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Samedi 16 M»r« (H07 ' .1 V i fViViiiii'iîjj . i'.«‘ü.nii" ‘" tr^ : i ••, •*! H.j 1.1111 <•• ipiniémle», ier dernier.) * Jftt* :b B . K'AIlàlKIKKnKWV : ,, '. Un a n ..... 9f.»» Poija iA ViLiK.* ».. [ six mois . , ■5 ,»* Pour lk Département { gft nîpis ’ ’ . *5 50 no«8WPÀ*«*»*m [ Si" moi» : : ‘* ' ï i m is de* issKUTio*» ■ ANNONCÉS JUDICIAIRES., 20 c. la ligne. ANNONCES DIVERSES,. . 20 id. ANNONCES JUDICIAIRES Ce Journal parait << xpédilion Panant fils; t, 2) Scnlis», nul, h Uéro; on; Garbet- les Samedis, SEM-IS Al» sellai a eu lieu M uibvumiu ., «... — I-.-J-------- ----- consulte proposé par le le Gpiiveineioenl cl uipçudc pai la commission. M. de Persigny. que lo u a appelé à juste litre lé doctrinaire de l'Empire, a exposé, dans un discoure j , i,, p.! nar le i géné- Srable, i atours lisante, lodéra- lkd ne qu'elle C 'n m p d e d lo n » . ÉS RURALES Voici la désignation dos quatre divisions qui composeront irméc placée, en 1807. sous le coiuniandcmciil en chef ne Economie FEUILLETON. lü) FEU ROUSSELOT ors. — Le marché roviiionnc; la renie i Je grain* invendu* i »», 2* qualité 33 **■ ililé 24 15, 2* qualité le* 100 kil. 20 ... — 50, 2* qualité 20 50; i 8 . . . — Pomme* de 32 Foin 40 » . ualité 35 c. le kil., vnchot fr. c l‘fr. 60. r connais rien à ces ËGN1ER. lx/oceucc d« son père. Vainement il sollicita une entrerne; en lot rerusa I autorisation de voir le prisonnier. ' v Lambert conféra longtemps avec son avocat d'ofllce ; II lui raçettU «a vie et la ssinte cause qui l'avait conduit au crime.

ANNONCES JUDICIAIRESbmsenlis.com/data/pdf/js/1864-1869/bms_js_1867_03_16_MRC.pdf · s'il n’ont.pas de colliers indiquant le nom du propriétaire; s'iLs sont porteurs d'un collier,

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ANNONCÉS JUDICIAIRES., 20 c. la ligne. ANNONCES DIVERSES,. . 20 id.

ANNONCES JUDICIAIRESCe Jou rn a l p a r a i t <<

xpédilion

Panant fils; t , 2) Scnlis», nul, h Uéro; on; Garbet- les Samedis,

S E M -IS

Al» sellai a eu lieu M u ib v u m iu ., « . . . — I-.-J-------- -----consulte proposé par le le Gpiiveineioenl cl uipçudc pai la commission. M. de Persigny. que lo u a appelé à juste litre lé doctrinaire de l'Empire, a exposé, dans un discoure j , i,, p.! nar le

i géné- Srable, i a t o u r s lisante, lodéra-lk d ne qu'elle

C ' n m p d e d i à l o n » .ÉS R U R A L E S Voici la désignation dos q u atre divisions qui com poseront

irm éc placée, en 1807. sous le coiuniandcm ciil en chefne — Economie

FE U IL L E T O N .lü)

FEU ROUSSELOT

ors. — Le marché rov iiionnc ; la ren ie i J e g rain* invendu*

i »», 2* qua lité 33 **■ ililé 24 15, 2* qualité le* 100 k il. 20 . . . — 50, 2* qua lité 20 50; i 8 . . . — Pomme* de 32 Foin 40 » .

ualité 35 c. le k il ., v n c h o t f r . c l ‘f r . 60 . r

connais rien à cesËG N 1ER.

lx /o ceu cc d« son père. Vainement il sollicita une entrer ne; en lot rerusa I autorisation de voir le prisonnier. ' v

Lambert conféra longtemps avec son avocat d'ofllce ; II lui raçettU «a vie e t la ssinte cause qui l'avait conduit au crime.

Page 2: ANNONCES JUDICIAIRESbmsenlis.com/data/pdf/js/1864-1869/bms_js_1867_03_16_MRC.pdf · s'il n’ont.pas de colliers indiquant le nom du propriétaire; s'iLs sont porteurs d'un collier,

La seconde ries 59% 00', 05', 75' de ligue et 14* bataillon do chasseurs à pied.

La troisième des 85% 90*, 91% 98* de ligne cl 15' M aillon de chasseurs à pied.

La division de cavalerie se composera des 2‘ cl 7' hus­sards, 2' cl 5* lanciers.

HOBVEblÆS DÉPARTEMENT ILES.A l'occasion do l'anniversaire de la naissance du Prince

impérial; M. le ministre de la maison de l'Empereur et des beaux-arts o, àû-riorû de Sa Majesté, accordé des se- conrsYidftfiSjlQe.s les,départements de l'Empire français, aux parents des enfanté nés le 10 mars 1830, dont la posi- iion de forlunc csl précaire.

M. Barrillon, député, a élé nommé président de la com­mission pour l'examen du projet de loi ayant pour objet d'autoriser un échange de terrains entre l’Etat et les hospices èfvils de Provins (Seine el-Marne).

Un arrêté de M. te préfetde l’Oise, du 25 février der­nier* porte qu’à partir de ce jour, il est expressément défendu de laisser divaguer aucnn chien de quelque espèce q ull soit. Les personnes qui sortiront avec un op plnsicnrs chiens,des > tiendront on laisse ou muselés. Sont seuls exemptés les chiens de bergers ou les chiens de chasse accompagnant leurs maitres.

Les chieus non muselés trouvés errants, seront abattus s 'il n’ont.pas de colliers indiquant le nom du propriétaire; s'iLs sont porteurs d'un collier, ils seront mis en fourrière.

IVêsl défendu d'exciter les chiens pour les faire battre, d e les harceler et de les provoquer à la poursuite des .passants. / . \

aveu rhatii sornr deœ bare il avi sanl In fei pour dans prê» trou

Police correctionnelle de Seuils. IPaésiDRNCE dr M. Baucuart. I

Audience du' mercredi 13 maïs 1807. IEmilc-Gcorges Roman, âgé de 21 aus, uô à Clermonll

(Oise), ouvrier à l'usine de Monlataire, a commis un oq. I Irage public à la pudeur, cafsé les carreaux d'unediabila.l lion avec des boulesde neige, e t.a id éd cso n collaborateur!

-cl ami, Ufppolyle Baume,,âgé do 27 fins, il a talUapage-J lous deux oui troublé la tranquillité dos habitants de h | ^pmmune do Monjataire. Le tribunal, fàisâjij;|a juste ,parti de chacun, a condampô Roman en huit jours qè’ prison,! 40 frgn.cs d ’amende, Baume en 15' froncé d ’qrpënde'séulc | ment, cl.solidairement,aux frais. 1

— Pierre Ilippolyle-Alexandre Valla, âgé d e 50 ans, nél à Co(n)reville, cl Louis Cûôrin, âgé1 dé 30 an3,-né à iPdni.l point, (bus deux manotivriérs, démeûranl-â Lévignen, ont! ensemble cl de concçrl-commis dans ladite commune u n i Outragé public à la pudeur. Lé tribu nul, après avoir pcsél les torts de.chacun dès prévenus, qui Se sorti ménié dantl cèltc circonstance rendus coupables de coups ivplentaires,! îi condamné Guériit en trois semaines de prison, et Valtil fin quinze jours du la mérite peiné; ét (ou* derixsolidaire-l ment èt par corps en chacun 25 fr. d ’amende cl auxfrais !

- — François-Alplionse Ronnefiiy» âgé-de 45 ans, racnbi-l sicr, né cl demeurant à SénliS, après à voir Subi déjà del nombreuses condamnations pour vols, a cependant encore 1 commis une grande quantité de .soustractions au nréjudicel d’üri marchand de meublés do no*rè’:vtlle;! rriatelas^ oreil-l lerS, traversins, planches, couVertdrés, etfc.y ripn .n'était! épargné p a ria i. Mais trop côbritt Senlis ,ponr pouvoir! placer iuhmêmc ces m archandises; qtioiqu’à v i l prix, il! S’est arrangé rivec une'bro6ariiedgB, Gélesline Prévost,-figée! de 58 âijs, dite femme Vinét, demeurant à Senlis, qui s’est I chargée d’écoUlerlcs objets idtôs, moyennant' nu salaire! très rondelet. Le trafic ayant étéMécouverl au plus fort du I succès, le tribunal a aujdürd’hili dbnné!à chacnn selon son I mérite. Bonnefoy, qui Se Irouveeu étal de récidive légale,I à élé condamné en trois années d'emprisoqnemeni, etl Célestine Trevnst en six mois de là môme peihe; tourf deuxl ont été condamnés solidairement et par corp&auli dépens.I

— Jean-Baplislc Dupont, figé de 18 ans, né à LévigncuJ manouvrier, cl Gaston Mafneier. âgé de 21 aps, né à Crépy,| serrurier, demeurant à Crépy. pour terminer les’.plriisirsl du dimanche 3 mars, auraient vôiilu ne pas rentrer dans I leur domicile , mais les hôtellerie* fiaient .ferméesi-‘ Le! garde-champêtre agent de poiièo.delà ville de Crépy Tint! donc les engager à ren trer cltox eux. pour pouvoir le len-1 demain• vaquer à leurs occupations; mais ses conseil*I furent accueillis - par des injurés et des. outrages qui I se changèrent bientôt on- violences cl côups. Dupont I surtout: se comporta on ne peut plus étourdiment. I.el tribunal condamne doue Dupont en Irojs semaines del prison cl Msncier en huit jours, de prison. Tous deuxonll élé condamnés solidairement cl par corps aux frais. ]

— Juleç-Alcxis I.enoble, âgé: de 10 ans et demi, rocher, I né et demeurant aujourd'hui à Taillefontûine, était; il y aI peu de temps, coèhcr chez le sjçur Planton, louager à Senlis. Ce jeune homme, qui déjà avait: subi, tout jeune qu’il csl, deux graves condamnations pour vol, a recom­mencé à se livrer à ce commerce, et en très peu de jours a commis de nombreux vols qu’il avoue, car il a élé trouvé nanti d'une partie des objets soustraits. Le tribunal | condamne Letioblc en dix-huit mois de prison cl aux1 dépens.

Etat civil de Senllw.Naissances.

Mignière (Lénn-Viclor).Lemninc (Aimé-Louis-Josepb).Agiy (Maric-Victoire)

Mariage.M. Vincent (Léon), et mademoiselle Frémont (Maria).

Décès.Brcbanl (Elisa), femme Foucret, 05 ans 7 mois. Poidevin (Zéphiriu-Léon), 49 ans. S? 'Hebbc (Balhilde-Eméc), veuve Renauid, 72 ans.

Dans notre dernier numéro, nous avons annoncé la mort de M. le baron de Navry, décédé au château de la Victoire. Aujourd'hui, nous sommes heuicux de pouvoir donner à nos lecteurs le remarquable discours prononcé sur sa tombe, le 8 mars 1867, par M. Mchaye, ingénieur des ponts et chaussées, membre du Conseil général de la Somme :

« Messieurs," La -mort agite sans cesse autour de nous sa faux

impitoyable, mais, pour être plus prévus, scs coups n'en .sont pas.-moins douloureux.

» M. le bacon de Navry, dont nous pleurons aujourd'hui la perle, était arrivé aux extrême* limites de la vie ordi­naire, et-scs. contemporains ont disparu presque tous : c'est pour cela qu'incombent à un de ses plusjCHues et derniers amis l'honneur et le devoir de venir prononcer su r sa tombe quelques paroles de respectueux hommage.

» Si je voulais vous entretenir de la jeunesse et de l'âge m ùr dc M. de Navry, il me faudrait parler de choses et do temps que. vous et moi ne connaissons guère que par trad i­tions; mais, il ne saurait servir de remonter si loin, quand nous pouvons trouver dans les jours d'hier amplement de quoi moliver nos éloges et nos regrets. Qu’il suffise donc de rappeler que les prémices de la vie qui vient de s'élein- dre ont élé consacrées à de nobles et importantes fonctions, et arrivons de suite à celte resplendissante vieillesse que M. le baron de Navry a su rendre si aimable, si utile et si respectée.

■ M. de Navry était un des derniers débris de la vieille société française et en avait conservé les traditions d 'ur­banité et de* haute cpurloipic; qu’on soit de pou temps, si on le vent, mais qq’ou avoue qu'il y avait aussi du bon chez nos pères, et souhaitons que notre génération pro­duise des vieillards aussi gracieux, aussi boqs et aussi bienveillants que l'était M. de Navry.

• Ges qualités ne sont d'ailleurs pas les sentes que nous ayons à louer ici.

» A côté de l'homme aimable, il y avait l’homme utile

Îut s'est employé jusqua scs derniers jours à la solution ii difficile, problème des mnchin 's agricoles, qui s’est

constamment préoccupé des plus hantes questions d'in­térêt social^ et qui a .laissé dans les conseils de la ville et de ta fabrique de votre cathédrale des souvenirs qu'il serait superflu de rappeler.-

• Celte cathédrale même, dont votre cité s'enorgueillit à si juste litre, contribuera aussi à perpétuer le souvenir de M. le baron de Navry, qui a si puissamment concouru à la restauration d'une de ses chapelles les plus importantes.

• ' Mais son souvenir aura encore un monument plus enviable dans le cccur îles' pauvres, car il était un bon riche. Ses aumônes, qu'il savait déguiser sous une appa­rence de rémunération de service rendu, doivent protéger sa mémoire sur cette terre et lui seront certainement comptées au tribunal de l'éternelle justice.

» Une vie si bien et si intelligemment remplie ne pouvait qu'être couronnée par uiie fin chrétienne, et c'est ce qui fait que nous ne pleurerons pas ici commd ceux qui n'ont pas d'espérance.

• Cher monsieur et ami, demandons d'avoir acquitté, comme vous l'avez fait, notre dette envers la société, en­vers les pauvres et envers Dieu, quand nous aurons à subir à notre tour la graiide leçon de la mort.

• Adieu, ou plulêl, dirai-jc eu chrétien et en catholique : A revoir! »

THÉÂTRE DE SEM US.

Lundi 18 mars, les artistes dramatiques, sous la direc­tion de M. Edmond Gorncnii, donneront : Ee.s Amours de Paris, drame en 5 actes et 7 lablcanx, du théâtre de l’Ambigu-Comiquc, par MM. Adplphc Dcntiéry et Lambert Thibousl. Ou finira par La Tirelire, vaudeville en un acte, du théâtre du Palais-Royal, par M. Cogninrd.

On commencera à 7 heùrcsl/4 précises.

Beanvais. — M. Delacroix-Paslurel, papetier cl marchand d’oruements d'église, rue du Ghâlel, à iteauvais, nommé libraire, par arrêté ministériel en date dit 9 mars courant, a prêté serinent en cette qualité jeudi, en l'au­dience dn tribunal de Rcauvois.

C h a m b iy . — On écrit au Journal do l'Oise :• La ville de Chambly a célébré dimanche dernier, avec

tout l'entrain des années précédentes, sa fêle du Bois Hourdy.

• Le temps le plus incertain, avec variations de 'pluie et de soleil, a singulièrement contrarié les préparatifs menés au reste sur tous les points avec une rare activité. Mais tout le monde a tenu bon, et on a triomphé de toutes les difficultés, mémo de l'inclémence du ciel, qui s'est du reste rassènéré Vers le milieu du jour, de sorte que le p ro­gramme a pu s’exécuter fr peu près à la lettre.

» A midi, une salve d'artillerie annonça le c<minx‘iicc- ment de la fêle. I.a musique de Chambly, précédée de sa bannière ornée des médailles conquises dans différents concours, — les champs de bataille de la paix. — prenait place sur une estrade. Elle a fait entendre plusieurs mor­ceaux qui témoignent bâillement des progrès incontes­tables qu’elle fait chaque jour sous l'habile direction de son digne chef, M. Agénor Taiipihard.

> Au même moment, on vit arriver les cavaliers, — un peu moins nombreux, il csl vrai, que l'année dernière, — revêtus de costumes aussi pittoresques qu’élégants, et le jeu de bague chevaleresque commença.

> M. le m aire, son adjoint et le couseiLinunicipal repré­senté par la majorité de ses momb: es,Ainsi que 1e jury,; se tenaient aussi sur une estrade, constatant scrupuleuse­ment les victoires et les défaites, et quand Induite fut ter­minée, les noms des .vainqueurs furent proclamés aux applaudissements de la foule. . ^ w

» Le char de l'industrie s'avança ensuite majestueuse­ment; il mesurait des proportions énormes, cl. pouvait; rappeler celles de l'arche de Noé, s'il n’eût pas été traîné; par quatre bœufs magnifiques. Au haut du char, sous une sorte de dais, apparaissait la déesse, un sceptre â la main : aucune autre n'eût mieux rempli ce rôle : eue a été rcmar-

C O U R i r A S S S S E S IM S U ’O l g E .

Présidence de M. DAVOST, conseiller a,la Cour Impériale d'Amiens. !

Audience du Lundi 11 mars 1807.A ffaireJoly. — Vol.

L c .? | décembre 1800, la fepinjo Ueti, couturière à Cpmpu^s. àvatf quitté sa maison à huit heufes du métin, pour se rendre en journée. Avant du Partir, elle avait

,soigneusement fermé sa porté et fies feriotres. Qiiand elle fèvjnt chez elle, vers neuf hoûrcs. è l tiëntié 0u s'oîr, elle trùiiva sa porte dans l'étal ou elle l'avait laissée; niais en entrant dans sa cuisiné, elle .remarqua qu’une lampe qü'ellè avait placée stif* une tablé était renversée, et que le verre d écrite lampe était cassé.. Elle pénétra dans sa chambre et constata qu'un màif.iUèur s*y étàil Introduit

Société d'horticulture de Senlis.La Société d’horticulturedcSeulisa commencé dimanche

, —JÙM!£.d®''cz être payé cher, cependant, et avec de . l'économie..?* _---------

— De l’économie... à ParisTTMJtMud 'm a r ie u se fixe cl qu’on est emporté chaque malin parifc^to‘, tbHlou--- pa« possible! Si j'avais |c pot-au-feu toujours'rnis d’avance, à j a bonne Hêure!1 Si je pouvais vivre suivant mes goûts, à la campagne...

— Si vous achetiez les Ormettcs?— Oui... mais il faut pour cela cent mille francs... cl je

ne les ai pas;., et selon toute probabilité, je ne les aurai jamais. i

— Qui peut prévoir l'Avenir, l'avenir surtout d’un a r­tiste? répliqua M. Jean.

s’exhaussant sur le marchepied, présentait son fronl â la 1 bonne sœur embéguinée qui lui avait servi de compagne.

Quelques paroles furent échangées, que Prospcr n’en- lendit pas, puis tin dernier baiser, et la capote de la voi­ture se perdit de nouveau derrière la haie des Ormettcs.

Irène entra dans t'enclos et tout d’abord, sans doute, voulut adresser, quelques questions à Baslien, qui refer­mait la barrière.

Le lourdaud redevint muet et s'enfuit en courapt vers la raqispn, après un nouvel accès de pantomime dont Prpsper. ccUe fois, çorapreriait parfiiiérii.ént la cause.

La jeune fille eut un étoriiicmcnl naïf, ét s’avança seule spusJes pommiers.

.MçiMlê s’ètail. jeté derrière un, gros .arbre, afin d’exa- mjnpr tout à Ipwir;là çoiisino du/cnusjn Mathieu.

Je n.pime pasie^ poVIrails : wpondari|;ïq.pe puis m ’em- > pêcher de vous dire qu'irene était gfandr, éf^ncéc;,qu'il i l fvpit. «MBS toutes ses pllurçs unq SKltè#q.imc‘omparablc et dans tous scs inouveménts une indicible gracilité. Lorsqu'elle fut un peu pjqs rapprochée dé fiii, Prospêr re­marqua l'adorable nuance blonde do scs cheveux, l’éclat de ses grands ÿèuX d’azur, là blancheur dé son tèint, l’in­carnat de ses jçues e t sprlqul de sos lèvres qui pouvaient rivaliser àvcé led cerises du verger. ' 1 .

Lorsque la jcu'ne fille arriva tout près .de l'arbrë qui .çadiiiil à ses regards le jndue arlisié,-il Se prit à penser que, de tons les bfeiis de ln:Bilepéi^ion RouSselot, lc plus précieux trésor ç'élail,assurément la cotisihe Irèqe! ', Elle ne croyait ê tre Vub dè pcrslôhne, cl coritihaail fi s’a-

.yànçér en Snûtilfani, bhjàazoüilljrrtt,1 rriilUi qu’une1 fauvette au bout d'fifie branche; TOot à èoup; cependant, elle aper- i ÇUtlc chevalet et le tableau, filundernPèr ho'ridjnsqiie-là.se pehcha gr'àcièuSemenl polir réganler de hhrS près, et jetant un cri d ’admifatiot) ; " !i ' !

Charles Drslvs.(La suite au prochain numéro.)

En ce moment, Bastien rapartil tout 6 coup, essoufflé, effaré, épouvanté.

— En voici bien d'une autre dit-il. Voilà raara’sclie Irène qui nous arrive de son couvent. Je viens d’apercevoir la carntde des bonnes sœnrs au bas de la côte.

— Irène? fil le vieillard avec émotion.Puis; après avoir un instant réflèclri :Au fait, murmura-t-il à demi-voix, cela vaut peut-être

mleox ainsi.Prdspcr, par discrétion, s’était remis à son tableau.

M. Jean donpa rapidement quelques instructions à Bastien e t les termina ainsi :

— M e t elle surtout, motus!— Comment! monsieur veut que mademoiselle Irène

ignore...— Non, mais je veux qu'elle soit instruite par un autre

qoé f h t ?ofdü malhéur qui la frappe. Va, cours!EL tandis que Bastien s'éloignait de toute la vitesse de

ses TÔriguçd jambes, M. Jean, se retournant veTs Frosper, lurfW bpasur l'épaule et lili dit :

— Il faut que vous me rendiez un grand service, mon cher artiste...

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en escaladant la fenêtre dont il iivail casse doux carreaux

nrmolrnfermèp * clef cjui «OjlMiatM,000 fr.l deux llro lf. d 'une commode étaient ohïerrs, et dans I ntl avait pria Ohe somme de 4 f r .5 0 c . appartenant B acblorsane.doaoiivtltaitle .la/enim f Hou.

Les soilnçons se portèrent immédiatement sur un nonmte Jnlv, jeunn Inmlrm; connu dans la cémmune_potir seshm liilW èi de parésSe él d'iwognerio; el'qoi atailndéjé -été

, ii*^8l^^lén 'a*çÆ ^rté ''cesisooptonsàel Mgr aC M tfM aveux complots. Il a reconnu que lo U ld tcem b re .d in j.la , rtàlinêe, sachant qtle la ferttme lieu avait une grosso' somme d'areont tn Mi possession, il avait concil ie prqiet deeemmetlre son crime;.qu’ilavail attendu.dans les ca* baréta que la nuit fût venue; que vers six heures du soir Il avait pénétré dans l'herbage- do is fammo Heu qbippuf; sont la porte qui élult oilireballléo el qu'ibavallla fenMlft 1 poor sftjïlj dans la.M

cé;é de la porte detlà m e et se éroïam surpns.*il qdalt'

prjo lv ,déc la ré coupable par lejury . a été condamné 4 cinq ans do réclusion cl 4 klnq.ans de surveillance.

M. de Maintenant, substitut, occupait le.sicge dit mmis- 1ère public.

M* Laffinenr, avocat, a présenté la défense.

F A X * E S D I V E R S .

Un projet d'assocjalion *’élaboreYi Mondidier. Un pour ut dé fëndôi' unè soçlèii1. coopérative de bonlangcrie. S’il inconïré urt M ttbhîimfnsanl d'adhérents, lea foiidnlMW i MiHIrdiit prédhatoémèhfpdur délibérer sur IVrgpni;

Salïolid^lirsoèiélô.T/WrncUÔns setaienWdelOQ tr.

— La Cour de cassation (chambre criminelle), présidée nar.M.. Valsse* a reietô le pourvoi formé p a rle nommé DemiaiieànlÿcWféïMU arrêt' dé jà emir assises de l'Aisne, m date auia.lÊvrièrdÈriiièr; dui l'a condamuô & la peine le ntort, ' pour Hfce d^ésiissïhal sur la personne de sa femme.

On lit' dans.le Propagateur de Monldidicr : A« Les Journaux des départements nous apprennent que

les sociétés coopératives, pour la fabrication du pain, se multiplient de plus en plus, et que, dans des localités où elles n’ont piis encore pu s’introduire, la taxe est sinonrétablie, du moins Vivement sollicitée. • , .

• Ces m esures'ont pour but de mettre^ le prix - du pain en rapport avec celui du blé, ce qui est loin d exister dans

— C'est leujoura le produit le plus demandé, le plus en faveur auprès du public, que les côdtrefucleurs prennent poitr peint de mire, lai C b o « o l « t - l lm le r eitest un exemple; son succès a fiiit naître aiev fabricants qui né

■ - leu r industrie est d habiller leur chocolat(n 'rVi>lbv;n li» nroniti-n n m i r il 11 ( jh tM M t*le prend™ pour du « it aie défendre de ces méprise# on lisant le

, ie Menier sur la tablette, et lion 'lotit* je consonnancc.

lIÉMORUnOIDES (m o n o g b a fb ib d e s ) l.c Docteur André LEBEL, Médecin consultant, 1 4 ,/me

dé V.Ecjiiquier, PÂws, lii-12, quinzième édiliqn, prix : 4 fr., en timbres posté. ;

La rapidité avec laquelle les quatorze premières édi­tions ont é té enlevées, dispense de tout éloge cettej mé­thode d’une élïiCacité si remarquable : La Presse médicale n é|ê unanime à la préconiser. Calme en 24 heures : « ‘te-, rison le plus souvent en quelques jours, sans aucuns dans gers.de répercussion.

Changement de domicile.M FOÜCART a l'honneur d’informer les personnes qui

veulent Lien I honorer de leur confiance pour ordres do Bourse, recettes de coupons et recouvrements de fonds, que son Bureau est transporté rue du faubourg Saint- Martin, n" 05, à Senlis. * \

— Le docteur ChOrchiil, au len rde la découverte des propriétés curatives des liypophosphilcs do chaux de soude, de fer, etc., dnnalés mnliidics de poitrine, vient de publier uir livre contenant des observations en faveurJt r...:... ... . ........ '. . .m l i.AtnliPil Uo vAliMlVllÔUpimilUI Uil livre ipuilliuuiii vv* .iw-w. .......m-dé son traitement par Un grand nombre de célébrité* médicales. (Prix : l fr. 5 0 ,2 - édition), chez Coccoz, 50. rue de l'Ecole dc-Médccine,'PaM». Envol franco contre timbre posté.

L’Inventeur seul rer.rfnnU par actes enregistrés do la N e p iu ii td e et de l’O c ë à t t t n e , spécifiques dont le sticcès est instillé par les beaux résultats chaque jour obtenus dans les cas de hernie et de maladie des voies uri­naires en général, vient enfin de«romprcl inoogmto gardé jusqu'ici. Aprè« avoir «soumis scs moyens curatifs 0 1 Aca­démie impériale de Médecine; après les avoir fait expéri­menter par plusieurs médecins des plus savants c l des nitis honorables; après avoir enfin acquis la certitude que ses spécifiques sonl dos plus bienfaisants 4 I économie loule entière, doués d’une puissance curative inconslei- lablc, il se décide 4 se produire au orond- jour afin de «rémunir le.pnblic conlro les contrefaçons. L inventeur doncso nommc MCnOU, cl n'a jamais vendu sa dééou- vcrlc 4 qui que ce soit. M.'MCHOÜ a confie la préparation « l ie débit de ses spécifiques pour M l k M M réserve pour l’étranger, exclusivement n M. LETAHI), pharmacien. Signaler hautement la véritable N e p tu n id c et l O f é a n i n e - K i r h o u , extraits de, plantes .à la id e desquelles nous «avons obtenu prompt soulagement, gué­rison radicale de hernies et'de maladies de la vcssje qui avaient résisté û l’emploi des médications les plus variées et les plus usitées, est pour nous vieux praticien, un devoir de justice et d'humanité. Ce devoir, nous le remplissons avec empressement cl sûreté de conscience, car nous sommes inspiré uniquement par l'amour de la vérité et .le vif désir d'être utile aux personnes atteintes des cruelles et dangereuses infirmités ci-désms énoncées. Nous regret­tons de ne pouvoir entrer ici dans de plus longs dévelop­pements: mais en terminant, nous dirons que ton* les L ,<Aoii.nt>iP4 sont fmirnis eratis aux maladesponieuis; mais eu ieriiiiii.ini, nu-n renseignements désiraliles sont fournis gratis-aux malades qui écrivent à l'inventeur, M. d'Olonnc (Vendée).

L'tllustration contient dans son numérp dp 0 mars :Texte : Youssef bey Caram. — Revue politique de la se-

niaino. — Le timbre des journaux.— Courrier de Paris.— I.e comte Andrassy. — L'Exposition universelle de 1807. VI. Le parc étranger (suite). — Une 'réformé Jdans renseignement. — Le dalm e.— -Le palais Irrtjlérlal de» Césars (suite et fin). — Les événements de la Crète. — Théâtres. — Sommités contemporaines : Théophile,, Gautier. — Revue mensuelle de lu bourse et de la finance.— Le docteur Blanchel. — Lés cuisines populaires à Berlin. ' ’

Gravures : Votissef bey Caram. — Ouverture du Parle­ment des Etats de la Confédération, du Nord par S; M. le roi de Prusse — Le comte Andrassy. —. Exposition ‘uni­verselle de 1867 le pavillon belge. — Les fouilles du palais des Césars, à Rome (9 grav.). — Le correspondant de l’Illustrât ion dessinant des volontaires de l'insurrection créloise â bord d'un vapeur du Llogd autrichien. — Som­mités contemporaines : Théophile Gautier. — l.c docteur Blanchel. — Une cuisine économique à Berlin, — Echecs.— Rébus._____________ _____

Nous rappelons à nos lecteurs que l'A v e n i r N a t io n a l , doni’lo prix est le même que celui,des autre* journaux, donne, sans augmentation de prix, l’U n i v e r» ■ ■ lu s tre , journal paraissant deux-fois par semaine. Ce magnifique journal d'actualités tient le lecteur, par ses gravures, toujours confiées aux soins des artistes les plu* distingués, au'courant des événements do la semaine; il leur fait également connaître par la gravure, les monuments nou­veaux, les œuvres principales du Salon et des différentes Expositions. |es portraits des hommes célèbres, les modes, les meilleures compositions musicales,.etc. Il publie aussi régulièrement une Revue Comique par C k a m .- L’Univers Illustré, qui est un véritable musée en même temps quo le journal de la famille, est. vraiment une PRIME EXCEPTIONNELLE qui ne peut .avoir d’égale. Les Souscripteurs de l’Auenir National recevant gratuite­ment VUnivers Illustré ont donc

SANS AUGMENTATION DE PRIX . . D E U X J O U R N A U X

RICIIOU, aux Sables Olllon, médecin. Le Gérant responsable, E r n e s t ,REGNIER.

' A nnonces Jinliciaii'es^"pararrêtddeM .lePr'dreldcTOisejàpprouvé

p a r S. B ic . le'M inistre de l’Iotérienr, leJ o u r n a l , d e ü e n ii» a été désigné pour in ­sérer en l867,dan$rarrondissem cnldc Senlis, toutes annonces ju diciaires e t légales.

♦ealien légaleuit centigaloirc

Boisante

W Ê t A

HE BIENS DE MINEBUÊS,œi4es«<néepadntribunal.icivil ‘de ré'iùMihOÿde S?ftli3 (OiSe),

triT

Située ùiMoNTMÉMAqT^ cotnnmee .deplaill),;• ' ' - <\ : tu! v.ftj;.*'• V

r .n r . J «rd l- e»EN DN BEUX. X.OT.

5» El à M" MOREL, notaire à Senlis.Fait et rédigé paè l’avoué poursuivant,

soussigné.A- Sertlis, l e Sept mars 1867.

Signé :FREMY. Enregistré h Senlis, le neuf mars 4867,

P> 60, c ' 5 , reçu un franc cl quinze centimes, dixième compris.

----------------— rr-.- :v . - « S ig n é : >RoVN.

Po^rainscrimu^. ; •^ tgné îj^RÉMV.

On fait savoir h tous ceux qu’il.9pparttondra, qu’en exécution d’un jugement rendu sur requête, pdr le tribunal civil de première instance de S en lis , le vingt-trois octobre 1866, enregistré, '

Il sera, aux requête, poursuite et diligence de M. Chjrles^Denis Senrat, jardinier et mer- ciér. démonranl ît Plailly,

« Agissant an nom cl comme tuteur de :» 1° Amanda-Fiorcntine Fonard; 2* Julie- »> Anna Fouard; 3° Et Héloïsc-Angusline » Fouard, toutes trois enfants mineures issues » du mariage de-madame Cécilç-Alcxandrinc » Seuralavec M. Viclor-Augustin Fouard, et » tous deux décédés, madamç Fouard, née » Scurat, épouse en deuxièmes noces do »* M. Théodobc Chano; »

Ayanl pour avoué M* Théophile Frémy.En présence de M. Anloiuc-Pierre Lorin,

carrier en grès, demeurant à Plailly, au nom cl comme subrogé-tuteur desdites mineures Fouard, nommé h celte fonction qu’il a accep­tée suivant délibération du conseil de famille desdites mineures, prise sous la présidence de M. le juge de paix du canton de Senlis, le 21 ipa> 1865, enregistré;

N’ayant pas d’âyoué constitué.Procédé h ia .vcnio sur licitation, au plus

offrant et dernier enchérisseur, de l’immeuble ci-après désigné.

• D H 3 X W A T I O Ï TUne Maison-, servant d’auberge, située à

Monlméliant, commune de Plailly, canton cl nrrondisacmçnt de Senlis, laquelle maison consiste en un corps .de logis, composé de oinq pièces au rez-dcr chaussée, quajre çham- bres et un cabinet . au-<lcssus, grenier b côté copyçrt i?n tuiles. . . .

Cour, écurie,; toits à porcs, puits, bûcher, magasin, poulailler e t un jardin potager contenant neuf arcs vingt*-six centiares, ;enr touré iic haies vives et de murs, dans lcqùel sc irouve, tin petit magasin h plâtre.

Læ tout tenant d’un côté par devant â la grande roule, par derrière et (Pitn bout du nord b l’avenue des-Vignes, et d’ailtre bout du m idi b, M. Charlemagne Grony.

E l udc d e M* E/ICEf ;A1N,smrcce8seii Ae M’BAno, ;jv o iéh ^H â l é â P W rÿiA i^c).

. « ' 1 -'j

■ .VJBiSJJÎ'E n l'élude el par le ministère de M* Aubuv,

.nolairnài t a ’E/srlé-Jffilc

DEUX MAto.lfioaplüjyï/

mm PIÈCES DBlEllÉ ET TERRESSisèsJ ”d! Là: (Aisne) cl

. ■ • , : -SKüÈY iiiE,......._Dépendant'de la succession bénéficiaire d'An-

toine-Félix Gilbert, en son vivant marchand de bois à la Eerté-Milon

I/A djuilic.nlion! au ra lieu le Dimanche tre ille e t m M ars 1867, h e u re tle m idi.S

On fait 'savoir b tous ceux qu’il apparticn dra :

Qu’en exécution d’un jugement rendu par le tribunal civilÿle Châleau-Thicrry, le vingt- trois février mil huit cenljsoiiîante-scpl, en regislré;

El aux^requêtes, poursuites cl diligences de madame Alphonsine-Adèle-Gilberl, épouse de M. Pierre-Uésiré Carrier, bûcheron, avec lequel elle demeure b Eméville (Oise), e id e ce dernier pour assister cl autoriser la dame son épouse, ladito daroo héritière unique du sieur Antoinc+Félix Gilbert,. marchand de bois b l a Ferté-Milôn, qualité qu’elle a aéceptée, mais sous bénéfice d’inventaire seulement, stii.vaht déclaration faite au greffe du tribunal civil de Château-Thîerry, le vingt- deux dudit mois de févrief dernier, enregistré;

Ayant ppûr avoué M* jEqçelain.Il sera procédé, le Dimanche Irente-el-tm

Mars mil huit ccn( soixante-sept heure de midi, en l’éitide et par le ministère de.M* Au- brv, notaire b La Fcrlé-Miion. b la vente et adjudication, aux enchères publiques, des immeubles dont la désignation suit :

P r e m i e r L o i .Une nièce de P’réJ plantéo]de peupliers^

située au [terroir de La Ferté-Milon, lieuil. t ^Aa.îX.A Cnml Wd.sl «ANlhnfinl «11111171»

bâtiments ci-dessus, et d’occident b François Crinon.

Mise b prix, quatre cents francs.■ • Trottléute Loi.

One pièce de terre, sise terroir d’Emcvillc, au chemin de Compiègnc qui traverse, c°n -|( tenant six arcs dix centiares, tenant du nord b M. Jean-Louis Crinon, d’autre b qiadàme Dubrcuil, des deux bouts h'Gilbert

Mise b prix, vingt francs.Quatrième L o t.

Une pièce de terre, sise au même terroir, lieu dit la Cave des Champs, contenant cin­quante-six ares cinqunntc-et-nn centiares, tenant du nord b la ruelle de la Croix Tribou- let, et par hache du même aspect b M. IIip- polyte Bataille, du midi b M. Auguste Gilbert, d’orient b M. Théodore Crinon, et d’occident b M. Alexandre Gilbert.

Mise b prix, six cents francs.Cinquième et dernier L o t.

Et la moitié indivise avec M. et madame Carrier-Gilbert, d’une maison sise b Emcville, lieu dit la Rue Fourchue ou de la Prévôté, consistant en une pi^cc et.une c)iamqre, gre­nier au-dessus couvert en tuiles, cave dessous, petite cour, jardin en face ta maison conte­nant quatre ares trente-trois centiares, le tout tenant d’un côté h madame Gilbert, cl par dcrrièrclb jM. Rondelle.

Mise b prix, pour cette moitié, quatre cents francs. . , ,

S’adresser, pour voir les immeubles, sur les lieux cl pour les renseignements :

1* A M* ENCELAIN, avoué poursuivant, rue de Soissons. ri° 20, b Châtcau-Thierry, j

2* A M* AUBRY, notaire b La Fcric-Milon, rédacteur et dépositaire du cahier d’enchères,

L A P R I X -L’adjudication aura lien, outre les charges,

clauses e t conditions de l’enchère^ sur ta mise b prix do deux mille cinq cents francs,'fixéepar le jugcm.cni sus-éribnçé, ci . *2,^00 IV.

S ’.adresser .pour avoir. dcirfm im W fJl** l 4* A M* FRpjJYvflUOUéV, P P ^ d ip an / ta

vente: ■2® A n Greffe du tribunal de Senlis, où le

cahier des charges est déposé ;

tle j a Lozôre, a autro .co.ie a w . Bourgeois, d’un bout au chemin de hallage non-compris, d’antrc boui au^clrcmin Vert dô la Fcrlé-Milon b Trbueànes.

Mise h prix, cent cinquante francs.R é n iè m L«é. .

Une MAISON, sise b Eméville, lieu dit ta — Javelle, ! consistant en une pièce d’ha-

)n et unecAambre couvertes en'chaume; igc nouvellement içofisiruile couverte en

mues, loit-h-porc ;. terfain dé soixante cen­tiares, tenàul- d!un,côté,b..ta cour, commune avec droit b cette cour, du midi et du èou- clual-b-M.DnbouIet„el.du levantb IL Caron. — Une PETITE MAJSjON, couverte en paille, sise dans ta mélpé'vcbûr, él CéfrtpO#éû d’une; seule pièce, tenant d’un côtÇ b Antoine Crinon, d ’autre b ta cour commune, d’un bout aux

Fait et rédigé par M'avoué poursuivant, soussigné b Châtcau-Thierry, le neuf mars rail huit cent soixante-sept. ' •

Signé : E. H.ÉD. ENCELAIN. Enregistré b Château-Thierry. leWtil mars

mil huit cent' soixante-sept. Rcçu|un franc quinze centimes, décimes compris.’ Signé : Rocn,m n.

Pour irfscrlion :Signé : Encelain.

AnT. 3 .Etude de Mc Frèmy, avoué à Senlis.

V E N T E S U R L I C 1T A T I O V' En Paudience des criées du Tribunal civil

de première instance de Senlis (Oise),Le 1 9 Mars 9809, heure de «uîdl; j

DE

1° UNE MAISONEt ses Dépendances

AVEC JARDINS MARAICHERSSis à SF.M.1S, rue (le la Fontaine des Arènes

2 " E N J A R D I NPlanté d’arbres fruitiers,

Sis *a Rémy, arrondissement de Compiègnc;ZM DEUX BOTS.

^S'adresser pour avoir des renseignements :/o A M* FREMY, avoué, poursuivant la

" ï ’i M* CÜAI.MII*!,. aioué, prisent à là

S• U u greffe du Tribunal civil de Senlisoù le cahier d u charnu est déposé;

4• P l i H" BEN01ST. notaire i Sentis.

D'DR VERGER, UN CLOSE T D E U X P IÈ C E S D E T E R R E

|.e tout silini à A0TIIEUH.-Ei-Vsi.0is, canton de Bel7„ arrondissement de Sertlis (O.st);

E n c in q L o ts qui pourront être réunis partiellement

ou en totalité- S ’adresser pour les renseignements :

I» A M* FRÉMY, avoué à Senlis, poursu i­vant la vente; . . . . . . ,.

2 Et au Greffe du Tribunal cm l de bénits, où le cahier des charges est déj o>è.

A uts 5 .T r i b u n a l d e S e p l i s .

Par jugement ren lu parle tribunal de police concciionnelle de Senlis (Oise), du vingt-sept février 1867, enregistré.

Le nommé Jncqués-Antoine Masdel, âge de 51 ans, né b Pféilishcim, arrondissementde Sirashourg (Bas-Rbin). marchand boulan­ger, déméufanl.â Lévignfin,'. alrrôhdissément de Senlis (Oise), déclaré coupable d’avoir, b diverses reprises, rais en vente des pains d no raids inférieur b celui indiqué par leur forme, eur dimension et lctir grosseur, délit prévu el in’ni par les articles 1 ; 6 ,7 de ta loi du 27 mars 831, 4 2 3 ,4 8 3 ,6 2 du code pénal,

A été condamné par corps en cinquante francs d’amende e t aux frais.

Le tribunal a ordonné en outre que ledit jugement serait affiché au nombre de cinq exemplaires, dont un serait apposées ta porte du domicile du sieur Mande!, un b la porte de ta mairie de Lévignen, de celle de Beiz. h ta porte de ta mairio de Senlis et b celle du tribunal de ladite ville, cl qu’il serait _insérc dans les deux journaux qui Sc oublient b Senlis, le tout aux frais dudit sieur Mandel.Vu par le Procureur Impérial.

Signé : F . Babled.Pour insertion :

Le Commis-Greffier du Tribunal, Signé : GmocD.

nommés, déclarés en état de faillite par juge­ment du Tribunal de commerce de Senlis, en date du quatorze août 1866, enregistré, sont invités b sc présenter en ta chambre du conseil dudit tribunal, sise au palais de juslice, b Senlis, le | Mercredi trois Avril (867, onze heures du malin.'b l’effet d’entendre le compte définitif qui leur scya rendu par M* Godin, avoué b Senlis, syndic de la faillite, en exé­cution de l’arllcle’537 du code de.commcrce.

I;es créanciers donneront leur avis sur l’excusabilité du failli.

La réunion sera présidée par M.. le juge, commissaire de ta.failiile.

Pour insertion :Le Greffier du Tribunal,

Signé : Léon BoucnEn.

A nnonces D iverses.

CourblialigraPL,miles

\ V E N D R E A L ’A M I A B L EE n s e m b l e " o i a séparément,

■ UN

BEAU CORPS DE FËR1Ef O H e c t a r e s 8 3 A r e s 3 4 - C e n t .

DE TERRE ET BOISl.c tout situé dans le canton de Crépy.

S ’adresser à M* B e n o i s t , notaire à Senlis.

A V E i V D I t EA 1,’AMIABLE

D E U X F E R M E SLOUÉES NETTES D’IMPOT :

L’nne, 91 ,000 franrv, et l ’a n f r e , 8,000 francs.

S'adresser à SP BENOIST, notaire i Senlis.

Art. 4 .Etude de M* F r è —y , avoue à Scillis.

VENTESUR SAISIE imbDILIÈnE,

£.11 l’audlcncc 9e» criées du Tribunal civil (le nreiuière jnsian» de Senlis (Oise).

I c H n d l d s n A w l l » « • » , h e u r e d e u d d l ,

D’UNE MAISONet Dépendances,

AnT. 6 .OrefTc du Tribunal de Senlis (Oise).

V É R in C I T lO V D E c b é w c e s .

A V ISA u x Créanciers présumés du sieur Picrrc-

Joscph Düséabx , débitant de bornons a Beaurain, commune de Irumilly-Les créanciers présumés du sieur Duséaux.

sus-nommé, sont invités b se présenter en personne ou par fondé de pouvoir, dans le délai dé vingt jours, outre le délai de distance, b M* Lasseiiue, avoué b Senlis, syndic déhnilil île ta faillite, cl b lui remettre leurs titres de créances, accompagnés d’un bordereau sur timbre indicatif des sommes réclamées, si mieux ils n’aiment en faire le dépôt au greffe du tribunal de Senlis.

La vérification des créances commencera devant M. P n A N ç o is , juge, commissaire de la faillite, le Mercredi d ix Avril 4867, d u heures et demie du matin, en la chambre du conseil du tribunal de Schlis, au Palais de justice, el sera continuée sans interruption. j

Les affirmations seront reçues immédiate­ment.

Pour insertion :Le Greffier du Tribunal,

Signé : Léon Bouciikk.

AnT. 7 .Greffe du Tribunal de Senlis (Oise).

U Q D lD iT IO I E T jS K O S à B lH T É . A V IS

A u x Créanciers unis des sieurs Louis-Florentin C u o s m e u . chapelier, et-Milhcn C u o s n if . u , tabletier, demeurant tous deux à Gouvieux.

I Les créanciers unis des sieurs Crosnier, sus-

A L O U E R p r é s e n t e m e n t

M AISON a v e c JA R D INSituée b Senlis, rue du Heaume,

S ’adresser à M* R e n o i s t , notaire à Senlis.

A SOUS-LOUER A L ’AMIABLE Pour entrer en jouissance de suite,

UN MOULIN A EAUF a i s a n t «le b l é f a r i n e ,

Dit le Moulin-Neuf, situé à Senlis.Bien monte de 3 paires de meules

E t ayant comme-addition de force motrice une machine b vapeur.

S ’A D R E S S E R :A Madame veuve L k f è v u f . , qui habite le

moulin; . .A Mr C o l l a s - N é u y , ancien huissier à Senlis;El à M * B e n o i s t , notaire à Senlis.

Etude de M p G . Ballcdcnt, eommissaire- prisctir .à Senlis.

/.e Dimanche 17 f la n <867, à une heure très-prccise.

En t a demenre, b Scnlis. dc Mn,e C u q e e m e l i .e , m e Vieille-dc-Paris. 44.

Par le ministère do M' G. Ballkdext,co»i»kjwh'c priscur ô Senlis. •

Consistant en : mitensiles de cuisine et de ménage, pendules, tableaux, gravures, men- blcs de tous genres. Outils de tonnelier, petits barils, bouteilles el beaucoup d’autres objets.

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Le Lundi <8 f la n 1867. i midi.| iucublcs de loules sorles, liierie. inslrii-

mcuis cl objets d’optique, bonne bt bhoibèqnc. comprenant nnc Kncyclopédtc, I Histoire de

i Fronce el d'Angleterre, etc.

Page 4: ANNONCES JUDICIAIRESbmsenlis.com/data/pdf/js/1864-1869/bms_js_1867_03_16_MRC.pdf · s'il n’ont.pas de colliers indiquant le nom du propriétaire; s'iLs sont porteurs d'un collier,

r “ 'B W P P ': ’■>1

1

I 1

ï f t

A C Ë D Ë R i »k s u i t eA L'aMIABLE,’

UN (ETABU88EBINT

1>E CBARHONNAGIÎAvec butine clientèle,

A Vauticimcs (Oise), roulo ilo Pans b Matibcugu,

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EludoüeM'IUGlURD.uotûIreWuiil-S.SIaxoncD

m m i s o s b m i w i s

• Silrtée > SENLIS, au centre de la ville, rue x Nctfvfc-ilc-Faris et rue des Cordelicrs, ayant

entrée sur chacune do ces rues par une grille, — Calorifère.Celte M.ison ci «devant occupée par le

pensionnat de mesdames Deloziôrcs, com­prend : un beau jardin bien planté, terrasse

. avec charmille, communs et dépendances;Par sa position exceptionnelle. celte propriété

peut parfaitement convenir à un établissement industriel.

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Sise h Ponl-Sainte-Maxcnce,rue Neuve, n' D én x P iè c e s de P r é

Aux Ageux,

ET DEUX MARCHÉS DE TERREL’un de \ hecl. 93 ares 41 c „ au terroir de

Brasseuse, l’autre do 2 hecl. 29 ares 98 e., aux terroirs de Villeneuve, Roberval cl Verberie,

A V E N D R EPar adjudication volontaire,

Bn Càron ou en Détail.Par le ministère de M' IticiiAno, notaire à Pont.

Le Dimanche 21 Mars 1867,Pour les deux marchés de terre, h Villenenvc-

sur-Verberic, en la maison d’école, à midi.. pour1 la maison et les 2 pièces de p r4 Pont, en l’élude dudit M* R ic h a r d , h heures du soir.S'adresser audit M* R ic h a r d , notaire.

GRANDE MAISONe t D é p e n « la u c e s

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Sise à A Ÿ IL L Y , près Chantilly (Oise). Consistant en : habitation, chambres el

grenier; vastes écuries et remises; cour au milieu; Jardin en face;

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Jouissance de snile.S'adresser : à M. A lph.- S a v ig n a c , cultiva-

leur à l ïm m if , près Chantilly.lit à Sentis, à M* Godin,-avoué, rue Neuve-

de-Piiris, n°22.

Kimle de M* AUBRY, notaire h La Ferté- Milnn.

A V E N D R E p a t» A d j u d i c a t i o nHa l’étude el par le ministère de M” A u d io ,

Le Djmanche 2 i Mars 1867,l'NE

SELLE H 4IS0N BOURGEOISESituée à La Ferié-Milon, rue Saint-Lazare,

A v e c « le v a s t e » i t é p e m l a n e e » , g f r a n i l J a r d i n e n p l e i n r a p p o r t .

Trcs-belle position; — Vue magnifique. Facilités pour-le paiement .

S ’adresser au lit Me*AunnV, notaire.

A L O U E RUNE

MAISON BOURGEOISESise h Sentis, rue Saint-Pierre. n° 8, Avec JA R D IN ayant une sortie sur la

promenade.S’adresser à M. F o i x a u t , rue du Faubourj

Sainl-Martin, o° 65, a Scnlis.

iré, à cinq

K tu d ed eM M lE M E T .h u is s ic r-p r iscu ràC h a iH in y

V E N T E A U X . E N C H È R E SPour cause de changement de domicile,

A C h a n t i l l y ,Chez i l . Mancheron, place du Marché. 21,

Le Samedi 25 Mars 1867, h onze heures,

D’UN IION MOBILIERC o m p ren an t : b a t te r ie e t u s ten s ile s d e c u i ­

s in e , va isse lle , g a rn i tu r e s do foyers e l do c h e ­m in ée , rn eu b le .d e sa lo n e t a u tr e s , p e n d u le s , g lace s , la p is , te n tu re s , bo n n e li te r ie , p ia n o , u s te n s ile s d e ja rd in , in lln ilé d ’a u tr e s o b je ts .

Même élude.

VENTE MOBILIÈREPar suite de cessation de commerce.

A M o n tm é lla n , commune dn Plailty,En la demeure fie M. Ccjiffé. aubergiste,

Le Dimanche 24 Mars 1867,- h midi, ;Par le ministère dudi( M'J- Nolrvallk, huissier.

Consistant cn~: "'ustensiles do cuisjne cl de ménage, batterie de cuisine, Chaises, tabourets, bancs, tréteaux., tables, moubles, comptoir, mesures, bouteilles, fourneau, cuisinière; liic-

i> . > 1 mniiinim hüillo. fitiirmcro...... — Riteliers h moutons, paille, fourrage, fumier, bois, ferraille. Foules, canards.

El autres objets.

. Mêpic étudg. ^

VENTE MOBILIÈREPar suite, de décès,

Le Dimanclmj Avril 1867, h midi,L I H o n tc p l l l o y X e » f lA tiè m é tïre q u ’o ccu p a it

m a d a m e v e n v » t’.o la r l , née C o u rc a u ll,/tir le ministère dudit M* J. N o l e v a l l e .

C o n sis tan t e n : u s te n s ile s d e cu is in e c l de m én ag e , m e u b le s , l i te r ie , lin g e c l h a b ille m sn t, c h a în e c l c ro ix en o r , m o n tre e t b o u c le s en a rg e n t , o u tils , v in s e n b o u tc i 'le s , bo is à b rû le r , c u v ie r , é ch e lle s , et u n e g r a n d s q u a n t i té d 'a u ­tr e s o b je ts . .

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P O U R L 'I M P R I M E R I ES’adresser au bureau du Jouroal.

I l « a r a d e * A p|»*lale«É ««it* .

« même sur une seule enchère, en la chambre des notaires do Paris, le mardi B ,,rJM 86_7^m ld l. . , de Chantlllv (OI«).

US DE CAMPAGNE « jE & ,V m p *- k, > .1__ 1____..... ; . . . ... A <1 i r. I ___ . CVi/ti'ucC120,000 fr. el 70.000 (H. - Enlrée en Jouiœaiicc Iran M— Coillurler. el 4 M- Ai,»«n D aurauia, tlolalre à l'arls,

immMialf.: — S'adreMer, sur Ira lieux, 4 ‘ rue Casliglionè, 10,

h é m c r i o * n i: p b i x

G U A N O D U V É TPHOSPHO-GUAÏ

ï.u.j îii-î IM>

ANnf

l.e mémo jour, A deux heures, en la maison d'école île Montépilloy, il sera vendu la Maison el les Jardins dépendant do la succession de madame veuve Cullarl-Courcault.

A u x c o n d i t i o n » o r d i n a i r e s .

Même étude.

A V E N D R E A U X E N C H E R E SPour cause de dissolution de société,

T T Ï.T3 J U T Æ B IT T D B O O t T H S BHOM5IÉE

FANTAISIEAlezane. 5 ans, par Serions et Fraudaient,

Le Mardi 19 Mars ISO7, « midi.A C h a n t i l l y ,

Sur la Pelouse, près des Réservoirs.Par le ministère dudit M* H k jik t .

V u C o m p t a n t . — B r a U o r d in a i r e » . ^S'adresser pour rensciegnemcnts, audit M' 11émf.t.

MÊME ÉTUDE.

^ l i aAux enchères el pour cause de départ,

A C h a n t i l l y , g r a n d e r u e ,Près de l’hôtel du Grand-Cei f. dans une maison appartcu' au Domaine, ou il a été transféré.

Etude de M” LAMBERT, huissier-priseur à j’onl-Saintc-Maxence.

V K N T E A U X E N C H È R E SPar suite de faillite,

A P o n t - S a l n t c - H a v c n r c , >En la demeure de M. Planque, fèculier.

Les Dimanche 17 el Lundi 18 Mars 1807, Il midi, et jours suivants s’il y a lieu.

Par le. ministère dudit M' L am bert, huissier.Cette vente consistera principalement eu :

Iwlierie de cu is in é ,'cu is in iè re , vaisselle.

F R A N C H E , à e i c r m o n l .D E P O T A S E N L IS , L È V TG N E N , COM PTÉGUE, « E A U V A IS .

FÉCONDATEUR AGRICOLE.■i nduit prdcieox cl indispensable aux agriculteurs, borlicullcurs, jardiniers, pépiniémles,

se vend chcx MM. les épiciers, grainetiers, etc. (Lisez le journal du I!) février dernier.)• - . . . . . . « T ..__I l n P / ip i ise venu v u » ui.«. e — -------- , »>. . • *. n •

Seul fabricant, L.’ M o n n e t , 49, rue Noire-Dame-des-Vicloires, a Paris.Oii désire avoir un concessionnaire dans chaque arrondissement,

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Et une grande quantité d’autres objets.A u C o m p ta n t .

S'adresser pour les renseignements :4 Pont, à M' I.amuebt. huissier;El à Scnlis. «M* G o d in . a r oué syndic de la faillite

L. Deraedt, h Bretéuil; Combrun-Pavillon pire, h Chantilly; . 4/(«sc, a lc y o n , Garbet-Caron, ’a Boauvais.

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Etude de M* GR1SO.N. notaire àBétlnsy-S-Ficrre

A V E N D R EPAU ADJUDICATION VO LO N TA IRE,

E n S u n o n p a r L o t» .A Orrouy, en la maison d’école.

Le Dimanche 51 Mais 1867, à 2 heures. Par le ministère de Mc G r is o n , notaire à Béthisy En présence de M* Vraye, notaire à Compiegnc,

3 ' H e c t a r e s D l A r e s 4 0 C e n t .

DE TERREEn une seule pièce terroir d’Orrouy,

section des Etuals.Sûreté pour acquérir. Facilités pour payer.

Jouissance après la récolte de 1868. S’adresser anxdits M" Grison el Vraye. volai es.

RICHE MOBILIERDe M. le Cw de K*’\

En vieux chêne, palissandre, ébène el acajou sculptés,

R r o n z e s , O b j e t s « l 'a r t , A r u i c s a n c i e n n e s e t V o i l u r e s «le l u x e ,

Les Dimanche 31 Mars, Lundi l rr el Mardi 2 Avril 1867, à midi.

Par le ministère dudit M* R em e t .

Désignation sommaire :Batterie et ustensiles de cuisine, services de

table, meubles de toutes sortes, bibliothèque, riche piano droit, 8 pendules anciennes cl mo­dernes, grands lapis, tentures, gravures, litho­graphies cl photographies; belle coliecli m de gravures anglaises coloriées, collection d‘armes anciennes; excellente literie, très-beau billard écossais, 1,200 volumes et brochures, bateau américain, outils et établi de menuisier, ins­truments el objets de photographie, 1,51)0 bou­teilles vides, nu panier de vin de champagne, pompe de jardin, ustcasil. s d écurie, cl une infini té d’autres objets.

Voilures: phaëlon, voilure anglaise, panier.« a C o m p t a n t . F r a i » o r t l l u a i r e d .

C o m m u n e d e B a l a g n y - v u r - T l i é r a i i i ^

ADJUDICATION DE TRAVAUX.% e x é c u t e e p o u r l a e o i u t r a c i i o n

d ’n n ç M a f c o n d ’c c o l c d e l i l l r s ,

Le Diinauche 2 4 Mars 1867, ü une heure. Enla Maisoncommunede Ralagny-sur-Thèrain.

Lesquels travaiix s’élèveut en totalité à la somme dç 4,735 fr. -13 c.

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Même élude.

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llegrin, â Bordeaux.

V E N T E A I X E N C H E R E » ,Pour cause de départ,

\ Nainl-l.ronaril, chez SI111-’ L....,

D’UN TRES BEAU MOBILIERicndre

A V E N D R EP a r u d j a d l e n t l o n a m i a l t l e ,

Au plus offrant e t dernier enchérisseur. Par le ministère de M* Bunix, holairc a Pèécy, A S'-Leu-d'Essorent, en la salle de la mairie,

Le Dimanche 7 Avril 1867, à une heure,

11 PIÈCES DE TERRE ET PRÉAux terroirs de Saint-Leu et Thivcrny.

S'adresser audit M' Budin, notaire.

Ktiidc de M* B R E T T E , notaire â Acy.

H A IS O N

2W-. -.

AveeGpangc, Hangop et Jardin,A Cnvergnon, m e deThury,

A V E N D R E p a r A d j u d i c a t i o n ,Eu la maison d école de Cuvergnou,

Par le ministère de H* Brrtte, notaire à Acy, Le Dimanche 31 Mars 1867, à midi.

Jouissance le I ! novembre 1867.S'ad. esser audit M* Brettb, notaire.

Ancien et modernr.En bois de rose, vieux chêne, palis:

et acajou sculptés,R r o n z e s , T a b l e a u x , e t c . ,

Les Dimanche 7 et Lundi 8 Avril 1867, â midi.

Par !e ministère dudit M* I I é m e t .Cette vente comprendra principalement : Batterie et ustensiles de cuisine, services île

table, riches garnitures de foyers et de che­minée, meubles de toutes sortes pour salle à manger, chambre à coucher d cabinets de toilette, fauteuils cl canapés Louis XVI. belles pendules anciennes et modernes, flambeaux, objets de brbnze, statuettes, glaces, tapis, ten­tures , bibliothèque , piano droit, nombreuses peintures, gravures et lithographies, pastels, literie, linge, garde-robe de femme. Selles, ustensiles d écurie cl de jardin, bois à brûler.

A u C o m p t a n t . F r a i » o r d i n a i r e » .

F.lude de M* J. NOLEVALLE, huissier â Sentis

w m m atôMîLiAprès décès,

A M o r te f o n ta ln c ,'En la demeure de M. Mngnnn, père.

Le Dimanche 17 Mars 1^67, h. midi précis. Par le ministère de M* Jules N olevalle,huissier

Consistant en ; ustensiles de cuisine et de ménage, meubles, literie, rideaux, linge, ha­bits, pendules, tableaux; poêles. — 20 ruches d’abeilles. — Paille, fumier, bois à brûler, outils, ferraille, lonpeatix, et autres objets.

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Les règlements ont lieu an fur et h mesure des encaissements.

S’il n’est opéré aucune recette et s ’il n’est obtenu aucun autre résiliai, il ne sera rien réclamé au client par l’Agence.

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Le rapport du Jury central de l ’Kxpo- - i t p ü i ------------------ ----------------*------- accordait en 1855 une récom

pan»* an Chocolat Ibled , s’exprimait

1 m produits <----- .dans la consommation du Chocolat.

Par le choix e t la ptueté des matières ‘ itredaM sa * * ' “premières qui en! fabrication,

le C h o c o l a t Isum , o n * * * ® }cherché, répond aux qualités qulxe^es peuvent faire du Chocolat une aliment»- non saine et favorable.

Par le bon marché que cette Maison atteint, en répartissent ses Çrals géné­raux sur une production considérable, elle élargit le cercle des consommateurs d’une denrée éminemment bienfaisante.

Supériorité dans les produits, modéra­tion dans les p rix , la M a iso n I b l e d ne se départ pas de ce double principe qu’elle a pris pour base.

te vend ehet les principaux Confiseurs, Pharmaciens et Epiciers.

POMMADE DES CHATELAINES]O U L ’H Y G I E N E D U M O Y E N -A G E .

C elle Pcniratilc- e st rom posée d e p la n te s hygiénique», à L ise Ion ique. — D écouvert pu r CHALMIN, dan » u p I J S ï e r b , “ c î i n M a in fa lm h le é .a i t e m p lo /e p a r n o , be lles e h â te U ln e , du «noy-.a-ige p o u r .-o n .e rv .r ju sq u ;» S e n l i . « v a u ee . le u rs cheveux d ’u n e t ^ a i l c rem arquab le . - Ce p ru d u il ne t.ve avec v .g u eu r la True de» » c h ev e u x , le u r donuç du b riU ao l, d e la so u p lesse , e l les em pêche de b ln m ln r, en » e n se rv a n t jo u rn e llem en » . f — Coiupc-sée p a r CII.VLUIN, c liim islc -pa rrum eur, a R ouen , ru e de I H ôpita l, 3 1 e t t o .

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Marché* dn D épartem ent.B é a r n a i s , 9 m ars . — Marché au ssi b ien a p p ro v i­

sionné que le p réc éd e n t; m ais le» ache teu r» é ta ien t peu nom breux e l peu em pressés; la vi n ie »’c»t faile len te ­m en t et les p rix d e to u s le» g ra in s o n t peu varié .

Blé d e m ars de 23 à 26 ï r . 50 l'h ec t.F rom en t l'hec t. 23 «0 .— Muison 19 2 1 .— Méteil 17 37.- Seigle 16 50. — O rge 13 18. — A voine t t 4 L Pain (taxe officieuse) le k il. t r* q u a lité 41 c.Taxe des boulangers 3 c. en p lu s p a r k il.

( 'I r r i n o a t , 9 m a rs .— Pe tit m arché fcn tou» g ra in » ; alTaires toujours difficiles; tou tefo is, hausse d e 55 c . su r * i blés, le m éteil e t le seigle. L’orge é ta it peu dem andée

en baisse de 83 c . p a r hect.Avoine ferm e c l peu ofTerte.Blé l’hect. ! " qua lité 26 11, 2 ' qua lité 24 72, 3 ' qua i, p . . . — Méteil 21 9 5 .— Seigle 13 33 . — O rge 12 50.—

Avoine 10 66.

Pain fia se officieuse} <le kil. \*r qualité^ c .,-2* qua­lité 53 c. .

Taxe des boulanger» 2 c. en p lus pa r k il.

NaatcalMc-HaadaMln, 8 mars.V Le marché éuit o rd inairem en t ga rn i; il y .n >P*)t“ d’empressementic iîâts; te s b lés o n t baissé d e 70 l’orge de 08 c . e l l’avoine d e 21

c , le m éteil d e 1 f r . , | le tou t p a r béé:.

Rie l 'h ec t. I " qualité 23 32 , 2* qualité 21 9 8 .— ;Méleil 19 2 3 . — Seigle 13 60. — O rge .» »». — A voine 8 74.

42 •

C o m p lé g n c , 9 m ars. — A pports très-ord inaires en to u s gra in s ; la vente s’e st faite ac tivem en t e t les blés on t hausse de 3'.) à 60 e . par hect.

I.es dutres g rains m a in tiennent leu rs p rix .F ron irn t lTicct. 1'* qualité 24 60, 2* qua lité 23 50,

3- qua lité 22 30. - r Méteil 21 00 . — Seigle 14 . . . — O rge 11 60. — Avoine 9 15.

Pain le k il. I " qua lité 42 c . , 2* qua lité 37 c .

C r é p y , 9 m ars. — Nous n’avions encore qu ’u n m a r­ché très-ord inairem ent ga riy , avec 4«* affaires le n tes Blés sans varia tion - L*.- m éteil a baissé d e 1 f r Le seigle e t t’orge se sont vendus faiblem ent, m al» sans change­m ent dans les p rix .T /avo ine a pe rd u 50 c . p a r 100 kU.

Blé les 100 k il. ; ! " 'qualité o 2 .5 0 , “* —3*'q ua lité 50 O rge 21

, 2* q u a lité 31 IHJ Métcd 26 à* . — Seigle 20 . . . —

Avoi'né 1» qua lité 21 00^2* qu ^ l. 20 50.

blanc (taxe des boulangers) le k il. m oyeu-36 c .

P o i a t - S a l a l c - M a x e a c e , 8 m ar». — Le m arché r la it que faiblem ent g a rn i en to q s grains . Le» acha ts on t | é té m inim es avec une haussé d e 1 lr . su r.le s M es.

Les a u tre s g ra in s n ’ont, que des cou rs nom inaux .Blé l’hect. 1 * qua lité 26 05, 2* qualité 25 10, 3* q u a i. I

24 05 . — Méteil 20 50. — Seigle 14 60. — O rge 14 6 j — A voine 1 " qua lité t l 20, 2* q u a lité 10 . . .«P a in b lan c le k il. 42 c .; d* b is 37 c.

N e o l iu , 12 m ars. — Marché o rd in a ire ; affaire» lentes. Les b lés e t se igle o n t b sb sé do 1 f r . p a r 100 k il.

o ioe a é galem en t fléchi de 50 c.. ■ •• i : , i t t . .

I' q u a lité 31 d ito l'h ec t. 1 " qualité 23 45, 2* q ualité Î2 T 0. 3* qua lité 20 75 . - Seigle les 100 k il, «9 ïAvoine V ' ÔÔ’ >il. l " q < ^ lile '2 l . . , 2 * q u a lité 20 . d - l’hect. I*î qualité 8 60, 2* qua lité 7 80. — Pom m es de I te r re 8 *».— Paillci |e s 100 boue» , 3 2 . , . — Pm n 40 . - * — L use rne 40 .►•: Pain le ML: 1’' q ualité 4 1 c .; 2 ' qua lilé 36 c.

Taux d e la viandê1: B a u f 1 f r . 6Q If k il., vacho 1 f r . 40, | veau 1 f r . 60, m outon ,1 f r . 60, pore 1 f r . 60.

S e r v ice d n c h e f in de fer d n Nord,

'd épart1.2 3 1.2 .3 1 .2.3 1.2.3. | |

7 56 11 44 4 25 8 18 1 P a r l a . . • . dép a rt8 07 I l 55 4 36 8 2 9 1 C h a n ti l ly . , . . . a r r .8 ?0 12 08 4 49 8 42 I

1 .9 . I C h a n til ly . . . . dep.8 32 12 20 5 02 8 53 1S a in t-F irm ir9 30 1 25 5 50 U 50 ( I S c a l l u . . a rrivée

1.2 3. I» c l. 1 .2 . 1 .2 .3 .7 35 8 (III m idi 5 108 36 8 46 12 52

1 .2 3. 1.2.3.12 56 6 20

9 04 9 14 ÜS 6 34

6 44

1.2 3 .11 .2 .3 . I 9 15 10 .10 I

10 38 11 0t( I

I l 15 11 2011 39

■s places i 1 " classe, 0 f r . 05 « .; — 2* c lasse, 4 f r . 55 c .; — d 'a lle r e t re to u r : I f c lasse , 9 f r . 10 c .; — 2* c lasse, 6 f r . 8 - 3- classe, 5 f r . 70 c.

b u p a r nous M a ire d e la v ille d e S e n ln , p o u r lé u a li-• • ' - J - * ' u -g n ie r , appe lée a l n t t .ta lio n d e ta tig n a tu re d e A I. H egnier,

Ce 16 M a ri 1867.

E nreg istré « S e n ti t , le 1867, f» Reçu

1 S o n liR , im p r im e r ie d e M“ * v* H E G N 1 E M | p la c e d e r i Iô tc l- d p - V i l lp . ,

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