12

1. - accueil | cerefige.univ-lorraine.frcerefige.univ-lorraine.fr/.../users/programme-detaille-18-10-161.pdf · De nos jours, les territoires se ... en Lorraine toutes les recherches

  • Upload
    ngodieu

  • View
    212

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

1. Présentation du workshop

De nos jours, les territoires se doivent de construire et de développer leur attractivité afin de

leur garantir un dynamisme économique, source de leur pérennité. Prenons le point de vue du

consommateur, il se voit invité à consommer local ou à consommer « Made In France ». Son

choix sera sans doute la résultante d’un attachement fort à des valeurs qu’il souhaite ainsi

transcrire dans ses actes quotidiens. Ce court exemple montre la logique concurrentielle dans

laquelle s’inscrit cette problématique.

De nombreuses questions émergent de cet état de fait. La première question concerne la

définition des frontières du territoire : est-ce la ville, la région, le pays qui doit permettre de

construire ces attractivités ? Se posent également la question des acteurs à impliquer dans cette

construction (acteurs publics, entreprises, réseaux d’entreprises, associations de

consommateurs, organisations professionnelles…) et celle des publics visés (locaux, nationaux,

transfrontaliers, étrangers…). Par ailleurs, sur quels éléments et par quels dispositifs un

territoire peut-il s’appuyer pour construire son attractivité ?

Dans ce workshop, la construction de l’attractivité du territoire repose sur son patrimoine

culturel et commercial. Les tables rondes ont pour objectif de faire l’état de la connaissance sur

les thématiques envisagées et d’apporter des récits d’expérience. Il s’agit de proposer un regard

croisé entre chercheurs et praticiens.

Ce workshop est destiné à un large public (commerçants, entrepreneurs, managers, responsables

publiques, chercheurs, enseignants, étudiants…) et dans cette perspective, l’entrée sera gratuite

mais une demande de confirmation de présence sera exigée afin de gérer les aspects logistiques.

Lieu : Amphithéâtre de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Moselle

Date : mardi 18 octobre 2016 de 9h à 17h

2. Présentation du comité d’organisation et des partenaires

Le CEREFIGE, Centre Européen de Recherche en

Économie Financière et Gestion des Entreprises est le

Laboratoire de Recherche en Sciences de Gestion et en

Finance de l’Université de Lorraine. Il est situé sur deux sites,

au Pôle Lorrain de Gestion à Nancy et à l’ESM-IAE de Metz.

Le CEREFIGE a vocation à organiser et à promouvoir en Lorraine toutes les recherches dans

le champ des Sciences de gestion et de l’économie financière. Ce champ couvre l’ensemble des

disciplines suivantes : finance, comptabilité-contrôle, marketing, GRH, gestion de production,

gestion des systèmes d’information, stratégie, entrepreneuriat et gestion des PME, management

public, etc. La mise en œuvre de la politique du laboratoire s’appuie sur une structure organisée

autour de 4 équipes thématiques: Finance/Comptabilité/Contrôle ; Marketing ; Stratégie,

Organisation et Ressources Humaines ; Entrepreneuriat, Manager et Innovation.

http://cerefige.univ-lorraine.fr/

Le comité d’organisation est composé des enseignants-chercheurs suivants, membres

permanents du CEREFIGE (Centre Européen de Recherche en Economie Financière et Gestion

des Entreprises) :

- BORNAREL Frédéric, Maître de Conférences, Université de Lorraine

- DELACOUR Hélène, Professeur des Universités, Université de Lorraine

- FRAZER Renaud, doctorant, Université de lorraine

- HEITZ-SPAHN Sandrine, Maître de Conférences, Université de Lorraine

- SIADOU-MARTIN Béatrice, Professeur des Universités, Université de Lorraine

- THEVENOT Géraldine, Maître de Conférences, Université de Lorraine

- VIRGILI Virginie, Maître de Conférences, Université de Lorraine

- YILDIZ Hélène, Maître de Conférences-HDR, Université de Lorraine

3. Programme prévisionnel du workshop

Le programme veille à l’équilibre des interventions entre chercheurs et praticiens. Le format

choisi a pour objectif de permettre des échanges entre participants des tables rondes et auditeurs.

Le programme prévisionnel est le suivant :

9h-9h15 : Accueil des participants

9h15-10h : Mots d’accueil et propos introductifs

- Fabrice Genter, Vice-Président de la CCI de la Moselle, Président du groupe DUMUR

Immobilier, membre du club des ambassadeurs de la ville de Metz

- Julien Husson, Directeur de l’UFR ESM-IAE de Metz, Enseignant-Chercheur du

CEREFIGE, Université de Lorraine

- Antoine Fonte, Directeur Bureau des Congrès, Chargé de Mission auprès M. Dominique

Gros Maire de Metz, Vice-Président Metz Métropole, Président de Metz Métropole

Développement

Table ronde 1 : Attractivité du territoire lorrain par le patrimoine culturel

Thème 1 de la table ronde (10h-11h) : La valorisation du tourisme de mémoire,

enjeux et limites de son développement. Anne-Sophie Anglaret, Enseignant-chercheur, Université de Paris I Panthéon-Sorbonne.

Peter Boendermaker, Directeur adjoint du Comité Régional du Tourisme de Lorraine

Anne Hertzog, Maître de Conférences Sciences de l’Homme et de la Société, Université de

Cergy-Pontoise.

Thème 2 de la table ronde (11h30-12h30) : Tourisme de mémoire et usages des

nouvelles technologies Anne-Sophie Anglaret, Enseignant-chercheur, Université de Paris I Panthéon-Sorbonne.

Julien Didry, Vice-président de la communauté d’agglomération de Verdun en charge du

numérique, Président du Pays de Verdun.

Anne Hertzog, Maître de Conférences Sciences de l’Homme et de la Société, Université de

Cergy-Pontoise.

12h30-14h : Buffet

Table ronde 2 : Attractivité du territoire lorrain par le patrimoine

commercial

Thème 3 (14h-15h) : Dynamiser le territoire par le digital Leo Casagrande, GreenBerry développe des solutions digitales autour du concept de « ville

intelligente »

Sandro Di Bernardi, chargé du développement numérique à la Fédération des Commerçants de

Metz

Jean-Pierre Douard, Maître de Conférences en Sciences de Gestion, Université de Lorraine

Philippe Hénault, Responsable de la mission Ville Numérique, Ville de Metz

Thème 4 (15h30-16h30) : Attractivité par une dynamique collective Pierre Bardet, Directeur des Vitrines de Strasbourg

Mathias Boquet, Maître de Conférences en Géographie, Université de Lorraine

Daniel Cano, un des fondateurs du Groupe d’Achat Solidaire des Produits Lorrains

Patricia Sallusti, Adjointe au Maire déléguée au Commerce, à l'Artisanat, Foires et Marchés,

Insertion professionnelle et Economie Sociale et Solidaire

16h30-17h : Clôture du Workshop par Emmanuel Brandenburger, Directeur Général de Metz

Métropole Développement

4. Présentation des participants (par ordre alphabétique)

Anne-Sophie Anglaret est doctorante à l’université de Paris I

Panthéon-Sorbonne. Après des recherches sur la mémoire de la guerre

à Verdun, elle travaille aujourd’hui sous la direction d’Alya Aglan sur

les anciens combattants de la Première Guerre mondiale en France

entre 1940 et 1944. Elle a publié « Le centre mondial de la Paix : une

alternative aux musées de guerre ? », in Entre Histoires et Mémoires.

La guerre au musée. Essais de Muséohistoire (2), Julien Mary et

Frédéric Rousseau (dir.), Paris, M. Houdiard, 2013.

Pierre Bardet est commerçant et Directeur Général de l’association

des commerçants « Les Vitrines de Strasbourg ». L’association

s’implique depuis près de 60 ans dans la vie locale, contribuant à

l’animation et au développement commercial de la ville de

Strasbourg.

http://www.vitrines-strasbourg.com/fr

Peter Boendermaker est Directeur Adjoint du Comité Régional du

Tourisme de Lorraine. Il est responsable des partenariats

interrégionaux - Relations partenaires.

Mathias Boquet est Maître de conférences en Géographie, Laboratoire

LOTERR à l’Université de lorraine. Son domaine de recherche porte,

entre autres, sur les effets des changements climatiques en milieu urbain

et péri-urbain en Lorraine ainsi sur l’accessibilité aux services

d’urgence dans la Grande Région.

Emmanuel Brandenburger est Directeur Général de Metz

Métropole Développement. Titulaire d’un DESS en administration

des entreprises de l’ESM-IAE de Metz, il a occupé des fonctions de

chargé de missions pour les affaires économiques à la Ville de Nancy,

de chef de projet du Pays au sein de la Communauté d’Agglomération

de Sarreguemines Confluences. Avant de rejoindre Metz Métropole

Développement, Emmanuel Brandenburger a occupé les fonctions de

DGS de la Communauté de Communes du Pays Haut Val d’Alzette

de 2005 à 2013.

La start-up GREENBERRY fondée par Léo Casagrande et Yannick

Dars en 2015 a pour but de développer des solutions digitales axées

autour du concept de la ville intelligente et connectée. L’idée

fondamentale du projet est de considérer le territoire comme une

« plateforme d’innovation ouverte » où tous les citoyens peuvent

participer au processus en ajoutant des informations.

https://www.facebook.com/WeAreGreenberry/

Daniel Cano est l’un des Fondateurs du Groupe d’Achat Solidaire des

Produits Lorrains, association sans but lucratif proposant des produits

locaux certifiés biologiques ou respectueux d’une charte. L’objectif est

de proposer une alternative cohérente aux circuits alimentaires

traditionnels.

http://www.gaspl.eu/www.gaspl.eu/assez!.html

Sandro Di Bernardi est le Fondateur de Mobiwoom, start-up dont

l’objectif est de fédérer les commerçants à l’aide d’un programme de

fidélité dématérialisé basé sur le principe du CashBack. Il est également

commerçant messin dans le monde de la restauration et chargé du

développement numérique à la Fédération des Commerçants de Metz.

http://mobiwoom.com/pro/

Julien Didry est Maire de Bras-sur-Meuse, président du Pays de Verdun

et Vice-Président de la communauté d’agglomération du Grand Verdun

en charge du numérique.

Jean Pierre Douard est Maître de conférences à l'Université de Lorraine,

composante ESM (IAE). Spécialiste de l'analyse de données (data

mining), il a participé et écrit des ouvrages sur le Géomarketing et le

marketing spatial. Il intervient auprès de groupes de distribution et

d'institutions dans la modélisation des comportements d'achats des

consommateurs, et la mise en place d’applicatifs type Systèmes

d’Informations Géographiques. Ces domaines d’intervention concernent

l’analyse des potentiels de développement de point de vente ou de réseaux

de distribution, l’estimation des potentiels de croissance pour un territoire

donné et l’évolution des maillages commerciaux.

Antoine Fonte est Directeur du Bureau des Congrès, Chargé de

Mission auprès M. Dominique Gros Maire de Metz, Vice-Président

Metz Métropole et Président de Metz Métropole Développement.

Fabrice Genter est Président du groupe DUMUR Immobilier. Il est

Président de la CGPME, Fédération des PME PMI de la Moselle

représentant 12 000 entreprises. Il est également Vice-Président de la

CCI de la Moselle et est membre du club des ambassadeurs de la ville

de Metz.

Philipppe Hénaux est Responsable de la mission Ville numérique à la

ville de Metz et de l'aménagement numérique du territoire à Metz

Métropole. Il est également membre opérationnel de LORnTECH.

Anne Hertzog est Maître de Conférences Sciences de l’Homme et de

la Société à l’Université de Cergy-Pontoise. Ses recherches portent sur

la fabrique patrimoniale de la première Guerre mondiale et la

territorialisation des constructions liées à ce conflit. Son domaine de

recherche est axé autour de ces thèmes : Pratiques et politiques

culturelles ; Patrimoine urbain, musées et métropolisation ; Patrimoine,

patrimonialisation de l'héritage de la Grande Guerre en Europe ;

Mémoire et territoires.

Julien Husson est Directeur de l’UFR ESM-IAE de Metz, Université

de Lorraine. Il est chercheur au sein du CEREFIGE. Ses problématiques

de recherche portent sur la gestion de projet, l’entreprenariat et s’ancrent

notamment dans le domaine de la santé.

Patricia Salusti est Adjointe au Maire déléguée au Commerce, à

l'Artisanat, Foires et Marchés, Insertion professionnelle et Economie

Sociale et Solidaire.

5. Article dans The Conversation à paraître en septembre 2016

Crédit photo : Photo DDM, JPC

Les déserts commerciaux : Fatalité ou nouveaux enjeux ?

Vous n’y croyez pas ? Pourtant, une simple promenade le samedi après-midi en centre-ville

suffira pour vous en convaincre : les petits commerces ferment les uns après les autres et les

centres-villes se vident progressivement de toute activité commerciale. Quelques statistiques

permettent de mesurer ou de prendre conscience de l’ampleur du phénomène. En France, de

1993 à 2007, la part de marché des petits commerces en centre-ville est passée de 22% à 17%

(INSEE, 2011)i. Selon Procos (Fédération pour l’urbanisme et le développement du commerce

spécialisé)ii, le taux de locaux commerciaux inexploités pour une durée indéterminée a atteint

9,5 % en 2015 dans le centre des villes, contre 7,8 % en 2013. Et, il ne s’agit pas là d’une

exception française car nombre de pays aux économies développées partagent ce constat

comme les Etats-Unis ou la Grande Bretagne. (Nilsson, 2016)iii précise que le commerce local

en général, et celui du centre-ville en particulier, est en train de vivre une phase de crise dans

les pays industrialisés.

Le phénomène de la vacance commerciale concerne globalement toutes les villes. Cependant,

certaines sont plus touchées que d’autres. Alors que la vacance commerciale se maintient dans

les cœurs d’agglomérations de plus de 500 000 habitants, elle a tendance à augmenter fortement

d’année en année dans les villes de moins de 100 000 habitantsiv.

De multiple causes à l’origine de la vacance commerciale

Les causes de cette désertification des centres villes visent l’ensemble des acteurs concernés :

propriétaires de locaux commerciaux, acteurs publics, consommateurs et commerçants. Sans

prétendre établir une typologie exhaustive, des causes principales peuvent être mises en avant :

La pression immobilière v est telle dans certaines villes que les loyers exigés peuvent quelque

fois être difficilement conciliables avec l’activité économique d’un petit commerce. Pour faire

face aux propriétaires avides, des villes comme Thionvillevi préemptent certains locaux afin

d’installer des commerces indépendants.

La question de l’accessibilité du lieu pour commercer est une problématique pour le

commerçant mais également pour les consommateurs. En effet, la volonté des pouvoirs publics

de limiter la circulation en centre-ville afin de lutter contre la pollution, peut avoir des effets

contreproductifs en termes d’accessibilité des commerces se trouvant dans ces centres-villes.

Une autre raison régulièrement invoquée concerne le consommateur et son évolution en termes

de comportement. Le consommateur devient de plus en plus expert, volatile, exigeant, connecté,

prêt à consulter les offres de la concurrence sur son Smartphone alors qu’il se trouve dans un

magasin. C’est l’émergence du consommateur-showroomer,

Par ailleurs, avec l’essor des centres commerciaux en périphérie des villes, l’espace commercial

central en ville a perdu de plus en plus de parts de marché (CREDOC, 2005).

Ce phénomène de désertification conduit ainsi les commerçants à une profonde remise en

question : comment exploiter les nouvelles formes de commerce ? Comment s’adapter pour

survivre ? Comment attirer des « jeunes » pour entreprendre et développer ce commerce de

proximité ?

Quelles solutions pour l’avenir ?

(Re)création de valeur pour le consommateur : Si les petits commerces, par la taille de leur

surface de vente, sont les plus touchés, leurs fonctions sont cependant multiples. Ils apportent

des services de proximité, ils participent à l’activité touristique des villes, ils valorisent le

territoire, ils sont source de contacts humains et d’échange. Au-delà de l’exigence économique

et de la valeur utilitaire (proposer un produit ou service au bon endroit au bon moment), ces

commerces apportent une valeur ajoutée à l’expérience de vie en centre-ville. Dans une

perspective sociétale, les consommateurs-citoyens peuvent choisir de consommer dans un

commerce au sein de leur commune pour favoriser non seulement le maintien de cette activité

mais aussi des emplois locaux.

Le digital comme vecteur de flux : Le digital, pour être efficace, doit chercher à simplifier la

recherche d’information et l’achat plutôt qu’à les complexifier venant s’ajouter et non s’intégrer

dans le quotidien des consommateurs. La mise en place de solutions peu coûteuses comme une

page Facebook donnant accès à des informations telles que les horaires d’ouverture, le numéro

de téléphone, les nouveaux produits semble banale mais réellement efficace car faisant partie

intégrante des outils digitaux utilisés quotidiennement par la population. En un mot, les outils

digitaux proposés par les commerçants doivent être utilisés comme vecteur de flux.

Vers des stratégies d’actions collectives : La mise en place de stratégies collectives consistant

à établir des relations de coopération entre les acteurs situés sur un territoire donné pour

consentir notamment à des investissements de réputation (création d’une marque, renforcement

de la notoriété, etc.) constitue une autre piste de réflexion pertinente. Une observation des

pratiques actuelles permet d’entrevoir des voies de progrès. De plus en plus, de mairies recrutent

des managers de centre-ville pour dynamiser la vie économique et coordonner les différentes

actions entre acteurs comme ceci est le cas dans des villes comme Nancyvii ou Strasbourg. Le

développement des animations, des fêtes en tout genre, des marchés et des foires toute l’année

forment des premières réponses à ce phénomène de dévitalisation. D’autres types d’actions

collectives sont menés comme dans .la ville de Millau avec un programme de fidélité pour

l’ensemble des commerces situé en centre-ville. Ainsi, la communication à propos du centre-

ville est axée sur les bénéfices engendrés par la carte mais surtout sur la volonté d’engagement

du consommateur à maintenir sa ville en bonne santé en venant acheter dans ces commerces.

Une autre perspective que nous mettons en avant dans nos travaux (Yildiz et Heitz-Spahn,

2016)viii est l’implication des consommateurs/citoyens dans leur lieu de vie. En effet, nos

recherches montrent que plus un individu est investi au sein de sa commune, plus ils privilégient

les commerces en centre-ville.

Afin de prolonger ce débat actuel, un colloque sur la thématique de l’attractivité des centres-

villes est organisé par le Centre Européen de Recherche en Économie Financière et Gestion des

Entreprises (CEREFIGE) de l’Université de Lorraine, le mardi 18 octobre 2016 à

l’amphithéâtre de la Chambre du Commerce et de l’Industrie de Moselle à Metz.

Pour vous inscrire : [email protected]

i http://www.insee.fr/fr/ffc/ipweb/ip1359/ip1359.pdf

iihttp://www.lsa-conso.fr/la-vacance-commerciale-depasse-les-15-dans-plus-de-20-centres-

villes-en-france,241251

iii http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0969698915300692

iv http://www.lsa-conso.fr/la-vacance-commerciale-depasse-les-15-dans-plus-de-20-centres-

villes-en-france,241251

v http://www.lesechosdelafranchise.com/developper-reseau-franchise/ou-implanter/franchise-

france/vers-la-fin-des-commerces-de-centre-ville-37037.php

vi http://www.economie.gouv.fr/decret-pour-revitaliser-les-centres-villes

vii http://loractu.fr/nancy/13498-a-nancy-le-commerce-de-centre-ville-veut-devenir-le-reseau-

social-du-reel.html

viiihttps://www.researchgate.net/publication/308376466_What_makes_consumers_shop_at_s

mall_retailers