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-y~55
1985 9 A
UNIVERSITE CLAUDE BERNARD
DESS INFORMATIQUE DOCUMENTAIRE
note de synthese
a monnaie STROLEUR Gii
T.E CASSilS c£L %JEF |
1982
m rass®
Claude MARMONIER. MARTiN
JUIN 1985
S O M M A I R E
Pages
1 - KBCBEBCHE DOCUMEWIAIRE. 1
- Interrcgations 1
- Pertinence. 6
- Presentaticn des notices bibl iqgraphiques 8
- L'acces aux documents primaires 9
2 - M03E DE SYNTHESE. 12
- Definitions 13
- L'evolution technologique 17
- Les enjeux 27
- Les moyais et objectifs 33
- Les coisequences. 47
- Biblipgraphie 54
- Bibliographie conplementaire 63
4
RECHERCHE DOCUMENTAIRE
SUJET
A 1'origine, le sujet etait tres large :
"les moyens de paiement et la circulation monetaire en France " .
Mais le volume des references nous a contraint a reduire le champ d'inves-
tigation aux nouveaux moyens de paiement ou "monnaife electronique" •
- CHOIX DES BANQUES DE DONNEES .
Les banques de donnees franqaises bibliographiques en economie ne sont
pas tres nombreuses • Apres un reperage dans differents repertoires ou
annuaires ( 1, 2, 3, ) quatre ban<|ues de donnees ont ete retenues :
ISISt SSHINX, DOGE et ECODOC . (Voir Annexe 1 pour le descriptif de ces
bases) .
Une premiere interrogation a ete faite sur ISIS et SPHINX , puis
nous avons interroge DOGE et EDODOC pour essayer de trouver des references
d1ouvrages ou de travaux universitairee .
- TECHNIQUES D'INTERROGATION :
ISIS, SPHINX, DOGE et ECODOL sont accessibles par le serveur G.CAM
grace au Logiciel BRS qui permet 1'interrogation sur oots libres avec des
operateurs de proximite.
1- Graupement frangais des producteurs de bases et banques de donndes : Repertoire des producteurs de bases et banques de donndes ,Paris,Mai 1983.
2- Grouponent frmyy » des producteurs de bases et banques de dcsnn es : Annuaire des banques de donnees franQaises fParis,A.Jour ,1984.
3- ANRT: Bases et banques de donndes accessibles en conversationnel en France ,Paris, 1980.
INTERROGATION DE ISIS
CIRaJLATION ADJ MONBTAIRE OU FLUX ADJ tONETAIRE$1 OU M0YEN$1 PAIEMEMTS1
RESULTAT 5375 DOCUMEMS
2 MONNAIE ADJ FIDUCIAIRE OU MONNAIE ADJ SCRIPTURALE
RESULTAT 5 DOCUMENTS
3 MDNNAIE ADJ ELECTRONIQUE OU PAIEMENT$1 ADJ ELE!CTRONIQUE$1 ELECTRONISATION FLUX ADJ MDNETAIRE$1
RESULTAT 122 DOCUMEMS
4 MDNETIQUE OU CARTE$1 ADJ MEHDIRE$1 OU TEUEPAIEMOT$1
RESULEAT 83 DOCUMENTS
5 1 OU 2 OU 3 OU 4
RESULTAT 5423 DOCUMENTS
6 5 ET FRANCE .GE.
RESULTAT 2361 DOCUMENTS
7 5 SAUF 1
RESULTAT 48 DOCUMEMS
8 2 OU 3 OU 4
RESULTAT 176 DOCUMENTS
9 .. AN 5 ET 7 RESULTAT EFFACE
9 ..SA CART VOTRE PROFIL A ETE SAUVEGARDE
2
ISIS
La premiere question a ete volontairement tres large . Le nombre de
documents oblige a preciser le domaine de recherche . Les questions
2, 3« et 4 sont donc une interrogation sur les formes monetaires particu-
lieres . Les termes "onnnaie fiduciaire" ou "monnaie scripturale" ne sont
presents que dans 5 documents . On peut 11expliquer par le fait que ce
sont des termes tres techniques, employes surtout dans des ouvrages de
recherche , et £on dans des articles de journaux qui font 11essentiel
des references d'ISIS .
Avec des termes comme "monnaie electronique " "paiements electroniques",
"electronisation des flux monetaires" ,"carte a memoire," "telepaiement"
ou "monetique" , on cerne un domaine plus precis et mieux fourni en
documents .
L1ensemble des questions 4vec une restriction geographique sur la France
donne encore 2361 documents . Le choix a ete de garder les questions 2
3 et 4 , c1est-a-dire le domaine de la monnaie electronique . Sur les
176 documents , les 100 plus recents ont ete demandes .
On peut faire une remarque sur 1'utilisation des operateurs booleens dans
la recherche . ( question 7 ) • L1operateur "sauf" applique a une question
enleve 1'ensemble des documents de cette question . Si l'or; fait une
addition ( 1 ou 2 ou 3 ou 4 = 5423 ) et ensuite une exclusion par "sauf"
( 1 ou 2 ou 3 ou 4 sauf 1 =48) on a la soustraction des ensembles
( 5423 — 5375 = 48 ) ; on perd tous les documents communs aux deux en-
sembles . La formulation par 11addittbn des questions 2 ou 3 ou 4 donne
176 documents .
Sur cet exemple , on peut conclure que 11interrogation par mots libres
dans ISIS , suppose que le domaine soit tres precis . Etant donne qu'ISIS
depouille des revues et journaux principalement , des termes generaux
comme "moyens de paiement" ou "circulation monetaire" renvoient a un trop
grand nombre de documents . De meme ISIS repond mieux a des sujets d'actua
lite (monetique , etc ...) qu'a des sujets theoriques (monnaie fiduciaire,
monnaie scripturale ).
INTERROGATION DE SPHINX
1 • «E CART 1 CIRCULATION ADJ MONETAIRE OU FLUX ADJ M3NETAIRE$1 OU MDYEN$1 PAIEMENT$1
RESULTAT 1505 DOCUMEMS
2 MONNAIE ADJ FIDUCIAIRE OU tONNAIE ADJ SCRIPTURALE
RESULTAT 2 DOCUMENTS
3 MDNNAIE ADJ ELECTRONIQUE OU PAIEMENTS$1 ADJ ELECTR0NIQUE$1 OU ELEETRONISATION FLUX ADJ MDNETAIRE$1 ELECTRONISATION MDT NON PRESENT DANS LA BASE RESULTAT 12 DOCUMENTS
4 MONETIQUE OU CARTE$1 ADJ MEMDIRE$1 OU TELEPAIEMENT$1 RESULTAT 2 DOCUMHMTS
8 2 OU 3 OU 4 RESULTAT 16 DOCUMENTS
9 MASSE MDNETAIRE.MA. OU 8 RESUUTAT 67 DOCUMENTS
10 ..PO 8
3
SPHINX
La strategie de recherche d1ISIS a pu etre conservee et appliquee pour
SPHINX apres avoir supprime les questions inutiles .
Le champ tres large de la premiere question donne aussi dans SPHINX un
grand nombre de documents . On s'etonne de ne trouver que 2 documents pour
"monnaie fiduciaire '' ou "monnaie scripturale " puisque SPHINX est une
BDD de theorie economique .
Le champ de la monnaie electronique semble bien cerne avec 16 documents.
SPHINX pouvant etre interroge aussi par Thesaurua, nous avons cherche
les documents indexes a "Masse Monetaire" . II y a 6? documents .
Nous avons prefere garder les 16 documents correspondants au domaine precis
de la monnaie electronique .
II aurait sans doute ete plus pertinent d'interroger sur les"flux monetai-
res" dafas une question separee . C1est en effet comme "monnaire scriptura-
le" et "monnaie fiduciaire" un terme plus technique que "moyens de paiement"
et "circulation monetaire" et cela aurait peut-etre permis de restreindre
le champ de la question 1 .
Apres 11interrogation d1ISIS et SPHINX , le sujet a ete limite a
la "monnaie electronique" et les interrogations n'ont porte que sur des
termes precis pour DOGE et ECODOC .
INTERROGATION DE DOGE
1 M0NNAIE$1 ADJ ELE3CTRONIQUE$1 OU PAIEMEWT$1 ADJ ELECTRONIQUE$1 RESULTAT 3 DOCUMENTS
2 ELECTRONISATION OU INPORMATISATION OU AUTOMATISATION ELEETRONISATION MDT NON PRESENT DANS LA BASE RESULTAT 63 documents
3 ELECTRONIQUE$1 RESULTAT
4 2 OU 3 RESULTAT
16 DOCUMENTS
74 DOCUMENTS
5 M0NNAIE$1 OU MOYEN$1 DE PAIEMENT$1 OU MDNETIQUE MDNETIQUE MOT NON PRESENT DANS LA BASE RESULTAT
6 5 ET 4 RESULTAT
7 ..P 6 ALL/=1 -3
9 MONNAIE OU MDYEN$1 PAIEMENT$1 RESULTAT
10 9 ET 4 RESUKTAT
11 10 ou 1 RESULTAT
2496 DOCUMENTS
74 DOCUMENTS
108 DOCUMENTS
3 DOCUMEMS
3 DOCUMENTS
12 .. P 11
4-
DOGE
La Base de donnees DOGE est orientee vers la gestion des entreprises,
ce qui ne correspond pas exactement au sujet . Mais comme elle s'est donnee
pour but de recenser la litterature souterraine, nous avons cherche a savoir
si des rapports ou theses concernant le sujet, s1y trouvaient .
On interroge DOGE par mots libres .
N' ayant eu que 3 documents repondant a "monnaie electronique" ou."paiements
electroniques" nous avons essaye de croiser "monnaies " ou "moyens de paie-
ment"avec des termes se rapportant a 1'automatisation « On obtient le
meme nombre de documents apres 1'intersection de ces deux ensembles
(question 6) et une visualisation rapide des premieres references , permet
d'estimer qu'elle est vide , et que le domaine de la monnaie n'est pas
concerne «
La question 9 est une reformulation de la question 5 • Le mot monnaie n est
pas mis au pluriel . Le nombre de documents est moins important .
Au singulier, le terme monnaie est plus etroit . II ne represente plus
que la monnaie abstraite a l*exclusion des formes concretes de la monnaie .
C'est un moyen de mieux cerner le sujet . L'intersection avec les mots
informatisation et automatisation ne donne que 3 documents ..
L'addition avec la premiere question aussi . Ces trois documents sont
demandes .
INTERROGATION DE BOQDOC
1 M3NNAIE$1 ADJ ELECTRONIQUE$1 OU MDNETIQUE
RESULTAT 13 DOCUMENTS
2 CARTE$1 ADJ MHMDIRE$1 OU TELEPAIEMEMT$1 TELEPAIEMEOT TERME ABSENT DE LA BASE RESULTAT 2 DOCUMEMTS
3 1 OU 2
RESUUTAT 13 DOCUMEWTS
4 ..PO ALL/DOC=ALL
$
ECODOC
L1interrogation de ECODCC a ete la derniere et a pu etre plus rapide et
plus precise .
Nous avons interroge uniquement sur les termes preois de monnaie eleotronl-
que , carte a memoire , monetique et t41epaiement . 13 doouments repondent
au sujet .
6
PERTINENCE
ISIS
Les 100 references demandees s'etendent sur la periode allant du mois
d1avril 1983 au mois de decembre 1984 (1'interrogation a eu lieu debut
fevrier 1985) . La mise a jour est variable suivant la periodicite des jour-
naux . Les references les plus recentes sont celles des quotidiens et hebdo-
madaires . Pour Ja revue mensuelle "Banque" par exemple, la derniere referen-
ce date de mai 1984, alors que nous avons trouve des articles pertinents dans
le numero date de novembre 1984 .
Ces references se rapportent a 39 revues ou journaux .
Sur les 100 dacuments , 6 seulement ne repondent pas au sujet, 18 corres-
porident a des avis finanqiers de societes impliquees dans les telepaiements
ou des comptes-rendus ne comportant qu'une page .
Ces 43 references ont ete eliminees de la recherche .
II n'y a qu'une vingtaine d'ouvrages de reference ou articles de fond (dont
6 n'ont pas pu etre obtenus) Mais les 100 references demandees ne remontent
qu*a avril 1983 . Des ouvrages anterieurs ont ete trouves par d'autres
recherches dont on n'a pas pu verifier la presence ou 1'absence dans ISIS .
Cette B D D ne parait pas tres appropriee pour une recherche retros-
pective des ouvrages de fond . II y a trop de references .
^lle convient mieux a une recherche d'actualite dans un domaine precis .
?
SPHINX
Les references ne sont pas datees et ne donnent aucun moyen d'iden-
tification de la revue ou de 1'ouvrage, ce qui les rend difficilement exploi-
tables . D'apres les titres des articles , 5 semblent etre hors sujet .
5 references se • retrouvaient aussi dans ISIS .
Une reference pertinente seulement a pu etre localisee ( re ) Les autres
(soit 5) n'ont pu etre trouvees , faute de precision .
DOGE
II est difficile d'evaluer la pertinence de cette BDD dont le
domaine (Sestion des entreprises) n1est pas tellement celui du sujet .
Les 3 references trouvees sont pertinentes . Ce sont des travaux
de recherche de 1981 et 1983 •• Les references XC (bibliographle catrpldmentaire)
sont des rapports de recherche sur la carte d^ paiement faite au CESA .
On est donc etonne de ne pas trouver aussi "1'electronisation des flux
monetaires" ref ( 65 ) coedite par le CREI et le CESA qui date de 1982
( le CESA est coproducteur de DOGE') .
ECODOC
Les 13 references sont pertinentes . La plus ancienne est de
decembre 1980 , la plus recente d'octobre 19^3 • La mise a jour est tardive
On a trouve des articles de 1984 , dans des revues "Banque" et "Eurepargne"
depouillee dans ECODOC .
II y a une reference d'une revue Italienne et 2 d'une revue Belge .
Les 10 autres ont pu etre exploite@s et sont des articles de fond importqnts
ou des rapports de recherche ( ref IV ) du CREI de PARIS XIII -
La encore , comme pour DOGE , on peut s'etonner de ne pas trouver "1'electro-
nisation des flux monetaires " (ref 65 ) coedite par le CREI et le CESA
(le CREI est coproducteur d'ECODOE? . )
Ce sont les resultats de cette BDD qui semblent les plus interessants pour
le sujet , et on regrette de ne pas pouvoir y trouver des references plus
recentes .
s
LA PRESENTATION DES NOTICES BIBLIOGRAPHIQUES
Pour ISIS et SPHINX , compte-tenu du nombre de documents , nous avons
demande la notice restreinte : Auteur, titre, origine .
Cette notice est suffisante dans ISIS pour exploiter les documents :
11origine indique titre de la revue et date, ou editeur lieu d' edition
et date . Par contre, cette notice dans SPHINX est inutilisable :
en effet il n'y a pas d'indication de date ni pour les revues, ni pour
les ouvrages .
Le titre de 1'article ou de 1'ouvrage est le seul moyen de tester
la pertinence de la citation .
Pour ECODOC et DOGE , nous avons demande les notices completes :
Auteur , titre, origine, annee , nature de 11ouvrage , langue , mots cles,
resume , Non seulement on peut facilement localiser les documents ,
mais on peut evaluer leur pertinence avec le resume , et reperer les
mots-cles pour eventuellement une nouvelle interrogation .
On donne ci-dessous des exemples de notices de SPHINX et ECODOE ,
se rapportant au meme ouvrage ( ref
DOCUMENT 16 SPHlNA AU DIRECTION JOURNAUX OFFICIELS. TI JOURNAL OFFICIEL- AVIS ET RAPPORTS DU CONSEIL ECONOHIQUE ET
SOCIAL. T A LA MONNAIE ELECTRONIOUE.
DOCUHENT 11 NO 32-N0867. pCOPOC AU GAUTRAS (N. ), rapp. TI La monnaie e lect ronique. OR FRA. Journal officlel de la Republique Francaise. Avi s et rapports
du Conseil Economique et Social. 1982/06/11. 12. pp. 523-582, tabl. f ig. SC. ECO. /DIJON: P.0399.
AN 1982/06/11.
NA P. LA FRE. CC 3. 314. MA monnai e elpctronique. France. 1932. automatisation. echange.
banque. moyen de paiement. carte de credit. RE La monnaie electronique en France en 1982: Avantages, cout,
securite. Problemes economi ques et sociaux poses au ni veau de l1emploi, de la securite, (utilisation frauduteuse de cheques). Composante de l'automatisation des relations financi erss au niveau des echanges entre banques, du developpement des distributeurs automatiques. Les moyens de paiement.
3
. L'ACCES AUX DOCUMENTS PRIMAIRES .
L'acces aux documents primaires a ete un probleme important , mal re-
solu , ce qui enleve beaucoup d'interet et de credibilite a 1'interrogation
de ces banques de donnees .
Les notices de SPHINX ne permettaient pas la localisation des documents
primaires .
ISIS est produite par la chambre de commerce de PARIS . L'acces aux documents
primaires y est possible sur place, mais il n'y a pas d'expedition de pho-
tocopies . L1acces a la chambre de commerge de LYON est impossible , si la
recherche n'a pas ete effectuee par ses soins .
II a fallu localiser les revues a LYON ( en grande partie a la bibliotheque
municipale ou au centre de documentation de 1'Ecole Superieure de Commerce)
ou demander directement a 11editeur, un exemplaire de la revue .
Sur les 39 revues citees, 12 n1ont pas pu etre obtenues . L1acces aux
documents primaires est malaise et fait perdre beaucoup de temps .
Les ouvrages universitaires cites dans DOGE , ref ( U)
ont ete demandes au pret interuniversitaire . Ils n'ont pu etre trouve ni
au CESA ni a 1'Ecole superieure de Commerge de PARIS . Les ouvrages cites
dans ECODOC ( ref HUt-ZGT / n'ont pas encore ete obtenus apres un mois .
. AUTRES METHODES DE RECHERCHE .
D'autres methodes de recherche bibliographique ont complete 1'interro-
gation des bases de donnees .
1) pour les articles : a partir des titres de revues citees dans ISIS,
une recherche retrospective ainsi qu'un suivi a partir de la date d'interro-
gation ont permis de trouver quelques references (revues Banque , 1'usine
nouvelle , 1'Expansion , le Monde , les Echos ) .
2) pour les ouvrages : 1'exploitation du fichier des theses a la bilio—
theque a permis de trouver une these recente et pertinente ( ref 52~ 0
L'utilisation des citations n'a pas ete efficace . Les ouvrages cites etaient
soit deja connus , soit edites a 1'etranger , et difficilement accessi-
bles . Les noms d'auteur et les centres de recherche cites dans DOGE
-fo
et ECODOC permettent de reperer qui travaille sur le sujet .
Nous avons pu obtenir "11electronisation des flux monetaires" au CESA
( re' &S-- CCNCLUSIONS -
On peut degager quelques conclusions sur 1'utilisation des bases de
donnees bibliographiques en economie , en soulignant qu'il s1agit de conclu-
sions faites a partir d'une interrogation sur un sujet et qu'il faut se
garder de generaliser .
- Les Bases de donnees interrogees pour cette note , ne font pas double
emploi . Si elles se recoupent sur certains points, elles apportent toute-
fois chacune , des informations differentes .
Avant de choisir une base de donnees , il faut considerer avant tout les
producteurs de bases .
- On peut faire des remarques d1ordre pratique . Les notices restrein-
tes de SPHINX sont inexploitables . II faut donc demander la notice complete.
L'acces aux documents primaires est difficile et c'est le principal obstacle
a une utilisation efficace de ces bases .
- S'agissant des ouvrages references , on constate que.la litterature
grise est mal repertoriee et peu diffusee par les banques de donnees en
economie .
- les difficultes rencontrees dans cette recherche ont souvent ete liees
au choix des mots-cles et renvoient au probleme de la conceptualisation en
economie . Nous avons repere un certain nombre de termes ou d1expressions
pour designe- "la monnaie electronique" s
. Monnaie electronique , monetique, electronisation des flux monetaireg,
nouveaux moyens de paiement, nouveaux systemes de paiement, telematique ,
telepaiement , transfert electronique de fonds, on-line , (moyen de ) paie-
ment electronique , carte a memoire , carte de paiement , carte bancaire.
M
On trouve aussi les rapprochements : banque, monnaie, moyen de paiement,
paiement, flux monetaires avec (nouvelles) technologies, automatisation,
informatisation, electronique etc ....
La recherche sur mots libres est donc delicate parce qu1elle peut
etre tres restrictive (monetique ) ou au contraire entrainer des bruits
(recherche avec rapprochement sur les termes "paiement" ou "monetaire"
ou "monnaie" par exemple, qui livre un grand nombre de references compor-
tant ces termes dans le resume ou le titre .)
On peut illustrer cette reflexion en comparant ECODOC et DOGE .
Dans ECODO , tous les documents trouves sont indexes par "monnaie elec-
tronique" p Suelques soient les termes utilises par 1'auteur dans le titre
on 1«article . Cette unite dans le choix de 1'indexation , permet d'ob-
tenir rapidement des documents pertinents • Par contre, on peut difficile-
ment evaluer le silence sans doute produit par une telle indexation (pro-
bleme des documents indexes avant le choix de ces termes , docuoents qui
echappent a cette qualification etc ... )
Dans DOGE , le parti pris semble etre de conserver les termes choisis par
1'auteur . Sur deux references , on trouve: "monnaie-1 electronique " pour
1'une et "informatisation, banque , telematique, moyen de paiement" pour
1'autre .
On constate que 1'interrogation sur des termes generaux est impossi-
ble , compte-tenu du graad nombre de references et que 1'interrogation sur
des termes precis est rendue aleatoire par les choix de 1'indexation .
4L
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[f*j *> •
On peut deflnir la monnaie electronique comme Vensemble des techniques injormatiques, maenetiques, electroniques et telematiques permettant Vechange de/onds sans support papier. Encore faut-il preciser que dans sa definition la plus restreinte - qui est la plus couramment admise et qui est celle retenue dans la pesente etude la monnaie electronique implique une relation tripartite entre les banques, les vendeurs, les acheteurs, avecla mise a la disposition de ces derniers de dispositifs d'acces aux systemes de transferts de fonds. Dans ces conditions les relations financieres informatisees a caractere bilateral ne pourront etre mcluses dans la defin -tion de la monnaie electronique meme si par certains cotes elles s en rapprochent forteme
/• attffc au' oMl <4 <2-
pl. " oarl ,At*> aumz. el-Qu AmMs <k ffalL Wr*
S. oatfeeit d® /mwAb Je<JiujSx
poT (L oUtk'M£ amosu • j) • MAKTHES -ia HxJtX-—
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/newxm. A(Miird-/waneileu^" 4^ kckiwjp&i -ta«44 GuiCLc yienJ-a^actmi.." [rf&Z -ft3 '
fiOUSSU op«i cuxir-fiuiaetit'OM— v /tmehjM- " ed m. / 6 J < L & - < y " W i o w -
"tM\wai£."et'v Mtrnu!yA" fauM- (h cia^uMhan iadwifc •• Non encore consacrie par l*Acad6mie, Ia monfeti-
que, nous dit-on, pourrait €tre la rencontre de techni-ques (cartes 4 pistes, 4 mfemoire), d'industriels (fabri- p Q/j C*3-# 1 cants d'ordinateurs GAB, TPV, etc.) et de services rCj fjrx j P3 M^J (conseils, ing6nierie, r6seaux, etc.) au service des dmet- 0 / I teurs et des utilisateurs.
AS~
L OissMJ&Jio*. (a (jb^x/hIxoa. ci-&. dtiudbp-
oemui- tiewwJ&M- Q)r J&Z- (\15\Jt=U. £ eJr
jht Jjw*k cti&Uf&w*!' dtM cdfc ( bM. jp&tA Csigz. .• D'autre part, il est 6vident que les liaisons entre les banques et les diverses sortes de terminaux mis par elles au service de la clientSle de particuliers ne peuvent fonctionner si les banques n'6tablissent pas egale-ment des liaisons int6rieures et des liaisons avec les autres banques qui puissent assurer la transmission de 11information par la voie de 1'ordina-teur.
c^j J X mentc ^okjk Aafaei pr Gu om Jh 4_
C&ih Mum (L (kwhwL d 0- &(* <*r3j QL fUiaMuJLnjL.
um. Wt huki hduti uiAr-A/WJJueHlk} - C&tf' &6 cuLkuti jOo or d glkhdvUlehcn d£6 /jwmjil&utA " (jmm. /da<wu&tiz— rfitJL • L'electronisation des flux mon6taires : la lourdeur d'une telle expresslon /I ne peut se justifier que par sa pertinence. Ce que nous avons voulu montrer
avant tout, c'est le caractere profond6ment homogdne de technologies extra-ordinairement diverses en apparence. Mais pourquoi alors ne pas utiliser les expressions d6sormais consacr§es de "monnaie Slectronique" ou de "transfert electronique de fonds" ? Ces deux expressions associent trop Stroitement selon nous, Technologie et Finance. La r§volution micro-61ectronique ne vient, en effet, que sur-d6terminer une dynamique des flux mon6ta1res dont 11 faut, avant toute chose, mettre a jour les m6can1smes.
C r f c r p z o l L /mxjui Serou -em
yiiUl/W" 6» ponah QL </u£— adojdft'. t>. ke&LSA
J-]'^ JijtMi dsu cLl GnMAAU'£ an CUJL Ctu :
-(6 Les nouveaux moyens de paiement peu-vent etre definis comme l'ensemble des «moyens individuels de mouvementer automatiquement la monnaie fiduciaire ou scripturale, et d'acceder a l'informa-tion relative aux comptes». Cette defini-tion, avancee dans le cadre d'un groupe de travail reuni par le Commissariat general du Plan pour esquisser une prospective des intermediaires finan-ciers, rejoint celle donnee par le Conseil Economique et Social lorsqull a cherche a cemer le concept de monnaie electro-nique.
Celle-ci etait definie comme «1'ensemble des techniques informatiques, magne-tiques, electroniques et telematiques permettant 1'echange de fonds sans support papier...» (1). Mais la definition avancee dans le cadre du Plan est plus vaste car elle fait clairement ressortir Timportance que jouent non seulement le fait de pouvoir faire des operations, mais egalement le fait de pouvoir disposer d'informations.
[<*{. 35 y rO
Uuoju.'
dduMbtn trfr (n tJieM Gonjjz—(kJaJo
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Cette monnaie est apparue pour pallier les d6fauts inherents au systeme de paiement actuel, malgr6 la multiplicite des instruments de paiement: especes, cheques, virements, cartes accreditives et pr§le-vements automatiques. Toutefois, la monnaie ilectronique peut etre perque comme le prolongement d'un processus technique d'automatisa-tion des relations financieres et non pas commeun ph6nomene de rupture avec le systeme existant. Mais une diff6rence peut Stre not6e dans la mesure ou 1'informatisation n'avait pas jusqu'a present transform6 fondamentalement les relations financieres entre la banque, les commer-gants et les entreprises, mais visait seulement 6 rationaliser la transmission des informations financieres au sein meme des banques ou des entre-prises. Or la monnaie 6lectronique rend possible une 6lectronisation des fonctions financieres externes des diff6rents agents 6conomiques: banques, commerpants, particuliers.
-13
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Z- rfcJtridk JL'rec(tUUJ2l£t~ QUL UM.loci~ OUJtC I uMsakur.
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J^iuteiwdkttirz (Jr uuz. arik- o muuoi^. •• JeJ chfahaJeuJS biljeJo jflr •.
ajjkujJtijw A imau*-. jl&ts recmk &mb tia krmrrw\ ^oifh ai rfidc (PV) d& &vuuu^aitk.
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yUudvons. * . J<w dtftz/oiL<tL, au\ * Q>s\to dtLcfzdih* W* cpJtMsb Auujp&^uJi/^ 6JL Mhih i/uuLeckd' d Gz/u^k- tciM£ai're^ QpAt&n. Oi d UMJL. Ajcju/t, ok d m. cf$ictL. ck~ (k^r-Y ks CAria CL^tsfo (ipmj cGrujvffaih
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CoojUcc - d uuuq, (juuitg' fuukMpeuJtz d uuz uuilu&irc ch— freuJaj^ cI ujuul (AMw&irz- lo^xutHsu tyu^ ctwufo. Ud (Mcchifci
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jAadJk kdUjduos^y * epMfKruuJ-au— cmmejyaid- ck umwWT \& /nwoacii t"*) tkdheM p*rw O)tki-.Ox dfski^utL. (k ^p£ (bwAwux-<&*-paiwjwh
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masMub d i/Jonua saPim iowcotoe. ; /tictkWs e ~ &A
/acLyua cufVBu/sJ-fs^r & (Jtedek-
Les expdriences de cartes de paiement en France
Cartss utBfeias Modafltte dfl inlse Tarfficstion* Responsabtiitd das partenairas
Utffisstion du syst&nft
BLOIS i, CAEN, LYOIM: CARTE A MEMOIRE OFF LINE (ddmarrage: fin 1982)
Cartes d m6moire d6li-vr6es par les banques aux commergants pour ouvrir le systdme Cartes d mdmoire Ipso distribu6es par les banques aux clients pour I'exp6rience: • 13 000 fabriqu6es par Bull pour Blois • 26 000 fabriqu6es par Philips pour Caen • 24 000 fabriqu6es par Schlumberger pour Lyon
Phase exp6rimentale uniquement en loca-tion: 200 F/mois Prix de vente pr6vi-sionnel : 7 000 F (quand la machine sor-tira en s6rie)
<"PSO Trois vffles, trois fabricant
Taux: • 1,20 % pour 1 6 40 • 0,70 % pour 40 6 100 • 0,60 % pour plus de 100 Date de valeur: • J + 3 pour le commerpant • J + 3 pour le client
tS55 J ciarc K nuHiiiTi» 1 ot/ei 1 nt kiiit s. V
s de cartes simitaires. pour b
Commerpant : garde du mat6riel (pas de boite noire**) Garantie de paiement: 1 000 F (dans le cadre du plafond mensuel) Client: risque minime (code en principe invio-lable)
fFso 1 181 bl Sllbl btlas ^ MIMW OM3
•ois exp6riencas paraBHas
Blois : • 114 machines acti-ves pour 180 pr6vues et 166 instai!6es • 3 100 op6rations par mois Caen: • 123 machines acti-ves pour 220 pr6vues et 201 install6es • 3 600 transactions par mois Lyon: • 93 machines actives pour 186 pr6vues et 162 install6es • 2 500 transactions par mois
AIX : C ARTE MAGI NETIQUE OFF LINE AVEC GESTION D'UN POUVOIR D'ACHAT (d&rarrege: sept. 82)
75 000 cartes magnfr-tiques avec Iso et Iso
: • Carte Bleue • Carte Bronze • Eurocard • Carte Cr6dit Agricole • Cartes sp6cifiques Fichier d'opposition : une liste noire de 2 000 noms
Terminaux en location.: 200 F/mois Prix de vente pr6vi-sionnel : 6 000 d 12 000 F
Taux: • 1,20 6 1,30% pour 1 6 20 e 0,70 d 0,80 % pour 21 d 40 • 0,60 d 0,70 % pour plus de 40 Date de valeur: • J + 3 pour le commerpant (sauf mo-dalit6s sp&afiques Eu-rocard) • J + 3 pour le client (sauf pour Carte Bleue)
Commereant: respon-sabilit6 d'un mat6riel dont il a la garde Garantie de paiement: 1 000 F (si le plafond hebdomadaire n'est pas d6pass6 sans au-torisation pr6alab!e) Client: Vassurance ne prend effet qu'au mo-ment oti le vol (ou la perte) est signal6 d la banque
144 commerpants 205 terminaux chez les petits commereants (mat6riel Esd) 63 terminaux 6 Euro-march6 (mat6riel Csee) ;
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i
SAiNT-ETIENNI EETSA REGION: CARTE MAGNETIQUE ON UNE (d6marrage; mars 1983) e e e #
150 000 cartes ma-gn6tiques avec piste Iso 2 pr6vues, dont 120 000 distribu6es (26 000 effectivement utilis6es): • 27 000 de la Carte Bleue • 93 000 de la Carte Bronze Fichiers d'opposition : un fichier positif illimit6 et un fichier n6gatif illi-mit6 (sauf pour Carte Bleue)
Terminaux en location: 60 F/mois pour les 18 premiers mois, 200 F/ mois pour les suivants Prix de vente pr6vi-sionnel: 1 000 F
Taux: • 1,20 % pour 1 6 20 • 0,70% pour 21 6 100 • 0,60 % pour plus de 100 Date de valeur: • J + 3 pour le commerpant • J + 3 pour le client (sauf pour Carte Bleue)
Commerpant : garde du mat6riel (pas de bolte noire**) Garantie de paiement: pour toutes les tran-sactions autoris6es Client: l'assurance ne prend effet qu'au mo-ment oO le vol (ou la perte) est signa!6 3 la banque
240 commerces 360 terminaux, dont 95 dans des grandes surfaces 60 000 transac-tions/mois environ, soit: • 7,2 par carte/an (38 par carte/an en ne consid6rant que les cartes actives) • 16 par carte/an pour Carte Bleue • 5 par carte/an pour Carte Bronze
» Taux de commlsakm variabtes sidvant te rtombre de liaiisactions par Jour et par terminal. »• La bofte noire appartient d la banqi» «t contient son algorithme. ^ L t
La pistB tso 3 permet de g&rer des domites variabtes (en rocuuiience: gestlon du pouvoir oactet). r . . to nrtnfanln •••• Les informatkms sont acheminSes par rfeeau coiraraitfl jusqu'au concentrataur, P»^8" 7qT|m ou 6 celui du centre interbancaire pour les cartes des autres banques. D existe des concentrateurs de deux types: Capu Wal^urs aiguffleurepidto) P°"rte» bureaux des Ptt <9 pour rexp6rience de Sahit-Eflenne) et Capri (concentrateure dguHtera privtel pour les grandes surfacea. Sur le rfeeau «ommut», la tranambslon se fah en supraphonle pour tes peths commercants.
Z<t %a/&3(X<>j*y - ^paredh a$n£ (L wmjjml i(kJttc?vjLyj$_ QJUL teJ+4 oJr tk. 'xJbk^. hnpartk
gUi&ZL eUfe. sMukiiu. baMUsu o,(MjJtitry jmtear j lu CbrosJer&C- %i miuJJbd ct cu ou/ec adu l^l/UldbiC. QJJL ^LJJL & bcm^ULtf.S> (&LLCQitt dtur amfci Ite JkoyudU- dwJr a. icmfbujuwjh* ^^^ujaui^waAt^" jzeju. buAOLphyfiz^ d'cu&&af)'(M—
3-» <h& ~exp€fi&*<%&-.
JjTU/ dluofttr labj&cjr~ kdiAjujiyjuL e/ e#u
IrMMhwi Cnei yuttjjMLT*- Ct& uM*j Jperiemi MteJ e#i oetuJn paT ttoriuulzA- du—
ticiut I&MjcmpL JcaM (H djLcctlriim* dt & fauuLpuJL tutiL. eldiL & ^recfccYL QtAJueJL cbs UikjMmxti-
CakoA&— ]* @H*eWL yL cl vuHQj&iW jujk j JAJGohss iiwd di.
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Cju&. 6b ouW--
TABLEAU 3
RESULTAT DES EXPERIENCES A MARS 1984
Experiences Types de cartes
Nombre de cartes diffusges
Pourcerrtage des cartes utilisees
Nombre moyen de paiements par carte
active BLOIS IPSO 13 200 8.5% 3.6
CAEN IPSO 26 900 5.5% 2.5
LYON IPSO 24 600 5 % - 2.5
ST-ETIENNE CARTES DE GARANTIE 21 000 8.5% 2.5
ST-ETIENNE AUTRES CARTES
HORS CARTE BLEUE
70 500 11 % 3.7
ST-ETIENNE CARTES BLEUES 31 300 40 % 2.8
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[Lgvj . ttj 4.. 4 w. l&ptriactiL a efc A*-~ j/{abc&~ £ liCTutGtL dt (%ujdl£)>aj R.BP 5~9 y Pi&VioM ftpktrh /g/Sj
# Ha mkau du sa<'M2— b&M.a2urC—
/ Anksiaucar/ic IOJUM&UUL £*b favckowuudk^ -ri&ibb diL. lci cu&Utc- ck cUutik&cuiMJr %
prdUb'lUJL k-txfe- CUUAM' : pUtJL QJA\ !L ii umajuujm- CwhcnjJiyM* (&tuuM&ulr $Ui ck S'uuup(rUr Coujjlu& cu& eu. dg_ fyuuuud~? Urodr & am^miLceJb ?
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fxC dm 3/if du Gwiftki d-ckptkkkfa M
frioosso rej&. . -4 pafon 6&o rw u) ck &wd g} M& mosuSssJ sCjvrtkMfe- (£% du ej&w&ux- b**n&fci Qj- &. jeul chdywz. &MJ*rvru At. MJjMiocdb dt j eM ck ckoretL a Am/jAo znM. EFCRECKWWJR RC^ERCUJOB MR TVDBJCIAJWR-.
£ neyeR. &t pitj - UMb** cx* d&Mcnjii dowMQ-. jUMt edi'uja))'&L du Cedh dm clutiao~-\
LE COUT POUR LA COLLECTIVITE DU CHEQUE REMIS AU POINT DE VENTE
Coftts unitaires en francs
Annee 1978 Petit commerce Grands magasins Hypermarches
Banques 3,75
0,25/1,0 Non valorisee
» 0,25/1,0 (2)
3,0 (1) Couts non per;us
0,95 Non valorisee
0,35 0,60(3)
3,0 (1)
1,60/2,0 0,70 0,70
0,20/0,60
Consommateurs Detaillants (2) ' - reception du paiement a la caisse du magasin - traitements d'arriere-boutique - impayes
3,75
0,25/1,0 Non valorisee
» 0,25/1,0 (2)
3,0 (1) Couts non per;us
0,95 Non valorisee
0,35 0,60(3)
3,0 (1)
1,60/2,0 0,70 0,70
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4,0 /4,75 3,95 4,60/5,0 4,0 /4,75 3,95 4,60/5,0
(1) En raison du volume des rcmises. (2) Ce qui representc 1 a 4 pour miile du montant dts transactioas. (3) Ce qui represente 2,4 pour mille du montant des transactions.
Soifrce: rapport« de la Geniere ».
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Communique des institutions bancaires et financieres frangaises
Les institutions bancaires et financiires frangai-ses diffusant la Carte Bleue, le Cridit agricole et le Cridit mutuel viennent de dicider d'explorer conjointementl'ensemble des conditions commercia-les, techniques et juridiques permettant de poursui-vre la construction d'un systime national de paie-ment par cartes.
Les objectifs recherches sont les suivants : — amiliorer la qualite des services pour les utilisa-teurs; — apporter une meilleure riponse aux preoccupa-tions et aux besoins du commerce ; — contribuer a reduire le cout de 1'intermediation
financiire; — rationaliser et optimiser les importants investis-sements en matiire de distribution de billets et de paiement dans les points de vente ; — assurer la cohesion de la communauti bancaire et financiire frangaise vis-a-vis des riseaux de paiement internationaux.
Le systime a construire s'appuiera sur deux principes essentiels et indissociabfes : — le maintien de la concurrence entre riseaux dans le respect de la liberte des consommateurs et des commerfants; — une organisation communautaire des moyens de paiement evitant leur appropriation par une ou plusieurs institutions.
Pour ce faire, un accord est intervenu entre plus de 220 banques commerciales — dont toutes lesplus grandes —, les Banques populaires, les caisses d'epargne, les chiques postaux, le Cridit agricole et le Cridit mutuel pour privoir une structure com-mune dans les mois qui viennent.
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I S I s
- BASE BIBLIOGRAPHIQUE
- PRODUCTEUR : CHAMBRE DE COMMERCE DE PARIS
- DOMAINE : VIE ECONOMIQUE , DROIT ,ENTREPRISES .
- DATE DE MISE EN SERVICE : 1975
- MISES A JOUR HEBDOMADAIRES
- LANGUE : FRANCAIS
- SERVEUR G.CAH
SPHINX Banque de r6f6rences bibliographiques
PHINX est une banque de r6f6rences bibliographiques rangaises dans le domaine ddmographique, 6conomique t social. SPHINX recense des r6f6rences de documents n 6conomie appliqu6e, documents k dominante statis-ique mais comprenant aussi des 6tudes §conomiques & aractere qualitatif.
PHINX exclut la thSorie 6conomique pure et la I6gis-ition.
lette banque est aliment6e par le r6seau des 22 obser-atoires 6conomiques r6gionaux de l'INSEE ou elle eut §tre interrog6e.
.E CONTENU DE LA BANQUE
.es r6f6rences sont recens6es r6gulierement depuis 977, date de cr6ation de la base (un rattrapage a 6t6 ffectu6 pour les p6riodiques de 1'INSEE parus avant 977 : 6conomie et statistique, publications r6gionales). ,es documents analys6s sont principalement «d'actua-t6» mais peuvent concerner aussi des donn6es pros-ectives ou r6trospectives.
Is sont rediges en langue fran<?aise et principalement elatifs a la France soit directement (questions internes), oit indirectement (comparaisons entre plusieurs pays ont la France). II s'agit de la France m6tropolitaine t des Departements et Territoires d'Outre-Mer.
/6chelon geographique des documents analys6s peut '6tendre du niveau France entiere, a la r6gion, au d6-
partement . . . jusqu'au bassin d'emploi : au total, plus de 14 niveaux geographiques sont pris en compte. Certains documents 6manant des grands organismes internationaux (OSCE, ONU, BIT ...) sont s6lectionn6s pour permettre des comparaisons avec les donn6es frangaises.
LES SERVICES OFFERTS DANS LES OBSERVATOIRES DE L'INSEE
— Traitement de questions bibliographiques : sur de-mande 6crite k l'OER de votre r6gion (explicitez pr§ci-s6ment votre demande)
Tarif : 100 F la question (cotit forfaitaire) 500 F 1'heure de connexion si vous souhaitez interroger vous-m§me avec l'aide d'un (e) do-
' cumentaliste. — D6monstration de la banque : sur rendez vous (in-cluant au minimum 1/4 heure d'interrogation) — Etude de problemes d'information comportant l'uti-. lisation de SPHINX : devis sur demande 6crite.
POUR EN SAVOIR PLUS
— Courrier des statistiques n° 10 d'avril 1979 et n° 17 de janvier 1981 — Documentaliste, revue de 1'ADBS n° 6. vol. 18. no-vembre - d6cembre 1981 — IBM Magazine n° 3 — 1978 — Informatique et gestion n° 129 de d6cembre 1981
SPHINX Banque de r6f6rences bibliographiques
r JH4-1 983,,, _
UN EXEMPLE D'UTI LISATION
RECHERCHE DES DOCUMENTS TRAITANT DES PR6LEVEMENTS OBLIGATOIRES
Voici une des r6f6rences obtenues :
1'artic/e en question se trouvepages 1 £4 /es informations contenues datent de 1983
BOF' ••••r'0!F'RE: OBi..
/'article se trouve dans len° 1-2 de fivrier 1984
/7 s'agit d'une revue d p6riodicit6 mensuel/e
FIN A N C E S F' u B!... 1Q U E S •••
I •••• ••]••• v[• , QBEEK"VAT01Riii !•'f;0N0HIQUE PAR15 „ BI... 0 C ••• N 0 T E S ... !.. E POTDE DEa PRELEVEMENTi OBLI&ATOIRE.S', ;• • (••• iVI - N - S - !:1 ••• E . OBSERVAT OIRE ECONOMIQUE DE PARIS1, '[ Hr'0T •. B1 i DGT , DEi!PENS'E C0H!'•'TAB1!!... ITE-NA f IUNA!...b » ECON0HIE -GENERA!...E , BIB!... I0GRAPHIE ..
JHE FRANCE, HREaENTAT ION DU CALCUL DU "! AUX DE PREL.EVEMENTS OB!...]. CATOIRES , LES1 PROBLEHEi M!:• "i"H0D0!..0G10UES QUE CELA POSE ET SOLiJTiONi PROPO,S'E E5 PAR L..E 5YSTEHE S'TATIS'TIQUE PUBLIC, BIBLIOGRAPHJ:E RECENSANT I..ES: DONNEES DE BAS'E E'T LES* ETUDES',
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SPHINXsur lesiteG -CAM
SPHINX est accessible sur le serveur G - CAM
— soit en vous raccordant di ce serveur si vous §tes 6quip6s d'un terminal ou d'un minitel
Tarif : 390 F/heure H.T.
S'adresser d G - CAM — Serveur Tour Maine Montparnasse 33 Avenue du Maine Bp g 75755- PARISCedex 15 T6I.: 538.10.10
- soit, si vous 6tes 6tudiant ou universitaire, par I'interm6diaire de votre biblioth&que uni-versitaire : la plupart d'entre elles sont raccord6es au G - CAM.
23
FRANCIS : donnees statistiques au 1.1.84
FRANCIS (Fichier de recherches bibliographiques automatisees sur les nouveautes. la communication et 1'information en sciences humaines et sociales)
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519 - PHILOSOPHIE 1972 8 58 300 4 000 15 50 35 98 2 60
520 - SCIENCES DE L'EDUCATION 1972 8 73 900 5 000 45 40 15 92 8 60
521 - SOCIOLOGIE 1972 8 52 500 4 200 32 48 20 84 16 SO
522 - HISTOIRE DES SCIENCES ET DES TECHMQUES 1972 8 56 000 3 800 26 42 32 85 15 55
523 - HISTOIRE ET SCIENCES DE LA LITTERATURE 1972 8 71 700 5 500 30 43 27 96 4 75
524 - SCIENCES DU LANGAGE 1972 8 47 000 4000 25 50 25 94 6 31
525 - PREHISTOIRE ET PROTOHISTOIRE 1972 8 34 800 4 000 35 25 40 90 10 65
526 - ART ET ARCHEOLOGIE (Proche-Orient. Asie. Amerique)* 1972 8 23 600 2 300 31 39 30 94 6 97
527 - HISTOIRE ET SCIENCES DES RELIGIONS 1972 8 108 900 9 500 32 28 40 95 5 92
528- BIBLIOGRAPHIE INTERNATIONALE DE SCIENCE ADMINISTRATIVE 1972 8 36 200 4 500 75 10 15 80 20 87
529 - ETHNOLOGIE 1972 8 29 900 3 800 38 43 19 91 9 70
530 - REPERTOIRE D'ART ET D'ARCHEOLOGIE (de Vepoque paleochretienne a 1939)* 1973 8 145 200 13 000 16 30 54 65 35 68
531 - BIBLIOGRAPHIE GEOGRAPHIQUE INTERNATIONAI.E 1976 8 47 900 7400 35 39 26 72 18 81
600- EMPLOl ET FtiRMATION 1974 4 9 200 1 000 82 15 3 60 40 100
603 - INFORMATIQUE ET SCIENCES JURIDIQUES 1974 2 4 000 500 50 28 22 54 46 100
610- RESHUS (Sciences humaines delasante) 1978 4 6 700 1 200 83 16 1 85 15 100
616 - DOGE (Gestion des entreprises) 1980 4 2 200 750 81 19 - 10 90 100
617 - ECODOC (Economie generale) 1981 4 2 800 1 200 81 12 7 64 36 100
618 - DROITS ANTIQUES 1975 2 II 600 I 600 25,5 26 48.5 80 20 0
620 - CEGET (Geographie tropicale) 1972 4 22 000 2 200 41 37 22 60 40 60
621 - BIBLIOGRAPHIE ANNUELLE DE L'HISTOIRE DE FRANCE 1979 1 32 400 10 800 L - - 78 22 0
731 - ECONOMIE DE L'ENERGIE 1972 6 23 900 2 000 36 52 12 61 39 100
533 - AMERIQUE LATINE 1980 1 1 500 500 85 1,5 13.5 45 55 98
* Les champs couverts par les bases 526 et 530 sont complementaires
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ORGANISMES PARTICIPANTS
N. B. Ctm Bm forttalimu ptrttdpma «e naapWt tttokm «*a ir tMopptama d» rtom. A/61 * dmpBftr la pifwmatkm 4u BufUttn, IttdlffitimlnulmuauemimitjmliiidmnaodiltiiimUERomMrtpouplfomk^tdteim, UER. Ui tom ninnlml Mnuknnft daa k loctiiMtkm lonfi'Bi tom itmmxn du ioaumM itgnell.
•AMQUI * nUNCM Semte ds la DoconMiaa t» do» SMWqaa (tatadn 39,» 75001 PARB TK.: »i-J6-72 . RupomlMe: M. LECA
CEPO I Centre JButa ftmpcctjye» a dlntHimltam IauimtoBale» 9, roc OanfES-Plttid 79014 PARIS TtL: 8424&00 • Rapommbk: *r> HURJON
| CgtBIAf j Centre tfEzndcs tfEooooaric MilWnnllniif AppBqu6cs i h Ptiurificslioa 142, rae de Omlaa 75013 PARB 7H : S84-14-20 • RapomMt : Jf* DELEGUSF.
CEREM I Ceooe d*Eoidc et de Recfaerchc nr rEaocpri* Muhjmtlnnilr Uniii nitf de Fub X 2, lee de Rouco 92001 NAKTERRE Cedex TtL : 725-92-S4 • Rttpomobk : Jf LEFEBVRE
CRO I Ceolie de Rccfacrche mr rEcooomic Induuklle UnhenM de Piris XIII Avemje Jean-B»ptiuc-C16mcnt 934» VHXETANEUSB TtL : 82141-70 • Rapomabk: If HAFFNER
CREUSET I Ceaue dc Rcchcrchcs Eoonomiqae» de rUohenM dc Siint-Etiennc
34, me Frincjs-Biulicr 42100 SAINT-ETIENNE TtL : (77) 2H2-CZ p. 366 • RapomMe: «f- CAUSSF.
II | Ceatre Rigtoelde h BilliilWH ct de» Etade» T]noenmiqT« Mt nttKMi; Ubonloin dVsoMDtefe
Steiate Ctedn (Hde Fmltf de Drait ct dcs Sckflow IVwwHifcpifi 39, mc de rUnheiritf 34060 * MONIH4LUHI Cedei . Respomabta: M" SCHAEFFER TtL : (67) 60-70-60 M. LAGET
CUREI | Centre Unineniuire de Rcchcrcbc Eoroptome et Intcmitianilc Unlwtfiitf de Creoobk II B. P. 47 38IM0 CRENOBLE Cedcx TfL : (76) 54*81-78 • Responsable: bf PETITJEAN
Ddpeitemeat Gestion des Emreprises de rinstitat Natkmal Polytechniquc de Lorrminc me Graodvilk 42 NANCY Cedex
T4L : (83) 364)6-38 • Responsables: M. CHEF, M. ROTTEE
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ECT/LYON H Economie des Changemenis Tcchnologiqucs Institul dcs Etudes Economiqiies Univeratd de Lyon II 16, quai Qaude-Bemard 69007 LYON : (7) 869-2443 e RaponsaMe: hf CILLES
010 Equipe de Recherche sur la Fmne et rindusuie UniveiriK de Montpellier I Facuitd de Droit ct dca Sciences Economiqucs 39, tue de rUnhreisiK 34060 MONTPELLIER U" •' tO-X>-66 • Rnponsable: hf FOURCADE
GAMA | Gtoupe d*Analyse Macrotemoimque AppHqute Unheisitd de Paris X 2, mc dc Rouen 92001 NANTERRE Cedcx TtL : 723-92-34 > Rapomabk: 14* ALEXANDRE
GIESAL | Onwpe de Recfenchcs ct dBudcs Knmnnilr|urs ct Soctaks sbt rArofaique Ij*. UnheisW dn Sdenccs SocUcs de GtenoMe B.P. 47X 38040 GRENOBLE Cfcdei Ttt. : (76) 34-81-78 P. 493 . RapomMe: M- ALLEORE
GRESAP ] Oroupc de Rcchcrchc sur rEvotutkm des Stractures de l'Apparefl Pradnctif ftoW de Droil ct de Scienccs Econonriques de Nioe 34, •*. Robeit Schmnan. 06000 NICE TiL •' W) 974840 • Raponsable: M* GIRARD
1EE/LYON II | Iwritnl d*Etodes Ecooomiques Univenjtf dc Lyoa II 16, qeai Qaodc-Bemard 69007 LYON TH : (7) 969-24-43 • Rapontabk: tf OILLES
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D^wttaDem de ta DjftaioB 16, bd Adolphe-Rnaid T56T5 PARB Ccdea 14 TtL : 340-12-12 . Raponxbk: A<~ LANGLOIS-BERTHELOT
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SC. ECOVAIX-MARS. zn FacuW d'Economic Appliqu6c (TAiz-MsisciUc III «oM iMttchf»: CER, Ccnuc d^Ecooomic Mgtamlc, •«•••> • vtA, vaiuc « DBonnmK ncpaaue, CETFI, Centre (TEconomic et de» Tedmkpies da RnMcemcti GRASCE, Croape de Recheiehc sur FAnsIysc de Systtmc et k Cticol 3, av. Robcrt-Sdaman 13621 AfX-EN-PROVENCE T4L : (42) 39-15-73 • Rnponsabk: AT PASSELAC
SC. BCOVDUON Facubd de Srimcr Economique de Dijon sont iattach£t: 1ER, InsriM <TEeonomic R6gkmaic, IME, Institut de Mathdnulique Econoraqee. CEMF, Centre d*Eludes Mondtabes ct Finaodtres. 4, bdGabricl 21100 DUON TiL : (80) 66-81-34 P. 469 • Raponsable: hf BEAUCAIRE
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SC. ECO./RENNES UER Scicnccs Ecoaomiqucs et AppUquta 4 la Gestion Umvcrshd dc Rennes I 7. pl. Hochc 35000 RENNES Tti.: (99) 63-04-44 • Responsabte: Af» SOUILLET-BREUVET
SET/PARIS 1 | Stminaire d'Economic du Travail UnivcreW de Paris I 90, rue de Tolbiac 75634 PARIS Cedex 13 TH. : 584-11-66 P. 381 • Responsable : M. BARTOLl