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DESSDroit et Systèmes d ’Information
J.M. THEVENINBureau AR367
Polycopié réalisé par :J.M. THEVENIN, [email protected]
C. HANACHI, [email protected]
Introduction aux Bases de Données
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Plan
1. Notions de base.
2. Le modèle Entité-Association.
3. Le modèle relationnel.
4. Mise en Oeuvre d’une base de données avec ACCESS.
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Chapitre INotions de Base
PLAN
1. Approche intuitive2. Définitions3. Les 3 fonctions d’un SGBD.
4. La description des données
5. La mise à jour et la restitution de données.
6. Le contrôle de la base de données.
7. Quelques SGBD du marché
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Notions de base Approche intuitive
Définition Intuitive : Une base de données est un “pot” commun d’information, partagé par plusieurs utilisateurs. Ces informations peuvent être interrogées et mises à jour par l'intermédiaire d’un logiciel. Le plus souvent ces informations décrivent la structure et/ou l’activité d’une organisation et facilite la prise de décision.
Exemples d’applications basées sur une BD:• promotion, paye, arbre de Noël... basées
sur la BD du personnel.
• Amadeus(Avions), Socrate(SNCF).
• L’annuaire Electronique.
• Catalogue électronique de la Bibliothèque.
• Guichets bancaires.
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Notions de base Approche intuitive
Le catalogue électronique de la Bibliothèque :
• utilisation simultanée par les étudiants, le personnel de la BU, la direction de la BU.
• fonction : recherche multi-critères d’ouvrage(Etudiant),prêt,relance (personnel de la BU), statistique sur les prêts (direction de la BU).
• garantie : limite automatique du nombre d’ouvrages prêtés, vérification du droit d'accès, ...
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Notions de base Définitions
Définition 1 : “ Une Base de données est un ensemble structuré de données(1) enregistrées sur des supports accessibles par l’ordinateur(2) pour satisfaire simultanément plusieurs utilisateurs(3) de manière sélective(4) et en un temps opportun(5) ” (Adiba & Delobel).
(1) Organisation et Description des objets et des liens entre ces objets à l’aide d’un Langage de Description des Données.
(2) Stockage sur disque.
(3) Partage de l’information, gestion des accès concurrents , facilité d’utilisation(à l’aide d’un Langage de Manipulation des Données).
(4) Confidentialité, Sécurité.
(5) Performance.
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BD
SGBD
Application
ApplicationA
B
C
A
B
C
Notions de baseDéfinitions
Définition 2 : “ Le logiciel qui permet d’interagir avec une BD est un Système de Gestion de Bases de Données (SGBD) ” (Adiba & Delobel, 82).
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Notions de baseLes trois fonctions d’un S.G.B.D
La description des données (codification, structuration).
La manipulation et la restitution des données (insertion, mise à jour, interrogation).
Le contrôle (partage, intégrité, confidentialité, sécurité).
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Notions de base La description des données
Groupe d’utilisateur I (GU 1)
Groupe d’utilisateur II(GU 2)
...
Interview
Documents
Modélisation
Schéma Conceptuel de Données
T T
Schéma externe 1pour GU1
Schéma externe 2pour GU2
...Schéma Physique
BD
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Notions de baseLa mise à jour et la restitution des données
Mise en oeuvre à l’aide d’un Langage de Manipulation des Données (LMD).
Fonctions : • insérer des valeurs ;
• mise à jour des valeurs ;
• interrogation de la BD.
S.Q.L (Structured Query Language) : Langage standard et déclaratif.
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Notions de baseLe contrôle de la Base de Données
Contrôle : • confidentialité
• partage, concurrence
• respect des Contraintes d’intégrité
• sûreté de fonctionnement.
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Notions de baseQuelques S.G.B.D (relationnels) du marché
Micro : • ACCESS
• PARADOX
• DBASE V
• FOXPRO, ...
Gros Système : • DB2
• ORACLE
• SQL server
• SYBASE
• INGRES ...
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Notions de base Démarche enseignée
Interview
Documents Modélisation Entité-Association
Schéma Conceptuel en Entité -Association
Transformation en relationnel
Schéma conceptuel en relationnel
Passage en machine sous Access
Base de Données Relationnellemanipulable en SQL
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Chapitre 2Le modèle Entité-Association
1. Les concepts de base
2. Les associations
3. Les propriétés
4. Les cardinalités des rôles
5. Identification des occurences
6. Exemple
7. Expression des contraintes d'intégrité
8. Démarche de conception
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Le modèle entité-associationLes concepts de base
Modèle, Langage, Formalisme. Origine : Travaux de Chen(USA),
Tardieu(France), en 74/75. Succès dus à :
• langage graphique
• Intégré à des méthodes d’analyse (MERISE par ex.).
• Concepts simples : - choses ->entités- liens entre les choses -> association- regroupement des choses de même nature :
classes d’entités, classes d’associations.
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Les concepts de base
FILMS
titre : textedurée : 30..300version : (VO,VF)nationalité : texte
CINEMAAffiche
ACTEURS
Casting
a p
ou
r dis
tribu
tion
est à l’affiche diffuse
0..n
1..n
joue dans
1..n 0..n
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Concepts de base Une entité
C’est un objet, un événement, un lieu , une personne identifiable sans ambiguïté.Exemple : abc, utopia, Woody Allen, Emmanuelle Beart, Coups de feu sur Brodway.
Une association C’est un lien entre 2 ou plusieurs entités.Exemple : Woody Allen a mis en scène “Coups de feu sur Brodway”
Classe d’entités : C’est un regroupement d’entités de même nature. Exemple : Films, cinéma, metteurs en scène.
Classe d’Associations : C’est un lien entre 2 ou plusieurs classes d’entités.Exemple : Affiche(entre Cinéma et Films), Distribution(entre Films et Acteurs).
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Les concepts de base Propriété : unité d’information indécomposable
désignée par un nom. Exemple : nom_acteur, titre, ...
Propriété d’une classe d’entités : caractéristique commune à chaque élément de la classe.
Domaine de valeur : ensemble de valeurs possibles d’une propriété.
Exemple : numérique, montant, texte, (M,F), 0..17, ...
Identifiants : propriété ou groupe de propriétés dont la valeur identifie sans ambiguïté une entité ou une liaison d’une classe.
Rôle : sens d’une patte (relie une classe d’entité à une classe d’association).
Cardinalités d’une patte : constituées de deux nombres correspondant au maximum et minimum d'occurrences de l’association pouvant être associés à chaque occurrence de l’entité.
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Les associations
Différents types d’association : Statique : interprétation. Dynamique : affiche.
• Variable dans le temps
• Gestion d ’historiques
Binaire, ternaire, ... selon le nombre de classes d’entités associées à la classe d’association.
Réflexive (suite d’un film).
Remarque : Il peut exister plusieurs classes d’association entre 2 mêmes entités.
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Les propriétésDéterminent la structure d’une classe
d’entités ou d’une classe d’associations (ex : tarif d’un film).
Définie par un nom et un domaine de valeurs
Choix du nom : unique, explicite. Domaine de valeurs : détermine l’ensemble
des valeurs possibles pour une propriété• énumérés : (M,F), (rouge, blanc, rosé).• intervalle : 0..120, • montant, date, texte, numérique.• ...
• détermine les opérations possibles sur la propriété ainsi que les autres propriétés aux quelles elle est comparable
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Les cardinalités des rôles
La cardinalité des rôles répond à la question : combien de fois une occurrence peut-elle jouer un rôle donné au maximum et au minimum ?
Facultatif Obligatoire
0,1 1,1 Unique 0,n 1,n Multiple
typologie des cardinalités des liens ne tenant compte que des maximums• de type un à un (bijectif) 1,1
• un à plusieurs (hiérarchique) 1,n
• plusieurs à plusieurs (Affiche entre Film et Cinéma) n,n
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Identification des occurrences
Objectifs : chaque occurrence doit pouvoir être repérée de manière unique et sans ambiguïté, pour être distinguée de toutes les autres.
Pour une classe d’entités : • Propriété ou groupe de propriétés qui
permet de repérer une occurrence de manière unique. On souligne l’identifiant.
• Un seul identifiant.• On privilégie l’identifiant le plus court,
le plus naturel (n° bon de commande, n° étudiant, ...).
• On peut créer un identifiant artificiel par commodité
• Identifiant non variable dans le temps. Identifiant d’une association : implicite,
obtenu en juxtaposant les identifiants des entités qui participent à la liaison.
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Exemple
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Chapitre 3Le modèle Relationnel
1. Les concepts de base
2. Les tables
3. Les attributs
4. Les clés
5. Les clés étrangères
6. Traduction d ’une association 1,n
7. Traduction d ’une association n,n
8. Démarche de traduction
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Le modèle relationnelLes concepts de base
Modèle, Langage, Théorie. Origine : Travaux de Codd (USA), en 70. Succès dus à :
• Concepts simples : - entités, associations -> tables- identifiants d’entité ou d’association ->
clés- liens entre entités et associations ->
clés étrangères
• Un modèle et un langage standard (SQL)
• Une base théorique- théorie des ensembles- algèbre relationnelle
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Matricule Nom DateNaissance DateEmbauche Salaire #NomService
118 Martin 2/05/1964 19/02/84 13500 Comptabilité57 Brown 20/06/1950 10/01/92 20000 Informatique98 Milesi 18/04/1970 10/05/91 10000 Comptabilité3 Rive 12/12/1970 12/08/91 10000 Informatique10 Oates 01/01/1972 17/10/93 18000 Finance7 Slow 10/04/1975 20/01/94 6500 Comptabilité1 Brun 11/11/1968 30/04/96 8600 Finance
Les tables (relations)
Représentation graphique d'une table :
EMPLOYES
• Nom de la table : EMPLOYES.
• Schéma : 1ère ligne.
• Tuple : chacune des autres lignes.
• Attribut : une colonne
• Clé de la relation : Matricule.
• Clé étrangère : #NomService
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Les tables (relations)
Correspondance entité -> table :
Nom entité -> Nom table
Propriété -> Attribut
Domaine -> Domaine
Identifiant -> Clé
Instance -> Tuple
Correspondance association -> table :
Nom association -> Nom table
Propriété -> Attribut
Domaine -> Domaine
Identifiant -> Clé
Lien entre 2 instance d’entité -> Tuple
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Les tables (relations)
Propriétés :
1. Une valeur de la clé désigne une ligne unique
Ainsi, la valeur en question permet de retrouver cette ligne
2. Un nom d’attribut désigne une colonne
1 et 2 => l’ordre des ligne et des colonnes n’est pas significatif
Remarque : si la clé d’une table est définie par un couple d’attributs, ses valeurs sont des couples.
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Les attributs
La notion d’attribut en relationnel correspond à la notion de propriété en entité/association
Un attribut est défini par un nom et un domaine
Le domaine d’un attribut décrit les valeurs autorisées dans la colonne de cet attribut
Les valeurs d’un attribut sont atomiques : non décomposables
Contraintes supplémentaires :unicité, non nullité, clé, clé étrangère, valeur par défaut
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Les clés
La clé d’une table est un attribut ou groupe d’attributs dont les valeurs identifient de façon unique une ligne de la table
Il est possible que plusieurs combinaisons d’attributs puissent être exploitées comme clé :• on choisit la combinaison la plus courte
comme clé primaire
• Les autres combinaisons sont des clés candidates
Il est parfois utile de créer une clé artificielle lorsque les clés candidates sont compliquées
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Les clés étrangèresEMPLOYES
SERVICES
Dans la table SERVICES NomService est une clé qui permet retrouver la ligne décrivant un service donné
Dans la table EMPLOYES NomService* est une clé étrangère qui permet d’aller chercher dans la table SERVICE la description du service auquel appartient un employé donné
Matricule Nom DateNaissance DateEmbauche Salaire NomService*
118 Martin 2/05/1964 19/02/84 13500 Comptabilité57 Brown 20/06/1950 10/01/92 20000 Informatique98 Milesi 18/04/1970 10/05/91 10000 Comptabilité3 Rive 12/12/1970 12/08/91 10000 Informatique10 Oates 01/01/1972 17/10/93 18000 Finance7 Slow 10/04/1975 20/01/94 6500 Comptabilité1 Brun 11/11/1968 30/04/96 8600 Finance
NomService Budget Etage
Comptabilité 1MF 1Finance 1.5 MF 2Informatique 3 MF 2
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Les clés étrangères Le terme clé étrangère signifie clé
d’une autre table La notion de clé étrangère est utilisée
pour établir un lien entre deux tables Soit une table A possédant un attribut
b* définit comme clé étrangère provenant de la table B :• Chaque ligne de la table A possède une valeur pour
la clé étrangère b*, permettant de retrouver une ligne de la table B
• Chaque ligne de la table B possède une valeur pour la clé b qui peut apparaître dans 0 ou n lignes de la table A comme valeur de b*
• b* établit un lien n-1 entre A et B
Les clés étrangères sont les seules redondances autorisées
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Les clés étrangères
Règles d’intégrité référentielle Toute valeur saisie pour une clé
étrangère doit être incluse dans l’ensemble des valeurs de la clé référencée• Toute valeur saisie dans une colonne b*
doit exister dans la colonne b
• Le non respect de cette règle entraîne que la table A référence des lignes n’existant pas dans la table B
Lorsque l’on supprime une ligne dans une table référencée, la valeur de clé supprimée doit avoir été préalablement supprimée des colonnes clé étrangères
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Traduction d’une association 1-n
Exemple de lien 1-n :• Chaque ligne de FILMS doit être reliée à 1
lignes de CINEMA
• une ligne de CINEMA peut être reliée à n lignes de FILMS
TraductionFilms (titre, durée, version, nationalité, NR*, année)
Réalisateur (NR, nomR, prénomR)
FILMS
titre : textedurée : 30..300version : (VO,VF)nationalité : texte
Réaliserest réalise réalise
1..1 0..nAnnée : num
REALISATEURNR : numériquenomR : textePrénomR : texte
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Traduction d’une association 1-n
Toute association possédant une arrête de cardinalité 1,1 fusionne avec l’entité reliée à cette arrête
Pour fusionner une association avec une entité :• ajouter toutes les propriétés de
l’association dans la table de l’entité
• importer les clé des autres entités auxquelles l’association est reliée
• déclarer les clés importées comme clés étrangères
Une association ne fusionne qu’une fois
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FILMS
titre : textedurée : 30..300version : (VO,VF)nationalité : texte
CINEMAAfficheest à l’affiche diffuse
1..n 0..nNC : numériquenomC : texteAdresseC : texte
Traduction d’une association n-n
Exemple de lien n-n :• Chaque ligne de FILMS doit être reliée
à n lignes de CINEMA
• Chaque ligne de CINEMA doit être reliée à n lignes de FILMS
TraductionFilms (titre, durée, version, nationalité)
Cinéma (NC, nomC, adresseC)
Affiche (titre*, NC*, DD, DF)
DD : dateDF : date
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Traduction d’une association n-n
Pour traduire un lien m-n il faut créer une table intermédiaire• Du nom de l’association
• Comportant toutes les propriétés de l’association
• Comportant comme clés étrangères les clés des entités reliées
• Dont la clé est l’union des clés étrangères et des attributs soulignés de l ’association
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Démarche de traduction d’un schéma entité/ association
Etape 1 : Toute classe d’entités du diagramme entité/association est représentée par une table dans le schéma relationnel équivalent. La clé de cette table est l’identifiant de la classe d’entités correspondante.
Etape 2 : Toute classe d’associations 1,n (possédant une arrête de cardinalité 1,1 vers une entité Ei) fusionne avec la table de l’entité Ei.
Etape 3 : Toute classe d’associations n,n est transformée en table. La clé de cette table inclut tous les identifiants des entités participantes qui sont déclarés comme clé étrangère.