4
100* Airnèi. — M* 10, E l NUIT • CKITORB Dtmaaohe 10 Mars 1989. LE JOURNAL DE L’OISE DE L ARRONS 5SEMENT DE 3ENLI8 Farsfififf 1 atLnoIxm ABOUTNEM ENTS Aam Burooux P*P mU « « ..... « î - 1 m AfeomuuD«nts partout du 1” do obaquo mois On s’abonne aux Bureaux du Journal et dans loua les bureaux de poste. —L.'al>onnement est payable «l’avance et continue de .plein droit Jusqn'à réception bureaux, rédaction & administration •E N L IS 11. Plaoo fÇ û ri-IV , 11 SEN LI8 Ulrecteur Commenta) t % YIONOM A bboiim » U pia ........... Annonça volontaire*.. PK IX CXB I fr. SB la lieu. ! fc. SB la fi#a«. t.es manuscrit*. intérêt ou non, ne font pss renaut XW BBRTIOW a M tdann i **•* »• PHI».. ................... 1 fr. IsUfM. DALADIER et puis... l’Alsace jfo Considérez, si vous le voulez /^M' bien, — à propos de ces affaires d’Alsace — et mesurez, si vous / le pouvez sans en éprouver le vertige, le manque de tact, l’incompré hension, l’obliquité et la folie d’un Da- ladier Edouard, et de ses congénères les radicaux-socialistes. D’obard si les choses ont pris, en Al sace, la tournure que nous savons et que nous déplorons tous, la responsa bilité en incombe, pour une part nota ble et bien déiinie, à Herriot, Edouard également et non moins radical-socia liste. il y avait là-bas des. suseeptibili- tés «k jjAèjuiAéjer <1111 ne l ’ont ^ a s été. i^x.*er mier manque üe tSdT jiïuveiiuni truite ignorance de la géographie et de l’his toire vraiment déconcertante. Il n’est pas difficile de savoir combien toutes ces populations qui s’étendent des Al pes à la mer du .Nord et qui sont des pays bilingues et partagées au point de vue religieux entre protestants et catholiques, sont en somme particula- ristes et passionément attachées à leurs libertés. L’histoire de la Suisse et de la Belgique qui se trouvent aux deux ex trémités de la vallée du Rhin en témoi gne surabondamment. Or, l’Alsace et la Lorraine s’apparen tent assez étroitement A ces formations ethniques pour être âprement jalouses de leurs traditions et de leurs libertés linguistiques et religieuses. Il y a donc à les ménager tout particulièrement sur le terrain de l’Ecole et de la Reli gion — et même à leur, laisser sur ces points une indépendance totale. Quand on se pique d’être un universitaire de marque et au surplus « übéral » on ne doit pas ignorer ces choses. * On ne doit pas ignorer non plus qu’une doctrine aussi creuse et néga tive que le laïcisme, cette philosophie de commis voyageurs en goguette, ne peut pas luttes sur le terrain moral avec la Religion catholique ou protes tante. Il y a là des convictions autre ment profondes, vivaces, et somme toute bienfaisantes que les conceptions rabougries et socialement néfastes des radicaux sur la neutralité scolaire et l’affranchissement des consciences le quel se traduit pratiquement par l'af franchissement des instincts... Aussi bien, il ne s’agit nullement pour les Daladier et consorts d’une pro pagande d’idées. Ces « bons apôtres » ne sont nullement apôtres : ce sont des politiciens sectaires. Leur obliquité se manifeste dans la bassesse de leurs calculs. Poincaré ayant déclaré à la Chambre que les lois laïques ne seraient appli quées en Alsace qu’au jour où les Alsa ciens le voudraient, cette parole de loyauté leur a ouvert des prespectives machiavéliques. L’introduction de la laïcité en Alsace, ne pourrait-on pas précisément la faire vouloir aux Alsa ciens, par la propagande politique et la pression électorale ? U suffit pour cela de s’assurer quel ques complices, quelques centaines d’électeurs bons vivants résolus à ban queter copieusement et entre temps à prêcher dans les cabarets l’affranchis sement des consciences. On finira bien par avoir — et très vite — quelques municipalités et quelques conseils gé néraux pour réclamer les bienfaits de la bienheureuse laïcité. Alors en avant la propagande, les tournées de confé rences, les assemblées truculentes et le tam-tam dominical. De là le voyage d’Edouard Daladier en Alsace, la lettre de Mgr Ruch et la réponse de ce même Daladier. DÉPflRTEUEHT Concours central des Animaux reproducteurs, des espèces che valine et asine à Paris en 1929. Un concours central d’animaux re producteurs des espèces chevaline et asine, organisé par le Ministère de l’Agriculture (Direction des Haras) aura lieu à Paris, au Parc des Expositions, du mardi 3 juillet au dimanche 7 juil let inclusivement. Ce concours est ouvert aux animaux nés en France, exempts de vices ré- dhibitoires et âgés de 16 ans au plus (nés en 1914) et appartenant à des éle veurs français ou domiciliés en Fran ce. Toutefois exception sera faite en 1929 pour les animaux de race ardenai- se et de trait du Nord importés avant le 1" avril 1926. Pour être admis à concourir, les éle- veàw SïdfeSMaAnt ü d i ^ s e r xxxxe déclu. ulion écrite au Ministère de l’Agriculture, Direction des Haras, 3” bureau, avant le 1" mai 1929, terme de rigueur. Une dé claration spéciale devra être faite pour chaque animal engagé. Des formules imprimées séront mises à la disposi tion des éleveurs au Ministère de l’Agriculture, dans les Préfectures, Sous-Préfectures, dans les Dépôts d’étalons et stations de monte de leur circonscription. Toute déclaration qui parviendra après le délai fixé, sera considérée comme nulle et non avenue. Société des Agriculteurs de I Oise Réunion de la Commission des Fi nances, le samedi 9 mars 1929, à 9 h. 30, au bureau de la Société, 20, place de l’Hôtel de Ville, à Compiègne. Réunion du Conseil d’administration, à 10 heures 30, dans une>salle de l’Hô tel de Ville de Compiègae. Assemblée générale Le même jour, à 14 heures 30, très précises, même salle. Ordre du Jour : 1“ Approbation du procès-verbal de la dernière séance. 2° Correspondance. 3° Réfection du cadastre. 4° Premiers résultats de l’enquête sur les dégâts occasionnés par le gi bier. 5° Le U* Congrès de l’Agriculture française. 0° Questions diverses. Une intéressante conférence sera fai te par M. Barbut, directeur des Services ciales et de la loi Loucheur. Lé talaire delà femme du commerçant M. Mereereau, de Crépy, devait pré senter un rapport sur la question du salaire de la femme, mais empêché par la-grippe, il n’a pu venir à la réunion. M, Mauny expose sommairement la question, et un vceu demandant que le salaire de la femme du commerçant soit déduit pour le calcul de l’impôt su* les bénéfices commerciaux. Indemnité parlementaire L’assemblée adopte un vœu de M. Nirmand protestant contre l’augmen- tafcon d© l’indemnité parlementaire, qui aurait dû, au moins, avoir comme codre-partie la diminution du nombre des parlementaires Plus-value budgétaires Cn adopte un vœu de M. Robert Van 'ttfj'mmech, président du Syndicat de li| boucherie de Senlis et Ciermont, tuidant à ce que les plus-values d’im- jéjts soient intégralement versées à la :T Sl A travers Pharmacie ouverte t Dimanche 10 Mars : M. Bardou, rue de l’Apport-au-Psiu. Union Commerciale et Industrielle et De l'importance de la comptabilité dans une Maison de Commerce sse d’amortissement. Cette équipée du citoyen Daladier est maladroite parce que c’est là ce qui s’appelle verser de l’huile sur le feu. A quoi bon aller fournir sur place des arguments aux autonomistes alsa ciens ? C’est une provocation, c’est chercher à entretenir le mouvement séparatiste. Un homme qui agit ainsi n’a pas le droit d’écrire « France d’a bord ! » Au surplus sa méthode est malhonnête. Car s’il reproche fausse ment aux autres l’emploi de la force ouverte pour garder la domination des consciences, il compte bien, lui, les as servir par la violence sournoise et la pression politique. On reconnaît là les procédés de la rue de Valois. Us sont jugés et condamnés. POLITICA Revue mensuelle d’initiation à la vie politique io rue Chardin, Pari» (XVJ») ^Abonnement t t an, 30 francs Réunion du Comité d’Entente du 29 Février 1929 Le Comité d’Entente s’est réuni à Creil, Hôtel du Commerce, le lundi 18 février, à 14 heures. Etaient présents : MM. de Pontalba, Tristcb, (U. N. CL) ; Dupernay, (Poilus d’Orient) ; Terteaux, (Amicale de Sa- iency) ; Maillard (Mutuelle des Muti lés et Réformés de Creil) ; Née, (A. C de Choisy-au-Bac) ; Buffard, (U. M. R. A. CL). M. de Pontalba est désigné comme Président de séance. Le procès-verimA d© la précédent© réunion est adopté. Admission de la P. A. C. — La P. A. CL qui a été sollicitée, conformément aux décisions de la dernière réunion, a envoyé son adhésion. M. Buffard est chargé de se mettre en rapport avec cette Association pour les formalités habituelles. Secrétariat des Pupilles de la Na tion — M. Buffard expose que le but principal de la réunion est ae se met tre d’accord sur l’attitude à prendre relativement à l’emploi de Secrétaire Départemental des Pupilles de la Na tion, emploi devenu vacant par suite de la démission de M. Joly. Le rem placement devant avoir lieu à la suite d’un concours sur titres, il est impos sible de soutenir une candidature per sonnelle. Mais les Associations peuvent intervenir pour préciser : 1° Qu’elles n’admettront comme Se crétaire, qu’un des titulaires éventuels prévus par la loi. 2° Qu’elles entendent seulement par Ancien Combattant, les titulaires de la carte. 3° Qu’à titres égaux, elles désiraient que la préférence soit donnée à un An cien Combattant du Département. M. Buffard est chargé d’écrire en ce sens à M. le Préfet de l’Oise et aux di vers parlementaires du Département. Vœux. — Les vœux suivants, com muniqués par l’Amicale des Anciens Combattants de Salency, sont adoptés à l’unanimité et seront transmis à la Confédération Nationale : 1* Qu’il soit étudié un moyen per mettant aux Mutilés immobilisés, de voter (par correspondance, par exem ple), et cela dans le plus bref délai, étant donné la proximité des élections municipales prochaines. 2° Que les Mutilés en possession de titres de créance pour dommages de guerre, puissent réemployer leurs dom mages aux lieux où ils se trouvent, à condition toutefois que leur domicile leur soit imposé par l’octroi d’un em ploi réservé, soit par leur état de santé (station climatique par exemple). Les vœux envoyés par l’A. R. A. C., de Chambly et relatifs aux Anciens Combattants d’Orient, seront remis aux Poilus d’Orient pour étude. Les autres vœux, remis par cette as sociation, seront examinés lors d’une réunion ultérieure. A la demande des camarades Ter teaux et Née, les réunions de l’après- midi auront désormais lieu à 15 heu res. La séance est levée à 16 heures 30 Le Secrétaire, Paul Buffard. Société Sténographique de l’Oise Les cours de Sténographie sont en progrès constants, et cette année encore ils se sont partout ouverts avec un nombre important d’élèves, ainsi qu’en témoignent les communiqués adressés par les professeurs de tous les points du département. Pour les personnes qui ne peuvent suivre les cours, la Société Sténogra phique de l’Oise tient à leur disposition, et à titre gratuit, une méthode qui leur permettra de s’assimiler à bref délai, une science dont la connaissance s’im pose davantage chaque jour. Adresser demande accompagnée d’un franc, à M. Albert Marlard, 12, rue Er nest Renan, Paris (15*). Prestations en nature Nitrate de soude synthétique Le Préfet de l’Oise porte à la con naissance de Messieurs les Agricul teurs sinistrés du département, qu’un continrent de nitrate de soude synthé- tique (16 % d’azote nitrique) livrable au titre des prestations eu nature, sera mis à sa disposition pour livraison sur mars, avril et mai 1929. Ceux d’entre eux ayant encore des crédits justifiés à leur compte de dom mages de guerre, qui désireraient ob tenir de cet engrais, voudront bien adresser de suite leurs demandes au Service des Prestations en Nature, au Palais de Compiègne. Les demandes devront être faites sur les imprimés spéciaux que les intéres sés trouveront aux bureaux des Pres tations en Nature et du Service Agri cole, au Palais de Compiègne. assemblée Générale DE LA Fédération des Braupas Commerciaux ot Industriels de l’Oise (S uitb) M. Bascher, président de l’Union des Commerçants et Industriels de Senlis et région, dépose une motion renouvelant la confiance accordée à M. Mauny et rendant hommage à son dé vouement Cette motion est adoptée à l’unani mité Elections M. Soualle, président honoraire prend la présidence. M. Mauny expose pour quelles rai sons il a démissionné l’an dernier. Il a voulu, en se retirant, laisser le champ libre et ne pas permettre aux questions de personnes d’entraver la bonne mar che de la Fédération. Quelle que soit la décision qui intervienne, M. Mauny Bascher expose la ‘^wïstion des | patentes qui, basées sur le prix des loyers, vont se trouver considérable- ment augmentées, surtout pour les commerçants chargés de famille. Il in vite ses collègues à donner son appro bation à l’amendement, déposé à ce sujet pas M. Louis Rollin, député de Paris. M. Toustou dit qu’il a saisi le député de Compiègne de cette question, M. Fqurnier Sarlovèze a promis son vote. Tous les commerçants sont invités à agir de même auprès du député de leur circonscription. Assurances sociales , M . Mauny expose brièvement la question des Assurances sociales. Dans Inapplication de cette loi, il faut éviter les errements fâcheux des autres pays. Il faut s’efforcer de réduire les frais de gestion et d’empêcher les aléas. C’est ainsi que la loi sera vraiment bienfai sante. Le meilleur est de s’organiser sur le plan corporatif, local et régio nal. M. Soyer, président des assuran ces de l’Oise, dit que ceux-ci se mettent à la disposition des caisses primaires rw»v»r gérer les assurances sociales Î5cjcnnant un efaible rétribution. Pro position renvoyée pour étude au bu reau de la Fédération Nos Députés Scrutin du 1" mars, sur l’article uni que du projet de loi tendant à autoriser le Président de la République à rati fier le pacte général de renonciation à la guerre. Nombre de votants ___ 573 Pour l’adoption ............. 561 Contre ...................... 12 La Chambre des députés a adopté. Tous les députés de l’Oise ont voté pow. * promet son concours le plus absolu. M. Soualle dit que l’œuvre de M. Mauny n’a pas à être rappelée ; elle est connue, elle est admirée de tous. La valeur, l’expérience commerciale, le dévouement de M. Mauny font de lui le président idéaL D’ailleurs la ques tion est tranchée par le vote de la mo tion de M. Bascher indiquant la vo lonté de tous de continuer leur con fiance à M. Mauny. A l’unanimité, M. Mauny est réélu président et ce résultat est salué de longs applaudissements. M. Mauny remercie M. Soualle de ses paroles trop aimables autant que de sa constante collaboration à l’œuvra de la Fédération Un ban est battu en l’honneur de M. Soualle. M. Mauny remercie M. Bascher de sa motion et ses collègues de leurs suf frages, il accepte la charge qui lui est imposée et compte sur le concours de tous. M. Blanchard est réélu vice-prési dent pour la région de Ciermont. M. Bascher est élu vice-président pour la région de Senlis, en remplace ment de M. Bélosse qui a quitté le commerce de boucherie, et qui, sur la proposition de M. Mauny, est nommé vice-président honoraire. MM. Bascher et Bélosse ayant re mercié, M. Marchand, trésorier, est fâeüï. Allocations familiales M. Finet fait adopter un vœu tendant à rendre obligatoire les allocations fa miliales, mais en laissant à la profes sion le soin de les organiser. Dérogation à la loi de 8 heures M. Finet demande, qu’en raison de la période de chômage que viennent de subir les ouvriers du bâtiment surtout, des dérogations soient apportées à la loi de 8 heures, en vue d’autoriser les entrepreneurs à faire faire des heures supplémentaires à ceux de leurs ou vriers qui le désireraient. Ce vœu adop té sera transmis aux services intéres sés par les soins de la Fédération. Les loyers commerciaux Une demande de l’Union des Paten tés du canton de Mouy concernant les abus commis par certains propriétai res dans l’augmentation abusive des loyers commerciaux et en même temps les frais excessifs de procédure dans les contestations, amène le Président à conseiller pour solutionner les diffé- 1a création de commissions pa ritaires mixtes d’arbitrage par régions à l’instar de celles qui se constituent dans beaucoup de départements. Ordre du jour voté à l’unanimité * Les membres de la Fédération des Groupes commerciaux et industriels de l’Uise (comprenant 27 syndicats corporatifs et Union commerciales), réunies en Assemblée générale an nuelle le 24 février 1929 à CreiL « Renouvellent à M. de Paloméra, le très distingué et dévoué président de la Confédération des Groupes commer ciaux et industriels de France l’expres sion de leur fidèle souvenir. « Hs l’assurent, de plus, de leur en tière collaboration dans l’œuvre de réorganisation économique et financiè re entreprise et poursuivie par cette importante Confédération qu’il préside avec tant d’autorité. a La Fédération, profondément ac quise aux œuvres sociales, décide de favoriser par tous ses moyens la créa tion de mutuelles, en vue de l’appli cation de la loi sur les assurances so ciales. « Dans cet esprit et aussi pour ré soudre favorablement les problèmes économiques et financiers si complexes et nombreux, problèmes qui menacent Wire avenir et celui du pays tout en tier, elle conjure tous les industriels et commerçants de ce département d’a dhérer à leurs groupements corpora tifs sans aucun retard. « L’Assemblée en acceptant la dé mission du groupement du Beauvaisis, du Bray et du Vexin, proteste contre les termes contenus dans la lettre de démission de ce groupement, notam ment en ce qui touche l’activité de la Fédération. « Renouvelle sa confiance à M. E. Mauny, son président et lui adresse l’expression de sa ' reconnaissance pour le dévouement qu’il apporte dans l’exécution du mandat qu’elle lui a confié. » U séaoçf A été ensuite levée. L’article 8 du Code de Commerce est ainsi conçu : « Tout commerçant est tenu d’avoir « un < Livre de Journal » qui présente « jour par jour, ses dettes actives et pas- e sives, les opérations de son commerce, « ses négociations, acceptations et en- « dossements d ’effets, et généralement - tout ce qu’il reçoit et paie, à quelque * ^ •'Hé1- 4* •■«»'»* ibomp « dépense de sa maison. Le tout iiidé- « pendamment des autres livres usités « dans le commerce, mais qui ne sont < pas indispensables. > Si la tenue d’une comptabilité régu lière a toujours été le principe fonua- mental d’une Maison de Commerce, elle devient de plus en plus indispensable à tous ceux qui sont a la tète d une entre prise, quelle qu'en soit l'importance. En effet, par suite des lois fiscales, con cernant la taxe sur le chiffre d’affaires, l’impôt sur les bénéfices commerciaux, l'impôt sur le revenu, la taxe d’appreuus- sage et bientôt lies assurances sociales, le commerçant, l’industriel et tous ceux qui, à un titre quelconque, font acte de com merce, doivent pouvoir présenter aux agents du fisc, des cüiüres ayant un ca ractère d’autiienticite îuoiscuiaoie, qui serviront de base à l’établissement des taxes et des impositions. La loi de finances du 30 décembre 1928, contient plusieurs dispositions dont peuvent bénéficier certains contribuâmes notamment : Report du déficit subi pendant un exercice sur les trois exercices suivants. Exonération jusqu’à concurrence de 100 francs pour Iles petits commerçants non assujettis à l'impôt général sur le revenu, et ae réalisant pas un chiffre d'aff aires supérieur à oO.OUO francs, sans autre concours que celui de sa femme et de ses enfants âgés de moins de 18 ans et d’un employé. Comment les bénéficiaires de ces dis positions pourront-ils en profiter s'ils ne peuvent justifier par des Livres réguliè rement étaMis, qu'ils rentrent bien dans la catégorie prévue par la loi ? Il existe encore des commerçants ré- fractaires qui considèrent comme per du, le temps passé aux écritures, ou com me un luxe, permis aux grandes maisons seulement, le fait de les faire tenir par un comptable. Cette manière de voir n’est plus permi se avec les complications qu’entraînaient les lois fiscales de plus en plus nombreu ses et lies méthodes nouvelles employées dans les entreprises commerciales et in dustrielles qui demandent de la part de leurs dirigeants, une application de plus en plus soutenue et une connaissance ap proiondie de leur situation au jour " jour. Une comptabilité, aussi simple soit- elle, à la condition qu’elle soit tenue ré gulièrement et constamment à jour, per mettra l’établissement des déclarations fiscales sur des bases certaines, elle évi tera les taxations d’office, que les agents du fisc, en l’absence de tout élément d’ap préciation, sont obligés d’évaluer ap proximativement, et qui sont très sou vent exagérées. Mais, et surtout, elle renseignera le commerçant sur la marche de son entre prise; elle lui permettra : D’établir réellement son chiffre d’af faires, ses frais généraux d’exploitation, ses dépenses de Maison, le bénéfice qu’il réalise effectivement. De comprimer certaines dépenses pour ern augmenter d’autres plus utiles au développement de ses affaires. De suivre de près ses échéances, de serrer son crédit, de connaître son stock de marchandises et par là même, de se livrer à des achats judicieux, en rapport avec ses disponibilités et souvent mieux appropriés à ses besoins immédiats. A ces avantages, il faut ajouter que la comptabilité régulièrement tenue est ad mise comme preuve par les Tribunaux, en cas de contestation avec les clients et les fournisseurs, ainsi que par les Com missions récemment créées pour régler les divergences de vue pouvant se pro duire entre contribuables et agents du fisc. En cas de gêne, ou besoin de concours financiers, elle sera la meilleure auxiliai re pour faciliter au commerçant le prêt ou la commandite qu’il sollicitera. Elle justifiera à l’acheteur évenutel du fonds, les chiffres annoncés, ainsi que les bénéfices réalisés, et sera de ce fait, l’in termédiaire désintéressé, qui aura le plus d’influence pour mener à bien la transac tion désirée. Et comme il faut toujours prévoir le pire et que dans les affaires il faut comp ter avec la malchance, la comptabilité viendra dans les cas désespérés, prouver la bonne foi du commerçant réduit à dé poser son bilan, contribuera à éviter la faillite et souvent lui conservera l’estime de ses créanciers qui lui accorderont ter mes et délais pour le relever. Commerçants I Vous avez évidemment tous le désir de développer vos affaires; avant de vous étendre davantage, faites mettre votre Si vous opérez mai, l’augmentation de vos transactions commerciales, au lieu d’être pour vous un élément de prospé rité, ne fera qu’aggraver la gêne qui vous paralyse. L’exposé qui précède, très incomplet pour un sujet aussi complexe que la comptabilité, n’a d’autre but que d'enga ger les commerçants à taire établir et te nir régulièrement des livres comptables, que la loi ordonne et qui sont indispen sables à la bonne marche d’une maison de commerce. B ascher , Président de l’Union Commerciale et Industrielle de Senlis et Région. Vice-président de la Fédération des Groupements Commerciaux et Industriels de l’Oise. Pour tous renseignements, s’adresser à M. Bascher, 3, rue Carnot, ou directe ment à M. Alfred Brument, 34, rue de Soissons à Crépy-en-Valois, expert- comptable agréé par l’Union Conuuer- ciale et ladustrialJe .de Senlis eV Hégion. Groupement ae urepy-en-Valois, qui se tient gratuitement à la disposition des Commerçants pour leur donner toutes in dications utiles. •»—— -■ Médaille des Sapeurs-Pompiers Médaille d’honneur communale Le moment est venu de transmettre aux Sous-Préfets, les dossiers de propo sitions de médailles diverses. Ils doivent parvenir dès maintenant pour les promotions du 14 juillet pro chain. Motocyclistes L’Amical-Moto-Club a décidé dans sa réunion du 3 mars, de ramener les coti sations trimestrielles à 10 francs et le di oit d’entrée à 5 francs. Elle se réunira le dimanche 14 avril, à 10 heures 30, à son siège ; Café du Com merce, place de la Halle à Senlis. Réunion qui sera ouverte à tous les motocyclistes. . Etalons approuvés et autorisés pour la monte de 1929 dans l’arrondissement de Senlis I. •— Etalons approuvés Picrochole (pur sang anglais) apparte nant au prince Murât, à Chambly. Le Prodigue (pur sang anglais) appar tenant à M. de Saint-Alary, à Chambly. Samouraf (pur sang anglais) apparte nant à M. Georges Bleck, à Gouvieux. H. — Etalons autorisés Indigène d’Hulle (trait du Nord) ap partenant à M. Van der Haegen, à Saini- Vaast-les-Mello. Eclat (trait boulonnais) appartenant à M. Charles Devouges, à Saintines, Greffier honoraire M. Baranger, ancien commissaire pri- seur & Senlis, ancien greffier de la Jus tice de Paix du 5* arrondissement de Pa ris, est tnommé greffier honoraire. le Sport Vélocipédique Senlisien Vélodrome de Senlis La deuxième réunion de la course de la Médaille aura lieu le dimanche 21 avril avec un superbe programme de courses comprenant : La course de la Médaille avec séries, demi-finales et finale. La course de primes réservées aux Mé daillés et comportant 85 francs de prix. Le brassard d’or réservé aux coureurs de Senlis (2* mutch). Pour donner une certaine ampleur à si réunion, la direction du Vélodrome de Senlis ajoute à son programme une course à l’Américaine sur 100 tours de piste qui sera réservée à 10 équipes sélectionnées parmi les coureurs du dé partement de l’Oise, cette épreuve com portant 5 prix et primes : 1. 100 fr.; 2. 80 fr.; 3. 60 fr.; 4. 40 fr.; 5. 30 francs. Engagement 4 francs par équipe sélec tionnée. Les équipes qui voudraient être sélec tionnées sont priées d’adresser leur de mande au Secrétaire du Vélodrome, M. Guizelin, 13, rue de Beauvais, comptabilité à jour et si vous n’en tenez pas faites-la établir. Alors seulement, vous pourrez vous rendre compte si vous tra vaillez normalement et s’il n’y a pas lieu d’apporter des modification* dans votre façon d’opérer Le Réveil de Senlis Le Concours régional qui a obtenu un si grand succès à Seniis, l’année dernière, aura lieu cette année à Saunais (Scine-et- Oise). La Société de gymnastique Le Réveil de Senlis aura la mission de remettre le drapeau de l’Association qu’eile avait reçu le jour du Concours de Senlis, à la Sannoisienne, qui organise le 45* Con cours le 16 juin prochain. Le Directeur du Réveil rappelle aux gymnastes et pupilles qu’ils ne doivent plus manquer aux répétitions afin de pouvoir rapporter du Concours de San- nois de belles récompenses, fruits d’un travail assidu. M. Grimbert fait appel aux jeunes gens qui désireraient faire partie du Réveil, ils peuvent s’adresser chez lui rue de ia Fontaine des Arènes ou au gymnase les jours de répétitions. Après le beau spectacle si varié des exercices du Concours de gymnastique, tout le monde a pu voir et se rendre compte que le travail des Sociétés de gymnastiques a bien évolué; presque tous les sports font aujourd’hui partie des rè glements des Concours et nous dirons avec Georges Hébert : « Réhabilitons donc et utilisons com me il convient ce vieux mot de « gym nastique » mis en honneur par Amoros et que te» Sociétés de gymnastique ont —. avec raison — jaloasetpeot conservé. %

100* Airnèi. — M* 10, Dtmaaohe 10 Mars 1989. LE DE L’OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1929-1930/bms_js_1929_03_10_MRC.pdf · LE100* Airnèi.— M* 10, El NUIT • CKITORB Dtmaaohe

  • Upload
    others

  • View
    0

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: 100* Airnèi. — M* 10, Dtmaaohe 10 Mars 1989. LE DE L’OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1929-1930/bms_js_1929_03_10_MRC.pdf · LE100* Airnèi.— M* 10, El NUIT • CKITORB Dtmaaohe

100* Airnèi. — M* 10, E l NUIT • CKITORB Dtmaaohe 10 Mars 1989.

LEJO U R N A L

DE L’OISEDE L A R R O N S 5SEMENT DE 3 E N L I8

F a r s f i f i f f 1 atLnoIxm

A B O U T N E M E N T SA am Burooux P* PmU

« «. . . . . « î -1m AfeomuuD«nts partout du 1” do obaquo m ois

On s’abonne aux Bureaux du Journal et dans loua les bureaux de poste. — L.'al>onnement est payable «l’avance et continue de .plein droit Jusqn'à réception

b u r e a u x , r é d a c t i o n & a d m in ist r a t io n• E N L I S — 11 . P l a o o f Ç û r i - I V , 11 — S E N L I 8

Ulrecteur Commenta) t % YIONOM

A b b o i i m » U p i a ...........

Annonça volontaire*..

P K I X C X B I fr. SB la l ie u .

! fc . S B la f i# a « .

t.es manuscrit*. intérêt ou non, ne font pss renaut

X W B B R T I O W a M t d a n n i

* * • * »• PH I»..................... 1 fr. IsU fM .

DALADIERet puis... l’Alsace

jfo Considérez, s i vous le voulez /^M ' bien, — à propos de ces affaires

d’Alsace — et m esurez, si vous / le pouvez sans en éprouver le

vertige, le m anque de tact, l’incom pré­hension, l’obliquité et la folie d ’un Da- lad ier Edouard, et de ses congénères les radicaux-socialistes.

D’obard si les choses ont pris, en Al­sace, la tournure que nous savons et que nous déplorons tous, la responsa­bilité en incom be, pour une p art nota­ble et bien déiinie, à Herriot, Edouard égalem ent et non m oins radical-socia­l i s t e . i l y a v a i t l à - b a s d e s . s u s e e p t i b i l i -tés «k jjAèjuiAéjer < 1 1 1 1 ne l ’ont a s été. i x.*erm ier m anque üe tSdT jiïuveiiuni tru ite ignorance de la géographie et de l’h is­toire vraim ent déconcertante. Il n ’est p as difficile de savoir com bien toutes ces populations qui s ’étendent des Al­pes à la m er du .Nord et qui sont des pays bilingues et partagées au point de vue relig ieux entre protestants et catholiques, sont en som m e particu la- ristes et passioném ent attachées à leurs libertés. L ’histoire de la S u isse et de la Belgique qui se trouvent aux deux ex­trém ités de la vallée du Rhin en tém oi­gne surabondam m ent.

Or, l ’Alsace et la L orraine s ’ap p a ren ­tent assez étroitem ent A ces form ations ethniques pour être âprem ent jalouses de leurs traditions et de leurs libertés linguistiques et religieuses. I l y a donc à les m énager tout particulièrem ent su r le te rra in de l ’Ecole et de la Reli­gion — et m êm e à leur, la isser su r ces points une indépendance totale. Quand on se pique d ’être un universitaire de m arque et au su rp lus « übéral » on ne doit pas ignorer ces choses.

*On ne doit pas ignorer non plus

qu ’une doctrine aussi creuse et néga­tive que le laïcism e, cette philosophie de com m is voyageurs en goguette, ne peut p a s lu ttes su r le te rra in m oral avec la Religion catholique ou protes­tante. I l y a là des convictions au tre­m ent profondes, vivaces, et somme toute b ienfaisantes que les conceptions rabougries et socialem ent néfastes des rad icaux su r la neutra lité scolaire et l ’affranchissem ent des consciences le­quel se tradu it p ra tiquem ent p a r l 'a f­franchissem ent des instincts...

Aussi bien, il ne s ’agit nullem ent pour les D aladier et consorts d’une pro­pagande d’idées. Ces « bons apôtres » ne sont nullem ent apôtres : ce sont des politiciens sectaires. L eur obliquité se m anifeste dans la bassesse de leurs calculs.

P oincaré ayan t déclaré à la Cham bre que les lois laïques ne seraient app li­quées en Alsace q u ’au jo u r où les A lsa­ciens le voudraient, cette parole de loyauté leur a ouvert des prespectives m achiavéliques. L’introduction de la laïcité en Alsace, ne pourrait-on pas précisém ent la faire vouloir aux A lsa­ciens, p a r la propagande politique et la pression électorale ?

U suffit pour cela de s ’assu re r quel­ques complices, quelques centaines d’électeurs bons vivants résolus à ban­queter copieusem ent et entre tem ps à prêcher dans les cabarets l’affranchis­sem ent des consciences. On finira bien p a r avoir — et très vite — quelques m unicipalités et quelques conseils gé­n éraux pour réclam er les b ienfaits de la bienheureuse laïcité. Alors en avant la propagande, les tournées de confé­rences, les assem blées truculentes et le tam -tam dom inical. De là le voyage d ’Edouard Daladier en Alsace, la lettre de Mgr Ruch et la réponse de ce m êm e Daladier.

DÉPflRTEUEHTConcours central des Animaux

reproducteurs, des espèces che­valine et asine à Paris en 1929.U n concours central d ’an im aux r e ­

producteurs des espèces chevaline et asine, organisé p a r le M inistère de l’A griculture (Direction des Haras) au ra lieu à P aris , au P arc des Expositions, du m ard i 3 ju ille t au dim anche 7 ju il­let inclusivem ent.

Ce concours est ouvert aux an im aux nés en France, exem pts de vices ré- dhibitoires et âgés de 16 ans au plus (nés en 1914) et appartenan t à des éle­veurs français ou dom iciliés en F ran ­ce. Toutefois exception sera faite en 1929 pour les an im aux de race ardenai- se et de tra it du Nord im portés avant le 1" avril 1926.

P o u r ê t r e a d m i s à c o n c o u r i r , l e s é le -veàw SïdfeSMaAnt ü d i^ s e r xxxxe déclu. ulionécrite au M inistère de l ’A griculture, Direction des Haras, 3” bureau, avant le 1" m ai 1929, term e de rigueur. Une dé­claration spéciale devra être faite pour chaque an im al engagé. Des form ules im prim ées séront m ises à la disposi­tion des éleveurs a u M inistère de l ’A griculture, dans les P réfectures, Sous-Préfectures, dans les Dépôts d ’étalons et stations de m onte de leur circonscription.

Toute déclaration qui parv iendra après le délai fixé, sera considérée com m e nulle et non avenue.

Société des Agriculteurs de I OiseRéunion de la Commission des Fi­

nances, le sam edi 9 m ars 1929, à 9 h. 30, au bureau de la Société, 20, place de l’Hôtel de Ville, à Compiègne.

Réunion du Conseil d’adm inistration, à 10 heures 30, dans une>salle de l’Hô­tel de Ville de Compiègae.

A ssem blée générale Le m êm e jour, à 14 heu res 30, très

précises, m êm e salle.Ordre du Jour :

1“ A pprobation du procès-verbal de la dernière séance.

2° Correspondance.3° Réfection du cadastre.4° P rem iers résultats de l ’enquête

sur les dégâts occasionnés p a r le gi­bier.

5° Le U* Congrès de l ’Agriculturefrançaise.

0° Questions diverses.Une intéressante conférence sera fa i­

te p ar M. Barbut, directeur des Services

ciales et de la loi Loucheur.

Lé talaire d e là fem m e du com merçantM. Mereereau, de Crépy, devait p ré­

senter un rapport su r la question du salaire de la femme, m ais em pêché p a r la-grippe, il n ’a pu venir à la réunion. M, M auny expose som m airem ent la question, et un vceu dem andant que le salaire de la femme du com m erçant soit déduit pour le calcul de l’im pôt su* les bénéfices commerciaux.

Indem nité parlementaireL’assem blée adopte un vœu de M.

Nirmand protestant contre l ’augm en- tafcon d© l’indem nité parlem entaire, qui au ra it dû, au m oins, avoir comme codre-partie la dim inution du nom bre des parlem entaires

P lus-value budgétairesCn adopte un vœu de M. Robert Van

'ttfj'mmech, président du Syndicat de li| boucherie de Senlis et Ciermont, tuidant à ce que les p lus-values d’im - jéjts soient intégralem ent versées à la: T Sl

A traversPharm acie ouverte t

Dimanche 10 Mars : M. Bardou, rue de l’Apport-au-Psiu.

Union Commerciale et Industrielle et

De l'importance de la comptabilité dans une Maison de Commerce

sse d ’am ortissem ent.

Cette équipée du citoyen Daladier est m aladroite parce que c’est là ce qui s’appelle verser de l’huile su r le feu. A quoi bon aller fourn ir su r place des argum ents aux autonom istes a lsa­ciens ? C’est une provocation, c ’est chercher à en tre ten ir le m ouvem ent séparatiste. Un hom m e qui agit ainsi n ’a pas le droit d’écrire « F rance d’a­bord ! » Au surp lus sa m éthode est m alhonnête. Car s ’il reproche fausse­m ent aux au tres l ’em ploi de la force ouverte pour garder la dom ination des consciences, il compte bien, lui, les as­serv ir p a r la violence sournoise et la pression politique. On reconnaît là les procédés de la rue de Valois. Us sont jugés et condam nés.

POLITICARevue mensuelle d’initiation à la vie politique

io rue Chardin, Pari» (XVJ») ^Abonnement t t an, 30 francs

Réunion du Comité d’Ententedu 29 Février 1929

Le Comité d’Entente s’est réun i à Creil, Hôtel du Commerce, le lundi 18 février, à 14 heures.

E taient présents : MM. de Pontalba, T ristcb, (U. N. CL) ; D upernay, (Poilus d’Orient) ; Terteaux, (Amicale de Sa- iency) ; M aillard (M utuelle des M uti­lés et Réform és de Creil) ; Née, (A. C de Choisy-au-Bac) ; Buffard, (U. M. R.A. CL).

M. de Ponta lba est désigné com m e P r é s i d e n t d e s é a n c e .

Le procès-verimA d© la précédent© réunion est adopté.

A dm ission de la P. A . C. — La P . A.CL qui a été sollicitée, conform ém ent aux décisions de la dernière réunion, a envoyé son adhésion. M. Buffard est chargé de se m ettre en rapport avec cette Association pour les form alités habituelles.

Secrétariat des Pupilles de la N a­tion — M. Buffard expose que le but p rincipal de la réunion est ae se m et­tre d’accord su r l ’attitude à prendre relativem ent à l’em ploi de Secrétaire D épartem ental des P upilles de la N a­tion, em ploi devenu vacan t p a r suite de la dém ission de M. Joly. Le rem ­placem ent devant avoir lieu à la suite d’un concours su r titres, il est im pos­sible de soutenir une candidature per­sonnelle. M ais les Associations peuvent in tervenir pour préciser :

1° Qu’elles n ’adm ettront com m e Se­crétaire, qu ’un des titu laires éventuels prévus p a r la loi.

2° Qu’elles entendent seulem ent p a r Ancien Combattant, les titu laires de la carte.

3° Qu’à titres égaux, elles désiraient que la préférence soit donnée à un A n­cien Com battant du Départem ent.

M. Buffard est chargé d ’écrire en ce sens à M. le P réfet de l’Oise et aux di­vers parlem entaires du Départem ent.

Vœ ux. — Les vœux suivants, com­m uniqués p a r l ’Am icale des Anciens Com battants de Salency, sont adoptés à l’unanim ité et seront transm is à la Confédération Nationale :

1* Qu’il soit étudié un m oyen per­m ettant aux M utilés im m obilisés, de voter (par correspondance, p a r exem­ple), et cela dans le p lus bref délai, étant donné la proxim ité des élections m unicipales prochaines.

2° Que les M utilés en possession de titres de créance pour dom m ages de guerre, pu issen t réem ployer leurs dom­m ages aux lieux où ils se trouvent, à condition toutefois que leur domicile leur soit im posé p a r l’octroi d’un em ­ploi réservé, soit p a r leur état de santé (station clim atique p a r exemple).

Les vœux envoyés p a r l’A. R. A. C., de Cham bly et re la tifs aux Anciens Com battants d’Orient, seront rem is aux Poilus d’Orient pour étude.

Les au tres vœux, rem is p a r cette as­sociation, seront exam inés lors d’une réunion ultérieure.

A la dem ande des cam arades T er teaux et Née, les réunions de l’après- m idi auront désorm ais lieu à 15 heu­res.

La séance est levée à 16 heures 30 Le Secrétaire,

P au l B u f f a r d .

Société Sténographique de l’OiseLes cours de S ténographie sont en

progrès constants, et cette année encore ils se sont partout ouverts avec un nom bre im portant d ’élèves, ainsi qu’en tém oignent les com m uniqués adressés p a r les professeurs de tous les points du départem ent.

Pour les personnes qui ne peuvent suivre les cours, la Société Sténogra­phique de l’Oise tient à leur disposition, et à titre gratu it, une m éthode qui leur perm ettra de s ’assim iler à bref délai, une science dont la connaissance s’im ­pose davantage chaque jour.

A dresser dem ande accom pagnée d’un franc, à M. A lbert M arlard, 12, rue E r­nest Renan, P aris (15*).

Prestations en natureNitrate de soude synthétique

Le P réfe t de l ’Oise porte à la con­naissance de M essieurs les Agricul­teurs sin istrés du départem ent, qu’uncontinrent de nitrate de soude synthé-tique (16 % d’azote nitrique) livrable au titre des prestations eu nature, sera m is à sa disposition pour livraison sur m ars, avril et m ai 1929.

Ceux d’entre eux ayant encore des crédits justifiés à leur compte de dom­m ages de guerre, qui désireraient ob­ten ir de cet engrais, voudront bien adresser de suite leurs dem andes au Service des P restations en Nature, au P alais de Compiègne.

Les dem andes devront être faites sur les im prim és spéciaux que les in téres­sés trouveront aux bureaux des P res­tations en N ature et du Service A gri­cole, au P ala is de Compiègne.

assem b lée GénéraleDE LA

Fédération des Braupas Commerciaux ot Industriels de l’Oise

(Suitb)M. Bascher, président de l’Union

des Com merçants et Industriels de Senlis et région, dépose une motion renouvelant la confiance accordée à M. M auny et rendan t hom m age à son dé­vouem ent

Cette m otion est adoptée à l’u n an i­mité

ElectionsM. Soualle, président honoraire

prend la présidence.M. M auny expose pour quelles ra i­

sons il a dém issionné l’an dernier. Il a voulu, en se re tirant, la isser le cham p libre et ne pas perm ettre aux questions de personnes d ’entraver la bonne m ar­che de la Fédération. Quelle que soit la décision qui intervienne, M. M auny

B ascher expose la ‘ w ïstion des | patentes qui, basées su r le p rix des loyers, vont se trouver considérable- ment augm entées, surtout pour les commerçants chargés de fam ille. Il in ­vite ses collègues à donner son appro­bation à l’am endem ent, déposé à ce sujet pas M. Louis Rollin, député de Paris.

M. Toustou dit qu’il a saisi le député de Compiègne de cette question, M. Fqurnier Sarlovèze a prom is son vote. Tous les com m erçants sont invités à agir de m êm e auprès du député de leur circonscription.

Assurances socia les ,M. M auny expose brièvem ent la

question des A ssurances sociales. Dans Inapplication de cette loi, il faut éviter les errem ents fâcheux des au tres pays. Il faut s’efforcer de réduire les fra is de gestion et d’em pêcher les aléas. C’est ainsi que la loi sera vra im ent b ienfai­sante. Le m eilleur est de s’organiser sur le p lan corporatif, local et régio­nal. M. Soyer, président des a ssu ran ­ces de l’Oise, dit que ceux-ci se m ettent à la disposition des caisses prim aires rw»v»r g é r e r l e s a s s u r a n c e s s o c i a l e sÎ5 c jc n n a n t un efaible rétribution. P ro­position renvoyée pour étude au bu­reau de la Fédération

Nos DéputésScrutin du 1" m ars, su r l’article un i­

que du projet de loi tendant à autoriser le P résident de la République à rati­fier le pacte général de renonciation à la guerre.

Nombre de votants ___ 573Pour l’adoption ............. 561Contre ...................... 12

La Cham bre des députés a adopté.Tous les députés de l’Oise ont voté

pow . *

prom et son concours le plus absolu.M. Soualle dit que l’œuvre de M.

M auny n ’a pas à être rappelée ; elle est connue, elle est adm irée de tous. La valeur, l’expérience commerciale, le dévouement de M. M auny font de lui le président idéaL D’ailleurs la ques­tion est tranchée par le vote de la mo­tion de M. Bascher indiquant la vo­lonté de tous de continuer leur con­fiance à M. M auny.

A l’unanim ité , M. M auny est réélu président et ce résu ltat est salué de longs applaudissem ents.

M. M auny rem ercie M. Soualle de ses paroles trop aim ables au tan t que de sa constante collaboration à l’œ uvra de la Fédération

Un ban est battu en l’honneur de M. Soualle.

M. M auny rem ercie M. Bascher de sa motion et ses collègues de leurs suf­frages, il accepte la charge qui lui est im posée et com pte su r le concours de tous.

M. B lanchard est réélu vice-prési­dent pour la région de Ciermont.

M. Bascher est élu vice-président pour la région de Senlis, en rem place­m ent de M. Bélosse qui a quitté le commerce de boucherie, et qui, sur la proposition de M. M auny, est nommé vice-président honoraire.

MM. Bascher et Bélosse ayant re­m ercié, M. Marchand, trésorier, est fâeüï.

Allocations fam ilia lesM. Finet fait adopter un vœu tendant

à rendre obligatoire les allocations fa ­m iliales, m ais en laissan t à la profes­sion le soin de les organiser.

Dérogation à la loi de 8 heures M. F inet dem ande, qu ’en raison de

la période de chômage que viennent de subir les ouvriers du bâtim ent surtout, des dérogations soient apportées à la loi de 8 heures, en vue d’autoriser les entrepreneurs à faire faire des heures supplém entaires à ceux de leurs ou­vriers qui le désireraient. Ce vœu adop­té sera transm is aux services in téres­sés p a r les soins de la Fédération.

Les loyers com m erciaux Une dem ande de l ’Union des P aten ­

tés du canton de Mouy concernant les abus com m is p a r certains proprié ta i­res dans l ’augm entation abusive des loyers com m erciaux et en m êm e tem ps les fra is excessifs de procédure dans les contestations, am ène le P résident à conseiller pour solutionner les diffé-

1a création de com m issions p a­ritaires m ixtes d’arbitrage p a r régions à l’in star de celles qui se constituent dans beaucoup de départem ents.

Ordre du jour voté à l’unanim ité * Les m em bres de la Fédération des

Groupes com m erciaux et industriels de l’Uise (com prenant 27 syndicats corporatifs et Union com m erciales), réunies en Assem blée générale an ­nuelle le 24 février 1929 à CreiL

« Renouvellent à M. de Palom éra, le très distingué et dévoué président de la Confédération des Groupes com m er­ciaux et industriels de F rance l’expres­sion de leur fidèle souvenir.

« Hs l’assuren t, de plus, de leur en­tière collaboration dans l ’œuvre de réorganisation économique et financiè­re entreprise et poursuivie p a r cette im portante Confédération qu ’il préside avec tan t d’autorité.

a La Fédération, profondém ent ac­quise aux œ uvres sociales, décide de favoriser par tous ses m oyens la créa­tion de m utuelles, en vue de l’app li­cation de la loi su r les assurances so­ciales.

« Dans cet esprit et aussi pour ré ­soudre favorablem ent les problèm es économiques et financiers si complexes et nom breux, problèm es qui m enacent Wire avenir et celui du pays tout en ­tier, elle conjure tous les industriels et com m erçants de ce départem ent d’a­dhérer à leu rs groupem ents corpora­tifs sans aucun retard .

« L’Assem blée en acceptant la dé­m ission du groupem ent du Beauvaisis, du Bray et du Vexin, proteste contre les term es contenus dans la lettre de démission de ce groupem ent, notam ­m ent en ce qu i touche l’activité de la Fédération.

« Renouvelle sa confiance à M. E. Mauny, son président et lui adresse l’expression de sa ' reconnaissance pour le dévouem ent qu’il apporte dans l’exécution du m andat qu ’elle lui a confié. »

U séaoçf A été ensuite levée.

L’article 8 du Code de Commerce est ainsi conçu :

« Tout commerçant est tenu d’avoir « un < Livre de Journal » qui présente « jour par jour, ses dettes actives et pas- e sives, les opérations de son commerce,« s e s n é g o c ia t io n s , a c c e p ta t i o n s e t e n - « d o s s e m e n ts d ’e f fe ts , e t g é n é r a le m e n t - tout c e qu’il reçoit e t p a ie , à q u e lq u e* ^ •'Hé1- 4* •■«»'»* ibomp« dépense de sa maison. Le tout iiidé- « pendamment des autres livres usités « dans le commerce, mais qui ne sont < pas indispensables. >

Si la tenue d’une comptabilité régu­lière a toujours été le principe fonua- mental d’une Maison de Commerce, elle devient de plus en plus indispensable à tous ceux qui sont a la tète d une entre­prise, quelle qu'en soit l'importance.

En effet, par suite des lois fiscales, con­cernant la taxe sur le chiffre d’affaires, l’impôt sur les bénéfices commerciaux, l'im pôt sur le revenu, la taxe d’appreuus- sage et bientôt lies assurances sociales, le commerçant, l’industriel et tous ceux qui, à un titre quelconque, font acte de com­merce, doivent pouvoir présenter aux agents du fisc, des cüiüres ayant un ca­ractère d’autiienticite îuoiscuiaoie, qui serviront de base à l’établissement des taxes et des impositions.

La loi de finances du 30 décembre 1928, contient plusieurs dispositions dont peuvent bénéficier certains contribuâmes notamment :

Report du déficit subi pendant un exercice sur les trois exercices suivants.

Exonération jusqu’à concurrence de 1 0 0 francs pour Iles petits commerçants non assujettis à l'impôt général sur le revenu, et ae réalisant pas un chiffre d'aff aires supérieur à oO.OUO francs, sans autre concours que celui de sa femme et de ses enfants âgés de moins de 18 ans et d’un employé.

Comment les bénéficiaires de ces dis­positions pourront-ils en profiter s'ils ne peuvent justifier par des Livres réguliè­rement étaMis, qu'ils rentrent bien dans la catégorie prévue par la loi ?

Il existe encore des commerçants ré- fractaires qui considèrent comme per­du, le temps passé aux écritures, ou com­me un luxe, permis aux grandes maisons seulement, le fait de les faire tenir par un comptable.

Cette manière de voir n’est plus permi­se avec les complications qu’entraînaient les lois fiscales de plus en plus nombreu­ses et lies méthodes nouvelles employées dans les entreprises commerciales et in­dustrielles qui demandent de la part de leurs dirigeants, une application de plus en plus soutenue et une connaissance ap proiondie de leur situation au jour " jour.

Une comptabilité, aussi simple soit- elle, à la condition qu’elle soit tenue ré­gulièrement et constamment à jour, per­m ettra l’établissement des déclarations fiscales sur des bases certaines, elle évi­tera les taxations d’office, que les agents du fisc, en l ’absence de tout élément d’ap­préciation, sont obligés d’évaluer ap­proximativement, et qui sont très sou­vent exagérées.

Mais, et surtout, elle renseignera le commerçant sur la marche de son entre­prise; elle lui permettra :

D’établir réellement son chiffre d’af­faires, ses frais généraux d ’exploitation, ses dépenses de Maison, le bénéfice qu’il réalise effectivement.

De comprimer certaines dépenses pour ern augmenter d’autres plus utiles au développement de ses affaires.

De suivre de près ses échéances, de serrer son crédit, de connaître son stock de marchandises et par là même, de se livrer à des achats judicieux, en rapport avec ses disponibilités et souvent mieux appropriés à ses besoins immédiats.

A ces avantages, il faut ajouter que la comptabilité régulièrement tenue est ad­mise comme preuve par les Tribunaux, en cas de contestation avec les clients et les fournisseurs, ainsi que par les Com­missions récemment créées pour régler les divergences de vue pouvant se pro­duire entre contribuables et agents du fisc.

En cas de gêne, ou besoin de concours financiers, elle sera la meilleure auxiliai­re pour faciliter au commerçant le prêt ou la commandite qu’il sollicitera.

Elle justifiera à l’acheteur évenutel du fonds, les chiffres annoncés, ainsi que les bénéfices réalisés, et sera de ce fait, l’in­termédiaire désintéressé, qui aura le plus d ’influence pour mener à bien la transac­tion désirée.

Et comme il faut toujours prévoir le pire et que dans les affaires il faut comp­ter avec la malchance, la comptabilité viendra dans les cas désespérés, prouver la bonne foi du commerçant réduit à dé­poser son bilan, contribuera à éviter la faillite et souvent lui conservera l’estime de ses créanciers qui lui accorderont ter­mes et délais pour le relever.

Commerçants IVous avez évidemment tous le désir de

développer vos affaires; avant de vous étendre davantage, faites mettre votre

Si vous opérez mai, l’augmentation de vos transactions commerciales, au lieu d’être pour vous un élément de prospé­rité, ne fera qu’aggraver la gêne qui vous paralyse.

L’exposé qui précède, très incomplet pour un sujet aussi complexe que la comptabilité, n ’a d’autre but que d'enga­ger les commerçants à taire établir et te­n ir régulièrement des livres comptables, que la loi ordonne et qui sont indispen­sables à la bonne marche d’une maison de commerce.

B a s c h e r ,Président de l’Union Commerciale

et Industrielle de Senlis et Région.Vice-président de la Fédération

des Groupements Commerciaux et Industriels de l’Oise.

Pour tous renseignements, s’adresser à M. Bascher, 3, rue Carnot, ou directe­ment à M. Alfred Brument, 34, rue de Soissons à Crépy-en-Valois, expert- comptable agréé par l’Union Conuuer- ciale e t ladustrialJe .de Senlis eV Hégion. G ro u p e m e n t a e u re p y -e n -V a lo is , q u i se tient gratuitement à la disposition des Commerçants pour leur donner toutes in­dications utiles.

— •»——-■Médaille des Sapeurs-Pompiers

Médaille d’honneur communaleLe moment est venu de transmettre

aux Sous-Préfets, les dossiers de propo­sitions de médailles diverses.

Ils doivent parvenir dès maintenant pour les promotions du 14 juillet pro­chain.

MotocyclistesL’Amical-Moto-Club a décidé dans sa

réunion du 3 mars, de ramener les coti­sations trimestrielles à 1 0 francs et le di oit d’entrée à 5 francs.

Elle se réunira le dimanche 14 avril, à 10 heures 30, à son siège ; Café du Com­merce, place de la Halle à Senlis.

Réunion qui sera ouverte à tous les motocyclistes.

.Etalons approuvés et autorisés

pour la monte de 1929 dans l’arrondissement de Senlis

■ I. •— Etalons approuvés Picrochole (pur sang anglais) apparte­

nant au prince Murât, à Chambly.Le Prodigue (pur sang anglais) appar­

tenant à M. de Saint-Alary, à Chambly.Samouraf (pur sang anglais) apparte­

nant à M. Georges Bleck, à Gouvieux.H. — Etalons autorisés

Indigène d’Hulle (trait du Nord) ap­partenant à M. Van der Haegen, à Saini- Vaast-les-Mello.

Eclat (trait boulonnais) appartenant à M. Charles Devouges, à Saintines,

Greffier honoraireM. Baranger, ancien commissaire pri-

seur & Senlis, ancien greffier de la Jus­tice de Paix du 5* arrondissement de Pa­ris, est tnommé greffier honoraire.

le Sport Vélocipédique SenlisienVélodrome de Senlis

La deuxième réunion de la course de la Médaille aura lieu le dimanche 2 1 avril avec un superbe programme de courses comprenant :

La course de la Médaille avec séries, demi-finales et finale.

La course de primes réservées aux Mé­daillés et comportant 85 francs de prix.

Le brassard d’or réservé aux coureurs de Senlis (2* mutch).

Pour donner une certaine ampleur à s i réunion, la direction du Vélodrome de Senlis ajoute à son programme une course à l’Américaine sur 1 0 0 tours de piste qui sera réservée à 1 0 équipes sélectionnées parmi les coureurs du dé­partement de l ’Oise, cette épreuve com­portant 5 prix et primes :

1. 100 fr.; 2. 80 fr.; 3. 60 fr.; 4. 40 fr.; 5. 30 francs.

Engagement 4 francs par équipe sélec­tionnée.

Les équipes qui voudraient être sélec­tionnées sont priées d’adresser leur de­mande au Secrétaire du Vélodrome, M. Guizelin, 13, rue de Beauvais,

comptabilité à jour et si vous n’en tenez pas faites-la établir. Alors seulement, vous pourrez vous rendre compte si vous tra­vaillez normalement et s’il n’y a pas lieu d’apporter des modification* dans votre façon d’opérer

Le Réveil de SenlisLe Concours régional qui a obtenu un

si grand succès à Seniis, l’année dernière, aura lieu cette année à Saunais (Scine-et- Oise).

La Société de gymnastique Le Réveil de Senlis aura la mission de remettre le drapeau de l’Association qu’eile avait reçu le jour du Concours de Senlis, à la Sannoisienne, qui organise le 45* Con­cours le 16 juin prochain.

Le Directeur du Réveil rappelle aux gymnastes et pupilles qu’ils ne doivent plus manquer aux répétitions afin de pouvoir rapporter du Concours de San- nois de belles récompenses, fruits d ’un travail assidu.

M. Grimbert fait appel aux jeunes gens qui désireraient faire partie du Réveil, ils peuvent s’adresser chez lui rue de ia Fontaine des Arènes ou au gymnase les jours de répétitions.

Après le beau spectacle si varié des exercices du Concours de gymnastique, tout le monde a pu voir et se rendre compte que le travail des Sociétés de gymnastiques a bien évolué; presque tous les sports font aujourd’hui partie des rè­glements des Concours et nous dirons avec Georges Hébert :

« Réhabilitons donc et utilisons com­me il convient ce vieux mot de « gym­nastique » mis en honneur par Amoros et que te» Sociétés de gymnastique ont —. avec raison — jaloasetpeot conservé. %

Page 2: 100* Airnèi. — M* 10, Dtmaaohe 10 Mars 1989. LE DE L’OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1929-1930/bms_js_1929_03_10_MRC.pdf · LE100* Airnèi.— M* 10, El NUIT • CKITORB Dtmaaohe

L E C O U R T IE R D E L ’O IS E

Club Sportif SenlisienRencontres du dimanche 3 mars

C. S. S. (J) bat U. S. Chantilly (3) par 2 à 1 à Chantilly.

Senlis joue à 9; malgré ce handicap, la permière mi-temps est sifflée sur le score de 1 à 0 en faveur de Chantilly.

En deuxième mi-temps sur une montée des avants, Senlis égalise par l’inter- gauche. Quelques minutes avant la fin, sur un centre de l’ailier gauche, l’inter- droit manque le deuxième but vainqueur, puis la fin est sifflée.

U. S. Sandricourt (2) bat C. S. Senlis (2) par 5 à 1, (Challenge Escavy).

C’est sans douleur que Sandricourt vint à bout de la mixture que Senlis lui op­posa. Le bal de la veille fut la cause prin­cipale de l’absence de plusieurs équi- piers seconds. Cela ne doit pas se renou­veler, et dans l’intérêt et pour le bon re­nom du C. S. S. il faut espérer que le Co­mité prendra les dispositions qui s'im­posent.

Le match Club Français (R) contre C. S. Senlis (1) n ’eut pas lieu, le onze pari­sien ayant déclaré forfait, forfait justifié, le Club Français étant dans l’obligation de jouer un match de barrage contre le Racing Club de France (décision prise par L. P. F. A. le 24 février 1929).

Matches du 10 mars 1929 A Senlis, à 13 heures 15, au terrain des

Sports, les juniors de C. S .S. se mesure­ront avec l’équipe 1’* A. Juniors du Cer­cle athlétique des Jeunesses Parisiennes

Avec leur gardien de but habituel et leur défense en forme, les Juniors Senli- siens doivent nous faire assister à une belle partie.

Arrivée des visiteurs par le train de 10 h. 13.

Restaurant et vestiaire : hôtel Puel, rue du ChâteL

Le capitaine des juniors convoquera. A 14 heures 45, après le match des pe

tits, viendra le match des grands.En effet la rencontre qui succédera est

d ’importance.L’equipe première de l’Amicale Béthy-

sienne, venant en tête du championnat régional, première série (c’est-à-dire un échelon au-dessus de Senlis) sera opposée à l’équipe première du C. S. S.

Le match aller qui s’est disputé à Bé- thisy-Saint-Pierre le jour du match de sélection à Montataire, s’est terminé par une vistoire des locaux: les Senltslen .s

il nous s e r a i t agréable d ’a s s is te r à une partie moins « piteuse » que celle de di manche dernier, d’où le public est parti écœuré et en manifestant ses griefs au capitaine d’équipe qui, certes, n’est pas responsable des actes de ses co-équipiers; ce dernier ayant bien voulu jouer en rem­placement d’un titulaire empêché par un deuil récen t

Il est en effet inadmissible qu’un joueur convoqué, se trouvant empêché pour une raison quelconque, n’en avise point tout au moins son capitaine d’équipe (même à la dernière minute); cela est élémen­taire, c’est la correction même et c’est surtout faire preuve d ’indiscipline que de faire ce qu’ont fait certains equipiers di­manche dernier.

La Commission sera appelée à statuer sur ces faits et nul doute qu’une sanction sévère sera prise.

AA 14 heures, à la Tour (terrain de

Saint Vincent à la Biguë près l ’Usine à Gaz : C. S. S. (2 ) contre Institution Saint- Viacent (1 ).

Les joueurs seront convoqués par let­tre, en cas d’empêchement, ainsi que cha­que convocation l’indique, prière d’en aviser le secrétaire, le plus tôt possible.

Le présent avis est rappelé ici pour la dernière fois; en cas de non observation, des sanctions seront prises par ia Com­mission Sportive.

Echos sportifsNous sommes heureux d’apprendre et

d’en informer nos lecteurs que l’Institu­tion Saint-Vincent doit recevoir une co­lonie anglaise des jeunes lycéens pendant les fêtes de Pâques et de Quasimodo, qu’à cette occasion et pour toujours faire mieux comprendre la noble cause du bal­lon rond, sur la demande des jeunes étu­diants Britanniques, un match de foot­ball association sera disputé amicalement entre la jeune équipe d’outre-Manche et une sélection de jeunes joueurs du C. S. S. Choisis tant dans la deuxième équipe que parm i l’équipe juniors, bien entendu, en tenant compte de la valeur morale, scientifique et physique de chaque élé­m en t

Nous dévoilerons prochainement une autre nouvelle qui fera plaisir à tous les sportifs. Gyx.

Patronage Saint-RieulPlusieurs jeunes gens du Groupe Spor- ' Saint Rieul p rirent part, dimanche

Mort de M. Eugène Delavenne président de la Ronde de Paris et de l*ile-de-France des ArchersLes Compagnies d’arc de l’Oise sont en

deuil par la mort de M. Eugène Dela­venne, officier en retraite, chevallier de la Légion d’honneur, décoré de la Mé­daille militaire, ancien champion de France du tir à l’arc, vice-président du Conseil supérieur de la Fédération Fran­çaise du tir à l’arc, président de la Ronde de Paris et Ile-de-France, capitaine de la Compagnie d’arc d’Ëcuvilly, près de Noyon, décédé le 2 courant, à l’âge de 65 ans, en son domicile à Ecuviilly.

A V I SLa Maison VALEX informe sa nom­

breuse et fidèle clientèle, que ses ateliers sont maintenant définitivement transfé­rés, 6 , route de Creil, où elle trouvera, outre un bon accueil, un choix considé­rable de meubles neufs et d’occasion, à des prix imbattables. 2414

tifdernier, au cross organisé par la F. G.S. P. F. et fixé à Gouvieux, sur un par­cours d’environ 6 kilomètres.

Nous relevons sur le classement, les noms de :

5. Bontemps; 6 . Berge; 14. Maille; 18. Legrand ; 19. Braquemont ; 20. Hazard ; 21. Domart A.

MM. Bontemps et Berge obtinrent un prix individuel (breloque en vermeil et en argent).

D’après le classement par équipe, Sen­lis obtint le 2* p rix derrière Moyenne- ville.

Nous constatons avec plaisir que les membres du Groupe Sportif sont en pro­grès sur l’année dernière et nous leur adressons nos " lic ita tions et encourage­ments.

#>Le mêmi -, la première équipe de

baskett-bal’ t rendue à Chantilly pour y rençont. le Groupe Saint-Louis,champion du Sud de l’Oise.

Nos locaux s’aperçurent dès le début de la partie que ce titre n’était pas vain, et malgré leur belle défense durent s’in­cliner devant les Cantiliens.

Le plus grand cho x en M ontres, R év e ils , P en d u les B i j o u t e r i e e t O r f è v r e r ie

ainsi que tout ce qui concerne l ’O PT IQ U E

vous le trouverez aux plus bas prixchez C. SCHECHT

Horloger-Praticien9, rue de VApport-au-Pain, SENLIS

642

Association Amicale des Anciens Elèves de Saint-Vincent de SenlisNous rappelons que le soixante-qua­

torzième Banquet annuel et l’Assemblée générale de l’Association Amicale des Anciens Elèves de Saint-Vincent de Sen­lis auront lieu aujourd’hui dimanche 1 0 m a rs , à midi et demie, à Paris, dans les çaise, 12, rue de P o it ie r s , P a ris ," 7* '(p rè s la gare du quai d’Orsay).

Le Banquet sera présidé p a r M. Hen­r i Sugenton, chevalier de la Légion d’honneur, agent de change à Paris, membre bienfaiteur de l’Association. M. le chanoine Dublanchy, supérieur de Saint-Vincent, honorera de sa présence cette fête de famille.

Départ de Senlis par le train de 10 heu­res 56.

CARNETREMERCIEME

Madame Gaston Herry et sa très touchées des nombreuses marmes de sympathie qu’elles ont reçues à "oc­casion du décès de M. Jean Herry, b.;ur fils et frère, dont les obsèques ont euijeu le samedi 2 courant à la cathédral» fie Senlis, adressent leurs remerciement aux personnes qui ont assisté à la céréloùie ou qui leur exprimé des regrets ets’ifes- cusent auprès de celles, qui, par un ôV-ji involontaire, n’auraiènt pas reçu de . t- tre de faire part.

MESSES ANNIVERSAIRE Une messe anniversaire sera célébréile

jeudi 14 mars 1929, à 9 heures, en l’ésise cathédrale de Senlis, à la mémoirefde Mlle Christiane Carluy.

— U n e m esse a n n iv e r s a i re ser» b ré e le je u d i 14 m a rs , à 10 h eu res 30, e t l ’ég lise c a th é d ra le de S en lis , à la m ém oire d e M m e M arce l M a rtin . 2420

Amica'e des Anciens Elèves de l’Ecole de la rue de Vilievert

Avis importantPar suite de l’indisposition de son pré­

sident et de plusieurs membres, les dit verses réunions qui avaient été prévues et demain dimanche en matinée, salle l’Assemblée générale, sont reportées à une date ultérieure.

Seules, sont maintenues les séances ré­créatives annoncées pour ce soir samedi, et demain, dimanche en matinée, salle Jeanne d’Arc.

A ce sujet, les personnes invitées qui m’ont pu re tirer leurs cartes la semaine dernière, pourront encore le faire au­jourd’hui samedi, de 14 h. 30 à 15 h. 30, salle Jeanne d’Arc.

M. PIERRE fait savoir que dès maintenant, il possède un

Entrepôt de Charbonsde tou te nature

et qu’il livre à domicile et sur commande.

M. PIERRE) loueur de voitures4, Avenue Foch. — S E N L I S

Téléphone 1 03 2 3 6 3

Le Bal Travesti du 2 MarsLe Bal travesti du 2 mars donné à

l’occasion de la Mi-Carême, a été très réussi et fait grand honneur aux organi­sateurs.

On a remarqué des travestis des meil­leur goûts et les quatre prix de style ont été décernés savoir :

Le premier prix à Mme Vincent-Ja- bin; le deuxième à Mlle R. Desrues; le troisième à Mlle S. Viicoq; le quatrième à Mlle M.-L. P e tit

Quant aux deux prix originaux attri­bués aux Messieurs, les heureux bénéfi­ciaires ont été MM. Blanfuney et Le- blond.

Le quête pour le Bureau de Bienfai­sance a produit la somme de 1 0 0 francs.

Toutes les personnes qui ont participé à l’organisation du Bal travesti sont priées de bien vouloir assister à la réu­nion qui aura lieu le dimanche 1 0 mars, à 17 heures, hôtel Henri IV.

Objet : Règlement des comptes.

Un agent frappéDeux militaires du 4* régiment de

spahis marocains causaient du scandale en ville, frappèrent l’agent de police Dag- bert, qui voulait faire cesser ce bruit. La gendarmerie et les agents ont dû interve­nir pour ramener ces deux m ilitaires au quartier.

Spectacles CINEMA-THEATRE. — Un très beau

film, Les derniers jours de Pompéi, avec une interprétation italienne de choix, et Marine, documentaire plein d’intérêt.

SELECT-CINEMA. — Cavalleria Rusti- cana et 5.000 dollars offerts (Tom Mix).

Réclamation Le train de 0 h. 15 de Paris doit avoir

à Chantilly un arrêt insuffisant. Il est ar­rivé par trois fois que des voyageurs à destination de Chantilly sont restés dans le train, n’ayant pas eu le temps d’en des­cendre. Nous signalons le fait.

AVILLY-8AIN T-LEONA RD

De nombreuses personnalités de la ré­gion de Senlis se retrouvaient mardi der­nier à Sainte Clotilde, à Paris, aux obsè-

- a i ques d’un membre d’une des plus ancien- * vl3&*-“ crS familles de Saint-Léonard, celles du r. ™ vice-:

Théâtre Municipal CinémaProgramme des 9 et Ao mars 1929Samedi, soirée à 8 h. 45. — Dimanche,

matinée à 2 h. 45; Soirée à 8 h. 45.Vous qui avez tremblé en voyant Emil

Jannings dans Variétés, vous qui avez pleuré en voyant Emil Jannings dans Quand la Chair succombe, vous qui vou­lez revoir l’artiste sublime, venez ap­plaudir son plus beau chef-d’œavre

CREPUSCULE DE GLOIREBébé Daniels dans L ’Ecole des Sirènes.Paramount-Journal, les Actualités du

Monde entier.

ÉTAT CIVIL DE SENLISdu 1er au 8 mars 1929

Naissances (Néant)

Publications de Mariages2, M. André-Léon Hardy, jardinier,de­

meurant à Senlis, rue du Haubergier, 9, et Mlle Julie-Joséphine Michel, cuisiniè­re, demeurant à Paris, 2, rue Emile Meu­nier (16'). . . ;j . ,

Décès v-~v>4-:2 . An ne-M a rie -S im on e S éré , 5 jonri^fTlIC

de l ’E p é e , 8.2 . Juliette-Marie Coppé, femme Pier-

don, 34 ans, ménagère, faubourg Saint Martin, 1.

2. Henri-Joseph Ruche, 6 8 ans, rue du Haut de Vilievert.

1. Armand-Adrien Bombard, 55 ans, de­meurant à Crépy-en-Valois, décédé fau­bourg Saint Martin, 1.

5. Ernestine Dufour, veuve Longfier, 78 ans, demeurant à Saint-Maximin, décé­dée faubourg Saint Martin, 1.

Alphonse CIGOGNEa tout ce qu’il vous faut en

Bijouterie, Horlogerie, Optique CADEAUX DE MARIAGE

Le plus grand choix - Les meilleurs prie23L

*n n n in n n n r> n iir>r»»i. ..

CHANTILLYSyndicat d'initiative

L'abondance des matières nous hajourner à notre prochain numéro, u, port produit à l’Assemblée générale du Syn­dicat d’initiative.

Musée CondéEn raison des vacances de Pâques, la

saison de publicité du château est avan­cée au 31 mars. Elle prendra fin le 15 octobre. Entre ces deux dates le château sera ouvert tous les dimanches, jeudis et jours de fête, de 13 à 17 heures, gratuite­ment, et le samedi moyennant un droit d’entrée de 5 francs par personne. Le château et le parc ne seront pas ouverts les jours de courses à Chantilly. ;

EmbellissementM. le Préfet de l ’Oise a demandé à plu­

sieurs villes de notre région présentant un caractère pittoresque, artistique ou historique de lui fournir un projet d’a­ménagement et d’embellissement. Chan­tilly, Senlis, Lamorlaye sont du nombre.

Les frais résultant de la réalisation des projets seraient à la charge de l’E tat

AccidentsLe 1" mars dernier alors qu’il sortait

de la charcuterie de la rue de Paris, M. Dantin Alfred, 23 ans, est renversé par une auto conduite par Mme Labèque, épouse du directeur d’usines.

M. Dantin, relevé avec une fracture du crâne, a été transporté à l’hospice Condé. Etat grave.

SportsFoot-ball. — Résultats du 3 mars :

U. S. C. (1) bat Association Hellénique (1), 2-0.

Ce match qui promettait être particu­lièrement intéressant, a été arrêté par un accident. Le sympathique capitaine de l ’équipe Cantilienne M. Edmond Guéra a reçu un coup de pied qui lui a fracturé la jambe gauche.

Nous nous permettons de former des vœux pour le rétablissement complet d’un équipier estimé à tous égards.

U. S. C. (J) bat A. S. Creil (J), 4-0.Matches du 10 mars. — U. S. C. (1)

contre Stade Compiégnois (1), à 14 heu­res 30 à Compiègne.

vice-amiral MoreauDès sa petite enfance le futur amiral

passait l’été chez ses parents à Saint- Léonard, où il recevait ses premières leçons de M. Petit, professeur à Senlis. A ses jours de repos il a toujours aimé y revenir chez son frère, le colonel Mo­reau, et retrouver ses souvenirs dans le cadre de son enfance et parmi les an­ciens du pays.

Au cours de sa longue existence de marin on le rencontre partout où flotte le pavillon français : dans le Pacifique, en Nouvelle-Calédonie et aux Nouvelles- Hébrides au temps des dernières agita­tions indigènes; sur les côtes de l’Amé­rique du Sud au moment de la guerre du Chili; en Indo-Chine à l’époque des Pa- villons-Noirs...

A une autre époque il veille sur nos pê­cheurs à Terre-Neuve, et l’amour qu’il portait à nos marins s’est traduit jusqu’à son dernier jour par une active collabo­ration aux œuvres de mer. Ceux qui l’ont entendu dans le Grand Amphithéâtre de la Sorbonne commenter le palmarès de la Société de Sauvetage des Naufragés, n’ou­blieront jamais la parole ardente et le geste magnifique avec lesquels il mettait en relief l’indomptable énergie et l’esprit de sacrifice de ceux qui se sont lancés dans la tempête au secours des bâtiments en perdition.

Il commanda successivement le Kléber, le Desaix, la Démocratie, fu t u n m o m e n tpjj. i&ii c tid tte cnDinet du Ministre de

Marine. I l p a s s a au c o m m a n d e m e n t d ’u n e d iv is io n d e la d e u x iè m e e s c a d re à bord d e la Justice. P u is , p e n d a n t la guerre, tandis que ses deux fus, officiers de marine, donnaient la chasse aux sous- marins dans la mer du Nord et la Médi­terranée, on le retrouve à bord du cui­rassé Jeanne d ’Arc comme commandant de l ’escadre de Syrie. La Revue des Deux-Mondes, sous la plume de Paul Crack, a retracé en 1928 le récit de poi gnants épisodes de sa lutte sur toute la côte pour enrayer les efforts germano turcs dans la direction du Canal de Suez.

Après avoir commandé la 4' escadre, il fut nommé Directeur Central de l’ar­tillerie navale. Puis, comme commandant en chef Préfet maritime de Brest, il eut la lourde tâche, précieusement secondé par son plus jeune fils, d’assurer comme chef et comme diplomate la protection et le débarquement des troupes américai nés, Jamais on rie saura tout ce que notre pays doit à son action personnelle pour l’accueil fait aux Américains dès leur premier pas sur le sol de France, après qu’une large organisation de surveillance et de protection, merveilleuse de perfec­tion, eut permis d’effectuer en dépit des sous-marins allemands, l’arrivée et le dé­barquem ent en France de la totalité des multitudes armées du Nouveau Monde sa n s une perte pour elles.

L ’a m ira l M oreau, vie e-p ré s id e n t duConseil supérieur de la Marine, passa-au cadre de réserve en 1920. Il était Grand Officier de la Légion d’honneur.

Quand vint l’heure, sans crainte devant la mort, il sut la regarder en chrétien et, s’éteignant doucement, il entra dans l’éternité.

L’amiral Levavasseur représentait le Ministre aux obsèques. Sous le péristyle de l’église, la grande porte ogivale au fond, une foule compacte de parents et d’amis formait le cercle entre les piliers gothiques.

Au centre, le cercueil drapé aux trois couleurs sous l’uniforme et la plume blanche, dominait la place. Devant, le drapeau cravaté de crêpe, au mliieu d’un cadre formé de troupes de toutes armes sous le commandement du général Gel lien. Les marins, l’infanterie, l’artillerie: la cavalerie s’échelonnaient au loin. Le vénérable vice-amiral Touchard, ambas­sadeur de France, méprisant un froid glacial, dans un discours plein de cœur et d’émotion, fit le récit de la carrière du marin, auquel il adressa ses adieux d’ai- né, d’ancien chef et de camarade.

Puis le cercueil s’ébranla, salué par les troupes et toutes les musiques successi vement. Il s’éloigna pour gagner Toulon, où l’amiral va reposer auprès de la mer bleue, en vue des grands navires

8E TH ISY -SÂ IN T -M A R TINLigues des jeunes. — C’est ce soir, sa­

medi et demain, dimanche, en matinée, que sera donnée, salle Demanet, une séan ce récréative organisée par ia section de la Ligue des J. F. C.

Le programme attrayant comporte trois comédies :

L ’oiseau sur la branche ; Une Tante bien gardée ; L ’empoisonnée.

De nombreuses chansons et monolo­gues, dont l’Océan, la Dernière Gavotte, La Brouette.

Nul doute que cette séance n’obtienne un vif succès et les jeunes filles s’efforce­ront de montrer leurs qualités d’artiste devant le nombreux auditoire qui saura les applaudir.

OHAMANTBal. — A l’occasion de la Mi-Carême,

un grand Bal paré et masqué aura lieu dans les salons de M. Katosky, samedi prochain 9 mars, à 21 heures.

Orchestre jazz.CHAMBLY

Un grand concours de tir à l'arc. — Les officiers et chevaliers de la Compa­gnie d’arc de Chambly nous font part du projet qu’ils ont formé, d’offrir le diman­che 28 avril 1929, avec le concours des autorités, de leur membres honoraires, de leurs donateurs, de la Fédération de la Ronde Mutuelle des Compagnies d’arc, de la Famille de l’Oise et des Sociétés lo­cales, un grand concours ce tir à l’arc, sur cibles anglaises.

Le but est de réunir à Chambly, pour cette fête, le plus grand nombre possible de chevaliers de l’arc.

Ils espèrent mener à bien cet intéres­sant concours.

Pour la Compagnie : MM. E. Decour- tray, E. Colignon, E. Vincent, J. Se- vet, J. Bonnier, H. Snauw aert, W. Zach, A. Prelon.

CO Y E-LA -FO R ET

Election de l’adjotnt. — M. Louis Na- vin a été élu adjoint en remplacement de M. Kochinski, décédé.

Fanfare de la Ruche de Cque. — Di­manche prochain 10 mars, la Fanfare de la Ruche de Coye, donnera à ses bienfai­teurs et amis sa première audition, pem dant la Messe de 10 heures, à l’occasion de la Mi-Carême.

Au programme :Marche Joyeuse de G. Allier.Illusion, andante de F. Boisson.Tully, allégro, de F. Andrieu.

CONSEIL AUX ENRHUMÉSSi un rhume n’est point guéri par de sim­

ples soins hygiéniques, s’il survient de la gêne dans la respiration, il faut employer de suite pour éviter les complications possibles, la Poudre Louis Legras, qui a obtenu la plus haute récompense à l’Exposition Universelle de iqoo. Ce ptécieux remède calme instanta­nément les souffrances, l’oppression, la toux des vieilles bronchites ainsi que les plus vio­lents accès d’asthme et de catarrhe. Une botte est expédiée contre mandat de 4 t r . 50 (impôt compris) adressé à Louis Legras, 1, Boul. Henri-lV, à Paris-

SI V O U S S O U F F R E Z DE

H E R N I EOU d’AFFECTIOMS ABDOMINALESvous irez voir l’éminent Spécialiste des Eta­blissements A . C L A V E R I E , i«vieille maison de confiance qui, par l'incomparable supériorité de ses. Appareils, sa compétence et son honnêteté, est devenue la plus considérable et la plus célèbre du monde entier.

Pourquoi perdre votre temps et votre argent en essais inutiles ?

Vous trouverez le salut certain auprès de l'éminent et discret spécialiste des Eta­blissements A. CLÀVERIE» quivous attendra de 9 h. à 4 h. à :

COMPIÈGNE, Samedi 16 Mars, Hôtel de Flandre.

SENLIS, Mardi 19, Hôtel des Arènes. CRÉPY-EN-VALOIS, Mercredi 20, Hôtel de

la Gare.C L E R M O IIT , D im a n c h e 34 , H ô te l T a i l l a n t .CREIL, Jeudi 28, Hôtel dn Chemin de Fer.

« Traités de la Hernie », des « Varices » et des « Affections abdominales »

Conseils et renseignements gratis et discrète­ment. A.CLAVERIE , 234, faubourg Soint-Martin, PARIS. 2415

Guérissez vos

HERNIESDescentes de Matrice - Efforts Varices, Varicocèles, Hydrocèies

Par les procédés Herniairesdu Spécialiste Ea JULIEN

27, rue Wilson, L E V A L L O IS P A R IS« Près de 30 années de succès

dans la contrée •

Par sa méthode personnelle RI, E . J U ~ L I E N le réputé spécialiste Herniaire de Paris, breveté S G. D. G.dont la renomméen est plus à laire, obtient des résultats cer­tains et durables, consacrés par 20 années de succès dans votre région, pour toutes les hernies, mêmes anciennes et volumineuses, ainsi que les descentes de matrices, varices, varicocèles, hydrocèies, sans opération, sans interruption d- travail et sans gêne, comme le prouvent les a t t e s ta t io n s obtenues et autorisées par les personnes honorables citées ci-dessous.

A t te s ta t io n s : M. D e r y c k Jules, au Pies- sis-Châtelain par Fresnoy-le-Luat (Oise); M. B o in e ttk Justin, 6, boulevard Gambetta, Compiègne (Oise); M. H u o t Emile, à Mont- Saint-PèreparChAteau-Thierry (Aisne); Mme L e f e b v r e Oscar, à Bacqueville par Ferville (pour descente) (S.-lnf.J; Mme C o u t u r e , 46, rue de la République à Harfleur (S.-Int.), pour descente; M. D e f e n t e Jules, à Jaux, par Le Meux (Oise); M. C o i f f i e r Auguste, à Courcelles-Campaux par Formerie (Oise).

Nous engageons donc toutes les personnes atteintes de ces infirmités qui veulent guérir à se rendre près du Spécialiste qui les recevra avec la plus grande amabilité de 9 h. 04 h à CREIL, 25 Mars, Hôtel du Commerce. NOYON, 26 Mars, Hôtel du Nord.CRÉPY EN-VALOIS, 37 Mars, Hôtel

Portes de Paris.SENLIS, 28 Mars, Hôtel Henri-IV. CHATEAU-THIERRY, 29 (Mars, Hôtel des

Sports, place Carnot.COAIPIEGNE, 30 Mars, Hôtel de la Gare.

2418

U n a to u t d a n s v o tr e jeuVous l’aurez si, aux façons culturales

les p lus parfa ites que vous appliquez, vous ajoutez l’E ngrais Dissous DIOR n* 98. Il apporte aux p lantes les trois élém ents fertilisants sous les form es les p lus ém inem m ent et les plus rap i­dem ent assim ilables. Au prin tem ps, en couverture, il rem place avantageuse­m ent les engrais azotés et coûte m oins cher. La Société des U sines DIOR, 7, rue d’Athènes, à PARIS, ou son Agent, M. G. LEFEBURE, 10, avenue P ierre Hémonnot, à SAINT-GRAT1EN (S.-el- O.), envoient gratuitem ent la brochure illustrée concernant ce fertilisan t idéal.

021

[ΠN O TtM SflIQ ft.cfatcIe f O R-

POUR TOUS VOS IMPRIMÉS«dressez-vous aux

Imprimeries Réunies de SenlisLe Gérant : E. B o y e n v a l .

Imprimeries Réunies de Senlisn , place Henri IV

La C O M P A G N I E

ERWOOD...vou s informe qu*elfe est représentée à titre exclusif pour le Département de T O I S E par son agent

5 0 , Rue de Malherbe B E A U V A I S *,t é l . 0.40

qui seul donne et assure la garantie U N D E R W O O D . C o n su ltez -le avant tout achat. Échange, Location. Vente de Machines neuves. O c c a s io n s reconstruites. Réparation et entretien de = t o u te s m arques.

Seule Succursale du Bureau ModerneDirection > unes. 21. fton nos s-caiiiou - m m

ANNONCES JUDICIAIRES à * t . 1 "

Etudes de M* L. CHASTAINGavoué à Senlis

et de N* BARBIER, notaire à creil.

TENTE SUR LICITATIONaux enchères publiques

aux plus offrants et derniers enchérisseurs

DE : I e

UNE PROPRIETEsituée à Villers-Saint-Paul

rue Colin, n” 10 et 12

UN JARD INfitvé à Villers-Saint-Paul

fieu dit la Tour.

L’adjudication aura lieu le Sa- tedl 8 Avril 1928 , à lk heures, a la Maine de Villers Baint- a u l, par le ministère de M' AKBIKR, notaire à Greil, com­ité à cet effet.

On fait savoir & tous ceux qu’il appartiendra :

Qu’en vertu et en exécution d’un jugement rendu sur reqiête par le Tribunal civil de l’Oise, section de Compiègne, le douze décembre 1928, enregistré.

Il sera, aux requête, poursuites et diligences de : 1 *• Monsieur Louis Isidore Percheron proprié­taire, demeurant à Villers-Saint- Faul ; 2’n‘ Madame Henriette-Kmi- liennn Dufour épouse de Monsieur Julien - Eugène - Alfred Hazard, marchand de vin*, avec lequel elle demeure à Nogent-sur-Oise, rue Carnot, n® 103, et ce dernier tant en son nom pers nnel au besoin que pour assister et auto­riser la dame son épouse sus­nommée ; 3’“* Monsieur Emile- Alexandre Dufour, comptable, dt meurant à Nogent-sur-OIse, place de la Répubique, n° 13 ; S'»* Monsieur Emilien Dufour, employé de culture, demeurant à Villiers-Saint-Georges (Seine-et Marne) ; 5'“* Mademoiselle Made­leine Dufour, célibataire majeure, employée de commerce, demeu­rant à Paris rue du Pin. n 15 ; 6 B* Mademoiselle Marth - Dufour, célibataire majeure, demeurant à Villiers-Saint Georges; 7enr Et Madame Ciémence-Albertine Mi- chon. veuve en p ’emières noces de Monsieur-Joseph-Kmlle-Martin

Dufour et épouse en secondes noces de Monsieur Théodore-Kené Thominet, ouvrier agricole avec lequel elle demeure à Villiers- Saint-Georges, et ce dernier tant en son nom personnel au besoinSue pour assister et autoriser la

ame son épouse sus-nommée, « agissant Madame Thominet au nom et comme tutrice natu elle et légale et Monsieur Thominet au nom et comme co-tuteurde Marcel Dufour, né à Tigeaux (Seine et- Marne), le dix-neuf juillet 1910, enfant mineur issu du P ' mariage de Mme Thominet avec Monsieur Joseph-Emile-Martin Dufour. sus­nommé, Madame Thominet réin­tégrée dans sa tutelle et Monsieur Thominet nommé co-tuteur du dit mineur, suivant délibération du conseil de famille de ce rninenr tenue sous la présidence de Mon­sieur le Juge de Paix du canton de V illieis-Saint - Georges , le vingt-cinq avril 1928 ».

Poursuivants, ayant M« L. Chas- taing pour avoué constitué, d e - . meurant à Sentis.

En présence ou lui dûment ap­pelé de : Monsieur Auguste Le- sage, secrétaire de mairie, demeu­rant à Villiers-Saint-Georges,« pris au nom et comme subrogé- tuteur ad hoc du mineur Marcel Dufour, sus-nommé.

Prooédé aux jour, heure et lieu

’ ci-dessus indiqués, à la vente sur licitation, aux enchères publi­ques, aux plus offrants et derniers enchérisseurs, à l’extinction des feux, des immeubles dont la dési­gnation suit :

DESIGNATION1' Une P ro p rié té située à Vil-

le rs-sa iu t-f aut, rue Uollin, n™ 10 et 1 2 , comprenant :

Une maison d’habitation élevée partie sur cave d’un rez-de-chau sée divisé en une cuisine et-V4 grande chambre, deux chambres au-dessus avec grenier couvert en tuiles.

A la suite et attenant à la mai­son ci-dessus, fournil et grange, le tout couvert en tuiles.

Petite cour avec puits devant la maison.

Bâtiment au long de la propriété de MousieurUriaillier, comprenant uu logement dune pièce et un hangar.

Grand jardin derrière la dite maison et sur le côté de celle-ci, eu façade sur la rue Colin.

Le toutd unecontenance d’après les titres de cinquante huit ares soixaute-cinq cm iiares et d’après mesurage de cinquaute-sept ares

Société des Etablissements Kuhl- mann(mur mitoyen entre) d’autre côté Monsieur Ohaillier (mur mi­toyen entre) et la Société des Eta- blissementsKuhlmann.par devant la rue Colin, et au fond Madame Viliain-Leva^seur et Messieurs Hugues et Fourniquet (mur mi­toyen entre). Cadastrés section B, n1* 2188 p.. 2189 p.. 2190 2191, 2192 2193, 2206 p., 2207 p. et 2208.

2° Un Ja rd in situé à Villers lauStl Saint-Paui, lieu dit la Tour, ayant ’k ^ "inê entrée sur la rue Colin, d’une

contenance de vingt-i euf ares cinquante-sept centiares d’après mesurage, tenant d’un côté Mou- sieur Ch*illier et Madame Collet, d’autre côté Monsieur Henneton, d’un bout la rue Colin et par hache Monsieur Chaillier, d’autre bout Monsieur Chenu (chemin d’ex- ploiiation entré). Cadastrés sec­tion B. n“ 1987 p., 1988,1989, 2015, 2016, 2017 et 2018

MISES A PRIXOutre les charges, clauses et

conditions insérées an cahier des charges dressé par M* Barbier, notaire à Creil, et déposé en son Etude, où toute personne peut.en prendre connaissance, les enchè-

coieau levant Monsieur Duquesne Madame Verrier et par hache 1*

quatre-vingts centiares, tient d’up res seront reçues sur les mises àprix suivantes, fixées par le juge­ment précité, savoir ;

Pour l’article pre­m ier, sur celle de trente mille francs,ci ................

Pour l’article deux, sur celle de huit mille francs, c i . . . . .............

30.000 fr.8.000 fr.

Fait et rédigé par l’avoué pour­suivant soussigné.

A Senlis, le 9 mars 1929.Signé : L. CHASTAING.

Et en egistré.

S’adresser pour Us renseigne­ments à :

1* M* L. Chastalng, avoué àSenlis. poursuivant la vente ;

2° M’ B arbier, notaire à Creil, charge de la vente et dépositaire du cahier des charges. 2398

Ak i, 2

Btnde f c l T L O H A S T A JJia , avoȎ k SonlU.

Extrait de Jugem ent de Divorce

D’un jugement rendu par le Tribunal civil départemental de l’Oise, section de Compiègne, le vingt e t un novembre 1928, enre­

gistré , au profit de Madame Vio'ette - Céline TROUS8 KLLË , épouse de Monsieur Louis-Eu- gène-Auguste FaUVEL, avec le­quel elle est domiciliée de droit, mais autorisée à résider et rési dant de fait à Villers-Saint-Paul, rue Fécamps, chez M. Trousselle. son père, et par défaut contre Monsieur Louis-Eugène-Auguste FaUVEL, ancien employé à la Compagnie du chemin de fer du Nord, demeurant à Creil, rue J-an-Jaurès n° 28, ci-devant puis Bans do m ic ile ni r é s id e n c e con nu s e t a c tu e lle m e n t à M ontiv ill iers (S e in e -In fé rieu re ), 11, avenue du Président-Wilson.

Il appert :Que le divorce a été prononcé

de piano d’entre les époux Fauvel- Trousselie, au profit de la femme et aux torts du mari.

Pour extrait publié en confor­mité de l’article 247 du Code civil et en vertu d’une ordonnance rendue sur requête par Monsieur le Juge délégué à Senlis du Tri­bunal civil départemental de l’Oise, section de Compiègne. le cinq mars 1929, enregistrée , afin de faire courir les délais d’op­position et d’appel, ledit jugement n’ayant pu être signifié à la per­sonne même du sieur Fauvel.2108 Signé : CHASTAING.

Art, 3Etude de M* Gaston LOIR

avoue à S en lis 43, rue de la République.

D’un jugement rendu contrad toirement par le Tribunal Ci de iOise, section de (Jotnpièe en date du vingt quatre octol 1928, enregistré.

Entre Madame Jeanne-Emil Anna LIuNNEf, épouse de Eugene - A lfreu A U T Ie it t , ai l t quel e lle d em eu re de droit m autorisée à résider et résidm t fait à chambly, 44, rue de Giso

Demanderesse au principal.Défenderesse reconventionneAyantM'Gaston Loir pouravo

A T ^ M ° nsieur. Eugène -Alfi AUTIEH, contrôleur â la Comi gnie du chemin de fer du No demeurant à Chambly.

Défendeur au principal.Demandeur recoriventionnel.Ayant M'Chastaing pour avo

Il appert ;Que le divorce a été pronoi

d entre les dits époux Auii Lionnet, à la requête et auxto réciproques des deux époux.

Pour extrait : 2401_______(Signé) G. LOIR,

Page 3: 100* Airnèi. — M* 10, Dtmaaohe 10 Mars 1989. LE DE L’OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1929-1930/bms_js_1929_03_10_MRC.pdf · LE100* Airnèi.— M* 10, El NUIT • CKITORB Dtmaaohe

Lfl COU* * 3 » 98 L*OISB

Art 1.Etude de M® L. CHASTAING.

avoué 4 benlis.

V E N T E par inite de saisie immobilière

D’UNE

M A I S O Nsise à MONTAT AIRE

rue Louis-Blanc prolongée

L’adjudication aura Heu le Mer­credi 10 Avril 1 9 3 8 , à onze heures, en l’audience des criées du Tribunal civil départemental de l’Uise, section de Compiègne, aise a Compiègne, au Fulai» de Justice de ladite Ville, 11, ru©Henii-de-Seroux.

On fait savoir à tous ceux qu’il appartiendra :

Qu’en vertu :1» D’un procès-verbal de saisie

immobilière au ministère de Me Malapert, huissier a ureil, en date du dix-huit janvier 1928. enregis­tré, dénoncé et transcrit au bu­reau des hypothèques de Senlis, le quatre lévrier 1928, volume i03, n® 111.

2* D’un jugement rendu par défaut par le Tribunal civil dépar- temental de l’Oise, section de Compiègne, le vingt-huit novem­bre 1928, enregistré et signiüé.

11 sera, aux requêtes, poursuites et diligences de :

Madame Berthe-Juliette-Ernes- tine Lagarde, caissière-comptable, demeurant â Senlis, rue du Mou- llu-du - Gué - de - Font, veuve de Monsieur Maxime Alfred Gayet.

Créancière saisissante. Ayant pour avoué constitué

M* L. Cbastaing. demeurant Senlis, rue Sainte-Geneviève.

En présence ou eux dûment appelés de :

1» M onsieur Jo se p h M arch a i, cloutier, demeurant a Mont&taire, rue L«ouis Blanc prolongée, tanten son nom personnel que pour la validité de la procédure 4 l’égard de la dame Catherine Cholet, son épouse.

2" Et Madame Catherine Cholet, épouse de M. Marchai, sus-nom mé, cloutier, avec lequel elle demeure à Moutataire, rue Louis- Blanc prolongée.

Parties saisies. N’ayant pas d’avoué constitué.Procédé, le Mercredi 10 Avril

1929, à onze heures du matin, à l’audience des criées du Tribunal civil départemental de l’Oise, sec­tion de Compiègne, séant à Com- piêgue, au Palais de Justice de ladite vide, 11, rue Henri-de- Seroux, à la vente sur saisie im­mobilière, au plus offrant et der­nier enchérisseur, à lextinction des feux, de l'immeuble dont la désignation suit :

DÉSIGNATIONtelle qu'elle est insérée au procès

verbal <xe saisieCommune de Montatalre

canton de Creil arrondissement de Senlis

département de l ’Oise.One Maison sise à Montatalre,

rue couis-Blanc prolongée, élevée sur terre-plein d’une cuisine et de quatre autres pièces. Cour Pompe à eau. Jardin. Le tout d’une superficie de huit cents mètres carrés environ, tenant d’un côté Madame Godart, d’autre côté ac-f uéreurs Poiiieux. d’un bout

au ré, d’autre côté la route. Cadastre section D, n° 225.

MISE A PRIXOutre les charges, clauses et

conditions insérées au cahier des charges dressé par M" L. Chas- tamg, avoué, et déposé au Greffe du Tribunal civil de l’Oise, section de Compiègue, où toute personne peut en prendre connaissance, les enchères seront reçues sur la mise 4 prix suivante, fixée par la poursuivante, à la quatre mille francs, c i.................................

Art. 6.Etudes de M' George» MORAND

avoué 4 srulis, et de M* P ie rre FAB1GN0N,notaire à Neuilly-en-Theile.

T E N T Eaux enchères publiques

DE : UN

fonds do CommercéDE

Charronnage mécanique Mdréchaierie, Scierie

mécanique en grumes Quincaillerie,

C h a rb o n * e t R e p ré s t n ta l io n d e m a c h in e s a g r ic o le s

Exploité à ULLY-St- GEORGES, place de 1 Eglise

plus amplement désigné ci-après

som m e de

4.G00 fr.

J F ix r g r e L é g a l e

L’adjudication aura lieu le Sa­m edi 8 0 M ars 1 9 3 9 , * quinz heures, en 1 Etude et par le mi­nistère de M* Pieire FAB1- GNON, notaire à Neuilly-en- Thelie, commis à cet etlet.

En exécution d'une ordonnance rendue sur requête par Monsieur Bailly, juge au Tribunal de Com­merce de Senlis, le premier mars 1929.

Et aux requête, poursuite et diligence de :

1 ®* M' Georges Morand, avoué- agréé, demeurant à Senlis, « agis­

sant en qualité de syndic pro­visoire de la faillite de M. Denis Larcebeau, nommé à cette fonction par jugement du Tri­bunal de Commerce de Senlis. en date du vingt-deux février 1929, enregistré, déclarant la

_ faillite »; 2®»‘ et Monsieur Denis Larcebeau. charron, demeurant à Ully-Saint-Georges.

Poursuivants la vente.Pour lesquels domicile est élu

A Senlis, 10, ru© Saiut-Hilaire, enl’Etude de M' Georges Morand, avoué.

En présence ou eux dûment ap­pelés de :

1®*‘ Madame Juliette - Léonie Mascré, sans profession, demeu­rant à Re8Sons-l’Abbaye, veuve de M. Georges-Gustave Gontier; 2®n» Madame Marie-CIarisse-Vic- torine Delafalize, épouse de M Jules-Gustave Gontier, proprié­taire. avec lequel elle demeure à Ully-Saint-Georges; 3«»‘ Monsieur Jules-Gustave Gontier, proprié­taire, demeurant à Ully-Saint- Georges, b en son nom personnel « et pour l’assistance et l'autori- a sation nécessaires à la dame a son épouse et valider la procé- a dure » ; 4®“l Madame Georgette- Marguerite Gontier, épouse de M. Fernand Arthur-Emile Ho- chard, industriel, avec lequel elle demeure à Ully-Saint Georges ; 5«m et Monsieur Fernand-Arthur- Emile Hochard. industriel, de­meurant à Uily-8aint-Georges, a en son nom pers mnel et pour « l’assistance et l’autorisation né- « cessaires à la dame son épouse a et valider la procédure ».

Créanciers privilégiés inscrits et propriétaires de l’immeuble dans lequel s’exerce le fonds de commerce.

Il sera, le Samedi trente Mars 1929, à quinze heures, en l’Etude et par le ministère de M* Pierre Fabignon. notaire à Neuilly-en Thelle, commis à cet effet, pro cédé à la vente aux enchères publiques, au plus offrant et der­nier enchérisseur, à l’extinciion des feux, du fonds de commerce dont la désignation suit ;

DÉSIGNATION & M ISE A PRIXdu Fonds de Commerce h vendre

Un Fonds de Commerce de Charronnage mécanique, Maré chalerie, Scierie mécanique en grumes, Quincaillerie, Charbons et représentation de Machines agricoles, exploité à Ully-Saint- Georges, place de l’Eglise, com­prenant i*0' L’enseigne, le nom commercial, la clientèle et l’acha­landage y attachés; 2’°' Et le droit au bail des lieux dans lesquels il s’exerce consenti par les consorts Gontier, sus-nommés, pour une durée de six, douze ou dix-huit années, au choix du preneur seulIl est Ici déclaré que tous ceux

Lthècrue légale sur l’immeuble I moyennant, outrediverses clbargespothèque légale ci-des>us désigné, devront requé­rir cette inscription avant la transcription du jugement d’adju­dication. __

Fait et rédigé par l’avoué pour­suivant soussigné.

A Senlis, le 8 mars 1929.Signé : L. CHA8TAING.

E t enregistré.

S'adresser pour les renseigne­ments A :

1» Me L> Cbastaing, avoué à Senlis, pou rsuivant la vente;

2* M» Gaze^u, notaire à Senlis;3’ M® M alapert, huissier à

C r, il ;4» Et au Greffe du Tribunal civil

de l’Oise, section de Compiègne, où le cahier des charges est dé­posé.

Les enchères ne pourront être reçues que par ministère d'avoués | en résidence à Senlis. 2399

etle

et conditions, un loyer annuel ue douze cents francs, payable par semestre les premier avril et octobre de chaque aunée, suivant acte reçu par M’° Titrant Chemel, notaires a Noallles, vingt cinq janvier 1921.

L’adjudicataire aura la faculté de reprendre en sus du prix tout ou partie du matériel, de 1 oui il- lago et des marchandises à dire d’experts.

Mise à prix : 100 fr.

En outre des charges, clauses et conditions énoncées au cahier des charges dressé par M* Fabi­gnon. notaire à Neuilly-en-Thelie, et dépoté en son Etude où toute personne peut en prendre con­naissance, le fonds de commerce dont s’agit sera mis en vente sur la mise a prix sus-énoncée.

Fait et rédigé par l’avoué pour­suivant soussigné.

A Senlis, le 6 mars 1929.(Signé) MORAND.

Et enregistré.Art. 8.

Etude de M* PETIT, notaireè Senlis.

PREMIERE IESEEMOR

Suivant acte reçu par M* Petit, notaire 4 Senlis, le 26 février 1929, enregistré à Senlis, le i ’" mars 19:9, vol 385 A, folio 127. case 618, M. Jules-Edmond CHRIS­TOPHE a vendu à M. Français BOHIV, le fonds de com m erce de m écanicien-électricien qu il exploitait à Plailly, rue de Paris, avec entrée en jouissance du 4 mars 1929.

Les oppositions devront être faites i Senlis, en l’Etude de M Petit, notaire, où domicile a été élu, dans les dix jours de la deuxième insertion.

Pour premier avis 2409 PETIT.

S’adresser pour les renseigne | ments ;

A M* Georges Morand, avoué à Senlis, p o u rsu iv an t la vente;

A M* Pierre Fabignon notaire à Neuilly-en-’l helle, rédacteur et dépositaire du cahier des charges;

Et pour visiter, sur place. 2406

d e n t Mme Suzanne-M arle-Phllo- m ène Sagne, cou tu riè re , dem eu­ra n t au M ontoel, com m une de Pontpolnt, veuve de M. E douard- L ou is-Ju les B oudreaux; 2ent. E t M lle A llce-Ootavle Anique, céliba­taire , m ajeure, com m erçante, de­m euran t à Pont-Sainte-M axence.

P o u r lesquelles domicile e s t élu é Senlis, lu , rue Saint-H ilaire, en l ’E tude de M* G eorges M orand, avoué.

Notification a é té faite & : len t.M. Jacq u es - P au l - Louis - Charles Langellé, dem euran t a O rléans, rue de l ’E telon, n® 17, « A gissant au

nom e t comme su b ro g é-tu teu r de Léonie - Blanche - C harlotte Langellé, en fan t m ineure issue du m ariage de M. T ertiilien Louis-Charles Langellé, décédé, et de dame Eugénie-Léonle Delà- ruelle, son épouse ci-après nom-mée ». Sent. E t 4 M onsieur le

P ro cu reu r de la R épublique près le T ribunal civil de l ’Oise, section de Compiègne.

De l ’expédition d ’un aote d re s­sé au Greffe du T ribunal civil de l ’Oise, seotion de Compiègne, le v ing t-tro is aoû t 1928, en reg istré , consta tan t le dépôt effectué au dit greffe le mêm e jou r, de la copie coliationnée e t enreg istrée , le n t .D’un procès-verbal d ressé par M*Louât, notaire & Senlis, substituan t M* Durand, no taire à P on t-S ain te- Maxenoe, ’e t M? Boilet, notaire à Pont-Sain te-M axence, le v ing t- cinq février 1928, en reg istré , con­tenan t à la requête de : le n t . Mme Léonie-Estelle D ubarle, m archande de vins, veuve non rem ariée de M. Camille-Dieudonné D elaruelle, de­m euran t è Pont-Sainte-M axence ;2ent. M. G ustave-Léon D elaruelle, boulanger pâtissier, dem euran t à Compiègne, époux de Mme Jeanne- M arguerite-L ouise Noyelle ; 3ent.M. L éon-E rnest D elaruelle, comp­table, e t Mme M arie-A ugustine-E u- génie-Pauline B ordères, son épou­se, de lui au torisée , dem euran t en­sem ble à P aris, rue Saint-C harles, n" 20 ; 4ent. M. Edouard-Louis D elaruelle, expert d ’assurances époux de Mme G erm aine-M arie- Eugénie Henry, demeurant à Paris, rue Ballu, n° &; 5ent. Et M. Mau- riee-H ippolyte-H enri Guillot, se l­lier, e t Mme Eugénie-Léonie Dela­ruelle , son épouse, de lui au to ri­sée, dem euran t ensem ble à P o n t- Sainte-M axence ; adjudication au profit de Mme Veuve Boudreaux, sus-nom m ée, de : Comm une de Ponpoint, Une m aison sise au M ontcel, su r le chem in de Crépy, élevée su r cave, d ’u n rez -d e -ch au s­sée composé de deux pièces d’ha­bitation avec g ren ier au -dessus.Cour dans laquelle se trouven t : une grange, une étable, lapinières e t basse-cou r en tourée de tre illa ­ge. Jard in potager, pu its comm un.Le to u t d ’une contenance de neuf a res environ, tien t par devant au ohem in' de Crépy, par derrière Mlle Saulnier e t l ’acq u éreu r D esseaux, d’un côté M. Hennig Georges e t d ’au tre cô té M. B oudreaux; E t ce m oyennant le prix principal de trois mille sep t c en t cinquante francs, ou tre les ch a rg es ; 2ent. E t d ’un con tra t reçu par M” D urand e t Boilet, notaires sus-nom m és, le v ing t e t un m ars 1928, en reg istré , oontenant ven te par les oonsorts D elaruelle, sus-nom m és, à Mlle Anique, aussi sus-nom m ée, de :Une m aison sise à P on t-S a in te - Maxence, faubourg du Nord, su r la deml-lun© Nord-E st du Pon t, ruede la République, n° 2 e t quai Ar- sène-B erdln, n* 18, à usage de dé­b it de boissons, consistan t en rez - de-chaussée composé de tro is piè­ces dont une à usage de débit, p re m ier étage aussi com posé de trois pièces. G renier au -d essu s avec m ansarde; cave dessous. L’ensem ­b le cadastré seotion A n. 416 e t 417 pour une contenance de so ixante-cinq centiares, tenan t par devant du oouohant à la dem l-lune ou rue de la R épublique, par d e r­rière à une petite ru e appelée an ­ciennem ent ru e du V ieux-Fau- bourg-du-N ord , du nord à M. Le- sueu r, e t du midi au quai A rsène- B erdin; E t ce m oyennant le prix principal de quinze mille francs ou tre les charges.

Avec déclaration :Que la dite notification leu r é ta it

faite , conform ém ent à l ’artieie 2194 d u Gode Civil afin q u ’ils a ien t à p rendre s ’ils le Jugeaient convenable, telle inscription d ’hy­pothèque légale q u ’ils aviseraient, dans le délai de deux mois, fauta de quoi les dits Im meubles seraient e t dem euraient définitivem ent p u r­gés et libérés en tre les main» d is acquéreur» de toute» hypothèques | *7* de ce tte na tu re .

E t à M onsieur le P ro cu reu r de la R épublique, que les précédents p ropriéta ires, o u tre les vendeurs, étaient : En ce qui concerne l’im m euble ad jugé 4 Mme Veuve Bou­dreaux : Gamille-Dieudonné D elà ruelle e t dame Léonie-Estelle Du­barle , son épouse ; Louis-D ésiré Damay e t dame Angéline-Alexan drine G ayaat, son épouse; Loui»' A rthur Damay; e t A im é-Albert Da m ay; En oe qui concerne l ’im m eu­ble vendu & Mlle Anique : Jean - Françpis-A anbroise D eiaruelle e t dame Christine-A ngélique Douche, son épouse ; Louis-Eugène Bâche le t; A ntoine-A uguste P o u lin ; An d ré-C onstan t P ou lin ; E t que tous ceux du chef desquels 11 pourrait ê tre pris des inscriptions d ’hypo­thèque légale n ’é tan t pas connus de Mme Veuve B oudreaux e t de Mlle Anique, elles feraien t faire la | p résen te insertion conform ém ent à l’avis du Conseil d ’E ta t des neuf | mal e t prem ier ju in 1807.

P o u r insertion, (Signé) MORAND.

3409

p rès le Tribunal civU départe» ta l de l ’Oise, section do Oon ; gne.

De l'expédition d 'u n acte dre au g reh e du T ribunal civil dej tem ental de l ’O ise, section Gompiegne, le cinq décem bre lS en reg istré , co n sta tan t le dé eiïeeiué le d it Jour par M* Gh tam g, avoué, de ia copie collaü nee, signée e t enreg istrée ü cahier ue charges d ressé pa” Pilienoul, notaire 4 G repy-er lois, le tren te e t un Jum et ta en reg istré , e t d ’un p ro cès- ' ■. d ressé par le même notaire le sep tem ore 1928 égarem ent reg istré , contenan t 4 la requ de : i ’ M onsieur P ie rre -F inNespoulous, p ropriéta ire oulti leu r e t Madame uerm ame-LoUi M arie lley, son épouse Ue lui au risée, dem euran t ensem bra Touels, comm une de L estrade Thouels (Aveyron) ; 2° Madame uose-V icto ire N espoulous, sans profession, dem euran t 4 la Gazotte, oommune Ue Broqulés (Aveyron o, veuve de M onsieur Hippoiyte Ga­zes. 3° M onsieur P ierre-Jean-U a- nriel Saussol, propriétaire et gar­de-cham pêtre e t Madame Irm a- Phiiom ène Nespoulous, son épou­se, de lui autorisée , dem eurant en­sem ble à T houels, commune de L estrade e t Thouels. 4° M onsieur Jacques-A drien Nespoulous, lai­tier e t Madame D arie-M arie-Jus- tine Lavernhe, «on épouse, de lui autorisée, dem eurant ensem ble à M ontpellier (H érau lt), fontaine Saint Bertbom len. 5° M onsieur Jo sep h -Ju s tin Fabie, propriétaire, dem eurant 4 Puech-G rim al, com ­m une d ’Arvieu (A veyron). 6° Mon­sieu r A ntoine-Léon-Justin Fabie propriéta ire e t Madame Rosalie Du­rand, son épouse, de lui autorisée, dem eurant ensem b'e à Aurillac (A veyron). 7° M onsieur Jean Bar- thés, cu ltiva teu r e t Madame Ma. rie-V irginie Fabie, son épouse, de lui au to risée , dem euran t ensem ­ble au B ousquet d ’Orb (A veyron). 8° E t M onsieur M arius-H enri N es­poulous, oonducteur d autom obil- les e t Madame M arie-M élanie T ruffry, son épouse, de lui au to - r ’sée, dem euran t ensem ble 4 P a ­ris, boulevard de Bercy, n- .3; adjudication a u profit de Société requéran te , de : I. Une maison d ’habitation sise au Plessis- au-B ois, comm une de Vauciennes, su r la place Publique, compre­n an t : deux pièces au rez-de- chaussée, une grande pièce au prem ier é tage , grenier au-dessus couvert en tu iles. Cour derrière aveo to it à porcs e t pu its . Le tout d ’une contenance de douze ares soixante-seize centiares. Jard in de six ares v ingt centiares 4 la suite. Passage de hu it m ètres environ de longueur su r un m ètre quarante centim ètres de la rg eu r conduisant de la p ropriété à la ruelle Gaillot- te. L’ensem ble ten an t par devant la place, par derrière Madame Pou- té, d ’un côté 4 dro ite , Monsieur B ertrand, d ’au tre cô té une cour oommune avec puits oommun et M onsieur Carbonneaux. II. Un ja r ­din sis au même lieu, en bordure de la rue lle conduisant à Bour- sonne ou ruelle G alllotte, conte­nant cinq a res soixante-quatorze centiares, tenan t d ’un côté e t d ’un b ou t M onsieur Bazin e t de» autres parts , la rue lle , m oyennant, outre les charges, le prix principal de quatre mille deux cen ts francs.

Avec déclaration à Monsieur P ro cu reu r de Jt» itepuoiiquo «jba; la dite notification lu i é ta it faite, conform ém ent aux dispositions de l’artic le 2194 du Gode Givii, afin q u ’il eu t à p rendre, s ’il le jugeait

ter 4 neuf cent quaraate-trol» !« f-anc».

— Suivant acte reçu par le- M® Vidy, le sept février 1929

?ué, par aote authentique. Conseil d’administration de la leié des Tennis Couverts de nttiîy a déclaré que les deux l quatre-vingt-treize actions de s rancs ohacune émises au

f rmant la première tranche î Augmentation de capital

bp i été entièrement souscrite» diverses proportions par sux personnes et qu’il avait

vilement versé par chacun! es une somme égale 4 la to-

u capital des actions par ■ uscrites, soit au tota' deux

quatre-vingt-treize mille • déposés en banque.

t certifié véritable conte- noms, prénoms, profe*-

--«t domiciles des souscrlp- \e nombre d’aotlons souscri­

tes et le montant des versement» effectués par chacun d’eux a été annexé 4 l’acte.

IV. — Aux termes d’une délibé­ration prise le dix-sept février 1929 dont copie a été déposée 4 M* Vidy par l’acte du cinq mars 1929, l’Assemblée générale extra­ordinaire des actionnaire» anciens et nouveaux de ia Société des Ten­nis Couverts de Chantilly a, après vérification, reconnu la sincérité de la déclaration de souscription et de versement faite par l’acte reçu par M* Vidy, le sept février 1929 sus-énoncé, oonoernant l'aug­mentation de capital de deux cent quatre-vingt-treize mille francs, a constaté que cette augmentation état définitivement réalisée portant ainil le capital social 4 neuf cent quaante-trois mille francs et a modflé ainsi qu’il suit l’article sept des itatuts :

,« Le capital social est fixé à • niuf cent quarante-trois mille « francs, divisé en 943 actions de « mille francs chacune. Sur ces « notions 198 actions entièrement i libérées ont été attribuées oi- . dessus 4 M. Mercier en rému­nération de ses apports. Les 745 « action de surplus sont des no­

tons de numéraires entièrement

Art 14.C O M PTO IR COM M ERCIAL C O N T E N T IE U X G É N É R A L

Fondé en 1903

VENTE DE FOUS DE C01MEBCE!

SPÉC IALITÉpour

Hôtels-Bureaux, Hôtels-Vins Liquoristes, Restaurants, etc..

Sanier, Rhodes et PoupelinEx-Officier Ministériel

Avocat Conseil 100 , ru e S t-Lazare, PARIS (»«>

Prt* la Bin tiUt-LuircT é lép h o n e : C enw al 52-47

DEUXIEME INSERTION

Suivant acte s. s. p. en date 4 Chantilly du 15 Février 1929, enre-?;istré à Creil (Successions), le 15 evrier 1929, folio 36, case 7, Ma­

dame FOUiNIER, assistée de son mari, a vendu à Monsieur CHEZE et Madame Eugénie ARCH1M- BAUD son épouse, la fonds de com m erce d’hô.el. vins, re s­tau ran t, qu’elle exploitait 4 Chan­tilly, 9U, rue du Connétable, et cède le droit au bail des lieux ; entrée en jouissance le 1S février 1929.

L’insertion au Bulletin Officiel a été faite le 9 mars 1929.

Les oppositions seront reçues dans les dix jours de la présente insertion au fonds et pour la cor­respondance chez MM. SANIER, RHODES et POUPELIN, 100, rue Saint-1 azare, i Paris, où se fera la répartition s’il y a lieu.2377 POUPELIN.

Mue copie certifiée des délibé­rations du Conseil d'administra­tion des 22 mars 1928 et 5 jan­vier 1929, une expédition de la dé­claration de souscription et de versement du sept février 1929, de l’état annexé prescrit par la loi et de la délégation donnée par le Conseil d’administration, et une copie certifiée de la délibération de l’Assemblée générale du 17 février 1929, ont été déposés le neuf mars 1929 4 chacun des Greffes du Tri­bunal de Commerce de Senlis et de la Justice de Paix de Creil.

Pour extrait et mention, (Signé) VIDY.

2405

4 propos, dans le délai de deux mois au profit de qui de dro it, te l

inscriptions d 'hypothèque lé­gale q u ’il av iserait su r les dits im­m eubles fau te de quoi ceux-ci de m eureraien t définitivem ent libres e t purgés de tou te hypothèque de ce tte na tu re non inscrite.

Que les anciens propriéta ires, ou tre lés vendeurs, é ta ien t :

M. A ntoine-François-Léon N es­poulous.

Géune Lesage, veuve de D ésiré- Félix Gense.

M arie-U ctavie P o n té , épouse divorcée de Léon Haelia.

L isa-Viotorine L aroche, épouse L ouis-Théodore P o n té , Louis-

Eugène Ponté»C om m unauté Pon té-L aroche. Joséphine-V ictoriae Em éry, So-

phie-Arm anda Em éry, M arie Emé-

Art. 10.Etude de M’ VIDY, notaire

4 Chantilly.

PREMIERE «MEEETKN»

Suivant acte reçu par ledit M® Vidy, les 21 et 25 février 1929, enregistré à Creil (A. C.), le 26 fé­vrier 1929, volume 329, folio 97

, o9 544, M. Joseph GIMENEZ. ébé- v â is te . d e m e u ra n t à C h an tilly , a

"^■efidu à M. Georges-Louis-Joseph TURCK, industriel, demeurant à Gouvieux, le fonds de com ­merce d’en trep rise de fabrica­tion de m eubles, exploité à Chantilly, 75, rue du Connétable, avec tout ce qui en dépendait.

Les oppositions, s’il y a lieu, seront reçues dans les dix jours de la seondo insertion, à Chan­tilly. en l’Etude de M* Guétin, huissier, domicile élu.2403 (Signé) VIDY.

Art. 15.Etude de M» BOILEAU, notaire

à Nanteuil-le-Huudouin. Dépositaire des archives de l’Etude

de Baron. *

Suivant acte reçu par M* Boi- leau, notait a, le 26 tévrier 19.9. enregistré 4 Nanteuil, le 7 mars suivant, folio 165, case 845, Mme Joséphine PEPIN, demeurant à Ermenonville, veuve de M. Alfred BbKY, a vendu à M. Louis WIL- LEM1N, peintre, et Mme Elise LENGLET, son épouse, de Ver. le fonds de com m erce de pein­tu re et v itre rie exploité 4 Er­menonville, par feu M. Béry, com­prenant : l’enseigne, le nom commercial, la clientèle et l’acha­landage, le matériel et les mar­chandises qui en dépendent.

Entrée en jouissance: 1*'février 1929.

Oppositions dans le» dix jours de la seconde insertion, à l’Etude de M* Boileau, notaire.

Pour première insertion : [2422 BOILÇAU.

Art. 16.TRIBUNAL DE COMMERCE

DE SENLIS

CONCORDAT BLACHÈRE R eporté au 3 3 M ars 1 0 2 9

! Etude de M* Louis GUÉTINgradué en droit

huissier à Chantilly.

A C H A N T I L L Yrue du Connétable, n® 8 (entrée route de senlis)

où les objets ont été transportésle Dim&nohe 10 M ars 1929

à 13 heures 1/2

Vente aux enchères publiquesD’UN

BEAU MOBILIERcomprenant notamment :

S a lle à m a n g e r e b é n e s c u lp té . M obilier de b u re a u . P o rte -m an teau n o y e r s c u lp té . A p pare il de T . S . F . Beau salon noyer sculpté, style Louis XV. Bahuts bois noir avec bronzes et cariatides. Important cartel de style Louis XIV. Belle chambre moderne, loupe d’orme, style Louis XVI. Commode Em­pire. Chambre pitchpin. Lits fer et cuivre. Literie. Lavabos. Toi­lettes. Armoires à glaces. Pen­deries. Glaces. Garniture de che­minée. Tapis. Doubles rideaux. Réchaud à gaz * Auls ». Cuisi­nière. Vaisselle. Machine à coudre

8inger ». Pianos droits des matques • Pruvost»et« Pleyel ». Bonne voiture dite tonneau.par le ministère de M' GUÉTIN

huissier 4 Chantilly

Au Comptant - Frais ordinairesExposition publique la veille

de la vente, de 14 à 16 heure».

Envoi de la notice complète sur demande adressée à N® Guétin, huissier à Chantilly. Télép. 85.

2373

Etudes de M® Louis GUÉTINgradué en droit

huissier 4 Chantilly.

Pour cause de cessation d’entraî­nement et double emploi

Jta xryr am ■ jl-jl jmrlieudit Le Bo s baint-Denis

Avenue de Joinvilledans rétablissement de M.Charles

CARTER

Imprimeries Réunies de SenlisLe Courrier de l ’Oise

1 1 , place Henri-IV — SENLIS

L’Assemblée générale annuelle des Actionnaires des Imprimeries Réunies de Senlis aura lieu lo Mardi 3 6 Mars 1 9 3 9 , À quinte heures, au fiège Social, place Henri-IV, à Senlis.

O r d r e s u J o u r :Rapport du Conseil d’Adminia-

tration sur l’exercice 1928 ;Rapport des Commissaires aux

Comptes sur l’exercice 1928 ; Fixation de la valeur de l ’action; Renouvellement statutaire du

C onse il d 'A d m in is tra tio n ;N om ination d e s C o m m issa ire s

au x c o m p te s e t fixation de leu indemnité ;

Fixation dè l ’Indemnité au Conseil d Administration ;

Pouvoir à donner aux Adminis­trateurs de traiter avec la Société.

Etudes de M® Louis ESCAVY,docteur en droit

avoué à Senlis. 7. rue de Villevert, et de M® THIROU1N, notaire

à Acy-en-Mulvien (Oise).

VENTE SURDE :

LICITATION

Une Maisons i s e à E T A V IG N Y

à l’angle de la route de Boullarre et de celle de Betz

2° ET

7 Pièces de Terremême terroir

L’adjudication aura lieu le Jeudi 14 Mars 1 9 3 9 , à .14 heu i es, à Etavigny (Oise), en la Maison d’Ecolü, par le ministère de M*

« â ê ? ;e n -

Les créanciers de la faillite BLACHERE, ancien restaurateur

!& Senlis, «ont informés que la réunion concordataire du sieur Blachère, qui devait avoir lieu le Vendredi 8 Mars courant, a été reportée au 22 Mars 1929, à dix heures et demie du m atin .

2111Le Greffier.

GAVENC.

de

nr.Denise-Victolre-G eneviève Sus

set» veuve de P ie rre -Jo sep h Bmé-

ART. 11Stnd* d« VIDY, aoialr*

à CfcauttUf.

DEUXIEME INSERTION

ART. 7.Etude de M® Georges MORAND

avoué a Senlis.

P u rg e L ég a le

Simon-Nicoi&s Lamoureux. Héritiers et représentants

Pierré-Frédério Lefèvre at de Ca­therine Hamonier, son épouse.

Et que ne connaissant pas tous «eux du chef desquels inscription d’hypothèque légale pourrait être prise, la Société requérante ferait publier la dite notification dans un journal d'annonoes Judiciaires, conformément 4 l’avis du Conseil d’Etat des 9 mal et i " juin 1807.

Pour insertion légale, (Signé) L. CHASTAING.

6402 i 1

'Suivant acte reçu par ledit M* Vidy, le 18 février 1929 enregistré 4 Oreil (A. 0.), le 21 février 1929, volume 329 bis, folio 109, n® 665, MM. Léon POUILLET et Louis POUILLET, demeurant tous deux à Chantilly, ont vendu à M. An- toine-Léon-Joseph DUMKTZ né­gociant, et Madame Angèle LE- r’EVKK, son épouse, demeurant ensemble 4 Chantilly, le fonds de

. t j nm m erct de g ra in e terie en ■ a « a i l , vannerie e t corderie, exploité 4 Chantilly. 124, rue du Conneiable, a ec tout ce qui en lépendait.

L’insertion au Bulletin ( fflciel des Ventes et Cessions de Fonds de Commerce a été faite le 5 mars 19-9.

Les oppositions, s’il y a lieu, seront reçues dans les dix jours de la seconde insertion, i Chan­tilly, en l'Etude de M» Vidy, do­micile élu.2374 (Signé) VIDY.

! {Etude de M® GAZEAU, notaire à Sentis.

A D JU D IC A T IO Nle Samedi SS M ars, 14 heures]

en la Mairie de Chaînant en un seul lot

18 PEUPLIERS! 49 OUÏES, 10 BEISAKDS

liisi i prix global, : 10.0011 lus»

S'adresser au Secrétariat de la Commune de Chamant, et à M"| GAZEAU notaire 4 Senlis. 24231

à 13 heures 1/2

V E N T E V O L O N T A I R Eaux aoahèraa pufetlguM

D’UN

BEÂO MOBILIERcomprenant notamment ;

Salle è manger, bureau et 4i-| seuse de Maple et Cie. Beau salon de sty!e Louis XVI recouvert en Aubusson. Fauteuils de style ! Louis XIII. Importante pendule! slyle « Boule ». Piano « Pleyel » modèle « Luxe ». Garniture de cheminée Glaces. Tapis. Doubles1 rideaux. Lampadaire bronze doré. Belle vitrine style Louis XVI bois doré. Gravures Anglaises ancien-1 nés et modernes. Lits de cuivre de chez Maple et Cie. Coiffeuse. Coffre-fort * Fichet ».

ETM a t é r i e l d ’É o u r i e !

S E L L E R IELits, literie et draps de lads.

par le ministère de M’ GUÉTIN I huissier i Chantilly

[Au Comptant. — Frais ordinaires 1

Exposition publique la veille J i de la vente de i 4 à 16 heures.

Pour renseignements et recevoi r I le catalogue, s'adresser 4 M® Gué- tin , huissier 4 Chantilly. Télé­phone 86. 2421|

Etudes de M’ L. ESCAVY, avoué4 Senlis (Oise),

et à M* BAUDON, notaire au Piessis-Beiieville (Oise)

YBNTE SUR LICITATIONDE : 1*

6 ares 63 centiaresde Jardin potager

à È V Em iMr

Etude de M® LANGLOIS, notaire 4 Senlis.

A O J U D / O A T / O NA SENLIS

en l’une des salles de l'HôpitalLE MARDI 3 AVRIL 1 9 3 9

à 14 heuresDE

M E PROPRIÉTÉsis© à È V E

rue du Gué.

L'adjudication aura lieu le Sam edi jiS S Mars 1 9 3 9 . a lit heures,

en la Mairie de Eve, par le mi­nistère de M* BAUDON, notaire au Piessis-Beiieville, commis 4 cet effet.

Etudes de M® Louis ESCAVYavoué, docteur en droit,

7, rue de Villevert, à Senlis et de M® TABtRD, notaire

à Précy-su.-Oise

v a e s i v *t je e s

aux eachères publiquesau plus offrant et dernier

enchérisseurD’UN

F ia is i a C o n a u rc sDE

j Marchand ia Vins, Tabacs, Epiceries i» h B L A IN C O U R T

(Oise)

| L’adjudication aura lieu le «Jeudi 38 M ars 1 9 3 9 , à lit heures. en la Mairie de Blaincourt (Oise) et par le ministère de M* TA- BARD, notaireà Précy-sur-Oise, commis à cet effet.

Etude de GAZEAU, notaire Senlis.

A L a w r r d r s u i t e

V I L L ARue Salnt-Etlenne, & SENLIS

AVEC JARDIN & BARAGES’adresser à M' Gaz eau. notaire.

2417

An*. 8.Etude de M* L. CHA8TAINO,

avoué 4 Senlis

P u rg e Légal©

Suivant exploit de M* Neuville, huissier 4 Crepy-en-Valols en date du 26 février 1929, enregistré.

Et 4 la requête de la Société en commandite « de Cornois et Com- « pagnie ®, dont le siège est 4

De deux exploits du ministère de M* Dberbe, huisaler 4 Pont- Salnte-Maxenoe, en date du vingt- sept décembre 1928, et de M* Clu- sel. huissier à Orléans, en date du huit février 1929, enregistrés.

D appert qu’à ta requête de :

Ar t . y.Etude de M® VIDY, notaire

à Onamuiy.

L — Aux termes d’un acte sous seings privés du vingt-sept juillet 1927, annexé avec reconnaissance d’écriture 4 la minute d’un acte reçu par M* Vidy, notaire 4 Chan­tilly, le huit août 1927 et conte­nant les statuts de ia Société ano­nyme dite « 8oclété de» Tennis Couvert» de Chantilly » ayant son siège 4 Chantilly, avenue André, constituée au capital de six cent cinquante mille francs, le Con je il d’administration de cette Société a été autorisé 4 porter en une ou plusieurs fols son capital social 4 un million de francs sans besoin d’Assemblée générale.

II. — Par délibération du vingt- deux mars 1928 dont copie certi­fiée a été déposée 4 M* Vidy, »ul* vant acte reçu par lui le oinq mar® 1929, le Conseil d’administration de cette Société a décidé l’aug­mentation du capital social pour ie porter de six cent cinquante mille francs à un million de francs en une ou plusieurs fois et par une autre

Art. 12.Les Actionnaires de la Société

Coopérative d ’ H abitations à Bon Marché «Les Bons roY ers»sont convoqués en Assamblée g* nérale ordinaire pour le Samedi 80 Mars, à 17 heures, 4 Chantilly, Salle Saint-Louis, avenue du Bou- teiller, pour :

Approbation des comptes ; Nomination d’AdministrateurB

et de Commissaires.Vote sur toutes questions ac­

cessoires.Le Conseil d'Administration.

2104

Vauciennes, poursuites et diligen­ces de Monsieur Louis-César-Edouard de Cornois, son g é ran t, ^_________ _

I Ingénieur, chevalier de la Légion ; délibération du cinqrjanvier 1929demeurant 4 Vauoien- dont copie a été déposée 4 M* VI-

jdy, par ledit acte le Conseil d’ad-d’honneur,nés. H _______

Pour laquelle domicile est élu 4 minlstration a arrêté l’augmenta- Senlls, rue Sainle-Geneviève, en Mon de capital 4 deux oent quatre- l’Etude de M* L. Cbastaing, avoué ; vingt-treize mille fnmee pour le

Art. 13.^TRIBUNAL DE COMMERCE

DE SENLIS

Ouverture Vérifications

Les créanciers de la faillite de la dame DEVOS et son mari, modes è Senlis, sont invités à se trouver le Vendredi 22 Mars 1929, à dix heures et demie du m atin, au Greffe du Tribunal de Com­merce de Senlis, place Saint- Pierre, pour la vérification et l’af­firmation de leur créance.

Le Greffier,2410 GAVENC.

Etude de M* VALLÉE, notaire à Crépy-en-Valois.

A Y l M i l Spar adjudication volontaire

L E L U N D I 25 M ARS 1929à lit heures

en la Mairie de Rocquemont

CORPS de FERMEET

9 Hectares 20 AresDE

Terre Labourable situ é s te rro ir de ROCQUEMONT

(Voir les affiches)

Faculté de traiteravant l’adjudication.

S'adresser :A M* Vallée, notaire.Et à MM. Bernbelm Frères.

23, rue de l'Arcade, à Paris. 2407

[29 h. 62 a. 68 g. de BOISIan terroir de S E N L IS

EN 5 LOTS

Premier Lot. — 6 h. 91 a. 45 c. de chênes et peupliers, à la Muette.— Section F, ns 176 du cadastre.

Mise 4 prix : 8 9 .9 9 8 fr. BO.Deuxième Lot. — 2 h. 10 a. 65 c.

de peupliers, chênes et bouleaux, à Bruchebay et Derrière Saint- Lazare. — Section G, n® 387 du cadastre

Mise & prix : 3 5 .3 7 8 franes.Troisième Lot. — 8 h. 48 a. 53 c.

de peupliers, chênes et bouleaux, au même lieu. — Section G, n® 392 p., 392 bis.

Mise à prix : 1 0 1 .8 3 8 fr . 6 0 .Quatrième lot. — 6 h. 43 a. 29 c.

de sapins, chênes et peupliers, au même lieu. — Section G, n® 394.

Mise & prix : 9 6 .4 9 8 fr . BO.Cinquième Lot. — 5 h. 68 a. 76 c

de chênes, i la Justice. — Section G, n® 429.

Mise 4 prix : 7 8 .9 8 8 fr. 80 .

S’adresserpourprendreconnais- isance du cahier des charges et | pour tous renseignements : 4M.I L O N C H A M P T , receveur de l’Hô- | pital, ou à M® LANGLOIS, notaire.

CONSIGNATION POUR ENCHÉRIR |30 0/0 de la mise à prix.

0425 '! Etude de M® THIROUIN. notatre]

à Acy-en-Mnltitn (Oise.

Etude de M® Félix LOUAT, notaire à Senlis.

A vendre à l’amiable, une Mai­son Bourgeoise sise 4 Senlis, rue de Meaux, n® 14. S’adresser à M* Louât.

Bon Attirail de Culture, à van- Idre par adjudication volontaire.] après cessation, le Dimanche 24 iMars 1929, 4 treize heures pré­cises, 4 Bouillancy, canton de Betz (Oise), par le ministère de

|M® Thirouin, notaire à Acy-en- Muitien.

S ’adresser pour les renseigne­ments à :

M* Escavy, avoué 4 Senlia, poursuivant ia vente ;

M® Tabard, notaire à Précy- sur-Oise, rédacteur et dépositaire du cahier des charges.

Etude de M® LANGLOIS, notaireà Senlis.

Droits de Chasse, & louer par adjudication, par le ministère de M® Langlois, notaire à Senlis, 4 la requête de la Commission Admi­nistrative de l’Hôpiial général da Senlis, 4 Senlis, en l'une des salles de 1 Hôpital, sis Faubourg-Saint- Msrtin, le Mardi 19 Mars 1929, à 14 heures 30.

Etude de M* Robert BOILETnotaire

à Pont-Sainte-Maxence (OiseA

Vente aux enchères publiques [d’objets Mobiliers, à Pont-Ste- Maxence, rue de 1 Ue, le Diman-

[che 24 Mars 1929, 414 heures, par | le ministère de M' Boilet, notaire 4 Pont-Sainte-Maxence.

Etude de M« DURAND, notaire à Pont-Sainte-Maxence

Adjudication volontaire, à Pont- Sainte-Maxence, en l’Etude et par ie ministère de M* Durand, no­taire, le Lundi 34 Mars 1929, à 14 h., d’un Fonds de Commereo de Restaurant, Vins et Liqueurs avec Licence, exploité à Sarron, dans 1 immeuble ci-après, sous l’enseigne « Maison Louis, Au Rendez-Vous des Pêcheurs », et d'une Maison 4 usage de Restau­rant, Vins et Liqueurs, sise 4 Sarron, sur le bord de l’Oise, à proximité du barrage.

Page 4: 100* Airnèi. — M* 10, Dtmaaohe 10 Mars 1989. LE DE L’OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1929-1930/bms_js_1929_03_10_MRC.pdf · LE100* Airnèi.— M* 10, El NUIT • CKITORB Dtmaaohe

u s c o t r a m i i H œ l *o i s e

B E A U H 0 B 1 U E R- CHAMBRE A COUCHER g SALON - SALLE A MANGER

A V E N D R Epar adjudication volontaire

pour cause de départ

A . C H A N T I L L Y19, aveuu6.de la Gare

te Dimanche 10 Mars 1928h quatorze heures

Salon uoajoa, divan, deux fau­te u i ls , d eu x cu a ise s .

Chambre à coucher, lit de milieu noyer, armoire a glace deux portes

Salle & manger acajou et bronze, buffet, table ovale, buffet desserte, plafonnier, glace.

Bureau acajou, plusieurs lits, armoire à glace acajou aune porte, commode toilette acajou, buffet de salle à manger en chêne à portes pleines, tables toilette, tables de nuit, chaises, fauteuils, pendules, glaces, et quantité d’autres objets.

Ort pourra visiter le Samedi 9 Mars, ae <5 à 17 heures.

Pour tous renseignements, s’a. dresser à M* Maurice LEN01Rhuissier à Seuils {Oise). Tel. t>9.

2386

D E M A N D E SET

O F F R E S

Etablissement de CréditJeune homme militaire, ayantbonhe instruction et bonne écri­ture. Sérieuses références exigées.

S’adr. au Bureau du J ournal. 637

On dem ande pour R estauran t situé à Senlis :

Jeune bonne à tout faireet pour le service du restaurant. Logée et nourrie. Bons gages et pourcentage.

S’adr. au Bureau du Journal. 640

Poncnnnn Pour faire ia cuisine iMAUllllv est demandée pour maison bourgeoise. Beaux gages.

Ecrire ou se présenter chez Mme HERMANT, Cottage de la Forêt, avenue de la Gare, a chan­tilly. 2413

FaRima ^ a n s , sérieuse, est I UUIIIiB demandée pour gérer intérieur. Appointements élevés.

S’adr. au Bureau du Journal. 2271

Jeune homme de 13 à 15 ans, présenté par ses

parents, est demande pour aider un peu et faire quelques petites courses. — Nourri, logé et aux proüts.

S’adresser au Chalet de Sylvie, à Senlis. 2358

Bonne à tout faire % “est demandée. 2 maîtres. Kélé- renees.

S’adresser à Mm* DelimoGES, 8, rue de Bon-Secours (2* étage), Senlis. 2385

veuve ou jeune fille, de » • » . . . 20 h 30 ans, sérieuse, est demandée par ménage fonction­naires environs Senlis. — Bons salaires.

S’adresser à Mme W illemin. Institutrice à Ver {Oise). 2424

SUIS ACHETEURSenlis ou environs immédiats

Maison do Campagne6 & 8 pièces

avec jardin de 2 à 3.000 mètres planté.

Faire offre & L. BEAUQUE8NE, 62. rue de la République, Senlis.

619

PBËTS HYPOTHÉCAIRESA p a r tir de 5 .0 0 0 francs

et tou tes som m esCONDITIONS UNIQUES "

Ecrire : PETIT, 27, rueTurblgo, Paris, qui vous fera visiter aus s itô t 2371

A . V E N D E Epour cause de départ

C U I S I N I È R Een très bon état.

S’adr. au Bureau du Journal. 2416

On demande à acheterTABAC, CAFÉ ou HOTEL-VINS

avec ou sans Epicerie, Faire offres en indiquant : 1° Prix demandé et à débattre ; 2» Comp tant exigé; 3“ Durée du bail ; 4* Prix du loyer ; 5° Nombre de pièces comme logement person­nel ; 6’Chiffre d’affaires ou recettes en 1928. — Discrétion absolue. — M. BRET, 22, boulev. Wallace, à Puteaux (Seine). 2378

Etude de M* MAROT, greffier de paix A Pont-Sainte-Maxence.

A vendre à l’amiable : belle P roprié té B ourgeoise, pouvant souvenir pour elevage, en excel­lent état. — S’adresser A M'Marot greffier à Pont.

— ■— b su

2.000 PHONOS GRATUITS | Ide la grande marque française L u té tia

M o d èle 1 9 2 9munisdes plus récents perfectionnements

à t i t r a d o p r o p a g a n d e au x p rem ière» personne* q u i rép o n d ro n t

ex a c tem en t a u x q uestion* ci-de*so«* e t *e c o n fo rm e ro n t à no» condiU oa»

Reconstitue» le» 3 mot» dont nous donnons le» principale» lettre*

S — P — I — Pierre précieuseT — U — O — V ille ft-aneaieeG — S — O — Prénom

Envoyez votre réponse avec nae enveloppe tim brée portant votre adresse aaxgP honographes LUTÉTIA, 53, Rue Dutot, PARIS (15')

C Y C L E S - M O T O S - A U T O SVente et A chat Échange et Location

Machines à Coudre et Voitures d’Enfants ACCESSOIRES & PIÈCES DÉTACHÉES

V élos — M otos — M ash ln es è C o u d re

H u i l e s , G r a i s s e s e t G a r b u r e

V E N T E A C R É D IT D E S C Y C L E S & M O T O S

Fernand JANINMECANICIEN

15, R ue Saint-H ilaire, SENLIS (Oise) - fi « Mai

Représentant des Motos

MOTOBÊ6ANE & M0T6C0NF0RTA gent des Qr&ndes Marques de Cycles

Automoto - Griffon - J.-D. Lourd - Dilecta - VictoriaLes Réparations sont très soignées et garanties aux prix les plus^avantageux

681

gu iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiu iijiiiiiiiiiiin iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiim ^

CHENARD a WALCKER |

DELAHAYf; • DELACE |

L. ROSENGART |DCNNET |

H . C A T L L E T |

= 17, Rue du Faubourg-Saint-Alartin =

SENLIS - |633-1 S

â iiiiin iiiii i i i iiH iim iiiii iiu iii iu iiu N iiiiin iiii im u iiii i i ii i i t ii i i ii i i

” * 1 * -= A u t o s A r m e sM aison fo n d é e e n 1892 1

MACHINES A COUDRE VOITURES D’ENFANTSa Stock d’Accessoires A,.

et de Pièces détachées t y f .* P N E U S AUTOS \

Huiles et Graisses Industrielles — Carbure \DÉBIT DE POUDRES. MUNITIONS. ARTICLES DE CHASSE

CARTOUCHES CHARGÉES Fuall Char lin - C arabine, de Précis!*»

Maurice CHEVAUXMÉCANICIEN — ARMURIER

16-18, P lace Henri-IV, à $ E N L IS (Oise)TÉLÉPHONE 9 7 R. & Sailli* 2193

Représentant des Motos TER ROT(Tous Modèles en Magasin. Essai facultatif

ügent des CYCLES PEUGEOTet des Grandes Marques Ravat-Wonder - Terrot

La Prançaise-Diamant - De Dion-Bouton - Thomann, etc.., KHOt--------— ARTICLES GARANTIS — PRIX DÉFIANT TOUTE CONCURRENCE —

RÉPARATIONS IMMÉDIATES A TRES SOIGNÉES

i ï î x i i jR A P ID E M E N T

S O L I D E M E N TtO O N O M Ip U E M E N T

CONSTRUITES

MAISONS A PANNEAUX DE CIMENTEtablies avec des matériaux de choix leur assurant une solidité aussi grande que les malsons en pierre* ou en briques, «om­breux modèles. Demandez le catalogue Miuetr* O. 9. envoyé gratta et tous renseignements à

P i e r r e P E R N E Y » S enlisüwqtiAiMw m»

AUTOMOBILISTESPour l’équipement électrique de votre voiture

ne consultez que des spécialistes

L'Equipement É lec tr ique de l ’Oise1, Avenue du Maréchal-Foch, SENLIS

vous donnera satisfaction

Outillage moderne — Laboratoire d’essais Réparations garanties de Dynamos et Démarreurs de t l«* marques

Stock important de Pièces de rechange Réparation et Echange d’Accumulateurs

Batteries disponibles pour toutes Voitures Réparation do Magnétos - Echangw

Ateliers: ouverts Dimanches et Fêtes

Faites installer sur votre voiture le P R O J E C T E U R C O D E

le seul assurantintégralement le Code de la Route et l’éclairage de secours

k S E R V IC E S T A T IO N M A R C H A L

ABMBS - MOMimHS - ARTICLES DE CHASSEC Y C L E S A M OTO S

«t M phsiss TCNHSAMN

LMCAtSWKK tm à A A w m a — a& m b b m m s

L o u i s M Ü R A I N EAMfUfclMR - MâGAMCiRN

72, Rm ia B m ttà k . 72 = CHANTILLY (Ota.T l i i m e M H 4

SPÉC iA U TS DE CARTOUCHES CHARGEES Aba m teeu r dm T ire meut P igeons

M AO M fW S A COUDRE DE TOUS SYSTÈMES

A A T t e t Æ S A K P Ê C H E

E N T R E P R I S E DE COMPTABILITÉS

G a s t o n D E B R A S1, rue des Jardiniers, SENLIS (Oise)

IN STALLA TES • VÉRIFICATIONS DÉCLARATIONS FISCALES • BILANS A*»®

COMPTABILITÉ SIMPLIFIÉS pour COMMERÇANTS DÉTAILLANTS TENUE DES LIVRES A FORFAIT 641

D Ë M É N * 6E M E N i r L N T O U S 6E N R E SCADRES et Camions Capitonnés

Tous les Vendredisi: Messageries Paris-Senlis

M a is o n D E S P E T SB. G. Seuils 3042 SENLIS (Oise) Téléphone 161

—w«

Autos-Cars pour Noces, Sociétés, Excursions617

..

ACHETEZ DES ARTICLES DE QUALITÉ SUPÉRIEUREen Toiles, Lingerie, Bonneterie

Velours, Articles de Travail C onfections pour H om m es, C hem ises

" A U X X > t7 N O lr lJ D ”

m a i s o n " m o ü l i e r6, Place Henri-IV, SENLIS

Tous les Mardis, Vente d’un Article-Réclame réellement sacrifié

615

COUVERTURE - P L O M B ER IE

A. GOURDON24, rue Bellon, SENLIS. Téléphone U9

exécute tous travaux même à une distance éloignée

sans aucune majoration

DEVIS ET RENSEIGNEMENTS GRATUITS ::638

Èj Ÿ î a r c e l J ) r e x e l ®

TAILLEUR HOMMES & DAMES

4, Place Henri-IV - - - SENLIS - - -

Présente du 7 au 21 MarsUNE

Kl«

Délicieuse |

11Ses Robes du d’après-midi |

d’une distinction parfaite HI

Sa Lingerie fine

seront le succès de la Saison.

Les Prix en sont très raisonnables m

A M E U B L E M E N T S C O M P L E T ST A P I S S E R I E -whink- D É C O R A T I O N

Meublee — Siégea de to a i Stries G h a m b r e a à O o u o à x o r - S a l l e a A M a n g e r

TÉLÉPHONÉ 1 ■ ■.—.»■ «. 6. mn

P a u l R O U S S E A U13, r u e d u G h à ta l (Près l’Hôtel de Ville) S E N L I S

MEUBLES DE OAMBHIE - OHAISES FMLLlES ET OAUttÉESLITS FER ET CUIVRE — ARTICLES DE LITERIE

—**- « L A C E S - T A R IS - R ID E A U X

G R A N D M A G A S I N D E C H A U S S U R E SLuxe - Fatigue - Chasse - Sport — t— Exclusivité pour pied sensible

M a r q u e s J B a l l y , P i n e t , T J n io

BOUR2EIX, BUP, \ pilez Henri-IV S E N L I S

Actuellement : GRflRDES SOLDES après inventaire RABAIS CONSIDÉRABLE---- 526

“ AD SENLIS ÉLÉGANT "

H . V I N C E N TChemisier - Chapelier

13, Place de la Halle, 13 SENLI S

ACTUELLEMENT :

Rabais de 10 %sur toutes les lins de séries

Magasin ouvert Dimancheset Jours de Fête

601

A V E N D R E

T E R R A I NA B A T IR

A S jE3 2ST L I S

VUE SUPERBEEau - Gaz - Eleetricité

S’adr. au Bureau du Journal. 635

A V E N D R E

F O U R N E A U D E C U IS IN EPetit modèle

BON ÉTATS ’a d re s se r à M. THTKUX. h o rti­

c u lte u r , ru e du M o u ü n -S t-R ie u l S en lis .

« IN f O T DÉ

Cbmaa FONDEURBOURGOGNE

D É P O SIT A IR E S B N L I S (Oftfl»)

FORÊT DU LYS, pap Lamoplaye (Oise)Téléphone 19 Lamorlaye

H o s t e l l e r i e d u L y sR O N D - P O I N T D E L A R E I N E

Autobus Gare de Chantilly

% ! flepà* depuis 20 fr. et sur Commande

SALLES TRÈS CLAIRES ET TRÈS GAIESpour Noces, Baptêmes, Banquets, Réunions

MENUS ET P R IX SUR. DEMANDE

Pension complète depuis 40 fr. et Arrangement pr Famille

Le Dimanche, de 3 â 5 11 : A u d i t io n s <t® C o lo m b iaGoûters complets i 5 francs

—— — — -------614

tlm -

I H I

P R O P R I É T É Smeublées ou non

VENTE - LOCATION - GÉRANCECession de Fonds de Commerce Reprise et Location de Fermes

î A G E N C E R É G I O N A L ESENLIS, 62, Rue de la République

Téléphone 1 7 9

■ ■ : — ■■■ ,STtr-g— «A

V I D A N G E S I N O D O R E SP A R PROCÉDÉS MODERNES

D E L G O R G ER o u t e d e C r é p y , à S B N L I S

T E L E P H O N E 3 058*

- • A M E U B L E M E N T G É N É R A L

M a iso n YÂLEX, à Senlis 6, route de Creil - Tél. 216 24, place de la Halle - Tél. 258

N’oubliez pas que pour être bien meublé vous devez acheter vos meubles dans une maison j de confiance de votre région OFFRANT TOUTES GARANTIES.

Refusez des meubles légers fabriqués en séries.NOS MEUBLES SONT DE CONSTRUCTION ROBUSTE EN BOIS DE CHOIX

i£T GARANTIS.G r a n d c h o ix d e c h a m b r e s à c o u c h e r e t d e s a l le s 5 m a n g e r a d e s p r i x , © t q u a l i t é s d é f i a n t

t o u t e c o n c u r r e n c e .Fabrication par la Maison de tous meubles en bois massif.

LITERIE 1“ QUALITEPrix imbattables

Lits fer et cuivres

Matelas et Sommiers

MEUBLES DE CUISINETAPISSERIE.

Seul Dépositairepour

Senlis et la Régiondu

Conëoléum Sceau d’orLIVRAISON A DO MI C IL E FR A NC O