4
ia>.- ise-CâlUwV rre.SSilns* m o V p Impératrice, au procédé nran(8, sans ma. i iTAiimR, imateursdca direetenunt) Ë$. ide étendue, g les prix do ^mc dans les de 30, CO et Samedi 5 Avril 1802 II'’ 14. •- 5 2 “' aniléc. pRi% ni-: i/ARO^xKRinKK'ri fou. VttL. Pui>. tB Dil iioR< PO-DBrABTCMRIiT | ( Su moil. rsix DRS IWMRRTlOIVt»! ANNONf.KS JUnifîHIRRS, 20 rrn f la lini ANNONCPS D1VKRSKS, ici ANIVOIVCES JUDICIAIRES. - ---------------------------------- . Journal .partàh tous les Samedis. SINLtS. Dans sa séîincc iln 29 mare le Séiial a délibéré sur denx pciitions importâmes A des litres divcre. i.a première, euii* ceninnllii médecine vélériiiairc cl ruiilllédcsn |irop:ig:i. Iioq dans les campagnes, a été renvoyée an miiiislre do Ingriciilinre. La seconde. rcl.itive A la Inidc <807, sur I mléréi de rargenl, a été écarlée par rnrdre du jour, en lani qu’elle demandail la suppression do Ionie pénulilé conire rusiire. ci renvoyée au bureau des rcnscignemonis pour 1.1 parlic qui so rapporic au.x garanties réclamées par le «oniinerce cl par Mes maisons de banane elles- mêmes. ' 1 iMp gt—, kMigM,«CN* B, gaata ^ prâditit , 38 e< 40. ialle, 33. AnOUE , leur. o n t e t b*giéMH]«e> a ravienl; f.itdU* Eeftn, il e«l antr «a, fcte., en nn mt« aigre anglaU 4’êir ' lAer par le ComcP U Halh, 33; l'E lrM ier. SNlEtl, 9m S8SE. AVOtf* ORGR. 10 DO 00 7010 00 1)010 08 87 10 00 U O ll 13 11 0010 HLGN1KR Une nouvelle imporianle csl arrivée du Mexique par I» voie de Londres. Elle porle la dalc de la Vcra-Crux, el mcl a néani, d nu seul coup, luules les suppositions précédem ment formulées, A propos des négociations qu’on savait avoir- été ouverles entre les puîssanccs alliées, au suie! <1 une marche sur Mexico. « Le président Jnarez, dit la dépficho. a ratifié lu cnii. vonlioii ranulue avec les commis-snires alliés A Solidad. Les Iroupes françaises et espagnoles spnl parties pour Tcliiacan De^i«nmiyRlUyiipTf'ffiUnrnprR]en harquer. négociations commenceront le I" avril A Cri- zami. On s ciitcnd A une solution pacifique. Des garanties surOsantes pour I aveinr seraient obtenues. . Lw aiïaircs du Mexique viennent de reprendre subite- incnl le dessus dans les préoccupai ions du monde politique p.msien. Une noie publiée par le .Wo/ii/curconllrme la non- vellç <1 une convention pacifique iniervc-nuc entre les géné raux I nm et Dobiado; mais cette cpnvcntioii n’a pas été approiivre par le gouvernement françai-s. Un désaveu vient d être inflige A l’amiral Jiirien de la (ir.ivière. dent lés nou- voire politique.^ ressent. Voici la noie oniciellc • . Les joiiriiaux espagnols préteiideiil que le gouverne- » meut de I Empereur a demandé au cabinet de ALidrid le . rappel du général Priiii. Cette nouvelle est entièrement.. • çoiitrouvée. Le gouveriieiuent de l’Empereur s’est borné • A désapprouver la convention conclue avec le génér d » mexicain Doblndo par le général Prim, et acceptée en- » suite par les pl- nipoteiitiaires des puissances jdliées • Piirce que cdte convciilloii lui a semblé contraire à lu >• dignité de la France. . Eu ronséqiicnce, M. de Saligny a été seul chargé des » jdcms pouvoirs pnlilitpies dont le vire-amiral Jiiricii do « il braviere était revêtu, el cet offieler général » reçu - I ordre^ de reprendre .siinplemem le ce de » la division navale. > — I.e Jfont/eur unirerM /a publié dimanche matin un rapport adressé A rEiiipereur par M. Ilareebo et donnant le Romple-rcndii des Ira.vaiix du ronscll d'Elal detuiis le mois de janvier <832 jusqu'au r>l déeenibi c 18110. Dans le cours de ces neuf années, le conseil d’Etala élu- ( lé 3.18 projets do loi d iiilérôl général et <.4Üi) projets d intérêt local^ ou particulier. Parmi ces projets. 8 ont été rctlru* ou ajournés sur la proposition du conseil. La discussion de ce.s projets devant le Corps législ tiifa düiiiié heu A la préseiitntitm de I.IOÎ) .iinendeinnils- .»9 on! été adoptés, 258 modifiés. 59(1 rejetés, t.cs aineiiile- nmnts se répartissent lrf« inégalement sur les lois volées dée»^^ ‘le ce.s dernieres ont passé sans être amen- « S^néralc du conseil a examiné, en onire 7,02o projets de «lécret cl émis 428 avis. Au «mtfliilieiix, le conseil a jugé 8.8.19 pourvois: t.1.19 ont été accueillis, en totalité ou en partie; 4,2ii<> oit êié rejetés II est iieut-être curieux de dunncr ici la nninen- clature en cliitn'cs des actes de l’aulnrilé qui o:il été l'occn- 8I0D de pourvois : . pécrels impériaux : « 0 . Inllrmré 39, confirmés 119. DéciHipns minlslériclle8:f)59.lnllrinésl70,conllrmés383 . • *52. Infirmés « 3 , confirmés 137. : 7.228, D|2rs!nns de juridictions diverses : 218. Infirmés 133 confirmés 83. ArrCti^ de sous-préfets et maires : 0. Infirmés 4. con firmés, 2. EiiOil, rénilniiir.ilion iIb ralln slnlisliaiio roiisinl» niiVn neuf ans i09,4:>8 pélilinns nul litû ndcessées à I PPuni-rcui' • sur ce [lombrc. 01.089 oui élé class •r.s purcuicul cl .simple' ment ; les antres ont été l’objet de rappurls ou du l'envois aux autorités compétentes. — Afin d’alléger lc.s charges du Trésor et d’entrer dè-s A présent (lans les vues d’économie qui président A l’ét.nblis- sèment du budget de <803, l’Empereur vient d’ordonner I une réduction de 52,000 hommes sur l’eirerlif de farinée ' active, le licenciement des <01* et 102' régiments de ligne, et l>i vente do 2,200 chevaux. (Moiiiiciir universel.) MonUeur lait connaître que les négociations commer ciales engagées depuLs quinze mois A Hcrlin entre la Franco «lia Prusse, agissant ai de Zoliverein, viennent d’a- boiitir A une heiireiisç conclnsioii. Les plénipotentiaires des (leux pays ont paraphé samedi un traité de commerre, un traite de navigation, nue convention pour la garantie réci proque do la propriété littéraire et artistique, cl enfin un arrangement relatif au service interiiatioiial «les chemins de fer. Ces divere acte.s vont être soumis immédiatement A lapprobation dos Etats faisant partie do ruiiiuii des duiiaiics allemandes. 1,0 .«oiii/cui- nous apprend qno lo dornüld cnire lu Confi. dcnihon germanique el le Danemark ayant de nouveau élé porti, devant 1a diète de Francibrl, A propos des dépêohes a(trc.>*sees, le <4 février, au gouvernement dunois par les cours d Autriche et de Prns.«e agissant comme mandalairos îi» î“ ««»»!lHsions de.s commissions uc ta (llcle, conformes aux dcmande.s des deux piiis.sances otü été ndoplre.s A l’nnaïuiiiité. Iæ baron Ibilow, pténlpo- lentiaire du Hnislein cl du Lauenbourg, a immédiatement r.m i r. ' ?!' ■1""' ‘‘V “ “"'"■'T'Il. MUII'O la solulion de |-,is- senibliSe pldnièrc qui censaeroi ail lo principe d'inlorvenlion de ‘■“'.'l'S‘l';ralion ilaiis les eirairc» inlérienres .L.éa'..''' i'Ia'-à. par les Iraités inlernaliunui» européens, on deiiors de iu eempélenee de i'AMoinaone. au prolecelc do la ““ “'“ •'J''” ,» asl née à builaiiie pour rorevoir v S r ï l do iTcrUn Los dépéciio.s de N ew -ïork, 15 niai-s, no sign.iiriil aueun nouvel engii^gcment, mais l’opinion la plus acci-éditéc était que les confédérés ii’aliaudoiineraieul pas la Inttesans Irn- 1er lin effort suprême. On disait que l’évînmalmn de Ma- nassas n’avait eu lien que dans nn tml slralégiqim, et W jminiaux de Ncw-York admiraient là relrailc d» l’année coiifcdérec du Polomae, qui a opéré son nionvonionl sau» être attaquée et en cmportaiil loii.s ses canons. Uesl le gé nérât Beaiiregard qui a prescrit févacnalion el dirigé loi:- tes les opérations (le l’armée, il devait s’arrélcr à Itippa pour faire face A I ennemi. On armoncail la noininallou de (jegéiiérel conimu commandant en «iief des troupes coiifé- déréas. U s derniers incidents marilimes ont iMmelé fat- lenlKin du congrès de Washington sur la fiollo cuirassée (jui rient do donner de si terribles pivuvos de l ofilcacilé (leson action. I.a commission du cungrès qui c.sl ehar-'éc d>-R affaires navales vient de projmsor û l’assemblée la i n struction de tiuiivcaiix bâtimenls cuirassés. -- Le Moniteur de VArmée a reçu des nouvelles «le Co- fhmchme. Ces nouvelles, datées de Saigon du 15 février apprennent un fait cnriciii : • L’Empereur Tu-duc a rendu, le 9 Janvier, nn édit condamnant à mort les six généraux annamites qui rom- mandaieiit les troupes que nous avons battues pendant la campagne de .üieii-lloc, mais par reconnaissance pour leurs anciens services, il les a autorisés A se donner env- mêmes la mort en public. » Quatre de ces généraux se sont ouvert le ventre en presoncc de leurs soldats; les deux autres ont désobéi aux ordres du souverain et se soûl sauvés dans le l.aos Un deuxieinc ctdit les a déclarés Iraiires nt les a rayés oux et leui-s fainijlrs, du nombre des vivants, c’e.s|.à-dirc que, d’a- l’îp* annamite, ils sont mis au rang des aninianx. L Empereur a remplacé ces généraux par six de ses paren ts sur la iiilélitê desquels ü pont compter d’nnc manière ab solue. Il a prescrit A ces dcrniei-s de faire évacuer par .sas troupes les provinces que nous orcupoas; do concentrer toute l’armcc annamite A Mia-Thrung, poinl situé sur la roule de Hué, A quarante kiloniidrc-s de notre frontière; (le ne plus nous allaquor, mais de défendre sj capitale (lan.s le cas ou nous aurions l'iniciilion de suivre la voie de terre pour aller l'assiéger. » C est t.iils, ajoute le .iloiiileur de l'Armée, prouvent que l(3s Annamites, bore d’étal de reprendre l’olfensive, nous abandomienl A l'avenir, d’une manière absolue, et sans aspmr de relonr, tonte la basse-CorhincInnc, qui csl li pins rirhe cl la plus belle partie de l’ompirci d’Annam. On lit dans h; Moniteur de l'Armée : * I. Empereur a décidé que les militaires de la ligne, li bérables en 18!52, aelnelli-mimt sons les «Irapeaiix, dans Ions les eo!'ps de l'intérieur, de fAIg.'n ic et de l'Italie, se ront iinm.! It.iteineiii renvoyés dans leurs l'.iyeis cl rayés «tes-conlioies do leurs corps pour être inseriis sur ceux de la rései've. » La même ine.«nre sera appliquée A une parlic des mi litaires de la garde impériale liln r.d»les en 1862. » Les honinies libéraides 0111862, qui'sont en congé, passeront ég-ilémenl dans la réserve Bl. le niiirérlial U.indon, ministre do l.i guerre, a, par - j,. II. ,1,1111.111,11 ii.imiiMi, m im sire uo t.i giicrru, a, p ar ntic circulaire du 29 mars, porté la déci.sion impériatu A des antiirllés mililaircs cl civiles. ■ S Esc. a rappelé en même temps le.s diverses caté gories fie militaires, auxquels, suivant l’usage, l’envoi dans a ivserve n était pas apjilicable, tels que, entre autres, les ^engages, les engagés volontaires après libération et les -'cinplaçans par voie adininisirntivc, qui servent (lans les condiimiis des lois du 26 avril 1835 et du 24 juillet <869. » Quant aux sous-ofiiciers, caporaux oii brigadieis et sold.ns il elfie, libérable.-: en 1882. iis seront, au m oment de leur dcparl, icmpbirés dans les corps. » Il résulle du rapport de M. le comte do Germiny que. dans le cours de l’exorcicc 1861, les opérations do la Uni- élevées A 6 milliards 336 millions t>!to,OOu I r . An 30 janvier d(i colle aimée, la n.inquo de France avait en circu'ation 2 millions 700.322 billets représimtaiit une somme de 785 rnilli<>ns <3<.90!) fi-. Sa réserve métallique étail de .)I8 millions 398,000 fr., dont 8.1 initiions 686,000 A lans cl 252 millions 710.090 dans les .siiccmsalos. La Binqne a détruit, pcml.mt I exercice, 753,136 billets don nant un total de 526 millions 971,309 IV. i> tel-:gra)ibiqiie de Turin, m-indn que M. Itallazzi a amioncé A la f.b.imbre tles députés iiiie les mimsIiT.s Cordova. Mancini et pnggj avaient donné leur duinission. I.c gém-rai J.icques Ditrando est nommé nii- nis rc dc;i .illalivs élrangèros. el le .sénateur .Mitcucci, mi- inslrc de I m.strnciion publique. Jl. Ilaltazzi conserve pour Ini-meme le portciciiilie do l inlérirur. et prcii I l’Intérim un ministère de grâce et jnslire po-ir quelques jonr.s seu lement, en aliondani <]Mü le député nommé A ce posto ait term iné quelque.^ alfaires (»arlic:il ères. — La (Paire de .\l. Mirés a élé appelée lundi, A dix heures cl donne, devant la cinir de Douai Une foule considérable se pressait dans renecinlcde la première eh.imbre. Le pré toire était rempli fie magislrats, d’avocats en robe et de joiiclnninaircs. M. Pinard, qui a commencé A dirigar fins- trm iinn, occupe le siège du ministère public, a.sslslé de W. .S orcrcttfi. premier avocat général. M. le président Hanel fait le rapport de falfaire. L'altitude de M. Mirés no re.ssemblt! en rien A celle qu’il eut à Paris devant le tri bunal correctionnel ctA lacour.il es! calme et réfléchi. Il parcourt des brochures el s'onlretieiil avec MM. .Nou- gier et de Sèze, ses défenseurs. Pour e.vlrail cl rédaction : 12. R E G M E f i. HODÏEILES DEMTESIEHT4LES. BAçbicr <cIfTR;rAplii(|iieft. — «K adonnitires- 8airniiniérair«M. Arw. — Un examen pour l’admission do Stationnaîre.s- Suiiunuéraires dans l’udminislralioii des Lignes télù-na- plnquc.s aura lieu, le 19 mai 1862. li.iii.s les villes de Paris OAT H’AROlViVB $ A Senfli, au Lum n du Journal, place de fHA. lil.<t(vXij|e; . A raril, dira M. li.VVAS, rue Jran-Jar-qn.-* Rini«imit, 5 , ot chei Nfaiieura MFFITE-RUI.MKn et Eomp.. ntacc Je la tkMirar, 8} — CI «-lie* le* i.iliraires il:i ucparteinrDt. ' Clarifie 'larsoille, Lyon. Strasbourg Les candidats deyiont se faire Inscrire A la Préfeelunr “ù ils résident, et produire lc.s pièces ci- l" Demande indiquant lavPlcdans laquelle ils dési- ront (’oncoiirir; , 2“ Acte lie naissance dûment légalisé; (.crtifical de bonnes vie cl mtenrs li'g.ilisé* 4“ Cerlilicnt constatant la libirulion d •llollive du ser-’ vice inilitaii-e, pour lc.s candidal.s qui, en raison (le leur Age, devront avfiir satisf.iit A la loi snr7o ^ rccrulcmenl de l’aiinée; 5" Diplômes conslalant les grade.s mii-vcrsitaircs nue . les randidats auraienl obtenus. D.ms le déparicmeni de l.i Seine, rm.s«!riplion cl le flénôl dc.s pièces auront lieu à'Ia Direction générale des l.igncs télégraphiques ( uoreau du rbrsomxel), rue de Grenelle- Sainl-GcrmA'n. ii" 103. Les domaiides l’aile.s avant la publication du présent avis devront être renouvelées. Les registres d’inscriplion, ouverts dans les Préfectures el A Pans, seront clo.s le 15 avril, à quatre heures du soir Pour être admis à concourir. Ie.s candidats devront être Agés de dtx-huU ans au moins et do riiifji-huU ans au nlus Celle limbe (l’Age est recnléo jiisqn’A Irenle an.s imtir les nspiranlsqui compleralent sept aiw de services effectifs' dans 1 armée ou dans renseignement. L’examen portera sur les matières dont le détail suit • l' Ecriture très-lisible; 2" Hédacilon correcte; 3’ Des.sin linéaire ; 4“ .yiiinnélique, jiisqucs et y compris les proportions* iSoijons élémentaires de géométrie, de physique el de chimie, en co fpii concerne .seulement la com position des piles élccti*iqnc.s ; O" Géographie. I.a connais.sance de l’une ou de plnsiem*s des langues suivantes t VAllemand, VAnylais, \ Espagnol et Vllalien sera prise en grande considcralion pour le classement dos caniliduls. lisseront informés individuellement de leur ,idmis.sion ou non-admission A l'examen, d ix jours au moins avant l’é poque fixée par l’ouvcriuro du concours. la? surnumérarial aura lien exclusivement A Paris MM. lc.s M.iircs sont iiivilé.s à dtinnor la plus grande nu- bhcile an présent avis. Bcauv.iis, le 29 mare <862. Le Préfet de l'Oise. Lêox tblEVREAU. —- Par une décLsion de !U. le coirseillcr d'Etat, direcIciiV général de I admiiirslration des doiianc.s iq Ocs contribu tions indirectes, en date du 26 lévrier flernicr, M. Caffln ivtievcur de (Jenxrèmu classe A Itcl?., a été élevé A la nre- miere classe de son grade sur place. - l.es 1" Cl n-iHire.iux .l.i norps.|,Cpisl,,lit ™ i nnmraiS ■ M.M. Lemaire cl baron de Gorbcron, dépiilLS de fOisd membres de la commissi.m relative à une imposition cx- traorftniaire. pour le i!é[»;»rleinenl de l’Aisne. M. t.emalrc a tic appelé a présider celle commission. pans l’orgamsaliüu du 31 mars dernifu*. 51. Lcmaire (Oisf») a etc nommé pré.sidonl du !" bureau, au Corns-Lé- gislatit. ' . opérations des conseils de révision pour la classe (^cl80l commenceront le 22 avril courant, et la réunion des listes du contingent cantonal .sera cirecluée le 3! mat courant. Le coiilingcjit du département de l’Oise est de 1,007. sur 3,2!o inscrits. Nous-ferons connaître nltérienreineiit l’ilinéraire quo suivra le conseil de révision de l’Oise. Par ordoiirian'‘e de 51. le garde des sceaux', ministi'o .secrétaire d’Elal an déparlenient de la justice, eu date du lU mars dernier, M. Jacquin do Cassière.s', conseiller A la cour imnénale d’Amiens, a été nommé pour présider les .assises du deuxième trimestre de <862 dans le département de I Oise. iiilrodnilcs dans le règle ment (le 18o,i, roialil aux courses de chevaux. FEUILLETON, (18) EDMÉE. laTi.î® idws n’avions pas ou ensemble dfli!« a çonlrurieté.,. Ahl si lit savais comme il est méiio . 11 i? tomme deux oiseaux dans lo •neino nid... Biais lu ne m écoutes pas! — Pardon... — Je n’abuse pas de te» moments, au moins? — Duo pareille question... — Gest que je ne te trouve pas comnicA l’ordinairo... — Tu plalsanto.s... Vrai. — Gontinue, belle querollense. — Tu ne me donnes pas tort?... — Oh!... — Merci. — Et, ce qui .njoiitc encore A mon mnlhcitr... — A ton malheur?... •■inBe mariage fut ce qu'on appelle un mn- — Do raison. — A peu près. liirJ po*’'illc, iiiaLs je ne rcs.sentais pas pour blw. f ^ entraînement qu’on appelle do l’amour. Hé an7 .V« fait, mais, depuis 9‘tcjni appris A lo connaîtro... — M. Ucrvlllo? défiTnîl’ ®®v‘*l®*** (car il a des qualilés aussi, s’il a des méchant)... ville? appris A la connaître, — Bl. lier- — Que le dirai-je!... — Achève ! — Je l’aime! — Ahü! — Ce cri?... — Chère’Anaïs! Tu me croyais ta rivale! — CrAcel — Et lu étais jalouse... ^ Pitjé ! — Qui donc croyais-tu que j’aimais? — Ne m’interroge pas... — Ah! Bl. riantero.sc... — Oui... — Ah! ma pauvre Edméc... — Pardonne-moi, — Tu l’aimes donc? Cest plus fort que moi... J’ai lenconlré, pour la pre mière fois, ce Jeune homme dans les environs de Dieppe, à une fête de village, où j’ai dansé avec lui; puis je l'aiWvii A Evrciix, A l’égiise cathédrale, le jour où nous qnêlions ensemble pour complaire A M"* la vicomtesse de Dellc lslc. Je le retrouve aujourd’hui premier commis de mou pèi'c... DIS, ne Tois-tu pas là le doigt do Dieu, nulremcnl corunient expliquer ce rapprochement, qui devient chafiuc jour plus Ultime... J’ai bien lutté pour cha.«.scr son sonvcnii- de mua cmur; j ai été longtemps avant de m'avouer que je l’aimnis; mais 1 amour a élé le plus fort... — Et Ion fiaiicé?... — l'urlons de lui! ^ Je comprends, uiaiutcnanl, tou air einbariMssé. con traint... J éloiif^isl oh! la jalousio! comme elle tlécltiro lo cœur el reild une femme cruelle, même envers celui qu'elle aime... Si tu savais... — Je im veux rien savoir, pauvre enf.inl .... Pins lartl lu m ouvriras ton coeur, eumnio je t'ouvre aiijqjinriiuih: mien, et nous pleuroron.s ensemble, car lu ne poux être à lui... .le lo sais, (>t c’est ce i|ui cause mon désespoir. .Mais cnnlmnc .... Embras.«e-ini)l auparavant .... Ali! que tfui (leoiges ,n bien lait do le ipioreller, que Vftus avez bleu fait de vfiiis disputer, mes amoUrcux... el que je le suis recon- nai.--siinlc d (.trc venue me eonler tes petits chagrins, car cette grosse quercile n’est qn’iiii nuage rose dans le ciel de votre amour! — Un nuage... Bas autre (diose... Vous ne vous on aimerez quo mieux désormais... I.cs vrais amants sont tuiijoure en guerre... — Biais je connais Georges, il ne voudra pas revenir le premier... — El il aura raison. i — Par exemple ! ' — I.’hommc doit revenir... le second. — El le premier? — L’autre époux, — la femme, la compagne, l'amie. — Du tout, madeinfiisL'Ile. — ("est comme cela. — G’cst A celui qui a tort A faire lo premier pas. i — C’est A celui cpii a raison... et comme la raison est do ton colt... elle doit lo porter à revenir la première... — Go n’est pas juste. — C’es| la justice de l’Amour cl c’est la bonne. — Quoi! il me faudra reconnaître des torts que iè n’ai pas»... \ I 4 — O sl lA la gramlour du riMe qui t’est réservé, — Mais il se moquera <lo moi... — li a Iron de cœur pour cela. — D’abord, il faudrait savoir s’y prcndro. — Rien de plus facile. — Rien de plus, f.icilo. — Rôle de lionte, je me sens rougir A l'idée seule de lo rnnphr! - Quel plus joli masque, pour niio femme, qu'un \ t masque... de rongnur! — Je n'oserai jamais. — Tu oseras. — J'aimerais mieux mourir. — I.a iim. l lie veiil pas rte eeii, qui .eiilciil d'elle. Voici ta leçon. Ecoule bien Aussitôt que tou mari sera de re tour, tu iras au-devant de lui, len yeux baissés, — comme une belle supplionic: et, arrivée près de lui... — (Jue forai-je! Je l’attendais là? — Tu te .‘etterasàson cou et lui donneras un baiser, non qn nn, -- et lu attendras qu’il le le rende... Et il te lo rendra avec usure... — Ju voudrais bien te voir à ma place... Si j’étais mariée et que j’eusse des torts A reproclicr gcr de lui'" ’ comme je iii’y prendrais pour me veii- — On dirait que lu as lu tout cela dans un livre. — 9.^1; livre... de mon ciciir. — Si j’avais su cela. Je ne serais pas venue et t'aurnis lai8.sce souffrir de ta jalousie... Jalouse île sn cousine' Fi' Et qui donc t’avait fait supposer que j’aimasse M. Vülentiuf — il n a valsé huT qu'avec toi... — Ah! c’e.st possible... Il valse très-bien, A propo.s. — Et puis, en nous quittant... — Ah! oui, je lui ai adressé la parole cl j’ai fait tout liant la remarque qu’il demeurait de notre côté... — El que vou.s étiez voisins. — Presque... voisins. — Tu as dit voisins... seul. Seul... avec nu sî... — Tu m’ciiuuics avec tc.s-malices... — Pauvre (iiplomalc d’amour! K.s(-rc que, si j’eusse mme co jeune homme, je lui aurais parlé comme je lui al parti-... devant iiion mari et dix témoins? — Qui sait? ,, Etuctu JOURDAIN.. (La suilo au prochain numéro.)

Ë$. - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1862_04_05_MRC.pdfmois de janvier

  • Upload
    others

  • View
    0

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: Ë$. - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1862_04_05_MRC.pdfmois de janvier

ia>.-

ise-CâlUwV

rre.SSilns*

m o V p

Im p é ra tr ic e , a u p ro c é d é

n ran (8, sa n s

ma.i iT A i i m R ,imateurs dca direetenunt)

Ë$.id e é t e n d u e , g l e s p r i x d o ^m c d a n s l e s

d e 3 0 , CO e t

Samedi 5 Avril 1802 II'’ 14. • - 5 2 “' aniléc.

pRi% ni-: i/ARO^xKRinKK'ri

f o u . VttL.

Pui>. tB D il

iioR< PO-DBrABTCMRIiT |( S u m oil.

r s i x D R S IW M RRTlO IVt»!ANNONf.KS JU n if îH IR R S , 20 r r n f la lin i ANNONCPS D1VKRSKS, ‘ici

ANIVOIVCES JUDICIAIRES.- — ----------------------------------

. Journal .partàh tous les Samedis.

S I N L t S .

D ans sa séîincc iln 2 9 m a re le S é iia l a d é lib é ré s u r d en x p c iit io n s im p o r tâ m e s A d e s l i t r e s d iv c re . i.a p re m iè re , euii* c e n in n l l i i m édec ine v é lé r ii ia irc c l r u i i l l l é d c s n |irop :ig :i. Iioq d a n s les cam p ag n es , a é té ren v o y ée a n m iii is lre do I n g r ic i i l in r e . La sec o n d e . rc l.itiv e A la I n id c <807, s u r I m lé ré i d e r a r g e n l , a é té é c a r lé e p a r r n r d r e d u j o u r , en la n i q u ’e lle d e m a n d a i l la su p p re s s io n d o Io n ie p é n u lilé c o n ire r u s i i r e . c i ren v o y ée a u b u re a u d e s rcn sc ig n em o n is p o u r 1.1 p a r l ic q u i so r a p p o r ic au.x g a ra n t ie s ré c la m é e s p a r le «on iin e rce c l p a r Mes m a iso n s d e b a n a n e elles- m êm es . '

1

iMp

• g t — ,k M ig M ,« C N *B, gaata ^

p râd it it

, 3 8 e< 4 0 . ia lle , 3 3 .

AnOUE,l e u r .o n t e t b*giéMH]«e> a r a v ie n l; f .i td U * E eftn , i l e«l a n t r «a, fcte., e n n n mt« a igre ang laU 4 ’ê ir ' lAer p a r le Com cP

U H a lh , 3 3 ; t» l 'E l r M i e r .

SNlEtl,

9 mS8 S E .

AVOtf*ORGR.

10 DO 0 0 7 0 1 0 0 0 1 )0 1 0 0 8 87 1 0 0 0 U O l l

1 3 11 0010

H L G N 1K R

U ne n o u v e lle im p o r ia n le c s l a r r iv é e d u M exique p a r I» vo ie d e L o n d re s . E lle p o r le la d a lc d e la V cra-C rux , e l m cl a n é a n i, d n u seu l co u p , lu u le s les su p p o s itio n s p ré c é d e m ­m e n t fo rm u lé e s , A p ro p o s d e s n ég o c ia tio n s q u ’o n sav a it avoir- é té o u v e rle s e n t r e les p u îssa n c c s a llié e s , a u su ie! <1 u n e m a rc h e s u r M exico.

« L e p ré s id e n t J n a r e z , d i t la dépficho . a ra tif ié lu cn ii. v onlio ii r a n u lu e av ec les com m is-sn ires a ll ié s A S o lid a d . Les I ro u p e s f ra n ç a ise s e t e sp a g n o le s sp n l p a r t ie s p o u r T c liia c a n

D e ^ i« n m iy R lU y iip T f'ffiU n rn p rR ]enh a r q u e r . n ég o c ia tio n s c o m m e n c e ro n t le I " a v r il A C r i- zam i. On s ciitcnd A u n e so lu tio n p ac ifiq u e . Des g a ra n t ie s surO santes p o u r I a v e in r s e r a ie n t o b te n u e s . .

L w a iïa irc s d u M exique v ien n en t d e r e p re n d re s u b ite - incn l le d e ssu s d a n s les p réo ccu p a i io n s d u m o n d e p o litiq u e p .m sien . U ne n o ie p u b lié e p a r le .W o/ii/curconllrm e la non- vellç <1 u n e c o n v en tio n p ac ifiq u e in iervc-nuc e n tr e le s g é n é ­rau x I n m e t D ob iad o ; m a is ce tte cp n v cn tio ii n ’a p a s é té a p p ro iiv re p a r le g o u v e rn e m e n t françai-s. Un d ésav eu v ien t d ê t re in flige A l’a m ira l J i i r ie n d e la ( ir .iv iè re . d e n t lés nou- voire politique.^ r e s s e n t . Voici la n o ie o n ic ie llc •

. Les jo iir i ia u x e sp ag n o ls p ré te iid e ii l q u e le g o u v e rn e - » m eu t d e I E m p e re u r a d e m a n d é a u c a b in e t d e ALidrid le . rap p e l d u g é n é ra l P r i i i i . C ette n o u v e lle es t en tiè rem en t..• ço iitro u v ée . L e g o u v e riie iu en t d e l’E m p e re u r s ’est b o rn é• A d é sa p p ro u v e r la co n v en tio n c o n c lu e av ec le g é n é r d » m ex ica in D oblndo p a r le g é n é ra l P r im , e t a c c ep tée en - » su ite p a r les pl- n ip o te iit ia ire s d e s p u issan ces jd liées• Piirce q u e c d t e co n vciillo ii lu i a s e m b lé c o n tr a ir e à lu >• d ig n ité d e la F ra n c e .

. Eu ro n séq iicn ce , M. d e Sa ligny a é té se u l c h a rg é d es » jdcm s p o u v o irs p n lilitp ie s d o n t le v ire -a m ira l J iir ic ii do « il b r a v ie r e é ta it re v ê tu , e l ce t o ffie le r g én é ra l » reçu- I o rd re ^ d e r e p re n d re .siinp lem em le c e d e» la d iv is io n nav a le . >

— I.e J fo n t/e u r u n ir e rM /a p u b lié d im a n c h e m a tin un r a p p o r t a d re s s é A r E i i ip e re u r p a r M . I la reeb o e t d o n n a n t le R om p le-rcn d ii d e s Ira.vaiix d u ro n sc ll d 'E la l d e tu iis le m o is d e ja n v ie r <832 j u s q u 'a u r>l d éeen ib i c 18110.

D ans le c o u rs d e c e s n e u f a n n é e s , le conse il d ’E ta l a élu- ( l é 3.18 p ro je ts d o loi d iiilé rô l g é n é ra l e t <.4Üi) p ro je ts d in té rê t local^ o u p a r t ic u l ie r . P a rm i ces p ro je ts . 8 o n t é té rc tlru * o u a jo u rn é s s u r la p ro p o s itio n d u conse il.

L a d iscu ss io n d e ce.s p ro je ts d ev a n t le C orps lég isl t i i f a dü iiiié h e u A la p ré se iitn titm d e I.IO Î) . i in e n d e in n ils - .» 9 on ! é té a d o p té s , 258 m od ifiés . 59(1 re je té s , t.cs a ineiiile- nm n ts s e ré p a r t is s e n t lr f« in é g a le m e n t s u r les lo is volées d é e » ^ ^ ‘le ce.s d e rn ie re s o n t p a ssé s a n s ê t r e am en-

« S ^ n é ra lc d u con se il a ex a m in é , e n o n ire7 ,0 2 o p ro je ts d e « lécret c l ém is 428 av is .

A u « m tf liilie iix , le conseil a ju g é 8.8.19 p o u rv o is : t . 1.19 o n t é té a ccu e illis , e n to ta li té ou e n p a r t ie ; 4 ,2ii<> o i t ê ié re je té s II e s t i ie u t-ê tre cu r ie u x d e d u n n c r ic i la nninen- c la tu r e e n c liitn 'cs d e s ac te s d e l’a u ln r i lé q u i o :il é té l'occn- 8I0D d e p o u rv o is : .

p é c r e l s im p é ria u x : « 0 . I n l l rm ré 3 9 , co n firm és 1 19.DéciHipns m in ls lé r ic l le 8 :f )5 9 .ln l l r in é s l7 0 ,c o n l l rm é s 383

. • *52 . In f irm é s « 3 , c o n firm é s 137.: 7.228,

D |2 rs!n n s d e ju r id ic t io n s d iv e rse s : 218. In f irm é s 133 c o n firm é s 8 3 .

A rrC ti^ d e so u s -p ré fe ts e t m a ire s : 0 . In f irm é s 4 . c o n ­f irm é s , 2 .

EiiO il, ré n iln iiir .ilio n iIb r a l ln s ln lis lia iio ro iis in l» n iiV n n e u f a n s i09,4:>8 p é lil in n s n u l litû ndcessées à I PPuni-rcui' • s u r ce [ lo m b rc . 0 1 .0 8 9 o u i é lé c la ss •r.s p u rc u ic u l c l .sim ple' m en t ; le s a n tr e s o n t é té l’o b je t d e ra p p u r ls o u du l'envois a u x a u to r i té s c o m p é te n te s .

— Afin d ’a llé g e r lc.s c h a rg e s d u T ré s o r et d ’e n t r e r dè-s A p ré se n t ( lan s les v u es d ’éco n o m ie q u i p ré s id en t A l’ét.nblis- sè m e n t d u b u d g e t d e <803, l ’E m p e re u r v ien t d ’o rd o n n e r

I u n e ré d u c tio n d e 5 2 ,0 0 0 h o m m es s u r l’e ire r lif d e f a r in é e ' a c tiv e , le l ic en c iem en t d e s <01* e t 102 ' ré g im e n ts d e ligne,

e t l>i v en te do 2 ,2 0 0 c h e v a u x . (M oiiiic iir u n ive rse l.)

Iæ M onUeur la it c o n n a î t re q u e les nég o c ia tio n s c o m m e r­ciales en g ag ées depuLs q u in z e m o is A H crlin e n tr e la F ra n c o« l i a P ru s se , ag issan t a i d e Z o livere in , v iennen t d ’a-b o iitir A u n e h e iire iisç conc ln sio ii. Les p lé n ip o te n tia ire s d e s (leux pays o n t p a ra p h é sa m e d i un t r a i té d e c o m m e rre , un tra ite d e n a v ig a tio n , n u e con v en tio n p o u r la g a ra n tie r é c i­p roque d o la p ro p r ié té l i t té r a ir e e t a r t is t iq u e , c l en fin un a rra n g e m e n t r e la t i f a u s e rv ic e in te r iia tio iia l «les ch em in s d e fe r . Ces d iv e re acte.s vo n t ê t r e so u m is im m é d ia te m e n t A l a p p ro b a t io n dos E ta ts fa is a n t p a r t ie do ru ii iu ii des du iia iics a lle m a n d e s .

1,0 .«oiii/cui- n o u s a p p re n d q n o lo dornüld c n ir e lu C o n f i. d c n ih o n g e rm a n iq u e e l le D an em ark ay a n t d e n o u v eau é lé p o r t i , d e v a n t 1a d iè te d e F ra n c ib r l , A p ro p o s d e s d é p êo h es a(trc.>*sees, le <4 fé v r ie r , a u g o u v e rn e m e n t d u n o is p a r les c o u rs d A u trich e e t d e Prns.«e a g issan t c o m m e m a n d a la iro s îi» î “ ««»»!lHsions de.s co m m issio n su c ta (llc le , c o n fo rm es a u x dcm ande.s d e s d eu x piiis.sances o tü é té ndop lre .s A l’n n a ïu iiiité . Iæ b a ro n Ib ilo w , p tén lpo - le n tia ire d u H n isle in c l d u L a u e n b o u rg , a im m é d ia te m e n t r .m i r . ' ? ! ' ■1""' ‘‘V “ “ " '"■ 'T 'Il. MUII'O la so lu lio n d e |-,is- senibliSe p ld n iè rc q u i c en sa e ro i a il lo p r in c ip e d 'in lo rv e n lio n d e ‘■“ '.'l'S‘l '; r a l io n ila iis les e ira irc» in lé r ie n re s. L . é a ' . . ' ' ' i 'Ia '-à . p a r les I r a i té s in le rn a l iu n u i»e u ro p é e n s , on d e iio rs d e iu e e m p é le n e e d e i'AM oinaone.

a u p ro le c e lc d o la “ “ “ ' “ •'J''” ,» a s l née à b u ila ii ie p o u r ro re v o ir

v S r ï l d o iTcrUn

Los dépéciio.s d e N e w - ïo r k , 15 niai-s, no s ig n .iir iil a u e u n n o uve l engii^gcm ent, m a is l ’op in io n la p lu s acc i-éd itéc é ta i t q u e les co n féd é ré s ii’a lia u d o iin e ra ie u l p a s la I n t te s a n s I rn - 1er lin e ffo rt su p rê m e . On d isa it q u e l’év înm alm n d e Ma- n a ssa s n ’a v a it e u lien q u e d a n s n n tm l s lra lé g iq im , e t W jm in ia u x d e N cw -Y ork a d m ira ie n t là r e lr a i lc d» l ’a n n é e c o iifc d é re c d u P o lo m a e , q u i a o p é ré son n io n v o n io n l sau» ê t r e a t ta q u é e e t e n c m p o rta ii l loii.s se s can o n s . U e s l le gé­n é râ t B e a iire g a rd q u i a p re sc r it fé v a c n a lio n e l d ir ig é loi:- te s le s o p é ra tio n s (le l’a rm é e , i l d ev a it s’a r r é l c r à Itippa p o u r f a ire face A I e n n e m i. On a rm o n ca il la n o in in a llo u de ( je g é iié re l conim u c o m m a n d a n t e n «iief d e s t ro u p e s coiifé- d é ré a s . U s d e rn ie r s in c id e n ts m a r i l im e s o n t iMmelé fa t- lenlK in d u co n g rè s d e W ash in g to n s u r la fio llo c u ira ssé e (jui r ie n t do d o n n e r d e s i te r r ib le s p iv u v o s d e l o filcacilé ( le so n ac tio n . I.a co m m issio n d u cu n g rè s q u i c.sl eha r- 'é c d>-R a ffa ire s n av a le s v ien t d e p ro jm so r û l’a sse m b lé e la i n ­s t ru c t io n d e tiu iivca iix b â tim e n ls c u ira s sé s .

- - L e M oniteur d e V A rm ée a re ç u d es no u v e lle s «le Co- fh m c h m e . C es n o u v e lle s , d a té e s d e S aigon d u 15 fév rie r a p p re n n e n t u n fa it c n r i c i i i :

• L’E m p e re u r T u -d u c a r e n d u , le 9 J a n v ie r , n n édit c o n d a m n a n t à m o r t le s s ix g é n é ra u x a n n a m ite s q u i ro m - m a n d a ie ii t les t ro u p e s q u e n o u s av o n s b a ttu e s p e n d a n t la c a m p a g n e d e .ü ie ii- l lo c , m a is p a r re c o n n a is sa n c e p our le u r s a n c ie n s se rv ic e s , il les a a u to r is é s A se d o n n e r env- m êm es la m o r t e n p u b lic .

» Q u a tr e d e ces g é n é ra u x s e so n t o u v e rt le v e n tre en p re so n c c d e le u rs s o ld a ts ; les d e u x a u t r e s o n t d é so b é i aux o r d r e s d u so u v e ra in e t se so û l s a u v é s d a n s le l .a o s Un d e u x ie in c ctdit les a d é c la r é s I r a i i r e s n t les a ra y é s oux et leui-s fa in ij lr s , d u n o m b re d es v iv an ts , c ’e .s |.à -d irc q u e , d ’a- l’îp* a n n a m ite , ils so n t m is a u ra n g d e s a n in ia n x . L E m p e re u r a re m p la c é ces g é n é ra u x p a r six d e s e s p a re n ts s u r la iiilé li tê d e sq u e ls ü po n t c o m p te r d ’n n c m a n iè re a b ­so lu e . I l a p re s c r i t A c e s dcrn iei-s d e fa ire é v a c u e r p a r .sas tro u p e s les p ro v in ces q u e n o u s o rc u p o a s ; do c o n c e n t r e r to u te l ’a rm c c a n n a m ite A M ia -T h ru n g , po in l s i tu é s u r la

r o u le d e H ué, A q u a ra n te kiloniidrc-s d e n o tre f ro n t iè re ; ( le n e p lu s n o u s a l la q u o r , m a is d e d é fe n d re s j c a p ita le (lan.s le cas ou n o u s au rio n s l 'in ic iilio n d e su iv re la voie de t e r r e p o u r a l le r l 'a ss iég er. »

C e s t t.iils , a jo u te le .ilo iiileur d e l'A rm ée , p ro u v e n t q u e l(3s A n n am ites , b o re d ’é ta l d e r e p re n d re l ’o lfensive , nous a b a n d o m ie n l A l 'a v e n ir , d ’u n e m a n iè re ab so lu e , e t sa n s a sp m r d e re lo n r , to n te la basse-C o rh in cIn n c , q u i c s l l i p in s r i r h e c l la p lu s belle p a r t ie d e l’om pirci d ’A nnam .

On lit d a n s h; M oniteur d e l'A rm ée :

* I. E m p e re u r a déc id é q u e les m ili ta ire s d e la l ig n e , li­b é ra b le s en 18!52, aelnelli-m im t so n s les «Irapeaiix , d a n s Io n s les eo!'ps d e l 'in té r ie u r , d e fAIg.'n ic e t d e l 'I ta l ie , s e ­ro n t iinm .! It.ite ineiii renvoyés d a n s le u rs l'.iyeis c l ray és « te s -co n lio ie s do leu rs co rp s p o u r ê t r e in se r iis s u r ceux d e la rése i've .

» La m êm e ine.«nre se ra a p p liq u ée A u ne p a r l ic d e s m i­l i ta i r e s d e la g a rd e im p éria le liln r.d»les en 1862.

» Les h o n in ies lib é ra id es 0111862, q u i 's o n t en congé, p a s s e ro n t ég-ilém enl d an s la ré se rv e

Bl. le n iiiré rlia l U .indon , m in is tre do l.i g u e r r e , a , p a r- j , . II. ,1, 1111. 111,11 ii.imiiMi, m im s ire uo t.i g iic rru , a , p a r n tic c irc u la ire d u 29 m a rs , p o r té la déci.sion im p é ria tu A

d e s a n tiir l lé s m ilila irc s c l c iv iles.■ S E sc . a ra p p e lé en m êm e tem p s le.s d iv e rse s c a t é ­

go ries fie m ili ta ire s , a u x q u e ls , su iv an t l’u sag e , l’envoi d a n s a iv se rv e n é ta it p a s ap jilicab le , te ls q u e , e n t r e a u tr e s , les ^engages, les en g ag és v o lo n ta ire s a p rè s l ib é ra tio n e t les

-'c inp laçans p a r voie ad in in is irn tiv c , q u i s e rv e n t (lan s les cond iim iis d e s lo is d u 26 av ril 1835 e t d u 24 ju i l le t <869 .

» Q u an t au x so u s-o fiic ie rs , c a p o ra u x oii b r ig a d ie is e t so ld .ns il e lfie , libérable.-: en 1882. iis s e ro n t , a u m o m e n t d e le u r d c p a r l , ic m p b iré s d a n s les c o rp s . »

Il ré su lle d u ra p p o r t d e M. le co m te do G erm in y q u e . d a n s le co u rs d e l ’exorcicc 1861, les o p é ra tio n s do la U n i-

é levées A 6 m illia rd s 336 m illionst>!to,OOu Ir.

An 30 ja n v ie r d(i c o lle a im é e , la n .in q u o d e F ra n c e ava it en c irc u 'a tio n 2 m illio n s 700 .322 b ille ts re p ré s im ta iit u ne som m e d e 785 rnilli<>ns <3<.90!) fi-. Sa ré se rv e m é ta lliq u e é ta il de .)I8 m illio n s 398 ,000 f r . , d o n t 8.1 in itiio n s 686 ,000 A l a n s cl 252 m illions 710 .090 d a n s les .siiccm sa los. La B in q n e a d é tru i t , p cm l.m t I exerc ice , 753 ,136 b ille ts d o n ­n a n t un to ta l d e 526 m illions 971 ,309 IV.

i> te l-:gra)ibiqiie d e T u r in , m -indn q u e M.I ta lla z z i a am io n cé A la f .b .im b re tles d é p u té s iiiie les m im sIiT .s C o rd o v a . M ancini et pnggj a v a ie n t d o n n é le u r d u in iss io n . I.c gém -rai J .icq u es D itrando est n o m m é nii- n is r c dc;i . illa liv s é lra n g è ro s . e l le .sén a teu r .M itcu cc i, m i- in s lr c d e I m .strnciion p u b liq u e . J l. I la lta zz i co n se rv e p o u r In i-m em e le po rtc ic iiilie do l in lé r i r u r . et p rc ii I l ’In té r im u n m in is tè re de g râce et jn s l i r e po -ir q u e lq u e s jon r.s s e u ­le m e n t, en a lio n d a n i <]Mü le d é p u té nom m é A ce posto a it t e rm in é quelque.^ a lfa ire s (»arlic:il è re s .

— L a (Paire d e .\l. M irés a é lé a p p e lée lu n d i , A d ix h e u re s c l d o n n e , d ev a n t la c in ir de D ouai U ne foule c o n s id é ra b le s e p re s sa it d a n s re n e c in lc d e la p re m iè re eh .im b re . Le p ré ­to ir e é ta i t rem p li fie m a g is lra ts , d ’av o ca ts e n ro b e e t d e jo iic ln n in a irc s . M. P in a rd , q u i a co m m en cé A d i r ig a r f in s - t r m i in n , occu p e le siège d u m in is tè re p u b lic , a.sslslé d e W. .S o rc rc ttf i . p re m ie r av o ca t g é n é ra l. M. le p ré s id e n t H anel fa it le ra p p o r t de f a lf a i r e . L 'a lt i tu d e d e M. M irés no re.ssem blt! e n rie n A ce lle q u ’il e u t à P a r is d e v a n t le t r i ­b u n a l c o rre c tio n n e l c t A l a c o u r . i l es! c a lm e e t ré fléch i. Il p a r c o u r t d e s b ro c h u re s e l s 'o n lre tie ii l av ec MM. .Nou- g ie r e t d e Sèze , s e s d é fen seu rs .

P our e.vlrail c l rédaction : 12. R E G M E fi.

HODÏEILES DEMTESIEHT4LES.BAçbicr <cIfTR;rAplii(|iieft. — « K a d o n n i t i r e s -

8 a i rn i in ié ra i r« M .A rw . — U n e x am en p o u r l’ad m iss io n do S ta tionna îre .s-

S u iiu n u é ra ire s d a n s l ’u d m in is lra lio ii d e s L ignes té lù -na- plnquc.s a u ra lieu , le 19 m ai 1862. li.iii.s les v illes d e P a r is

OAT H’A R O lV iV B $

A Senfli, au L u m n du Jo u rn a l , place d e fHA. lil.<t(vXij|e; —. A r a r i l , d i r a M. li.VVAS, ru e Jran-Jar-qn.-* Rini«imit, 5 , o t c h e i N faiieura M FFITE-RU I.M K n et E om p .. ntacc J e la tkMirar, 8} — CI «-lie* le* i.iliraires il:i ucparteinrDt.

' C la rifie ‘'la r s o i l le , Lyon. S tra sb o u rg

L es c a n d id a ts d e y io n t se fa ire In sc r ire A la P ré fe e lu n r “ ù ils ré s id e n t , e t p ro d u ir e lc.s p ièces c i-

l" D em ande in d iq u an t l a v P l c d a n s la q u e lle ils d é s i- ro n t (’o n c o iir ir ; ,

2 “ Acte lie na issan ce d û m e n t lé g a lis é ;( .c rtif ic a l d e bo n n es vie c l m te n rs li'g.ilisé*

4 “ C erlilicn t co n s ta ta n t la l ib iru l io n d •llo llive d u s e r - ’ vice inilita ii-e , p o u r lc.s can d id a l.s q u i , en ra iso n (le le u r Age, d e v ro n t avfiir sa tis f .iit A la loi s n r7 o r c c ru lc m e n l d e l ’a i in é e ;

5" D iplôm es c o n s la la n t les grade.s m ii-vcrsita ircs n u e . les ra n d id a ts a u ra ie n l o b te n u s .

D.ms le d é p a r ic m e n i d e l.i S e in e , rm .s«!riplion c l le flénô l dc.s p ièces a u ro n t lieu à 'I a D irec tio n g é n é ra le d e s l.igncs té lé g ra p h iq u e s ( uoreau du rbrsomxel) , r u e d e G ren e lle - S a in l-G crm A 'n . ii" 103.

Les d o m a iid es l’aile.s a v a n t la p u b lic a tio n d u p ré se n t av is d e v ro n t ê t r e ren o u v elées .

Les re g is tre s d ’in sc r ip lio n , o u v e r ts d a n s le s P ré fe c tu re s e l A P a n s , s e ro n t clo.s le 15 a v r il , à qua tre heu res d u so ir

P o u r ê t r e a d m is à c o n c o u r ir . Ie.s c a n d id a ts d e v ro n t ê t re Agés d e dtx-huU a n s au m o in s e t do riiifji-huU a n s au n lus C elle l im b e (l’Age e s t recn léo j i is q n ’A Iren le an.s im tir les n s p i r a n ls q u i c o m p le ra le n t s e p t a iw d e se rv ice s e f f e c t i f s ' d a n s 1 a rm é e ou d a n s re n s e ig n e m e n t.

L’exam en p o r te ra s u r les m a tiè re s d o n t le d é ta i l s u i t • l ' E c r itu re trè s - lis ib le ;2 " H édacilon c o r r e c te ;3 ’ Des.sin l in é a ire ;4 “ .y ii in n é l iq u e , j i isq u c s e t y c o m p ris le s p ro p o rtio n s*

iSoijons é lé m e n ta ire s d e g é o m é tr ie , d e p h y s iq u e e l d e ch im ie , en co fp ii c o n c e rn e .seu lem en t la c o m ­position d es p iles élccti*iqnc.s ;

O" G éograph ie .I.a connais.sance de l’u n e o u d e plnsiem*s d es la n g u e s

su iv a n te s t VAllem and, V A nyla is, \ Espagnol et V lla lien s e ra p rise en g ra n d e c o n s id c ra lio n p o u r le c la s se m e n t d o s can ilidu ls .

l i s s e r o n t in fo rm és in d iv id u e lle m e n t d e l e u r ,idm is.sion ou non -adm ission A l 'ex am en , d i x jo u r s a u m o in s av a n t l’é ­po q u e fixée p a r l’o u v c riu ro d u co n co u rs .

la? su rn u m é ra r ia l a u ra lien ex c lu s iv em en t A P a r isMM. lc.s M .iircs son t iiivilé.s à d tin n o r la p lu s g r a n d e n u -

b h c ile a n p ré sen t av is . ’B cauv .iis, le 29 m a re <862.

L e P ré fe t d e l'O ise.L êox tblEVREAU.

—- P a r u ne décLsion d e !U. le co irse illc r d 'E ta t , direcIciiV g é n é ra l d e I ad m iiirs lra tio n d e s do iianc.s iq Ocs c o n tr ib u ­tio n s in d irec te s , en d a te d u 26 lé v r ie r f le rn ic r , M. Caffln iv tiev cu r d e (Jenxrèm u c la sse A Itcl?., a é té é levé A la n re - m ie re c lasse d e so n g ra d e s u r p lace .

- l.es 1" Cl n -iH ire .iu x .l.i n o rp s .| ,C p is l , ,l i t ™ i nnmraiS ■ M.M. L em aire c l b a ro n d e G o rb c ro n , dépiilLS d e fO isd m em b res de la com m issi.m re la tiv e à u n e im p o s itio n cx - t r a o r f tn ia ire . p o u r le i!é[»;»rleinenl d e l ’A isne. M. t .em a lrc a t i c ap p e lé a p ré s id e r ce lle co m m issio n .

p a n s l’o rg am sa liü u d u 31 m a rs dernifu*. 51. L cm a ire (Oisf») a e tc nom m é pré .sidon l d u ! " b u re a u , a u C orns-L é- g is la t i t . '

. o p é ra tio n s d e s co n se ils d e rév is io n p o u r la c la sse ( ^ c l8 0 l co m m en ce ro n t le 2 2 a v ril c o u ra n t , e t la ré u n io n d e s l is te s d u c o n tin g en t c a n to n a l .sera c irec lu ée le 3 ! m at c o u ra n t .

Le co iilingc jit d u d é p a r te m e n t d e l’O ise e s t d e 1 ,007 . s u r 3 ,2 !o in sc rits .

N o u s-fe ro n s c o n n a ître n l té r ie n re in e iit l ’i l in é ra ir e quo s u iv ra le conse il d e rév is io n d e l ’O ise.

P a r o rd o iirian '‘e d e 51. le g a r d e d e s sceaux ', m in is ti'o .secré ta ire d ’E la l a n d é p a r le n ie n t d e la ju s t ic e , e u d a te d u lU m a rs d e rn ie r , M. J a c q u in d o Cassière.s', co n se ille r A la c o u r im n é n a le d ’A m iens, a é té n o m m é p o u r p ré s id e r les .assises d u d e u x iè m e tr im e s tr e d e <862 d a n s le d é p a r te m e n t d e I O ise.

i i i lro d n ilc s d a n s le rè g le ­m en t (le 18o,i, ro ia lil a u x co u rse s d e ch ev au x .

FEUILLETON,(18)

EDMÉE.la T i.î® id w s n ’av io n s p a s ou en se m b ledfli!« a ç o n l ru r ie té ., . A h l s i lit s a v a is co m m e il e s tm éiio . 11 i ? to m m e d e u x o iseaux d a n s lo•neino n id . . . Biais lu ne m é c o u te s p a s !

— P a rd o n .. .— J e n ’a b u s e p as d e te» m o m e n ts , a u m o ins?— Duo p a re i l le q u e s t io n .. .— G es t q u e j e ne te t ro u v e p as com nicA l’o r d in a iro .. .— Tu p la lsan to .s...

V rai.— G on tinue, be lle q u e ro lle n se .— T u n e m e d o n n e s p as to r t? .. .— O h ! .. .— M erci.— E t, ce q u i .njoiitc e n c o re A m o n m n lh c itr .. .— A ton m a lh e u r? .. .

•■inBe m a r ia g e fu t ce q u 'o n ap p e lle u n m n-

— Do ra iso n .— A p eu p rè s .

l i i r J po*’' i l l c , iiiaLs je n e rcs.sen tais p a s p o u rblw. f ^ e n tra în e m e n t q u ’on a p p e lle do l’a m o u r . H é an7 .V« fa it , m a is , d e p u is9‘t c j n i a p p r is A lo c o n n a îtro .. .

— M. U crvlllo?défiTnîl’ ® ® v‘*l®*** ( c a r il a d e s q u a lilé s au s s i, s ’il a d e s

m é c h a n t) .. .ville? a p p r is A la c o n n a î t re , — Bl. l ie r-

— Q u e le d ir a i - je ! . ..— A chève !— J e l ’a im e !— A hü!— Ce c r i? .. .— C h è re ’A n a ïs !

T u m e c ro y a is ta r iv a le !— C rA cel— E t lu é ta is j a lo u s e .. .^ P itjé !— Q u i d o n c c ro y a is - tu q u e j ’a im a is?— N e m ’in te r ro g e p a s .. .— A h ! Bl. r ia n te ro .s c ...— O u i...— A h ! m a p a u v re E d m é c ...— P a rd o n n e -m o i,— T u l’a im es d o n c?“ C e s t p lu s fo r t q u e m o i... J ’ai le n c o n lré , p o u r la p re ­

m iè re fo is , ce Jeu n e h o m m e d a n s les en v iro n s d e D ieppe, à u n e fê te d e v illage , o ù j ’a i d a n s é av ec lu i; p u is j e l 'a iW v ii A E v rc iix , A l’ég iise c a th é d ra le , le j o u r o ù nous qnê lions e n se m b le p o u r c o m p la ire A M"* la v icom tesse d e Dellc lslc . J e le r e t ro u v e a u jo u rd ’h u i p re m ie r c o m m is d e m ou pèi'c ... DIS, n e Tois-tu p a s là le d o ig t do D ieu, n u lre m c n l corunien t e x p l iq u e r c e r a p p ro c h e m e n t, q u i d ev ien t chafiuc j o u r plus U ltim e ... J ’a i b ie n lu t té p o u r cha.«.scr so n sonvcnii- d e m ua c m u r ; j a i é té lo n g te m p s av an t d e m 'a v o u e r q u e je l’aim nis; m a is 1 a m o u r a é lé le p lu s fo r t . . .

— E t Ion f ia iicé? ...— l 'u r lo n s d e lu i!^ J e c o m p re n d s , u ia iu tc n a n l, tou a i r e inbariM ssé . con ­

t r a in t . . .J é lo i i f ^ i s l o h ! la ja lo u s io ! com m e elle tléc ltiro lo

c œ u r e l r e ild u n e fem m e c ru e lle , m êm e en v e rs ce lu i qu 'e lle a im e .. . S i tu s a v a is .. .

— J e im veux r ie n s a v o ir , p a u v re e n f .in l. .. . P in s la r tl lu m o u v r ir a s ton coeur, eum nio je t 'o u v re a ii jq j in r i iu ih : m ien ,

e t nous p leu ro ron .s e n se m b le , c a r lu ne poux ê t r e à lu i . ...le lo s a is , (>t c’est ce i |u i c au se m on d é se sp o ir . .Mais

c n n lm n c .. . . Em bras.«e-in i)l a u p a ra v a n t .. . . A li! q u e tfui ( leo ig es ,n b ien la it do le ip io re lle r , q u e Vftus avez b leu fa it de vfiiis d is p u te r , m es a m o U rcu x ... e l q u e j e le su is recon- nai.--siinlc d ( .trc v en u e m e e o n le r tes p e ti ts c h a g r in s , c a r ce tte g ro sse q u e rc ile n ’e s t q n ’iiii n u ag e ro se d a n s le c ie l de v o tre a m o u r !

— Un n u a g e .. .B as a u t r e (d io se ... Vous ne vous on a im e re z quo

m ieux d é s o rm a is .. . I.cs v ra is a m a n ts so n t tu iijo u re en g u e r r e .. .

— Biais j e c o n n a is G eorges, il ne v o u d ra p a s re v e n ir le p r e m ie r .. .

— E l il a u ra r a iso n . i— P a r ex em p le ! '— I.’ho m m c d o i t r e v e n ir .. . le second .— E l le p re m ie r?— L ’a u tr e ép o u x , — la fem m e, la co m p ag n e , l 'am ie .— Du to u t, madeinfiisL 'Ile.— (" e s t co m m e ce la .— G’cs t A ce lu i q u i a to r t A fa ire lo p re m ie r p as . i— C’e s t A celu i cpii a ra is o n .. . e t com m e la ra iso n e s t do

to n c o l t . . . e lle d o it lo p o r te r à re v e n ir la p re m iè re .. .— Go n ’e s t pas ju s te .— C’e s | la ju s tic e d e l ’A m our c l c ’e s t la b o n n e .— Q u o i! il m e fa u d ra re c o n n a ître d e s to r t s q u e iè n ’a i

p a s » .. . \ I 4 •— O s l lA la g ra m lo u r d u riMe q u i t’e s t r é s e rv é ,— M ais il se m o q u e ra <lo m o i...— li a Iron d e c œ u r p o u r cela .— D’a b o rd , il fa u d ra i t sa v o ir s ’y p rcn d ro .— R ien d e p lu s facile.— R ien d e p lus, f.icilo.— R ôle d e lio n te , j e m e sen s ro u g ir A l 'id ée s e u le d e lo

r n n p h r !- Q uel p lu s jo li m a s q u e , p o u r niio fe m m e , q u 'u n

\

t m a s q u e .. . d e ro n g n u r!— J e n 'o se ra i ja m a is .— Tu o se ra s .— J 'a im e ra is m ieux m o u r ir .— I.a iim . l lie veiil p a s rte e e i i , q u i .e ii lc ii l d 'e lle . Voici

ta leço n . E co u le b ien A ussitô t q u e to u m a r i s e ra d e r e ­to u r , tu ira s au -devan t d e lu i, len yeux b a issé s , — com m e u n e be lle su p p lio n ic : e t , a r r iv é e p rè s d e lu i . ..

— (Jue fo ra i-je ! J e l ’a t te n d a is là?— T u te .‘e t t e r a s à s o n cou e t lui d o n n e ra s un b a ise r ,

n o n q n n n , - - e t lu a t te n d ra s q u ’il le le r e n d e .. . E t il te lo r e n d ra avec u s u re .. .

— Ju v o u d ra is b ien te v o ir à m a p la c e .. .— S i j ’é ta is m a r ié e e t q u e j ’eu s se d e s t o r t s A re p ro c lic r

g c r d e l u i '" ’ com m e j e iii’y p r e n d ra is p o u r m e veii-

— O n d ir a i t q u e lu a s lu to u t c e la d a n s u n liv re .— 9 .^1; l iv re .. . d e m o n c ic iir .— Si j ’av a is su c e la . Je n e s e r a is p a s v en u e e t t 'a u rn is

la i8.sce so u ffr ir d e ta ja lo u s ie .. . J a lo u se île sn c o u s in e ' F i 'E t q u i do n c t ’ava it fa it s u p p o s e r q u e j ’a im a sse M. V ü len tiu f

— il n a va lsé h u T q u 'a v e c to i . . .— A h! c ’e.st p o s s ib le ... Il va lse trè s -b ie n , A propo.s.— E t p u is , e n n o u s q u i t ta n t . . .— A h! o u i, j e lu i a i a d re s sé la p a ro le c l j ’a i fa it to u t

l ia n t la re m a rq u e q u ’il d e m e u ra i t d e n o tr e c ô té .. .— E l q ue vou.s é tie z vo isins.— P re sq u e .. . vo is in s .— T u a s d i t v o is in s ... seu l.— S e u l.. . av ec n u s î . . .— T u m ’c iiu u ic s avec tc .s-m alices ...— P a u v re (iip lo m a lc d ’a m o u r ! K.s(-rc q u e , s i j ’eu sse

m m e co je u n e h o m m e, je lu i a u ra i s p a r lé co m m e je lu i a l p a r ti- .. . d e v a n t iiion m a r i e t d ix tém o in s?

— Q ui sa it?, , E tu c tu JOURDAIN..(L a su ilo a u prochain n u m éro .)

Page 2: Ë$. - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1862_04_05_MRC.pdfmois de janvier

ï

,

B rlw nccm P iU lo pli»s im poriftiU o onsîs io d a n s la su p - A .!.> ittitn <liw c .im ti)sc r(n lit) iis « lucoiit'scs,

Los 01 f c i i s i |n i n u l i l 6 p r is , ii oc s iijo l , le oO ja iiv io r i lc r- n ie r lin r S o n E sc c llc n c e SI. le n i ln i s l ic J E lo l , s .n o iil re in - iinm lqinSs. il 1» n rM c c lu ro . a u x i l e v e n r s q u i i lu s i ie ie m on p r e n d r e co n n a is sa n c e .

— U n C o n co n is d 'O rp h é o n s e s t o n v o rt d a n s la ville (je ChiM cau-TliieriY , le d im a n c h e ‘2‘J i n in à l ’occasion d e la fô tc o u r in m n e n r d e J e a n d e L a F o n la liie . l o n t e » les S a c lé lé s d e c h a n l s o û l in y llé e s c l a d m is e s ît c o iu o u n r , en 8C c o n fo n n a ù t a u x c o n d i t io n s d u p ro g ra n iti ie .

— M - M c tm ic r , d o P o n l-S n in lc -M axencc . M - .M iau l (T h éo p h ile ), d e C u rm e ille , c l M "' Ü ü u tre le a n . d e \ o 'im ih en . c o m m u n e d ’A llon i» ', «ml é lé d é c la ré e s a p lc s a n "J''-;** d 'a p l i lu d e p o u r la d i r c c i io n de< S a lie s d a s ile , p a i la lüiu* m is s io n d ’ex a m e n d u d c p a r lc n ic n l d e l Ü ise.

ANGICOUUT. — U an s la iiu ll d u 2 7 a n 2 8 d u m o is d e i^ H ier, u n in c e n d ie d o n l o n ig n o ro la c a u se

in fo rm o .

B E IU V A IS . — MM. N ô. G uslav(‘ ï é l a r d , F ra d ic li , c l A l-ix an d rê l le la h e rc h e . m e m b re s s n r ia u ls d e la c h a m b re consiilliH ive d w a r l s el m a m il 'a c im c s . c u l Ote réOliis iti- m a m iic .

CLKllM ONT. — U n digm ? e l v é n é ra b le e c e ir s ia s ii i ju c , le m è t r e d a n s Im ite l ’ac c e p liim d u n u d . M. l ab b e Ih ib m s (P io rre -A in id é e ) . a n c ie n p n if i-s se u r île I Im iy e rs te , a u m ô ­n ie r d e la M aisu.i c e n tr a le d e im is p lu s d e v ingt an n é e s , et prO.sideiil do la d é lé g a tio n c a n to n a le d e p u is la e re .ih o ii de c e tte i n d i l n l i m . v ien t d e i r e en iev o an pays el a la so e io ie p a r u n e m a ii p rè n i i ln ré e . il é ta i t n t a t.lo i m o n t i t l*> oc- tu b rc 1 8 Ü i.

la K o iio .1110 ilo S .i i l i l - n ir a l , q u i fO lio u l il S c ilis fo iu l.a n lUOuV .L u x , .OUUUOUCOli, 00110 'lUUUM; l"c o n tin u e ra les j o u r s su iv a n ts , ju s q u a u L u n d i 12 M .iiinc(u -

*'oî!'y v e n d ra to n te s s o r te s d e M a rc h a n d ise s ; il j’ a u r a C irq u e d ’é u iii ta lio n . J e u x c l A m u se iu en tsd iv e i-s , à lo x c c p -l io n lie s je u x d e h a s a r d (pii so n t lo rm e n c m e n l p u d n ln .s .U n ü a l a u ra lieu so u s n u e T e n le p aK ju e tce e l b ie n c lo se ,

kS iÏ o o i r 'ïS Ü Û ô î,.îx“v o u lo , d o n o s.

“ ’ u iv ilo o os . Olnrsd .r i iu l iq u o r 1 , p lu™q u e c h a q u e M a rc h a n d a u r a s u r le c h a m p d e l o u e , il so c* c u p e ra île ce s o in , d è s l e L u n d i ‘28 A vril.

T o n te s les p ré c a u t io n s s e ro n t p r is e s p o u i m a .u l tn i r l’o r d r e p o n d a n t la d u ré e d e la F o ire .

— S ilu a lio n d e la C a isse d ’é p a rg n e d e S e id is , e n v e rs sc s d é p o s .in ls , le 31 niai-s I8 tî‘2 . « a

1x5 so ld e q u i é ta it drt a u x d é p o sm its le 2 0 _ d u ç m l n e d e r n ie r é ta i t , a u lien d e l . 3 i l . b ( 4 •*«, d e . . I , . i i4 ,0 lh ) o8

Un ‘22 d é c e m b re 18151 a u 31) niai-s 1862 lu - c lu s iv e n ie n t, il a é té la it 1315 vc i-sem en ts p a r l l 3 3 d é p ü sa n ls , d o n l ‘242 n o u v eau x . I ls sc s o n t é lev és j\ 18 2 ,3 8 0 f r . 43 c . . s a v o ir :145)9 v e rse m e n ts en espècc.s 171 ,448 f. 0 0 c . y

12 I ra i is fc r ls -re e c lte s . . . 7 ,8 3 8 9.) '4 vem*' p ro v ' d ’a r r é r a g e s

,10 i o ulos iqq iiU ioll' à d e s d é p o sa n ts . . . . 99 .»0

T o ta l ..........................D 'd u is a n l 197 ,0 .t8 f r . 72 c ., m o n ta n t d e 039

l'e m b o u ise n ie u ls , d o n t 140 p o u r so ld e , (pii o n t é té f ii ls p e n d a n t le m êm e e sp ace d e te m p s , s a v o ir ;OKI re m b m irs . en e.spôres. 170,413 2 0 J

2 Ira n s l’c r is -p .i ic m c u ts . 761 -u (27 a c h a ts d e re n te s s u r . l

.........................................23,5)11 ô i. I

182 ,380 43

1 ,5 2 7 ,0 7 0 01

197,088 72

COM PIÈCNK. — !.a fo iré d e s C ap u n o s a é lé é p ro u v é e di- m a iic lic p a r u n le m p s b ie n t ié p io ra b le . V ers le s ( ju a lre h e u r e s d e l’a p rô s m i'I i. a n m m u e u l m êm e o u les d iv e rtis - s e u ic u ts so n t le p lu s c«»iirus. u n v io le n t o ra g e , a cco iupag iio d ’u n e g rê le ex lrè m e m m it a b m d a iile , e.st vem i lom re s u r i ^la v ille e l p a r con .séip ieu t s u r ie c.liam p de Im ie . A I.» p ii. t | .a s u c c é d é u n e ivluie q u i a d u ré n u e g ra n d e p a r t i e l l e la s o ir é e ; au s s i to u s les h ib il ,m is d e s en v iro n s q u i c ta ie iit

I l r e s te ................................ 1 .329 .981 ‘29

Kl lijo n lan t p o u r les in té r ê ts q u i o u i é lépav es s u r les c o in id e s s o ld é s ...........................

La .som m e t i 'Ia le d u e a u x d é p o sa n ts s ’élève 5 1 .330 ,‘2o9 05

C

278 66

■lifié piu- le caif^sier sous.iig tw ,N .\rou;o.x DIKUX.

v en u s le m a lin s n r i c s a p p a re n c e s d un so leil t i o m p i u i . lio n r g o û te r les pl.iisir.s q u e le u r jn o u ie tta u m l ies lh e ;tt iv s am b u îa u l^ ; oiil-iJs é té fo rcé s d e re g a g n e r p ro m p tem e iil le u rs village.s. a u m ilieu d es c h e m in s d e lre n ip v s e t so u s u n e av e rse iiu jiilo y a lile . ( f 'ra ijrc s d e lO ix c ) .

C R E ll. — n .m s la u n it d e d im m c h e à lu n d i , le n o m m eD illan l (A le x in d re ’. à i é d e 3.» a n s . o u v r ie r o r .lo g ean t chez le s ie u r G a n t ie r , a u b e rg is te , es t m o r t d e s M iites d 'a b u s d e b o isso n s a lc o o liq u e s . .

Il e s t d é p lo ra b le q u e les a r r ê té s p r is c o n tre I iv ro g n e rie de v ie n n e n t i i tn s o ir e s e u [ire.sence d e la t. ic iliie avec laq n e l.e les in d iv id u s e n c lin s ;) c o tte .iirrc iise p ass io n s en p ro c u re n t à to u te h e u re d u j o u r e l d e la n u i t , n o n p as en p e tite dose m a is p a r l i t r e .

1 lA XCOUUT. — M e rc re d i d e rn ie r , la t r o u p e d e M. Du- m é iy il d o n n é d a iis c e tte ville u n e p re m iè re rep ré sen la ti« .n «le : les Crocitcl.i (ht p i r e Mo, lin e l les S tn ie s d 'un j n c u i i r l i l . O n sa it q u e les spci lar.lcs son t r a r e s ;'i L iaiicooi l, aussi la s.-«lle im p ro v isée , «p io iip ie irès-v .is le . poiivail a p e in e c o n te n ir la foiile d e s s p e c ta te u r s ip ii sc son t rctin-.s s .itis- f a i ts . non sa n s av«nr np i-bn id i à i» lnsieors re p r is e s les lia- b ile s a c lo n is e l le s g r:ic,icuscs .ic tric c s . Ou d it 'P>« p anvre .s a u ro n t n u e b o n n e p a r i d e cette, c h a rm a n te s o u c e fa ite à le u r p r id il . . . . .

M erc red i p ro i-ha iii, jo u r d e la fo ire , La m ê m e tro u iio d o n n e ra u n e no u v e lle rp (irés(in ta tio ri à l . ia n c o n r l , q u i d(.-e id é m n n l m a rc h e à l’i n s ta r d o s g r a n d e s v illes : n o u s sd ’av o ir l’é c la ira g e a n g a z . e t vo ilé m a m le iia n t «pic m nis a v o n s d e s r e p ré s e n ta t io n s th é â tr a le s . Vive le ^ p ro g irs .

M erc red i d e rn ie r , le s ie u r G n b c rt. o u v r ie r m e n m s ii 'r , ce. !e s ie u r B oyciivat, o u v r ie r m.aijon,

«•I lu i a iio r té n u co u p «Ii5 pi«»che «lans la p o itr in e e t u n a u l iv d a n s la l ig u re . A rrê té im m é .lia l.m ien i, <.<d)crl a d a- b o rd é té c tilé rm i' d a n s la p riso n «le I Ih d ç l d e - \ i l l e e t d e -

le le iiden iiiin d a n s la in .iison d a r r ê t .pos.‘ I

P 0 ;NT-SA1NTF,-M AXENCEr — C om m e les .mm-«îs p rc - c ê d c n ie s , u n e c a v a lc a d e a v a it é té o rg a n isé e p o u r le d i ­m a n c h e 3 0 m a r s , av ec r in tc n l io n lo u ab le d e fjir«î u n eq u ê te a u p ro lil d e s p a u v re s . , « ,•

L a p lu ie q u i e s t to m b é e s u r les onze h e u re s d u m a tin a v a it fa it h é s i te r b o n n o m b re «r.im .« tenrs .à fa ire p a r t ie de c e t te ré u n io n c o s tu m é e , m a is lu sideil a y a n t p a ru s u r tes d e u x h e n re s . l;i p lu s g r a n d e p a r t i r s ’e in p rc ssa «le se r é u n i r e l s e m il e u m a rc l io , su iv ie (l’u n c h a r é lé g a m m e n t d é c o re , m a is m o in s g a rn i d e c e s b e lles liMcs e n la n tin c s «pic la p i il* deiK’e lin p eu e x a g é ré e d e s m è re s a v a it re te n u e s a u p rè s d 'e lle s . C es b a n q u e t te s v id es n e d o n n a ie n t p a s d ’a m m a lio ne t la is sa ie n t b e a u c o u p .4 d é s ir e r .

D éjà le im r lé g c a v a i t p :irc« iu ru u n e p a r t ie de la ville «iimml u n te m p s o ra g e u x «îst ven u d«î nonviMU in te r ro m p re c e l te fê le d e b ie n fa isa n c e . U ne p lu ie b a l la n te m ô lee d e c rè lo , . icco n ip ag n ée (i’ê c la ir s c l di? fo r ts «mnps d e to n n e r r e o u i m is l in , b ie n à r e g re t , à t a q u ê te q u e fa isa ie n t p lu s ie u rs c a v a lie rs a v ec ta n t d ’e m p re s s e m e n t, m a is s iir t iu it a «telle n u e fa isa it d ’u n e m a n iè re si eugag«M iile u n t r a is e t b r a n j e u n e h o m m e , «pii. s o u s le c o s tu m e d ’u n e I ytlioui-ssc a U m ise é lé g a n te c l r ic h e , o b te n a i t s a n s pm iie 1 obo le qii e lle ré r la n ia H .d ’u n e m a h iè rc si gr;uu«*iise p o u r les p a u v re s .

D eux p e t i ts g é n ie s a ilé s , c .iq iie lle m c iit a r r a n g é s e t .-oii- d u i ts p a r le u rs p ag es . a«5co m p a g u a ie iit lu p iê tr c s s c iliiiis le s m a iso n s où e lle se p n -s c n ia il .

P a rm i le s voitiirc.< q u i v e iia ic iit le u r s u i te , il s e n t r o u ­v a i t u n e o ccupée p a r les m u s ic ie n s nm attM irs d e lu v ille ; ils s 'é ta ic ii t e m p re ssé s d e se jo in d re à la c a v a lc a d e el a c h a q u e 8t,itio n fa is a ie n t e n te n d re d o s m o rc e a u x e x é c u té s a v e c u n v if e n tr a in . , • ,

E n so m m e , b e a u c o u p d ’e m p re ssc m e iil e t d e d e v o n m e n l d e la p a r t d o to u s ceu x q u i o n t p r is p a r t c e tte fé fe d e b io u fa is a n c e ; il n ’v a q u e * d ® sre m e r« îm e n is à le u r a d re s s e r to u t e n r e g r e t ta n t q u ’un te m p s s i iiu p o rlu ii se so it o p p o sé ■i c e q u e le b u t (jii’ils se p ro p o sa ie n t to u s n 'a it p u ê t r er e m p l i à l e u r e n l ie r c s a t i s f a r th m .

C e p e n d a n t, le s o ir m ê m e u n e so m m e d e 282 f r . é ta i t v e r s é e e n t r e le s m a in s d e >1. le M aire.

{Journal d e C le rn w iil) .

S E N M S . - r Uc M a ire d e la v ille d e S en lis , fa it s a v o ir qm :

M*€tfie‘C tJ f S e a l i s .Piu;sioi:xcE nv; M. V.vtix.

Aiitlieiict' du V icrcredi 2 6 hm i’a' 1862.

— K ocèup l.o u is M iiigucl. :*igé «hi 3 i a ïK . m a n o n v r ie r à S i in l-F ir i i i iu . a v a i t à sc p la in d re d ’u n e «lem oisolle q ii il a v a it im itiV à d a n s e r cl q u i . se tro m p a n t s a n s d o n e d e « l.inseiir. se t r o u v a it au ip ia d r iü c avec u n a u t r e q u e tu i. A la c a m p a g n e , assi'Z l ia li i l i ie lb m c n l , d a n s u n e c e r la m e c la s se d ’h o m m e s . «*e.s a iïa ire s se règ h 'i i t p a r d e s in ju re s c l se s ü h le a t en dêlin itiv i- p a r d e s so iiflle ts . M m gnel .se «tispo- sa it li uic à fa ire l’a«liiili m d u ro iiip ie «h: sa i la n s e n s e m h - d è le «’t v«il:i"0, tm s 'p ie le m a ie iiro iitre iix v in t lu i p ro n o n c e r n u d is c o u rs fo rt é n e rg iq u e i*l I rè s - a t te m lr is s a i i l . au q u e l n o tr e hér«ts ir p o in l i t en d e u x m o ts : « V ous e l t s g a n le - « h im p è ire . m a is ji- vous r m m .. . . et je m e f . . . d e v o u s. ■ O n p en<«5 b ii’ii «tue q u o iq u e ce soirnit la «les g.'iiiiHesM'S «Fusa^e à l’é - 'a rd «les g a rd e s «•hampi’ lre s , «-lies ne so n t pas m o in s fo r t im lig e s le s ; au ss i le bon v e r.li.-r , p a r im p ro c i^ - v e rb a l , a e u re c o u rs an I r ib u o a l . «pii a c o n d a m n e M inguel en tro is j«n irs «le p riso n e t a u x tra is .

— C lia ric s -V ic tn r T ra iie h a iit , âg é d e 2 5 a n s , m a iT h a n d b o u la n g e r , d e m e u ra n t à C u v e rg m in , a p lacé im p ru d e m ­m e n t d e la brais«? d a n s so n g r e n ie r ; il s ’a s s u re tou joni-s,.nvaiit «l«î fa ire c e lle o p é ra t io n , q u e sa b r a i s e e s t b ien él«niite, m a is on sa it co m b ien la b ra ts e llo e s t t ro iu p c u se ; t’en i lo is «»ii ré u s s ir a , e t u n e b o n n e fo is o u s e r a p r is . C «‘s ir e q u i es t a r r iv é à T ra n c lia ii t . q u i a ....... p a r num o m e n t «l’o u b li , d e distracli«*n ou d e h’-g c re te , u n in re n d ic

CA«;iiau II 11 > ii»> •• M « . . . X. . | . . . . . . . . . . . ...w . -- .n ’e.st i*ns r ic h e avec u n e p a ro lllo d é fe n se , c o r le s c h a m p io n s é ta le n t iv re s . I l y a e u d e la p a r t d u blesst) d o s provoca* lio n s •«'issez g ra v e s q u i o n t p ré c é d é la r ix e , ll_y a m êm e eu d e sa p o r t p e u t-ê tre q u e lq u e s v n d cn ces ex iîrcées , m a is cela lie peu t D drc d is p o rp i t re e n t iè re m e n t l 'a e c id e iil d o n l r r a n - cbliii a é té l’a u te u r , la j t r ib u n a l ro iid a in iia d o u e F ra iico lin e n i s i u u r s d e p r is o n , la fen im c U f o r l e n 10 j o u r s d e p r i ­so n . 3 0 f r . ira m o u d o , e t les c u n d a m u o lo ti» d e u x a u x fraw .

- C harlcs-F é lix M ignot, âg é d e 40 n u s, m a n o n v r ie r , de* m e iir .m t à M esnil S a in t-D cn ls , ro s sa it ou v o u la il ro s s e r sa fem m e e t s c s c iifu n ts ; il d is a it à so n lils q u ’il a l la it lu i c a s ­s e r h t g u e u le . U ne v o is ine , e lf ra y é e , r o u r i c h e z M. le m a ire d e la co m m iin o ra c o n te r le Tait. Aiissiti'H le m a g is t ra l sc I ra n s p o r lc a n d o m ic ile d e M igim l e t lu i fa it d e s o b se rv a ­tio n s , m a is M igiio l, lo in d e re c e v o ir p a is ib le m e u l les av is p a te rn e ls d e M. le m a ir e , lu i a p p liq u e u n « j e l e m r o . . . . » d e s m ie u x p ro n o n c é . M. le m a ir e a s s u re c e p c u d a n l . p o u r re n d r e ju s tic e à q u i d e d r o i t , q u e M igunt e s t u n m o u lo n g iia iid il e.st r é c e n t e t u n v é r ita b le lio n q u a n d il a b u ; il n e p e u t d is s im u le r p o u r ta n t q u ’il e s t d if l lc ile o u r a r e d e tro u v e r M ignot a u tre m e n t q u e p r is d e b o isson .. I l a jo u te q u e M ignot n e sc p ré se n te im s & l’iiu d ien cç c l q u d l a c h a rg é d e d i r e A M. le p ré s id e n t q u ’il n e v ie n d ra it p .is, p a rc e q u ’il n ’av a it pas pu s c p r o c u r e r l’a rg e n t n é c e s sa ire â fa ire face a u x fra is d u voyage. Le tr ib ii i in l c o n d a m n e »!• g n o l, p a r d iifa u t, e n un m o is d e p r iso n e t a u x f ra is .

Lm iisc l îm é lie M .in rh e , â g ée d e 57 .vus, fem m e diJ u le s I to m a in , n ia iio u v ric ro A la C h ap e lle e i i -S e rv a l , a .U londii p e n d a n t tro is jo iii-s a v a n t d e p o r t e r d a n s so n g r e ­n ie r les c e n d re s qu'«5lle a v a it re t i ré e s d e so n â t r e . C e s t là u n e p n ’T a u tin n . d ig n e d ’u n e b o n n e in é iin g c rc . m ai» e lle ne s u f llsa it p a s ; il fa lla it en c o re s ’iis s iirc r « iira p rè s tr o is jo u r s c e tte r e n d re é ta it assez r e f ro id ie p o u r n«* p as r e n d r e p e r ­n ic ieu x son c o n ta c t avec le b«)is. La fe m m e Ito m a in a o u - b lié .cc- d e r n ie r p o in t, c l le feu a p r is d a n s-so n g r e n ie r ; e lle e x p liq u e to u te s c«’s ciiT oiisla iif.es e t .assu re n é a n m o in s q u ’e lle ne sa it co m m en t c«'la se fa it . L e Iriln in .'il c o u d a m u e la p ré v e n u e e n 16 f r . d ’a m e n d e c l aux d ép e n s .

— A rm a iid -F é lix G a u th ie r , âg é d e 58 a n s , m a n o u v r le r , d e m e u ra n t A Longinnl-Sain lo-M ari«‘, e s t a c c u sé d ’a v o ir in ­j u r i é la g e n d a rm e r ie e l d e s 'ê t r e iim m c p o r té à (iiie lq iics excès q u i te n a ie n t «le la réb e llio u . E n v o y an t-G a U lu io r , c n rc i i te n d a i i t s ’e x p liq u e r , o n n ’a p a s be so in «ie s a v o ir m q u i s 'f s l p a ssé , o n dev in e q u e to u t cæ ( |u e I o n p e u L d l r c e s l v r a i . I l r a c o n te so n alTairc c l avoue to u t c e (ju l a ç « iw » - M ais il n e p e u t ê t r e co m la n in é . se lo n lu i . y J ’é la ls , d i t 41, a u v io lo n ; h 's g« 'iidarm es so n t e n tr é s , e l j e le u r a i d i t ce q u e j ’.ivais su é le c æ u r ; d o n c , «^cs m cssieiii-s n 'é la ie n l p a s d a n s l’e x e r f ic e d e le u rs f«)iiclions » Au s u r p lu s , il a d i l seiilcnnm t q u ’il le s c m m .. .. P u isq u ’il c n e s t a in s i r G a u - Ih ie r , e u é g a n l à s e s a n lé c é d o n ts e t à s a t e n u e , q tih a n iio n - cen t «lu'A l’o ix a s io n il n ’e s t |»a» h o m m e A s ’c n p r iv e r , s e r a liii-rnêm e p e n d a n t 40 jo u r s d a n s le c a s o ù il a v o u lu m e ttr e la g e n d a rm e r ie .

L u rfi-Ju lic im o V ig iic rie , âgée d e 2 3 a n s , m n n o u v r iè rc ,a u jo u rd 'h u i s a n s d o m ir ilc . a v a it tro u v é nag u iiro Un e m p lo i

l’ex p o sitio n d e 1801 fe ro n t p a r t ie d u c o rtè g e , e l les co in- in issa ire s d e S . M. à l’E x |io» ilion « c lu c lle , itiv ilc ro n i le» perso n n e» ro y a le s e t d is tin g u é e » q u i so n t à lu lè lc d e s com - m lBsions é tr a n g è re s , le» a m b a s s a d e u r s é tra n g e r» e t les m i­n is t re s a c c ré d i té s p rè s c e p ay s A p re n d re p a r i A > la c é ré - m o u ic . L a c é ré m o n ie p r in n ip u te a u r a l ie u .pous les. J e u x coupbb 'S e t K u r l o o t e h i lo n g u e u r d o la nef. L a ré c e p tm n o m èlo lle d e s r e p ré s e n ta n t* d e S . M. e l d e s v is ite u rs d i s ­tingué» s e f e ra iJans la c im r.rçU ,tra ie d u S u d . Lo w irtèg e

d a n s u n v illag e p rè s d e S en tis , «lans ce (jue l’o n a p p e lle m e m a iso n b o u rg e o ise , d o n t le d o d s’a p e n ju l b ie n tô t q u e c ite «•spèce d e v a g a b o n d e n ’é ta it v en u e idn-z lu i q u e p o u r

p U érir u n e m a la ilie q u e lu i avilit f.iit c o n t r a c te r fc l iu c r ti ii;ig«î e t la p ro s ti tu tio n . C o p em lan l. p a r «ym im isé ra tlo u , il lie lu i en d i t pus u n m o t e t n e lu i la issa m ê m e p a s e n t r e ­v o ir q u ’il a v a it p é iié lrt: so n sccn -t (V«'st là le g r a n d to r t «pi'il « •n t '.c a r lu lltle V igoerii*. so it q u ’e lle fu t e n b o n n e voie d e g u é r iso n , so it q :i’e lîe se «bnilât q u e l’on é ta i t in ­fo rm é «le s a p o s iliiè i, d is p a ru t u n b eau m -itiii e n c in p n r ia n t d u pays u n liiitin assez c n u s id é ra b ’e d e to u s g e n re s . D epu is ce in o iu p iit, les re c h e rc h e s p o u r « h iconvrir so n lieu d é re -

.. ■ , __________ s . . r , . . . » . I A t.*ït..11.^1 Ifv ,.f^n-

(iiii n o u v a it a v o ir «les co n sé q u e n c e s f 'ir l re g re tta b le » . T ra n ­ch a n t e s t u n fo rl h o n n ê te gaiT .in q u i s a i t re .m iin a itrc se.s to r t s e t le s av o u e sa n s la m o im lre h i) s ila tio u . Le t r ib u n a l le c o n d a m n e e u 50 f r . d ’am e n d e e t a u x d é p e n s .

— An te m p s où Isiihiri^-O livc G ra n g é , âg«) d e 48 a n s , é ta it c u l t iv a te u r à O ru n ty -V iltc rs . il a v a it «’d cv é u n e ju m e n t (iu ’il a im a it a u ta n t q u e to u s les m e m b re s d«ï sa fam ille , ih ia m i il fu t «diligé. p a r s a nm iiva iso gcsti«»u, d e c o d e r sa lé r it ic e t to u t le m .ilêri.*l à se s p a iT u ts , il v«mlait c iin sc rv e r c e tte jiim i iit (p i'il n ’a v a it p o u r ta n t p lu s le m oyeu d e n o u r ­r i r - on s 'v «qqiosa, c l la b ê le , a u jo u r d ’h u i s u r le p o in t (le IH u ili i ic r . 're s ta la p ro p r ié té d u n irm ie r q u i c o n liiiu a le b a il ü i i 'a r r i \ a - l - i l a lo rs? Au b o u t d ’iiii a n . il p r i t L in ta is ie A tira iig é d e voh-r la ju m e n t , ce q u i fu t cx é im té o n ne p e u t p lu s a d ro i te m e n t; pêiiiM rcr «lan» la fe rm e d o n l II co iinai»- s a i t les a ise s , p e in la n t le s o u p e r d e s g e n s , so n ff li 'r la j i i- m c iil d a n s l’é c u r ic , la s o r t i r , la c o n d u ire e u p en sio n A P a r is fu t l';ilV.iiri! d«! i'i«’U p tu i r G ia i ig é .q i i i es t d e v e n u avec le te m p s n u h o m m e f«»rl a d ro i t e t fo r t e iilrc p r i^ n a n t. La ju s tic e s 'i’s t re in b ic s u r les lie u x , et C ra n g ê a v a it c o m p té s a n s ce tte riri'O iisia iiiT q u ’il n ’av in l p a s p ré v u e . !.c» (u r- co n s ta n c e s «lu vol, r iu sp c c tio n «les linux e u re n t b ie n tô t fa il v«iir a u x m a g is tra ts «pi«: le v«ilcur é ta it n ii h o m m e e n te n d u d a n s l;i f«u'nn‘, e l b ien tô l C ra n g é fu t a r r ê té . I l iivoua d iffi- c ib u n t ’i i l , m a is il avoua . tloTiimc te p ié v c n ii n e s l p lu s u n novlcft, le t r ib u n a l , c e t te .fu is , l’u c o n d a m n é e n 6 m o is d e [irison e l a u x d ép en s .

Audience du m ercred i 2 fli rd .L o n is-J iiles F ra n c o liu , âg é d e 4 8 a n s , c a r r i e r , « Icm eu ran l

à A p ie m o n t, es t ch e f d e c h a n t ie r , e t i|u e l« p ics-u n s d e s ou - vrlei*s q u i so n t so u s ses o n l r e s lu i ropr«»ch;ii(înt, il y a peu d e te m p s , d e ne p as p ay e r les t ra v a u x a u p r ix le p lu s r a i ­s o n n a b le ; d e là u n e (lisr-ussion, p u is d e g ro s m o ts , en fin u n e r ix e d a n s laq u e lle u n o u v r ie r q u i s e c u lb u ta it avec F ra n c o liu to m b a e t se ca ssa iinn ja m b e C e lte sc«me d é p lo - rab ltf se p a s s a i t p ré c isé m e n t ch ez u ne fem m e M a rie Jo se p h D u lsart, fem m e L e b ir t , àg<c d e 44 a n s , c a u tin iè ro à S a in t- M axim in à q u i il e s t in te r d i t d e v c m lrc d e s b o isso n s , e t q u i , c o m m e o u d i t , n e s ’en fa it n u lle la u lc , q u o iq ù ’e llè R o il

t r a i te so û l « icm eu n 'c s in f ru c lu c n se s . I,e t r ib u n a l la c o n ­d a m n e , p a r d é fa u t , cn tre iz e m o is d e p r iso n e t a u x frui.».

N ico las F ra n ç o is . âg«- d«' 46 a n s . « lis lilla le iir , d em c ii r a n t A P a r is , a ven ilu d a n s i ’arron<iiss«‘m c n t d e .Sentis d e s s iro p s p o r ta n t , il e s t v r a i , r é th p i c t t » d e la m n iT h an d isc d e m a n d é e , m a is Ic.sdits s iro p s co m p o sés d ’ingréd iciiB lo u l ■ à fa it ê lra u g e i-s A ceu x n éce ssa ire ? A l e u r c o m p o s itio n . ■ p ré v e n u p ré te n d q u e so n co m m e n e é la i i l fo r t considé* : r a b le , il a c ticz lu i n u g ra n d n o m b re «le c o m m is e t g a r-J c n n s . c l q u e p ro b a b le m e n t l 'u n d e u x s 'e s t tr o in p é e n ê l lq u c ta n l les l i tre s v e n d u s . G 'esl là u n e d e c (» diîfpnse» b a n a le s q u i tt’em p i'ch o n t p u s m is e n fa n ts e t n o s m a lad e» d e b o ire d e l 'e a u s u c ré e v e n d u e a u p r ix d e l ’c a ii d e g o m m e la p lu s p iiro e t la m ie u x c o n le c lio n n é e . L e t r ib u n a l (xin- d.-ihm e F rancni.s e n h u i t j o u r s d e p r is o n . 5 0 f r . d ’a m e n d e c l a u x f ra is , e t , p o u r fa ire m ie u x c o n u a i t r e le c o m m e rc e fo r t c o n s id é ra b le d u p n iv e n u , o rd o n n e q u e le ju g e m e n t s e r a im p rim é A 25 .afftrln;» e t in s é ré «lans le s d e u x p iu r iin u x p u b lié s d a n s n o tr e lo c a tité .

L a c o u r im p é r ia le d ’A m ioiis, c h a m b re d e s a p p e ls d«» p o ­lic e c o r r e c tio n n e lle , d a n s so n a u d ie n c e d u 2 8 m a r s 1 863 , a d o n n é a c te A Jo sep h l lo c h e li cm n tu y é a u c h em in d e fe r d u N o rd , d i’m c u ra n t à G h n n tilly , d e so n d é s is le m e u t d e l 'a p p e l p a r lu i in te r je té d ’un ju g e m e n t d u t r ib u n a l c o r re è - llo n n e l d e S en lis , d u 12 fé v r ie r 1 862 , q u i a rc n v o y ë d e* p o u rsu ite » d irig ée» c o n tru lu i , p o u r d iirn m .ilio n , Ü ten d o iin è V erscp ity , p ro p r ié ta i r e à C h an til ly . ' ,

E lle a c o n flrm é le ju g e m e n t d u ir ib u n M c o rre c t io Q n è ld e S en lis , d u 11 fé v iie r d e r n ie r , q u i a c o i id a fn n d .F K ii i^ i» ’ A chille C oen , iu s t i tu tc u r A llo q t ic n rm ir l , à u n Innw d e h i- p r iso n u o m e iii. p o u r pnb lica ti«» i d e fa u sse n o u v e lle c lT > o rl d ’a rm e p ro h ib é .

F A ï T S D I V E R S .— L’E m p o ro n r a p a ssé je u d i 3 a v r i l , à t r o i s h e u re » , a u

b o is d e lio n lo g u c , u n e g ra u t ie re v u e d o c a v a le r ie e l d '.a r- t i l le r ic .

La d ir e c t io n d u ch e m in d e fe r d u N 'n rd , a m is a u cou- c o u r s l ’c x é n i l io n , p a r les sc iilp lou i-s in d ig èn e» , d ’u n e s ta tu e d e fou le b a ro n d e I to lh s fh i id c o m m e é ta n t le f o i i ^ l e u r d e c o tte v o ie , e t le b u s te d u d ir e c te u r . M. K îepe l,:dA cédé cn 1855. Los d eu x o iiv ra g i's so rnn f c.x«)cul«ils o n m a r b f e d e C a r r a re e l p lacé s d a n s la n o u v e lle s a lle d ’a t t e n l e ^ a l s e ra r e c o n s tru i te . ; •

— La re lu e , d i-rdrensc d e m o n tr e r F in lê r ê t q ü ’c lle p re n d nu su ccès d e f E x p o sitio n iia tio u a lo , c e t te e n tr e p r is e i la - q u e lle le p r in c e -é p o u x a e u ta n t «le p a r t» n n o l lû é s a vo­lo n té q u e l 'o u v c r l i i r e d e l 'E x p u s itio u a i l a u ta n t (jile |)ti*»iblo

i ia rlira d e c e p o in t p o i i r s c r e n d r e a u d ô m e d e F O rio n t.J.A se ra d re s s é u n t ro u e , e t a p r è s q u e Fou a u r a c h a n té u n v e rse t d e l’hy m n e n a lb m n U iiii d iacÆ urs s e r a prouoiK^é. Le c o r lè g e s e r e n d r a e n s u i te p a r l a n e f a u d ô m e d o l’E s t o u u n e sy m p h o n ie s e fo e x é c u té e ; a p rè » q u o i, le co r tè g e r e ­to u rn e ra a u d ô m e d e l ’O u e s t. L 'évôq iie d e U i id r c s o ffr ira d e s p r iè re s a u c ie l; 011 c h a n te r a fAHc/uèo c l l 'h y in n o iia - lio n a l. L’E x p o sitio n n a t io n a le s e r a a lo r s d é c la ré e « luvcrte p a r S . A. I I . le d u c d e C a m b rid g e . De» m u s iq u e s m ili ta ire s s ta tlo n u e ro u t d a n s la coUV c e ii t ra lc d ii S u d ;

P a r o rd f c d e s c o m m is s a ire s d e S . M.p. t. SAxnroBD, secrétaire.(U o rn iiig 'A d ve iiisp r .)

— L’a c a d é m ie f ra n ç a is e v ie n t d e p ro c é d e r a ii re n o u v e l­le m e n t d e so u b u re a u . M. d o M o iila lem b crt a é lé n o m m é d ir e c te u r , e t M. do S acy c h a n c e l ie r , p o u r le tr im e s tr e q u i co m m en ce le 1" av r il .

— Q u o iq u e to u te» le» m a rc h a n d is e s d i 's l in é e sÀ l’E xpo- s ii io n u n iv e rse lle d o iv e n t ê t r e r e n d u e s A L o n d re s nu p lu» l a r d le 31 m a r s , le n o m b re d ’o b jç ts cnvovés p a r le s e x ­p osan t» a n g la is e» t enciore t r è s r c s l i e l u t . . H n ’y a q iic je» p o rlio n s ré s e rv é e s a u x F ra n ç a is q u i so ie n t d é jà c o m p lè te ­m e n t re m p lie s é l d o n t l 'o rg a n is a t io n s o it e x trê m e m e n t; av a n c é e . A c ô té , s c i ro tiv c u i le s se c lin iis a u tr ic h ie n n e s c l a lle m a n d e s , m a is e lle s n e so n t g u è re p lu s e n m e su re s q u e le s e x p o s itio n s a n g la ise s . I ,è . la rg e e sp a c e ré s e rv é a u x ro lo - n ie s b r ifa n n iq iie s n ’e s t p a s e n c o re p r ê t , n o n p lu s q u e c e lu i a l l r ib u é a u x co lon ie» é t r a n g è r e s : a u c u n en v o i d e ce» pays n ’a e n c o re p é n é tr é d a n » le .bâlim eii.l d o l ’expo silliin . I l r e s te en c o re b e a u c o u p A t r a v a i l le r d a n s le s a iiiiexc» ré se rv é e s a u x m a c h in e s . C e p c n ija n t to u » le» ag c iij» d e l’ex p o sitio n so n t iM iuvalncus q u e to n ! s e r a p r ê t p o u r le 3 0 a v r il , j o u r o ù n n a t ig u r a t in n a u r a l ie u . Ü v a u r a d e la p lace p o u r t r e n te m ille s p e c ta te u r» , e t (es s ièg es s e ro n t o ccupé» d a n s l ’o rd r e n ù n ^ é n q u e o ù .le» b il le ts d e s a iso n o u i é té p r is . .

— tr ib u n a u x é tr a n g e r» v ien n e n t d é j u g e r u n p ro cès q u i p e u t ê t r e u n en se ig iie n ie u t p o lir c e u x d e n o s lec teu r» q u i »c re n d ro n t à L o m lre s A l’é p o q u e d e l’E x p o sitio n in te r ­n a tio n a le . i l s p ro f ite ro n t s a n s d m iie d e c e l le occasion p ù ü r v o ir le s th é â tr e s , e n t r e a u t r e s I la y m a rk c l» r im e «ti*» plu» lie lles s a lle s d e l o n d r e s . N on» les en g a g e o n s A y a d o p te r la m o d e a n g la is e c l n o n la m o d e fra im a isc .

C hez n o u s , les g e iis d u m o n d e q u i. lo iie n t d e s log«!s c o n ­s id è re n t q u ’il e s t d e b o n to u d ’a r r iv e r a p rè s q u e le seco n d a c te e s t com m cii«:é e t d e s’in t ro d u i r e d a n s la logo avec u n c e r ta in b r u i t q u i .n ttirc s u r e u x I«w re g .ird » d e lu s a lle e n ­tiè r e a u g ra n d d é tr im e n t d u v ra i p u b lic venu p o u r é c o u le r la p ièce . C’e s t n u g e n re c o m m e u n a u t r e .

U n M. Y o ung v o n in t im i te r c e lle irtodo , c l , a y a n t lo u é u n e lo g e A l lu y m a ik e l T h é â t r e , a r r iv a q u a n d le .secomi a c te c o m m e n ç a it . T o u te s les loges é la ic n t o ccu p ée» ; Bl. Y oiing a v a n t payé 3 5 s h ill in g s (43 fr . 7 5 c . ), vuu liu t a v o ir s a loge, o n lu i o ffrit d ’a u t r e s p lu ccs , il le» re fu sa e t iiile iila u n procè„s a u d i r e c te u r . C elu i-ci a y a n t e o m p a ru d e v a n t le m a g is tra t d o W e s tm in s te r C ity C o u r a fa it r e n iu rq u c r ail ju g e c e t a v is s u r le co u p o n ; P laces sccu red .M ilil llio end o f ih e f îr s l a c i on ly , p la c e s g a ra n tie » ju s q u 'à la fin d u p re m ie r ac te R eniem ent. t ’.e ttc n o te a fa it d o n n e r g a in d e c a u se a u d ir e c te u r d u th é â t r e , e t M. Y om ig a d ù p a y e r le» f r a is d u p ro c è s . .

| , a I t l a d » l l l i i H t r é r p u b l ie r a , à d a t e r d u m o i» d 'a v r i l , le» lô ileU et d e la sa ison ü 'ê lé , m an ti-le t» , ro b e» , l in g e r ie é lé ­g a n te , p o u r fem m e» e l e n fa n ts , d e s s in s d e so u in c h e , é c h a r ­pe», e t c . , d o n t le» m o d è le» so n t fo u rn is p a r le s m e illeu re» m aison» d o P a ri» , ac ra im papué» d e p a lro n » c n grandeur n fl/iirc f.'cel d e s e x p lic a tio n s les P lu» détaillée .» . Le» t'été- m e n u d 'en fa n U , p o u r g a rç o n » e t fille», n e B croiil p a s oublié» .

t) ii p e u t s ’a b o n n e r p o u r fro ia m o » »e«ilem ent (3 f r . 50) ; u n o b t ie n d ra A co. p r ix 13 n u m é ro » (iiii» :h aq u e Rem aiiie), avec d e n o m b re ii» e s g ra v u re » d u fo rm a t d e l'IU u tIra lion . L ’ab o iin em en l d a te r a d u 5 a v r i l . I . 'o n p o u r ra é g a lem en t s o u s c r ir e p o u r l ’a u m 'e e n t iè r e (14 f r .) e t aus-si s c p ro c u re r to u s le» n u m é ro s d é jà p a r u s d e p u is le 1" j a n v ie r 1802. (E n v o y e r u n iuaimAi/ s u r la po ste à / ord re d e U M . F irm in Didot f r è r e s , f i t s e t C '*). . , ,

La e s t d é d i te a u x m e re s d e fa tm llc : sap a r t ie f i l t é r a i r e e s t d e la p lu s s a in e m o n d e e t l'eu se igue- m e n t d e » tr a v a u x fé iiiiitiiis a u s s i m iu u l io u x (juc p ré c is . Ias jo u rn a l f o u rn i t le m o y e n d ’ê t r e é co n o m e e t é lé g a n t A la fois. D epuis s e s d e u x ou» d ’ex is te n c e il c o m p te d é jà p lu s d e vingt m ille a b o n n é e s . C’e s t u n su c c è s s a n s p ré c é d e n t , e t m ie ga­r a n t ie s é r ie u s e d e s p ro m e sse » f a ite s a u x abo im ée» . P o u r e n le v e r to u lc h é s i ta t io n e t é v i te r to u te s u r p r i s e , l’ad fn in is- I ru lio n d u jo u rn a l en v o ie u n n u m é ro q u c ico n iiu o g ra tis n fra n co A to u te p e r s o n n e q u i e n f a i t l a d e m a n d é a/fra)icliw a u b u r e a u d u jo u r n a l . 5 6 , m e J a c o b , ,56, A P a n » . — U jo u r n a l e s t im p r im é , c h e z M.M. F irm in ü id o t f r e r e s e t fils.

•— L’A d m in is tra tio n o lf re d e» e x e m p la ire » c o m p le ts d e l 'a n n é e 1 861 , e n r ic h e r e l iu r e an g to is ii A t r a n c h e d o ré e a u p r ix d e 2 5 f ra n c s avec 5 3 g ra v u re s c o lo r ié e s e t d e 15 fran cs

• sans g r a v u re s c o lo r ié e s . '

L’I/fuffra/toN eontient dans son numéro dit 39 mars : Revue politique de la semaine. — Don Bcnilo Jiiarcz. —

Courrier de P a r is .— Môrt de M. Fromental llalévy.M. Auguste Dupont, compositeur de musique. —• Arrivt» du prhicc de Galle» A Alexandfiè.— Porte du bureau aral« A Alger. — CaiiBcrie dramatique. — Le Mexique. — Une nuit d’orage (fin). — Sleeple-chase» de la Marche. — Ga­zette du palaw. — Bulletin bibliographique. — Courrier de la Curiosité. ' . • «.

Cravut'es : B. Jiiarez. — Fromental Halévy. — Arrivée du prince de Galles A Alexandrie. — Auguste Dupont. ^ Porte d u Irareaii arabe A Alger. — La place dArm i» de Hckfco: — La rue de llold.iri et son débàlfca(16re...7-L o Trimestre, par Cham (25 gravures). — Mosa^tfé romaine, -trouvée A Reims. — Carrèmgè du châlc.iu d’Ecqticn, attri­bué A Bernard Palissy; — Rébus. ' ,

L e G érant responsab le , ErRbAT R EG N lj^R

\ ■

T H O V m U A V X

ET

LAVEnrrEs.

E xpédition f r a n c de p o r i ju sq u ’à destin a tion .CACH EM IRES ERANÇAIS

■ , ' 'CT: ■ ' ‘

n E E ' I K U E .

. A P R I X P IX B .Iluc dii Bac, .lis, cl «n e de riJnivcrsit«-, 25 , Faiilxmi-g SamMici-main, à Paris.

L es P ro p riü la ircs do co l E üd.lisscm cnl n ous p r ie n t d e rap p e le r ii nés lec teu rs qu’ils o n t erdd un “P '-jia l f «r 'J-9S» fn in e u a f fr a n c h ie pour Ion ien le » lo c a lî l é » iIp h» i ’ rn iic e , L«îs p rix mm quos en ch iffres con . , . ..,iancE Qiffimo viHn <lp F ran ce c lic rc ic tlc donc tou te solidarih '; «nvoc ces in d u str ie ls mniniiaiiLs qui fon t d es d éb a llag es d an s d i .„ .. ------c l a u m ép ris pu b lics . - U n ’ca la lo g u e dé ta illé d es m an 'lia n d ises qui so trouven t dans sc s inagasiiis, e s t ad resse aux personne.s qui le dcinaiidon t

Province. I ls en v o ien t tous le s éch an tilio iis #raneo e t tou te ex péd ition au -dessus do e.s nujnips pour P a ris e l la Province. Cette Maison n ’a do su ccu rsa le ni d e reprcscnUmw divcrsiîs con trées sous le nom d u PETIT-SAlîST-THOMAS; c lic le s s ig n a le a la défli|iu^:

Page 3: Ë$. - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1862_04_05_MRC.pdfmois de janvier

A nnonces Ju d ic ia ire s .Par arrô'.é deSl. lo Prériîrilè l'Oisé.W ptàuvé

par S . Bxo. le Minisii'c. do l'InK^ricur. .|o ( l« M r n a l 4 e SrM llii a élé'dcstgiiH npiir in ­sérer en ! 8 6 2 . dansTarrônilIssomcnlVlK Senlig,loutcs annonces ji^ iclafrea ctll^g^ies.

Là pnblieation légale des actes «(esociélé M l obllgaloirc pour .l’année mil liiiil ceni sojxaqle-dpox.dans cliacuno.des deux feuilles do rarronilispemenl; désignées pour rinscr- lion des annonces jndiqiaires.

m t B v x A E , ' m m a K . v A w s ( o r a s ) .

Par jugement du tribunal dépollcd ctffrcc lionncllc de Sentis, du cinq mars 1802, enre­gistré,

j'^ ^ o m m ée Clémcncc-Déàirée L a v o is ie r . âgée de S ia n s , née à CroiiyTSur-Oiircq. femme de Alcxandre'CnfiRRT,' marcbahd boulanger, demeurant .à Mareui1-sur-:0 urcq,

Pr^reniiedè vente d ep à iii li faiit poids,A. é |é cotidainhée en cinquante francs d’a

mehdé et aux frais!Par application des articles 3 de la lui du

27 maM f î ^ l , 4 ^ , 4 63 du code pénal,1 tribunal à ordonné que lé jugement serait

nlTiclié au nomitre de 25 excmjllaires, dont un serait apposé sur la porte du domicile de l i prévenue, et quVn outre Itulil jugement serait inséré dans lesdeiix journaux de j.i localité.

l'our cxiraii conforme :L e C om m iS 'C rrffier d u Tribuna l,

Signé : (îiitouii.Vn an parquet :

L e P ro cu reu r im p é r ia l.Signé.: A . D )tell<:.

A r t . 1*',Ktude de M* Jules TIIEMRT, .avoué h Scnlls,

rue du filiâtcl, n‘ 2 l .

V E . V T E S U n L t C l T A Ï l O i V. ENTRE MAJEUR RT MINEURS, .En la Maison d’écôîc d'Açv,

E t p a r te m ia istire dé M* Graux,' notaire à A çy , eotpmis à cet effet,

v m«Irmuge, Mte^gnir \ •MÎierettn,

Sise à Roûtt.i.ANGv;

C I A ' e i * l Ë C E 8

DE JARDIN ET TERRESSises anx terroirs de R osôv et lloutu.ANr,v:

B S 8 X Z XiOTSf]u ipo u rro n té trc réu n is f}a riic llcm cn fo u e iito la liié

l’A d judication aura l ie u le D im a n c h e ijuah 'o M a i 1 8 0 2 , lio tiro d e in jd i.

En exécution d’un jugem ent rendu contra­dictoirement entre les parties ci-.iprès nom­mées par le Tribunal civil de première in­stance séant a Scniis (Oise), de treize février mil liuit cent soixante-deux, enregistré et si­gnifié,

11 sera, aux requête, poursuite et diligence de M. François-llippolytc Lefèvre, manuu- vricr, demeurant a Itouillancy, canton do Ilctz,

« Agissant : 1* h cause de la communauté n de biens qui, à déliint de contrat de m a- i> riage, a existé entre )ui et la daine î^éiiê-

Itosine Vincent, soo épotisç, décÀIce audit « lloiiillancy, le, quatorze août 18IHV ïadile;’ » damé venvc en premières noces du steijf.

ViidOr-StatiislasPoirrée,scieur de tong, dé-' » cédé b Kdsoy, lë irois’aoijt t v.:,. à

» ^ E t a ëüu'së'dbs’ reprises cl créances » qitd le sieur Lefèvre puijl flvoir _îi çxçrcer. » contré Iadrie~conîm nnatilé*,3i''.' .. ..l'jl*

Ayant pour avoué constitué, M* Jules

PrtMÎéilé cotïiî^e f - « ^ ï‘'Bi.'/i:ôHiS-Ocnlà

« An nom et cornmc subrogé-iuieiir de Emile Victor Lefèvre, enfant mineur, issu du mariagc.d’entre M. lefèvre poursuivant et la feue flàme 'son épouse, néë Vincent, sus­nommée ; fonction b laquelle il a été nomtné

» et qu'il a acceptée, snivani délibération dii » conseil de-fam ille dnilU àtinieur, reçue et » présidée par M. le juge de paix du canton » de Delz, le quinze septembre mil liuit cent■ soixante e i nn, eiir^islré.;:

» Et encore bcause de l'opposition d’inté­rêts existant entre lé mincnr Lefèvre et le sieur l.«fèvre, poursuivant, son père et son Inlctir fé ^ l ; . ' ^>* L ^ it lùin&ir Léfèvré liéritier pour un tiers de lâ feüe dame lAsfèvrc, née Vincent, sa mère, décédée; »

M. bernard-Victor Poirrée» manou- 'iier. demeurant b ftosoy,

* Au nom et comme tuteur datif de :* 1* Slapislas Poirrée; 2* cl Zéliç*Alpbonsinc■ Poirrée, enfants mineurs, issus du mariage• d entre madame Lefèvre, née Vincent, sn s-■ nommée, avec le feu sieur Victor-Stanislas » Poira‘e, son premier mari ; fonction b la -■ quelle il a été nommé et qu’il a acceptée,> suivant délibératiott du conseil de fanii||e* desdits mineurs, reçue pl présidée par^^,* ’ .jugé de pafx dq canton de Retz, le quinzô i• *f‘ptcn)bro mil huit cent soixante cl un,» enrogisirée ;

" Lesdits mineurs Poirrée héritiers chacun• potit' ilh lierê, de.ladite feue dame Lefèvre,

oco Vincent, jëjir m^rc; »Ayant, les éfénrs Hotitroii et Poirrée, pour

M* Ernest C.halmin, exerçant prés Iç Tribnnai civil ( j o ^ n l i s , dcmcüiàiit

ladite ^aiRl-lïilairo, n* 10 ; .......A» u dftmciit appelés, de :

M. Emilc-Erncsi Lefèvre, garçon de m a- B«in, dçmçnrant h Nantcnil-lc-llaudouin,

siibrogé-iulcitr ad hoc du mineur Lefèvre, sus-nom m é, fonction è laquelle il a été élu et qu'il à'ac^ptéècsiijvant délibération d» cou Mtl de famtlle dudit mineur, reçue et prési­dée par M. le jiigq de paix du canton de Retz, on d ^ e du vingt-trois mars 1861, enregisirée; .. 2« Et M, Etiennc-!;auront VIncetit, berger, ilemeuranl à Bouillancy, subrogé-tntciir des mineurs Poirrée, se s petits neveux, sus-nom ­m és, fonction > laqiieljô li a été nommé et qu’il a acoeitlée, suivant délibération du con­seil de famille desdits mineurs, reçue et pré­sidée; par M. le jiige de paix du canton de Itetz, en datu du quinze septembre 1861, aussi enregistrée;

A là vente .sur licilatiori au pins oITr.mt, dernier enchérisseur c l li l’extinction des feus, des immcubles-dont la désignation suit :

S B s i c h x r A T i o x r .

% 11"» — B ie n » d ép e n d a n t «le la^ n c e e s ^ o j a . d e Ht*'* I j . c f c v r c .

Terroir (le fidsoyi canton de fte lz , ar­rondissement d e Sen tis , dônurtemcnt d e l ’Oise.

Prenalrr !,•«.Trois ares quarante-cinq centiares de terre,

Iipii dit le Fond des Forêts, tenant il’iin côté a M. de Belloy, d’antre côté à (oitlierine <Mii- beri, d ’un bout b Nicolas Bûchette, d’antre bout aux communes.

Ilélixièlue T#o«.N euf ares soixante-neuf centiares de terre,

Heiir d it le Chemin, de.la (W nue. teinnt d’un côté miJi b Jean Cuibert. dn nord h M. Victor lltippert,. du levant ,*iu pavé de la Cornue, d’ôccidcnl b l i con.mune.

Commnne et terroir de Üomttanctj, canton de Ite tz, arrondissement de Scniis, dé­partement de l'Oise.

Tr»iélème I«o«.,üne Maison de deux, travées à detix étages,

couverte cn'eliaum e.,iin petit Jiangar on ap­pentis par derrièiucotivcrt en chaume, le tout s ’entretenant sis lien dit la Cour l.otinet. petit janlin h côté contenant deux ares trente-cinq centiares,tenantd’iin côté dn nord bSI. Cor- rcnx, d’autre côté b ,SL Carré aîné, il’nn bout boiit b la. cour commune, avec droit b cette cour; toit b porcs dans ladite cour; d’antre bout b maderooisclie Primo. (Section C , n*’ 5 8 8 et o8D du cadastre.)

Et une petite grange d’une travée et de­m ie, couverte en tulles, située au même lieu, v is-h -v is la .m aison ci-d essn s, tenant d’nn côtéb la cour commune, d’aiilro ù lm e ruelle, d’un bout b M. I<7 irimotid Bartemonl, d’autre bout b Antoine Corroiix.

$ — B i o u s d é p o n d a n l « lo l ac o m u a u n a u t é « r c n l r c H fl. o l m a d a m e iL c f é v r c »

Commune de liouillannj.q ttiratrlèm e Sjo«.

Huit arcs soixante-dix ccntl.ircs de jardin b arbres et herbes, lieu dit la Itnclle des Champs, tenant d’nn côté au sieur Correnx. d’autre côté an sieur Jérôme Barlemont. d’un imul b Augustin llaze, d’autre bontjt hi ruelle des Champs. (Section C, n* 501.)

ClM«|wièaio !,•<.Six arcs q u a ^ t { e r |^ i^ .d ç .ic r r c , lieu dit

le chemin de urégy, tenant d’tin côté b l’hos- picé lâtÿl ^(^M qa^x,a’a«trp côté à madame l)ûpuis,<.4'unitmiila.ij représentant de mad.anic de ilelitÿ; d'autre bout au chemin de Bouil- la n ç f A j lr ^ y , ( î^ lio n j )^ , n* lô L )

Loi.Quatorze areS|Cinqiianie..«t un centiares de

.tcrr^y Jifen-djt;,le{ Chemin Blanc du Tijonsay, Mravcrsé^dénsAin l)out par hti cliemin.Menaut

d’uti côté .inx héritiers Courtier-Bei'iiard, ît..nioiqiice ciVij dft Meatix, dSm bout

de GtiétiA; d’aiiire !l M. Vcitlei-p e v a û x !

A M Ü D IC A T IO IV

1 Æ I3 B 3 '▲ F B Z Z .L’adjudication des immeubles sns-désignés

aura lien eu six lots qui pourront cire réunis partiellement ou en totalité, le Dimanche quatre M a i mil h u it cent $oixante-deux, heure de m id i, en la maison d'école d’Acr, et p.ir le ministère de M* Graux, notaire audit Acy, commis b cet c lfe l, sur les mises b pris sui­vantes, fi.xées par lo jugement sus-énoncé, savoir:Pour le 1*' lot, b trente francs, c i . .Pour le 2* lot, b cent francs, ci . . .Poiir Iq 3* lut, b sept cents francs, ci.Pour lé 4* lo t, b de^x cent cinquante

francs, ci . .....................................Pour le 5* lot, b cent francs, ci . . .Pont le 6* et dernier lot, b deux cents

francs,ci. . ......................................Total des m ises b prix.

j A r t . 2 .Etudes de .M* J u fx s PÉRABD, avoué à Paris,

rue Hossini. n"3. successcnrde M'IIyviianiir’, et de M* IUVIERE, notaire b Creil (Oise),

V K I V T EI tE BIEN S DR H IN R U n c ,

, Au plus offrant et dernier cnchéfis.sciir, f in Vélu t e e lp i r te ministère de M* R iv iè r e ,

norniVe d Croit (Oise),V<e l<(ini!i«| Avril IU«U,nilcu« iaeure»

’ ' «ierrirvée,EH V IN 6 t-N E U F L O T J,

9V

DE ütAl^ASSISE ET DES TERÜIHS ÉH DÉPENDiHT.

Situés terroirs d'ApREMONT et de CéF.li,, canton de Creil, arromlissouent de Srnlis,

département de l’Oise. L’Adjiidicaiiou aura lieu lo Lu n d i v in j t - e ' - m

A v r il 18G3, ii deux heures ilc relevée.

S adresser pour les reuseiyiiements :4" A Cren(O ise), « X|» RIVICRE. m tu k e

dépositaire d u cahier des charges ;2” A P aris, t SI- Jm.p,, flîliA IlD , àbou4

l)oursiimnm h venir, rue llassiiii, 3;•î’ L t à M' CAI.IN, notaire, rue Taiiboul

b o .

Les ohserv.ailon.5 écrite.? seront annexées au procè.s-vcrbal.

I.e M aire,L r h o i n r .

A nnonces Diverses;A VEiVDRlS

AVEC OU SA NS SON RICHE m OBILIERUNE JOLIE

H lIS O R DE U M PA G IIEA v e c K c iir le , n c m ic c , J lu rd ln « rA v crsé p a r «in C o u r e d ’c a i i ,

Située b Saint-Léonard, près Scniis. S ’adresser à MMIbnoist, «ofaiVeâ .Vcn/i’*; t i t pour visiter, au Jardin ier, sur les lieux

A L O U B mI our entrer en jimissaucc le 1" mai prochain.

DNE PETITE

H i H BOUBfiEOISSSituée:! Serills, rite ans Bersères. n" I. Pour les rens-Jijitemeiils, s'adresser,A M. liui.i.or-(b)um R, rue du n /a u m ', /.

50 fr. 100 700

250100

200

A rt. 3 .

M A B A IS4 c V i l I c r s - S a ln t - P M u l (O Ikc),D’une contenance snpcrficietlc de

« l l n e l a i * e s 8 C A r c s 5 0 C e n i .Divisés en 17. lo ’s qui pourront être réunis,

A A F F E R l l E R A Textiaclion des feu x .

En 1.1 salle de la mairie de Viilers-.Sainl-Paul. Par h m inU tère de;M* Ittviè&s. notaire ù Creil,

Le Dimanche 13 Avril I862. à deux heures de relevée.

S u r l a m i s e à p r i x d e l t s t francs d.- f-rm a ie annuel, outre tes charges de l’enchère.

Celte location aura lieu pour 13 ans qii commenceront par I.1 récolte li faire en 1862

A rt . 4 .Suivant acte reçu par M* Gn.vux. notaire b

Acy, le div mars 1862, cnivgts'ré, madame Tliérèsc-Victoire JouRD.MN. tiiilière, veuve de M. Pierre-Pascal Vigxf.r o s , ticmourant b Bouillancy, a cédé b M. Vicior-Pascal-nem.i- min VioNERON, tuilier, et b dame Louise- Tliéodora B.vri.rmont. sa femme, ilemeiirant ensem ble aiitlii Bouillancy,

La tuilerie exploitée à'iVmill.mcy par ma­dame veuve Vigneron.

L’entrée en jouis.sanca a été fixée an dix mars 1862.

Celle cession a eu lieu movenuml un prix payable tle la manière c l ainsi tpi’il est dit audit acte.

Pour insertion ;S ig n é : G r a c x .

A r t . 5 ,Suivant acte reçti par M* G r a u x , notaire b

Acy, le vingt-cinq marj 1862. enregistré. M. Victor-Amahle R a y o n fils, maître couvreur, demcur.inl b Acy, a cédé b M. Jean-Eiiennè R a y o n , aussi maître couvreur, aii même lieu.

L’éiablisscmeul de m dtro couvreur en tuiles et ardoises exploité à Acy par 51. Victur- Amable Rayon.

L’entrée on jouissance a été fixée an pre­m ier avril 1862.

Cette cession a eu lien moyennant un prix payable de la manière cl ainsi qu’il est dit au­dit acte.

Pour insertion :Signé : G r a u x .

.l.ôSO fr.

S'adresser p o u r tes renseignements :/* A M* JitLES TIIEMRY, avoué, demeu­

rant 4 S en tis , rpe d u Chàtel, n* 24 , pour- stiivant la vente;

2* .A M* CHALMIN, auoué audit Sen tis, présent à ta. vente:

,3* -£ t 4 M* GRAUX, notaire d A cg, dépo- ;Mfoi>« d u cahier des charges et des titres 'de propriété,

fq il ot rédigé p a r -l’avoué poursuivant, soussigné.

A Sonlis, lo cinq avril 1862.Signé : J u l e s TMEMRY.

I Enregistré b Scniis, le cinq avril 1862; reçu im franc dix centim es, dixième compris.

. Signé : G r é g o i r e .

Pour inserlioit;Signé : Jules T i i e m r y .

A r t g .V e n t e d e F o n d e cte C o in n ie r e e .

Suivant contrat passé devanit M* Haître- Dévallon, notaire b Chamlily, avec assi.siance de témoins, les vingt-sept mars et deux avril 1802 , enregistré, Sl“ » Loiiis-Onézime L a n ­g e a s s e . marchand épicier et débitant de bois­sons, et madame Célina-Angéliquc D ay’i i i , son ép ou se , demeurant ensemble b Belle- E^liso, ont vendu b .M. I.ouis-Erançois B o u ­c h e r , épicier et marchand de v in , et b M"* Atcxandrinc CnRNNEViÈUE, son épouse, demeurant b Eragny, près Pnntoise, le fonds de commerce d’épicerie, eharcntcric et débit de boissons que me.sdtiR sieur et ilame I a n - Gi.ASSi-: exploitaient b Beilc-li^lise. avec les ustensiles et marchandises en dépendant, moyennant un prix stipulé payable dans les termes fixés ainlit contrat.

Pour insertion :Signé : MAiTRE-DÉVALLON.

Ar t . 7 .

A Y ' I S . •Le M.iiro de Duvy donne avih qu’aux termes

de la loi du 3 mai 18-il-, le plan parcellaire des tcrrainsdonl la cession a été déclarée né­cessaire par l’arrêté de M, le Préfet, en date dn vingt-sept février 1862, pour l’ouvertHrc d'une partie dn chemin de moyenne communi­cation, n® 1 6 bis, sur le territoire do Duvy, et les autres pièces du projet seront déposés b la .Mairie pondant huit jours pleins, b dater dn doux nvrlL M que toute jiersonne intéres.sée pçnt se présenter pour en prendre connais­sance.

Pondant le ntêmo laps de temps, un procès- verbal sera ouvert nu Sccrélat^iat de la iMairlc pour recevoir les ob.servations ou n^clamalions vocbales on écrites qui-sc produiraient.

A D.,«a;EaI our entrer en, jouissance du tiers des terre''

le 11 novembre 1862. •

U N E F E R M ESituée il ins les environs deCrépy,

A v e c O O l l c e l a i * « ï s « le T e i * r c EN DEPENDANT.

S adresser pour tous rciiseiijnemonsà M'Tassaut, notaire a Crépg.

FERME DES FOSSÉS<l« la cn iitn n an co ilc H» IlccJapc, »» Ap«s 3« CeiiJE li ptu fiaurit p ièces

S in e h llinA M oN T, à I r a is k iliim è lre s ilc V il- l iT s - là i l ie r c ls , s la lio n ilo c lic rn in ilc fe r de r a r i s il S o is so n s .

\ C i O U E inFovnr l a M im écti,

S A U X IX B F B IS E D E M A T É B I E I , ,E n l'é tude et par Is ministère de M* .M ilet.

notaire à la Ferlè-Milon.L e D im anclie 15 A vril 18 >2. b m ie h e u re .

Les j'ichèrci sont « prendre le 41 novembre 48G2.et les antres terresle 41 novembre 4863.

S ’a d re s s e r :1* An iiro p r ié la ire a u ch â te a u d es E o ssé s .

d u l " a n 13 av ril 1862;2 ‘ E l i! iM* .Mii.et. n o ta ire à la F erté -.M ilon .

A f f j O U S îS l jian* A ilj i i ii3 « * a lî« » n ,Btn8«inblf> o u S é jm r é ii ie i i l ,

l ia I étude et par le ministère de SI® M i l e t , nolaire/i la Eerté-M üon,

Le Vendredi 2 .Mai 1862. b midi,

I” UNE TUILERIESise b la l'erte-M ilon, en lace la nouvelle

route de ('.hàican-Tluerry,

2 UREÂUÎHE TOILERIEPrès de la précédt-nie, b laquelle est attachée

l i n e € i i l l i i r e d e 9 à b e c ln r e x .L a si'tUfKion ds c?s propriétés et leur impor­

tance perm sttent d ’y élab'.tr une aub erge e t d'ij exploiter une ciihureî plus importante.

I,es proiluils fabriqués s ’écoulent par le ca­nal de rOurcq, passant b la Ferté-Milon, et par le chemin de 1er de Villers-Coltcréts d is­tant de 8 kilomètres.

On entrera en jouissance de suite.

A V E E A 'B m S S

.* ,000 BOTTES FOIIM IST 2.UZERNE

Au Château de Baron.

M iTliDE D'illlISSIERDans un chef-liCu de canton du dépbrlcincnt

de rOisc.S'adresser à IL COLLAS-XÉRV, huissier

à Senlüt.

A I j O U B H i m m c d i a l o n i c n l «u n e

n U S O K BOURGEOISEA ppartenant à la ville dê'Seniis,

Située eu cet te ville rue dos Trihnnanx, n® 1", en face la place Saint-Krantliouig,

S ’adresser an Secrétariat de la Maine.

A VEIVBRE\ m n i j i i i n

D'HOTEtlER-RESTADfiiiTfiUR PATISSIER & CâFETlER

Exploité b LRKIL, dan^ une Maison GrandeRite, portant pour onsotgnc :

I i4 l« ^ l « le l iV n iie e É.S”ii(/rcAGor à âL MÉLAND. n .Yndis,

lllonKipilloj, nalagnj, Borcs’l el Cl.amant,

A v É n i D n E iPAR ADJUDICATiON VOlONTAIRRi

, ,»tT «* B é ru ii,,Le Dimanche 2 7 U v r il 1M 2 , b midi,

h i t l eiudo cl par le minlslàt'e de M* Benoist» notaire à Sen tis ,

Wi®e n prix . , M,000 fr*line sfuje enchère adjugera*

o agresser audit M' Bbnoist, notaire.

70 HECTABES 21J(BES 26 lïiir. D E T É t I l tE

An lcrroif ilo la Clrap'nîIn-énïiSorvai.Km ri**ra,

A VEIillDIIE:,P « r n d J a d lM it o n *ol<iutnlr«>.

Le Mardi 2 2 Avril 1862. b m id i. h n l étude cl par la ministère do SI® Bbnoist

«o.afrc fl Scniis, successeur de M'CiiAftîiKK Al» p r^en c c do M* db AIay, notaire à Pont ’

Jouissance après la rémilc prorhalne, o Jdressor auxàits M" IIbnoist et dk 3Iay.

A V ë N D R C

UN BON CHARIOT. S ’adressera Senlls, b -M. MÉLAND*

* I . l l< ^ la B * e s 1 5 A r c s 15? C ojnt*

U E T S R R ËAux terroirs ilc Scniis, M^fitluS'êqné, Barberiç,

TROIS PIÈCES DE TERRESituées, deux sûr Pont, l’autre sur Sarron, A I j O U E R p a r a < i j n « l i c a l î o n ,

••oiii* a n»^,l in la M airie de fou t-.Sa in te -M axenre

Le Dimanche l 3 Avril f8 6 >, b midi ' l a r lenw iistere de .H* IlEXoisr, notaircà Srnlis

S .idrcsserniidit M'Bbnoist, notaire.

l O U e e t s u v e » 3 0 A r e s ^ O C e n i .

DE TERRE & PRÉA iu terroirs de Sarron. I>onl-Sainle-SIü\enco

Cl des Ageux,

<% L O U E R p a r A d j i i d i c a a i o n ,Br «iroo c>i ra Dttioil,

En la salle de la Mairie de Dont,Le Dimanche 45 A vril 4862. à une heure'

l’ar le ministère de M® Bbrojst, uni,lire iScnlis Joiibsoncii npiasi |a rériillc.

> ndi cMcr poui. rem eignsm cult, à JI' Dkiwist

» llre la rc s »S Ares » » C c i U .

DE TERREAu terroir de Gamhronnc,

A V E H I D R E,.<''àAnJUmCATIONVOta)STAIBR,

Le Lundi de Pâques. 21 Avril 1861, b mjdf, l a r le m im ic r e d e M® B eno lst. notaire a S e n tis ,'

A urt's-l«.s-.Mello, en la maison d’école, S iiilre s se ra u d it .M' B bno ist, notaire.

4 liccinrcs 3 3 Arcs 5 1 Ceiil.

DGTGBSEETFOÉAux terroirs île (:ires-les-.\Ic!lo, Ars, Durv

Bnisicourt, Bimssctoy, Cuinbronue, Saiiil- (.laude et Biirv,

A V E A R R Re*aAnjunir.ATioNvoLO.NT\inB,

A Cires-les-M eilo, eu la maison d'école, f x lu n d i <h Pâques. 2 4 A vril 4862. à 4heure- I ar le niinisiere de J f Bbn.ust, Hoi.nre à Senlii>

A a dresser a u d il M ' B knoist. ttotaire.

Etude de i l ' BORA’lCIIE.iiotuhc à Crépy.

33 riGCGS DE TEBBESituées aux terroirs de Gilocoiirt, Bclhancourt

et .Moricnvai,A ¥ E A R R E

ad jR aicR itoR v « l9 R ta lr r .Par le miiiislere do H' Uob.sicub, nu/aireâ Crenii

Lo Lundi de Pâques, 21 Avril 1862, cinq heures précises tlii soir,

A Gillocourt, en ta m a m n d'école. Entrée en jouissance après la récolte de 18C2,

Facilités pour lo paiement. S'adresser audit .M' Borniciib, notaire.

Ktudc de M* GIt.iUX, notaire â Acy.

MABSÔAI JARDINS. TERRES ET BOIS

Sis b Uoularrc. canton de Betz,A V E N D R A

r n r a à lR d l^ a t lo n v o lo n t a l r r .Le Dimanche 2 7 A vril 4862, à m idi,A Boularre, en la maison d’ticole.

Par le ministère de M* Gn.vux, notaire à Acy, Jouissance de suite.

Il ]T a tonte siW'té pour aequci ir-On traitera avant l’adjudicaliun, s'il est fait

des ofTres .suintantes.S ’adresser audit M' Graux, notaire.

Etude de M® V IUM A^,_nolairc â Baron.

MAISONP o u v a n t s e r v ir à t ’étàbiissem ent

<‘uM lldtel «u d’nii C'i»fè-K«Nl«iininàSituée b Nanleuil-lc-llaudoiiinj en face b

gaie du chemin de fer. A V É l iV O R E a u x « w e li t è iN ^

E n t ’I lû té lid e - ' V itte d e M a n te u il- te ^ lla u d o u in , Le Dimanche 1 1 Mai 1862.

Pai' le mhiwJtTfl ilc M* Y r.\]|A nt, no fa tre » Barot», O u u iilrc rn e n jo u is sa n c e d e su ite .

Il e e ra act^ortié tic s la c il i lê s p o u r |»ayer. l'adresser aud it M ' V ram a.nt, notaire.

Eludc(lc.M-UEMAY,nolilirai\l‘ont-Slc-jlaMnce

U K O N B O D I G E I BAyinit 4eiiR tiardiu*.

Située h Pont-SaihlCrMaxencc, sûr !c qnai du- lUcsnil Sarron, b pro:timllé de j a station

du chemin de fer, \A V È A R R e

PAR ADJUDICATiON VOLONTAIRE,En l'étude et par le mitùslèrc de M® dk AIat>-

no/ture li ^H t'Sainte'Siarence..

Page 4: Ë$. - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1862_04_05_MRC.pdfmois de janvier

K cl-nm V i d e r à q n c s , 21 A v ili 1 8 0 2 , a m id i.

| . a s i iu a lio n d e c e l le jiro p r ié td , s u r le Im rd d e la r iv iè re d ’O Iso , p e im c l d e la c o n v e n i r en f a b i iq ù o ô ii a n t r e e sp èce d ’u s in e .

|W B loiiJC’ M'litlff p o u r i t r q iu 'r i r .G ra n d e s f a c il i lè s p o u r p a y e r .

Jo u is sa n c e lo iil do s n i le .S 'a ih v s tc r autUt Bl' db M ay, tio(<ûrc.

n è n c ÉTUDE.

GRANDE MAISONT ra re ra é t j#«i* #•*» C'om**#

P r o p r e s à I» T a n n e r ie o n « Von* « n lr e 4'om n ierre e t l i it liia ir le ,

S iln c â h P o iU -S :û n lc -M ü x en co . r u e d e C n ry ,

A V B A D U l i lPAft AiminlC.VTlüX YOUIXTAIRE,

, . / in d e u x L ola ,U n im a iic lio 12 A vril 1 8 0 2 . V m id i,

A'/i rè ltid c H p a r le lu in is tcre tic .M' de May.fl PniihSaiiilC’J laxciic t'.

S 'a d resse r a ud il M' dk M ay, vu ln ire .

BO'mc é lu d e .

U N E M M S O ir\ iisin jçc t l’A u U o f iïtv ,

A iia iit p itn r easeitjiie :RESTA URA NT DU CHEMIN DE FER

. S is e h l ’o n l-S a im c -M a x o n c c , s u r la ro u ie de r ia u i l r o s . pic.s la g a re d u c lie in iii d e 1er,

A v e e le Toii<8« «l*Auli«r*te, le» « e n b le » menIiEttiiS»t l ’M enalle», OI»jH» inob*- i ie r » e t .VlnrehniidlreM ni «ICpe«idnnt,

A ,PAR AIMl.'UICATION VOLONTAIRE,

Kii l'c liu le cl p a r le w iiis lc re tic M' uk May, i io la ircà P o iiP S u in lc -ila xc iive ,^

l . e L u n d i d e l’à ipu 'S , 21 .Avril I8t>2, Ii m id i Jo u issa n c e d e su i te .

S û re té p o u r a c q u é r ir . F a c ili té s p o u r p a y e r . i"«d j rsse r a iu lil M' de M ay. M la irc .

K lu d e d e M' E . I.ACOÜÜ. n o ta ir e à .Naiileuil- ie-U und o u iu (O ise).

MAISON D £ CAMPAGNEA «ec «aate Kiirlo» d e r a p p o rt

e t d'M srénteni,

2 fiUTRES PETITES MAISONSL e to u t s i tu é il S eunev ière .s , c o m m u n e î le ( .lie -

- v rc v ille , ù t k ilo m è tre s île la s ta t io n de .N an leu il-le -1 li\n d o u iu .

PAR ADJUDICATIO.N VOl.OM AtRE,E h l'c im ie e l p tir le m in is l ir e d e SP I.Af.oni,

«o/«jVe li Ih iu ilo iiin .L e L u n d i d e P â q u e s , 21 A v rd 18(52, à m id i.

Jo u issa n c e d e su ite . F a c ili te s poui- le p a le in e iil.O n I r a i lc ia a v a n t l 'a d ju d ic a tio n s 'i l e.>l la it d i s

onV essu i'Iisau tes.S 'f ld r« # r r niidif M' I.acov.k, rmtnô-e.

K lu d c d e M ' l lO l S S E .v r , no i.iii e à M ello.

uisoR BoeaesoisEB e a u J a r d in , i 'o u r e t P o H e eoeSiere.S is a P o u l-S a in le - 'la N e n c e . s ia lio u d u i liem iu

d e fe r d u N o rd , à SM) m in u te s do P a r ie ,

\ v i i x o K i i :P n r n d j i i d l v a i i o n v o l o n l n l r r .

L e D im anclie 2?» Mai 18(52. à i io is lo -m es .E li l'c liidc e l p a r le v iiiiis li r e du M' J’ay e s .

tio la irc à l 'o iiP Saiidc-M iL rnice,E u pré.Toncc d e M' H ocsseau , uola ire <i ^ lelln .

i l y a lo iile s û r e té p o u r ae .q u é rir .S 'a d resser an .rd ils M" J Îo is se a l ' el pAVrA.

E tu d e d e M ' MAITHE>1»EV.VI.L0.N. n o ta ire à Ciia in b ly (O ise).

aO IIee<aros 1 3 Ares « 8 <'pii<

D EE n 2 7 P ièces

S ise s a u s te r ro ir s d e C h a m id y , M e sn il-S .iin t D en is c l l 'ro s n n y ,

A V E N D R EP n r n i t j u i l i r n l l o n % < ilo u 8 ttirr.

Par le m in is l ir e d o M- .MAiTUE-pEYAi-t-OA , iio la ire à C ham hlij,

L e L u n d i d e P â iiu e s , 2 i A vril 18152. a m id i, en l ’é lu d e d u d ii M* iMAtTiiK-DLVAi.i.ON.

E l le ! ) im a n c lio 2 7 A vril 1 ^ 2 , |i m id i, e n la m aiso n d ’éco le d u M c sn il-S a in t-D e n is .

' O n c iiin ra rn jf)nis*.Tiioe li* 11 novi‘m ln e iSGa F f lc ll i lé sp o u r le p a ie m e n t.

S ’a d resse rim d il M' M a itu l-D k v a llo x

E tu d e d e BP 'fO E R N E U H , u o la ir c à V e rh e rlc .

\ v e n d r e :P a r a d ju d ic a tio n v o lo n ta ire ,

Kn MniiMC on pnr i.o1B ■L e L u n d i d e P â q u e s . 21 A vril 18G 2, à u n e

h e u re d e l’a p rè s -m id i .E n t'é lude c l p a r le do M ' 'rornXKUO,

uo la ire à V crbcrie,

S IT S E IS S C A B (3B B S

lEUffi, mts £1 BOISE n 44 pièces

S ise s aux te r ro ir s d e V e rh e r ic , S a in l-V a a s t- d e -L o iig m o n t, V lllen cn v c , H a ray , N é ry e t

l iu le iix ,D 'u m contenance totale de \ \

l l e c ù i r c s 4 0 A r e » 8 1 C ei» 4 . iJo u issan r.c d e Riiiie. ‘

E n tré e e n lo n is sa n c e d e sn ite ,S 'adresser o n d it H ' TounxKun,

E tu d e d e M 'I I brbi S A L L Ê ,c o m in is sa irc -p n so u r & SenlUt.

Sirile « M V en te» , r w r B ella ii.

P ar le m in h iè re tic M 'IL S a u .k, co m m issa ire- pr iseu r À Sen tis ,

Le Piiii3Uclio t i A v r i H 8 » 2 , !i miili.

Dêafffssniiau»U sten s ile s d e cu is in e e t d e m é n a g e , v a is -

so llé . Y orrerle . (500 h o u te il le s v id es , g a rn i tu re s d e foyer, œ il-d e -b œ u f , g la c e s , m e u b le s de to n ie s s o r te s , n o m lu v u se s liti^rie , c o n v e r iu ro s , d ra p s , c lfe ls d ’hab ille m e n ts d ’h o m m e .

E l 7 «fm/i»é d ’f l i i i m ohjels.,« u C 'o m jK a n t . P r u I » i> r4 l i iB lre *

i : i i u l c i l c M 'I I E M E Ï . I i u i i s i i ! ^ | i i i s c u L a C l i a l i l i l l )

V K IV T EAl X KNCIliinEA PlinUQIlES,

A t ' i in i i t t l l y ,i l a i m i lie M. V a i i . i . a s t H ir.llF .t., m iiir lin m l

Im iirfier, ro u te ilc P itrie , l .c D iiiiaiH lie 1 3 A vril 1M 12, ii m u ' ln 'u r . '.

P ar le m in is lir e d u d it SI' IU m kt,

1 0 ,0 0 0 BO TTES

P ro v e n a n t d e la p ra ir ie d e feu M. A ü m o n t, ylllllf? IS O t .

<\u fo iiip ia n * . — F rjiU to rd tH alr* -» .

M t'uu' é lu d e .

A i< \ p n l i l i i iu e id’un

BEÀÜ MOBILIERV h n i i t i l l y ,

‘ D a n s lu V a is tm d i \ i l t td a m e veuve i o s s v . u s , (ira m le H ue , u" 7 S ,

I e s M ardi 2 2 , M crered i 2 5 e t J e u d i 2 i A vril ' 18.52, il m id i,

P iir le m ia is lè rc d u d it SI' Ukmkt.

(■.elle v e ille v en te c o n s is te ra p r in e ip a le m e u t e n : n o m b re u se b a tte r ie d e c u is in e , v a is se lle , b eau x se rv ice s d e ta b le e n p o rc e la in e s d o ré e s e t c r is ta u x , g a rn i tu re s d e fo y ers e l d e c h e m i­n é e s , am eu lilem eu ts c o m p le is d e s .ilo n , sa lle à m a n g e r , r liiim liro sà co iiclim '. «’ii a c a jo u , a n ­tr e s eu uover. p en d u le s , g lace s , ta p is , r id eau x e l te ii lu ic s , exce llea io c l u o m b ie u se lite rie , lu s lre s . lam p es, g ra v u re s , b il la rd , je u d e I n c - i ra c , u n e ip ia iiliié d e m e u b le s d e to u s g e n re s .

Au fo m p lu u l . frrtl» ord inaire»» .

E lu d e de M' .1. NOEE W i.l .E . Im is s ic r à Seiilis.

V I v ' ^ T E . - i S 'XE u v e n u d e ju g e m e n ts ,A C h n i i l i l l j ' (OiKpj,

Dtiiis la ijare d u ehem iu île fe r d u . \a r d ,L e D im aiicbe (3 A vril 18(52, à m id i,

286 SACS DE BLÉ.Se liMiivaiii d é p o sé s « la iis les M agasins -

du ('.hom in d e F e r ., tu

S iid re ssen w ilit .M 'Jules N u lkvv i.lk , huissier.

b a t te r ie de c u is in e , v a isse llo , fa ïe n c e , p d i’c o - la in e , v e r re r ie , fo u r iie a ii-c n is ii i iè re , m e iih le s • e n c h é iie , a ca jo u c l b o is -b la n c , l i t e r ie , g l a - * CCS, p en d u le s , h o rlo g e c o m to ise , fu sil d e | c h a s se , to n n e a u x , b o iiie illo s v id e s , p o m m e s d e t e r r e . , i

ICt H i ie g r a n d e t ju a n t i té d t i u t r c s n b je l s . A h x c o a d K lo i i» o r d t n n l r r « - .

Ë ü id T i i e M 'i l f e n O U A llT . h u is s ie r â ISaiitcn ll.

ARATE AOI..OATAIifiEA cause d e cessation d e c u ltu re ,

A A 'p f f ilf fn y ( O t a r ) ,E n la fe rm e d e BL C u a n ijé ,

P ar le m h m iè r c de BP lUnouAUT, hu isiie i'-p riseu r il N a n teu ild e-lla m lo u iu .

l .c D im an ch e Avril 18(52, â m id i p rc c is .

c H £ V iin i .> O D mB p n M * B é H c p s ,V a * l» e « ,V o i lu P r 8 » C h « P *

r i i r » , ï i e r s e s , € » l » « n e « , l ’l a y e » e l B tn i e l i e r » ,

fAACHlNE A B A TTR E,E t q u a n tité tV insti u m en ts a ra to ire s .

F ac ilité s p o u r le p a ie m e n t.

iWlfTAETlSSEBIENT

CHARRONNAGEA N a n tc u il- le - l1 a u d o u in (O ise),

A CÉISER l»K SU IT EP iin r cause de

T o iilc s facililé.s s c ro n l a c c o rd é e s à l ’acqnéro .ur. S 'a d re sse r , (i y a n te u i l - le - ! la d d o u m :A M. D.st.-voAunt:;E t li M. IIÛROII.VRT, hu issie r .

AU m o u v ë a u j u i f - e r r a n t .

M A R O H A l T O a D » W O T J T B A X r T É S B T O O W f f B O W O M ,

A l lioiincm- <|o inévonirlos’dami'squ’ulloa jo iiil h son coinniprcc ■-*t o b S k ï s . n n r l-.orsol» algériens, Coraols l,rass.èros h Mmpéralrice^

.n / : o ' s " ” !:r ,a“ i , 7 “ .ir .m .2 rv i. 1.S rr.; o .ra ,..smécanique h G cl 8 fr.; Corsets cousus, depuis o fr, jusqii a IS fr . , Corsets entants, saescoulures, d e p u is 2 IV. jiisqn’â Ofr. 80 c . > , »

' m e t o e s t a u t s t s e » j M t t m V S 't» »

«le 191' F B K M Ï , a v o u é « « e « li» .

Ou dciiiaudc un CLERC

M ê m e é l u d e .

Y lil iS T I 'P u r uiiiurll* '' (i« J i i s i i r r .

A .T S o ii lÿ K 's i i i , c o m m u n e d O rry - li i-M lle .

CHEÎADÏ, VoiîUaES,v r Ê K i E i . . i R i : c r i / r u u E

t.e D im anche 2 7 .lonV I 8 0 i , d m id i .E n la deni.'iiiv. du s ie u r M \ i;t in T u o i.k t ,

v o iliir ie r ot a u b e rg i . 'ie .Par le m in is lir e de M' Ju le s N (ili;\a i.lk , lttti>sur

à Se iilis .

{'•eUi' veille co n s is le e n : (5 c h e v a u x , v o ilu ­re s . Ii.iq iie is. f in i ie r s , t h ir r i ie s . lio rse s , h a r ­n a is , voliiille.s, pa iile . p o m m e s d e le i r e . fo u r­rag es , fu m ier. M eubles, u s te n s ile s do m énage, liugo d e co rjis ot d e la lile . T o n n e a u x e t h ou - le ille s v ides, e n v ie r , h u is à h u i le r , feriMillo.

E t une ijrande tiu a n litè d 'a u tr e s objets.Au Fom piM nl.

T O i \ I % E S ^ i E n P I n r c d e l a H a l t e , n® 4 « , A S K X S .IS

F a it la T o n n o llc r ie en to u t g e n r e , c n c a v c le v in ( t le m et e n b o u te ille . T ie n t le V in a ig re d t i r lê a n s p u r v in , en g ro s e t e n d é ta il .

M e t-o ii 'c r lr Bncoiupnri»l»le |»ttrH A i i t o x i q u ePARACHUTE SES GHEVEOÏ

I l e C T l . A l i B I A ' , C h i u i I f l l P .Ccllr .•omi.-.sUi.». f s l inlniltiMi- i.o«rarrèt. reT. . mt iil ta rlmie ili* « lir»rux ; l'Ile « Il .•nipcc lM- I" '»«=<>

ne tto ie im r jn i len u n l le c u ir r h e v c in , le .o l ■« iiin liè ie t el lieU iriiIrs lilo iich iilies ; s r t

r iioiiprniix tlie . eiir, Its lail »'|ia*"ir et les «eiitl ••■‘lU les el l .riliio ti. et eiiil>r. tie le laliiiicliinient ;ir _ l‘r i \ lin riiii'i'ii. ■( te. „ , '

, a .. .. .. .. r... .1. n i a ,1 .„ . .111.'. a . I r a . . ! . , - " u ™ - " ' . .U. t.w i^U l.T»p Sainl-Sativeuri — -.1 » ‘ *I. VlMim-vUcoil}'en,-lu,rJuo,o,.r. IMaie de là llalU-

A V E N D R E

B E L L E S( le t o u t e s c o n l e n a n c e s , s o i t p a r p e t i t s c o r p s d e f o r m e , s o i t a v e c . g r a n d e é l e n d i i e , b e l l e c h a s s e (d l '.h A lo a u x . d a n s l e s c o n d i t i o n s l e s p l u s f a v o r a b l e s 4 0 0 f r . à 1 .0 0 (1 f r . r i i c c t a r c , f a c i l i t é s d e p a i e m e n t e x c e p t i o n n e l l e s , n i t m o d a n s le s

e n v i r o n s d e D a r i s .

A L O U E Rd a n s d o b o n n e s c o n d i t i o n s , p l u s i e u r s f e r m e s d e ( l u a l i t d s o r d i i m i r e s , d e o O , 0 0 e t 1 0 0 f r r i i c c l a r e , à p r o x i m i t é d e r o u t e s , m a r c h é s e l c h e m i n d e 1 e r .

S ’a d r e s s e r à H I . « U I M A R D , r u e S a i n l - R o c h , 9 , a P a n s . ( A / f r ^ ______________

ÉLÊGAHCE. - BIEH-ÈTRE. - BON MARCHÉ. - HTGIÈHEC É L È B R E J U P E - C A 6 E A B É B IO A IH E

T IIO M S O XL a se u le J u p e q u i ic u n is s c la to reo S ré la a l i r i l i l

n a i f a i lc ; u n e l i iu rn n ro , |î r a c iu n s c à u n e l i a e ie le Innu îe , u ii b o n uiaieliO’ fa b u le u x à ilu c ï é n l a b l e

LA S E U L Eq u i se p o r te au ss i a g ré a b le m e n t en h iv e r q n en é té

l'LllS DE oèSE POUR SO ll...P î. t lS D 'E M U .tllhA S P O U R LES A U T R E S.

B I a a c . W a u e c« « o l r , R li»B«n««.r.JlVXD .(SSmiTIMEST POUR KKFAXS IIB TOUT ACE.

'a 'IilB .VISlBM V H K H V .n »S e iv -V u rh , l.on tlrcs , P a r is . S a x e , B ru x e lle s .

V E N V E A V D iT A X X .d a n s to n ie s bis b o n n e s m a iso n s d e n n u v cn u té s .

m o rce rio , l in g e r ie , c o r s e ts , e tcm o rc e n o , im g e iio , nMM-t», c»x ... ^

( '.o n iu ic o l é g a n u c , l a T O U R N U R E S P I R A L E e s t u n e i i o u v c a u l ç c l i a r i n a n l c .

i»OHM IDE DES CIIATEL.IIWÎESO D L ’H ï G I Ï a i E D O M O T E N - A O E .w ju — — —--------------

o Ponimiidp < cofoposrê d e pifliilf* ^yBlcniqllCl, à l««se ton ique — I> « rB * er t pa r C IIA I.U lX , ‘••«n» “ ■ 1 ^ nièat- ii.ra im i.lc é lo il cn .p li.jc |« .» n o . l« - llc cl.àU 'Ia.n-* d .i m o j:a -> 3 c p o u r (•oni.TTer,

i r , ! l : . r a i a n A . h urÀ d ;unc i L u . c r -m am -aM c. - Çc p ro d m i «cUvc avec v .g u ç n r ta c n .c d e .

.PÂTE ■PECTORALE

RÉGîiuî.D aînéB m C naninHi», R l*aria

B t»» *os rmcAoré l'a eixD rtiw m ins

fn n a B rrîS S p D B p o m m œT.tln leiMM perMU

6ÈP0T OMS TOUTES US BCmiES HIMMCIES J

«»»/ , \^Æ . 1 ^ . . wx. - ---------

i J é B i tb S 'ii l is i h c 7. M. l» iin .inF .nT , c o i l f c u r -p a r fn m c n r , p la c e d e la H a l le , 3 5 , à H ea u va is , c lu ‘ï M . IjA N C L et, ru e S a in t - S a u v e u r .________________

ElKilc do M' L E V A lU E .lm issio r-p riscu râ P réry - sur-O Isc.

DE MARCHANDISES NEUVESF a r s u ilc do c . s sa lio n do cm nm crco ,

A lix nXCIIF.RMS pmt.IQL'KS,A Uoraii (Oîim»),

E n la tlcm eure de M. R k u to i x . >»'’ épicier,Lo D im aiicho « A v ril 18G 2, ii m id i, e t jo u rs

s u iv a n ts s ’il y a lion ,Ptir le m in ù lc r e d u d it M' I.uv a iu r , huissier.

C ntte iicn le ro n s is tc p r in c ip a le m e n t en : M td n lie r : R a lte r ic e t u s te n s ile s do c u id n e ,

va isse lle , v o r iv r io , m e u b le s , l i te r ie , piaiio^^ Jtlarchânilises e t objets d ive rs : I :aü c ts , b o rd s ,

fds. c o to n , b o u to n s , c lo u s , sab o '.s . chiiiissurcf e l b a s ; e n r r e . cir.age, a llm n o lle s . m n id o n , v e r­m ice lle . r iz . v in s , liq u eu r» , v iu a ig ri;; h .ilances, p o id s , m e su re s , m o u lin c l briTloir à café , to n ­n eau x e t h o u te ille s v id es , e s c a rb i l le s , 'c l q u a n ­t ité d’a u tre s objcils e t m a rc h a n d ise s .

[ v in com plant^fit d» lo charge d u déc im e.

E tu d e de M* B E L LEN C E R . h u is s ie r â Betz (Oise)

m 's tm sanM iL 'iim▼ O X .O M T A IA B ,

P o u r c a u se d e d é p a r t .A à lirli|«iefi «la I9î*««rei*alle(i,

c a n to n d e B etz ,'A u d o m ic ile Àe M . M a c r e l , rég isseur d e l 'usine

1,0 D iin an eh c 1 5 A vril 18(52, à m id i.Par le m in is tè re d u d it BP IIgi.i.Bî(oKW.

I,a v e n te c o n s is te e n : u s te n s ile s d e foyer,

riLFLES VÉGÉTALESGOelVMATBDBS— POÏVGATXVES

« lu C A 8 V 8 X , « I r P a r i s .c.f* PII.UI.F.S ,.nr lcur*«'(i;< arilT ri (t.r K'i.r onuilii* fm-ile n.njU‘1 dlc» *c i.rclciit, sont 1*' •»»''(liurg(ttiJ'\>o»r romlM»llrr l» .....tlipiilion, dcinnro les liiwieuis cl l'ticrele du tniig, et jioiir rn- mciirr l'Iiarinoiiie d»n< (es roi.' ’lincis vilalfi. ( «ii.|iusre» «

______.^subilonres vig ita let, <• le» oiI» propriélé de donner dn Ion a.is ioU xiinH, dorurg,

rnliciicr IVslomi.c ni nlTnililir iili. im oesnrjc. _■» PII.til.FJi C.VL’Vl.V oV»igr..t ... rcs.me M. i.o.ssiié-inlis son* cc ra|iporl, elles ooiislil'ieni le

iilii, eoi.in.ode el le pin» ellii i.ee des p u rga lijï ron-iisj aussi sunt-clles ordonnées avec dnt.s leslalulies .siRiiê» el cl.riiiii<|Ues. ntiHrilcs, engntge- M'«n, iiilhinet, ralitirlirs, ihiulcun, iliirlres, tni- i/iinct, icrof'ulet, ele.1.0 ...erite des P1I.UI.FJ4 C \t VIX i.i'ul se resuiner

en ee« n.nis . irinidir on onfrele'liu la saule l a_l/ll iioiie de -*i) Piliilts, 'i tr., la lioite do SO Pilules o Tr.

PnKPAPF.ES USKJI EJIK.XT PAU J . F . «M iU V I.'V

Pl.arn.aelo.. de IVcole Mipéri-nre do Pari», idaeo de l’Arc-do-Triomnlio de I hlnilci (.liatnj.ï- ‘ i; |« é e s Pas» . .

,OT». fno inslruellon cs|dir.alisuest rcnformcc dans rlia'pic lioîle.

Dépid, ehei M. t 1 |i»»««*lng, pliarmaclen n Sonli»

E'I'AT (’.IV ll. I.i; SIÎM.IS.A'ûi«fljicf.«.

Mil u ir ( I le n û e t tc -R M ré c ) .C ü ltc rc a u (I te iir i-Ju llc n ) .

Décès.C ham pion (A lphonse), 6 0 a n s 4 m o is.R o b e rt (A ll.c rt-M nurice), 8 m oi». _ ü u i l le n ic r (Jcan iie -V ic lo iro ). 8 0 u n s o m o is .

P tih l l r a t la N B d e Î9 1 « rln « e a .R iilrc M. l’acauU (E rn e s t) , tn l l lc u r d 'h a b i t s

ft S en lis , c l M "' Chauffol (L o u ise L a ro lin c ) , c o u ­tu r iè r e â S en lis . . , , ,

E n tre Bl. M oiigolfier (B larc-A uguslin-A lphon- sp). lie u te n a n t «n 5* h u s s a rd s , e n g a rn iso n ù S en lis . ut M "' d u F c lo u x d e S a in t-R o m a in (AI- n lio iisiiic C iib n e lIc ). s a n s p ro rc ssio n à S a in t- R o m aiii-la -C haln i, ( ll» u tc - l-o ire ) .

lOHr» c1.e»e..% d'une iK-anto rema.>i«aML-. — Gc (.eouiui «ouvo avec r .s u o .. . .a . ..... - « d« L rillan ., de la .on,.le»be, el le* e.npccl.e de .Ion, l..r e.. A-n .ervaol jouroctlemenl.

CliALUIN, oUimi»to.|>arruinenr, n Rnuon. rne do I ltn|nliil, J ï el «u.P P iX D Ü P O T : A fr . 5o e. t t 2Jr. 60 c.

€ l i o e o l a t - l b l e dV A . n T S «---------------------------

ÜSIRB D T D lA T O IQ ra h MondIcBMrt

(Po-da-CdaU)

P i B J R X S

4 , B I I K D V T S H P I i l Cau coin de ccifs de BivoK

P B f e S L ’ H O T Ë L D E - V I L L E

TOIITB A TAMIOm k E m o R e r ie lA

(iU ca»|M )

n tK iiT no BiPKMt no jdit c im u i. n« i^m oB nou *■« I , a M a l M n 1 B I . B » « . « d — » « U l e i n y ^ € » y d M U B

p o u r f a b r i q u e r Im i e « i * ■»••*©■©• •lÆ C b o e é t e t - l M c d u vend chM lM priiicIpw » C oaflseu», P b an iiad « > i< t» p ld e» .y

Eli vente à la Lilirailic de M™' v' «EGTSIEU,

LË CHBETiBN DË iVOS JOËBSP a r C A b h é D A V T A I N .

1 " n i i r i K : L , ’ E ! « F A W C E E T E A J E U i V E S S E .

1 ' l 'i i iT i . : : E ’ A G E M E B E T E A V I E I E E E S 8 E .

L E JA R D IN IE R FRUITIERP R IN C IP E S S IM P L IF IÉ S •

DE L& TilLLGJlES ARBRES FRUITIERSA v e c l ’a id e d e n o m b re u s e s F ig u re s d e s s in é e s p a r l’A u te u r

EU O É i B FO ttiüEY IChevalier de la L é a io n - d ’I I o n n e u r , IV ofe-sseur d ’A rb o r ic u ltu rô h l’A m p h ith é â tre d o l fcxoie ■

d e M é d c c in c , b P a r is , p la c e U o y a lc , 9 . |P r i x t 4 P ra R C » »

i t 3 /itire de h f i l le d e S e n lis , />oi»j- lig a l i- iann liiiv d e 31. U rg n itr , a l 'n i t .

E n reg istré h S e n tis , le IflO'J, . Iteeu

,ftKitVVM9MAWeB&.UÉTRItFR0MKR1

MOISOX I I '* '] SEIGLE. | ORGE, q u a lité .)V ILLES. DATES

(58:00 0020 00 20 >9,00

(50,Oü

l " Avril 2 9 M ars. 2 9 M ars. 2 9 Alars. 2 9 M ars 2 8 Aiars 2 8 Mar.'i

.Senlis, ('.nm|ii<'gn<! be.iu v d is , C l j rm o n t . C rép y . iN antcuil. Ih ifil.

70 107.S 18

0 4 ( 24 8 0 0 0 0 1 7 3 3 2 1 00l2(l 0 3 1 0

l " q u » h ( é , 57 c . ic k i lu g r a io m e ;T A X E D u P s \ I N a d u le r d u 2 A v r i t l 8152

s i :n i .i s , t y p o g r a p h i e e t l i t h o g r a p h i e d e m - v h e g n i e r