Les rendez-vous de Li l le Grand Palais !

OCTOBRE 2007

ExposCongré s

SalonsÉvé nements

A voir et à venir...

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Actualités

Transport

Lille, plus vite...

Strasbourg, à 3 h 20…Le TGV Est ne concerne pas que Paris : Lille aussi se rapproche deStrasbourg : 3 h 20 suffisent maintenant pour aller de la capitaleeuropéenne à la capitale des Flandres, et cela, trois fois par jour. Le temps des changements de gare ou des cinq heures« d’immobilité forcée » est fini.Infos : www.tgvesteuropeen.comLondres, à 1 h 20…Ultime étape dans l’accomplissement du grand rêveinitié avec l’ouverture du tunnel, en 1994: l’achèvementdes travaux sur la ligne TGV anglaise met Londres à 1 h 20 de Lille grâce à l’Eurostar, huit fois par jour.Infos : www.eurostar.com

Commerce

Les Galeries Lafayette…13 000 m2 pour le nouvel ensemble commercial quis’est ouvert le 27 septembre dernier dans la rue deBéthune, traditionnellement une des plus vivantesde la ville, face au populaire restaurant Aux Moules,et à proximité de la plus «cosy» Brasserie André.

Cette rue piétonne, qu’empruntent quotidiennement80000 personnes, devient ainsi encore plus attractivecar de nombreuses enseignes seront présentes danscette galerie, mais l’événement c’est, bien sûr, la présencedes Galeries Lafayette qui en occupent l’essentiel.

Par cette ouverture, le groupe Galeries Lafayette, quin’avait pas ouvert de magasin « flagship » en province depuis 20 ans,

confirme la forte potentialité et la vocation commercialeet commerçante de Lille.

En outre, ce nouveau magasin, se voulant un « théâtredes modes », vient renforcer les actions, pourpromouvoir dans la métropole, les activités liées àces domaines: les programmes Faubourg et Quartierdes Modes, les deux Salons Tissu Premier, larecherche et l’innovation textile au sein du Pôle deCompétitivité Up-tex.

A Lille, la mode

vit plus fort

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Du nouveau pour la

[ É D I T O ]

Mots à la mode…Chaque époque a ses mots à la mode :

des mots qui s’usent parce qu’on en

abuse et qui finissent par abuser, ou

amuser, parfois, ceux qui les entendent.

C’est pourquoi je suis confuse et

je m’excuse de vous parler aujourd’hui

de rupture et d’ouverture…

La rupture, elle est entre vos mains :

voici une nouvelle formule de notre

désormais traditionnel Rendez-vous,

devenu, pour l’heure : A La Une.

Tout y est changé, pour le mieux, bien

sûr : format plus maniable, graphisme

actualisé, nombre de pages augmenté.

Voilà pour la part visible…

Mais l’essentiel est ailleurs :

c’est l’ouverture.

Nous nous y efforcerons, tout en

présentant notre activité, nos projets ou

nos ambitions, d’y faire une place de plus

en plus importante à nos partenaires,

nos clients et, plus généralement,

à notre environnement social,

économique ou culturel et à tout ce qui

contribue à l’attractivité de la métropole

et de la région.

Mais, si c’est une nouveauté dans notre

modeste journal, cela ne fait que traduire

nos démarches et nos pratiques en tant

que lieu de congrès, d’expositions ou de

spectacles... Ainsi avec Créer, Sifer,

Tissu Premier, EuroBio, ou VAD...

ou plus ludique et à venir : Mika, Justice,

Gad Elmaleh, Liane Foly, Calogero et

encore Tokio Hotel.

En somme, étant médiateur entre artistes,

spécialistes et grands publics de tous

horizons, Lille Grand Palais est, par

vocation, ce lieu de l’ouverture dont notre

périodique veut être le reflet.

Un lieu magiqued’ouverture et d’échanges

Dorothée Da SilvaPrésident Directeur Général de Lille Grand Palais.

2008 - 2012Ces années seront celles d’un plangénéral d’aménagements : chaqueannée, 800 000 à 1 000 000 d’eurosseront investis pour embellir etaméliorer la qualité deséquipements… et ainsiaccompagner la croissance de LilleGrand Palais qui, en deux ans, a vuson chiffre d’affaires augmenterde 37%.Un plan global qui prendra encharge l’ensemble du bâtiment, envisant une réelle homogénéitédécorative, en respectant l’audace

et l’originalité du lieu, et surtout,en développant ce qui apparaîtcomme une de ses qualitésmajeures : une adaptabilité quipermet de répondre aux demandesles plus diverses et d’accueillir desmanifestations de toutesdimensions.

La rue d’accueil…Elle sera une vraie rue aupremier trimestre 2008, et nonplus cet espace indifférencié quenous connaissons aujourd’hui !Une rue de 7 mètres de large,

ouvrant directement sur le parvisde Lille Grand Palais et nettementséparée des autres activités qui s’y tiendront ; une rue bordée par 8 salles de 200 à 850 m2,totalement autonomes, disposantd’équipements audiovisuelspermanents, de kitchenettes,offrant une décorationchaleureuse et high-tech dans unmaximum d’éclairage naturel.

Un ensemble parfaitement adaptéà l’incentive et à toutes formes derencontres ou séminaires.

Loisir

« Rien ne va plus »Prévue à l’horizon 2009, l’inauguration du Casino Barrière est décisive pourl’attractivité de la métropole: il attirera un public venu de toute l’agglomération,élargie jusque Tournai et Courtrai, de l’Eurorégion et de l’Europe du Nord, maisaussi de la région parisienne, puisque Paris, qui n’a pas de casino, n’est qu’àune heure de TGV.

Elle est une étape symbolique dans la véritable révolution culturelle entaméedepuis que le lancement d’Euralille a fait de la ville un carrefour à l’entréede l’Europe septentrionale, en concrétisant sa vocation à devenir un lieud’animation disposant de structures permanentes.Permanentes et, aussi, prestigieuses, à en juger par le projet : rien moins quele deuxième casino de France, un coût estimé à près de 100 millions d’euros,une architecture légère et aérienne, imaginée par Jean-Paul Viguier, 22000m2

dont 9 000 dédiés aux jeux…Mais aussi, une salle de concert et un nouvel hôtel **** qui, avec ses 119 chambres et 19 suites, viendra enrichir le parc hôtelier de prestige de laville, à proximité immédiate des gares et de Lille Grand Palais.

Et, en attendant 2009…Le groupe Barrière veut faire patienter les joueurs…Il sera bientôt possible de se détendre, et peut-être même de gagner, dans le Casino provisoire installé dans l’Atrium du Parvis de Rotterdam, entre la gare Lille Europe et Lille Grand Palais. 1 700 m2, dont 900 destinés aupublic. 2 étages, 10 millions d’euros d’aménagements ; un restaurant pour 45 couverts ; une centaine d’embauches ; une scène… pour un public attendunombreux.

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[ D u c ô t é d e c h e z ]

Culture

Pinault au TRIPO…Le TRIPO, c’est le nom familier du Tri Postal, devenu, entre les gares Lille-Europe et Lille-Flandres, un des hauts lieux culturels de la région depuis Lille2004. Sur un parcours de 6000m2, il accueille, du 16 octobre 2007 au 1er janvier2008, des œuvres de la Collection Pinault, présentées pour la 1ère fois en Franceet jamais encore exposées au Palazzo Grassi de Venise, siège permanent de laCollection. Intitulée Passage du Temps, l’expo, organisée à l’initiative de Lille3000, présente plus d’une centaine d’œuvres illustrant la volonté contemporainede recherche de sensations et des matériaux nouveaux; des oeuvres dont, selonDidier Fusillier, Directeur de Lille 3000, «30% n’ont jamais été vues».

Chagall à la Piscine…Le Musée d’Art et d’Industrie de Roubaix… Soyonssimples, disons « la Piscine », comme tout lemonde… ce qui rappellera qu’il est bon, aussi,d’admirer ce chef-d’œuvre qui, en son temps, fut « la plus belle piscine d’Europe»…La Piscine, donc, consacre, à partir du 20 octobre2007, une exposition consacrée à Chagall et laCéramique. Joliment intitulée « La terre est silumineuse », cette exposition rassemble plus de 200 œuvres uniques - car,à la différence de Picasso, Chagall a toujours refusé le principe de l’édition -où s’exprime une imagination singulière, tendre et pleine d’humour.

métropole

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EUROPE > FRANCE > LILLE

L’annee des records....

D’abord, SIFer, seul salon fran ais

exclusivement dedie au ferroviaire organise

pour la 3eme fois a Lille.

Cru exceptionnel pour sa 5eme edition avec une

progression de plus de 15% du nombre de

visiteurs et l’extension significative de sa

surface d’exposition.

Cru exceptionnel surtout, puisque cette

annee, le sifer 2007 a depasse les frontieres

de l’europe avec ses 37 pays representes.

Et puis, aussi, un petit nouveau qui n’a rien a

envier des grands : en septembre dernier, s’est

en effet tenu a lille un salon inedit en France

par ses dimensions euro-regionale, un salon

dont les medias ont largement fait echo :

le salon creer !

nementsév

é

SALONS

Qui sont-ils ? Où vont-ils ?...

Créateurs, repreneurs,futurs cédants,

commerçants, artisansou chefs d’entreprise...

Bienvenue aux quelques

17 000 visiteurs du salon « Créer » !

17 007 visiteurs, 225 exposants, 150 ateliers pratiques, 250 intervenants, la présence detous les professionnels impliqués

dans la création, le développementet la reprise d’entreprises,

8 000 m2 pour 8 vallées thématiques destinées au grandpublic et professionnels, un colloque réunissant des expertsvenus de 12 pays européens, …

en chiffres:

Créer :belle réussite pour une première !Les organisateurs tablaient sur 7 000 à 8 000 visiteurs.Au final : 17 007 entrées ! Plus du double ! Un coup de maître pour un coup d’essai, une éblouissanteréussite pour un salon inédit dans la région.

Initié par le Conseil Régional du Nord - Pas de Calais et laCCI Lille Métropole, soutenu par de nombreux organismeséconomiques, associations professionnelles et collectivitéslocales, organisé par Lille Grand Palais, CREER s’est voulu letémoignage et le moteur de la véritable révolution culturelleque la région est en train de connaître. Elle veut en effet développer l’esprit d’initiative et devenirleader en matière de création d’entreprises, avec pourobjectif 15 000 créations en 2007 (et ceci après uneaugmentation de 50 % de 2001 à 2006). Pour cela, ont été créés et développés de nombreux dispositifsd’accompagnement : ainsi se dessine la Créativallée , ce pays où les projets poussent plus vite…Les enjeux de l’événement, son ampleur ont enthousiasméet mobilisé les équipes de Lille Grand Palais qui, cette foisencore, s’est positionné non seulement comme vitrine maisaussi comme acteur du développement euro-régional.

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CREERs’imposecomme unévénementmajeur :- il a accueilli plus de 17 007

visiteurs, soit 3 000 de plus

que le salon lyonnais dont

c’est la quatrieme edition...

- 23% de visiteurs sont venus

d’autres departements,

8% d’Ile de France...

- 20 nationalites representees

- pres de 30 000 rencontres

« utiles »

- environ 7 000 engagements

ont ete pris de fa on ferme

pour des informations, des

demarches ou des actions

ulterieures...

Une 1ère éditionpleinement

réussie !

Sifer :l’autre record…2007, année des records sur rail : un peu plus de deux moisaprès les 574,8 km/h du TGV, SIFER, le seul salon françaisdédié exclusivement au ferroviaire, battait lui aussi, à LilleGrand Palais, ses propres records.C’était un peu prévisible : Mack Brooks France, filiale duleader mondial dans l’organisation de salons ferroviaires,associe l’implantation de SIFER à Lille, en 2003, à sondéveloppement et à sa réussite, tant en termes defréquentation que d’attractivité.SIFER est aujourd’hui LE rendez-vous européen desprofessionnels et industriels du ferroviaire, un rendez-vousdont l’importance est reconnue par le parrainage duMinistère des Transports et le soutien des opérateursferroviaires nationaux. Le nombre croissant des exposants(282, contre 260 en 2005) a d’ailleurs imposé cette annéed’installer le salon sur deux halls d’exposition (12 300 m2) de Lille Grand Palais, d’où une très agréable impressiond’espace pour les exposants et les visiteurs.

Un salon résolument international…

Des visiteurs professionnels en nombre croissant (3 500 contre 3 000 en 2005, soit une augmentation de plusde 15 %) dont le tiers d’étrangers, confirme la vocationinternationale de la manifestation. On notait, par exemple,une importante délégation de BKM - entreprise russe, undes plus gros fabricants mondiaux de wagons - ou encore leDirecteur des chemins de fer turcs.

On retrouve la même proportion chez les exposants, avec,pour la première fois, une entreprise chinoise. Dans tous lesmétiers de l’industrie ferroviaire, de la décoration intérieureà l’entretien, de la signalétique à la motorisation, ducontainer à l’aménagement des voitures voyageurs, desleaders mondiaux sont présents. Et même, cette année, avecINFRA-Sifer, s’est tenu un véritable salon dans le salon : surune véritable voie ferrée sont mis en scène les matériels deconstruction, de maintenance et d’équipement des voies.

…et qui bénéficie d’un fort ancrage régional.

D’abord parce que, sous la bannière Northern France, unesoixantaine d’exposants du Nord - Pas de Calais/Picardieprésentaient leurs innovations. Également par le partenariatétabli avec i-Trans : ce pôle de compétitivité régional àvocation mondiale regroupe 40 entreprises et institutions,privées et publiques, implantées dans notre région, leadernational en matière ferroviaire. Ce partenariat aura permisun programme de conférences et tables rondesexceptionnellement riche. Cet ancrage est sensible, aussi, dans l’engagementd’institutions comme le Conseil Régional du Nord - Pas deCalais dont le Président, Daniel Percheron, a ouvert le cyclede conférences. Il est enfin sensible dans la volontéd’associer la population à l’événement par la présentationau grand public des nouvelles rames des trains régionauxAlstom et Bombardier grâce à une exposition en gare de LilleFlandres organisée, pendant SIFER, à l’initiative de la SNCFet du Conseil Régional du Nord - Pas de Calais.

Une synergie et un accueil qui donnent envie de revenir : plusd’un tiers des exposants présents ont déjà réservé leur standpour le prochain SIFER, en juin 2009, à Lille.

Rendez-vous l’année prochaine en septembre pour la 2ème édition !

Comprendre, prévoir, « Success Story »

un peu, beaucoup, passionnement.

les clients s’engagent et le prouvent !

Extraits de reussite...

Exigence et professionnalisme au service du client

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Pour diriger Norexpo : Josiane BALISTAIRE.

Lille Grand Palais : Entrer dans une grandestructure comme GL Events, n’est-ce pas perdreun peu en liberté d’action ? J. Balistaire: Cela m’inquiétait au début, mais GL Eventsm’a laissé une grande autonomie. J’ai vite compris quecela permettait d’aller plus loin dans mes projets. Par exemple, l’implantation de GL Events à Lyon, où setient le Salon SIRAH, avec ses 1 900 exposants, ses49 000 visiteurs a entraîné le soutien des collaborateurslyonnais. Leur expertise nous aidera pour l’organisationdu SIAHM , le salon des Métiers de Bouche, qui setiendra à Lille Grand Palais en 2008.

LGP : Une crise de l’activité Salon s’annonçait,avec le développement des grandes surfacesspécialisées et d’internet qui permettent l’accèsdirect aux informations sur les produits …J. B. : Internet est un outil indispensable etcomplémentaire : pour un salon très spécialisé, commecelui du Scrapbooking, tous les animateurs,congressistes, formateurs ont été trouvés grâce à desblogs avant d’être contactés de façon classique.

Mais certaines questions ne peuvent trouver uneréponse que par une rencontre concrète avec leprofessionnel, c’est là le rôle du salon.

Bien sûr, il doit évoluer. Les alignements de stands nesuffisent plus, il faut permettre l’accès à une information,pratique, certes, mais aussi législative, technique,scientifique. Plus de salons sans conférences, ateliers,tables rondes. Et cela pose problème: pour un contenuinformatif solide, il faut des intervenants de haut niveau,et, évidemment, les payer. Le coût de l’organisationaugmentant, je souhaite entamer avec les établissementsd’hébergement, une réflexion sur la façon dont ils peuventaccompagner les organisateurs face à ces nouvellescharges.

LGP : Qu’est-ce qui fait, selon vous, l’intérêtmajeur de votre activité ?J. B. : Elle permet un panel d’activités riches et diverses.Il faut observer un monde en mouvement, cerner lesbesoins et créer les salons qui correspondent. D’un côté,dans l’opérationnel, il faut être très organisé : un salon,c’est une foule de petits détails qu’il faut gérer en étantréactif et disponible. Et d’un autre côté, loin desexigences pratiques et techniques, chaque salon estl’occasion de découvrir un secteur d’activité et derencontrer des personnalités originales. Ce métier, c’estune grande passion, et ça, c’est vraiment « génial » !

LGP : Avez-vous du temps pour les loisirs ?J. B. : Evidemment, j’en ai peu… J’aime les arts, etparticulièrement l’art contemporain, c’est pourquoi, en2004, j’avais créé Lille Art à Lille Grand Palais. Et surtout, tradition familiale, j’aime la musique.

{Zoom}

Norexpo est lilloise,

lilloise depuis longtemps

Souvenez-vous : les années 60 et

après.

La famille Bouchery était à la fois

loueur d’espaces, avec les bâtiments

de la « Foire Commerciale », et

organisateur de certains des salons

qui s’y tenaient, avec Norexpo, créée

il y a presque 80 ans.

En 1997, alors que les salons et les

foires traditionnels s’essoufflent, G L

Events rachète la petite structure,

alors « propriétaire» de 3 salons, et

s’installe à Villeneuve-d’Ascq.

Aujourd’hui, avec ses bureaux au

milieu des arbres de la Z.A. des

Moulins, Norexpo, forte d’une

douzaine de collaborateurs, organise

une vingtaine de salons, grand public

ou professionnels (Cités 991,

Construire au naturel, Amenago,

Plaisirs créatifs, Enviro Nord, Sitech...).

• 1 café culturel • 3 jours à Lille • 5 ministres • 9 départements + 1 paysvoisin • 25 mètres de tunnel blanc pouraller aux séances plénières en écoutant le chant des baleines • 40 hôtels pouraccueillir les participants • 110* personnes sur place pour les repas • 140 partenaires • 140 réunions ( plénières, ateliers, micro conférences) • 150 exposants • 170 conférenciers etintervenants • 250 corsaires venus deDunkerque à bord de leur galion pour initieraux rites carnavaleux • 320 mètres linéaires de pendrillons • 2 000* bouteilles d’eau • 3 500 nuitées• 4 000 participants • 7 000 m2

d’exposition • 6 000* repas servis à LilleGrand Palais • près de 20 000* assiettes,20 000* verres, 20 000* couverts complets• 4 000 000 d’euros, environ, d’impactéconomique direct pour la métropole, etbien plus, évidemment, si l’on inclut lesdépenses privées des congressistes etaccompagnants...

* Source : Établissements Lecocq, traiteur en charge duCongrès.

gérer et réussir ! à la lilloise !

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Il aime sa régionMais il voulait plus… et il lui a fallu parfoisvaincre des résistances.• Ainsi en bon dunkerquois d’origine, il aréussi à faire venir à Lille Grand Palais,Dunkerque et son Carnaval.• Pour associer au congrès lillois un souvenirspécifique, le cadeau d’accueil s’orne de nossymboliques beffrois.• Les accompagnants sont invités à desdécouvertes gastronomiques et touristiques.Il aime sa région, et voulait que ce congrès enmontre la vitalité et le dynamisme, alors illance un défi amical : faire mieux queToulouse lors du précédent congrès : plus departicipants, plus de ministres, unpourcentage plus élevé de professionnelsrégionaux...

Joindre l’utile à l’agréableAvec les experts comptables passionnés decyclisme, il a voulu que la randonnée qui relieles villes de congrès ait, ici, un éclatparticulier : il a obtenu que la dernière étapesuive la «route du Louvre» reliant Lens à Lilleet que des motards de la GendarmerieNationale ainsi que des championsrégionaux ou étrangers accompagnent lesparticipants.

C’est aussi cet amour du sport qui l’a conduità faire que La Société Générale invite lesparticipants au congrès passionnés de rugbyà assister dans une des salles de Lille GrandPalais, à la retransmission sur grand écran

d’un quart de finale de la Coupe du Monde.Boulimique, touche à tout parfoisdérangeant, il veut accompagner ceux qui ontdes idées et donner de l’éclat à la région.

D’emblée, la couleur est annoncée: l’escalier quile conduit à son bureau est monté quatre à quatre.Gagner du temps, bien sûr, mais aussi parce qu’ilbondit là où d’autres ne font que monter… Il sedégage de lui une stupéfiante énergie, et l’on sentbien que le congrès qui se préparait alors, conçupar les instances nationales de l’Ordre, seraitaussi marqué par ce que Régis Gossaert veut fairepasser de la région, de sa vision du métier, etmême de son amour de la vie et de l’action.Il n’est pas organisateur - c’est ECM Associationqui organise - mais il a, évidemment, pris un vifplaisir, en tant qu’hôte, à se retrouver au cœur de

l’organisation.Sa volonté de «dépoussiérer la profession» rejointcelle des instances nationales et il se félicite duprogramme des conférences, ateliers ou«kiosques» consacrés aux problématiquesnouvelles nées des évolutions techniques etréglementaires, de l’ouverture européenne, desmissions de conseil et d’assistance assuméesaujourd’hui par la profession.Conscient de la nécessité de séduire et d’attirerles jeunes, il se réjouit de tout ce qui pourra, grâceà ce congrès, valoriser « la marque expert-comptable».

Juillet 2007 : Interview de

régis Gossaert, Président du

Conseil Régional Nord - Pas de

Calais de l'Ordre des Experts

Comptables, 3 mois avant

la tenue de leur Congrès

national à Lille Grand Palais.

Mais cette interview est vite

devenue...

Une Rencontre avecRégis Gossaert

Experts Comptables: le 62ème Congrès NationalC E C O N G R È S S ’ E S T T E N U D U 4 A U 6 O C T O B R E 2 0 0 7

Port

rait

Le Congrès National FO, à Lille.

Une fois de plus, du 25 au 29 juin 2007, Lille a été lecentre de l’actualité nationale. Après le Congrès de laCGT, celui de l’UNF, Lille Grand Palais accueillait leXXIème Congrès de FO, la troisième organisation syndicalefrançaise, un congrès qui a vu à la quasi unanimité, laréélection à sa tête de Jean-Claude Mailly. Mais au-delà de l’intérêt social et politique del’événement, ce congrès a été pour Lille Grand Palais

une formidable manifestation de savoir-faire. FO lui a en effet confié la totalité de l’organisation, orle congrès FO est, par le nombre de sesparticipants, le premier congrès syndical deFrance. Imposante organisation puisqu’aux déléguésnationaux s’ajoutent des représentants de 20 nationalités, soit 3 200 personnes à accueillir.D'importants moyens ont été mis en place pour assurerune place assise à table à chaque participant pour laplénière ; les 24 000 repas sur place ; les déplacements ;

la retransmission en direct du congrès sur le net ; lacoordination de l’action des divers partenaires etfournisseurs… La totalité du bâtiment, Zénith comprisa été exploitée et aménagée en fonction d’un cahierdes charges très précis. Ce fut, pour les équipes deLille Grand Palais, une première dans l’organisationd’une manifestation d’une telle ampleur. A l’arrivée, une réussite telle que FO va lui confierl’organisation de son prochain congrès qui,pourtant, ne se tiendra pas à Lille !

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ORganisationde SAlonsORSA EXPO : entreprise créée en 2001par deux (jeunes) anciens del’événementiel, Ali Arab, qui animel’agence de Montpellier, et SébastienBoissy, celle de Lille.« On a commencé avec rien, et on estaujourd’hui propriétaire de notrematériel » dit avec une discrète fiertéSébastien Boissy. Il parle aussi del’avenir : des futurs bâtiments destockage à Ennevelin, de ladiversification avec l'intégration d'uneunité de prestation de service Audio-Son et du développement de l'activitédans toute l'Europe, surtout enBelgique, et en Grèce aussi. Dans la région et en France, denombreuses entreprises ou institutionsrecourent déjà à ses services pour dessalons ou tout autre événement.Lille Grand Palais est un de ses trois« gros » clients : ORSA y intervient, pourl’installation ou la création et leconseil en mise en scène auprès desorganisateurs, pour 70 à 80 manifestationspar an. Quasiment au quotidien.

Macarons (pour environ 10 personnes)

- 125 gr de poudre d'amandes - 225 gr de sucre glace- 4 blancs d'oeufs - 30 gr de sucre semoule- Colorant

- Mélanger le sucre glace et la poudre d’amandes. Tamiser.

- Monter très fermement les blancs d’œufs avec le sucre semoule.

- Verser en pluie le mélange amandes-sucre glace sur les blancs en neige.

- Mélanger à la spatule jusqu’à ce que l’appareil soit souple et brillant.

- Colorer l'appareil à macaron selon les parfums et utilisations.

- Dresser à la poche à douille uni sur tapis de cuisson en silicone ou sur papier cuisson sulfurisé: former des boules de 7 cm de diamètre pour les grands macarons et 3-4 cm pour les petits.

- Tapoter légèrement la plaque du four et laisser reposer à l’air libre jusqu’à obtenir une légère croute.

- Cuire à 180°C (12 minutes pour un gros macaron et 8 minutes pour un petit).

- Refroidir les macarons et les décoller.- Souder les macarons 2 par 2 en les

garnissant avec un intérieur de votre choix.

YANKA, Traiteur.

« SIFER, c’est un an et demi depréparation, de concertation entre

les organisateurs, Lille Grand Palais et nous,qui avions en charge l’installation.Un an et demi, c’est long, il y a de fortsrisques de dispersion, voire de perted’informations. C’est là qu’il faut de la rigueuret un grand sens de l’organisation poursatisfaire le client, Mack Brooks, enl’occurrence. Celui-ci, conscient de ladimension internationale de SIFER, était trèsexigeant sur la qualité des finitions et dumobilier fourni.

Et, au final, nous avons eu peu detemps : les espaces destinés à

SIFER accueillaient, juste avant, d’autresmanifestations et il fallait tout installer, sur

les 12 300 m2 des Halls Paris et Bruxelles, en une nuit et un jour pour permettre lafinalisation des stands par les exposants. Un sacré challenge !

La mise en place du ballast destinéà recevoir, sur rails, des matériels

lourds, a commencé alors même que le salonprécédent n’était pas totalement débarrassé,et près de 80 personnes ont travaillé à la posedes moquettes, au montage des stands, aux installations électriques et à lasignalétique. Le démontage a été plus «cool».

Pour le Congrès de Force Ouvrière, où la totalitéde Lille Grand Palais était exploitée, c’estaussi une équipe de près de 80 personnes quia été mobilisée… »

DebriefSébastien Boissy, Directeur Général d’ORSA Expose souvient :

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Lille Grand Palais 1, boulevard des Cités Unies59777 EURALILLETél. 33 (0) 3 20 14 15 16 - Fax. 33 (0) 3 20 14 14 14Internet : www.lillegrandpalais.comE-mail : contact@lillegp.com

Directeur de Publication : Dorothée Da Silva

Comité de rédaction : Aurélien Binder, Mikaël Henriot, Benoît de Boisredon, Sylvain Caucheteux, Philippe Crépel, Vincent Fourmentraux, Christophe Gabreau.

Rédaction : Michel Bernaert

Création-conception : Aurélien Binder, Mikaël Henriot

Dépôt légal : octobre 2007

N° ISSN 1630-179 XImprimé sur papier recycléCrédit Photos :

Maxime Dufour Photographies, Lille Grand Palais,Mack Brook, ORSA, Michel Legay, Kira Perov (pour Bill Viola, Going Forth By Day), Tim Noble and Sue Webster, Casino Barrière

dont une a plus de 40 ans de pratique… B. Lahache : Et nous sommes passés de 13 à 22 personnes en moinsde deux ans, en formant des jeunes ou en embauchant. On a, par exemple,accueilli récemment un « Compagnon du Tour de France ». C’est dire sinous restons avec une haute ambition de qualité.

…et sur leurs perspectives.

B. Lahache: Nous avons ouvert, depuis peu, deux boutiques : à Marcq-en-Baroeul et à Lille. Un concept original qui permet à tous les publicsde renouer avec Yanka par une présence effective en ville. Nouscontribuons aussi à l’économie régionale en créant des emplois, enfaisant travailler des entreprises proches, même nos emballages sontfabriqués dans la région ! M. Couvreur : Et si nous nous implantons dans d’autres villes, nous ytransposerons notre souci d’excellence, en nous appuyant sur le local.

Chez Yanka, Lille Grand Palais, ils connaissent, habitués qu’ils sont ày travailler pour la fourniture de petits repas ou par l’accompagnementd’événements exceptionnels, la présentation de cocktails, en passantpar les prestations des personnels de service.

Benoît Lahache, Directeur Général, et Maxime Couvreur, Président,nous parlent de cette collaboration.

M. Couvreur: ce travail est très exigeant car connaissant notre créativité,les clients lancent parfois leurs demandes un peu tard : il faut une trèsgrande réactivité…B. Lahache : surtout que nous n’utilisons que des produits frais : celanous impose de travailler, en gros, de 3 à 9 heures du matin sur lescommandes pour la journée. En plus, des produits frais, ça voyage mal :c’est l’avantage de notre implantation locale : tout est préparé ici, ettout est livré dans un temps très court.

Ils s’expliquent aussi sur le nom de leur entreprise, synonyme de traditionlilloise…

M. Couvreur : Ce nom «Yanka» est très connu ici ; jusque 2005, c’était,rue Nationale, un des «must» à Lille, et depuis plus de 100 ans. La légendedit que Yanka est le prénom de la fille du fondateur, un pâtissier venud’Europe Centrale ; difficile de savoir si c‘est vrai… Mais ce qui est sûr,c’est que reprendre un nom si connu, c’est s’imposer l’excellence…C’est pourquoi nous n’avons pas repris que le nom : c’est toute l’équipehistorique de l’ancienne maison Yanka qui nous a rejoints ici, 13 personnes,

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