIOLOGIQUES
LES RÉACTIONS VÉGÉTATIVES DE LA L.O.M
L. O. C.
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Organisation Système Nerveux Autonome
Hypothalamuspartie périventriculaire
Bulbenoy. faisc. solitaire
S. N. parasympathiqueS. N. sympathique
muscle lisse, muscle cardiaque, cellules sécrétrices glandulaires
paroi oesophage, estomac, intestins, pancréas,vésicule biliaire
intestins, estomac, certaines hormones, vaiss. sanguins
système entériqueplexus myentérique (Auerbach) et plexus sous-muqueux (Meissner)
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Le système nerveux sympathiquetravaille à court terme pour les urgences
dilatation pupille, diminue salivation et production de larmes, relaxe les bronches, accélère le coeur,
stimule synthèse et sécrétion de glucose, stimule adrénaline et noradrénaline des médullo-surrénales, relaxe la vessie, favorise l’éjaculation
origineneurones préganglionnaires
substance grise intermédiolatérale de la moelle épinièretiers central moelle épinière C8-L2
fibres postganglionnairesdistribuées par le grand et le
petit splanchnique, + splanchnique accessoire
chaînes sympath. latérovertébrale
actionsdiffuses
multipleslentes
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Le système nerveux parasympathiquetravaille dans la durée et silencieusement
fibres (longues)préganglionnairesdistribuées par:
III VII IX X b.acc.ggl. proches ou à
l’intérieur de l’organe cible
fibres post-ganglionnaires
constriction de la pupille, stimulation salivation et production de larmes, constriction des bronches,
ralentissement cardiaque, stimulation de la digestion, stimulation du pancréas (insuline et enzymes
digestives), dilatation des vaisseaux sanguins de l’intestin
3ème tiers côlon transverse et descendant
rectum, contracte la vessie,stimule l’érection
noyau viscéralpartie sup. du tronc cérébral origine quatre segments sacrés
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LIEUX SYMPATHIQUE PARASYMPATHIQUE
vaiss. peauvaiss. muqueusevaiss. muscles striésvaiss. visc. abdomin.vaiss. org. gén. ext.vaiss. poumonscerveauvaiss. reinsvaiss. gl. salivairescoronairescoeurcoeurcoeurmuscles lissesestomacintestinrectumvessiebronchescardiapyloresphincter analsphincter vésicalsphincter irienmuscles ciliairesutérusorganes sex. masc.gl. sudoriparesgl. salivairesgl. lacrymalesgl. nasopharyngiennesgl. gastriquesgl. pancréatiquesmédullo-surrénales
constrictionconstrictionconstrictionconstrictionconstrictionconstrictionconstrictionconstrictionconstrictionconstrictionaugm. rythmeaugm. puissanceaugm. conductioninhibitiondim. tonus et péristaltismedim. tonus et péristaltismeinhibitioninhibitiondilatationconstrictionconstrictioncontractioncontractiondilatationrelâchementvariableéjaculationstimulantstimulant épais visqueux
inhibitioninhibitionsécr. adrénaline B
dilatationdilatationdilatationdilatation
dilatationdilatationdilatationdim. rythmedim. puissancedim. conductioncontractionaug. tonus et péristaltismeaug. tonus et péristaltismecontractioncontractionconstrictiondilatationinhibitioninhibitioninhibitioncontractioncontractionvariableérection
stimulant aqueuxsécrétionsécrétionstimulationstimulation
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BASES PHYSIOLOGIQUES
SIGNIFICATIONS DE L ’ADRÉNALINE ET DE LA NORADRÉNALINE
L. O. C.
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BASES PHYSIOLOGIQUES
P. 108 Lʼinhibition de lʼaction H. Laborit Ed Masson 1979
“ Pour notre part nous apportons certains faits (Laborit, Kunz et Baron, 1974) expérimentaux qui montrent que lʼon ne peut plus continuer à parler de réaction sympatho-adrénergique et que ces deux systèmes, système noradrénergique contrôlant le tonus vasculaire par voie nerveuse, et système adrénergique lʼinfluençant par voie humorale par lʼintermédiaire dʼune libération dʼadrénaline à partir de la médullo-surrénale, fonctionnent séparément et nʼont pas la même signification physiologique et comportementale.”
L. O. C.
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RAPPELS L.O.M.
DÉFINITION DE LA L.O.C. • On entend par lésion ostéopathique comportementale un
ensemble de voies neuronales non suffisamment soumises à des phénomènes extérieurs favorables. Elle présente des synapses à relativement mauvais rendements et correspond à un traitement adapté potentiel.
LES PHÉNOMÈNES EXTÉRIEURS 1, 2, 3
L. O. C.
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PHÉNOMÈNE EXTÉRIEUR 2
ÉLÉMENTS MÉMORISÉS
L.O.M.LÉSION PRIMAIRE
CIRCUITS PRÉFÉRENTIELS
CENTRE DE RÉCEPTION ET DE CODAGE
PHÉN. EXT. 1 PHÉN. EXT. 3
NOUVELLE SITUATION
PHÉN. LÉSIONNELS
Le phénomène extérieur 2 correspond aux ph. ext. qui ont créé les voies des circuits préférentiels.Nous appelons ph. ext. 3 le ph. ext. qui est appliqué à une structure présentant déjà un D.F.F.. Le D.F.F. sʼest installé suite à un ph. ext. dit primaire (ph. ext 1).dans ce cas, le ph. ext. 1 signifie . absence de ph. ext. favorable. réf: Terramorsi
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RAPPELS L.O.M.
LES PHÉNOMÈNES DIRECTEURS LES 3 SITUATIONS Comportement gratifiant inné ou acquis, secondairement
interdit par apprentissage de la non récompense. Situation imaginaire faisant appel à un matériel
mémorisé non récompensé ou puni avec inefficacité de l’action (fuite ou lutte).
Déficit informationnel empêchant dans une situation
L. O. C.
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vision psy
les phobies
Définition: peurs irrationnelles (objet, situation, activité) dont phobies simples = couple angoisse-situation (claustrophobie, phobie
des animaux, phobie des bruits, phobie des lieux élevés) et sociales (peur du regard des autres)
agoraphobie (phobie multiple ➔ tt par anxiolytique, antidépresseurs tricycliques + technique comportementales) suit souvent les attaques de paniques et l’anxiété généralisée
à différencier: - pseudo-phobies (passagère et labile) - obsessions phobiques (angoisse en relation avec l’idée de l’objet = présentes à l’évocation - phobies d’impulsion (peur de commettre un acte) - nosophobie (post- traumatique, délire hypochondriaque) - dysmorphophobie (centrée sur le corps, transitoire à l’adolescence, anorexie mentale,)
Les techniques comportementales et cognitives sont utilisées dans: les phobies simples, les phobies sociales, les troubles obsessionnels compulsifs, les attaques de panique et l’anxiété généralisée, les troubles dépressifs, les troubles de la personnalité, les troubles des conduites alimentaires, les conduites addictives et l’alcoologie, les troubles sexuels, les troubles psychotiques, la médecine comportementale
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PRINCIPES DU TRAITEMENT
Samuel-Lajeunesse B., Mirabel-Sarron Ch., Vera L., Mehran F. et al. Manuel de thérapie comportementale et cognitive 2ème édition Dunod 2004
Caractère structuré ≠ psychothérapie classique Concentration sur ici et maintenant ≠ psychothérapie classique Absence de constructions théoriques = adaptation au patient ≠
psychothérapie classique Refus des applications des théories mentalistes (motivation,
affectivité, volonté, émotion, personnalité, intelligence, hérédité). Refus d’hypothèse sur la conduite d’un individu. Intérêt porté sur les éléments de cette conduite (éléments de
réactivité ou phénomènes lésionnels)
thérapie comportementale et cognitive classique
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vision psy
les principes du T.C.et C
Aider à changer certains éléments de son comportement. Supprimer chez l’obsessionnel des vérifications ou des rites. Modifier des réactions émotionnelles. Apprendre de nouvelles compétences sociales dans les relations
interpersonnelles. Prévoir la réponse de l’organisme lors d’un stimulus (Watson en 1913:
traitement de l’alcoolisme par aversion conditionnée, traitement de l’énurésie nocturne chez l’enfant, traitement d’anomalies de l’orientation sexuelle telle l’homosexualité chez des volontaires).
Thérapie cognitive = la liaison entre stimulus et réponse est analysable (variables intermédiaires, boîte noire). Mise en évidence de construction de pensées erronées avec désapprentissage puis apprentissage de pensées adaptées.
Thérapie comportementale (relaxation, affirmation de soi) = la liaison entre stimulus et réponse n’est pas analysable.
Mais les pratiques thérapeutiques mettent en jeu des processus comportementaux et cognitifs.
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LES DIFFÉRENTS TYPES
La mémoire déclarative• mémoire des faits et des événements• formation rapide des souvenirs• oubli rapide des souvenirs• modifications synaptiques disséminées donc complexes à
étudier La mémoire procédurale
• réaction par un geste à une stimulation sensorielle
MÉMOIRE
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LES DEUX CATÉGORIES mémoireprocédurale
LʼAPPRENTISSAGE ASSOCIATIF• le conditionnement classique (Pavlov, prix Nobel de médecine 1902)
– stimulus inconditionnel ou absolu + stimulus conditionnel induit une réponse– répétition de lʼappariement– stimulus conditionnel induit une réponse conditionnée
• le conditionnement instrumental (Edward Thorndike), opérant (Skinner)
– apprentissage = association dʼun geste à une récompense ou une aversion (évitement) = renforcement ⇒ modification du comportement par la conséquence des actes ⇒ escalade de symptômes (appréhension dʼun moyen de transport - peur de le prendre - difficulté face à prendre un autre moyen de transport - peur de sortir de chez soi).
LʼAPPRENTISSAGE NON ASSOCIATIF• lʼhabituation = banalisation• la sensibilisation = renforcement de la réponse à un
stimulus.
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RÉFLEXES CONDITIONNÉS
Ordre classique des séquences (2 possibilités) St. abs. + St. cond. induit une réponse St. cond. précède de peu St. abs. induit une réponse
Installation du stimulus conditionnel Nécessite une habituation du St. cond.
Ordre non classique (≈ Pavlov) = réflexe associatif St. abs.- attente de la réponse - St. conditionnel (ou associatif)
Adaptation possible à l’humain Réflexe explicite = explication de la réponse souhaitée ≈ St. abs. [St. abs.] + [“St. cond.” = souvent rite culturel] ⇒ réponse associée ≈ conditionnée.
Lorsque le St. abs. fait partie de la culture: St. cond. ⇒ réponse conditionnée
L. O. C.
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LES DIFFÉRENTS TYPES
La mémoire déclarative (= mémoire explicite, consciente)• fait appel à un système neuronal entier, localisé dans le lobe temporal interne. • mémoire des faits, des événements, des mots, des visages, de la musique• formation rapide des souvenirs• oubli rapide des souvenirs• modifications synaptiques disséminées donc complexes à étudier
La mémoire non déclarative• inaccessible à la conscience - sʼexprime dans la performance - habitudes -
apprentissages émotionnels - réflexive (automatisation) - pratique dʼun sport• habituation - déshabituation - sensibilisation - conditionnements classique et
opérant• une connexion entre 2 neurones = unité élémentaire du stockage mnésique -
MÉMOIRE
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• Le potentiel dʼaction arrive dans la cellule présynaptique et ouvre les canaux calciques. Lʼentrée des ions Ca++ dans les terminaisons présynaptiques libère un ou plusieurs paquets de 5000 molécules de neurotransmetteur qui sont contenues dans des vésicules synaptiques et qui diffusent dans lʼespace synaptique par exocytose vers la cellule postsynaptique. Lʼinteraction du neurotransmetteur avec les récepteurs de la cellule postsynaptique induit un faible potentiel dʼaction synaptique. Chaque classe de neurotransmetteur est capable dʼêtre reconnue par un certain nombre de récepteurs différents. Il existe deux classes de récepteurs:
• Pour la première, chaque récepteur contient un canal ionique chimio-dépendant assurant des actions excitatrice ou inhibitrice rapides (quelques millisecondes). A lʼarrivée du neurotransmetteur, les récepteurs ionotropiques adoptent une forme qui ouvre leur canal ionique primitivement fermé, ce qui permet le passage de ions au travers de la membrane post synaptique. Le flux dʼions induit des potentiels synaptiques qui excitent ou inhibent la cellule en fonction du type de récepteurs et de ions impliqués.
• Pour la seconde, les récepteurs sont dépourvus de canaux ioniques et sont appelés métabotropiques car ils activent le métabolisme de la cellule postsynaptique par lʼintermédiaire de lʼaugmentation dʼune enzyme qui modifie la concentration dʼun second messager. Leur action est lente (plus que quelques millisecondes). Les seconds messagers ont trois fonctions: transfert du signal extracellulaire, amplification du signal et régulation des fonctions intracelullaires. Ils peuvent produire des actions excitatrices ou inhibitrices.
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• Mémoire déclarative• Encodage• Stockage• Récupération• Oubli• Imperfections
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• Plasticité• La force des connexions synaptiques est plastique et modifiable et elle
conditionne le stockage mnésique. Les modifications des forces synaptiques sont durables et servent de base dans la création du souvenir.
• Plasticité dans lʼhabituation à court terme (mémoire non déclarative): elle se fait par une réduction de paquets de neurotransmetteur libérés, cʼest-à-dire par diminution des vésicules synaptiques fonctionnelles ce qui induit une diminution de la force synaptique. La dépression synaptique se manifeste sur la voie excitée. On parle dʼaction homosynaptique.
• Plasticité dans lʼhabituation à long terme (mémoire non déclarative): elle se fait par une diminution des terminaisons présynaptiques des neurones cibles.
• Plasticité dans la sensibilisation (mémoire non déclarative): augmentation de la force synaptique par augmentation du nombre de connexions synaptiques. Cette facilitation existe sur les interneurones et les motoneurones (effet hétérosynaptique). Ce mécanisme est présent dans les récepteurs métabotropiques.
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RÉFLEXES CONDITIONNÉS
SIGNIFICATIONS• NÉCESSITÉ D’UNE DIMINUTION DE VIGILANCE POUR:
– ATTRIBUER À UN STIMULUS CONDITIONNANT UNE RÉPONSE SPÉCIFIQUE
– INSTALLER UN APPRENTISSAGE– ACCÉDER À UNE VOIE DÉFAVORISÉE
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VARIATIONS DE LA VIGILANCE
DIMINUTION• BUTS• MOYENS
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DIMINUTION DE LA VIGILANCE
POSSIBILITÉS:• SYST. SENSITIFS, SENSORIELS, INFLUX PROPRIOCEPTIFS
– (VALABLES DANS LES 2 SENS)• HYPOTENSION, HYPERTHERMIE, ASPHYXIE• HYPOCAPNIE PAR SURVENTILATION
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RÉPONSE RÉPONSE
SITE RÉCEPTEUR
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L. O. C.Mécanismes synaptiques
= ouverture du pore = passage de ions
si ions Na++ = dépolarisation de la cellule postsynaptique = (PPSE) se voit avec ACh et glutamate
si ions Cl- = hyperpolarisation de la cellule postsynaptique = (PPSI)se voit avec GABA
Potentiel dʼaction dans la terminaison axonique:Ouverture des canaux calciques voltage dépendant
Au repos [Ca++] est basse. Le potentiel dʼaction = force électromotrice qui augmente [Ca++] interne = signal de libération
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fixation du glutamate sur les récepteurs métabotropiques
signal électrique de lʼaxone libération du glutamate
ouverture des canaux calciques
entrée massive des ions calciques extracellulaires dans le neurone postsynaptique
expression de gènes précoces (500 possibles) (dont cƒos, ziƒ268, CREB, famille jun)
synthèse de protéines effectrices
augmentation de la sensibilité des récepteurs NMDA
modifications synaptiques construction de nouvelles synapes stimulation réservoirs à récepteurs
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AUGMENTATION• BUTS• MOYENS
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AUGMENTATION DE LA VIGILANCE
POSSIBILITÉS SYST. SENSITIFS, SENSORIELS, INFLUX PROPRIOCEPTIF
(VALABLES DANS LES 2 SENS) HYPERCAPNIE = +, ANOXIE FAIBLE = +, ANOXIE FORTE = +++ ASSOCIATIONS, PRISE DE CONSCIENCE, RATIFICATION
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FACTEUR FAVORISANT LA FIXATION DE LʼINFORMATION
MILIEU EXTÉRIEUR
SYSTÈME
DʼINTÉGRATION
INFORMATION
RÉACTIONS VÉGÉTATIVES ET HORMONALES
PRISE DE CONSCIENCE
AUGMENTATION DE LA VIGILANCE
référence : Jean-Paul Renner
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MÉTHODES CONNUES
VERBALES• SCHULTZ, JACOBSON, SOPHRONISATION, VITTOZ,
HYPNOSE, EX. DE CONSCIENCE CORPORELLE, MAGNÉTISME, HAPTONOMIE, TENSION/DÉTENTE,...
NON VERBALES• MAGNÉTISME, HAPTONOMIE, PAR LA VISION, MASSAGE,
MANIPULATIONS CRÂNIENNES, SONORES (MUSIQUE,
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MÉTHODES UTILISÉES
PARTICULARITÉS PAS DE PHILOSOPHIE PEU DE DIMINUTION DE LA VIGILANCE PAS D’ANALYSE DE LA VERBALISATION UTILISATION DES SENSATIONS UTILISATION D’UNE PHASE D’INHIBITION MÉTHODE RESPECTUEUSE DIFFÉRENT DE LA MÉDECINE PSYCHOSOMATIQUE
L. O. C.
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P. 140 Lʼinhibition de lʼaction H. Laborit Ed Masson 1979“ Mais le danger du terme vient surtout du fait quʼil entretient le dualisme entre le corps et lʼesprit, la dichotomie cartésienne qui ne peut plus se défendre aujourdʼhui. De cette dichotomie vont naître dʼautres dichotomie entre la psychiatrie et la médecine qui resteront enfermées dans des domaines séparés. La première est généralement seule à sʼoccuper des rapports de lʼindividu dans son environnement social. Dʼailleurs bien souvent, la psychiatrie elle-même a recherché désespérément des bases dʼorganicité macroscopique, microscopique et plus récemment biochimique, qui se sont dérobées jusquʼici à son approche. .... Dans le terme de psycho-somatique persiste la notion de psychologie, dans sa forme la plus langagière, et si la combinaison des deux mots nʼétait pas si laide phonétiquement, il serait certainement plus exacte de parler de médecine . En effet, le mot implique une action par rapport à un milieu et permet dʼenvisager des niveaux dʼorganisation qui le supportent, biochimique et neurophysiologique en particulier. Comme le signale Lader (1972), le terme de psychosomatique implique une entre . Lʼévénement psychologique serait une cause de lʼaffection organique alors que nous ne pouvons le concevoir maintenant lui-même que comme une réponse à une relation entre lʼhomme, chargé de ses biologiques, et son milieu. Le poids de la mémoire, processus organique, biochimique, y est prépondérant et nous savons quʼelle constitue la substance même de ses émotions. Or, ce sont celles-ci qui sʼapparient avec les réactions physiologiques, dont elles sont lʼexpression plutôt que la cause, réactions à une situation événementielle.”
02/20/2006
efficacité des " techniques
Psychothérapies Eysenck 1952 p. 13 “Les thérapies comportementales” J. Cottraux Ed. Masson1978.
analysa 24 études portant sur 7000 cas. Les patients traités par psychanalyse s’améliorent dans 44
% des cas. Après correction (arrêt prématuré de la psychanalyse), le taux remonte à 66%.
Les patients névrotiques qui restent 2 ans sur une liste d’attente sont dans 66 % des cas guéris ou améliorés.
La psychanalyse devrait obtenir des résultats > 66 % et dans un temps bref.
L. O. C.
COPYRIGHT © C. TINTURIER D.O. 2004
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Psychothérapies, trois approches évaluées INSERM 26.2.2004 approche psychanalytique - approche comportementale et cognitive -
approche familiale ou de groupe (analyse exhaustive de 1000 articles) Les thérapies cognitivo-comportementales obtiennent
l’efficacité la mieux établie dans les troubles anxieux (avec ou sans médicament), le stress psycho-somatique, dans le trouble panique (en association avec un antidépresseur pour éviter les rechutes), les troubles de la personnalité (18 mois à 4 ans de suivi en psychanalyse et 1 an en thérapie cognitivo-comportementale).
L. O. C.efficacité des techniques
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PRINCIPES DU TRAITEMENT
TRANSFORMATION D’UN ÉLÉMENT DE LA RÉACTIVITÉ
VARIATIONS DE LA VIGILANCE
L. O. C.
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LES 3 PHASES DU TRAITEMENT
PRÉALABLES INSTALLATION DE L’INHIBITION INSTALLATION DE LA CORRECTION
L. O. C.
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LES PRÉALABLES
CHOISIR L ’ÉLÉMENT DE RÉACTIVITÉ DÉTERMINER LES RÉGIONS MUETTES CHOISIR LE RÉFLEXE « ASSOCIATIF » APPRENDRE UNE TECHNIQUE DE
MODIFICATION DE VIGILANCE ET/OU TRANSFORMER L ’ÉLÉMENT DE RÉACTIVITÉ
L. O. C.
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INSTALLATION DE L ʼINHIBITION
CRÉER UNE DIMINUTION DE VIGILANCE FAIRE APPARAÎTRE LE CONFLIT RESSENTIR LES ZONES MUETTES ASSOCIER UN RÉFLEXE
L. O. C.
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INSTALLATION DE LA CORRECTION
CRÉER UNE DIMINUTION DE VIGILANCE FAIRE APPARAÎTRE LE CONFLIT SENTIR LA NOUVELLE RÉACTIVITÉ RATIFIER CHAQUE RÉUSSITE METTRE EN SITUATION RÉELLE
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LÉSION OSTÉOPATHIQUE MNÉSIQUE ET RESPIRATION
1. PREALABLE" - OBSERVATION - DIAGNOSTIC" - PRISE CONSCIENCE - EXPLIQUER" - ENSEIGNEMENT DE LA TECHNIQUE" " - RESPECTER LES STADES" " - D.D." " " - MISE EN MVT DU DIAPHRAGME" " " - SENTIR " " " - RESPIRATION NORMALE" " " " - SENTIR " " " " - LAISSER LʼEXPIRATION LIBRE" " " " - RESPIRATION " " - ASSIS" " - DEBOUT" " - EN MARCHANT
2. INHIBITION" - EN SITUATION IMAGINAIRE
3. CORRECTION" - EN SITUATION IMAGINAIRE
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1. Respiration (groupe ou individuel)2. La modification dʼune représentation mentale" " - difficile à réaliser si pas de vraie situation" " - on peut faire exercice % à la douleur
3. Modification « sensation de boule/chaleur »" - Principes" " - amener une source IF-main-bouillotte, contact direct ou indirect " " - avantages" " - intégrer = mettre dans lʼordinateur " " - associer évolution = fixation" " - inscrire la durée = fixation" " - se souvenir = répéter = fixation" " - éviter lʼhabituation = commentaire " banalisation du résultat4. Mettre en situation" " - inhibition" " - correction
5. Techniques de prolongement " " " " - problème: pas de phase dʼinhibition - habituation !" " - avantage: état de base valable pour toute situation
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INDICATIONS sensation obsessionnelle image obsessionnelle sensation obsessionnelleBUTS mod. sensation mod. image mod. respiration
choix élém. de réactivité épigastre/gorge/autre détail de l'image connu déterminer régions muettes X X
PRÉALABLES choix geste associatif X X X appr. techn. mod. vigilance si nécessaire si nécessaire si nécessaire transformation élément de réact. chaleur/froid/autre mod. du détail voir détail joint
amplification par respiration X
diminution de vigilance si nécessaire si nécessaire situation conflictuelle imaginaire X X
INHIBITION sentir zones muettes X X application réflexe associatif x x
diminution de vigilance si nécessaire si nécessaire si nécessaire situation conflictuelle imaginaire X X
CORRECTION sentir toutes les zones X X ratifier chaque réussite X X
se mettre en situation réelle si possible X si possible ratifier chaque réussite X X X
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ÉTAT DʼÊTRE FACULTÉS DISPONIBLES TONUS
EXTENSUS INSENSUS ASSENSUS EXPECTATUS
EXTENSUS RATIONALIS CIRCUMSENSUS ATTENTUS
OBTENTUSEXTENSUS AFFECTUS PERSENSUS
RECIPROTONUSEXTENSUS CONCENTUS TRANSSENSUS
APOTONUS
P PRÉSENCE SINCÉRITÉ, CLARTÉ, CANDEUR, VÉRIDICITÉT TRANSPARENCE LIMPIDITÉ, SANS DÉGUISEMENT, LUCIDITÉP PRUDENCE PRÉCAUTION, RESPECT, CIRCONSPECTION
PRENDRE SOIN
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Protocole du prolongement 1er stade = DV1. Explications
2. Mettre en évidence
3. Une main
4. Deux mains
5. Jusquʼaux épaules
6. Retester (uniquement avec des mvts des bras)
7. Avez-vous senti la différence ?
8. Refaire plus rapidement
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Protocole repositionnement du bassin
1. Généralités sur le “ballan”, Câles,
2. Prise de conscience de la lordose lombaire
3. Mise en position des membres inférieurs
4. Positionnement de la main de lʼostéopathe
5. “Ballan”
6. Extension des membres inférieurs
7. Contrôle de la lordose
8. Indications
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LES DIFFÉRENTS STADES DʼÉVOLUTION DU “PROLONGEMENT” DU DV À LʼÉTAT DʼÊTRE
FONCTIONNEL1. PROLONGEMENT EN DV - “MASSAGE” DE LA JAMBE - “BALLAN” - “BALLAN” AVEC OBJETS
2. PROLONGEMENT EN DD- TEST DE LA CUISSE- “BALLAN”- REPOSITIONNEMENT DU BASSIN- COMPRENDRE LʼEFFICACITÉ DU LIEU DE PROLONGEMENT- COMMENT AUGMENTER LE CHANGEMENT DE TONUS- LʼIMPORTANCE DU CONTACT DIRECT
- PROLONGEMENT AVEC ET “SANS” CONTACT
3. PROLONGEMENT DEBOUTIMMOBILE AVEC ET SANS CONTACTAVEC DÉPLACEMENTAVEC DÉPLACEMENT ET EN LISANT
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L. O. C.Indication technique
du prolongement
PHÉNOMÈNE EXTÉRIEUR 3 = VIE QUOTIDIENNE
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L. O. T. ASPECTS PRATIQUES
POSITION DE MISE EN TENSION RECHERCHE D’UN RELÂCHEMENT (EXPIRATION) RATIFIER CHAQUE RÉUSSITE RESSENTIR LES SENSATIONS RÉSIDUELLES FIXER LA DURÉE DES EFFETS
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Niveau supérieur = stratégie = aires associatives du néocortex + ganglions de la base
1. Informations sur la situation dʼorigine (inf. auditives, visuelles, somatiques et proprioceptives)
2. Analyse des options possibles ganglions de la base
3. Sélection de stratégies
4. Envoi des stratégies vers le cortex + référence à lʼexpérience
5. Décision finale
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Niveau inférieur = exécution= tronc cérébral + moelle épinière
1. Activation des neurones du tronc cérébral
2. Transmission des ordres aux niveaux concernés de la moelle épinière
3. Activation des motoneurones et interneurones
4. Mouvements et ajustements posturaux
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Niveau intermédiaire = paramètrage= cortex moteur + cervelet
1. Décision tactique (amplitude, direction, force du mouvement)
2. Transmission des instructions au tronc cérébral
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noyaux striés
noyaux gris septaux
(pallidum et putamen fusionnent et forment le n. lenticulaire)
pallidum = paléostriatumputamennoyau caudé néostriatumclaustrumn. amygdalien =archéostriatum
Les noyaux de la base (STRIATUM ET SEPTUM)assurent la jonction hémisphère-névraxe
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Les noyaux gris centraux
noyau caudéputamen
palliduminterne = GPi
externe = GPe
noyau sous-thalamique
substance noire (le plus gros noyau du mésencéphale humain)
dorsale = pars compacta
ventrale = pars reticula
parties effectrices principales“néo”striatum
paléostriatum
mésencéphale
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CORTEX CÉRÉBRALaires: sensorielle, motrice, d’association et limbique
voie indirecte
pars reticulaSubstance noire
Palliduminterne externe
voie directe
Noyau caudé Putamen
Thalamus
e
r
t
ntro
v
la
é
I
al
noyau sous-thalamique
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cortexcortex moteur
moelle épinière
faisc. pyramidal
système moteur latéral
N rougesfaisc. rubro-spinal
système moteurventromédian
Noyaux réticulaires
colliculus sup.vestibulaires
faisc. vestibulo-spinalfaisc. tecto-spinal
faisc. réticulo-spinal
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ASPECTS PRATIQUES
LE DIAGNOSTIC PRÉLIMINAIRE LE DIAGNOSTIC SPÉCIFIQUE LA CORRECTION (2 PHASES) LA VÉRIFICATION
L. O. O.
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INSTALLATION DE LʼINHIBITION
CRÉER UNE DIMINUTION DE VIGILANCE VISUALISER LE MOUVEMENT RESSENTIR LES ZONES MUETTES ASSOCIER UN RÉFLEXE
L. O. O.
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INSTALLATION DE LA CORRECTION
CRÉER UNE DIMINUTION DE VIGILANCE VISUALISER LE MOUVEMENT RESSENTIR LES SENSATIONS PROPRIOCEPTIVES RATIFIER CHAQUE RÉUSSITE METTRE EN SITUATION RÉELLE
L. O. O.
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