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ASSEMBLEE DU CONSEIL COMMUNAL EN SEANCE DU 27 JUIN 2018
A. SEANCE PUBLIQUE
1. Exercice du droit d’interpellation d’un citoyen – Irrecevabilité.
2. Exercice du droit d’interpellation d’un citoyen - Santé économique de Virton.
3. Exercice du droit d’interpellation d’un citoyen – Sécurité et trafic de charroi lourd sur
la N879 (rue de Longuyon).
4. Parc Naturel de Gaume – Rapport d’activités 2017 et projets 2018, budget prévisionnel
2018 et des comptes 2017.
5. Convention des Maires – Accord sur le plan d’action énergie durable – Climat.
6. Rapport de rémunération établi en exécution de l’article L6421-1 du Code de la
Démocratie Locale et de la Décentralisation – Exercice 2017.
7. Ores Assets – Assemble générale le 28 juin 2018.
8. Service externe de prévention et de protection au travail – CESI - Notification de
préavis.
9. Recrutement contractuel de trois brigadiers : un pour le service parcs et jardins, un
pour le service forêt et plantations et un pour le service de maintenance des bâtiments :
Principe et conditions.
10. Statut administratif : modification des articles 75, 76, 86, 93, 119, et 120 à 120 ter.
11. Statut pécuniaire : modification de l’article 55 : intervention dans les frais de
transport : B. Bicyclette.
12. Règlement de travail : modification de l’article 6 A., 6B, 10, 13, 14, 15, 16 à 16 ter,
18, 22, annexes 2.1, 2.2, 2.3, 2.5, 2.8, 2.9 création des annexes 2.6, 10 bis et 13.
13. Cadre du personnel communal.
14. Tutelle du Centre Public d’Action Sociale - Cadre du personnel du CPAS et de la MR-
MRS « l’Amitié ». Adaptation.
15. Tutelle du Centre Public d’Action Sociale - Compte de l’exercice 2017 du CPAS –
Prolongation du délai de tutelle.
16. Ordonnance de police - Affichage électoral.
17. Renouvellement des illuminations de Noël dans les villages de l’entité communale de
Virton – Approbation du cahier des charges.
18. Convention relative à l’enlèvement des véhicules abandonnés/trouvés sur la voie
publique.
19. Caméras de surveillance – Convention à conclure avec la Zone de Police de Gaume.
20. Caméras de surveillance – Règlement d’ordre intérieur.
21. Partenariat Virton-Tchaourou – Dons de matériel.
22. Programme PCIC – Partenariat Tchaourou-Virton – Phase 2017-2021 – Transfert de
subsides en numéraire à la Commission Nord-Sud – 2018-2021.
23. PIC 2017-2018 – Point 1 – Remplacement de l’ascenseur des Vatelottes et création de
sanitaires – Approbation du cahier des charges.
24. Rapport Urbanistique et Environnemental (RUE) de Rabais – Prise de connaissance et
Adoption provisoire.
25. Affectation de la voirie au domaine public communal et reprise pour cause d’utilité
publique de l’assiette de la voirie et de ses accessoires – Rue des Cormorans.
26. Affectation de la voirie au domaine public communal et reprise pour cause d’utilité
publique de l’assiette de la voirie et de ses accessoires – Rue des Sarcelles.
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27. Programme Communal de Développement rural – convention-exécution 2016 –
aménagement du Centre Communautaire de Saint-Mard en maison rurale –
approbation de l’avant-projet
28. Extension du Musée de Latour – INTERREG GRANDE REGION – Land of Memory
Décision de principe et approbation du cahier des charges.
29. Travaux de réhabilitation du presbytère de Ruette en Maison de la Ruralité et de
l’Artisanat - Modification de la description de la chaudière.
30. Convention de cession de jouissance à titre gratuit ayant pour objet la mise à
disposition de terrains de la Maison Virtonaise à la Ville de Virton pour le projet
pédagogique de potager de l’école de Ruette.
31. Reprise des voiries de Rabais pour cause d’utilité publique par la Commune de Virton.
32. Reconstruction du mur de soutènement le long de la rivière rue de l’église à Saint-
Rémy – Approbation du cahier des charges.
33. Acquisition de containers pour les services techniques – Approbation du cahier des
Charges.
34. Vallée de Rabais – accord sur la proposition de nouvelle convention avec IDELUX
Projets Publics.
35. Maison du Tourisme de Gaume – Octroi d’une subvention en numéraire.
36. Demande de cotisations 2018 – Maison du Tourisme de Gaume.
37. Wallonie Week-end bienvenue 2018 à Virton – Octroi d’une subvention en numéraire
à la Maison du Tourisme de Gaume.
38. Développement de la base de loisirs dans la Vallée de Rabais – Approbation du
dossier de demande de subsides et engagement sur la prise en charge de la quote-part
non-subsidiée des travaux et sur le suivi opérationnel.
39. Achat d’un camion grue porte conteneur – Principe et approbation du cahier des
charges. (BT)
40. Collecte de déchets ménagers et services divers sur le territoire de la commune de
Virton – Principe et approbation du cahier spécial des charges.
41. Collecte sélective en « porte-à-porte » de déchets ménagers et assimilés triés à la
source en fraction organique et fraction résiduelle – Accord sur le lancement d’un
marché par l’Intercommunale en se réservant le droit d’y adhérer ou non.
42. Apéros kiosque 2018 – Prise en charge des frais de location des toilettes chimiques -
Accord.
43. Musée Gaumais de Virton ASBL – Quote-part de la Ville de Virton – Année 2018.
44. Exposition de fin d’année de l’académie des beaux-arts Section de Virton – Octroi
d’une subvention en nature et en numéraire.
45. ASBL Cercle culturel de Saint-Mard pour l’organisation de l’exposition d’artistes du
24 au 29 août 2018 – Octroi d’un subside.
46. ASBL Maison de Jeunes de Virton – Octroi d’une subvention en numéraire.
47. « Opération été jeunesse 2018 » - Conventions de partenariat.
48. AIVE – Mise en œuvre de nouveaux services en matière d’aide à la gestion des
réseaux d’égouttage – Convention de service entre la Ville de Virton et l’AIVE. (LM)
49. Fourniture et pose de clôtures en vue d’assurer la protection des installations de
production d’eau potable – Captage du Bonlieu – Approbation du cahier des charges.
50. PIC 2017-2018 – Point 4 – Entretien extraordinaire de la rue des Grasses Oies à Virton
– Approbation du cahier des charges.
51. PIC 2017-2018 – Points 5 et 6 – Entretien extraordinaire de voiries : Ruelle Othelet à
Saint-Mard et rue Baillet Latour à Latour – Approbation du cahier des charges.
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52. Mise en œuvre de l’îlot « SOCOLAIT » - Proposition de convention d’assistance à
maîtrise d’ouvrage (AMO) par IDELUX « PROJETS PUBLICS ».
53. Appel à projets visant à « améliorer le cadre de vie des citoyens et augmenter
l’attractivité des lieux de centralité de nos communes » - Rue des Remparts de Virton
– accord de principe sur l’avant-projet.
54. Compte communal – Exercice 2017.
55. Modification budgétaire n°1 ordinaire et extraordinaire 2018.
56. Fabrique d’église de Bleid – Gomery : octroi d’un subside extraordinaire.
57. Ecole communale de Bleid – Acquisition d’un container modulaire préfabriqué neuf
ou d’occasion – Approbation du cahier des charges.
58. Inforius – Contrat de maintenance.
59. Plan de Cohésion Sociale 2014-2019 – Approbation : évaluation du PCS 2014-2019 :
gestion du plan et impacts.
60. Divers et communications – Ordonnances de police et/ou arrêtés de police pris
d’urgence par le Bourgmestre.
61. Divers et communications - Mise à disposition d’un local situé au premier étage des
Dominos à l'asbl « 4 minutes pour la vie » - Précision à apporter.
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CONSEIL COMMUNAL EN DATE DU 27 JUIN 2018
La séance débute à 20 heures 15’.
Sont présents:
MM. CULOT François, Bourgmestre-Président ;
ROISEUX Bernadette, CHALON Etienne, FELLER Didier, WAUTHOZ Vincent, RAULIN
Jean, Echevins ;
LACAVE Denis, LEGROS Philippe, GOBERT Sabine, LEFEVRE Christian, BAILLOT
Hugues, CLAUDOT Alain, GOFFIN Annie, GONRY Paul, PRIGNON Cédric, ZANCHETTA
Philippe, GRAISSE Martine et MULLENS Michel Conseillers ;
Assistés de MODAVE Marthe, Directrice Générale, Secrétaire de Séance.
Sont absents et excusés:
MM. MICHEL Sébastien et GAVROY Christophe, Conseillers.
A) SÉANCE PUBLIQUE
OBJET A) 1. EXERCICE DU DROIT D’INTERPELLATION D’UN CITOYEN –
IRRECEVABILITÉ.
Monsieur LAMBERT Jean-Marc a introduit une interpellation par un courriel transmis le 14
mai 2018 la santé économique de Virton, libellée comme suit :
« L'UCM a réalisée, en mars 2015, une enquête sur la santé économique de Virton.
Cette enquête se base notamment sur un sondage réalisé auprès de 36 commerçants virtonais
(repartis sur 8 zones), qui livrent leurs craintes et critiques mais aussi leurs souhaits et idées.
Pris en vrac: - les rues commerçants sont trop calmes, il n'y a pas assez de passage; il n'y a
pas assez de commerces et aucune politique pour y remédier: - trop de commerces ont fermé
leur portes; - les nouveaux commerces n'ont aucune longévité; - une aide de la Région, par
exemple, pour aider les nouveaux commerçants; - ouvrir les commerces en nocturne; - de
nouveaux parkings;- un piétonnier.
Les conclusions de l'UCM sont que, malgré un potentiel local non négligeable et une
association de commerçants très dynamique:
- la taille des commerces est trop réduite; - le nombre de cellules vides est en croissance; - le
centre stagne. Monsieur le Bourgmestre, en tant que citoyen, je vous interpelle et je vous
demande:
1) cette analyse de l'UCM a-t-elle été débattue au Conseil Communal?2) quelles pistes ont été
envisagées et quelles démarches concrètes ont été mises en place suite à cette enquête? 3)
quels craintes, critiques, souhaits, idées des commerçants ont été entendus et traités?
Je vous interpelle quant à cette analyse de l'UCM car, en 2015-2016, une deuxième étude sur
la viabilité économique virtonaise a été effectuée par le SEGEFA (il s'agit d'un service
d'étude de l'Ulg qui suit, depuis 2008, 34000 commerces et 68 centres-villes. Virton fait partie
de cette étude. Le SEGEFA a développé l'indice de vitalité permettant de synthétiser l'état de
santé du centre-ville).
En 2016, l'étude du SEGEFA place Virton dans la catégorie des centres-villes présentant une
mauvaise vitalité. L'activité commerciale virtonaise y est décrite comme très instable et
comme amorçant un déclin significatif.
Depuis le 9.11.2015, le SEGEFA est agréé pour se mettre au service des communes qui
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souhaitent prendre en main leur avenir commercial et dynamiser l'activité commerciale de
leur ville.
Monsieur le Bourgmestre, en tant que citoyen, je vous interpelle et demande:
4) avez-vous connaissance de cette étude du SEGEFA? 5) si oui, cette étude a-t-elle été
débattue au Conseil Communal? 6) l'analyse du SEGEFA montre une détérioration de
l'activité virtonaise par rapport à l'état dans lequel la ville se trouvait au moment de l'analyse
de l'UCM. Quelles démarches concrètes ont été mises en place à la suite de cette étude et
compte tenu de la détérioration de la situation? 7) avez-vous contacté le SEGEFA ou un
organisme agréé similaire afin d'obtenir les aides nécessaires pour redynamiser l'activité
commerciale de la ville et assurer un avenir à Virton? Si oui, quelles dispositions ont déjà été
prises? 8) avant que Virton ne devienne une cité-dortoir, n'est-il pas urgent de réorienter la
politique communale en matière de vie commerciale, touristique et culturelle afin de
sauvegarder non seulement le cadre de vie, mais aussi les moyens d'existence de nos
concitoyens?
Citoyen concerné, je suis inquiet du devenir de ma cité et des perspectives qui y sont offertes
à nos enfants. Comme vous le savez, l'image de déclin d'une ville déteint sur la volonté et le
moral de sa population, surtout sur s part (les jeunes) qui a encore tout à construire»
Le Collège communal en séance du 23 mai 2018 a décidé de déclarer ladite interpellation
citoyenne irrecevable aux motifs suivants contenus dans le rapport émis en date du 15 mai
2018 par le service juridique transversal :
a) Non-respect de l’article 68, 11° du règlement d’ordre intérieur :
1. La demande ne contient pas la date de naissance du demandeur
2. Les considérants à développer au point 12° pourraient être améliorés.
OBJET A) 2. EXERCICE DU DROIT D’INTERPELLATION D’UN CITOYEN – SANTÉ
ÉCONOMIQUE DE VIRTON.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, notamment l’article L1122-30
relatif aux compétences du Conseil communal ;
Vu l’article L1122-14 §2 du même Code concernant le droit d’interpellation des citoyens ;
Vu le règlement d’ordre intérieur du Conseil communal adopté en séance du 31 janvier 2014 ;
Vu le courrier du 30 mai 2018 de Monsieur Jean-Marc LAMBERT transmettant une
interpellation au sujet de la santé économique de Virton ;
Vu l’inscription de ce point à l’ordre du jour du Conseil communal du 27 juin 2018, Monsieur
François CULOT, Président d’assemblée, invite Monsieur Jean-Marc LAMBERT à exposer
sa question conformément à l’article 70 du Règlement d’Ordre Intérieur du Conseil
communal. Monsieur le Président d’assemblée rappelle la procédure prévue à l’article 70 du
Règlement d’Ordre Intérieur du Conseil communal, à savoir :
- L’interpellant expose sa question, il dispose pour ce faire de 10 minutes maximum ;
- Le Collège répond en 10 minutes maximum ;
- L’interpellant dispose de 2 minutes pour répliquer à la réponse, avant la clôture
définitive du point de l’ordre du jour ;
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- Il n’y a pas de débats, de même l’interpellation ne fait l’objet d’aucun vote en séance
du Conseil communal.
Monsieur le Président cède la parole à Monsieur Jean-Marc LAMBERT.
Monsieur LAMBERT :
L’UCM a réalisée, en mars 2015, une enquête sur la santé économique de Virton.
Cette enquête se base notamment sur un sondage réalisé auprès de 36 commerçants virtonais
(répartis sur 8 zones), qui livrent leurs craintes et critiques mais aussi leurs souhaits et idées.
Pris en vrac : - les rues commerçantes sont trop calmes, il n’y a pas assez de passage ; - il n’y
a pas assez de commerces et aucune politique pour y remédier ; - trop de commerces ont
fermé leurs portes ; - les nouveaux commerces n’ont aucune longévité ; - une aide de la
Région, par exemple, pour aider les nouveaux commerçants ; - ouvrir les commerces en
nocturne ; - de nouveaux parkings ; - un piétonnier. Les conclusions de l’UCM sont que,
malgré un potentiel local non négligeable et une association de commerçants très dynamique :
- la taille des commerces est trop réduite ;
- le nombre de cellules vides est en croissance ;
- le centre stagne.
Monsieur le Bourgmestre, en tant que citoyen, je vous interpelle et je vous demande :
(I)
1) Cette analyse de l’UCM a-t-elle été débattue au Conseil communal ?
2) Quelles pistes ont été envisagées et quelles démarches concrètes ont été mises en place
suite à cette enquête ?
3) Quels craintes, critiques, souhaits, idées des commerçants ont été entendus et traités ?
Je vous interpelle quant à cette analyse de l’UCM car, en 2015-2016, une deuxième étude sur
la vitalité économique virtonaise a été effectuée par le SEGEFA (il s’agit d’un service d’étude
de l’ULg qui suit, depuis 2008, 34000 commerces et 68 centres-villes. Virton fait partie de
cette étude. Le SEGEFA a développé l’indice de vitalité permettant de synthétiser l’état de
santé des centres-villes).
(II)
En 2016, l’étude du SEGEFA place Virton dans la catégorie des centres-villes présentant une
mauvaise vitalité. L’activité commerciale virtonaise y est décrite comme très instable et
comme amorçant un déclin significatif.
Depuis le 9.11.2015, le SEGEFA est agréé pour se mettre au service des communes qui
souhaitent prendre en main leur avenir commercial et dynamiser l’activité commerciale de
leur ville.
4) Avez-vous connaissance de cette étude du SEGEFA ?
5) Si oui, cette étude a-t-elle été débattue au Conseil communal ?
6) L’analyse du SEGEFA montre une détérioration de l’activité virtonaise par rapport à l’état
dans lequel la ville se trouvait au moment de l’analyse de l’UCM. Quelles démarches
7
concrètes ont été mise en place à la suite de cette étude et compte tenu de la détérioration de la
situation ?
7) Avez-vous contacté le SEGEFA ou un organisme agréé similaire afin d’obtenir les aides
nécessaires pour redynamiser l’activité commerciale de la ville et assurer un avenir à Virton ?
Si oui, quelles dispositions ont déjà été prises ?
8) Avant que Virton ne devienne une cité-dortoir, n’est-il pas urgent de réorienter la politique
communale en matière de vie commerciale, touristique et culturelle afin de sauvegarder non
seulement le cadre de vie, mais aussi les moyens d’existence de nos concitoyens ?
Citoyen concerné, je suis inquiet du devenir de ma cité et des perspectives qui y sont offertes
à nos enfants. Comme vous le savez, l’image de déclin d’une ville déteint sur la volonté et le
moral de sa population, surtout sur sa part (les jeunes) qui a encore tout à construire.
Je vous prie de croire, Monsieur le Bourgmestre, en l’assurance de ma parfaite considération.
Réponse du Collège communal : Monsieur Vincent WAUTHOZ :
Cher Monsieur Lambert,
Mon ami Guy GILLOTEAUX, bourgmestre de La Roche, m’a transmis la question qui lui a
été posée le 28 mai par une « citoyenne » de sa commune. Quelle ne fut pas ma surprise de
constater que, mis à part quelques adaptations Virtonaises, le texte, les questions, la
ponctuation… étaient rigoureusement identiques à ceux que vous nous avez transmis le 18
mai .Je crains que vous n’ayez été victime d’un plagia…. A moins que votre démarche ne soit
une entrée en politique. Auquel cas je vous inviterais à retirer le masque citoyen et à nous
rejoindre en toute franchise et en toute clarté.
Sur le fond vous nous interpellez sur la santé économique de Virton en ramenant ensuite vos
constats et questions uniquement sur notre centre ville qui, comme tous les autres centre-ville
de Wallonie et du Luxembourg ,souffre énormément des politiques passées d'externalisation
du commerce en dehors de la ville, du développement de l’e.commerce…
Après ce tableau choisi, très noir, vous terminez votre interpellation par l'affirmation, qui n'est
pas fausse, selon laquelle « l’image de déclin d'une ville déteint sur la volonté, le moral de sa
population surtout sur ceux de jeunes qui ont encore tout à construire. »
Partant de cette affirmation, que je partage, je vous propose de repeindre un tableau plus
objectif, correspondant à notre réalité qui reste prometteuse malgré des faiblesses qu'il
convient d'identifier, pour ensuite les renforcer.
Madame Annick VAN DEN ENDE, Présidente du Centre Public d’Action Sociale prend siège
à 20h24’.
La richesse du commerce indépendant, comme celles des communes, est généralement
boostée par la présence de grandes entreprises. Virton a la chance d'avoir sur son territoire
deux des plus gros employeurs privés de la province. Elle dispose de nombreux complexes
8
scolaires qui accueillent près de 5000 étudiants, d'infrastructures sportives de qualité, de
groupements sportifs animés par des bénévoles très actifs et très efficaces puisque dans
plusieurs disciplines (le football, le tennis de table, l'athlétisme, le basket…) nous « flirtons »
avec l'élite nationale. Nos forêts, nos campagnes offrent un cadre de vie attrayant. Nous
disposons donc d'atouts importants pour attirer des familles.
Sur l'ensemble de ces points nous venons d'enregistrer ces derniers temps une pluie de bonnes
nouvelles :
· Alors que nous avions des craintes très importantes sur la pérennité de l’ entreprise,
Jindal nous a annoncé le transfert de son centre de recherche des États-Unis vers
Virton et la construction d'une nouvelle ligne de production.
· Burgo nous a annoncé il y a quelques semaines un investissement de plus de 30 millions
pour renouveler le cœur de son usine de pâte, celle qui enracine son activité papetière
dans la région.
· Cet investissement pérennise non seulement cette activité pour de nombreuses années
mais il annonce une réduction du principal obstacle à notre développement
démographique et touristique que constituent ces odeurs de chou et d’oseille dont on
peut espérer qu’il ne laisse que celle de l'oseille.
· Nous craignions il y a quelques semaines encore la disparition du club de football de
Virton et de son école de jeunes. La relève sportive issue de cette école de jeunes a
réussi à sauver sportivement le club. Les nouvelles concernant la reprise de celui-ci
par un sponsor très solide a permis in extremis de se maintenir au niveau national et à
ouvrir à nouveau des perspectives de pérennisation de cette école de jeunes dont il se
dit qu'elle pourrait recevoir le soutien d'un de nos diables rouges préféré, ainsi que des
perspectives de développement de cette image positive dont vous dites comme moi
qu'elle est importante pour notre jeunesse.
Venons-en maintenant à nos actions visant à pallier à nos faiblesses :
Le premier handicap de Virton vient de ce que il ne figure pas dans le schéma de
développement régional wallon (SDER) car trop éloigné de l'axe autoroutier auquel ce
schema se limite. Cela me donne l'occasion de mettre en avant l'action de notre
intercommunale IDELUX qui nous a permis de nous faire entendre pour corriger ce schéma
en attirant l'attention sur le fait qu'il prône aussi,pour toutes les zones de développement
économique qu’il projette, la bi-modalité « rail- route » et en rappelant que cet aspect nous
désignait aussi comme zone potentielle de développement économique. Ce fut ma première
action comme échevin de l'économie et comme administrateur d’IDELUX, avec le soutien de
l'ensemble du collège.
La seconde fut la décision du collège, soutenue par tout le conseil, de refuser l’ implantation
d'une moyenne surface de grande distribution, à nouveaux à l'extérieur de la Ville, tout en lui
proposant une installation sur le « site socolait » à proximité de la grand-rue
Le site socolait vient justement d'être équipé de l'éclairage , qui est fonctionnel et qui sera
bientôt pourvu d'allées macadamisées afin de servir de parking de proximité dans l'attente
d'un investisseur immobilier que la convention que nous allons décider de conclure ce jour
avec IDELUX devrait nous apporter.
La construction de notre piscine, non pas sur le plateau de mageroux, mais au cœur de la ville
est le signe concret de notre volonté d'amener de l'activité en centre-ville
L'hôtel de police, décidé hier, ramènera une bonne centaine de fonctionnaires de police au
centre-ville , à la Villa Ste Lucie et y apportera également de la sécurité, du respect de la
propreté…. Tous éléments favorisant l’attractivité du centre-ville.
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Les travaux de rénovation de la place ,de la rue des remparts, de la rue des grasses oies
permettront lorsqu'ils seront terminés un cadre de vie attrayant.
Nous décidons également aujourd'hui un cahier des charges pour la construction d'un
ascenseur dans cette immense bâtisse des vatelottes qui va nous permettre de la transformer
en maison des associations avec un seul ascenseur, une seule chaudière, plusieurs plateaux
permettant des locaux privatifs à chacun , autour d'une grande salle commune.
Nous avons voté il y a moins d'un mois un règlement sur des primes à l'installation dans des
cellules vides ,que nous avons voulues également étendre au cœur des villages.
Rappelons aussi l'engagement d'un mi-temps visant à pallier le refus de notre dossier ADL et
à soutenir l'association commerciale dans ses actions.
Nous votons également une modification budgétaire permettant d'affecter 10.000 € à la
création d'une carte de fidélité (ou autre action) qui permettra à l'ensemble des commerçants
d'agir de manière groupée pour attirer, par des actions communes plus efficaces, les centaines
de travailleurs frontaliers français qui composent ,à plus de 80 % ,le personnel des grandes
entreprises citées ci-dessus.
Pour répondre à vos questions. Oui nous avons connaissance des deux études dont vous faites
état. Oui nous les avons analysées. Non nous n'en avons pas débattu parce qu'elles ne sont pas
à débattre mais font des constats à prendre comme tels. Notons que nous n'avons pas besoin
d'études pour savoir que le commerce de centre-ville disparaît. C'est éclatant. Ces études sont
surtout intéressantes dans la mesure où elles permettent de comparer à d'autre centre-ville. De
ce point de vue , constatons ensemble que notre centre-ville n'est pas le pire malgré son état
alarmant. Il n'est pas non plus le meilleur mais seules des communes mieux servies nous
devancent.
Nous pensons avoir entendu toutes les craintes des commerçants et nous pensons traiter toutes
celles qui sont dans nos moyens, tout en restant ouverts à toute proposition d'action que vous
pourriez nous faire.
Nous n'avons pas fait appel aux services complémentaires, payants, proposés par ces deux
instituts car nous pensons préférable de consacrer nos finances à des actions directes.
J'espère vous avoir convaincu en tout cas de ce que nous conservons des atouts et vous avoir
donné des informations qui vous permettront de développer un discours qui écartera, pour
vous paraphraser, « l’image de déclin d'une ville qui pourrait déteindre sans fondement sur la
volonté, le moral ,de sa population surtout sur ceux des jeunes qui ont encore tout à
construire. »
Réplique de Monsieur Jean-Marc LAMBERT :
L’introduction faite par Monsieur Vincent WAUTHOZ est plus grande que la réponse aux
questions. Ce que Vincent WAUTHOZ a répondu concernant l’industrie et la réussite, il y a
des choses non sues telles que Mima, Monsieur LAMBERT déclarant ne connaitre personne
dans cette entreprise.
Concernant la mobilité, Monsieur LAMBERT déclare qu’il y a énormément d’efforts à faire.
Monsieur LAMBERT déclare que ce n’est pas une interpellation citoyenne qui est faite en un
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endroit. Ladite interpellation se fait dans divers conseils pour vérifier l’impact de cette
nouvelle mise en place.
OBJET A) 3. EXERCICE DU DROIT D’INTERPELLATION D’UN CITOYEN –
SÉCURITÉ ET TRAFIC DE CHARROI LOURD SUR LA N879 (RUE
DE LONGUYON).
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, notamment l’article L1122-30
relatif aux compétences du Conseil communal ;
Vu le règlement d’ordre intérieur du Conseil communal adapté en séance du 31 janvier 2014 ;
Vu le courriel du 04 juin 2018 de Madame AUTHUYS Karine interpellant le Collège
communal au sujet de la sécurité et du trafic de charroi lourd sur la N879 (Rue de
Longuyon) ;
Vu l’inscription de ce point à l’ordre du jour du Conseil communal du 27 juin 2018, Monsieur
le Président invite Madame Karine AUTHUYS à exposer sa question conformément à
l’article 70 du Règlement d’Ordre Intérieur du Conseil communal rappelé ci-avant.
Madame AUTHUYS :
La N879 (Rue de Longuyon) est une source d'inquiétudes et de nuisances pour les riverains de
Ruette et Grandcourt depuis de nombreuses années. La cause majeure en est une route à
l'infrastructure inadaptée. Malgré diverses plaintes et des recommandations formulées au
cours des 15 dernières années en termes d'aménagement, les mesures réellement prises jusqu'à
présent sont minimes et n'ont produit que des effets très limités.
Constatant l'état de dégradation (rapide) de la route, le niveau élevé de trafic actuel
(notamment lourd) et prenant en compte le rajeunissement important des villages de Ruette et
Grandcourt et l'augmentation du nombre d'habitations le long de la N879, je soumets donc la
question suivante:
Quelles mesures concrètes le Collège s'engage-t-il à mettre en place afin d'améliorer et
garantir la sécurité des usagers (notamment faibles) et la qualité de vie des riverains :
1. à court terme, à savoir telles que adaptation des limitations de la vitesse autorisée,
signalétique cohérent, interdiction du trafic de transit (limitation au trafic local, voire limité
aux poids lourds jusqu'à 3,5 T maximum) et le respect de ces limitations par
des contrôles réguliers (tant en termes de vitesse qu'en termes de transit et tonnage);
2. à moyen terme, telle que l'aménagement de trottoirs sécurisés (entre autres: entrée village
Grandcourt en venant de la France, jonction sécurisé entre centre du village et Ravel à Ruette,
passage sécurisé Ravel vers route de St-Remy);
11
3. et à long terme, c-à-d la mise en place d'un réaménagement complet de la voirie et une
réduction, voire une suppression, de la traversée des villages Ruette-Grandcourt par du
charroi lourd, tel que préconisé par le schéma de structure communal?
Réponse du Collège
Monsieur François CULOT :
Monsieur le Président remercie Madame AUTHUYS et déclare qu’il s’est basé sur le courriel
introduit par celle-ci le 04 juin 2018 pour répondre à l’interpellation telle que formulée par
celle-ci dans son courriel.
Monsieur le Président déclare ne pas se souvenir d’avoir entendu ce problème depuis 15 ans.
Il déclare : « J’ai lu les échanges de courriers, durant l’ancienne législature. On attire
particulièrement l’attention en permanence à la Police en ce qui concerne les vitesses.
La route est malheureusement en très bon état. Elle est trop linéaire et la visibilité est presque
trop parfaite. La tendance est d’aller vite. Le radar a le mérite d’exister. Les gens qui ont un
coyote freinent. Félicitations pour l’action menée depuis 15 ans.
En ce qui concerne les mesures :
- À court terme : l’adaptation des limitations de la vitesse autorisée, c’est une procédure
longue. Il faut revoir le signal, interdire le trafic de transit mais avec une étude de
mobilité pour éviter que le problème ne se déplace ailleurs. Il faut bien étudier
- À moyen terme : les trottoirs oui, le Ravel peut servir de trottoir. Il serait bon de le
prolonger ; Le Ravel jusque Grandcourt ce serait parfait. C’est la vision d’un non
spécialiste en mobilité.
- À long terme : réaménagement complet de la voirie : la voirie est en bon état. Il s’agit
d’une route du MET. Il faut prendre contact avec ces gens là. On a le radar, le Lidar
qui a un degré de précision extraordinaire va être placé. L’idée : « en avoir peur ».
Je proposerai d’avoir une réunion avec un rapport de réunion entre la Police, le Met, le
Collège communal et peut-être le service technique. La commune pourra être présente pour
voir à quelles conditions faire un trottoir et peut-être prolonger le Ravel.
Ce point sera porté à l’ordre du jour du Collège et ma promesse est que je suivrai ce dossier. »
Monsieur Vincent WAUTHOZ :
À long terme : il y a des contradictions entre les intérêts économiques, écologiques et la
quiétude des riverains. Les entreprises sont là. Quand Burgo a envisagé de construire une
nouvelle ligne, la DNF a refusé.
Si on pouvait résoudre ce problème, ça résoudrait tout sinon on redévie le trafic ailleurs. Le
Député Provincial ADAM reçoit les plaintes des communes frontalières qui constatent que
depuis la taxe kilométrique le problème est renforcé. Il y a une réflexion qui va aboutir à des
mesures régionales. Le projet sur lequel on peut faire pression c’est le contournement de
Musson et Halanzy. On pourrait voir les choses avec quiétude.
Concernant les actions à long terme : quand on parle à Jindal et Burgo, on se rend compte
qu’ils ne se parlent pas. On a chargé Idélux pour se réunir et qu’ils se parlent. Un groupe de
travail sera constitué pour trouver des solutions et pour mettre le maximum de trafic sur le
contournement.
12
Pour l’Italie, à partir de 200 km, le rail est rentable.
Monsieur François CULOT :
Ajouter le DNF à la réunion.
Réplique de Madame Karine AUTHUYS :
Le train est une alternative intéressante mais ce n’est pas la réponse à tout. Il existe un
contournement de Virton qui n’embête personne. C’est le moyen d’éviter les villages et
d’interdire d’utiliser certaines routes. Ce n’est pas un fatalisme et il n’y a pas d’affectation de
la vie économique.
En ce qui concerne les trottoirs et le Ravel, le Ravel va bien jusqu’à Grandcourt mais il faut
habiter au début là où il commence. Il y a quelque chose à faire.
La route se dégrade déjà et est dégradée. Quand les camions passent, il y a un défoncement et
ça provoque des vibrations dans la taque d’égout. La route n’est pas en bon état pour nous.
Elle se dégrade à nouveau.
Compte tenu du fait qu’une partie du public présent quitte la salle du Conseil, Monsieur le
Président laisse le temps à ce public de sortir de la salle avant de poursuivre l’examen des
points à l’ordre du jour.
Monsieur Didier FELLER se retire à 20h55’.
OBJET A) 4. PARC NATUREL DE GAUME – RAPPORT D’ACTIVITÉS 2017 ET
PROJETS 2018, DU BUDGET PRÉVISIONNEL 2018 ET DES
COMPTES 2017.
Monsieur le Président cède la parole à Monsieur Nicolas ANCION, Directeur du Parc
Naturel de Gaume.
Monsieur Didier FELLER reprend siège à 20h56’ au début de la prise de parole de Monsieur
Nicolas ANCION.
Après la présentation par le Directeur du Parc Naturel de Gaume, Monsieur Nicolas
ANCION, du rapport d’activités 2017 et des projets 2018 et après interventions et réponses
aux questions posées par des conseillers communaux,
LE CONSEIL,
Vu le décret du 3 juillet 2008 modifiant le décret du 16 juillet 1985 relatif aux parcs naturels ;
Vu l’arrêté du Gouvernement wallon du 18 décembre 2014 portant création du « Parc naturel
de Gaume » ;
13
Vu sa délibération prise en date du 20 décembre 2013 décidant notamment de reconduire
l’association de projet « Parc Naturel de Gaume » pour une durée de six ans ;
Vu le courriel du 8 mai 2018 de Monsieur Nicolas ANCION, directeur du Parc Naturel de
Gaume sollicitant l’approbation du rapport d’activités 2017 et des projets 2018, complétés du
budget prévisionnel 2018 et des comptes 2017 ;
Vu le rapport d’activités 2017, les projets 2018, complétés du budget prévisionnel 2018,
établis et présentés par Monsieur Nicolas ANCION, Directeur du Parc Naturel de Gaume ;
Vu les comptes 2017 accompagnés du rapport de la vérificatrice aux comptes, Madame
Danièle ALOMÈNE ;
Considérant que ces différents documents ont été approuvés par l’assemblée générale du Parc
Naturel de Gaume ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 7 juin 2018 décidant de
soumettre à l’approbation du Conseil communal lors de sa prochaine séance le contenu du
dossier reprenant le rapport d’activités 2017 et les projets 2018, complétés du budget
prévisionnel 2018 et des comptes 2017 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
APPROUVE le contenu du dossier contenant le rapport d’activités 2017 et les projets 2018,
complétés du budget prévisionnel 2018, et les comptes 2017 accompagnés du rapport de la
vérificatrice aux comptes, Madame Danièle ALOMÈNE.
OBJET A) 5. CONVENTION DES MAIRES – ACCORD SUR LE PLAN D’ACTION
ÉNERGIE DURABLE – CLIMAT.
Après une présentation du plan d’action pour l’énergie durable par Monsieur Daniel
CONROTTE, après questions et interventions de conseillers communaux,
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation ;
Vu sa délibération prise en date du 26 février 2016 décidant de marquer son accord sur le
partenariat proposé par la Cellule Développement Durable de la Province de Luxembourg,
dont l’objectif est entre autres de répondre aux exigences de base pour intégrer le processus
européen de la Convention des Maires ;
Vu sa délibération prise en date du 14 novembre 2017 décidant:
d’accepter d’adhérer à la Convention des Maires (avec l’exigence d’élaborer un plan
d’actions dans les deux années à dater de cette date),
14
de mandater Madame Caroline TOUSSAINT pour opérer le suivi informatique ad hoc
avec l’aide de la Province de Luxembourg,
de montrer son intérêt pour d’éventuels projets supra communaux à venir (réalisations,
communication, mobilisation, …) ;
Considérant que suite à l’adhésion de la commune à la convention des Maires, celle-ci a deux
ans pour finaliser son Plan d’Action pour l’Energie Durable (PAED) ;
Considérant qu’un comité de pilotage a été mis en place avec l’aide de citoyens pour
l’élaboration de ce plan d’actions ;
Vu le plan d’action énergie durable et climat établi pour la commune de Virton ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 7 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
MARQUE SON ACCORD sur le plan d’action énergie durable et climat établi pour la
commune de Virton.
Monsieur Philippe LEGROS se retire à 21h39’.
OBJET A) 6. RAPPORT DE RÉMUNÉRATION ÉTABLI EN EXÉCUTION DE
L’ARTICLE L6421-1 DU CODE DE LA DÉMOCRATIE LOCALE ET
DE LA DÉCENTRALISATION – EXERCICE 2017.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation ;
Vu le Décret du 29 mars 2018 modifiant le Code de la Démocratie Locale et de la
Décentralisation en vue de renforcer la gouvernance et la transparence dans l’exécution des
mandats publics au sein des structures locales et supra-locales et de leurs filiales, notamment
son article 71 ;
Vu l’Arrêté du Gouverneur wallon du 31 mai 2018 pris en exécution des articles L1123-15,
L2212-45, L6411-1, L6421-1 et L6451-1 du Code de la Démocratie Locale et de la
Décentralisation ;
Vu le rapport de rémunération repris en annexe de la présente et par lequel notre Assemblée
arrête les rémunérations de membres du Conseil communal reprenant le relevé individuel et
nominatif des jetons, rémunérations ainsi que des avantages en nature perçus dans le courant
de l’exercice comptable précédent, soit l’exercice 2017 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
ARRÊTE le rapport de rémunération repris en annexe de la présente et par lequel notre
Assemblée arrête les rémunérations de membres du Conseil communal reprenant le relevé
15
individuel et nominatif des jetons, rémunérations ainsi que des avantages en nature perçus
dans le courant de l’exercice comptable précédent, soit l’exercice 2017.
Et, en conséquence de quoi,
TRANSMET, pour le 1er
juillet 2018 au plus tard, la présente et le rapport de rémunération
susvisé au Gouvernement wallon c/o SPW – DGO 5.
OBJET A) 7. ORES ASSETS – ASSEMBLÉE GÉNÉRALE LE 28 JUIN 2018.
Monsieur Philippe LEGROS reprend siège à 21h40’.
LE CONSEIL,
Vu la convocation adressée ce 09 mai 2018 par l’Intercommunale ORES Assets en vue de
participer à Assemblée Générale qui aura lieu le jeudi 28 juin 2018 à 10 heures dans les
locaux du Spiroudome, rue des Olympiades, 2 à 6000 Charleroi ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
Les points portés à l’ordre du jour de l’Assemblée générale du 28 juin prochain, à savoir :
1. Présentation du rapport annuel 2017 ;
2. Comptes annuels arrêtés au 31 décembre 2017 ;
a) Présentation des comptes et des rapports de gestion et règles d’évaluation y
afférent ainsi que du rapport de prises de participation ;
b) Présentation du rapport du réviseur ;
c) Approbation des comptes statutaires d’ORES Assets arrêtés au 31 décembre 2017
et de l’affectation du résultat ;
3. Décharge aux administrateurs pour l’exercice de leur mandat en 2017 ;
4. Décharge au réviseur pour l’exercice de son mandat en 2017 ;
5. Remboursement des parts R à la commune d’Aubel ;
6. Distribution des réserves disponibles (suite de l’opération scission-absorption PBE :
art.2 de la convention relative à l’opération de scission) ;
7. Nouvelle politique de dividende : suppression des parts R (par remboursement et/ou
conversion en parts A) et incorporation des réserves disponibles au capital : opérations
à réaliser pour le 1er
janvier 2019 ;
8. Modifications statutaires ;
9. Nominations statutaires ;
10. Actualisation de l’annexe 1 des statuts – Liste des associés ;
sont approuvés tel que présentés.
OBJET A) 8. SERVICE EXTERNE DE PRÉVENTION ET DE PROTECTION AU
TRAVAIL – CESI - NOTIFICATION DE PRÉAVIS.
16
LE CONSEIL,
Vu le Code du Bien-Être au travail, livre II, titre 3 - Le services externes pour la prévention et
la protection au travail ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 17 décembre 2010 décidant
d’attribuer le marché public de services ayant pour objet « l’affiliation à un service externe de
prévention et de protection au travail » pour l’Administration communale et pour le CPAS,
dans les liens d’un contrat à durée indéterminée prenant cours le 1er
janvier 2011 ;
Vu l’article 37 § 1er
et § 2 de la loi du 15 juin 2006 - Loi relative aux marchés publics et à
certains marchés de travaux, de fournitures et de services disposant que dès sa conclusion, un
marché peut comporter une ou plusieurs reconductions, selon les modalités mentionnées dans
les documents du marché. La durée totale, y compris les reconductions, ne peut en règle
générale dépasser quatre ans à partir de la conclusion du marché ;
Considérant qu’il y a lieu de procéder à une nouvelle mise en concurrence, dans le cadre
d’une affiliation à un service externe de prévention et de protection au travail afin de se
conformer aux dispositions visées ci-dessus en matière de marché public de service ;
Vu le contrat établi en date du 17 janvier 2011 entre l’Administration communale de Virton –
Rue Charles Magnette, 17 à 6760 Virton et le CESI – avenue Konrad Adenauer, 8 à 1200
Bruxelles ;
Vu l’art. 10 du contrat précité disposant que l’affiliation est conclue pour une durée
indéterminée à laquelle il peut être mis fin moyennant un préavis donné par une des parties,
avec respect d’un délai de préavis qui s’élève à un minimum de six mois, prenant cours le 1er
jour du mois qui suit celui au cours duquel le préavis est notifié et prenant fin le 31 décembre
de l’année civile courante ou de l’année suivante, suivant le cas ;
Vu le courrier en date du 23 avril 2018 par lequel le Centre Public d’Action Sociale de Virton
sollicite d’être tenu informé du suivi du dossier relatif au marché de service avec le SEPP ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 17 mai 2018 par laquelle celui-ci
décide de notifier notre préavis au CESI, avenue Konrad Adenauer, 8 à 1200 Bruxelles en vue
de mettre fin à notre collaboration, pour le 30 juin 2018 ainsi que d’initier un appel d’offre en
vue d’une nouvelle collaboration entre la Ville et un Service Externe de Prévention et de
Protection au Travail, pour une durée de quatre années à partir du 1er
janvier 2019 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE d’accepter la décision du Collège communal prise en date du 17 mai 2018 de
notifier le préavis de la Ville au CESI, avenue Konrad Adenauer, 8 à 1200 Bruxelles en vue
de mettre fin à notre collaboration, pour le 30 juin 2018 ainsi que d’initier un appel d’offre en
vue d’une nouvelle collaboration entre la Ville et un Service Externe de Prévention et de
Protection au Travail, pour une durée de quatre années à partir du 1er
janvier 2019.
17
OBJET A) 9. RECRUTEMENT CONTRACTUEL DE TROIS BRIGADIERS : UN POUR
LE SERVICE PARCS ET JARDINS, UN POUR LE SERVICE FORÊT ET
PLANTATIONS ET UN POUR LE SERVICE DE MAINTENANCE DES
BÂTIMENTS : PRINCIPE ET CONDITIONS.
LE CONSEIL,
Vu les statuts administratif et pécuniaire du personnel communal adoptés en date du 31 mai
1996 et leurs modifications ultérieures ;
Vu le cadre organique du personnel communal comptant notamment 4 postes vacants de
brigadiers ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 17 mai 2018 fixant le nouvel
organigramme des services communaux, phase 1, au 1er
janvier 2018, structuré en six
départements, en plus du secrétariat général et des grades légaux et fixant le nouvel
organigramme des services communaux, phase 2, structuré en sept départements, à l’issue de
la réalisation de la phase 1 ;
Vu sa délibération prise en date du 14 novembre 2017, partiellement approuvée par les
autorités de tutelle en date du 22 décembre 2017, décidant de remplacer l’annexe IV du statut
administratif du personnel communal – niveau C – C1 et prévoyant un accès au grade de
brigadier par voie de recrutement à défaut de lauréats issus de la procédure de promotion ;
Vu sa délibération prise en date du 29 mars 2018 décidant de procéder à la nomination par
voie de promotion de quatre brigadiers - niveau C1 : un brigadier pour le service voirie dont
les cimetières, un brigadier pour le service parcs et jardins, un brigadier pour le service forêt
et plantations et un brigadier pour le service de maintenance des bâtiments et fixant les
conditions de ces promotions ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 05 avril 2018 décidant de porter
à la connaissance des agents communaux la vacance des emplois à conférer par promotion par
avis affiché aux valves de l’Hôtel de Ville du 10 avril au 09 mai 2018, de communiquer un
avis pour chaque poste à chaque agent susceptible d’être nommé par remise de la main à la
main, contre accusé de réception, les agents éventuellement éloignés du service recevant un
avis par lettre recommandée à la poste et fixant la date ultime pour le dépôt des candidatures
au 11 mai 2018 ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 17 mai 2018 déclarant les
candidatures admissibles pour le poste de brigadier pour le service voirie dont les cimetières ;
Considérant qu’aucune candidature n’a été introduite pour les postes de brigadier pour le
service parcs et jardins, de brigadier pour le service foret et plantations ni pour le poste de
brigadier pour le service de maintenance des bâtiments accessibles par voie de promotion ;
Considérant qu’il y a lieu de fixer les conditions de recrutement contractuel pour les postes de
brigadier pour le service parcs et jardins, pour le service forêt et plantations ainsi que pour le
service de maintenance des bâtiments;
Vu l’avis des organisations syndicales représentatives ;
18
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 08
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis en date du 12 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
Article 1 :
DECIDE de procéder au recrutement contractuel de trois brigadiers - niveau C1 : un brigadier
pour le service parcs et jardins, un brigadier pour le service forêt et plantations et un brigadier
pour le service de maintenance des bâtiments
Article 2 :
FIXE comme suit les conditions de ces recrutements :
- Etre titulaire d’un diplôme de l’enseignement secondaire supérieur en rapport avec la
fonction à exercer ;
- Attester d’une expérience professionnelle de 4 ans dans le domaine d’activité de la
fonction à exercer ;
- Réussir une épreuve orale d’accession au niveau C1 devant une commission de
sélection composée, sous la présidence du Bourgmestre ou de son représentant, d’un
membre du Collège communal, de la Directrice générale, de l’agent technique en chef,
de l’agent technique de charge du service concerné et du conseiller en prévention
interne.
Le secrétariat sera assuré par un agent du Département du Personnel.
Pour le poste de brigadier pour le service parcs et jardins, cette épreuve orale portera
sur la programmation de chantiers, l’utilisation d’une tondeuse, débroussailleuse,
taille-haies, perche élagueuse, tronçonneuse d’élagage, motoculteur et broyeur ainsi
que sur les consignes de sécurité liées à cette utilisation, les tâches des ouvriers et
ouvriers qualifiés du service parcs et jardins et la transmission de consignes de travail,
provenant d’un supérieur hiérarchique, à une équipe d’ouvriers et ouvriers qualifiés.
Pour le poste de brigadier pour le service forêt et plantations, cette épreuve orale
portera sur la programmation de chantiers, l’utilisation d’une tronçonneuse, d’un
tracteur, d’un broyeur et d’un treuil ainsi que sur les consignes de sécurité liées à cette
utilisation, les tâches des ouvriers et ouvriers qualifiés du service foret et plantations la
transmission de consignes de travail, provenant d’un supérieur hiérarchique, à une
équipe d’ouvriers et ouvriers qualifiés
Pour le poste de brigadier pour le service de maintenance des bâtiments, cette épreuve
orale portera sur la programmation de chantiers, l’utilisation de petit matériel
électroportatif, nettoyeur haute pression et accessoires, scie radial, appareils de mesure
et échafaudage ainsi que sur les consignes de sécurité liées à cette utilisation, les
tâches des ouvriers et ouvriers qualifiés du service de maintenance des bâtiments et la
19
transmission de consignes de travail, provenant d’un supérieur hiérarchique, à une
équipe d’ouvriers et ouvriers qualifiés
La commission de sélection transmettra au Conseil communal la liste des personnes
ayant réussi l’épreuve d’accession et remplissant les conditions de promotion.
Les organisations syndicales représentatives seront invitées à assister à l’épreuve
d’accession.
Les conditions de recrutement doivent être remplies à la date de désignation.
CONDITION PARTICULIERE
Etre en possession de permis de conduire de la catégorie B
Rémunération :
Echelle barémique C1. Traitement à 100 % (indice pivot 138,01)
Minimum : 15.648,28 €
Maximum : 23.382,38 €
Développement : 4 x 1 250,38 €
1 x 1 413,12 €
4 x 1 425,63 €
3 x 1 475,71 €
13 x 1 245,37 €
Indemnités :
Allocations réglementaires éventuelles.
VALIDITE DES EPREUVES
Les candidats ayant réussi l’épreuve de sélection seront dispensés de subir de nouvelles
épreuves pour un recrutement dans une fonction et un grade identique.
OBJET A) 10. STATUT ADMINISTRATIF : MODIFICATION DES ARTICLES 75, 76,
86, 93, 119, ET 120 A 120 TER.
LE CONSEIL,
Vu les statuts administratif et pécuniaire adoptés par le Conseil communal en date du 31 mai
1996 ;
Vu l’article 30 de la loi du 03 juillet 1978 relative aux contrats de travail fixant les
dispositions relatives au congé de paternité ;
Vu le chapitre IV de la loi du 16 mars 1971 sur le travail, relatif à la protection de la
maternité ;
20
Vu l’article 2, §3, de l’arrêté royal du 19 novembre 1998 relatif aux congés et absences
accordés aux membres du personnel des administrations de l’Etat ;
Vu l’article 75 du statut administratif, chapitre X, section 3, accordant des congés de
circonstances ;
Considérant qu’il s’indique d’étendre la notion de mariage à la cohabitation légale ainsi que la
notion de conjoint afin de rencontrer l’évolution des circonstances de vie des agents ;
Considérant que le délai durant lequel le congé de paternité peut être posé est fixé à quatre
mois au lieu de trente jours pour le personnel contractuel et qu’il y a lieu d’adopter une
position similaire pour le personnel statutaire ;
Vu l’article 75, 3° du statut administratif accordant un congé lors du décès du conjoint de
l’agent ou de la personne avec laquelle l’agent vit en couple ;
Considérant que les termes « ou de la personne avec laquelle l’agent vit en couple » dans l’art.
75 3° du statut administratif sont superflus en cas d’assimilation de la cohabitation légale au
mariage pour l’ensemble de l’article 75 du statut administratif ;
Vu l’article 76 du statut administratif, chapitre X, section 3-congés de circonstance et de
convenance personnelle, accordant aux agents des congés exceptionnels pour force majeure
résultant de la maladie ou d’un accident survenu à des personnes déterminées habitant sous le
même toit que l’agent ;
Considérant qu’il y a lieu d’actualiser les termes « avec laquelle il vit maritalement » figurant
à l’art. 76 du statut administratif ;
Considérant que la possibilité de fractionner son congé exceptionnel pour force majeure
résultant de la maladie ou d’un accident survenu à des personnes déterminées habitant sous le
même toit que l’agent, en demi-journées, permettra à l’agent une utilisation plus souple de ce
congé plafonné à un maximum de quatre jours ouvrables par an ;
Vu les articles 86 à 88 du statut administratif relatifs au congé de paternité en cas
d’hospitalisation ou de décès de la mère ;
Considérant qu’il s’indique d’étendre la notion de père afin de rencontrer l’évolution des
circonstances de vie des agents ;
Vu l’article 92 du statut administratif, exclusivement applicable au personnel statutaire,
disposant que ne sont pas déduites du capital de congés de maladie, les congés ou absences
suivantes : (…)
Dispense de service à l’agent qui tombe malade en cours de journée et qui obtient de
son chef de service l’autorisation de quitter le travail afin de rentrer chez lui ou de
recevoir des soins médicaux ;
Vu l’article 93 du statut administratif, exclusivement applicable au personnel statutaire,
disposant que l’agent qui est dans l’impossibilité de poursuivre l’exercice de ses fonctions
avertit son chef de service ;
21
Considérant qu’il y a lieu d’expliciter davantage cette procédure ;
Vu l’article 27 de la loi du 03 juillet 1978 relative aux contrats de travail ;
Vu l’article 22 du règlement de travail, exclusivement applicable au personnel contractuel,
disposant que « si, après son arrivée au travail, le travailleur ne peut poursuivre le travail en
raison d’une incapacité de travail survenue soudainement, il peut quitter son poste après en
avoir informé son supérieur direct. Si l’absence se limite à un seul jour, la journée commencée
est réputée travaillée. Si l’absence se prolonge, l’agent doit envoyer ou faire parvenir un
certificat médical à l’employeur dans les deux jours ouvrables. Ce certificat mentionnera le
jour du départ du travail comme étant le premier jour d’incapacité » ;
Considérant qu’il y a lieu d’adopter des textes similaires pour le personnel statutaire et
contractuel ;
Vu l’article 119 du statut administratif relatif à la dispense de service ;
Considérant qu’il y a lieu de préciser la qualification de la journée débutée visée aux articles
92 et 93 du statut administratif et de l’inclure dans la section relative aux dispenses de service
pour clarifier les textes;
Vu la loi du 14 décembre 2000 fixant certains aspects de l’aménagement du temps de travail
dans le secteur public ;
Vu la loi du 16 mars 1971 sur le travail, applicable au personnel de l’abattoir ;
Vu les articles 120 à 120 ter du statut administratif fixant le congé de récupération ;
Vu le procès-verbal de la réunion du Comité de concertation et de négociation syndicales
tenue en date du 21 août 2017, point Divers, 1. Durée du congé de récupération ;
Considérant que le personnel administratif de l’Hôtel de Ville bénéficie d’un horaire avec
plages mobiles et plages fixes et peut faire varier ses plages mobiles pour les adapter à ses
besoins privés ;
Considérant que le personnel travaillant selon un horaire fixe dispose de moins de latitude
dans la variation de son occupation journalière ;
Considérant que le fractionnement du congé de récupération, pour le personnel soumis à un
horaire de travail fixe, lui permettra de disposer d’une flexibilité d’organisation personnelle
qui n’est actuellement accordée qu’au personnel administratif de l’Hôtel de Ville ;
Vu le protocole d’accord conclu en négociation syndicale en date du 1er
juin 2018 ;
Vu le procès-verbal de la réunion de concertation Ville-CPAS tenue en date du 21 juin 2018 ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 08
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis favorable en date du 12 juin 2018 ;
22
Après en avoir délibéré, UNANIME,
Article 1 :
DECIDE d’insérer le paragraphe suivant, en début d’article 75 du statut administratif :
Pour l’application du présent article, sont assimilés
- au mariage, l’enregistrement d’une déclaration de cohabitation légale par deux
personnes de sexe différent ou de même sexe qui cohabitent en tant que couple ;
- au conjoint de l’agent, la personne, de sexe différent ou de même sexe, avec qui
l’agent vit en couple au même domicile.
Article 2 :
DECIDE de remplacer, à l’art. 75, 2° du statut administratif, les termes « 30 jours » par « 4
mois ».
Article 3 :
DECIDE d’insérer, à l’article 75, 2° du statut administratif de nouveaux alinéas rédigés
comme suit :
"A défaut d'un agent visé à l'alinéa précédent, le même droit revient à l’agent qui, au
moment de la naissance :
1° est marié avec la personne à l'égard de laquelle la filiation est établie ;
2° cohabite légalement avec la personne à l'égard de laquelle la filiation est établie et chez
laquelle l'enfant a sa résidence principale, et qu'ils ne soient pas unis par un lien de parenté
entraînant une prohibition de mariage dont ils ne peuvent être dispensés par le Roi ;
3° depuis une période ininterrompue de trois ans précédant la naissance, cohabite de manière
permanente et affective avec la personne à l'égard de laquelle la filiation est établie et chez
laquelle l'enfant a sa résidence principale, et qu'ils ne soient pas unis par un lien de parenté
entraînant une prohibition de mariage dont ils ne peuvent être dispensés par le Roi. La preuve
de la cohabitation et de la résidence principale est fournie au moyen d'un extrait du registre de
la population.
Un seul agent a droit au congé visé à l'alinéa précédent, à l'occasion de la naissance d'un
même enfant. Les agents qui ouvrent le droit au congé en vertu respectivement du 1°, du 2° et
du 3° de l'alinéa 2 ont successivement priorité les uns sur les autres.
Le droit au congé de maternité visé à l'article 83 du présent statut pour le personnel statutaire
et visé à l’article 39 de la loi du 16 mars 1971 sur le travail pour le personnel contractuel
exclut pour un même parent, le cas échéant, le droit au congé ouvert par les alinéas
précédents.
Article 4 :
DECIDE de supprimer, à l’article 75 du statut administratif, les termes « ou de la personne
avec laquelle l’agent vit en couple ».
Article 5 :
23
DECIDE d’inserer la phrase suivante en fin d’article 76 du statut administratif : ce congé peut
être fractionné en demi-journées.
Article 6 :
DECIDE de remplacer, à l’article 86 du statut administratif, les termes « agent masculin » par
« le père ou la personne de sexe féminin ou masculin mariée avec la mère ou vivant en couple
avec cette dernière au même domicile ».
Article 7 :
DECIDE de modifier comme suit l’article 93 du statut administratif :
La phrase « l’agent qui est dans l’impossibilité de poursuivre l’exercice de ses fonctions
avertit son chef de service » est remplacée par « Si, après son arrivée au travail, l’agent ne
peut poursuivre le travail en raison d’une incapacité de travail survenue soudainement, il peut
quitter son poste après en avoir informé son supérieur direct. Si l’absence se limite à un seul
jour, la journée commencée est réputée travaillée et fait l’objet d’une dispense de service
conformément à l’art. 119 du présent statut. Si l’absence se prolonge, le jour de départ du
travail constitue le premier jour d’incapacité et l’agent doit transmettre les certificats
médicaux (employeur et Medex) dans les mêmes formes que pour toute incapacité de
travail ». Ce nouveau texte est placé en fin de paragraphe.
Article 8 :
DECIDE d’ajouter le point 12° suivant à l’article 119 du statut administratif :
12° impossibilité de poursuivre le travail débuté, alors que l’agent s’était rendu normalement
sur les lieux du travail, en raison d’une incapacité de travail survenue soudainement et lorsque
cette incapacité se limite à une journée. La journée étant prise en compte de façon forfaitaire
(7h36 pour une occupation à temps plein et en fonction de l’horaire de travail pour le
personnel à temps partiel), il n’est pas tenu compte des heures prestées.
Article 9 :
DECIDE de modifier, comme suit, les articles 120, 120 bis et 120 ter du statut administratif :
Le paragraphe suivant est ajouté à la fin de chaque article : « Le personnel soumis à un
horaire de travail fixe, conformément au règlement de travail du personnel communal, pourra
prendre son congé de récupération, par périodes minimales d’une heure. Ce congé de
récupération est pris selon les convenances de l’agent et en fonction des nécessité du service :
il se demande 48 heures à l’avance, sauf cas de force majeure appréciée par le responsable de
service ».
OBJET A) 11. STATUT PÉCUNIAIRE : MODIFICATION DE L’ARTICLE 55 :
INTERVENTION DANS LES FRAIS DE TRANSPORT : B.
BICYCLETTE.
LE CONSEIL,
Vu les statuts administratif et pécuniaire adoptés par le Conseil communal en date du 31 mai
1996 ;
24
Vu l’article 55 du statut pécuniaire, chapitre VII-Indemnités, fixant notamment une
intervention dans les frais de transport pour utilisation de la bicyclette pour effectuer un
déplacement domicile-lieu de travail ;
Considérant qu’il s’indique d’encourager ce type de déplacement non polluant et ayant un
impact positif sur le stationnement au centre de Virton ;
Considérant que l’article 55 du statut pécuniaire, dans le cadre de l’indemnité pour utilisation
de la bicyclette, ne précise pas si l’agent peut effectuer un trajet aller-retour ou deux sur la
journée ;
Considérant qu’il s’indique de clarifier le texte afin d’en faciliter l’application ;
Considérant également qu’il y a lieu d’actualiser le texte en fonction des modifications
techniques apportées au mode de déplacement à bicyclette ;
Vu l’article 19, §2, 16° de l’arrêté royal du 28 novembre 1969 pris en exécution de la loi du
27 juin 1969 révisant l'arrêté-loi du 28 décembre 1944 concernant la sécurité sociale des
travailleurs ;
Considérant que l’indemnité allouée au travailleur pour ses déplacements à bicyclette entre le
domicile et le lieu de travail n’est pas soumise aux cotisations sociales à condition que son
montant ne dépasse pas 0.23 € par km et que le plafond d’exonération fiscale est fixé au
même montant ;
Vu le protocole d’accord conclu en négociation syndicale en date du 1er
juin 2018 ;
Vu le procès-verbal de la réunion de concertation Ville-CPAS tenue en date du 21 juin 2018 ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 08
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis favorable en date du 12 juin
2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
Article 1 :
DECIDE d’insérer l’alinéa suivant à l’article 55 du statut pécuniaire, au sein des dispositions
relatives à l’intervention dans les frais de transport 2. Bicyclette :
La bicyclette est éventuellement équipée, dans le but premier d’aider au pédalage, d’un mode
de propulsion dont l’alimentation est interrompue lorsque le véhicule atteint une vitesse
maximale de 25 km à l’heure.
Article 2 :
DECIDE d’insérer l’alinéa suivant à l’article 55 du statut pécuniaire, au sein des dispositions
relatives à l’intervention dans les frais de transport 2. Bicyclette :
L’indemnité peut être octroyée pour un maximum de deux allers-retours par journée de
25
travail.
Article 3 :
DECIDE de remplacer le nombre 0,15 € par le nombre 0,23 €, à l’article 55 du statut
pécuniaire, au sein des dispositions relatives à l’intervention dans les frais de transport 2.
Bicyclette.
OBJET A) 12. RÈGLEMENT DE TRAVAIL : MODIFICATION DE L’ARTICLE 6 A.,
6B, 10, 13, 14, 15, 16 A 16 TER, 18, 22, ANNEXES 2.1, 2.2, 2.3, 2.5, 2.8,
2.9 CRÉATION DES ANNEXES 2.6, 10 BIS ET 13.
LE CONSEIL,
Vu le Code du Bien-être au travail ;
Vu les statuts administratif et pécuniaire du personnel communal adoptés en date du 31 mai
1996 ;
Vu le règlement de travail du personnel communal adopté en date du 16 mai 2008 et ses
modifications ultérieures ;
Vu l’article 6 A. du règlement de travail fixant l’horaire des agents des services
administratifs ;
Vu l’annexe 2.9 du règlement de travail fixant des dispositions particulières pour les
prestations des agents des services population, état civil, casiers judiciaires et permis de
conduire ;
Considérant les demandes récurrentes des services administratifs (« enquête » sur les horaires,
réunions des responsables de département, …) de pouvoir bénéficier de plages de travail à
bureaux fermés, de façon à pouvoir se concentrer sur l’instruction des dossiers ;
Considérant que le nombre important d’agents dans certains bureaux induit un niveau sonore
(téléphone, entretiens avec population, …) inconfortable et non propice à la concentration ;
Considérant que le travail à bureaux fermés constitue une mesure nécessaire et importante de
prévention en matière de charge psychosociale au travail ;
Considérant qu’un pic d’affluence est constaté le mercredi après-midi ainsi que le vendredi
matin ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 08 novembre 2017 décidant de
fermer des services situés au 1er
et au 2ème
étage de l’Hôtel de Ville, les mardis et jeudis après-
midi ;
Considérant que la fermeture des bureaux au public ne suppose pas de modification des
horaires de travail du personnel ;
26
Considérant toutefois que les heures d’ouverture des bureaux au public sont visées à l’article
6 A. du règlement de travail et que le texte doit être adapté en conséquence ;
Considérant que la configuration actuelle du service accueil ne permet pas une fermeture au
public des services du rez-de-chaussée de l’Hôtel de Ville tant que celui-ci n’aura pas été
extrait du bureau paysager ;
Vu l’article 6 A. du règlement de travail fixant l’horaire des agents des services
administratifs ;
Vu l’article 6 B. du règlement de travail fixant l’horaire du personnel ouvrier et technique des
services techniques ;
Vu l’article 10 du règlement de travail fixant des horaires d’exception ;
Vu les annexes 2 (2.1, 2.2, 2.3, 2.8 et 2.9) du règlement de travail fixant des dispositions
particulières relatives à des prestations de travail de services particuliers ;
Considérant qu’un programme de mesures techniques et organisationnelles a été établi et
concerté en 2013 ;
Considérant qu’il y a lieu de se référer aux dispositions du Code du bien-être au travail, art.
V.-1-1 à V.-1-16 et annexe V.-1-1 en matière d’ambiances thermiques ;
Vu sa décision de ce jour marquant son accord sur diverses modifications des articles 75 et 76
du statut administratif ;
Considérant qu’il y a lieu d’adapter les articles 13 et 14 du règlement de travail en
conséquence, étant entendu qu’ils sont constitués du texte des articles 75 et 76 du statut
administratif ;
Vu la loi du 14 décembre 2000 fixant certains aspects de l’aménagement du temps de travail
dans le secteur public ;
Vu la loi du 16 mars 1971 sur le travail, applicable au personnel de l’abattoir ;
Vu les articles 120 à 120 ter du statut administratif fixant le congé de récupération ;
Vu l’article 6A du règlement de travail fixant les horaires de travail des agents des services
administratifs et disposant que les prestations de travail sont exprimées en demi-journées ou
journées complètes ;
Vu l’article 6 B. du règlement de travail fixant les horaires de travail du personnel ouvrier et
technique des services techniques ;
Vu les annexes 2.1, 2.2, 2.3, 2.5 et 2.6 du règlement de travail fixant les horaires de travail du
personnel des services bibliothécaires, de l’abattoir communal, du service d’entretien, du
personnel administratif du service des travaux et de la conseillère en prévention-fonctionnaire
planu ;
27
Vu sa décision de ce jour marquant son accord sur la modification des articles 120 à 120 ter
du statut administratif ;
Considérant qu’il y a lieu d’adapter les articles 16 à 16 ter du règlement de travail en
conséquence, étant entendu qu’ils sont constitués du texte des articles 120 à 120 ter du statut
administratif ;
Vu sa décision de ce jour marquant son accord sur la modification de l’article 119 du statut
administratif ;
Considérant qu’il y a lieu d’adapter l’article 15 du règlement de travail en conséquence, étant
entendu qu’il est constitué du texte de l’article 119 du statut administratif ;
Vu ses décisions de ce jour marquant son accord sur des modifications des articles 93 et 119
du statut administratif ;
Considérant qu’il y a lieu d’adapter l’article 18 du règlement de travail en conséquence, étant
entendu qu’il est partiellement constitué du texte de l’article 93 du statut administratif ;
Considérant qu’il y a lieu d’adapter l’article 22 du règlement de travail afin de lieu le départ
du travail, défini dans cet article, à la notion de dispense de service ;
Vu l’annexe 2.5 du règlement de travail du personnel communal fixant des dispositions
particulières relatives au personnel administratif du service travaux ;
Considérant qu’il y a lieu d’actualiser cette annexe ;
Considérant que l’ancienne annexe 2.6 au règlement de travail fixant des dispositions
particulières relatives au personnel de la piscine communale a été supprimée le 17 juin 2017 ;
Considérant qu’il y a lieu de définir l’horaire de travail de la conseillère en prévention-
fonctionnaire planu ;
Vu les articles 19, §2, 5° et 20, §2, 2° de l’arrêté royal du 28 novembre 1969 pris en exécution
de la loi du 27 juin 1969 révisant l'arrêté-loi du 28 décembre 1944 concernant la sécurité
sociale des travailleurs ;
Considérant que lorsque l’autorité accorde à un membre de son personnel la disposition
gratuite à des fins privées d’un PC et/ou d’une connexion et d’un abonnement internet, cet
agent bénéficie d’un avantage de toute nature soumis aux cotisations sociales et à l’impôt ;
Considérant d’autre part que si le matériel ne peut être utilisé qu’à des fins professionnelles, il
n’y a pas d’avantage dans le chef de l’agent ;
Considérant toutefois qu’il y a lieu de veiller à ce que l’interdiction d’un usage privé figure
dans une convention écrite signée par l’agent et à ce qu’elle soit respectée ;
Considérant que la volonté de la Ville de Virton est de définir un usage strictement
professionnel des outils de travail ;
28
Considérant qu’il y a lieu de préciser les modalités de mise à disposition et d’utilisation de ce
matériel ainsi que des modalités de protection et de contrôle ;
Vu le procès-verbal de la réunion du Comité pour la prévention et la protection au travail
tenue en date du 1er
juin 2018 ;
Vu le protocole d’accord conclu en négociation syndicale en date du 1er
juin 2018 ;
Vu l’avis des organisations syndicales représentatives relatif aux articles 2, 3 et 15 de la
présente délibération ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 08
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis favorable en date du 12 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
Article 1 :
DECIDE de modifier comme suit l’article 6A du règlement de travail :
La phrase « Une présence dans chaque service devra être assurée durant les heures
d’ouverture des bureaux au public, lesquelles seront de 8 heures 30 à 12 heures le matin et de
13 heures 30 à 16 heures l’après-midi » est remplacée par
« Une présence dans chaque service devra être assurée durant les heures d’ouverture des
bureaux au public, lesquelles seront
- le matin, de 8 heures 30 à 12 heures les lundis, mardis, mercredis, jeudis et vendredis
- l’après-midi, de 13 heures 30 à 16 heures :
pour les services situés au 1er
et 2ème
étage de l’Hôtel de Ville, les
lundis, mercredis et vendredis
pour les services situés au rez-de-chaussée de l’Hôtel de Ville, les
lundis, mardis, mercredis, jeudis et vendredis.
Article 2 :
DECIDE d’ajouter la phrase suivante en début d’article 6 A, 6B, 10 et annexes 2.1, 2.2, 2.3,
2.8 et 2.9 du règlement de travail :
« Lorsque les valeurs d’exposition visées à l’annexe 13 du présent règlement sont atteintes,
malgré les mesures de prévention mises en place, dont notamment la réduction de la charge de
travail, il est fait application de l’alternance des périodes de présence au poste de travail et des
temps de repos visée à la même annexe ».
Article 3:
DECIDE d’ajouter une annexe 13 au règlement de travail, comme suit :
ANNEXE 13 – AMBIANCES THERMIQUES : mesures techniques et
organisationnelles.
Lorsqu’il fait trop froid ou trop chaud au travail, les agents ont droit à un certain nombre de
mesures de protection dont notamment le placement de stores, de ventilateurs, la distribution
d’eau, l’aménagement des horaires de travail, la diminution de la charge de travail ou encore,
29
au terme des mesures de prévention, l’alternance de périodes de présence au poste de travail
et de temps de repos, le cas échéant.
Les postes de travail présentant des risques pour la santé, en raison d’une exposition au froid
excessif ou à la chaleur excessive, sont identifiés via une analyse de risques.
Les températures autorisées dépendent de la charge de travail. A titre indicatif, le SPF Emploi
donne les indications suivantes :
Le travail physique léger comprend: le travail de secrétariat, la conduite d’une
voiture,…
Le travail physique moyennement lourd comprend: la menuiserie, la conduite d’un
tracteur, …
Le travail physique lourd comprend: le bêchage, le sciage à la main, le rabotage, le fait
de pousser et de tirer des brouettes,…
Le travail physique très lourd comprend: le bêchage en profondeur et l’excavation, le
fait de monter sur des échelles et de monter les escaliers,…
I. Valeurs d’exposition
Exposition au froid
Les valeurs d’action d’exposition au froid sont fixées à partir de la température de l’air en
fonction de la charge physique de travail:
Température de l'air minimum Charge physique de travail
18°C Très légère
16°C Légère
14°C Moyenne
12°C Lourde
10°C Très lourde
Exposition à la chaleur
Les valeurs d’action d’exposition à la chaleur sont fixées à partir de l’indice de contrainte
thermique WBGT en fonction de la charge physique de travail:
Charge physique de travail indice WBGT max.
Légère ou très légère 29
Moyenne 26
Lourde 22
Très lourde 18
Attention, l’indice WBGT n’est pas la température au poste de travail.
30
II. Indice WBGT et méthode de mesurage
L’indice WBGT est estimé à la Ville de Virton à partir de la température de l’air en C° et de
l’humidité relative avec un thermohygromètre, selon les tableaux de conversion ci-dessous,
- soit en l’absence de courant d’air et sans chaleur radiante ;
- soit en présence d’un courant d’air (1m/sec) et sans chaleur radiante.
III. Mesures organisationnelles
31
Alternance de travail Valeur de l’indice WBGT
Travail léger Travail mi-lourd Travail lourd Travail très lourd
45 min travail – 15 min
repos
29.5 27 23 19
30 min travail – 30 min
repos
30 28 24.5 21
Hôtel de Ville : du 15 mai au 15 septembre
La Directrice générale ou son délégué consulte les
prévisions IRM en début de journée
< 28 C°
Mesures mises en place
sans interruption : - Stores extérieurs
- Ventilateurs
- Fontaine à eau
- Utilisation des plages
mobiles de l’horaire
de travail pour début
des prestations à
07h00
Mesurage t° et humidité
par agents désignés par la
DG, au moyen de therm-
hygromètres portables +
estimation de la vitesse du
vent
Horaire
d’exception n°2
>28 C°
Communication des
informations au conseiller
en prévention
Calcul des indices
WBGT par le conseiller
en prévention
Diminution de
la charge de
travail
Mesures
organisationnelles
Application du tableau
Travail léger (personnel
administratif)
Indice max = 29
Travail moyen
(auxiliaires
professionnelles)
Indice max = 26
Dépassement
Bibliothèque et bâtiment extérieurs :
Idem Hôtel de Ville, sauf - Bouteilles d’eau à la place de la
fontaine à eau - Horaire d’exception non
d’application hors Hôtel de Ville.
32
Travail très
lourd
Indice max =
18
Alternance de travail Valeur de l’indice WBGT
Travail léger Travail mi-lourd Travail lourd Travail très lourd
45 min travail – 15 min repos 29.5 27 23 19
30 min travail – 30 min repos 30 28 24.5 21
Services techniques : du 15 mai au 15 septembre
L’agent technique en chef ou son délégué consulte les
prévisions IRM en début de journée
< 25 C°
Mesure mise en place
inconditionnellement : - Horaire de travail :
grille a) de date à
date, par secteur
(voir art A. B. du RT)
Mesurage t° et humidité par
agents désignés par la DG, au
moyen de therm-hygromètres
portables + estimation de la
vitesse du vent.
>25 C°
Communication des
informations au conseiller en
prévention
Calcul des indices WBGT par le
conseiller en prévention
Travail lourd
Indice max =
22
Travail moyen
Indice max = 26
Dépassement
Travail léger ou
très léger Indice
max = 29
Diminution de
la charge de
travail
Mesures
organisationnelles
Application du tableau
33
IV. Alternance des périodes de présence au poste de travail et des temps de repos
Compte tenu des valeurs d’action et de la nature du travail, les temps de repos sont fixés
comme suit :
Alternance de
travail
Valeur de l’indice WBGT
Travail léger Travail mi-lourd Travail lourd Travail très
lourd
45 min travail –
15 min repos
29.5 27 23 19
30 min travail –
30 min repos
30 28 24.5 21
Insertion des tableaux WBGT
Article 4 :
DECIDE d’insérer le paragraphe suivant, en début d’article 13 du règlement de travail :
Pour l’application du présent article, sont assimilés
- au mariage, l’enregistrement d’une déclaration de cohabitation légale par deux
personnes de sexe différent ou de même sexe qui cohabitent en tant que couple ;
- au conjoint de l’agent, la personne, de sexe différent ou de même sexe, avec qui
l’agent vit en couple au même domicile.
Article 5:
DECIDE de remplacer, à l’article 13, 2° du règlement de travail, les termes « trente jours »
par « quatre mois ».
Article 6 :
DECIDE d’insérer, à l’article 13, 2° du règlement de travail de nouveaux alinéas rédigés
comme suit :
"A défaut d'un agent visé à l'alinéa précédent, le même droit revient à l’agent qui, au
moment de la naissance :
1° est marié avec la personne à l'égard de laquelle la filiation est établie;
Bibliothèque et bâtiment extérieurs :
Idem Hôtel de Ville, sauf - Bouteilles d’eau à la place de la fontaine à eau - Horaire d’exception non d’application hors
Hôtel de Ville.
34
2° cohabite légalement avec la personne à l'égard de laquelle la filiation est établie et chez
laquelle l'enfant a sa résidence principale, et qu'ils ne soient pas unis par un lien de parenté
entraînant une prohibition de mariage dont ils ne peuvent être dispensés par le Roi;
3° depuis une période ininterrompue de trois ans précédant la naissance, cohabite de manière
permanente et affective avec la personne à l'égard de laquelle la filiation est établie et chez
laquelle l'enfant a sa résidence principale, et qu'ils ne soient pas unis par un lien de parenté
entraînant une prohibition de mariage dont ils ne peuvent être dispensés par le Roi. La preuve
de la cohabitation et de la résidence principale est fournie au moyen d'un extrait du registre de
la population.
Un seul agent a droit au congé visé à l'alinéa précédent, à l'occasion de la naissance d'un
même enfant. Les agents qui ouvrent le droit au congé en vertu respectivement du 1°, du 2° et
du 3° de l'alinéa 2 ont successivement priorité les uns sur les autres.
Le droit au congé de maternité visé à l'article 83 du statut administratif pour le personnel
statutaire et visé à l’article 39 de la loi du 16 mars 1971 sur le travail pour le personnel
contractuel exclut pour un même parent, le cas échéant, le droit au congé ouvert par les
alinéas précédents.
Article 7 :
DECIDE de supprimer, à l’article 13 3° du règlement de travail, les termes « ou de la
personne avec laquelle l’agent vit en couple ».
Article 8:
DECIDE d’insérer, en fin d’article 14 du règlement de travail, de l’alinéa suivant : ce congé
peut être fractionné en demi-journées.
Article 9 :
DECIDE de modifier, comme suit, les articles 16, 16 bis et 16 ter du règlement de travail :
Le paragraphe suivant est ajouté à la fin de chaque article : « Le personnel soumis à un
horaire de travail fixe, conformément au présent règlement de travail, pourra prendre son
congé de récupération, par périodes minimales d’une heure. Ce congé de récupération est pris
selon les convenances de l’agent et en fonction des nécessités du service : il se demande 48
heures à l’avance, sauf cas de force majeure appréciée par le responsable de service ».
Article 10 :
DECIDE d’ajouter le point 12°suivant à l’article 15 du règlement de travail :
12° impossibilité de poursuivre le travail débuté, alors que l’agent s’était rendu normalement
sur les lieux du travail, en raison d’une incapacité de travail due à une maladie et lorsque cette
incapacité se limite à une journée. La journée étant prise en compte de façon forfaitaire (7h36
pour une occupation à temps plein et en fonction de l’horaire de travail pour le personnel à
temps partiel), il n’est pas tenu compte des heures prestées.
Article 11 :
35
DECIDE de modifier comme suit l’article 18 du règlement de travail:
La phrase « l’agent qui qui est dans l’impossibilité de poursuivre l’exercice de ses fonctions
avertit son chef de service » est remplacée par « Si, après son arrivée au travail, l’agent ne
peut poursuivre le travail en raison d’une incapacité de travail survenue soudainement, il peut
quitter son poste après en avoir informé son supérieur direct et, si l’absence se limite à un seul
jour, la journée commencée est réputée travaillée. Si l’absence se prolonge, le jour de départ
du travail constitue le premier jour d’incapacité et l’agent doit transmettre les certificats
médicaux (employeur et Medex) dans les mêmes formes que pour toute incapacité de travail.
Article 12 :
DECIDE de modifier comme suit l’article 22 du règlement de travail : la phrase « Si l’absence
se limite à un seul jour, la journée commencée est réputée travaillée » est complétée par « et
fait l’objet d’une dispense de service conformément à l’art. 15 du présent règlement ».
Article 13 :
DECIDE de modifier comme suit l’annexe 2.5 suivante du règlement de travail :
ANNEXE 2.5 - Dispositions particulières relatives au personnel administratif du
service travaux.
1. Prestation moyennes hebdomadaires : 38/38 heures réparties sur 5 jours
2. Grille horaire :
Lundi 8h00 à 12h00 13h00 à 16h36 7h36
Mardi 8h00 à 12h00 13h00 à 16h36 7h36
Mercredi 8h00 à 12h00 13h00 à 16h36 7h36
Jeudi 8h00 à 12h00 13h00 à 16h36 7h36
Vendredi 8h00 à 12h00 13h00 à 16h36 7h36
Total 38 heures
Lorsque les valeurs d’exposition visées à l’annexe 13 du présent règlement sont atteintes,
l’horaire ci-dessous est appliqué. Cette modification d’horaire est communiquée au
Département du Personnel, par l’agent, le 1er
jour avant 09h00.
Lundi 7h00 à 12h00 13h00 à 15h36 7h36
Mardi 7h00 à 12h00 13h00 à 15h36 7h36
Mercredi 7h00 à 12h00 13h00 à 15h36 7h36
Jeudi 7h00 à 12h00 13h00 à 15h36 7h36
Vendredi 7h00 à 12h00 13h00 à 15h36 7h36
Total 38 heures
36
Article 14 :
DECIDE de fixer comme suit l’annexe 2.6 nouvelle du règlement de travail:
ANNEXE 2.6 - Dispositions particulières relatives au conseiller en
prévention-fonctionnaire planu
1. Prestation moyennes hebdomadaires : 38/38 heures réparties sur 5 jours
2. Grille horaire :
Lundi 8h00 à 12h00 12h45 à 16h21 7h36
Mardi 8h00 à 12h00 12h45 à 16h21 7h36
Mercredi 8h00 à 12h00 12h45 à 16h21 7h36
Jeudi 8h00 à 12h00 12h45 à 16h21 7h36
Vendredi 8h00 à 12h00 12h45 à 16h21 7h36
Total 38 heures
Lorsque les valeurs d’exposition visées à l’annexe 13 du présent règlement sont atteintes,
l’horaire ci-dessous est appliqué. Cette modification d’horaire est communiquée au
Département du Personnel, par l’agent, le 1er
jour avant 09h00.
Lundi 7h00 à 12h00 12h45 à 15h21 7h36
Mardi 7h00 à 12h00 12h45 à 15h21 7h36
Mercredi 7h00 à 12h00 12h45 à 15h21 7h36
Jeudi 7h00 à 12h00 12h45 à 15h21 7h36
Vendredi 7h00 à 12h00 12h45 à 15h21 7h36
Total 38 heures
Article 15 :
DECIDE de créer, comme suit, une annexe 10 bis au règlement de travail du personnel
communal :
ANNEXE 10 BIS : REGLEMENT DE L’UTILISATION DE L’ORDINATEUR
PORTABLE.
Art. 1er – La Ville donne à l’agent la jouissance d’un ordinateur portable pour l’exercice de
ses fonctions ; celui-ci est à usage strictement professionnel.
Marque de l’ordinateur portable :
N° de série :
Modèle :
Art. 2 – Cet ordinateur portable reste propriété de la Ville de Virton.
37
Art. 3 – Le travailleur reconnaît avoir reçu un exemplaire du présent règlement et s’engage à
en respecter toutes les dispositions.
Art. 4 – L’ordinateur portable visé à l’article 1 du présent règlement est mis à la disposition de
l’agent pour une durée indéterminée ; il est tenu de le retourner à l’employeur en cas de
suspension de l’activité professionnelle conformément à l’art. 10 du présent règlement ou
encore en cas de fin de collaboration (rupture de contrat, pension).
Art. 5 – L’agent utilisera l’ordinateur portable en bon père de famille et veillera à son emploi
dans le respect de conditions optimales de sécurité physique de la machine.
Notamment :
• Ne pas laisser l’ordinateur dans un véhicule sans surveillance ;
• Ne pas laisser des tiers utiliser la machine ;
• Signaler immédiatement tout fonctionnement suspect de la machine ;
• Toujours protéger l’ordinateur dans sa housse de protection ;
• Ne pas l’utiliser en extérieur, en rue, en conduisant.
Art. 5bis – L’agent utilisera l’ordinateur uniquement à des fins professionnelles ; aucun
document personnel ne peut donc y être enregistré.
Art 5ter – Un système de prise de contrôle à distance et de support est installé par le service
informatique de la Ville de Virton. Ce système permet à tout moment au service informatique
de prendre le contrôle pour dépanner la machine. Toutes les prises de contrôle s’activent au
moyen de codes affichés sur le poste de l’utilisateur. Le service informatique ne peut prendre
la main sur le poste sans ces codes qui sont générés aléatoirement.
Art. 6 - En cas de vol ou de perte de l’ordinateur portable, l’agent est tenu d'en informer
immédiatement l'employeur en lui fournissant tous les renseignements nécessaires.
Art. 7 - Les frais suivants liés à l’utilisation professionnelle de l’ordinateur portable sont à
charge de l’employeur : achat d’accessoires ou, encore, frais de réparations liées à un usage
normal.
Art. 8 – La Ville se réserve le droit de changer le type d’ordinateur portable, la configuration
de ce dernier ainsi que tous les accessoires.
Art. 9 – L’agent ne peut prêter, céder ou louer son ordinateur portable.
Art. 10 - En cas de suspension de l'exécution du travail, le travailleur conserve l’ordinateur
portable pendant les périodes pour lesquelles une rémunération doit lui être garantie.
Si la suspension du travail résulte d'une incapacité de travail, l'employeur ne peut exiger la
restitution de l’ordinateur portable avant la fin de la période de salaire garanti pour un agent
contractuel ou avant un mois d’incapacité de travail pour un agent statutaire.
Art. 11 - En cas de perte de l’ordinateur portable ou de dégâts causés à l'appareil par l’agent
durant l'exécution de son travail, des indemnités ou dommages et intérêts pourront lui être
réclamés en cas de dol, de faute lourde ou de faute légère présentant un caractère habituel.
Moyennant le respect des conditions fixées à l'article 23 de la loi du 12 avril 1965 concernant
la protection de la rémunération, l'employeur imputera, sur la rémunération de l’agent, les
indemnités et dommages et intérêts qui lui sont dus et qui ont été convenus avec le travailleur
38
ou fixés par le juge.
Art. 12 - En cas de panne ou de réparation de l’ordinateur portable, un autre portable de
remplacement sera mis à la disposition du travailleur, dans la mesure des possibilités du
service informatique.
Art. 13 – La Ville s'engage à mettre en œuvre tous les moyens pertinents, compte tenu de
l'état des techniques, afin de garantir la meilleure sécurité possible de l’appareil mis à la
disposition des agents.
Art. 14 – Règles et instruction d’utilisation de l’ordinateur portable
L’utilisateur ne doit se livrer, en aucune circonstance, aux activités suivantes qui peuvent
constituer des infractions pénales :
- Charger, stocker, publier, diffuser ou distribuer, tout support à caractère violent,
pornographique, contraire aux bonnes mœurs ou susceptibles de porter atteinte au
respect de la personne humaine et de sa dignité, ainsi qu'à la protection des mineurs,
de caractère diffamatoire et de manière générale illicite ;
- Il est interdit d'accéder à des serveurs Web traitant de ces sujets avec le risque pour
l'utilisateur de recevoir des courriels comportant des pièces jointes illicites. S’il est
amené à en recevoir, il est tenu de les détruire immédiatement ;
- L'utilisateur doit proscrire tout comportement pouvant inciter des tiers à lui adresser
de tels documents sous forme d'informations, d'images, de vidéos, de fichiers, etc.
même si cela n’est pas toujours évident.
Il est, sous peine de sanctions, interdit de :
- porter atteinte aux ressources de la Ville de Virton et plus particulièrement à
l'intégrité et à la conservation des données de la Ville de Virton;
- utiliser les ressources de la Ville de Virton à des fins de harcèlement, menace ou
d'injure et de manière générale violer des droits en vigueur ;
- charger, stocker ou transmettre des fichiers contenant des éléments protégés par les
lois sur la propriété intellectuelle, sauf à posséder les autorisations nécessaires.
L'utilisateur s'interdit de solliciter l'envoi par des tiers, en pièces jointes, de tels
fichiers ;
- charger, stocker, utiliser ou transmettre des programmes, logiciels, progiciels, etc.,
qui sont protégés par les lois sur la propriété intellectuelle, autres que ceux qui sont
expressément autorisés par la Ville de Virton. L'utilisateur s'interdit de solliciter
l'envoi par des tiers, en pièces jointes, de tels programmes, logiciels, progiciels, etc.
même si cela est parfois difficile à appliquer ;
- utiliser les matériels, programmes, logiciels, progiciels, etc., mis à sa disposition par
la Ville de Virton, en violation des lois sur la propriété intellectuelle, des règles
techniques applicables et des prescriptions définies par la Ville de Virton;
- charger ou transmettre, sciemment, des fichiers contenant des virus ou des données
altérées ;
39
- falsifier la source d'éléments contenus dans un fichier.
Art. 15 – Mesures préventives de sécurité
Afin de permettre la mise en œuvre par la Ville de Virton d'une parade de premier niveau,
l'utilisateur doit respecter au minimum les prescriptions suivantes :
- ne jamais prêter ses identifiant/mot de passe. Même dans le cas où un agent est
malade et lorsque sont invoquées des circonstances qui nécessitent, pour la continuité
du service, que l’identifiant et le mot de passe soient communiqués ;
- enregistrer vos ses documents sur le réseau approprié (portant le nom de son service
ou bien son nom de login) et non pas sur les disques locaux ;
- ne pas laisser des supports informatiques (CDRom, clé usb, disques externes ...)
contenant des données confidentielles, dans un bureau ouvert ;
- ne pas essayer d’installer des applications sur l’ordinateur portable. Contacter les
administrateurs s’il a besoin d’une application spécifique ;
- ne pas essayer de modifier ses droits sur son ordinateur ou sur le réseau par quelque
moyen que ce soit ;
- ne pas désactiver certains logiciels tels que les anti-virus et anti-spywares ;
- ne pas modifier les standards de l’appareil, notamment par l’ajout de logiciels pour
éviter les incompatibilités potentielles, piratages, etc.
Art. 16 – De la surveillance, du contrôle et de la sanction
Le service informatique de la Ville, ou son délégué, pourra procéder périodiquement, avec les
moyens nécessaires, à des audits de contrôle de la bonne application du présent règlement,
dans les limites prévues par la législation.
Le contrôle sera effectué par l’employeur, ou son délégué, sur base d’un objectif légitime
(vérifier si le travailleur s’en tient au présent règlement), visé (vérification sur un point) au
moment qu’il jugera opportun ou en cas de doute.
Le cas échéant, le travailleur sera informé du contrôle de l’utilisation de son ordinateur
portable.
Le non-respect des règles et mesures d’utilisation figurant dans le présent règlement engage la
responsabilité personnelle de l’utilisateur. En effet, s’il est prouvé que des faits fautifs lui sont
personnellement imputables, cela l’expose aux pénalités visées à l’annexe III du statut
administratif pour le personnel statutaire et aux art. 49 à 52 du règlement de travail pour le
personnel contractuel.
Article 17 – Protection des données
L'utilisateur du matériel communal est tenu de respecter le règlement général sur la protection
des données et respectera notamment les prescriptions suivantes:
40
- Aucune donnée à caractère personnel ne peut être transmise à un tiers;
- si des fichiers comprenant des données à caractère personnel sont utilisés, créés,
ceux-ci seront stockés en priorité sur le réseau. A défaut de connexion avec le réseau,
les fichiers pourront être stockés sur le disque dur local avant d'être transférés dans les
meilleurs délais sur le réseau;
- aucun fichier comprenant des données à caractère personnel ne peut être stocké sur le
disque local
- aucun fichier comprenant des données à caractère personnel ne peut être stocké sur
un support externe;
- L'utilisateur veillera à ce que son écran ne soit pas visible par d'autres personnes
lorsque des données à caractère personnelle sont traitées;
- l'utilisateur veillera à ne pas laisser l'ordinateur portable ou la tablette sans
surveillance, même quelques instants, lorsque des fichiers contenant des données à
caractère personnel sont ouverts.
- les données à caractère personnel de personnes tiers (citoyens) ne pourront en aucun
cas être utilisées sur internet.
Par donnée à caractère personnel, il y a lieu d’entendre toute information se rapportant à une
personne physique identifiée ou identifiable, directement ou indirectement, par référence à un
identifiant, tel qu'un nom, un prénom, un numéro national, un numéro d'identification, des
données de localisation, un identifiant en ligne, une photo… ou à un ou plusieurs éléments
spécifiques propres à son identité physique, physiologique, psychique, économique, culturelle
ou sociale.
Fait à Virton, le …………………
Signatures
L’autorité, L’agent,
…………. …………………….
Je m’engage sur l’honneur à
respecter les règles ci-dessus
OBJET A) 13. CADRE DU PERSONNEL COMMUNAL.
Après une large intervention de Monsieur Philippe LEGROS au sujet :
1) du nombre de points à l’ordre du jour et présent Conseil communal, 220 pages
de projets de délibérations, des réunions multiples (comité de concertation,
CLDR, police, intercommunales), un travail à temps plein et donc quelques
heures à peine pour analyser les dossiers et se concerter,
2) de la question : comment travailler sereinement et sérieusement,
41
3) du cadre du personnel qui « fait la part belle aux grades supérieurs et qui est
un frein à la promotion » avec une « perte d’efficacité, de qualité et de
communication quand on ajoute des échelons »,
4) d’une accumulation de projets, d’investissements pour des milliers d’euros
avec des projets ressortant des cartons sans raisons « opportunes »,
5) une relation appuyée avec Idélux,
6) des avis émis par différents managers (commission budgétaire, Directrice
Financière, Directrice Générale), avis parfois réservés,
ledit conseiller concluant en faisant appel à la conscience et à la réflexion des conseillers
communaux via la question : « signerions nous toutes ces choses à l’ordre du jour si c’était
notre argent à nous ? », et après une large discussion, le vote est demandé.
Monsieur le Président s’étant retiré en cours de discussion à 22h12’, il reprend siège à
22h14’.
Le vote s’ensuit,
LE CONSEIL,
Vu le cadre du personnel communal arrêté en date du 16 mai 2008 et modifié en dates des 12
novembre 2013, 03 décembre 2015 et 16 août 2017 ;
Considérant que le cadre se présente sous la forme d’un tableau où figurent, avec mention de
leur nom et de leur dénomination, tous les emplois permanents nécessaires à l’exécution des
tâches et des missions de la Ville ;
Considérant que le cadre permet une vision à moyen et long terme des besoins humains
nécessaires et que le groupement du personnel statutaire et contractuel au sein de ce cadre
permet de visualiser l’ensemble des besoins de l’administration ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 17 mai 2018 fixant le nouvel
organigramme des services communaux, phase 1, au 1er
janvier 2018, structuré en six
départements, en plus du secrétariat général et des grades légaux, fixant le nouvel
organigramme des services communaux phase 2, structuré en sept départements, à l’issue de
la réalisation de la phase 1 et décidant d’examiner le cadre du personnel communal,
appliquant l’organigramme défini ci-avant, en deux phases ;
Considérant que l’organigramme représente la structure d’organisation des services
communaux, indique les rapports hiérarchiques et identifie les fonctions qui impliquent
l’appartenance au comité de direction ;
Considérant que l’organigramme communal, phase 1, compte 6 départements : Personnel,
Affaires internes, Territoire, Service technique, Finances-comptabilité et Vie socio-culturelle,
en plus du secrétariat général et des grades légaux ;
Considérant que la mise en place de la phase 1 de l’organigramme des services communaux
suppose les modifications suivantes :
42
PHASE 1 Création d'emploi
Codir Création du Codir complet 2018? Codir restreint (DG/DF) /
Comité de gestion de
projet
Création du principe : mise en place
lors d'un prochain projet? /
Cellule qualitéA mettre en place dans le cadre du
contrôle interne? Oui
Contrôle Interne A mettre en place ? Non
Plan stratégique
transversal
Obligation à venir de disposer d'un
PST2019? Oui
Service juridique Création service juridique 2017 /
Création du service appui :
- Accueil à intégrer
- Economat à intégrer
- Informatique : déjà dans secrétariat
général : à préciser dans le service
appui
2018
Création cellule archives au sein du
secrétariat général ? /
SIPP Integration SIPP 2018 /
Lien SIPP Conservation 0,5 ETP A. R. 2018 /
Gestion administration du
personnel + assurance
Remplacement départ pension J. D.
0,5 par 1 EPT - employé paie et
assurances
01/01/2019 + 0,5 ETP
Structure générale
Création de deux services distincts
- Service du citoyen
- Service de la proximité/sécurité2018 /
4) Département des Affaires interne :
A mettre en place + date Mis en place + date
1) Cellules diverses :
2) Secrétariat général :
3) Département du Personnel :
Service appui
43
PHASE 1 Création d'emploi
Direction du département Nomination agent technique en chef 01/09/2018Direction en charge de l'agent
technique en chef2017 Nomination
Bureau d'étudeCréation bureau d'étude comportant
un attaché spécifique2017 /
BrigadiersOccupation de 4 postes
supplémentaires de brigadiers2018 Promotion / recrutement
Dénomination
département
Choix nouvelle dénomination du
département2018
Service logement
Déplacement Service logement du
département Bien-être vers Territoire
(ou cadre de vie)
2018 /
Chef de bureau urbanisme Recrutement d'un CATU En cours Oui : CATU
Structure générale Création de services distincts 2018
Contrôle interne Création ? NON
PST financier Création ? NON
Engagements
supplémentaires
DF 1 ETP
Bachelier recette
Employés dépenses ordi
chef de bureau
En cours
En cours
En fonction
(cdd)
+ 0,4 ET
(remplacment F. EPPE)
+ 2 ETP
1 ETP
Dénomination
départementDépartement "vie socio-culturelle" 2018
Dénomination composition
du département
Nouvelles dénomination des cellules
du département2018
Direction des
départementsRecrutement d'un chef de bureau 2018 Oui
6) Département Territoire ou Cadre de vie :
7) Département Finances-comptabilité :
8) Département vie socio-culturelle :
5) Département Service technique :
A mettre en place + date Mis en place + date
44
Considérant que l’organigramme communal, phase 2, compte 7 départements : Personnel,
Affaires internes, Territoire, Service technique, Finances-comptabilité, Vie socio-culturelle,
Appui et logistique, en plus du secrétariat général et des grades légaux ;
Considérant que la mise en place de la phase 2 suppose les modifications suivantes, par
rapport à la phase 1 :
45
PHASE 2 Création d'emploi
Création du Département
appui et logistique
Départ service appuiDépart des services informatique,
accueil et économat
Au recrutement du
chef de bureau
département appui
et logistique
/
Cellule Personnel
enseignant
Création cellule Personnel
enseignant dans 'Gestion
administrative du personnel
Occupation 1 ETP de
l 'agent en charge de ces
doss iers au département
vie socio-culturel le
Tâches L Michel ô que
marchés publics
A la création du
dpt appui et
logisitque
5) Département Service technique :
4) Département des Affaires internes :
A mettre en place + date Mis en place + date
1) Structure générale
2) Secrétariat général :
3) Département du personnel :
46
PHASE 2 Création d'emploi
Direction du départementDéplacement CATU à la tête du
département
Départ pension JP
S
Gestion des énergiesCréation de fonction conseiller en
énergieOui
Départ étude des marchésDépart étude des marchés vers
dpt appui et logisitque
A la création du
dpt appui et
logisitque
Tâches L Michel ô qu'étude
des marchés vers sces
techniques
A la création du
dpt appui et
logisitque
Départ gestion du personnel
enseingnant vers département
personnel
Ajout "milieu scolaire" dans cellule
extra-scolaire du service enfance et
jeunesse, et création d'une cellule
"Académies"
?
Direction du département Recrutement d'un chef de bureau ? Oui
Communication,
informatique, graphisme
Création cellule informatique,
graphisme, communicationOui
9) Département Appui et logistique
Enseignants
A mettre en place + date Mis en place + date
6) Département Territoire ou Cadre de vie :
7) Département Finances-comptabilité :
8) Département Vie socio-culturelle :
47
Considérant que l’ensemble des mouvements détaillés ci-dessus, dans le cadre du
développement de l’organigramme déterminent la structure et la composition du nouveau
cadre du personnel communal ;
Considérant que le Département finances-comptabilité a fait l’objet d’une restructuration
conséquente, développée lors de la modification du cadre du personnel, en date du 16 août
2017 ;
Considérant que diverses tâches et missions confiées à la Ville nécessitent l’occupation de
personnel qualifié et spécifique, afin de gérer notamment le Plan Stratégique transversal, la
communication, la gestion de l’énergie, les marchés publics, créant ainsi des postes
supplémentaires de bacheliers spécifiques ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 20 juin 2018 décidant de
modifier le projet de cadre à soumettre au Conseil communal du 27 juin 2018 ;
Vu le procès-verbal de la réunion du Comité de concertation syndicale en date du 26 juin
2018 ;
Considérant que les organisations syndicales représentatives présentes à la réunion de
concertation susvisée ont émis un avis non favorable sur ce projet de cadre ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 19
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis en date du 22 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré,
FIXE comme suit le cadre du personnel communal :
Cadre organique du personnel communal *
Département Fonction Grade
Echelle
d'accès
au grade
Nombre
d'emplois
ETP
Dont … %
peuvent être
occupés par
du personnel
contractuel
Direction générale Manager Directeur général 1 0%
Direction financière Manager Directeur financier
1 0%
Appui et logistique Manager
Chef de bureau
administratif A1 1 0%
Manager Chef de service C3 1 0%
Gestionnaire
Employés adm. D1**-
4-6 D1**-4-6 4 75%
48
Spécialiste
Bachelier spécifique
(bachelier spéficique en
droit / bachelier
spécifique en
informatique /
bachelier spécifique en
communication /
bachelier spécifique en
charge du PST ***) B1 4
75%
Affaires internes Manager
Chef de bureau
administratif A1 1 0%
Gestionnaire
administratif Employés d'adm. D 4-6 D 4-6 7 75%
Intermédiaire Gardien de la paix D4 2 75%
Coordinateur Fonctionnaire Planu D9 0,5 75%
Finances-
comptabilité Manager
Chef de bureau
administratif A1 1 0%
Manager Chef de service C3 1 0%
Spécialiste Bachelier spécifique B1 1 75%
Gestionnaire
administratif Employés d'adm. D 4-6 D 4-6 5 75%
Personnel Manager
Chef de bureau
administratif A1 1 0%
Coordinateur
Conseiller en
prévention II D9
1 75%
Gestionnaire
administratif /
spécialiste
Employés d'adm.
D1**-4-6 / bachelier
spéc RH
D 1**-4-
6 / B1 4,5
75%
Secrétariat général Spécialiste
Bachelier spécifique -
droit B1 1 75%
Gestionnaire
administratif
Employés d'adm.
D1**- 4-6
D 1**-4-
6 2,5 75%
Territoire Manager
Chef de bureau
administratif A1 1 0%
Spécialiste
Conseiller en
aménagement du
territoire ** A1 Sp 1 75%
Manager Chef de service C3 1 0%
conseiller
énergie bachelier spécifique B1 1 75%
Employés Employés d'adm.D 4-6 D 4-6 7 * 75%
Vie socio-culturelle Manager
Chef de bureau
administratif A1 1 0%
Gestionnaire
administratif Employés d'adm. D 4-6 D 4-6 4,5 * 75%
Transmetteur Bibliothécaire gradué B1 4 75%
Accompagnateur Animateur culturel D6 -B1 2 75%
Coordinateur Coordinateur ATL B1 1 75%
Intermédiaire Accueillante extra- D2 2,5 75%
49
scolaire
scolaires
Transmetteur
ouvrier qualifié -
formateur PCS D4 1 75%
Services techniques Manager
Chef de bureau
technique A1 1 0%
Manager
Agent technique en
chef ** D9 1 75%
Manager Agent technique D7 3 75%
Gestionnaire
administratif Employés d'adm.D 4-6 D1-4-6 1 75%
Manager Brigadier C1 8 50%
Opérateur Ouvrier qualifié D1 45 75%
Opérateur Ouvrier non qualifié E2 10 75%
Opérateur
Auxiliaires
professionnelles E2 10 75%
Spécialiste Attachée spécifique A1 Sp 1 0%
Personnel mis
intégralement à
disposition
Centres sportifs
Opérateur
Ouvriers / ouvriers
qualifiés E2/D1 2
100%
Syndicat d'initiative Intermédiaire Employés d'adm. D4-6 D 4-6 1,5 100%
* reprenant tous les emplois permanents nécessaires à l'exécution des tâches et des
missions qui incombent à la Ville
* à mettre en rapport avec
l'organigramme, phase II
** cadre d'extinction
*** orientation à
définir
Cette délibération a été adoptée par 11 voix favorables, 5 voix négatives et 3 abstentions.
Ont voté positivement :
ROISEUX Bernadette, CHALON Etienne, FELLER Didier, WAUTHOZ Vincent, RAULIN
Jean, VAN DEN ENDE Annick, BAILLOT Hugues, CLAUDOT Alain, GONRY Paul,
GRAISSE Martine et CULOT François.
Ont voté négativement :
LEGROS Philippe, GOBERT Sabine, LEFEVRE Christian, GOFFIN Annie et ZANCHETTA
Philippe.
Se sont abstenus :
LACAVE Denis, PRIGNON Cédric et MULLENS Michel.
50
OBJET A) 14. TUTELLE DU CENTRE PUBLIC D’ACTION SOCIALE - CADRE DU
PERSONNEL DU CPAS ET DE LA MR- MRS « L’AMITIÉ ».
ADAPTATION.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation;
Vu la loi organique des centres publics d'action sociale du 8 juillet 1976;
Vu le décret du 23 janvier 2014 modifiant certaines dispositions de la loi du 08 juillet 1976
organique des centres publics d'action sociale dans le but de répondre à un besoin de
modernisation et de simplification des dispositions en matière de tutelle de l'action action
administrative sur les décisions des Centre Publics d'Action Sociale, ainsi que sur les
décisions des association visées au chapitre XII de la loi du 08 juillet 1976 organique des
Centre Publics d'Actions Sociale;
Vu la circulaire du 28 février 2014 relative à la tutelle sur les actes des Centres Publics
d'Action Sociale et des associations visées au chapitre XII de la loi du 8 juillet 1976 organique
des centres publics d'action sociale, circulaire relative aux pièces justificatives;
Vu le courrier daté du 18 août 2017 par lequel le Centre Public d'Action Sociale transmet la
liste des décisions prises par le Conseil de l'action sociale lors de sa séance du 16 août 2017;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 31 août 2017 décidant de
solliciter auprès du Centre Public d’Action Sociale, conformément à l'article 112 quater de la
loi organique des Centres Publics d'Action Sociale, l'obtention des décisions relatives aux
points suivants :
1. Service RH. Statut administratif. Modification de l'annexe IV relative à l'octroi
des échelles.
2. Service RH. Cadre du personnel du CPAS et de la MR-MRS "l'Amitié".
Adaptation ;
Vu le courrier daté du 1er
septembre 2017 adressé au Centre Public d'Action Sociale par
lequel il est sollicité l'obtention des décisions relatives aux points suivants:
1. Service RH. Statut administratif. Modification de l'annexe IV relative à l'octroi
des échelles.
2. Service RH. Cadre du personnel du CPAS et de la MR-MRS "l'Amitié".
Adaptation ;
Vu le courrier daté du 5 septembre 2017 par lequel le Centre Public d'Action Sociale transmet
les décisions prises par le Conseil de l'action sociale le 16 août écoulé;
Vu le courrier daté du 12 septembre 2017 adressé au Centre Public d'Action Sociale indiquant
qu'aucune pièce justificative n'a été transmise et sollicitant celles-ci;
Vu le courrier daté du 22 septembre 2017 réceptionné le 28 septembre 2017 par lequel le
Centre Public de l'Action Sociale transmet pour approbation par le Conseil communal, les
décisions prises par le Conseil de l'Action Sociale le 16 août 2017 à savoir:
51
- Service RH- Statut administratif. Modification de l'annexe IV relative à l'octroi des
échelles
- Service RH. Cadre du personnel du CPAS et de la MR-MRS "l'Amitié". Adaptation ;
Vu les pièces justificatives annexées au courrier:
- copie du PV de la réunion du Comité de concertation Commune –CPAS en date du
16 août 2017;
- copie de leur courrier transmettant ces décisions aux organisations syndicales;
- copie des décisions avec les remarques émises par la CSC Services publics;
- copie de leur courrier en date du 15 septembre 2017 transmis à Monsieur
WILKIN;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 04 octobre 2017 prenant
connaissance des délibérations prises par le Conseil de l'Action Sociale le 16 août 2017
relatives:
- Service RH- Statut administratif. Modification de l'annexe IV relative à l'octroi des
échelles
- Service RH. Cadre du personnel du CPAS et de la MR-MRS "l'Amitié".
Adaptation ;
et décide de transmettre les délibérations prises par le Conseil de l'Action Sociale le 16 août
2017 au Conseil Communal pour approbation;
Vu la copie du courrier daté du 12 octobre 2017 transmis au Centre Public d’Action Sociale ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 19 octobre 2017 décidant
d'informer le Centre Public d’Action Sociale que le dossier relatif aux deux délibérations
transmises ne peut être correctement analysé vu qu'il manque des documents et donc que le
délai de tutelle ne commencera à courir que dès réception de tous les documents nécessaires;
Vu le courrier daté du 24 novembre 2017 réceptionné le 27 novembre 2017 par lequel le
Centre Public d'Action Sociale transmet différents documents;
Vu le courrier daté du 29 novembre 2017 adressé au Centre Public d'Action Sociale indiquant
que concernant la délibération relative au cadre du personnel du Centre Public d’Action
Sociale et de la MR-MRS "l'Amitié" l'avis de la CGSP est toujours manquant;
Vu le courrier daté du 7 décembre 2017 par lequel le Centre Public d'Action Sociale indique
qu'en ce qui concerne l'avis de la CGSP relatif au cadre du personnel, le rapport final établi à
l'issue de l'analyse organisationnelle des services sera présenté aux organisations syndicales le
20 décembre 2017;
Vu le courrier daté du 8 janvier 2018 adressé au Centre Public d'Action Sociale faisant suite
au courrier daté du 7 décembre 2017 sollicitant l'avis de la CGSP dans les meilleurs délais et
rappelant que le délai de tutelle ne commence à courir que dès la réception du dossier complet
(délibération + pièces justificatives);
Vu le courrier daté du 12 janvier 2018 réceptionné le 19 janvier 2018 par lequel le Centre
Public d'Action Sociale indique qu'ils ne manqueront pas de transmettre cet avis dans les
meilleurs délais;
52
Vu le courrier daté du 29 janvier 2018 réceptionné le 31 janvier 2018 par lequel le Centre
Public d'Action Sociale indique qu'en réponse à notre lettre du 8 janvier écoulé, ils nous
transmettent un résumé de la chronologie de ce dossier et indiquent ne pas disposer de l'avis
de la CGSP dans ce dossier, qu'ils estiment que cet avis est réputé favorable puisque la CGSP
n'a pas réagi dans un délai de 15 jours et en tout cas pas dans un délai raisonnable à leur
demande d'avis du 21 août 2017;
Vu le courriel du 13 mars 2018 par lequel Monsieur MENDOLA, de l'Union des Villes et
Communes de Wallonie, indique "s'agissant d'une négociation ou d'une concertation
préalable, l'avis doit forcément être sollicité avant la prise de décision";
Vu le courriel du 15 mars 2018 par lequel Monsieur PECHON, du Service Public de
Wallonie, DGO pouvoirs locaux, Direction du Luxembourg, place Didier 45 à 6700 ARLON,
indique "la négociation syndicale et la concertation sont toujours préalables à la décision du
Conseil, c'est ce qui ressort des articles 2 et 11 de la loi du 19 décembre 1974 organisant les
relations entre les autorités publics et les syndicats relavant de ces autorités. C'est une
question de bon sens.
Un avis manquant n'est jamais réputé favorable car la procédure de sollicitation d'avis par
courrier n'est pas prévue par la loi. Ce n'est qu'une tolérance par rapport à la tenue des
réunions de négociation/concertation organisée par l'AR d'exécution du 28/09/1984";
Vu la copie du courrier daté du 23 mars 2018 transmis au Centre Public d’Action Sociale ;
Vu le courrier daté du 27 mars 2018 adressé au Centre Public d'Action Sociale rappelle la
circulaire relative aux pièces justificatives dans le cadre de la tutelle sur les actes des centres
publics d'action sociale et des associations visées au chapitre XII de la loi du 8 juillet 1976
organique des centres publics d'action sociale du 28 novembre 2017 précise que le point de
départ du délai de tutelle ne sera plus la réception de l'acte mais bien de l'ensemble du dossier
composé de l'acte et des pièces justificatives, que leur dossier ne peut donc être considéré
comme complet et demandant de faire le nécessaire afin de compléter celui-ci;
Vu le courrier daté du 19 avril 2018 par lequel le Centre Public d'Action Sociale fait suite à
notre lettre du 27 mars 2018 en réponse à son courrier du 29 janvier 2018 et indique rappeler
par courrier adressé à la CGSP leur demande d'avis en y joignant le compte rendu de la
réunion du 20 décembre 2017 ainsi que le document déposé par le consultant BSB lors de
cette réunion;
Vu le courrier daté du 09 mai 2018 par lequel le Centre Public d'Action Sociale indique faire
suite à son courrier du 19 avril et que malgré leur rappel adressé par recommandé à la CGSP,
celui-ci demeure sans réaction à ce jour et indique que le courrier adressé par la Ville en date
du 23 mars 2018 invitait le CPAS à solliciter l'avis des syndicats avant la prise de décision et
ceci pour les futures délibérations;
Vu le courriel du 31 mai 2018 réceptionné le 04 juin 2018 par lequel Monsieur NOËL,
directeur général du CPAS, transmet l'avis de la CGSP dans ce dossier;
Considérant l'accord de la CGSP remis en date du 30 mai 2018;
Considérant que le point de départ du délai de tutelle est le 31 mai 2018 et que celui-ci
prendra fin le 09 juillet 2018;
53
Considérant qu'après analyse de la délibération, les remarques suivantes sont formulées:
Analyse dossier:
a. Cadre normal du CPAS
Service administratif : l'employé d'administration ne peut être B1
b. Cadre commun au CPAS et à la MR-MRS "l'Amitié"
Ressources humaines: le grade n'est pas bon c'est soit employé d'administration ou
gradué spécifique mais pas employé gradué
Rappel un employé d'administration ne peut être B1
Informaticien est une fonction pas un grade, il faut préciser.
Employé d'administration: ne peut être B1
c. Cadre normal de la MR-MRS "l'Amitié"
Le directeur(B4.1) a une échelle de recrutement moins haute que celle du directeur-
adjoint (A1) Au niveau du traitement: la B4.1 est plus élevée que l’A1 au début mais
ça s’inverse en fin d’échelle.
La CSC a d'ailleurs remis un non accord sur ce point.
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 14 juin 2018 décidant de
soumettre la délibération du Centre Public d'Action Sociale prise par le Conseil de l'Action
Sociale en date du 16 août 2017 relative au Service RH. Cadre du personnel du CPAS et de la
MR-MRS "l'Amitié". Adaptation à l'approbation du Conseil Communal lors de sa prochaine
séance à l'exception de certains points ;
Entendu Monsieur le Bourgmestre;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE d'approuver la délibération du Centre Public d'Action Sociale prise par le Conseil de
l'Action Sociale en date du 16 août 2017 relative au Service RH. Cadre du personnel du
CPAS et de la MR-MRS "l'Amitié". Adaptation à l'exception des points suivants:
a. Cadre normal du CPAS
Service administratif : l'employé d'administration ne peut être B1
b. Cadre commun au CPAS et à la MR-MRS "l'Amitié"
Ressources humaines: modification du grade
Informaticien est une fonction pas un grade, il faut préciser.
Employé d'administration: ne peut être B1
54
c. Cadre normal de la MR-MRS "l'Amitié"
Le directeur(B4.1) a une échelle de recrutement moins haute que celle du directeur-
adjoint (A1)
OBJET A) 15. TUTELLE DU CENTRE PUBLIC D’ACTION SOCIALE - COMPTE DE
L’EXERCICE 2017 DU CPAS – PROLONGATION DU DÉLAI DE
TUTELLE.
LE CONSEIL,
Vu la loi organique des Centres Publics d’Action Sociale du 08 juillet 1976 et notamment son
chapitre IX relatif à la Tutelle Administrative ;
Vu le décret du 23 janvier 2014 publié au Moniteur Belge du 06 février 2014 modifiant
certaines dispositions de la loi organique du 08 juillet 1976 dont notamment la Tutelle
Spéciale sur les actes des CPAS (cfr chapitre IX) ;
Vu la circulaire du 28 février 2014 relative à la tutelle sur les actes du CPAS et des
associations visées au chapitre XII de la loi organique des CPAS du 08 juillet 1976, circulaire
relative aux pièces justificatives ;
Vu le compte 2017 du Centre Public d’Action Sociale approuvé par le Conseil de l’Action
Sociale le 31 mai 2018.
Considérant que l’ensemble des pièces annexes ont été déposées en date 07 juin 2018
conformément au décret du 23 janvier 2014 ;
Considérant que le Conseil communal prend sa décision dans les 40 jours de la réception de
l’acte et de ses pièces justificatives et que le délai prend donc fin le 17 juillet 2018 ;
Considérant qu’il y a lieu de proroger le délai pour l’examen de ce dossier ;
Considérant que le Conseil peut proroger le délai qui lui est imparti pour exercer son pouvoir
d’une durée maximale égale à la moitié du délai initial ;
Considérant que la prolongation du délai supplémentaire de 20 jours fixera la date de fin de
délai de tutelle au 06 août 2018 ;
Considérant, en outre, que le dossier a été communiqué à la Directrice Financière en date du
14 juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie
Locale et de la Décentralisation, que le projet de délibération par laquelle le Conseil décide de
proroger le délai de tutelle de 20 jours dans le cadre du dossier de tutelle relatif au compte
2017 du CPAS lui a été transmis le 20 juin 2018 et que celle-ci a transmis son avis favorable
en date du 20 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
55
DECIDE de proroger le délai de tutelle de 20 jours dans le cadre du dossier de tutelle relatif
au compte 2017 du Centre Public d’Action Sociale.
OBJET A) 16. ORDONNANCE DE POLICE - AFFICHAGE ÉLECTORAL.
LE CONSEIL,
Vu les articles 119 et 135 de la Nouvelle loi communale ;
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, tel que modifié par le décret du
09 mars 2017, les articles L4130-1 à L4130-4 ;
Vu le décret relatif à la voirie communale du 06 février 2014, les articles 60,§2,2° et 65 ;
Considérant que les prochaines élections communales et provinciales se dérouleront le 14
octobre 2018 ;
Considérant la nécessité de prendre des mesures en vue d’interdire certaines méthodes
d’affichage électoral et d’inscription électorale ainsi que de distribution et l’abandon de tracts
en tous genres sur la voie publique, ces méthodes constituants des atteintes à la tranquillité et
la propreté publiques ;
Considérant qu’il est également absolument nécessaire en vue de préserver la sureté et la
tranquillité publiques, durant la période électorale, de prendre des mesures en vue d’interdire
l’organisation de caravanes motorisées nocturnes dans le cadre des élections ;
Sans préjudice de l’arrêté de police de Monsieur le Gouverneur de Province de Luxembourg ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
Article 1 :
À partir du 14 juillet 2018, jusqu’au 14 octobre 2018 à 15 heures, il est interdit d’abandonner
des tracts et autres prospectus électoraux sur la voie publique ;
Article 2 :
Du 14 juillet 2018 au 14 octobre 2018 inclus, il sera interdit d’apposer des inscriptions, des
affiches, des reproductions picturales et photographiques, des tracts et des papillons à usage
électoral sur la voie publique et sur les arbres, plantations, panneaux, pignons, façades, murs,
clôtures, supports, poteaux, bornes, ouvrages d’art, monuments et autres objets qui la bordent
ou qui sont situés à proximité immédiate de la voie publique à des endroits autres que ceux
déterminés pour les affichages par les autorités communales ou autorisés, aux préalable et par
écrit, par le propriétaire ou par celui qui en a la jouissance, pour autant que le propriétaire ait
également marqué son accord préalable et écrit.
Article 3 :
56
Des emplacements sont réservés par les autorités communales à l’apposition d’affiches
électorales. Ces emplacements sont répartis équitablement entre les différentes listes. Chaque
liste ne pouvant utiliser que le ou les panneaux qui lui sont attribués.
Des panneaux électraux (1 au moins par liste) seront placés près des bureaux de vote à savoir :
A Bleid (école),
A Virton (caves de l’hôtel de Ville),
A Chenois (école de Chenois),
A Saint-Mard (centre communautaire),
A Ethe (ancienne mairie),
A Ruette (salle communale),
et dans les villages de Gomery, Grandcourt, Saint-Remy et Latour.
Les affiches électorales, identifiant ou non des candidats, ne peuvent être utilisées que si elles
sont dument munies du nom d’un éditeur responsable.
Aucune affiche, aucun tract, aucune inscription ne peut inciter, ni expressément, ni
implicitement au racisme ou à la xénophobie ni rappeler, directement ou indirectement, les
principes directeurs du nazisme ou du fascisme.
Article 4 :
le placement des affiches aux endroits qui ont été réservés par les autorités communales à
l’apposition d’affiches électorales, ou aux endroits qui ont été autorisés, au préalable et par
écrit, par le propriétaire ou par celui qui en a la jouissance, pour autant que le propriétaire ait
également marqué son accord préalable et écrit est interdit :
Entre 20h et 08h, et cela du 14 juillet 2018 jusqu’au 14 octobre 2018 ;
Du 13 octobre 2018 à 20h au 14 octobre 2018 à 15h.
Article 5 :
Les caravanes motorisées ainsi que l’utilisation de haut-parleurs et d’amplificateurs sur la
voie publique entre 20h et 10h sont également interdits.
Article 6 :
La police locale est expressément chargée :
D’assurer la surveillance des lieux et endroits publics jusqu’au lendemain des
élections ;
De dresser un procès-verbal à l‘encontre de tout manquement ;
Par requête aux services communaux, de faire enlever ou disparaître toute affiche,
tract, ou inscription venant à manquer aux prescriptions de la présente ordonnance ou
aux dispositions légales en la matière.
Article 7 :
Les enlèvements précités se feront aux frais des contrevenants.
Article 8 :
57
Tout manquement aux dispositions de la présente ordonnance sera puni, pour les infractions
concernées, par les sanctions énoncées dans le décret du 6 février 2014 relatif à la voirie
communale. Pour les autres infractions, tout manquement aux dispositions de la présente
ordonnance sera puni des sanctions prévues par le règlement de police communal.
Article 9 :
Une expédition du présent arrêté sera transmise :
Au Collège Provincial avec certificat de publication ;
Au greffe du Tribunal de Première Instance ;
Au greffe du Tribunal de Police ;
A Monsieur le Chef de corps de la Zone de police de Gaume
Au siège des différents partis politiques.
Article 10 :
Le présent arrêté sera publié conformément à l’article L1133-1 du Code de la Démocratie
Locale et de la Décentralisation.
OBJET A) 17. RENOUVELLEMENT DES ILLUMINATIONS DE NOËL DANS LES
VILLAGES DE L’ENTITÉ COMMUNALE DE VIRTON –
APPROBATION DU CAHIER DES CHARGES.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation et ses modifications ultérieures,
notamment l'article L1222-3 §1 relatif aux compétences du Conseil communal et les articles
L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ;
Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en
matière de marchés publics, de certains marchés de travaux, de fournitures et de services et de
concessions et ses modifications ultérieures ;
Vu la loi du 17 juin 2016 relative aux marchés publics, notamment l’article 42, § 1, 1° a (la
dépense à approuver HTVA n'atteint pas le seuil de 144.000,00 €) ;
Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés
publics et ses modifications ultérieures ;
Vu l'arrêté royal du 18 avril 2017 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs
classiques et ses modifications ultérieures, notamment l'article 90, 1° ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 25 octobre 2017 :
décidant d’attribuer les lots 1, 2, 3, 4, 5, 6, 9, 11, 13, 14 relatifs au marché des
illuminations de Noël dans les villages de l’entité communale de Virton à la société
PACT SOLUTIONS, Avenue de la Floride 77 bte1 à 1180 Bruxelles pour un montant
total T.V.A.C. de 78.233,76 € ;
58
prenant connaissance du fait que les lots 7, 8, 10, 12 et 15 non attribués en 2017
feront l’objet d’un nouveau marché en 2018 ;
Considérant dès lors qu’il y a lieu de poursuivre le projet initié par le Collège communal ;
Vu le cahier des charges N° 2018-261 relatif au marché “Renouvellement des illuminations de
Noël dans les villages de l'entité communale de Virton” ;
Considérant que ce marché est divisé en lots :
* Lot 1 (Dépose d'illuminations existantes) ;
* Lot 2 (Village de Saint-Mard) ;
* Lot 3 (Village de Ethe) ;
* Lot 4 (Village de Grandcourt) ;
* Lot 5 (Village de Gomery) ;
* Lot 6 (Village de Latour) ;
Considérant que le montant global estimé de ce marché s'élève à 35.000,00 € T.V.A.C. ;
Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure négociée sans publication
préalable ;
Considérant que le crédit permettant cette dépense est inscrit au budget extraordinaire de
l’exercice 2018, article 421/731-53 (n° de projet 20180080) ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 30
mai 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis favorable en date du 01 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
- d'approuver le cahier des charges N° 2018-261 et le montant estimé du marché
“Renouvellement des illuminations de Noël dans les villages de l'entité communale
de Virton”. Les conditions sont fixées comme prévu au cahier des charges et par
les règles générales d'exécution des marchés publics. Le montant estimé s'élève à
35.000,00 € T.V.A.C.,
- de passer le marché par la procédure négociée sans publication préalable,
- de financer cette dépense par le crédit inscrit au budget extraordinaire de l’exercice
2018, article 421/731-53 (n° de projet 20180080).
OBJET A) 18. CONVENTION RELATIVE À L’ENLÈVEMENT DES VÉHICULES
ABANDONNÉS/TROUVÉS SUR LA VOIE PUBLIQUE.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, notamment l’article L1122-30 ;
59
Vu sa délibération prise en date du 02 mars 2007 approuvant le texte de la convention relative
à l'enlèvement des véhicules saisis par la police ou déplacés par mesure de police et trouvés
sur le territoire de la Commune de Virton;
Vu le règlement-redevance sur l'enlèvement et la conservation des véhicules saisis par la
police ou déplacés par mesure de police – exercices 2017 à 2019 adopté en séance du 04
novembre 2016;
Vu le courrier daté du 18 janvier 2018 réceptionné le 19 janvier 2017 par lequel le
département de la gestion et des finances des pouvoirs locaux, direction de la tutelle
financière indique que le dossier relatif à la redevance communale sur l'enlèvement et la
conservation des véhicules saisis par la police ou déplacés par mesure de police est devenu
exécutoire par expiration du délai de tutelle en date du 22 décembre 2016;
Considérant que les véhicules saisis par la police sont déplacés par un dépanneur qui
collabore avec la Zone de Police de Gaume;
Considérant que le dépanneur qui intervient pour la Ville ne le fait que pour les véhicules
trouvés ou abandonnés sur la voie publique;
Considérant qu'il y a lieu de modifier les termes de la convention initiale;
Considérant que les véhicules abandonnés/trouvés sur la voie publique seront déposés sur le
site de l'abattoir;
Vu la délibération prise par le Collège Communal en date du 15 février 2018 :
- marquant son accord sur le projet de convention relative à l'enlèvement des
véhicules abandonnés/trouvés sur la voie publique,
- décidant de soumettre ce projet de convention à l'approbation du Conseil
communal lors de l'une de ses prochaines séances,
- décidant de solliciter les permis nécessaires au dépôt des véhicules
trouvés/abandonnés sur la voie publique sur le site de l'abattoir ;
Considérant qu'il y a lieu d'inscrire les modalités relatives à l'enlèvement des véhicules
abandonnés/trouvés sur le territoire de Virton dans une convention à passer entre le dépanneur
et la Ville;
Entendu Monsieur le Bourgmestre,
Après en avoir délibéré, UNANIME,
MARQUE SON ACCORD sur la convention proposée ci-dessous relative à l'enlèvement des
véhicules abandonnés/trouvés sur le territoire de la Virton :
CONVENTION
Entre les soussignés,
La Commune de VIRTON
60
Représentée par son Collège Communal pour lequel agissent Monsieur François CULOT,
Bourgmestre, et Madame Marthe MODAVE, Directrice Générale,
Agissant en exécution d’une délibération du Conseil Communal en date du ……………..
La présente convention prendra cours le ……………………….. conformément à la décision prise en
Collège Communal du …………………………………………
Et
…….. (BE ……….) Ayant son siège social ……………………………………………………………………………..
Représentée par son gérant, Monsieur …………………………………………………..
Ci-après dénommée la Société,
Il est convenu et accepté ce qui suit :
ARTICLE 1
La présente convention a pour objet d’assurer l’enlèvement des véhicules trouvés ou abandonnés sur la
voie publique sur le territoire de la Commune de Virton.
ARTICLE 2
Les parties s’engagent à exécuter les prestations décrites ci-après aux conditions stipulées par la
présente convention.
ARTICLE 3
La Société s’engage à :
assurer l’enlèvement des véhicules se trouvant sur le territoire de la Ville de Virton après demande
d’intervention par les services de police ainsi que par les agents que le Collège Communal aura
nominativement désignés dont la liste sera fournie au cocontractant;
Entreposer les véhicules concernés
o soit sur le terrain jouxtant l’Abattoir Communal situé rue d’Arlon à 6760 Virton,
o soit à l’endroit suivant ……………………………………….. aux conditions suivantes :
(biffer la mention inutile)
être joignable 24 heures sur 24 (un numéro d’urgence sera en outre donné à la Ville de Virton) ;
prévoir un service de garde pendant les périodes de vacances ;
adresser et transmettre au Collège Communal les factures relatives aux frais d’enlèvement des
véhicules et/ou d’entreposage1 visés par la présente convention dans les 48 heures de
l’intervention;
facturer les prestations sur base des montants mentionnés à l’article 4 ;
disposer du matériel nécessaire pour effectuer l’enlèvement des dits véhicules ;
intervenir dans un délai de deux heures à dater de la demande.
ARTICLE 4
Le montant de la prestation relative à l’enlèvement des véhicules sera établi sur base des montants
mentionnés ci-dessous :
Tarif horaire €
Tarif horaire soir et week-end €
Forfait plateau €
Prix utilisation de la grue par heure €
1 Biffer la mention inutile.
61
Prix du kilomètre €
Prestations de 17H30 à 00H00 supplément de 50%
Prestations de 00h00 à 08h00
Week-end et jours fériés supplément de 100%
ARTICLE 5
La Commune de Virton s’engage à s’acquitter des frais d’enlèvement établis selon les montants
mentionnés à l’article 4 et/ou d’entreposage2 après réception de la facture adressée au Collège
Communal.
ARTICLE 6
Pendant toute la durée de la présente convention, la Société est seule responsable des dommages
éventuels occasionnés par l’enlèvement et la manutention desdits véhicules.
ARTICLE 7
La présente convention est conclue pour une durée de trois années prenant cours à la date fixée par le
Collège communal.
ARTICLE 8
Chaque partie pourra mettre fin à la présente convention moyennant un préavis de trois mois notifié
par lettre recommandée à la poste et prenant cours le premier jour du mois qui suit celui au cours
duquel il a été donné.
Fait à VIRTON, en double exemplaire, le ……………..
Pour la société, Pour la Commune de Virton,
Le Gérant, La Directrice Générale, Le Bourgmestre,
M.-- Marthe MODAVE François CULOT
OBJET A) 19. CAMÉRAS DE SURVEILLANCE – CONVENTION À CONCLURE AVEC
LA ZONE DE POLICE DE GAUME.
Après une brève présentation des points A) 19 et A) 20 par Monsieur le Président,
présentation durant laquelle Monsieur Christian LEFEVRE se retire à 22h29’, le vote est
demandé.
Monsieur Christian LEFEVRE reprend siège en cours de vote.
LE CONSEIL,
2 Biffer la mention inutile.
62
Vu la Loi du 21 mars 2007 réglant l'installation et l'utilisation de caméras de surveillance et
ses modifications ultérieures;
Vu la circulaire ministérielle du 10 décembre 2009 relative à la loi du 21 mars 2007 réglant
l'installation et l'utilisation de caméras de surveillance, telle que modifiée par la loi du 12
novembre 2009, et ses modifications ultérieures;
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, notamment l’article L1122-30 ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 29 novembre 2017 marquant son
accord de principe sur l'installation de caméras de surveillance sur le territoire de Virton et
plus précisément aux endroits suivants dans un premier temps:
1. Rue Charles Magnette – coin arrière supérieur gauche de l'église
2. Parking des Dominos – sur la maison des dominos – sur la façade côté parking
3. Place Nestor Outer – coin supérieur gauche de l'église
4. Gare de Saint-Mard – avenue Bouvier
5. Rue des combattants – sur le coin de la façade du CPAS
et décide de solliciter l'avis du Conseil Communal sur le placement de caméras de
surveillance sur le territoire de Virton;
Vu sa délibération prise en date du 27 décembre 2017 remettant un avis positif sur le
placement de caméras de surveillance sur le territoire de Virton;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 30 mai 2018 marquant son
accord de principe sur le projet de règlement d'ordre intérieur et sur la convention à passer
avec la Zone de Police de Gaume concernant la mise à disposition du système de caméras de
surveillance et décidant de soumettre ces 2 projets à l'approbation du Conseil Communal lors
de sa prochaine assemblée;
Considérant que l'ensemble du système de caméras de surveillance que la Ville va acquérir va
être mis à disposition de la Zone de Police de Gaume;
Considérant qu'il y a donc lieu de passer une convention entre la Ville et la Zone de Police de
Gaume concernant cette mise à disposition;
Après en avoir délibéré,
MARQUE SON ACCORD sur la convention à passer avec la Zone de Police de Gaume,
libellée comme suit:
Convention relative aux caméras de surveillance
Entre les soussignés:
d'une part
La Ville de Virton, rue Charles Magnette 17 à 6760 Virton, représentée par Monsieur CULOT
F., Bourgmestre, et Madame MODAVE M., Directrice Générale, agissant en exécution de la
délibération du Conseil Communal du …………;
63
Dénommée ci-après "la Ville"
et
d'autre part:
La Zone de Police de Gaume, Lenclos 126 à 6740 ETALLE, Monsieur le Chef de Zone et
Monsieur le Chef de Poste de la police de Virton, rue Croix-le-Maire 25 à Virton;
désignée ci-après "la Zone de Police de Gaume"
Considérant que la Ville a procédé à l'installation de plusieurs caméras de surveillance sur le
territoire de Virton;
Considérant que l'ensemble de l'installation technique (serveur, écran de visualisation…) sera
installé au poste de police de Virton afin que les agents puissent utiliser les caméras,
rechercher des informations, transmettre des images aux autorités…;
Considérant qu'il y a lieu d'acter dans une convention cette mise à disposition des installations
à la Zone de Police de Gaume et l'utilisation des caméras de surveillance;
Il est convenu et accepté ce qui suit:
Article 1 - Objet
La Ville a acquis un système de caméras de surveillance comprenant :
- Un poste de type Pc avec carte graphique adaptée
- un écran de grande taille.
- les caméras de surveillance
- espace de stockage
- logiciel spécialisé
L'ensemble de l'installation est mise à disposition et utilisé par le personnel habilité de la Zone
de Police de Gaume.
La présente convention vaut également pour les caméras de surveillances supplémentaires qui
seront installées dans le futur.
L'installation informatique sera placée dans les locaux du service de police de Virton.
Article 2 – Obligations de la Ville
La Ville de Virton s'engage à mettre l'ensemble des installations à disposition du service de
police et à ne pas intervenir dans l'utilisation des caméras de surveillance.
La Ville de Virton s'engage faire assurer l'entretien et la maintenance du système de caméras
de surveillance
64
Article 3 – Obligations du service de police
La Zone de Police de Gaume s'engage à installer le système de stockage et de visionnage des
images dans un local sécurisé et à n'autoriser l'accès aux images des caméras de surveillances
qu'au personnel habilité.
La Zone de Police de Gaume s'engage à utiliser le matériel mis à disposition en bon père de
famille et à prévenir la société responsable de la maintenance ainsi que la Ville dès qu'une
panne ou un problème technique survient.
La Zone de Police de Gaume s'engage également à:
- respecter la législation en vigueur relative à l'utilisation des caméras de
surveillance
- respecter le règlement général sur la protection des données
- respecter le règlement d'ordre intérieur
- contrôler quotidiennement le bon fonctionnement des enregistrements et l’espace
de stockage
La Zone de Police de Gaume tiendra les registres suivants:
- Le registre des enregistrements
sont mentionnés:
- les exportations d'images réalisées à la demande des services de police
- les relectures réalisées par ou pour les services de police
- les relectures effectuées par les personnes ayant fait valoir leur droit à l'image
Article 4 – Durée de la convention
La présente convention est conclue pour une durée indéterminée. Chaque partie peut y mettre
fin, sans motif, par l'envoi d'une lettre recommandée 6 mois avant la date anniversaire de la
présente convention.
Fait à Virton, le en deux exemplaires.
Pour la Zone de Police de Gaume, Pour la Ville de Virton,
Le Commissaire Le Chef de La Directrice Générale, Le Bourgmestre,
Divisionnaire Poste
J-Y SCHUL J-Y OLIVIER M. MODAVE F. CULOT
Cette délibération a été adoptée par 16 voix favorables, 0 voix négative et 3 abstentions.
Ont voté positivement :
65
ROISEUX Bernadette, CHALON Etienne, FELLER Didier, WAUTHOZ Vincent, RAULIN
Jean, VAN DEN ENDE Annick, LACAVE Denis, GOBERT Sabine, BAILLOT Hugues,
CLAUDOT Alain, GONRY Paul, PRIGNON Cédric, ZANCHETTA Philippe, GRAISSE
Martine, MULLENS Michel et CULOT François.
Se sont abstenus :
LEGROS Philippe, LEFEVRE Christian et GOFFIN Annie.
OBJET A) 20. CAMÉRAS DE SURVEILLANCE – RÈGLEMENT D’ORDRE
INTÉRIEUR.
Le vote est demandé,
LE CONSEIL,
Vu la Loi du 21 mars 2007 réglant l'installation et l'utilisation de caméras de surveillance et
ses modifications ultérieures;
Vu la circulaire ministérielle du 10 décembre 2009 relative à la loi du 21 mars 2007 réglant
l'installation et l'utilisation de caméras de surveillance, telle que modifiée par la loi du 12
novembre 2009, et ses modifications ultérieures;
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, notamment l’article L1122-30 ;
Vu sa délibération prise en date du 22 novembre 2017 marquant son accord de principe sur
l'installation de caméras de surveillance sur le territoire de Virton et plus précisément aux
endroits suivants dans un premier temps:
1. Rue Charles Magnette – coin arrière supérieur gauche de l'église
2. Parking des Dominos – sur la maison des dominos – sur la façade côté parking
3. Place Nestor Outer – coin supérieur gauche de l'église
4. Gare de Saint-Mard – avenue Bouvier
5. Rue des combattants – sur le coin de la façade du CPAS
et décidant de solliciter l'avis du Conseil communal sur le placement de caméras de
surveillance sur le territoire de Virton;
Vu sa délibération prise en date du 27 décembre 2017 remettant remet un avis positif sur le
placement de caméras de surveillance sur le territoire de Virton;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 30 mai 2018 marquant son
accord de principe sur le projet de règlement d'ordre intérieur et sur la convention à passer
avec la Zone de Police de Gaume concernant la mise à disposition du système de caméras de
surveillance et décidant de soumettre ces 2 projets à l'approbation du Conseil communal lors
de sa prochaine assemblée;
Considérant que l'ensemble du système de caméras de surveillance que la Ville va acquérir va
être mis à disposition de la Zone de Police de Gaume;
66
Considérant qu'il y a donc lieu d'instaurer un cadre à cette mise à disposition;
Après en avoir délibéré,
DECIDE d'adopter le règlement d'ordre intérieur relatif à l'utilisation du système de caméras
de surveillance, rédigé comme suit:
Règlement d'ordre intérieur
Article 1 – objectifs du règlement d'ordre intérieur
Le présent règlement d'ordre intérieur a pour objectif de définir:
- le but poursuivi par le placement de caméras de surveillance,
- les droits et obligations des responsables et utilisateurs du système caméra,
- le bon fonctionnement et la bonne utilisation des caméras,
- l'utilisation des données collectées,
- le respect de la vie privée des citoyens…
Article 2 – objectifs du système de surveillance par caméras
Le placement de caméras de surveillance sur le territoire de la Ville de Virton a, dans un
premier temps, un but de dissuasion.
Dans un second temps, en cas d'infractions, bagarres, accidents…. le placement de caméras
permettra, après visionnage des images concernées, d'obtenir des informations sur ce qu'il
s'est réellement passé, sur les personnes concernées, les circonstances,….
Les principaux objectifs sont donc la sécurité des personnes et des biens, la protection des
bâtiments publics et leurs abords ainsi qu'une meilleure élucidation des enquêtes policières.
Article 3 – responsabilité des parties
La Ville est responsable de la gestion administrative et technique des caméras. Elle délègue la
compétence et la gestion d'utilisation aux services de la Zone de Police de Gaume en ce qui
concerne l'accès aux caméras et le visionnage des images en cas de besoin.
Article 4 – sécurité relative au poste central, l'occupation et l'accès à ce lieu
Le poste central sera placé dans les locaux du service de police de Virton.
L'accès à la salle d'exploitation est exclusivement réservé au personnel habilité.
L'accès sera contrôlé par le fonctionnaire de police de garde sous la responsabilité du chef de
poste ou de son remplaçant.
Article 5 – sécurité relative au réseau caméras, aux enregistrements et à leur conservation
Les images sont conservées dans un local sécurisé et enregistrées sur un serveur.
La conservation des images se fait durant 1 mois maximum sauf si ces images peuvent
contribuer apporter la preuve d'une infraction, d'un dommage ou d'une nuisance ou permettre
d'identifier un auteur, un perturbateur à l'ordre public, un témoin ou une victime.
67
Article 6 - principes concernant l'utilisation du système caméras, la commande des caméras et
le masquage
Il est interdit de filmer certains lieux comme les entrées d'immeubles, c'est-à-dire qu'elles ne
doivent pas être filmées de façon systématique. L'interdiction est totale pour l'intérieur des
habitations.
Les endroits non concernés par les caméras seront floutés (fenêtres des habitations)
Article 7 - visionnage des images
Le visionnage des images en temps réel n'est admis que sous le contrôle des services de police
et dans le but de permettre aux services compétents d'intervenir immédiatement en cas
d'infractions, de nuisance ou d'atteinte à l'ordre public.
Article 8 - aspects administratifs et principes concernant l'enregistrement et la gestion des
enregistrements
Un registre des enregistrements sera tenu et mentionnera:
- les exportations d'images réalisées à la demande des services de police, du parquet,
- les relectures réalisées par ou pour les services de police
- les relectures effectuées par les personnes ayant fait valoir leur droit à l'image
Un registre des accès aux données enregistrées sera également tenu.
Le transfert à un autre service de police, au parquet et aux tiers des images se fera au moyen
d'un support numérique.
Article 9 - utilisation de l'enregistrement digital
Les enregistrements ne seront utilisés qu'en cas d'infraction, à la demande du parquet ou dans
le cadre de recherches pour une enquête policière.
Article 10 - principes relatifs à l'obtention du droit d'accès aux images
Conformément à la loi caméras, un droit d'accès aux images est reconnu à toute personne
filmée. Ce droit s'exerce sur demande motivée à l'Administration Communale, responsable du
traitement.
La personne filmée mentionnera dans sa demande des informations suffisamment détaillées
pour permettre d'identifier les données de l'enregistrement la concernant (date, heure, lieux
exacts).
Le responsable du traitement examinera ensuite, sur base d'un rapport du service de police, les
intérêts de la personne qui demande l'accès avec les intérêts pour la sécurité.
Article 11 - utilisation, suivi, gestion du matériel de preuve, secret professionnel
Les personnes habilitées ayant accès à la salle d'exploitation et aux images sont tenues au
secret professionnel.
Toute personne ayant un accès aux images est soumise au devoir de discrétion en ce qui
concerne les données personnelles fournies par les images.
68
Il est interdit aux agents d'utiliser les images pour un autre usage que celui pour lequel ils sont
autorisés.
Il est particulièrement interdit de visualiser l'intérieur des immeubles d'habitation et de façon
spécifique leurs entrées.
Article 12 - signalisation sur le terrain
Des pictogrammes indiquant aux citoyens qu'ils se trouvent dans une zone couverte par des
caméras de surveillance sont placés à l'entrée de chaque zone.
Cette délibération a été adoptée par 16 voix favorables, 0 voix négative et 3 abstentions.
Ont voté positivement :
ROISEUX Bernadette, CHALON Etienne, FELLER Didier, WAUTHOZ Vincent, RAULIN
Jean, VAN DEN ENDE Annick, LACAVE Denis, GOBERT Sabine, BAILLOT Hugues,
CLAUDOT Alain, GONRY Paul, PRIGNON Cédric, ZANCHETTA Philippe, GRAISSE
Martine, MULLENS Michel et CULOT François.
Se sont abstenus :
LEGROS Philippe, LEFEVRE Christian et GOFFIN Annie.
OBJET A) 21. PARTENARIAT VIRTON-TCHAOUROU – DONS DE MATÉRIEL.
LE CONSEIL,
Vu la Loi du 30 décembre 1975 concernant les biens trouvés en dehors des propriétés privées
ou mis sur la voie publique en exécution de jugements d’expulsion ;
Vu la nouvelle Loi communale ;
Vu le Code de la Démocratie locale et de la Décentralisation, notamment l’article L1122-30 ;
Vu le courrier daté du 18 avril 2018 de Monsieur Pierre SCHARFF, Président de la
Commission Nord-Sud, demandant si la Ville dispose de :
- matériel administratif usagé mais en état de fonctionnement,
- matériel scolaire en bon état non employé dans les écoles communales,
- livres élagués dans les collections de la bibliothèque,
- vélos en bon état abandonnés sur territoire communal,
à donner à la population de la commune de Tchaourou ;
Vu les courriels de Mesdames Virginie GOUVERNEUR et Brigitte LALLEMAND et
Messieurs Mathieu ESCARMELLE et Stéphane PONDANT listant le matériel pouvant faire
l’objet d’une donation à la population de Tchaourou ;
Considérant le partenariat de longue date (depuis 2008) entre les communes de Virton et de
Tchaourou ;
69
Considérant qu’il convient que la Ville de Virton apporte son soutien à la population de
Tchaourou ;
Sur proposition du Collège communal ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE de répondre favorablement à la demande de Monsieur Pierre SCHARFF et de faire
don à la population de Tchaourou du matériel suivant :
- 2 caisses de livres, principalement à destination de la jeunesse, en provenance de la
bibliothèque communale,
- 1 vélo adulte en provenance du service travaux,
- 19 photocopieurs en provenance du service informatique,
MARQUE MODELE EMPLACEMENT ACTUEL NUM DE SERIE
1 KYOCERA KM 5050 ECOLE DE CHENOIS PAK7804996
2 KYOCERA KM 4050 ECOLE DE RUETTE PAJ7105324
3 KYOCERA KM 3040 AC ARCHIVE 0 QAQ7Y00515
4 KYOCERA KM 3040 AC ARCHIVE 0 QAQ7Y00547
5 KYOCERA KM 3050 AC ARCHIVE 0 PAH 7711742
6 SHARP MX3100 SERVICE DES TRAVAUX 8801317Y00
7 HP BUSINESS INKJET
1100
AC INFO +1 CN53G210W8
8 HP LASERJET 1160 AC INFO +1 CNM1H17137
9 BROTHER MFC-7360N AC INFO +1 E69720M2N876062
10 KYOCERA P6026CDN AC INFO +1 LW84Z20331
11 KYOCERA M6026CDN AC INFO +1 LWC4302493
12 EPSON EPL-N2750 AC INFO +1 CHA0006326
13 BROTHER HL-4150CDN AC INFO +1 E68020H2J298113
14 BROTHER HL-4150CDN AC INFO +1 E68020H2J298110
15 KYOCERA M6026CDN AC INFO +1 LWC4403823
16 BROTHER DCP-9055CDN AC INFO +1 E69493J2J354430
17 KYOCERA FS-1118MFP AC INFO +1 XLK5917224
18 HP DESKJET 5740 AC INFO +1 MY4BU1W048
19 BROTHER HL-2240D AC INFO +1 E69340G2N827116
- 1 caisse de cahiers en provenance de l’école de Ruette.
OBJET A) 22. PROGRAMME PCIC – PARTENARIAT TCHAOUROU-VIRTON –
PHASE 2017-2021 – TRANSFERT DE SUBSIDES EN NUMÉRAIRE À
LA COMMISSION NORD-SUD – 2018-2021.
LE CONSEIL,
Vu la nouvelle Loi communale ;
Vu le Code de la Démocratie locale et de la Décentralisation, notamment les articles L3331-1
à L3331-8 ;
70
Vu la circulaire ministérielle du 30 mai 2013 relative à l’octroi des subventions par les
pouvoirs locaux ;
Vu sa délibération prise en date du 26 septembre 2008 décidant notamment du principe de la
création d’une Commission Nord-Sud ;
Vu sa délibération prise en date du 07 juin 2013 relative à l’octroi des subventions et
spécifiquement aux obligations à charge des bénéficiaires ;
Vu le courrier daté du 22 juin 2017 de Madame Isabelle COMPAGNIE, Responsable du
service Europe /International de l’Union des Villes et des Communes de Wallonie, informant
de l’acceptation du Programme pluriannuel 2017-2021 de coopération internationale
communale et du montant du budget théorique global de 276.000 € ainsi que sa répartition
annuelle ;
Vu le courriel du 25 janvier 2018 de Madame Isabelle COMPAGNIE, Responsable du service
Europe /International de l’Union des Villes et des Communes de Wallonie, informant d’une
coupe budgétaire provisoire de 6% dans le subside PCIC 2018 pour les partenariats belgo-
béninois et invitant à penser les POA sur la base de 52.000 € et non de 58.000 € ;
Considérant que ce budget sera destiné à financer les activités relatives tant à la mise en
œuvre locale qu’à la participation aux activités collectives prévues dans le cadre logique
2017-2021 relatif au Bénin ;
Vu le point 7.2 « Description des résultats Outcome/Objectifs spécifique 1 » du programme
pluriannuel 2017-2021 relatif au Bénin ;
Vu sa délibération prise en date du 26 avril 2018 décidant d’octroyer une subvention de
25.347,43 euros à la Commission Nord-Sud ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice Financière en date du 29
mai 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis favorable en date du 01 juin 2018 ;
Sur proposition du Collège communal ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
Article 1 :
La Ville de Virton transfère les subventions octroyées par l’Union des Villes et des
Communes de Wallonie dans le cadre du Programme pluriannuel 2017-2021 de coopération
internationale communale à la Commission Nord-Sud ci-après dénommé le bénéficiaire.
Le montant transféré par la Ville à la Commission Nord-Sud ne peut en aucun cas excéder le
montant du subside versé par l’Union des Villes et des Communes de Wallonie à la Ville de
Virton dans le cadre du partenariat PCIC 2017-2021 Virton-Tchaourou.
71
Article 2 :
Le bénéficiaire utilise la subvention pour financer les activités relatives tant à la mise en
œuvre locale qu’à la participation aux activités collectives prévues dans le cadre logique
2017-2021 relatif au Bénin ;
Article 3 :
Pour justifier l’utilisation de la subvention, le bénéficiaire produit les documents suivants :
a) Le compte de la Commission Nord-Sud de l’exercice précédent,
b) Le budget de la Commission Nord-Sud de l’exercice en cours,
au plus tard pour le 31 décembre de l’année en cours.
Article 4 :
La subvention est engagée sur l’article 162/435-01 (Opération Bénin) du service ordinaire du
budget de l’exercice en cours.
Article 5 :
La liquidation se fera par tranches selon les versements effectués par l’Union des Villes et des
Communes de Wallonie à la Ville de Virton.
La liquidation de la subvention est autorisée avant la réception des justifications visées à
l’article 3.
Article 6 :
Le Collège communal est chargé de liquider la subvention et d’en contrôler l’utilisation faite
par le bénéficiaire. Cette utilisation sera conforme aux prescriptions de l’Union des Villes et
des Communes de Wallonie.
Article 7 :
Dans le cas où la subvention ne serait pas utilisée dans son intégralité ou pas conformément
aux dispositions visées à l’article 2, la Commission Nord-Sud est chargée de restituer le
montant restant ou utilisé à des fins non conformes à sa finalité à la Ville de Virton
Article 8 :
Une copie de la présente délibération est notifiée au bénéficiaire.
OBJET A) 23. PIC 2017-2018 – POINT 1 – REMPLACEMENT DE L’ASCENSEUR DES
VATELOTTES ET CRÉATION DE SANITAIRES – APPROBATION DU
CAHIER DES CHARGES.
LE CONSEIL,
72
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation et ses modifications ultérieures,
notamment l'article L1222-3 §1 relatif aux compétences du Conseil communal et les articles
L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ;
Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en
matière de marchés publics, de certains marchés de travaux, de fournitures et de services et de
concessions et ses modifications ultérieures ;
Vu la loi du 17 juin 2016 relative aux marchés publics, notamment l'article 36 ;
Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés
publics et ses modifications ultérieures ;
Vu l'arrêté royal du 18 avril 2017 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs
classiques et ses modifications ultérieures ;
Vu sa délibération prise en date du 10 février 2017 approuvant le Plan d’Investissement
Communal 2017-2018 détaillé comme suit et fixé par ordre de priorité :
Point 1 : Remplacement de l’ascenseur des Vatelottes à Virton – 165.165,00 € TVAC
Point 2 : Entretien extraordinaire de la rue de Buré à Saint-Rémy (hors distribution
d’eau) – 46.278,79 € TVAC
Point 3 : Modernisation de la rue des Combattants à Virton (hors distribution d’eau) –
493.068,35 € TVAC
Point 4 : Entretien extraordinaire de la rue des Grasses Oies à Virton – 296.390,45 €
TVAC
Point 5 : Entretien extraordinaire de la rue Baillet Latour à Latour – 52.773,45 €
TVAC
Point 6 : Entretien de la ruelle Othelet à Saint-Mard – 26.375,58 € TVAC
Point 7 : Entretien de la rue de Longuyon à Ruette – 239.844,99 € TVAC ;
Vu le projet établi par Madame Sarah GERMAIN, attachée spécifique à la Ville, auteur de
projet ;
Considérant que ce marché est divisé en lots :
* Lot 1 (Remplacement de l'ascenseur des Vatelottes), estimé à 114.000,00 € hors TVA ou
137.940,00 €, TVA comprise ;
* Lot 2 (Création de sanitaires), estimé à 42.260,00 € hors TVA ou 51.134,60 €, TVA
comprise ;
Considérant que le montant global estimé de ce marché s'élève à 156.260,00 € hors TVA ou
189.074,60 €, 21% TVA comprise ;
Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure ouverte ;
Considérant que le crédit permettant cette dépense est inscrit au budget extraordinaire de
l’exercice 2018, article 12400/724-56 (n° de projet 20170006) ;
73
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 31
mai 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis favorable en date du 05 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
- d'approuver le cahier des charges N° 2018-264 et le montant estimé du marché
“PIC 2017-2018 - Point 1 - Remplacement de l'ascenseur des Vatelottes et création
de sanitaires”, établis par Madame Sarah Germain, attachée spécifique, auteur de
projet. Les conditions sont fixées comme prévu au cahier des charges et par les
règles générales d'exécution des marchés publics. Le montant estimé s'élève à
156.260,00 € hors TVA ou 189.074,60 €, 21% TVA comprise,
- d’approuver le plan de sécurité santé établi pour ce dossier,
- de passer le marché par la procédure ouverte,
- d’accepter de prendre en charge le financement de la partie non subsidiée,
- de passer le marché par la procédure ouverte,
- de fixer comme suit les conditions du marché:
- Lot 1: catégorie D en classe 1 pour autant que le montant de l’offre
l’exige.
- Lot 2: catégorie D en classe 1 pour autant que le montant de l’offre
l’exige.
- Tous les lots groupés: catégorie D en classe 2 pour autant que le
montant de l’offre l’exige.
- d’approuve l'avis de marché établi à cet effet,
- de financer cette dépense par le crédit inscrit au budget extraordinaire de l’exercice
2018, article 12400/724-56 (n° de projet 20170006).
La présente délibération ainsi que tous les documents annexes seront transmis au pouvoir
subsidiant dans les plus brefs délais.
OBJET A) 24. RAPPORT URBANISTIQUE ET ENVIRONNEMENTAL (RUE) DE
RABAIS – PRISE DE CONNAISSANCE ET ADOPTION PROVISOIRE.
Le vote est demandé,
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, notamment l’article L1122-30 ;
Vu le courrier en date du 08 février 2018, reçu en date du 13 février 2018, de Madame Diana
MATALA, Chef de Projets au bureau AGORA de BRUXELLES, laquelle transmet le
Rapport Urbanistique et Environnemental (RUE) « Zone de loisirs – Vallée de Rabais – Côté
74
ETHE » composé du rapport urbanistique et environnemental, du résumé non technique et de
4 cartes au format A0 (échelle 1/1000ème
) ;
Considérant que ce document va faire l’objet d’une adoption provisoire par le Collège
communal et le Conseil communal ;
Vu le Rapport Urbanistique et Environnemental (RUE) ;
Vu le résumé non technique ;
Vu la proposition de schéma d’aménagement et la proposition de plan de masse ;
Vu le courriel adressé par Monsieur José SCHWANEN à Monsieur VANCOPPENOLLE, en
date du 27 avril 2018, duquel il ressort « Le RUE à Virton est en effet en finalisation. S’il est
adopté, il déterminera l’organisation générale de la zone (avec les contraintes en rapport),
mais il permettra aussi d’asseoir le projet par rapport aux permis qui suivront, ceux-ci ne
pouvant plus être remis en cause dès lors qu’ils respecteront le RUE (que l’on appellera dès
son approbation « schéma d’orientation locale »). À vous d’évaluer les avantages et
inconvénients de ce document. » ;
Vu le courriel, en date du 02 mai 2018, de Monsieur Etienne VANCOPPENOLLE lequel,
suite à la réponse de Monsieur SCHWANEN, demande de relancer la procédure pour le RUE
de la Vallée de Rabais et fait part de leur souhait de continuer la procédure afin d’aboutir et
d’avoir un document officiel (SOL) qui définit le développement de leur terrain ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 14 juin 2018 prenant
connaissance du rapport urbanistique et environnemental (RUE), du résumé non technique et
des cartes et décidant de soumettre celui-ci lors d’un prochain conseil communal pour
adoption provisoire ;
PREND CONNAISSANCE du Rapport Urbanistique et Environnemental (RUE), du résumé
non technique et des cartes.
Après en avoir délibéré,
DECIDE de l’adoption provisoire du rapport urbanistique et environnemental (RUE), du
résumé non technique et des cartes.
INVITE le Collège communal à soumettre ce dossier à l’enquête publique et à solliciter les
différents avis auprès des différentes autorités.
Cette délibération a été adoptée par 11 voix favorables, 0 voix négative et 8 abstentions.
Ont voté positivement :
ROISEUX Bernadette, CHALON Etienne, FELLER Didier, WAUTHOZ Vincent, RAULIN
Jean, VAN DEN ENDE Annick, BAILLOT Hugues, CLAUDOT Alain, GONRY Paul,
GRAISSE Martine et CULOT François.
Se sont abstenus :
75
LACAVE Denis, LEGROS Philippe, GOBERT Sabine, LEFEVRE Christian, GOFFIN Annie,
PRIGNON Cédric, ZANCHETTA Philippe et MULLENS Michel.
OBJET A) 25. AFFECTATION DE LA VOIRIE AU DOMAINE PUBLIC COMMUNAL
ET REPRISE DE L’ASSIETTE DE LA VOIRIE ET DE SES
ACCESSOIRES – RUE DES CORMORANS.
LE CONSEIL,
Vu le courrier reçu en date du 30 mars 2018 de l’Intercommunale IDELUX demandant à la
Commune de VIRTON de reprendre les infrastructures décrites ci-avant telles que décrites au
plan ;
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, notamment l’article L1122-30 ;
Considérant l’article 10 du décret du 11.03.2004 relatif aux infrastructures d’accueil des
activités économiques et à l’arrêté du Gouvernement wallon du 21 octobre 2004 portant
exécution dudit décret qui stipule, à son article 12, que « Un subside n’est accordé pour la
réalisation des voiries publiques créées, que pour autant que la Commune sur le territoire de
laquelle elles se trouvent s’engage par écrit, et au préalable, à les reprendre dès leur réception
provisoire. » ;
Considérant l’article 8 de l’Arrêté du Gouvernement wallon du 21 octobre 2004 qui précise,
en outre, que « dès leur réception provisoire, les infrastructures subsidiées réalisées dans le
cadre de l’aménagement des espaces destinés aux activités économiques sont reprises par la
ou les Commune(s) sur le territoire desquelles elles se trouvent ou par le ou les gestionnaire(s)
prévus par les lois et règlements. Dans le cas où une infrastructure spécifique relève de
plusieurs gestionnaires simultanément, un accord sur la reprise est conclu entre les parties
avant l’exécution de l’ouvrage. » ;
Considérant que, dès lors, les voiries et leurs accessoires sont subsidiés à condition que ces
bien soient affectés au domaine public de la Commune sur le territoire de laquelle le parc est
implanté et que cette dernière en assure la gestion dès leur réception provisoire ;
Considérant que, dans le cadre des parcs d’activités économiques, IDELUX assure l’ensemble
du risque de mise en œuvre du parc (études, suivi procédures, acquisitions, équipements,…),
de sa commercialisation (publicités, ventes,…) et son animation (comités de concertation,
club d’entreprises,…) ;
Vu le projet d’acte de cession sans stipulation de prix, des biens suivants, propriétés
d’IDELUX : «
COMMUNE DE VIRTON – 4ème
DIVISION – LATOUR – Section B
Dans la zone d’activité économique industrielle :
76
1) La voirie, son assiette et ses accotements étant une contenance de septante-sept ares vingt-
neuf centiares (77a 29 ca) à prendre dans la parcelle cadastrée numéro 802B3 d’une
superficie de 8ha 42a 37 ca.
Cette superficie a reçu l’identifiant cadastral numéro B 802 W3 P0000.
Cette contenance est reprise sous liseré jaune « LOT1 » au « plan de mesurage et de division
– Cession de voirie – PAE LATOUR » dressé le 28 juin 2017 par Gilles LECLERE,
Géomètre-expert inscrit au tableau du conseil fédéral sous le n°GEO 141304. Ce plan a été
enregistré dans la base de données des plans de délimitation de l’Administration générale de
la Documentation Patrimoniale sous le numéro de référence : 85022-10104.
2) Le réseau d’égouttage de la voirie décrite au point 1 avec, en pleine propriété, les
emplacements de 31 chambres de visites étant une contenance de soixante-deux centiares
(62ca) à prendre au sein de la parcelle cadastrée numéro 802B3 ci-dessus décrite.
3) Le réseau d’éclairage public de la voirie décrite au point 1 qui comprend les câbles
d’alimentation, les luminaires, candélabres et tout équipement s’y rapportant. » ;
Vu le plan joint au projet d’acte ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 14 juin 2018 marquant son
accord de principe sur le projet d’acte ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
- d’approuver le projet d’acte transmis comme suit :
ACTE DE CESSION D'IMMEUBLE
SANS STIPULATION DE PRIX
L'an deux mille dix-sept.
Le
Nous, Pascal NEMRY, Président-adjoint du comité d’acquisition d’immeubles du
LUXEMBOURG, Conseiller au Service Public de Wallonie, Direction Générale Transversale du
Budget, de la Logistique et des Technologies de l’Information et de la Communication,
Département des Comités d’acquisition, agissant en exécution des articles 80 et 81 du Décret
régional Wallon du 2 février 2017 relatif au développement des parcs d’activité économiques,
actons la convention suivante intervenue entre :
D'UNE PART,
L’« Association Intercommunale pour le Développement Economique durable de la
Province de Luxembourg », en abrégé « I.D.E.LUX », Société ayant pris la forme de société
coopérative à responsabilité limitée, dont le siège social est établi à 6700 Arlon, Drève de l’Arc-
en-Ciel, 98, inscrite au registre du commerce d’Arlon sous le numéro 14.128, numéro d’entreprise
0205.797.475, immatriculée à la Taxe sur la Valeur Ajoutée sous le numéro 205.797.475,
77
constituée par acte sous seing privé le cinq avril mil neuf cent soixante-deux, publié aux annexes
du Moniteur belge le vingt-huit avril mil neuf cent soixante-deux sous les numéros 9742 et 9743,
dont les statuts ont été approuvés par Arrêté Royal du trente avril mil neuf cent soixante-deux,
modifiés à plusieurs reprises et pour la dernière fois par l’assemblée générale extraordinaire du
vingt-deux décembre deux mille dix, dont le procès-verbal a été reçu par le notaire Philippe
BOSSELER, d’Arlon, publié aux annexes du Moniteur belge du quatorze janvier deux mille onze,
sous le numéro 11007847, approuvée par un arrêté du vingt-trois février deux mille onze du
Ministre de Tutelle de la Région wallonne Paul FURLAN, publié au Moniteur belge du onze mars
suivant, sous le numéro 2011/201153, ici représentée par le fonctionnaire instrumentant en vertu
de l’article 63 du Décret programme du 21 décembre 2016, publié au Moniteur belge le 29
décembre 2016, entré en vigueur le 1er janvier 2017 et d’une décision du Conseil d’administration
en date du 08 septembre 2017, dont une copie certifiée conforme restera ci-annexée.
Ci-après dénommée « le cédant ».
ET D'AUTRE PART,
La COMMUNE DE VIRTON, numéro d’entreprise 0206.524.777, dont les bureaux sont
situés à 6760 Virton, rue Charles Magnette, 17/19, ici représentée par le fonctionnaire
instrumentant en vertu l’article 63 du Décret programme du 21 décembre 2016, publié au
Moniteur belge le 29 décembre 2016, entré en vigueur le 1er janvier 2017 et en exécution d'une
délibération du Conseil communal en date du ………………, délibération dont un extrait certifié
conforme restera ci-annexé.
Ci-après dénommée « le cessionnaire » ou « la commune ».
I.- CESSION.
Le cédant cède à la cessionnaire, qui accepte, les immeubles désignés ci-dessous, aux
conditions indiquées dans le présent acte.
COMMUNE DE VIRTON - 4ème division – LATOUR - Section B
Dans la zone d’activité économique industrielle :
1) La voirie, son assiette et ses accotements étant une contenance de septante-sept ares vingt-
neuf centiares (77a 29ca) à prendre dans la parcelle cadastrée numéro 802B3 d’une
superficie totale de 8ha 42a 37ca
Cette superficie a reçu l’identifiant cadastral numéro B 802 W3 P0000
Cette contenance est reprise sous liseré jaune « LOT1 » au « plan de mesurage et de
division – Cession de voirie – PAE LATOUR » dressé le 28 juin 2017 par Gilles
LECLERE, Géomètre-expert inscrit au tableau du conseil fédéral sous le n°GEO
141304. Ce plan a été enregistré dans la base de données des plans de délimitation de
l’Administration générale de la Documentation Patrimoniale sous le numéro de
référence : 85022-10104.
78
2) Le réseau d’égouttage de la voirie décrite au point 1 avec en pleine propriété, les
emplacements de 31 chambres de visites étant une contenance de soixante-deux centiares
(62ca) à prendre au sein de la parcelle cadastrée numéro 802B3 ci-dessus décrite.
Ces contenances sont reprises au plan mentionné ci-avant sous les lots dénommés
RV1003, RV1024, RV1004, RV1025, RV1005, RV1026, RV1006, RV1027, RV1007,
RV1028, RV1008, RV1029, RV1009, RV1030, RV1010, RV1011, RV1012, RV1013,
RV1014, RV1015, RV1016, RV1017, RV1018, RV1019, RV1020, RV1000, RV1021,
RV1001, RV1022, RV1002 et RV1023.
Ces superficies ont reçu les identifiants cadastraux numéros B 802 A4 P0000, B 802 A5
P0000, B 802 B4 P0000, B 802 B5 P0000, B 802 C4 P0000, B 802 C5 P0000, B 802 D4
P0000, B 802 D5 P0000, B 802 E4 P0000, B 802 E5 P0000, B 802 F4 P0000, B 802 F5
P0000, B 802 G4 P0000, B 802 G5 P0000, B 802 H4 P0000, B 802 K4 P0000, B 802 L4
P0000, B 802 M4 P0000, B 802 N4 P0000, B 802 P4 P0000, B 802 R4 P0000, B 802 S4
P0000, B 802 T4 P0000, B 802 V4 P0000, B 802 W4 P0000, B 802 X3 P0000, B 802 X4
P0000, B 802 Y3 P0000, B 802 Y4 P0000, B 802 Z3 P0000 et B 802 Z4 P0000.
3) Le réseau d’éclairage public de la voirie décrite au point 1 qui comprend les câbles
d’alimentation, les luminaires, candélabres et tout équipement s’y rapportant.
Les parties déclarent marquer leur accord sur les éléments repris aux plans précités et
qui resteront annexés aux présentes.
Ci-après dénommée « le bien »
ORIGINE DE PROPRIETE
Le bien vendu appartient à l’Intercommunale depuis plus de trente ans et en particulier
en vertu d’un acte reçu par Monsieur César, Commissaire au Comité d’Acquisition
d’Immeubles à Neufchâteau les 19 et 27 septembre 1968.
BUT DE LA CESSION
La cession a lieu pour cause d’utilité publique en vue de l’incorporation du tronçon de
voirie et son assiette ainsi que l’ensemble des réseaux d’égouttage et d’éclairage public dans le
patrimoine communal.
II.- CONDITIONS.
1.- GARANTIE - SITUATION HYPOTHECAIRE.
Le bien est cédé pour quitte et libre de toutes charges hypothécaires, tant dans le chef du
cédant que dans le chef des précédents propriétaires. Si le bien était grevé de pareilles charges, la
cessionnaire aurait la faculté de considérer la présente cession comme nulle et non avenue.
79
2.- SERVITUDES.
Le bien est cédé avec toutes ses servitudes actives et passives, apparentes et occultes,
continues et discontinues, libre à la cessionnaire de faire valoir les unes à son profit et de se
défendre des autres mais à ses frais, risques et périls sans intervention du cédant ni recours contre
lui, et sans cependant que la présente clause puisse donner à qui que ce soit plus de droits qu'il
n'en aurait, soit en vertu de titres réguliers et non prescrits soit en vertu de la loi.
Il est créé une servitude non aedificandi d’une largeur de 6,5m jusqu’au bord
extérieur du filet d’eau (F.E.). Cette servitude est reprise en hachuré rouge au plan
susmentionné.
3.- ETAT DU BIEN - CONTENANCE.
La cessionnaire prendra le bien dans l'état où il se trouve, sans aucune garantie au sujet des
vices ou défauts apparents ou cachés, de la nature du sol ou du sous-sol, ni de la contenance
indiquée, dont la différence en plus ou en moins, fut-elle supérieure au vingtième, fera profit ou
perte pour la cessionnaire.
Elle ne pourra exiger aucune indemnité pour erreur de nom, de désignation, d'indication
de tenants et aboutissants ni pour défaut d'accès.
4.-Les biens faisant l’objet des présentes sont destinés à être incorporés dans le domaine
public communal ; en conséquence, la Commune s’engage, à la décharge d’I.D.E.LUX, à assurer
en leurs lieux et place, l’entretien des biens cédés ainsi que leur remplacement éventuel.
5.-I.D.E.LUX subroge la Commune dans leurs droits d’accès aux propriétés des
entreprises implantées dans la zone d’activité économique mixte et industrielle, en vue d’assurer
l’entretien des biens cédés, tels que ces droits résultent des actes de ventes par I.D.E.LUX à ces
dites entreprises.
La Commune s’engage à permettre à tout investisseur s’implantant sur le zoning, l’accès à
la voirie et le branchement aux réseaux d’égouttage.
III.- PRESCRIPTIONS URBANISTIQUES - MONUMENTS ET SITES.
URBANISME : Mentions et déclarations imposées par le CoDT (art. D.IV.99 et 100) Aux termes de l’article D.IV.99. § 1er qui stipule que dans tout acte entre vifs, sous seing
privé ou authentique, de cession, qu'il soit déclaratif, constitutif ou translatif, de droit réel ou personnel de jouissance de plus de neuf ans, en ce compris les actes de constitution d'hypothèque ou d'antichrèse, à l'exception cependant des cessions qui résultent d'un contrat de mariage ou d’une modification de régime matrimonial et des cessions, qui résultent d'une convention de cohabitation légale ou d’une modification d'une telle convention, relatif à un immeuble bâti ou non bâti ;
Aux termes de l’article D.IV.100 qui stipule : "L'obligation de mention incombe au titulaire du droit cédé, à son mandataire ou à l'officier instrumentant. Si les informations à mentionner ne peuvent être fournies par ceux-ci, elles sont demandées aux administrations intéressées conformément aux règles établies en exécution de l'article D.IV.105. A défaut de réponse de l'administration intéressée dans le délai prévu, le titulaire du droit cédé, son mandataire ou l'officier instrumentant mentionne dans l'acte la date de l'envoi contenant la
80
demande d'informations ou du récépissé de la demande d'informations, indique que les informations n'ont pas été données et que l'acte est passé en dépit du défaut de réponse de l'administration.".
a) Il est fait mention : 1° que le bien est situé en zone d’activité économique au plan de secteur, en application
de l'article D.IV.97 4° que le cédant n'a pas, réalisé des-actes et travaux constitutifs d'une infraction en
vertu de l’article D.VII.l, §1er 1, 2° ou 7°, et le cas échéant qu'un procès-verbal a été dressé. b) Il est rappelé :
1° qu'il n'existe aucune possibilité d'effectuer sur le bien aucun des travaux et actes visés à l'article D.IV.4, à défaut d'avoir obtenu un permis d'urbanisme;
2° qu'il existe des règles relatives à la péremption des permis; 3° que l'existence d'un certificat d'urbanisme ne dispense pas de demander et d'obtenir
le permis requis.
PERMIS D’ENVIRONNEMENT
Le cédant déclare que le bien ne fait l’objet d’aucun permis d’environnement. En
conséquence il n’y a pas lieu de faire mention de l’article 60 du décret du 11 mars 1999
relatif au permis d’environnement.
ÉTAT DU SOL - INFORMATION - GARANTIE Les parties déclarent avoir été informées qu’il résulte du décret du 5 décembre 2008
relatif à la gestion des sols, que doivent être mentionnées, dans tout acte de cession
immobilière visé par l'article D.IV.99 du CoDT, les « données relatives au bien inscrites dans
la banque de données de l'état des sols au sens de l'article 10 du décret du 5 décembre 2008
relatif à la gestion des sols » ainsi que certaines obligations en matière d'investigation et
d'assainissement, notamment en cas de cessation d'une exploitation autorisée. La banque de
données de l'état des sols précitée n'est, au jour de la passation du présent acte, ni créée ni - a
fortiori - opérationnelle. Sous le bénéfice de cette précision et de son approbation par le
Ministre de l'Aménagement du territoire, de l'Urbanisme et de l'Environnement, les parties
requièrent le fonctionnaire instrumentant de recevoir néanmoins le présent acte.
Le vendeur déclare :
1. ne pas avoir exercé sur le bien d'activités pouvant engendrer une pollution du sol
ou ne pas avoir abandonné de déchets sur ce bien pouvant engendrer telle pollution ;
2. ne pas avoir connaissance de l'existence présente ou passée sur ce même bien d'un
établissement ou de l'exercice présent ou passé d'une activité figurant sur la liste des
établissements et activités susceptibles de causer une pollution du sol au sens dudit Décret
sols en vigueur en Région wallonne ;
3. qu'aucune étude de sol dite d'orientation ou de caractérisation dans le sens dudit
décret sols n'a été effectuée sur le bien et que par conséquent aucune garantie ne peut être
donnée quant à la nature du sol et son état de pollution éventuel.
Pour autant que ces déclarations aient été faites de bonne foi, le vendeur est exonéré
vis-à-vis de l'acquéreur de toute charge relative à une éventuelle pollution de sol qui serait
constatée dans le futur et des éventuelles obligations d'assainissement du sol relatives au
bien.
DOSSIER D’INTERVENTION ULTERIEURE
Interrogé par le fonctionnaire instrumentant sur l’existence d’un dossier
d’intervention ultérieure afférent au bien décrit ci-dessus, le vendeur a répondu par la
négative et a confirmé que, depuis le 1er
mai 2001, aucun entrepreneur n’avait effectué,
81
relativement au dit bien, de travaux nécessitant la rédaction d’un dossier d’intervention
ultérieure conformément à l’arrêté royal du 25 janvier 2001 concernant les chantiers
temporaires ou mobiles.
IV.- OCCUPATION - ENTREE EN JOUISSANCE - IMPOTS.
Le bien cédé est libre d'occupation.
La cessionnaire aura la pleine propriété du bien à dater des présentes. Elle entrera en
jouissance du bien immédiatement.
Elle paiera le précompte immobilier et toutes autres impositions afférentes au bien cédé à
compter du même moment.
V.- PRIX.
La cession est consentie et acceptée sans stipulation de prix.
VI.- DISPOSITIONS FINALES.
1.- FRAIS.
Tous les frais des présentes sont à charge du cédant.
2.- ELECTION DE DOMICILE.
Pour l'exécution des présentes, le cédant et la cessionnaire font élection de domicile au
Comité d'Acquisition d'Immeubles de Saint Hubert.
DONT ACTE.
Passé à Saint-Hubert et signé par le fonctionnaire instrumentant.
- de charger le Comité d’Acquisition d’Immeubles d’authentifier les actes (de passer
les actes pour et au nom de la Commune),
- d’affecter la voirie et ses équipements annexes au domaine public communal tels
qu’ils sont repris au plan susmentionné,
- d’assurer, de gérer et d’entretenir en bon père de famille et à ses frais, dès leur
réception provisoire et indépendamment de l’authentification de l’acte, la voirie et
ses accessoires,
- de permettre à tout investisseur s’implantant dans la zone d’activité économique
l’accès à la voirie et le branchement au réseau d’égouttage,
- de prendre une inscription budgétaire pour en couvrir les frais d’entretien, de
gestion et d’assurance.
OBJET A) 26. AFFECTATION DE LA VOIRIE AU DOMAINE PUBLIC COMMUNAL
ET REPRISE DE L’ASSIETTE DE LA VOIRIE ET DE SES
ACCESSOIRES – RUE DES SARCELLES.
LE CONSEIL,
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Vu le courrier reçu en date du 13 juin 2018 de l’Intercommunale IDELUX demandant à la
Commune de VIRTON de reprendre les infrastructures décrites ci-avant telles que décrites au
plan ;
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, notamment l’article L1122-30 ;
Considérant l’article 10 du décret du 11.03.2004 relatif aux infrastructures d’accueil des
activités économiques et à l’arrêté du Gouvernement wallon du 21 octobre 2004 portant
exécution dudit décret qui stipule, à son article 12, que « Un subside n’est accordé pour la
réalisation des voiries publiques créées, que pour autant que la Commune sur le territoire de
laquelle elles se trouvent s’engage par écrit, et au préalable, à les reprendre dès leur réception
provisoire. » ;
Considérant l’article 8 de l’Arrêté du Gouvernement wallon du 21 octobre 2004 qui précise,
en outre, que « dès leur réception provisoire, les infrastructures subsidiées réalisées dans le
cadre de l’aménagement des espaces destinés aux activités économiques sont reprises par la
ou les Commune(s) sur le territoire desquelles elles se trouvent ou par le ou les gestionnaire(s)
prévus par les lois et règlements. Dans le cas où une infrastructure spécifique relève de
plusieurs gestionnaires simultanément, un accord sur la reprise est conclu entre les parties
avant l’exécution de l’ouvrage. » ;
Considérant que, dès lors, les voiries et leurs accessoires sont subsidiés à condition que ces
bien soient affectés au domaine public de la Commune sur le territoire de laquelle le parc est
implanté et que cette dernière en assure la gestion dès leur réception provisoire ;
Considérant que, dans le cadre des parcs d’activités économiques, IDELUX assure l’ensemble
du risque de mise en œuvre du parc (études, suivi procédures, acquisitions, équipements,…),
de sa commercialisation (publicités, ventes,…) et son animation (comités de concertation,
club d’entreprises,…) ;
Vu le projet d’acte de cession sans stipulation de prix, des biens suivants, propriétés
d’IDELUX : «
COMMUNE DE VIRTON - 4ème division – Section B
Dans la zone d’activité économique industrielle :
4) La voirie, son assiette et ses accotements étant une contenance de vingt ares quarante-
cinq centiares (20a 45ca) à prendre au sein de d’une parcelle non cadastrée
correspondant à la Rue des Sarcelles.
Cette contenance est reprise sous liseré jaune « LOT1 » au « plan de mesurage et de
division – Cession – Rue des Sarcelles à Virton – ZONE D’ACTIVITE ECONOMIQUE
DE LATOUR » dressé le 06 octobre 2017 par Valérie BERNES, Géomètre-expert inscrite
au tableau du conseil fédéral sous le n°GEO 040572. Ce plan a été enregistré dans la
base de données des plans de délimitation de l’Administration générale de la
Documentation Patrimoniale sous le numéro de référence :
5) Le réseau d’égouttage de la voirie décrite au point 1.
83
6) Le réseau d’éclairage public de la voirie décrite au point 1 qui comprend les câbles
d’alimentation, les luminaires, candélabres et tout équipement s’y rapportant. » ;
Vu le plan joint au projet d’acte ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 14 juin 2018 marquant son
accord de principe sur le projet d’acte ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
- d’approuver le projet d’acte transmis comme suit :
ACTE DE CESSION D'IMMEUBLE
SANS STIPULATION DE PRIX
L'an deux mille dix-huit.
Le
Nous, Mathieu DERARD, Commissaire du Comité d’Acquisition du Luxembourg,
Service Public de Wallonie, Direction Générale transversale du Budget, de la Logistique et des
Technologies de L’information et de la Communication, Département des Comités d’Acquisition,
agissant en exécution des articles 80 et 81 du décret régional Wallon du 2 février 2017 relatif au
développement des parcs d’activités économiques, actons la convention suivante intervenue
entre :
D'UNE PART,
L’« Association Intercommunale pour le Développement Economique durable de la
Province de Luxembourg », en abrégé « I.D.E.LUX », Société ayant pris la forme de société
coopérative à responsabilité limitée, dont le siège social est établi à 6700 Arlon, Drève de l’Arc-
en-Ciel, 98, inscrite au registre du commerce d’Arlon sous le numéro 14.128, numéro d’entreprise
0205.797.475, immatriculée à la Taxe sur la Valeur Ajoutée sous le numéro 205.797.475,
constituée par acte sous seing privé le cinq avril mil neuf cent soixante-deux, publié aux annexes
du Moniteur belge le vingt-huit avril mil neuf cent soixante-deux sous les numéros 9742 et 9743,
dont les statuts ont été approuvés par Arrêté Royal du trente avril mil neuf cent soixante-deux,
modifiés à plusieurs reprises et pour la dernière fois par l’assemblée générale extraordinaire du
vingt-deux décembre deux mille dix, dont le procès-verbal a été reçu par le notaire Philippe
BOSSELER, d’Arlon, publié aux annexes du Moniteur belge du quatorze janvier deux mille onze,
sous le numéro 11007847, approuvée par un arrêté du vingt-trois février deux mille onze du
Ministre de Tutelle de la Région wallonne Paul FURLAN, publié au Moniteur belge du onze mars
suivant, sous le numéro 2011/201153, publié au Moniteur belge du trente décembre suivant,
représentée par le fonctionnaire instrumentant en vertu de l’article 96 du décret du 11 décembre
2014 contenant le budget général des dépenses de la Région Wallonne pour l’année budgétaire
2015, publié au Moniteur Belge du 23 janvier 2015, entré en vigueur le premier janvier 2015, de
l’article 101 du Décret du 17 décembre 2015 contenant le budget général des dépenses de la
Région wallonne pour l’année budgétaire 2016, entré en vigueur le premier janvier 2016 et publié
au Moniteur belge du 25 janvier 2016 et d’une décision du Conseil d’administration en date du
08 septembre 2017, dont une copie certifiée conforme restera ci-annexée.
84
Ci-après dénommée « le cédant ».
ET D'AUTRE PART,
La COMMUNE DE VIRTON, numéro d’entreprise 0206.524.777, dont les
bureaux sont situés à 6760 Virton, rue Charles Magnette, 17/19, ici représentée par le
fonctionnaire instrumentant en vertu l’article 63 du Décret programme du 21 décembre 2016,
publié au Moniteur belge le 29 décembre 2016, entré en vigueur le 1er janvier 2017 et en
exécution d'une délibération du Conseil communal en date du ………………, délibération dont
un extrait certifié conforme restera ci-annexé.
Ci-après dénommée « le cessionnaire » ou « la commune ».
I.- CESSION.
Le cédant cède à la cessionnaire, qui accepte, les immeubles désignés ci-dessous, aux
conditions indiquées dans le présent acte.
COMMUNE DE VIRTON - 4ème division – Section B
Dans la zone d’activité économique industrielle :
1) La voirie, son assiette et ses accotements étant une contenance de vingt ares quarante-cinq
centiares (20a 45ca) à prendre au sein de d’une parcelle non cadastrée correspondant à la
Rue des Sarcelles.
Cette contenance est reprise sous liseré jaune « LOT1 » au « plan de mesurage et de
division – Cession – Rue des Sarcelles à Virton – ZONE D’ACTIVITE ECONOMIQUE
DE LATOUR » dressé le 06 octobre par Valérie BERNES, Géomètre-expert inscrite au
tableau du conseil fédéral sous le n°GEO 040572. Ce plan a été enregistré dans la base
de données des plans de délimitation de l’Administration générale de la Documentation
Patrimoniale sous le numéro de référence :
2) Le réseau d’égouttage de la voirie décrite au point 1.
3) Le réseau d’éclairage public de la voirie décrite au point 1 qui comprend les câbles
d’alimentation, les luminaires, candélabres et tout équipement s’y rapportant.
Les parties déclarent marquer leur accord sur les éléments repris aux plans précités et
qui resteront annexés aux présentes.
Ci-après dénommée « le bien »
ORIGINE DE PROPRIETE
Le bien vendu appartient à l’Intercommunale IDELUX pour l’avoir acquis, sous une
plus grande superficie aux termes d’un acte reçu par Monsieur Henri CESAR, Commissaire
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au Comité d’Acquisition d’Immeuble à Neufchâteau, en date des dix-neuf septembre mil neuf
cent soixante-huit et vingt-sept septembre mil neuf cent soixante-huit, transcrit le vingt-trois
octobre suivant à la Conservation des Hypothèques d’Arlon, volume 4046, numéro 24.
BUT DE LA CESSION
La cession a lieu pour cause d’utilité publique en vue de l’incorporation du tronçon de
voirie et son assiette ainsi que l’ensemble des réseaux d’égouttage et d’éclairage public dans le
patrimoine communal.
II.- CONDITIONS.
1.- GARANTIE - SITUATION HYPOTHECAIRE.
Le bien est cédé pour quitte et libre de toutes charges hypothécaires, tant dans le chef du
cédant que dans le chef des précédents propriétaires. Si le bien était grevé de pareilles charges, la
cessionnaire aurait la faculté de considérer la présente cession comme nulle et non avenue.
2.- SERVITUDES.
Le bien est cédé avec toutes ses servitudes actives et passives, apparentes et occultes,
continues et discontinues, libre à la cessionnaire de faire valoir les unes à son profit et de se
défendre des autres mais à ses frais, risques et périls sans intervention du cédant ni recours contre
lui, et sans cependant que la présente clause puisse donner à qui que ce soit plus de droits qu'il
n'en aurait, soit en vertu de titres réguliers et non prescrits soit en vertu de la loi.
3.- ETAT DU BIEN - CONTENANCE.
La cessionnaire prendra le bien dans l'état où il se trouve, sans aucune garantie au sujet des
vices ou défauts apparents ou cachés, de la nature du sol ou du sous-sol, ni de la contenance
indiquée, dont la différence en plus ou en moins, fut-elle supérieure au vingtième, fera profit ou
perte pour la cessionnaire.
Elle ne pourra exiger aucune indemnité pour erreur de nom, de désignation, d'indication
de tenants et aboutissants ni pour défaut d'accès.
4.-Les biens faisant l’objet des présentes sont destinés à être incorporés dans le domaine
public communal ; en conséquence, la Commune s’engage, à la décharge d’I.D.E.LUX, à assurer
en leurs lieux et place, l’entretien des biens cédés ainsi que leur remplacement éventuel.
5.-I.D.E.LUX subroge la Commune dans leurs droits d’accès aux propriétés des
entreprises implantées dans la zone d’activité économique industrielle, en vue d’assurer l’entretien
des biens cédés, tels que ces droits résultent des actes de ventes par I.D.E.LUX à ces dites
entreprises.
La Commune s’engage à permettre à tout investisseur s’implantant sur le zoning, l’accès à
la voirie et le branchement aux réseaux d’égouttage.
III.- PRESCRIPTIONS URBANISTIQUES - MONUMENTS ET SITES.
URBANISME : Mentions et déclarations imposées par le CoDT (art. D.IV.99 et 100) Aux termes de l’article D.IV.99. § 1er qui stipule que dans tout acte entre vifs, sous seing
privé ou authentique, de cession, qu'il soit déclaratif, constitutif ou translatif, de droit réel ou personnel de jouissance de plus de neuf ans, en ce compris les actes de constitution
86
d'hypothèque ou d'antichrèse, à l'exception cependant des cessions qui résultent d'un contrat de mariage ou d’une modification de régime matrimonial et des cessions, qui résultent d'une convention de cohabitation légale ou d’une modification d'une telle convention, relatif à un immeuble bâti ou non bâti ;
Aux termes de l’article D.IV.100 qui stipule : "L'obligation de mention incombe au titulaire du droit cédé, à son mandataire ou à l'officier instrumentant. Si les informations à mentionner ne peuvent être fournies par ceux-ci, elles sont demandées aux administrations intéressées conformément aux règles établies en exécution de l'article D.IV.105. A défaut de réponse de l'administration intéressée dans le délai prévu, le titulaire du droit cédé, son mandataire ou l'officier instrumentant mentionne dans l'acte la date de l'envoi contenant la demande d'informations ou du récépissé de la demande d'informations, indique que les informations n'ont pas été données et que l'acte est passé en dépit du défaut de réponse de l'administration.".
a) Il est fait mention : 1° que le bien est situé en zone d’activité économique au plan de secteur, en application
de l'article D.IV.97 4° que le cédant n'a pas, réalisé des-actes et travaux constitutifs d'une infraction en
vertu de l’article D.VII.l, §1er 1, 2° ou 7°, et le cas échéant qu'un procès-verbal a été dressé. b) Il est rappelé :
1° qu'il n'existe aucune possibilité d'effectuer sur le bien aucun des travaux et actes visés à l'article D.IV.4, à défaut d'avoir obtenu un permis d'urbanisme;
2° qu'il existe des règles relatives à la péremption des permis; 3° que l'existence d'un certificat d'urbanisme ne dispense pas de demander et d'obtenir
le permis requis.
PERMIS D’ENVIRONNEMENT
Le cédant déclare que le bien ne fait l’objet d’aucun permis d’environnement. En
conséquence il n’y a pas lieu de faire mention de l’article 60 du décret du 11 mars 1999
relatif au permis d’environnement.
ÉTAT DU SOL - INFORMATION - GARANTIE Les parties déclarent avoir été informées qu’il résulte du décret du 5 décembre 2008
relatif à la gestion des sols, que doivent être mentionnées, dans tout acte de cession
immobilière visé par l'article D.IV.99 du CoDT, les « données relatives au bien inscrites dans
la banque de données de l'état des sols au sens de l'article 10 du décret du 5 décembre 2008
relatif à la gestion des sols » ainsi que certaines obligations en matière d'investigation et
d'assainissement, notamment en cas de cessation d'une exploitation autorisée. La banque de
données de l'état des sols précitée n'est, au jour de la passation du présent acte, ni créée ni - a
fortiori - opérationnelle. Sous le bénéfice de cette précision et de son approbation par le
Ministre de l'Aménagement du territoire, de l'Urbanisme et de l'Environnement, les parties
requièrent le fonctionnaire instrumentant de recevoir néanmoins le présent acte.
Le vendeur déclare :
1. ne pas avoir exercé sur le bien d'activités pouvant engendrer une pollution du sol
ou ne pas avoir abandonné de déchets sur ce bien pouvant engendrer telle pollution ;
2. ne pas avoir connaissance de l'existence présente ou passée sur ce même bien d'un
établissement ou de l'exercice présent ou passé d'une activité figurant sur la liste des
établissements et activités susceptibles de causer une pollution du sol au sens dudit Décret
sols en vigueur en Région wallonne ;
87
3. qu'aucune étude de sol dite d'orientation ou de caractérisation dans le sens dudit
décret sols n'a été effectuée sur le bien et que par conséquent aucune garantie ne peut être
donnée quant à la nature du sol et son état de pollution éventuel.
Pour autant que ces déclarations aient été faites de bonne foi, le vendeur est exonéré
vis-à-vis de l'acquéreur de toute charge relative à une éventuelle pollution de sol qui serait
constatée dans le futur et des éventuelles obligations d'assainissement du sol relatives au
bien.
DOSSIER D’INTERVENTION ULTERIEURE
Interrogé par le fonctionnaire instrumentant sur l’existence d’un dossier
d’intervention ultérieure afférent au bien décrit ci-dessus, le vendeur a répondu par la
négative et a confirmé que, depuis le 1er
mai 2001, aucun entrepreneur n’avait effectué,
relativement au dit bien, de travaux nécessitant la rédaction d’un dossier d’intervention
ultérieure conformément à l’arrêté royal du 25 janvier 2001 concernant les chantiers
temporaires ou mobiles.
IV.- OCCUPATION - ENTREE EN JOUISSANCE - IMPOTS.
Le bien cédé est libre d'occupation.
La cessionnaire aura la pleine propriété du bien à dater des présentes. Elle entrera en
jouissance du bien immédiatement.
Elle paiera le précompte immobilier et toutes autres impositions afférentes au bien cédé à
compter du même moment.
V.- PRIX.
La cession est consentie et acceptée sans stipulation de prix.
VI.- DISPOSITIONS FINALES.
1.- FRAIS.
Tous les frais des présentes sont à charge du cédant.
2.- ELECTION DE DOMICILE.
Pour l'exécution des présentes, le cédant et la cessionnaire font élection de domicile au
Comité d'Acquisition d'Immeubles de Saint Hubert.
DONT ACTE.
Passé à Saint-Hubert et signé par le fonctionnaire instrumentant.
- de charger le Comité d’Acquisition d’Immeubles d’authentifier les actes (de passer
les actes pour et au nom de la Commune),
- d’affecter la voirie et ses équipements annexes au domaine public communal tels
qu’ils sont repris au plan susmentionné,
- d’assurer, de gérer et d’entretenir en bon père de famille et à ses frais, dès leur
réception provisoire et indépendamment de l’authentification de l’acte, la voirie et
ses accessoires,
88
- de permettre à tout investisseur s’implantant dans la zone d’activité économique
l’accès à la voirie et le branchement au réseau d’égouttage,
- de prendre une inscription budgétaire pour en couvrir les frais d’entretien, de
gestion et d’assurance.
OBJET A) 27. PROGRAMME COMMUNAL DE DÉVELOPPEMENT RURAL –
CONVENTION-EXÉCUTION 2016 – AMÉNAGEMENT DU CENTRE
COMMUNAUTAIRE DE SAINT-MARD EN MAISON RURALE –
APPROBATION DE L’AVANT-PROJET.
LE CONSEIL,
Vu le décret du 11 avril 2014 relatif au développement rural ;
Vu l'Arrêté du Gouvernement wallon du 12 juin 2014 portant exécution du décret du 11 avril
2014 relatif au développement rural et abrogeant l’arrêté de l’Exécutif régional wallon du
20 novembre 1991 portant exécution du décret du 6 juin 1991 relatif au développement rural ;
Vu l’arrêté ministériel du 24 août 2015 approuvant la circulaire 2015/01 relative au
Programme Communal de Développement Rural ;
Vu ladite circulaire spécifiant en pages 10 et 11 les dispositions relatives aux modalités
d’approbation du dossier d’avant-projet ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 28 septembre 2017 décidant de
marquer son accord de principe sur l’avant-projet, tenant compte de l’avis favorable de la
Région Wallonne sur l’avant-projet, sur base du montant de l’avant-projet présenté lors de
cette réunion, soit 1.086.944 euros hors TVA, cuisine, gradins et honoraires non compris ;
Considérant que le montant devait être affiné au mieux possible et que les auteurs de projet
devaient s’atteler à la finalisation des plans et à l’élaboration précise des différents métrés ;
Vu l’avant-projet détaillé présentant les plans finalisés et l’élaboration précise des différents
métrés ;
Considérant que les montants des gros-œuvre, parachèvements, abords, techniques spéciales,
ont été affinés, les gradins télescopiques pour 145 personnes, le mobilier de cuisine et
l’enlèvement de l’amiante évalués et ajoutés et qu’il a fallu prendre en compte une indexation
des prix ;
Vu la dernière estimation s’élevant à 1.256.014,35 € hors TVA et honoraires des différents
bureaux, soit 1.605.814,3 € TVAC et honoraires compris ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 19
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis favorable en date du 20 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
89
MARQUE SON ACCORD sur l’avant-projet détaillé pour un montant de 1.256.014,35 € hors
TVA et honoraires des différents bureaux, soit 1.605.814,3 € TVAC et honoraires compris,
afin de le soumettre à l’étude au niveau des Services Publics de Wallonie.
OBJET A) 28. EXTENSION DU MUSÉE DE LATOUR – INTERREG GRANDE
RÉGION – LAND OF MEMORY DÉCISION DE PRINCIPE ET
APPROBATION DU CAHIER DES CHARGES.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation et ses modifications ultérieures,
notamment l'article L1222-3 §1 relatif aux compétences du Conseil communal et les articles
L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ;
Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en
matière de marchés publics, de certains marchés de travaux, de fournitures et de services et de
concessions et ses modifications ultérieures ;
Vu la loi du 17 juin 2016 relative aux marchés publics, notamment l'article 36 ;
Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés
publics et ses modifications ultérieures ;
Vu l'arrêté royal du 18 avril 2017 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs
classiques et ses modifications ultérieures ;
Considérant le cahier des charges relatif au marché “Extension du Musée de Latour -
Programme INTERREG” établi par le Service Travaux - Etude des Marchés ;
Considérant que le montant estimé de ce marché s'élève à 147.432,67 € hors TVA ou
178.393,53 €, 21% TVA comprise ;
Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure ouverte ;
Considérant que le crédit permettant cette dépense sera inscrit au budget extraordinaire de
l’exercice 2018, article 1246/722-60 (n° de projet 20170119) à la modification budgétaire n°
1 ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 04
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis réservé en date du 06 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
- d'approuver le cahier des charges et le montant estimé du marché “Extension du
Musée de Latour - Programme INTERREG”, établis par le Service Travaux -
Etude des Marchés. Les conditions sont fixées comme prévu au cahier des charges
90
et par les règles générales d'exécution des marchés publics. Le montant estimé
s'élève à 147.432,67 € hors TVA ou 178.393,53 €, 21% TVA comprise,
- de passer le marché par la procédure ouverte,
- de compléter et d'envoyer l'avis de marché au niveau national,
- de financer cette dépense par le crédit qui sera inscrit en modification budgétaire
au budget extraordinaire de l’exercice 2018, article 1246/722-60 (n° de projet
20170119).
OBJET A) 29. TRAVAUX DE RÉHABILITATION DU PRESBYTÈRE DE RUETTE EN
MAISON DE LA RURALITÉ ET DE L’ARTISANAT - MODIFICATION
DE LA DESCRIPTION DE LA CHAUDIÈRE.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation et ses modifications ultérieures,
notamment l’article L.1222-3 §1er
relatif aux compétences du Conseil Communal et l’article
L-1222-4 ;
Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l’information et aux voies de recours en
matières de marchés publics, de certains marchés de travaux, de fournitures et de services et
de concessions et ses modifications ultérieures ;
Vu l’arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d’exécution des marchés
publics et ses modification ultérieures ;
Vu l’arrêté royal du 18 avril 2017 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs
classiques et ses modifications ultérieures ;
Vu sa délibération prise en date du 20 décembre 2013 approuvant le dossier complet au
montant hors TVA de six cent vingt-neuf mille quatre cent vingt et un euros onze cents
(629.421,11 € ) ;
Vu la Dépêche ministérielle en date du 09 septembre 2014 informant que rien ne s’oppose à la
mise en adjudication ouverte des travaux concernés pour autant que soient respectées les
règles en usage dans les marchés publics et qu’il soit tenu compte des remarques techniques et
administratives contenues dans cette dépêche ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 16 janvier 2015 marquant son
accord de principe sur les souhaits de modifications à solliciter auprès de l’architecte, suite à
différentes rencontres ou conversations tenues notamment avec les membres de la
Commission Locale de Développement Rural, le service culturel de la Ville, Monsieur
Lambert JANNES et Madame Martine MONIOTTE, fonctionnaires au Service du
Patrimoine ;
Vu sa délibération prise en date du 06 mars 2015 approuvant le dossier complet modifié
suivant les remarques et modifications visées ci-avant, au montant hors TVA de six cent
septante-deux mille neuf cent quatre-vingt-quatre euros quarante-six cents (672.984,46 €),
91
choisissant l’adjudication ouverte comme mode de passation du marché et fixant les
conditions du marché ;
Vu sa délibération prise en date du 25 juin 2015 approuvant le cahier spécial des charges
modifié et décidant de retenir la procédure négociée sans publicité comme mode de passation
du marché ;
Vu le nouveau rapport d’attribution établi par Monsieur Xavier VAN ROOYEN, architecte-
auteur du projet duquel il ressort qu’après vérifications et corrections, la SPRL Homel Frères
est le soumissionnaire le moins-disant pour un montant corrigé de cinq cent cinquante- trois
mille six-cent dix euros trente-quatre cents (553.610,34 €) hors TVA et qu’il possède les
capacités techniques et financières suffisantes pour mener à bien les travaux conformément au
cahier des charges ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 02 mars 2017 d’attribuer le
marché susvisé à la SPRL HOMEL Frères, 19 rue de la Tannerie à 6810 JAMOIGNE, au
nouveau montant rectifié de cinq cent cinquante-trois mille six cent dix euros trente-quatre
cents (553.610,34 €) hors TVA ;
Vu la circulaire du 19 juin 2017 émanant du Service Public de Wallonie, Direction du
Développement Rural, Service Central, Avenue Prince de Liège, 7 à 5100 JAMBES, lequel
nous informe de son approbation de l’attribution du marché susvisé à la SPRL Homel Frères
de Jamoigne au montant corrigé TVA comprise de 669.868,51 € et informant également de
l’octroi d’une subvention s’établissant provisoirement au montant de 616.022,30 € ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 20 juillet 2017 de notifier le
marché susdit à la SPRL HOMEL Frères, de fixer le début des travaux au mercredi 16 Août
2017 ;
Vu la note présentée par Madame Caroline TOUSSAINT, Service Environnement, de laquelle
il ressort que depuis le début de chantier, le placement d’une chaudière à condensation est
préconisée en lieu et place d’une chaudière basse température ;
Considérant que le cahier des charges approuvé par le Conseil communal en date du 06 mars
2015 comprenait bien une chaudière au mazout basse température, au poste 65.31 ;
Considérant encore que ce type de chaudière n’est plus autorisé depuis le 1er
janvier 2018 ;
Considérant qu’il y a lieu d’apporter la modification évoquée dans les clauses techniques du
cahier spécial des charges ;
PREND ACTE de la modification apportée au cahier spécial des charges en son poste 65.31 à
savoir le remplacement de « chaudières au mazout basse température » par « chaudières à
condensation » conformément à l’article L-1222-4.
OBJET A) 30. CONVENTION DE CESSION DE JOUISSANCE À TITRE GRATUIT
AYANT POUR OBJET LA MISE À DISPOSITION DE TERRAINS DE
LA MAISON VIRTONAISE À LA VILLE DE VIRTON POUR LE
PROJET PÉDAGOGIQUE DE POTAGER DE L’ÉCOLE DE RUETTE.
92
LE CONSEIL,
Vu le courrier reçu en date du 30 mai 2018 de Messieurs Jean-Luc BASTIN et Claude
BAUDOIN, respectivement Directeur-Gérant et Président de la Maison Virtonaise, par lequel
sont transmis trois exemplaires de la convention de cession de jouissance à titre gratuit avec le
plan reprenant en jaune le terrain convoité pour la mise à disposition de terrains de la Maison
Virtonaise à la Ville de VIRTON pour le projet pédagogique de potager de l’École de
RUETTE ;
Vu le plan cadastral avec, en jaune, le terrain convoité par l’école de RUETTE pour la
création d’un potager ;
Vu le projet de convention de cession de jouissance à titre gratuit ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 07 juin 2018 décidant de
proposer au prochain Conseil communal d’approuver la convention de cession de jouissance à
titre gratuit ayant pour objet la mise à disposition de terrains de la S.C. « Maison Virtonaise »
à la Ville de VIRTON pour le projet pédagogique de potager de l’École de RUETTE ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
APPROUVE la convention de cession de jouissance à titre gratuit ayant pour objet la mise à
disposition de terrains de la S.C. « Maison Virtonaise » à la Ville de VIRTON pour le projet
pédagogique de potager de l’École de RUETTE aux conditions suivantes :
ENTRE LES SOUSSIGNES :
1. La Maison Virtonaise, société d’habitations sociales, représentée par Monsieur Claude
BAUDOIN, Président, et Monsieur Jean-Luc BASTIN, Directeur-Gérant.
Ci-après désignée "la première nommée",
Et :
2. L’Administration Communale de VIRTON, représentée par Monsieur François CULOT
et Madame Marthe MODAVE, respectivement Bourgmestre et Directrice Générale,
agissant en exécution d’une délibération prise par le Conseil communal en date du 27
juin 2018,
Ci-après désignée "la seconde nommée",
Est intervenue la convention suivante :
La première nommée cède à la seconde nommée, qui accepte, la jouissance d’un
terrain sis à RUETTE, section B, partie du n°296K et n°296M, suivant
délimitation reprise en jaune au plan joint à la présente convention et d'une
contenance de ± 4 ares pour une durée indéterminée.
93
La seconde nommée reconnaît que cette cession de jouissance est totalement
gratuite; elle s'engage à veiller au bon état de propreté et d’entretien de la
parcelle.
La seconde nommée s’engage à favoriser un partenariat avec l’école communale
de RUETTE dans le cadre d’un projet ayant pour thème « Le potager des
enfants », le projet mettant en relation l’esprit de découverte des enfants et leur
savoir-faire. Le terrain ainsi mis à disposition est situé à proximité immédiate de
l’Ecole Communale.
La seconde nommée sera propriétaire des espaces et équipements qui seront
aménagés sur ce terrain et en sera entièrement responsable.
En aucun cas, la première nommée ne pourra être tenue responsable de tout
accident ou dommage quelconque qui serait occasionné par les espaces ou
installations, propriétés de la seconde nommée, implantés sur le terrain sous la
responsabilité exclusive de celle-ci.
La seconde nommée s’engage à souscrire une assurance en responsabilité, sous
peine de voir la convention résiliée.
La seconde nommée s’engage à assurer l’entretien du terrain mis à sa disposition
et à prendre les dispositions qui s’imposent pour éviter les risques de dégâts aux
constructions voisines.
La première nommée se réserve le droit de rompre la présente convention
moyennant un préavis de six mois ; la seconde nommée s’engageant à remettre
les lieux dans leur pristin état dans les six mois de la notification par lettre
recommandée du préavis donné par la première nommée.
CHARGE le Collège communal de signer cette convention dans les meilleurs délais et de la
transmettre à la S.C. « Maison Virtonaise » pour signature.
Une copie sera transmise à l’École de RUETTE pour information.
OBJET A) 31. REPRISE DES VOIRIES DE RABAIS POUR CAUSE D’UTILITÉ
PUBLIQUE PAR LA COMMUNE DE VIRTON.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation (CDLD), notamment l’article
L1122-30 ;
Vu le courrier en date du 24 mai 2018 de Messieurs Georges COTTIN et Fabian COLLARD,
respectivement Conseiller général et Directeur général de l’Association Intercommunale pour
le Développement Économique durable de la province de Luxembourg scrl (IDELUX)
lesquels nous invitent, conformément à nos engagements lesquels figurent dans l’extrait du
Conseil d’Administration d’IDELUX du 17 mars 2017, à reprendre les voiries sises à
RABAIS ;
94
Vu l’extrait des délibérations du Conseil d’Administration d’IDELUX du 17 mars 2017 à
ARLON concernant, en son point 6.5. « Commune de VIRTON, RABAIS, Reprise des
voiries par la Commune, Décision » ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 18 mai 2017 marquant son
accord de principe sur la proposition opérationnelle globale reprise ci-après et, dès réception
des projets d’acte, des plans et des mesurages, de soumettre ce dossier au Conseil communal
comme suit :
« Le coût de remise en état des voiries et de l'éclairage public a été estimé par le service
travaux de la Ville à 786.218 € TTC, hors honoraires et imprévus. Cette estimation a été
validée par notre bureau d'études.
Après discussions avec le Collège, la solution globale suivante pourrait convenir aux parties:
- reprise de toutes les voiries par la Ville moyennant:
1. une intervention financière de 400.000 € d'IDELUX dans la remise en
état. Cette intervention financière :
pourrait être mobilisée via reprise de provisions,
serait conditionnée à la réalisation effective des travaux.
2. la cession, sans stipulation de prix, à la Ville d'une emprise de 1 ha60a
sur le site dit de la Foire d'Ethe. Pour rappel, le terrain dit de la Foire
d'Ethe, d'une contenance totale de 6ha25a, avait été apporté par Virton
pour le franc belge (1bef) symbolique à la fin des années 70. Localisé
en zone d'activités économiques au plan de secteur, ce terrain a fait
l'objet de diverses réflexions d'aménagement dont aucune n'a abouti. Le
terrain présente, en effet, un certain nombre de contraintes en termes
de développement (mauvaise portance du sol, pertuis traversant, zone
Natura 2000 en bout de site). Sur l'emprise cédée, la Ville envisage de
construire un parking, tel que prévu au plan masse établi par le bureau
Alter-Espace dans le cadre de l'étude pour l'implantation d'une base de
loisirs à Virton. Pour rappel, cette étude a été accompagnée, pour le
compte de la Ville, par IDELUX Projets publics.
- recherche par IDELUX d'un investisseur intéressé à s'implanter sur la zone.
Cette recherche s'étalerait sur 2 ans, prenant cours à la date de signature de la
convention globale d'accord. Au-delà de ce délai, si aucun contact n'est
intéressé par le site, la Ville disposerait d'une option d'achat de 6 mois sur le
solde des parcelles, aux conditions suivantes :
1. cession gratuite de la partie en zone Nature 2000, soit environ 1h50a,
2. cession du solde, soit environ 2h90a pour un montant de 5€/m2.
NB : les différentes surfaces évoquées ci-dessus sont à confirmer par mesurage.
Notons enfin que la Ville s'engage également à payer à IDELUX une facture d'un montant de
43.722 € TVAC, facture concernant le travail effectué par IDELUX pour la recherche d'un
investisseur pour développer une piscine ludique sur le site de Rabais. » ;
Considérant que la Commune est sollicitée par IDELUX, depuis de nombreuses années, afin
de reprendre dans son domaine public les voiries du domaine de RABAIS ;
95
Considérant que la Commune s’est toujours opposée à la reprise desdites voiries étant donné
qu’elles n’ont pas été construites conformément aux normes définies par le service technique,
le Commissaire-voyer de l’époque ayant remis un avis défavorable sur cette reprise ;
Considérant qu’IDELUX accepte d’intervenir financièrement dans la remise en état de ces
voiries, dont le coût total de remise à niveau est estimé à 786.218,00€ TTC et cela à hauteur
de 400.000,00€ à condition que ces travaux soient effectivement réalisés par la commune,
dans les 2 ans de la signature de l’acte de cession à titre gratuit de toutes les voiries du site de
RABAIS à cette dernière, le paiement de ladite somme étant effectué pour le jour de ladite
signature par IDELUX ;
Considérant qu’IDELUX accepte de rétrocéder, via une cession à titre gratuit, une emprise
d’1ha 60a à prendre dans le site dit de la Foire d’ETHE ;
Considérant que le terrain, dont cette emprise fait partie, avait été apporté par la Commune à
l’Intercommunale pour le 1bef symbolique, à la fin des années 70 ;
Considérant que ce terrain présente un certain nombre de contraintes en termes de
développement (mauvaise portance du sol, pertuis traversant, zone Natura 2000 en bout de
site) ne permettant pas le développement cohérent et aisé d’une zone d’activité économique ;
Considérant que l’étude pour l’implantation d’une base de loisirs a été accompagnée par
IDELUX Projets publics, Intercommunale du Groupe IDELUX-AIVE, et cela, pour le compte
de la Commune ;
Considérant qu’IDELUX s’engage à rechercher un investisseur intéressé à s’implanter sur la
future zone de loisirs ; cette recherche devant s’étaler sur 2 ans, à dater de la signature de la
convention globale d’accord ;
Considérant qu’au-delà de ce délai et si aucun contact n’est intéressé par le site, la Commune
bénéficiera d’une option d’achat d’une durée de 6 mois sur le solde des parcelles du site dit de
la Foire d’ETHE, aux conditions suivantes :
Cession à titre gratuit de la partie en zone Natura 2000, soit environ 1ha 60a,
Vente du solde, soit environ 2ha 90a au prix de 5€/m2
Considérant que la Commune s’engage à payer à IDELUX une facture d’un montant de
43.722,00€ TVAC et correspondant au travail effectué par IDELUX pour la recherche d’un
investisseur pour développer une piscine ludique sur le site de Rabais ;
Vu l’extrait du plan cadastral ;
Vu l’extrait des matrices cadastrales ;
Vu le projet d’acte ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 19
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis défavorable en date du 20 juin
2018 ;
96
PREND ACTE, compte tenu du fait que ces montants n’ont pas été insérés dans la
modification budgétaire n°1 – Exercice 2018, que ladite modification budgétaire sera
modifiée ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
MARQUE SON ACCORD sur la proposition opérationnelle globale reprise ci-avant.
APPROUVE le projet d’acte comme suit :
ACTE DE CESSION D'IMMEUBLE
SANS STIPULATION DE PRIX
L'an deux mille dix-huit
Le
Nous, Mathieu DERARD, Commissaire du comité d’acquisition d’immeubles du
LUXEMBOURG, Conseiller au Service Public de Wallonie, Direction Générale Transversale du
Budget, de la Logistique et des Technologies de l’Information et de la Communication,
Département des Comités d’acquisition, agissant en exécution des articles 80 et 81 du Décret
régional Wallon du 2 février 2017 relatif au développement des parcs d’activité économiques,
actons la convention suivante intervenue entre :
D'UNE PART,
L’« Association Intercommunale pour le Développement Economique durable de la
Province de Luxembourg », en abrégé « I.D.E.LUX », Société ayant pris la forme de société
coopérative à responsabilité limitée, dont le siège social est établi à 6700 Arlon, Drève de l’Arc-
en-Ciel, 98, inscrite au registre du commerce d’Arlon sous le numéro 14.128, numéro d’entreprise
0205.797.475, immatriculée à la Taxe sur la Valeur Ajoutée sous le numéro 205.797.475,
constituée par acte sous seing privé le cinq avril mil neuf cent soixante-deux, publié aux annexes
du Moniteur belge le vingt-huit avril mil neuf cent soixante-deux sous les numéros 9742 et 9743,
dont les statuts ont été approuvés par Arrêté Royal du trente avril mil neuf cent soixante-deux,
modifiés à plusieurs reprises et pour la dernière fois par l’assemblée générale extraordinaire du
vingt-deux décembre deux mille dix, dont le procès-verbal a été reçu par le notaire Philippe
BOSSELER, d’Arlon, publié aux annexes du Moniteur belge du quatorze janvier deux mille onze,
sous le numéro 11007847, approuvée par un arrêté du vingt-trois février deux mille onze du
Ministre de Tutelle de la Région wallonne Paul FURLAN, publié au Moniteur belge du onze mars
suivant, sous le numéro 2011/201153, ici représentée par le fonctionnaire instrumentant en vertu
de l’article 63 du Décret programme du 21 décembre 2016, publié au Moniteur belge le 29
décembre 2016, entré en vigueur le 1er janvier 2017 et d’une décision du Conseil d’administration
en date du 17 mars 2017, dont une copie certifiée conforme restera ci-annexée.
Ci-après dénommée « le cédant ».
ET D'AUTRE PART,
97
La COMMUNE DE VIRTON, numéro d’entreprise 0206.524.777, dont les bureaux sont
situés à 6760 Virton, rue Charles Magnette, 17/19, ici représentée par le fonctionnaire
instrumentant en vertu l’article 63 du Décret programme du 21 décembre 2016, publié au
Moniteur belge le 29 décembre 2016, entré en vigueur le 1er janvier 2017 et en exécution d'une
délibération du Conseil communal en date du ………………, délibération dont un extrait certifié
conforme restera ci-annexé.
Ci-après dénommée « le cessionnaire » ou « la commune ».
I.- CESSION.
Le cédant cède à la cessionnaire, qui accepte, les immeubles désignés ci-dessous, aux
conditions indiquées dans le présent acte.
Dans la zone de loisirs :
7) La voirie, son assiette et ses accotements étant :
COMMUNE DE VIRTON - 1ère division – VIRTON
- La parcelle section A, numéro 683L d’une contenance de cinquante-neuf ares dix centiares (59a
10ca) ; - La parcelle section A, numéro 728A7 d’une contenance de trente-quatre ares trente-quatre
centiares (34a 34ca) ; - La parcelle section A, numéro 728Z6 d’une contenance de trente-quatre ares soixante-neuf
centiares (34a 69ca) ; - La parcelle section A, numéro 728Y6 d’une contenance de nonante ares septante-cinq centiares
(90a 75ca) ; - La parcelle section A, numéro 717C d’une contenance de vingt-et-un ares (21a) ; - La parcelle section A, numéro 739A d’une contenance de quatre-vingt-cinq ares septante
centiares (85a 70ca) ;
COMMUNE DE VIRTON - 3ème division – ETHE
- La parcelle section C, numéro 870A3 d’une contenance de trente-quatre ares quatre centiares (34a 04ca).
8) Le réseau d’égouttage des voiries décrites au point 1.
9) Le réseau d’éclairage public des voiries décrites au point 1 qui comprend les câbles d’alimentation, les luminaires, candélabres et tout équipement s’y rapportant.
10) Le réseau d’adduction d’eau le long des voiries décrites au point 1.
COMMUNE DE VIRTON - 3ème division – ETHE
98
- Une superficie de nonante-neuf ares quatre-vingt-sept centiares (99a 87ca) à prendre au sein de la parcelle section C, numéro 349C d’une contenance totale de deux hectares six ares seize centiares (02 ha 06a 16ca). Cette superficie a reçu l’identifiant cadastral numéro .
- Une superficie de soixante ares treize centiares (60a 13ca) à prendre au sein de la parcelle section C, numéro 350H d’une contenance totale de trois hectares quatre-vingt-trois ares trois centiares (3ha 83a 03ca). Cette superficie a reçu l’identifiant cadastral numéro .
- La parcelle numéro 349B d’une superficie de deux centiares. ? ( à voir)
Ces contenances sont reprises sous les lots 1 et 2 au « plan de mesurage et de division –
Rue de Rabais à Virton » dressé le 07 juin 2018 par Valérie BERNES, Géomètre-expert inscrite
au tableau du conseil fédéral sous le n°GEO 040572. Ce plan a été enregistré dans la base de
données des plans de délimitation de l’Administration générale de la Documentation Patrimoniale
sous le numéro de référence : .
Il restera annexé aux présentes.
Ci-après dénommées « le bien »
ORIGINE DE PROPRIETE
Le bien vendu appartient à l’Intercommunale IDELUX depuis plus de trente ans, sauf la
parcelle anciennement cadastrée 1ère
Division, Section A numéro 689C acquise aux termes
d’un acte reçu par Maître Jean CULOT, Notaire à la résidence de Virton, en date du onze
juillet mil neuf cent nonante, transcrit au bureau des hypothèques à Arlon le neuf août suivant
Vol 5679 n°14.
BUT DE LA CESSION
La cession a lieu pour cause d’utilité publique en vue d’une part de l’incorporation du
tronçon de voirie et son assiette ainsi que l’ensemble des réseaux d’égouttage, d’éclairage public
et d’adduction d’eau dans le patrimoine communal et d’autre part de construire un parking, tel
que prévu au plan masse établi par le bureau Alter-Espace dans le cadre de l’étude pour
l’implantation d’une base de loisirs à Virton.
II.- CONDITIONS.
1.- GARANTIE - SITUATION HYPOTHECAIRE.
Le bien est cédé pour quitte et libre de toutes charges hypothécaires, tant dans le chef du
cédant que dans le chef des précédents propriétaires. Si le bien était grevé de pareilles charges, la
cessionnaire aurait la faculté de considérer la présente cession comme nulle et non avenue.
2.- SERVITUDES.
Le bien est cédé avec toutes ses servitudes actives et passives, apparentes et occultes,
continues et discontinues, libre à la cessionnaire de faire valoir les unes à son profit et de se
défendre des autres mais à ses frais, risques et périls sans intervention du cédant ni recours contre
99
lui, et sans cependant que la présente clause puisse donner à qui que ce soit plus de droits qu'il
n'en aurait, soit en vertu de titres réguliers et non prescrits soit en vertu de la loi.
3.- ETAT DU BIEN - CONTENANCE.
La cessionnaire prendra le bien dans l'état où il se trouve, sans aucune garantie au sujet des
vices ou défauts apparents ou cachés, de la nature du sol ou du sous-sol, ni de la contenance
indiquée, dont la différence en plus ou en moins, fut-elle supérieure au vingtième, fera profit ou
perte pour la cessionnaire.
Elle ne pourra exiger aucune indemnité pour erreur de nom, de désignation, d'indication
de tenants et aboutissants ni pour défaut d'accès.
4.-Les biens faisant l’objet des présentes sont destinés à être incorporés dans le domaine
public communal ; en conséquence, la Commune s’engage, à la décharge d’I.D.E.LUX, à assurer
en leurs lieux et place, l’entretien des biens cédés ainsi que leur remplacement éventuel.
5.-I.D.E.LUX subroge la Commune dans leurs droits d’accès aux propriétés privées
implantées dans la zone de loisir vue d’assurer l’entretien des biens cédés.
La Commune s’engage à permettre à tout privé s’implantant sur la zone de loisir, l’accès à
la voirie et le branchement aux réseaux d’égouttage et d’adduction d’eau.
III.- PRESCRIPTIONS URBANISTIQUES - MONUMENTS ET SITES.
URBANISME : Mentions et déclarations imposées par le CoDT (art. D.IV.99 et 100)
Aux termes de l’article D.IV.99. § 1er
qui stipule que dans tout acte entre vifs, sous seing
privé ou authentique, de cession, qu'il soit déclaratif, constitutif ou translatif, de droit réel ou
personnel de jouissance de plus de neuf ans, en ce compris les actes de constitution
d'hypothèque ou d'antichrèse, à l'exception cependant des cessions qui résultent d'un contrat
de mariage ou d’une modification de régime matrimonial et des cessions, qui résultent d'une
convention de cohabitation légale ou d’une modification d'une telle convention, relatif à un
immeuble bâti ou non bâti ;
Aux termes de l’article D.IV.100 qui stipule : "L'obligation de mention incombe au
titulaire du droit cédé, à son mandataire ou à l'officier instrumentant. Si les informations à
mentionner ne peuvent être fournies par ceux-ci, elles sont demandées aux administrations
intéressées conformément aux règles établies en exécution de l'article D.IV.105. A défaut de
réponse de l'administration intéressée dans le délai prévu, le titulaire du droit cédé, son
mandataire ou l'officier instrumentant mentionne dans l'acte la date de l'envoi contenant la
demande d'informations ou du récépissé de la demande d'informations, indique que les
informations n'ont pas été données et que l'acte est passé en dépit du défaut de réponse de
l'administration.".
a) Il est fait mention :
1° que le bien est situé en zone de loisirs au plan de secteur, en application de l'article
D.IV.97
4° que le cédant n'a pas, réalisé des-actes et travaux constitutifs d'une infraction en vertu
de l’article D.VII.l, §1er
1, 2° ou 7°, et le cas échéant qu'un procès-verbal a été dressé.
b) Il est rappelé :
1° qu'il n'existe aucune possibilité d'effectuer sur le bien aucun des travaux et actes visés
à l'article D.IV.4, à défaut d'avoir obtenu un permis d'urbanisme;
2° qu'il existe des règles relatives à la péremption des permis;
3° que l'existence d'un certificat d'urbanisme ne dispense pas de demander et d'obtenir le
100
permis requis.
PERMIS D’ENVIRONNEMENT
Le cédant déclare que le bien ne fait l’objet d’aucun permis d’environnement. En
conséquence il n’y a pas lieu de faire mention de l’article 60 du décret du 11 mars 1999
relatif au permis d’environnement.
ÉTAT DU SOL - INFORMATION - GARANTIE
Les parties déclarent avoir été informées qu’il résulte du décret du 5 décembre 2008
relatif à la gestion des sols, que doivent être mentionnées, dans tout acte de cession
immobilière visé par l'article D.IV.99 du CoDT, les « données relatives au bien inscrites dans
la banque de données de l'état des sols au sens de l'article 10 du décret du 5 décembre 2008
relatif à la gestion des sols » ainsi que certaines obligations en matière d'investigation et
d'assainissement, notamment en cas de cessation d'une exploitation autorisée. La banque de
données de l'état des sols précitée n'est, au jour de la passation du présent acte, ni créée ni - a
fortiori - opérationnelle. Sous le bénéfice de cette précision et de son approbation par le
Ministre de l'Aménagement du territoire, de l'Urbanisme et de l'Environnement, les parties
requièrent le fonctionnaire instrumentant de recevoir néanmoins le présent acte.
Le vendeur déclare :
1. ne pas avoir exercé sur le bien d'activités pouvant engendrer une pollution du sol
ou ne pas avoir abandonné de déchets sur ce bien pouvant engendrer telle pollution ;
2. ne pas avoir connaissance de l'existence présente ou passée sur ce même bien d'un
établissement ou de l'exercice présent ou passé d'une activité figurant sur la liste des
établissements et activités susceptibles de causer une pollution du sol au sens dudit Décret
sols en vigueur en Région wallonne ;
3. qu'aucune étude de sol dite d'orientation ou de caractérisation dans le sens dudit
décret sols n'a été effectuée sur le bien et que par conséquent aucune garantie ne peut être
donnée quant à la nature du sol et son état de pollution éventuel.
Pour autant que ces déclarations aient été faites de bonne foi, le vendeur est exonéré
vis-à-vis de l'acquéreur de toute charge relative à une éventuelle pollution de sol qui serait
constatée dans le futur et des éventuelles obligations d'assainissement du sol relatives au
bien.
DOSSIER D’INTERVENTION ULTERIEURE
Interrogé par le fonctionnaire instrumentant sur l’existence d’un dossier
d’intervention ultérieure afférent au bien décrit ci-dessus, le vendeur a répondu par la
négative et a confirmé que, depuis le 1er
mai 2001, aucun entrepreneur n’avait effectué,
relativement au dit bien, de travaux nécessitant la rédaction d’un dossier d’intervention
ultérieure conformément à l’arrêté royal du 25 janvier 2001 concernant les chantiers
temporaires ou mobiles.
IV.- OCCUPATION - ENTREE EN JOUISSANCE - IMPOTS.
Le bien cédé est libre d'occupation.
La cessionnaire aura la pleine propriété du bien à dater des présentes. Elle entrera en
jouissance du bien immédiatement.
Elle paiera le précompte immobilier et toutes autres impositions afférentes au bien cédé à
compter du même moment.
V.- PRIX.
101
La cession est consentie et acceptée sans stipulation de prix.
VI.- INDEMNITES COMPENSATOIRES. Considérant que les voiries n’ont pas été construites conformément aux normes
définies par le service technique, IDELUX accepte d’intervenir financièrement dans la remise
en état de ces voiries, dont le coût total de remise à niveau est estimé à 786.218€ TTC.
L’intervention d’IDELUX est de 400.000€. Le paiement par IDELUX de ladite somme à la
Commune étant effectué pour le jour de la signature de l’acte de cession à titre gratuit de
toutes les voiries du site de Rabais à cette dernière ;
La Commune s’engage à la réalisation effective de ces travaux, dans les 2 ans de la
signature dudit acte.
VI.- DISPOSITIONS FINALES.
1.- FRAIS.
Tous les frais des présentes sont à charge du cédant.
2.- ELECTION DE DOMICILE.
Pour l'exécution des présentes, le cédant et la cessionnaire font élection de domicile au
Comité d'Acquisition d'Immeubles de Saint Hubert.
DONT ACTE.
Passé à Saint-Hubert et signé par le fonctionnaire instrumentant.
DECIDE :
- de charger le Comité d’acquisition d’immeubles du Luxembourg :
o d’authentifier l’acte de cession à titre gratuit d’IDELUX à la Commune de
toutes les voiries du site de RABAIS en mentionnant :
l’engagement pris par la Commune de réaliser les travaux de remise en
état de ces voiries dans les 2 ans de la signature,
ainsi que l’intervention financière d’IDELUX à hauteur de 400.000€,
dont le paiement aura été effectué pour le jour de ladite cession ;
o de représenter la Commune à la passation de l’acte de cession dont le projet
d’acte est annexé aux présentes ;
o de déclarer que cette cession est réalisée pour cause d’utilité publique et plus
précisément, en vue de l’intégration des voiries dans le domaine public de la
Commune.
- de charger le même Comité d’authentifier la cession à titre gratuit d’une emprise d’1ha
60a à prendre dans le site dit de la Foire d’Ethe et :
o de représenter la Commune à la passation de l’acte ;
o de déclarer qu’elle est réalisée pour cause d’utilité publique et plus
précisément, en vue de la création d’une base de loisirs.
102
- de marquer son accord sur les conditions précitées liées à la recherche par IDELUX,
d’un investisseur intéressé à s’implanter sur le solde du site de la Foire d’ETHE et les
conditions de l’option d’achat dont bénéficiera la commune, dans l’hypothèse où
aucun investisseur n’est intéressé par ladite zone au terme du délai convenu pour ladite
recherche ;
- de payer le montant de la facture IDELUX correspondant à la recherche d’un
investisseur pour développer une piscine ludique sur le site de RABAIS.
La validation de la présente délibération est acceptée sous la condition suspensive de la
cession à titre gratuit par IDELUX à la Commune de VIRTON de 1ha 60a à prendre dans les
parcelles de plus grandes contenances et cadastrées VIRTON, 3ème
division, ETHE, section C,
n°350H, 350
E et 349
A.
Les deux actes devront avoir lieu de manière concomitante et après versement de la somme de
400.000,00€ par IDELUX Projets Publics sur le compte de la Commune.
OBJET A) 32. RECONSTRUCTION DU MUR DE SOUTÈNEMENT LE LONG DE LA
RIVIÈRE RUE DE L’ÉGLISE À SAINT-REMY – APPROBATION DU
CAHIER DES CHARGES.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation et ses modifications ultérieures,
notamment l'article L1222-3 §1 relatif aux compétences du Conseil communal et les articles
L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ;
Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en
matière de marchés publics, de certains marchés de travaux, de fournitures et de services et de
concessions et ses modifications ultérieures ;
Vu la loi du 17 juin 2016 relative aux marchés publics, notamment l'article 36 ;
Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés
publics et ses modifications ultérieures ;
Vu l'arrêté royal du 18 avril 2017 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs
classiques et ses modifications ultérieures ;
Vu le cahier des charges N° 2018-272 relatif au marché “Reconstruction du mur de
soutènement le long de la rivière rue de l'église à Saint-Rémy” établi par Madame Sarah
GERMAIN, attachée spécifique, auteur de projet ;
Considérant que l’auteur de projet informe que le PGSS n’est pas nécessaire pour ce dossier ;
Vu le rapport établi en date du 14 juin 2018 par Madame Sarah GERMAIN, attachée
spécifique, auteur de projet, motivant la dérogation à l’article 58 de la loi du 17 juin 2016
relative aux marchés publics concernant l’allotissement ;
103
Considérant que le montant estimé de ce marché s'élève à 198.383,79 € hors TVA ou
240.044,39 €, 21% TVA comprise, détaillé comme suit :
- distribution d’eau : 32.628,69 € H.T.V.A.
- voirie : 145.335,77 € H.T.V.A.
- égout : 20.419,33 € H.T.V.A. ;
Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure ouverte ;
Considérant que les crédits permettant cette dépense sont inscrits au budget extraordinaire de
l’exercice 2018, articles 4215/732-60 numéro de projet 20180114 pour la voirie (MB1),
87408/735-52 numéro de projet 20180114 pour la distribution d’eau et 8773/735-51 numéro
de projet 20180114 pour la partie égouttage ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 11
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis réservé en date du 13 juin 2018,
sous réserve de modification budgétaire et d’approbation de la MB1 ;
Considérant qu’un permis technique sera sollicité en parallèle de la procédure et ce, suite à
une rencontre en date du 06 juin 2018 avec Monsieur Jean-Paul STOFFEL, fonctionnaire à la
DGO4 – Service Extérieur à Arlon ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
- d'approuver le cahier des charges N° 2018-272 et le montant estimé du marché
“Reconstruction du mur de soutènement le long de la rivière rue de l'église à Saint-
Rémy”, établis par Madame Sarah Germain, attachée spécifique, auteur de projet.
Les conditions sont fixées comme prévu au cahier des charges et par les règles
générales d'exécution des marchés publics. Le montant estimé s'élève à
198.383,79 € hors TVA ou 240.044,39 €, 21% TVA comprise, détaillé comme
suit:
- distribution d’eau : 32.628,69 € H.T.V.A.
- voirie : 145.335,77 € H.T.V.A.
- égout : 20.419,33 € H.T.V.A.
- de passer le marché par la procédure ouverte,
- d’approuver l’avis de marché établi à cet effet,
- d’approuver les conditions du marché détaillées comme suit: catégorie C et classe
2,
- de financer cette dépense par les crédits inscrits au budget extraordinaire de
l’exercice 2018, articles 4215/732-60 numéro de projet 20180114 pour la voirie
(MB1), 87408/735-52 numéro de projet 20180114 pour la distribution d’eau et
8773/735-51 numéro de projet 20180114 pour la partie égouttage.
OBJET A) 33. ACQUISITION DE CONTAINERS POUR LES SERVICES
TECHNIQUES – APPROBATION DU CAHIER DES CHARGES.
104
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation et ses modifications ultérieures,
notamment l'article L1222-3 §1 relatif aux compétences du Conseil communal et les articles
L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ;
Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en
matière de marchés publics, de certains marchés de travaux, de fournitures et de services et de
concessions et ses modifications ultérieures ;
Vu la loi du 17 juin 2016 relative aux marchés publics, notamment l’article 42, § 1, 1° a (la
dépense à approuver HTVA n'atteint pas le seuil de 144.000,00 €) ;
Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés
publics et ses modifications ultérieures ;
Vu l'arrêté royal du 18 avril 2017 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs
classiques et ses modifications ultérieures, notamment l'article 90, 1° ;
Vu le rapport établi en date du 22 mai 2018 par Monsieur Emmanuel LATOUR, agent
technique au service de la voirie, duquel il ressort les éléments suivants :
« Il est constaté, depuis l’achat d’un camion porte container, une augmentation des
rendements lors des travaux de voiries mais également lors des travaux estivaux (tontes,
nettoyage, etc…) ;
Il a été également constaté un vieillissement et une mise hors d’usage du container communal
servant à l’évacuation des déchets divers, ramassés par nos équipes de nettoyage (vidange
des poubelles, dépôt sauvage). Actuellement, afin d’assurer le service continu de ce travail,
un container appartenant à la firme SITA a été mis provisoirement à disposition par cette
dernière ;
Il existe toujours une problématique récurrente de l’évacuation des déchets issus des
balayages de voiries issus des engins mécaniques. Ces déchets, sous forme d’eau x boueuses,
ne peuvent être mis en dépôt en un quelconque endroit de par leur nature ;
Enfin, l’acquisition d’un nouveau camion grue porte container nécessite l’achat de container
supplémentaire » ;
Considérant dès lors qu’il est nécessaire d’acquérir des containers de différentes natures, à
savoir container renforcé pour les travaux publics, container normal munis de panneaux de
fermeture horizontale pour les déchets (poubelles,…) et container à boue permettant la
décantation des eaux et la séparation des déchets solide ;
Considérant le cahier des charges N° 2018-262 relatif au marché “Acquisition de containers
pour les services techniques” établi par le Service Travaux - Etude des Marchés ;
Considérant que ce marché est divisé en lots :
* Lot 1 (Fourniture d'un container de chantier)
* Lot 2 (Fourniture d'un container à déchets divers)
* Lot 3 (Fourniture d'un container à boue);
Considérant que le montant global estimé de ce marché s'élève à 20.000,00 € T.V.A.
comprise;
105
Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure négociée sans publication
préalable ;
Considérant que le crédit permettant cette dépense est inscrit à l’article 42113/743-98 projet
20180095 du budget extraordinaire de l’exercice 2018;
Considérant que l'avis de légalité du directeur financier n’est pas obligatoire, qu’il n’y a pas
eu de demande spontanée et qu’aucun avis n’a été donné d’initiative par le directeur financier;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 07 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
- d'approuver le cahier des charges N° 2018-262 et le montant estimé du marché
“Acquisition de containers pour les services techniques”, établis par le Service
Travaux - Etude des Marchés. Les conditions sont fixées comme prévu au cahier des
charges et par les règles générales d'exécution des marchés publics. Le montant estimé
s'élève à 20 000,00 € T.V.A. comprise,
- de passer le marché par la procédure négociée sans publication préalable,
- de financer cette dépense par le crédit inscrit à l’article 42113/743-98 projet 20180095
- du budget extraordinaire de l’exercice 2018.
OBJET A) 34. VALLÉE DE RABAIS – ACCORD SUR LA PROPOSITION DE
NOUVELLE CONVENTION AVEC IDÉLUX PROJETS PUBLICS.
Le vote est demandé,
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, notamment l’article L1122-30 ;
Considérant le grand intérêt paysager et naturel de la Vallée de Rabais ;
Considérant le rôle clé que joue ce site dans l’économie touristique de la Commune et plus
largement de la province de Luxembourg ;
Vu l’état de vétusté des diverses infrastructures et la nécessité d’une relance globale de
l’activité touristique sur le site ;
Vu sa délibération prise en date du 29 août 2014 marquant son accord de principe sur les
modalités de la mission d’IDELUX Projets Publics à condition d’ajouter la mention des autres
partenaires publics et privés, la répartition du financement de la partie non subsidiable et
d’ajouter qu’IDELUX Projets Publics prend en charge la rédaction des rapports de réunion ;
106
Vu la convention signée après le conseil du 29 août 2014 et reçue en retour le 14 octobre
2014 ;
Considérant que l’étude de redynamisation de la Vallée de Rabais en base de loisirs été menée
et a abouti fin 2015 à un master plan opérationnel accompagné d’une analyse économique et
financière ;
Attendu que le projet ainsi étudié est de nature à générer un impact positif sur l’attractivité
touristique et économique de Virton et de sa région grâce à une relance et à un développement
de l’activité de la Vallée de Rabais ;
Vu le grand intérêt dont ont témoigné, aux côtés de la Commune, l’ensemble des acteurs
publics et privés concernés par ce projet, à l’issue de cette étude ;
Vu sa décision prise en date du 24 juin 2016 marquant son accord sur :
1) le nouveau libellé de la mission 2.1., soit :
contacts exploratoires en vue d’identifier les opérateurs montrant un intérêt
concret pour la gestion de la base de loisirs (exploitants) et pour l’exploitation de
l’établissement Horeca (investisseur/exploitant) ;
identification du phasage des investissements publics ;
identification des pouvoirs subsidiants potentiels ;
organisation et suivi des contacts avec les différents cabinets et les administrations
susceptibles d’intervenir financièrement, dans une optique de partenariat public –
privé, l’investissement public sollicité étant de nature à générer un volume
important d’activité économique privée.
2) le mode de rémunération proposé par IDELUX Projets Publics pour cette mission 2.1.,
soit : « Le montant des honoraires sera calculé au taux horaire de 135€/h indexé, établi
sur base du time report, majoré d’1% du montant des subsides liquidés conformément
à la tarification des services d’IDELUX Projets publics approuvée par l’assemblée
générale du 22/12/2010. L’indexation a lieu de manière annuelle sur base de l’indice
des prix à la consommation, l’indice de départ étant celui de décembre 2010 ».
3) le fait que ce tarif comprend :
les prestations de gestion de projet par le chef de projet en charge du dossier et par
le management ;
l’intervention ponctuelle de compétences généralistes en matière juridique,
environnementale, urbanistique et comptable ;
les frais de secrétariat ;
les frais de reproduction dans le cadre d’un usage normal et les frais de
déplacement dans le cadre d’une sollicitation normale pour ce type de mission, à
l’exclusion de l’hébergement.
4) Les prestations sont fixées à un maximum de 120 heures et en fonction du time report,
pour la phase d’intervention 2.1., ce qui correspond à des honoraires s’élevant à un
maximum de 16.200 euros indexés selon l’indice des prix à la consommation, l’indice
de départ étant celui de décembre 2010, majorés de 1% du montant des subsides.
107
Considérant qu’il y a lieu maintenant de poursuivre le montage de ce projet afin de le faire
rentrer au plus vite dans sa phase opérationnelle ; que pour ce faire, il y a lieu de solliciter une
demande de subvention auprès du CGT pour entamer une première phase d’aménagement de
la base de loisirs ;
Considérant le rôle d’ensemblier qu’a joué IDELUX Projets publics dans les démarches
entamées jusqu’à présent pour identifier des solutions pour redynamiser ce centre touristique
majeur de la Commune de Virton et pour y attirer de nouveaux investisseurs privés;
Considérant qu’il y a lieu de désigner IDELUX Projets publics pour assurer la mission
d’assistance à maîtrise d’ouvrage nécessaire à la poursuite de ce projet ;
Considérant qu’IDELUX Projets Publics remplit les conditions édictées pour l’application de
l’exception de la relation dite « in house » de telle manière que toute commune associée peut
lui confier directement des prestations de services sans application de la loi sur les marchés
publics ;
Vu la convention reprenant les modalités d’exécution de la mission transmise par IDELUX
Projets publics définissant notamment son contenu ainsi que les modalités de paiement des
honoraires ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 7 juin 2018 ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 18
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis défavorable en date du 22 juin
2018 ;
Après en avoir délibéré,
MARQUE SON ACCORD sur la proposition de convention à conclure avec IDELUX Projets
Publics.
Les dépenses estimées à 30.000 euros TVAC sont à prévoir au budget extraordinaire de
l’exercice 2018 lors de la prochaine modification budgétaire (article 124/747-60 projet
20160103).
Cette délibération a été adoptée par 11 voix favorables, 0 voix négative et 8 abstentions.
Ont voté positivement :
ROISEUX Bernadette, CHALON Etienne, FELLER Didier, WAUTHOZ Vincent, RAULIN
Jean, VAN DEN ENDE Annick, BAILLOT Hugues, CLAUDOT Alain, GONRY Paul,
GRAISSE Martine et CULOT François.
Se sont abstenus :
LACAVE Denis, LEGROS Philippe, GOBERT Sabine, LEFEVRE Christian, GOFFIN Annie,
PRIGNON Cédric, ZANCHETTA Philippe et MULLENS Michel.
108
OBJET A) 35. MAISON DU TOURISME DE GAUME – OCTROI D’UNE SUBVENTION
EN NUMÉRAIRE.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, notamment l’article L1122-30
et les articles L3331-1 à L3331-8 ;
Vu la circulaire ministérielle du 30 mai 2013 relative à l’octroi des subventions par les
pouvoirs locaux ;
Vu sa délibération prise en date du 7 juin 2013 relative à l’octroi de subventions et
spécifiquement aux obligations à charge des bénéficiaires ;
Vu sa délibération prise en date du 18 mars 2016 marquant son accord sur les statuts
consolidés de la Maison du Tourisme de Gaume libellés intégralement dans la décision ;
Vu le courrier du 17 mai 2018 de la Maison du Tourisme de Gaume sollicitant une subvention
pour l’année 2018 ;
Vu les documents envoyés le 17 mai 2018, soit les cotisations 2018, les bilan et comptes de
résultats au 31 décembre 2017, déposés au greffe du Tribunal de commerce le 3 mai 2018 ;
Considérant que la subvention est octroyée à des fins d’intérêt public, à savoir l’organisation
ou la promotion d’événements touristiques, la création, l’impression et la distribution de
dépliants, affiches et/ou brochures, l’accueil des touristes ;
Considérant que le crédit nécessaire est disponible à l’article 569/332-02 du budget ordinaire
de l’exercice 2018 ;
Considérant que la Maison du Tourisme de Gaume ne doit pas restituer une subvention reçue
précédemment ;
Sur proposition du Collège communal ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
Article 1:
La Commune de Virton octroie une subvention de 3.750 euros à la Maison du Tourisme de
Gaume, ci-après dénommée le bénéficiaire.
Article 2 :
Le bénéficiaire utilise la subvention pour l’organisation ou la promotion d’événements
touristiques, la création, l’impression et la distribution de dépliants, affiches et/ou brochures,
ainsi que pour l’accueil des touristes.
109
Article 3 :
Pour justifier l’utilisation de la subvention, le bénéficiaire produit les documents suivants :
factures liées à l’organisation ou la promotion d’événements touristiques, la création,
l’impression et la distribution de dépliants, affiches et/ou brochures, l’accueil des touristes ou
des attestations relatives aux mêmes types de prestations avec mention des heures prestées et
du coût horaire.
Article 4 :
La subvention est engagée sur l’article 569/332-02 du budget ordinaire de l’exercice 2018.
Article 5 :
La liquidation de la subvention intervient après réception des justifications visées à l’article 3.
Article 6 :
Le Collège communal est chargé de contrôler l’utilisation de la subvention faite par le
bénéficiaire.
Article 7 :
Une copie de la présente délibération est notifiée au bénéficiaire.
OBJET A) 36. DEMANDE DE COTISATIONS 2018 – MAISON DU TOURISME DE
GAUME.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, notamment l’article L1122-30
et les articles L3331-1 à L3331-8 ;
Vu la circulaire du 30 mai 2013 relative à l’octroi des subventions par les pouvoirs locaux ;
Vu sa délibération prise en date du 7 juin 2013 relative à l’octroi de subventions et
spécifiquement aux obligations à charge des bénéficiaires ;
Vu sa délibération prise en date du 18 mars 2016 marquant son accord sur les statuts
consolidés de la Maison du Tourisme de Gaume, libellés intégralement dans la décision ;
Vu le courrier du 17 mai 2018 de la Maison du Tourisme de Gaume sollicitant le paiement
des cotisations de l’année 2018 ;
Vu les documents annexés à ce courrier, soit les cotisations 2018, les bilan et comptes de
résultats au 31 décembre 2017, déposés au greffe du Tribunal de commerce le 3 mai 2018 ;
Considérant que chaque année sont payées à la Maison du Tourisme de Gaume les cotisations
pour les représentants communaux ;
110
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 7 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
MARQUE SON ACCORD sur le paiement des cotisations 2018 pour les représentants
communaux à la Maison du Tourisme de Gaume pour un montant de 45,50 euros.
La dépense d’un montant de 45,50 euros sera engagée à l’article 101/123-02 du budget
ordinaire de l’exercice 2018.
OBJET A) 37. WALLONIE WEEK-END BIENVENUE 2018 À VIRTON – OCTROI
D’UNE SUBVENTION EN NUMÉRAIRE À LA MAISON DU
TOURISME DE GAUME.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, notamment l’article L1122-30
et les articles L3331-1 à L3331-8 ;
Vu la circulaire du 30 mai 2013 relative à l’octroi des subventions par les pouvoirs locaux ;
Vu sa délibération prise en date du 7 juin 2013 relative à l’octroi de subventions et
spécifiquement aux obligations à charge des bénéficiaires ;
Considérant que la Maison du Tourisme de Gaume a sollicité la commune en 2017 pour la
participation à l’organisation du Week-end Wallonie Bienvenue ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 25 octobre 2017 décidant de
confirmer son intérêt pour la nouvelle édition de cet événement, de marquer son accord de
principe sur la participation financière de la commune à hauteur de 1000 euros, ainsi que sur
l’implication de la commune dans la préparation de cet événement ;
Considérant que la subvention est octroyée à des fins d’intérêt public, à savoir l’organisation
d’un événement qui consiste pour une commune par province, six week-ends par an, à
dévoiler son âme, sa spécificité, à travers les portes ouvertes proposées par ses habitants;
Considérant que le crédit nécessaire est disponible au budget ordinaire de l’exercice 2018 à
l’article 5691/332-02 ;
Considérant que le budget prévu pour l’événement concerne l’impression et la distribution
d’un dépliant ;
Entendu l’Echevin du Tourisme, Monsieur Etienne CHALON, en son rapport ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 7 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
111
DECIDE :
Article 1 :
La Commune de Virton octroie une subvention de 1.000 euros à la Maison du Tourisme de
Gaume, ci-après dénommée le bénéficiaire.
Article 2 :
Le bénéficiaire utilise la subvention pour l’organisation de l’événement « Wallonie Week-end
bienvenue 2018 ».
Article 3 :
Pour justifier l’utilisation de la subvention, la bénéficiaire produit les documents suivants :
factures d’impression de dépliants, factures de distribution toutes-boîtes.
Article 4 :
La subvention est engagée sur l’article 5691/332-02 du budget ordinaire de l’exercice 2018.
Article 5 :
La liquidation de la subvention intervient après réception des justifications visées à l’article 3.
Article 6 :
Le Collège communal est chargé de contrôler l’utilisation de la subvention faite par le
bénéficiaire.
OBJET A) 38. DÉVELOPPEMENT DE LA BASE DE LOISIRS DANS LA VALLÉE DE
RABAIS – APPROBATION DU DOSSIER DE DEMANDE DE
SUBSIDES ET ENGAGEMENT SUR LA PRISE EN CHARGE DE LA
QUOTE-PART NON-SUBSIDIÉE DES TRAVAUX ET SUR LE SUIVI
OPÉRATIONNEL.
LE CONSEIL,
Vu sa délibération prise en date du 29 août 2014 marquant son accord de principe sur les
modalités de la mission d’IDELUX Projets Publics pour la redynamisation de la Vallée de
Rabais à condition d’ajouter la mention des autres partenaires publics et privés, la répartition
du financement de la partie non subsidiable et d’ajouter qu’IDELUX Projets Publics prend en
charge la rédaction des rapports de réunion ;
Considérant l’étude réalisée en 2015 dans le cadre du CITW (pilotée par IDELUX Projets
publics) et proposant une stratégie de redynamisation de la Vallée de Rabais à Virton ;
112
Considérant que ce projet vise à développer une base de loisirs de qualité mêlant le milieu
aquatique avec le milieu boisé ; que ce projet propose des équipements récréatifs et ludiques
en parfaite adéquation avec la philosophie de mise en valeur de la Vallée de Rabais;
Considérant que cette première phase d’intervention s’est donc clôturée avec l’approbation en
date du 23 janvier 2016 par le Conseil Communal, des données du rapport final des phases 2
et 3 de l’auteur de projet, en prenant acte des animations proposées sous réserve qu’il
convient de veiller à ce que les animations soient implantées aux endroits les moins
dommageables pour le domaine forestier et en veillant à obvier aux nuisances vis-à-vis des
résidents ;
Considérant que ce projet a pour objectif d’attirer les touristes et visiteurs dans la Commune
de Virton qui est la Capitale de la Gaume au moyen d’une infrastructure touristique ;
Considérant que ce projet permettra de redynamiser un espace de loisirs majeur à l’échelle de
la Commune mais également de la Gaume et de renforcer son attractivité ; qu’il permettra de
restimuler le développement touristique du site en lui-même et notamment en incitant des
initiatives privées ;
Considérant qu’à cet égard, il y a lieu de solliciter une subvention auprès du Commissariat
Général au Tourisme pour (re)développer la zone de loisirs de la Vallée de Rabais ;
Vu le dossier de demande de subsides élaboré par IDELUX Projets publics dans le cadre de sa
mission d’assistance à maitrise d’ouvrage ;
Vu le plan prévisionnel d’investissement (acquisitions des terrains, travaux et suivi
opérationnel du projet) établi par IDELUX Projets publics au stade de l’étude conceptuelle ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 14 juin 2018 ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 18
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis réservé sur le projet de délibération
(sous conditions) en date du 22 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
d’approuver le principe des aménagements prévus et du travail envisagé ;
d’approuver le dossier de demande de subsides élaboré par IDELUX Projets publics ;
d’approuver le plan prévisionnel d’investissement au stade d’étude conceptuelle ;
de s’engager à prévoir au budget communal la quote-part non subsidiée des travaux et
du suivi opérationnel ;
de s’engager à maintenir l'affectation touristique des aménagements subventionnés par
le Commissariat général au Tourisme pendant un délai de quinze (15) ans prenant
cours le 1er janvier qui suit l'année de la liquidation totale de la subvention. Dans le
cas contraire, et s’il n’y a pas eu autorisation préalable du Ministre qui a le Tourisme
dans ses attributions, il s’engage à rembourser le montant de la subvention perçue ;
de s’engager à entretenir en bon état les aménagements réalisés ;
113
Le montant repris au plan prévisionnel d’investissement (1.260.000 €) sera à prévoir au
budget extraordinaire 2019, en cas d’accord sur l’octroi de subsides à concurrence de 80 %.
OBJET A) 39. ACHAT D’UN CAMION GRUE PORTE CONTENEUR – PRINCIPE ET
APPROBATION DU CAHIER DES CHARGES.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation et ses modifications ultérieures,
notamment l'article L1222-3 §1 relatif aux compétences du Conseil communal et les articles
L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ;
Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en
matière de marchés publics, de certains marchés de travaux, de fournitures et de services et de
concessions et ses modifications ultérieures ;
Vu la loi du 17 juin 2016 relative aux marchés publics, notamment l'article 36 ;
Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés
publics et ses modifications ultérieures ;
Vu l'arrêté royal du 18 avril 2017 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs
classiques et ses modifications ultérieures ;
Considérant le cahier des charges relatif au marché “Achat d'un camion grue porte conteneur
2018 et ses accessoires” établi par le Service Travaux - Etude des Marchés ;
Considérant que ce marché est divisé en lots :
* Lot 1 Fourniture d'un camion
* Lot 2 Fourniture d'un système d'appareils à bras
* Lot 3 Fourniture d'une grue hydraulique
* Lot 4 Reprise d'un véhicule existant ;
Considérant que le montant global estimé de ce marché s'élève à deux cent douze mille euros
(212.000 €) ;
Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure ouverte ;
Considérant que le crédit permettant cette dépense est inscrit à l’article 42103/743-53 du
budget extraordinaire de l’exercice 2018, projet 20180098 ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 11
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et qu’en date du 12 juin 2018 celle-ci a transmis son avis favorable
sous réserve de deux modifications ;
Considérant que les modifications demandées par la Directrice financière ont été rencontrées ;
114
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
- d'approuver le cahier des charges et le montant estimé du marché “Achat d'un camion
grue porte conteneur 2018 et ses accessoires”, établis par le Service Travaux - Etude
des Marchés. Les conditions sont fixées comme prévu au cahier des charges et par les
règles générales d'exécution des marchés publics. Le montant estimé s'élève à 212.000
€ TVA comprise,
- de passer le marché par la procédure ouverte,
- de compléter et d'envoyer l'avis de marché au niveau national,
- de financer cette dépense par le crédit inscrit au budget extraordinaire de l’exerccie
2018, à l’article 42103/743-53, projet 20180098.
OBJET A) 40. COLLECTE DE DÉCHETS MÉNAGERS ET SERVICES DIVERS SUR
LE TERRITOIRE DE LA COMMUNE DE VIRTON – PRINCIPE ET
APPROBATION DU CAHIER SPÉCIAL DES CHARGES.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation et ses modifications ultérieures,
notamment l'article L1222-3 §1 relatif aux compétences du Conseil communal et les articles
L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ;
Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en
matière de marchés publics, de certains marchés de travaux, de fournitures et de services et de
concessions et ses modifications ultérieures ;
Vu la loi du 17 juin 2016 relative aux marchés publics, notamment l'article 36 ;
Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés
publics et ses modifications ultérieures ;
Vu l'arrêté royal du 18 avril 2017 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs
classiques et ses modifications ultérieures ;
Considérant le cahier des charges N° 2017-SE01 relatif au marché “Collecte de déchets
ménagers et services divers sur le territoire de la commune de Virton” établi par le Service
Environnement ;
Considérant que ce marché est divisé en lots :
* LOT 1 : mission 1 : collecte sélective en "porte à porte", des déchets ménagers et assimilés
triés à la source en fraction organique (déchets de cuisine, langes et déchets de jardin)
fraction résiduelle par "sacs+sacs) (deux types de sacs) Mission 2 : Collecte sélective en
"porte-à-porte" des déchets ménagers et assimilés triés à la source en fraction organique et
fraction résiduelle par conteneurs pour les différents services communaux (écoles, centres
sportifs, administrations, CPAS, cimetières, etc.........), estimé à 793.388,43 € hors TVA ou
960.000,00 €, TVA comprise ;
115
* LOT 2 : La collecte des encombrants ménagers, estimé à 66.115,70 € hors TVA ou
80.000,00 €, TVA comprise ;
Considérant que le montant global estimé de ce marché s'élève à 859.504,13 € hors TVA ou
1.040.000,00 €, 21% TVA comprise ;
Considérant que les lots 1 et 2 sont conclus pour une durée de 48 mois ;
Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure ouverte ;
Considérant que cette estimation dépasse les seuils d'application de la publicité européenne ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 06
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis réservé en date du 13 juin 2018,
sous réserve de certaines modifications ;
Considérant que les modifications demandées par la Directrice financière ont été rencontrées ;
Considérant que le marché débutera vraisemblablement en 2019, il y aura donc lieu d’adapter
le budget de l’exercice 2019 en fonction du montant de l’attribution ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
- d'approuver le cahier des charges N° 2017-SE01 et le montant estimé du marché
“Collecte de déchets ménagers et services divers sur le territoire de la commune de
Virton”, établis par le Service Environnement. Les conditions sont fixées comme
prévu au cahier des charges et par les règles générales d'exécution des marchés
publics. Le montant estimé s'élève à 859.504,13 € hors TVA ou 1.040.000,00 €, 21%
TVA comprise,
- de passer le marché par la procédure ouverte,
- de soumettre le marché à la publicité européenne,
- de compléter et d'envoyer l'avis de marché au niveau national et européen,
- de financer cette dépense par le crédit inscrit au budget ordinaire de l’exercice 2018, à
l’article 876/124-06 (déchets ménagers et encombrants ménagers) et l’article
8761/124-02.
Le budget de l’exercice 2019 sera adapté en fonction de l’attribution.
OBJET A) 41. COLLECTE SÉLECTIVE EN « PORTE-À-PORTE » DE DÉCHETS
MÉNAGERS ET ASSIMILÉS TRIÉS À LA SOURCE EN FRACTION
ORGANIQUE ET FRACTION RÉSIDUELLE – ACCORD SUR LE
LANCEMENT D’UN MARCHÉ PAR L’INTERCOMMUNALE EN SE
RÉSERVANT LE DROIT D’Y ADHÉRER OU NON.
LE CONSEIL,
116
Vu le décret du 27 juin 1996 relatif aux déchets et ses arrêtés d’exécution ;
Vu le décret fiscal du 22 mars 2007 favorisant la prévention et la valorisation des déchets en
Région wallonne et portant modification du décret du 6 mai 1999 relatif à l'établissement, au
recouvrement et au contentieux en matière de taxes régionales directes ;
Vu l’arrêté du Gouvernement wallon du 18 mars 2004 interdisant la mise en centre
d’enfouissement technique de certains déchets ;
Vu l’arrêté du Gouvernement wallon du 5 mars 2008 relatif à la gestion des déchets issus de
l'activité usuelle des ménages et à la couverture des coûts y afférents ;
Vu l’arrêté du Gouvernement wallon du 17 juillet 2008 relatif à l’octroi de subventions aux
pouvoirs subordonnés en matière de prévention et de gestion des déchets ;
Vu l’arrêté du Gouvernement wallon du 15 septembre 2016 relatif au financement des
installations de gestion des déchets relevant des communes et des associations de communes ;
Vu le courrier du 27 avril 2018 communiqué par le Secteur Valorisation et Propreté de
l’AIVE qui informe les communes des modalités d'organisation des nouveaux services de
collecte en porte-à-porte des déchets ménagers ;
Considérant que le contrat de collecte actuel passé entre l’AIVE et la société REMONDIS
Belgien SPRL vient à échéance le 31 décembre 2019 ;
Considérant que la commune est affiliée à l'Intercommunale Association Intercommunale
pour la Valorisation et la Protection de l’Environnement (en abrégé AIVE) et est membre du
secteur Valorisation et Propreté constitué par décision de l'Assemblée générale extraordinaire
de l'AIVE en date du 15 octobre 2009 ;
Considérant qu’en exécution de l'article 19 des statuts de l’AIVE, chaque commune associée
du secteur Valorisation et Propreté contribue financièrement au coût des services de collecte,
du réseau de parcs à conteneurs ainsi que de la gestion des déchets ménagers ;
Considérant que l’AIVE remplit les conditions édictées pour l’application de l’exception de la
relation dite « in house », de telle manière que toute commune associée peut lui confier
directement des prestations de services sans application de la loi sur les marchés publics ;
Considérant que le Secteur Valorisation et Propreté assure une gestion intégrée, multifilière et
durable des déchets, ce qui implique notamment dans son chef une maîtrise de la qualité des
déchets à la source via les collectes sélectives en porte-à-porte ;
Considérant qu’il y a nécessité de :
garantir un service de qualité auprès des producteurs de déchets,
exercer un véritable contrôle « qualité » des déchets à collecter,
augmenter les taux de captage des matières valorisables en ayant une meilleure maîtrise
des collectes avec pour objectif de sécuriser les filières de recyclage/valorisation et en
optimalisant les outils de traitement ;
Considérant qu’il y a lieu d’optimaliser le coût des collectes ;
117
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 18
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis favorable en date du 18 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
de confier à l’intercommunale le soin de lancer un nouveau marché de collecte des déchets
ménagers ;
de se réserver le droit de confier ou non l’organisation et la gestion des collectes au Secteur
Valorisation et Propreté en fonction de la nature et de la qualité des offres reçues, étant
entendu que l’accord donné par la commune sur le lancement de ce marché ne la lie pas
définitivement puisqu’en fonction des résultats de la procédure, elle sera libre d’adhérer ou
non au système de collecte qui lui sera proposé ;
de retenir le système « sac+sac » pour la collecte en porte-à-porte des déchets ménagers
(« matière organique » et « fraction résiduelle »)
OBJET A) 42. APÉROS KIOSQUE 2018 – PRISE EN CHARGE DES FRAIS DE
LOCATION DES TOILETTES CHIMIQUES – ACCORD.
LE CONSEIL
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 08 mai 2015 décidant notamment
de continuer à prendre en charge le coût de la location de toilettes chimiques une fois par an à
l’occasion de manifestations organisées pendant la fête principale de chaque entité de la
commune, sous réserve de l’accord du Conseil communal ;
Vu la demande introduite par courrier du 25 avril 2018 par laquelle le Comité des fêtes de
Virton sollicite la ville pour la mise à disposition de deux toilettes autonomes et d’un urinoir,
pour l’organisation de l’apéro kiosque du 01 juillet au 19 août 2018 inclus à Virton ;
Vu l’offre de mise en place du matériel de la sprl SOLOLUX, en date du 02 mai 2018 pour un
montant de 910,00 € HTVA, vidange incluse toutes les semaines ainsi que le transport, la
pose, l’enlèvement, le nettoyage, la désinfection des cabines ainsi que la mise à disposition de
trois rouleaux de papier toilette dans chaque cabine;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 23 mai 2018 décidant de marquer
son accord de principe pour la prise en charge du coût de la location de toilettes chimiques ;
Considérant que « l’Apéros kiosque » constitue le principal évènement organisé dans la
section de Virton ;
Considérant que l’année passée la ville avait répondu favorablement à cette demande ;
Considérant que la mise à disposition des toilettes est d’une utilité publique ;
Considérant que le Comité des Fêtes dispose d’une arrivée d’eau sous le kiosque ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
118
MARQUE SON ACCORD sur la prise en charge des frais inhérents à la location de deux
toilettes autonomes + un urinoir pour un montant total HTVA de 910 € auprès de la SPRL
SOLOLUX conformément à son offre du 02 mai 2018.
La dépense nécessaire sera engagée à l’article 7632/124-12 du budget ordinaire de l’exercice
2018.
La présente décision est transmise au département comptabilité pour engagement de la
dépense.
OBJET A) 43. MUSÉE GAUMAIS DE VIRTON ASBL – QUOTE-PART DE LA VILLE
DE VIRTON – ANNÉE 2018.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation et notamment les articles L
1222-30 et L 3331-1 et suivants ;
Vu la circulaire ministérielle du 30 mai 2013 relative à l’octroi des subventions par les
pouvoirs locaux ;
Vu sa délibération prise en date du 26 août 1982 marquant son accord sur le texte et sur
l’adhésion à la convention entre la Province de Luxembourg, le Musée Gaumais asbl et les
communes de l’Arrondissement de Virton ;
Vu le texte de la convention entre la Province de Luxembourg, les communes de
l’Arrondissement de Virton et le Musée Gaumais asbl à Virton ;
Vu la délibération de la Députation permanente du Conseil provincial prise en date du 29
décembre 1982 ;
Vu sa délibération prise en date du 07 juin 2013 relative à l’octroi de subventions et aux
obligations à charges des bénéficiaires ;
Vu la convention relative à la prise en charge d’une majoration de 58% de la subvention
annuelle du Musée gaumais asbl, signée en date du 13 novembre 2017 ;
Vu le courrier de Monsieur Jean – Marie YANTE, Président du Musée Gaumais asbl, reçu en
date du 24 janvier 2018 et demandant le versement de la quote-part communale ;
Vu la répartition des charges PROVINCE-COMMUNES dans la rémunération du personnel
des Musées Gaumais en 2018, à savoir pour la Ville de Virton 20.152,82 € ;
Vu le PV de l’Assemblée générale ordinaire du Musée gaumais qui s’est tenue le 17 mars
2018, et reçu en date du 27 avril 2018 ;
Vu les comptes de l’année 2017 approuvés par l’Assemblée générale ordinaire du 17 mars
2018, et reçu en date du 27 avril 2018 ;
119
Vu le budget prévisionnel 2017 approuvés par l’Assemblée générale ordinaire du 17 mars
2018, et reçu en date du 27 avril 2018 ;
Considérant la majoration fixée à 58 % inhérent à la Ville de Virton en tant que commune dite
privilégiée et officialisée par la convention du 13 novembre 2017 ;
Considérant que le montant total de la subvention 2018, majoration de 58% comprise, s’élève
dès lors à 31.841, 45 € ;
Considérant que le Musée gaumais asbl ne doit pas restituer une subvention reçue
précédemment ;
Considérant que la subvention est octroyée à des fins d’intérêt public, à savoir la conservation
et la mise en valeur du patrimoine culturel, artistique, historique, folklorique, ethnographique
de la Gaume, dans le but de le mettre à la disposition du public, et ce dans une optique de
démocratie et de démocratisation culturelle ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 20
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle– ci a transmis son avis en date du 22 juin 2018 ;
Considérant l’article 771/332-02 (Subside de fonctionnement Musées gaumais) du budget
ordinaire de l’exercice 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
Article 1 :
La Ville de Virton octroie une subvention totale de 31.841, 45 € au Musée gaumais asbl, ci-
après dénommé le bénéficiaire.
Article 2 :
Le bénéficiaire utilise la subvention pour ses frais de fonctionnement généraux.
Article 3:
Pour justifier l’utilisation de la subvention, le bénéficiaire produit les documents suivants,
pour le 1er
décembre 2018 au plus tard :
- Factures de frais de fonctionnement à hauteur de 31.841, 45 €.
Article 4:
La liquidation du montant total de la subvention intervient après réception des justifications
visées à l’article 3.
Article 5 :
120
La subvention est engagée sur l’article 771/332-02 (Subside de fonctionnement Musées
gaumais) du budget ordinaire de l’exercice 2018
Article 6 :
Le Collège communal est chargé de contrôler l’utilisation de la subvention faite par le
bénéficiaire.
Article 7 :
Une copie de la présente délibération est notifiée au bénéficiaire.
OBJET A) 44. EXPOSITION DE FIN D’ANNÉE DE L’ACADÉMIE DES BEAUX-ARTS
SECTION DE VIRTON – OCTROI D’UNE SUBVENTION EN NATURE
ET EN NUMÉRAIRE.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie et de la Décentralisation et notamment les articles L1222-30 et
L3331-1 et suivants ;
Vu la Convention entre la Ville d’Arlon (P.O.) et la Ville de Virton en date du 21 mai 2003
relative à l’organisation de l’antenne de Virton et notamment son point B « fonctionnement »,
alinéa B « Administration » ;
Considérant que lors de l’inscription, les élèves ont payé un montant de 50 € pour l’achat de
fournitures durant l’année ;
Vu la circulaire ministérielle du 30 mai 2013 relative à l’octroi des subventions par les
pouvoirs locaux ;
Vu sa délibération prise en date du 26 janvier 2007 concernant la mise à disposition des Caves
de l’Hôtel de Ville (règlement – redevances) ;
Vu sa délibération prise en date du 07 juin 2013 relative à l’octroi de subventions et
spécifiquement aux obligations à charge des bénéficiaires ;
Vu le courrier de Madame HENROT, Directrice f.f. de l’Académie des Beaux-Arts daté du 27
avril 2018 émettant les demandes suivantes :
- Mise à disposition gratuite des caves de l’Hôtel de Ville pour l’exposition annuelle des
élèves (enfants et adolescents) de l’Académie des Beaux-Arts de Virton les 2 et 3 juin
2018 et pour les adultes les 8, 9, 10, 13, 15, 16 et 17 juin 2018 ;
- Prise en charge des repas des membres du jury au restaurant à Virton le 8 juin (4 – 5
personnes) pour les adultes et assiettes froides pour les membres du jury (enfants) ;
- Prise en charge financière des vernissages le samedi 2 juin (enfants) et le vendredi 8
juin (adultes) ;
- Prise en charge de deux parutions dans le journal local Publivire (2 x 12 cases) ;
- Prise en charge de l’envoi des invitations aux vernissages au listing habituel ;
121
- Prise en charge d’une aide au transport par le service technique, des travaux d’élèves
le mardi 29 mai ;
Considérant le soutien de la Ville de Virton à l’Académie des Beaux-Arts de Virton ;
Considérant l’article 734/124-02 (Frais de fonctionnement - Académie des Beaux-Arts) du
budget ordinaire de l’exercice 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
MARQUE SON ACCORD :
- Pour la mise à disposition gratuite des caves de l’Hôtel de Ville pour l’exposition
annuelle des élèves (enfants et adolescents) de l’Académie des Beaux-Arts de Virton
les 2 et 3 juin 2018 et pour les adultes les 8, 9, 10, 13, 15, 16 et 17 juin 2018 ;
- Pour la prise en charge des repas des membres du jury au restaurant à Virton le 8 juin
(4 – 5 personnes) pour les adultes et assiettes froide pour les membres du jury
(enfants) ;
- Pour la prise en charge financière des vernissages le samedi 2 juin (enfants) et le
vendredi 8 juin (adultes) ;
- Sur la prise en charge de deux parutions dans le journal local Publivire (2 x 12 cases) ;
- Pour la prise en charge de l’envoi des invitations aux vernissages au listing habituel ;
- Pour la prise en charge d’une aide au transport par le service technique, des travaux
d’élèves le mardi 29 mai.
Ces dépenses seront engagées à l’article 734/124-02 du budget ordinaire de l’exercice 2018.
OBJET A) 45. ASBL CERCLE CULTUREL DE SAINT-MARD POUR
L’ORGANISATION DE L’EXPOSITION D’ARTISTES DU 24 AU
29 AOÛT 2018 – OCTROI D’UN SUBSIDE.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, notamment les articles L1122-
30 et L3331-1 et suivants ;
Vu la circulaire ministérielle du 30 mai 2013 relative à l’octroi des subventions par les
pouvoirs locaux ;
Vu sa délibération prise en date du 07 juin 2013 relative à l’octroi de subventions et
spécifiquement aux obligations à charge des bénéficiaires ;
Vu le courrier de Monsieur Jean-Marie VAN DE WOESTYNE reçu en date du 24 mai 2018
par lequel il sollicite auprès de la Ville de Virton un subside en numéraire ainsi que la création
122
graphique et l’impression des invitations au vernissage de l’exposition consacrée à cinq
artistes de la région ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 7 juin 2018 décidant de proposer
au Conseil communal d’octroyer une subvention en numéraire de 125 € ainsi que la
réalisation et la confection d’invitations en vue d’une exposition d’artistes de la région ;
Considérant que la subvention est octroyée à des fins d’intérêt public, à savoir une
manifestation traditionnelle et conviviale marquant les festivités de la fête locale de Saint-
Mard ;
Considérant que les invitations peuvent être imprimées à l’administration communale, environ
200 exemplaires ;
Considérant que l’asbl Cercle Culturel de Saint-Mard ne doit pas restituer une subvention
reçue précédemment ;
Considérant l'article 763/332-02 (subsides socio-culturels divers) du budget ordinaire de
l'exercice 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
Article 1 :
La Ville de Virton octroie une subvention de 125 euros à l’ASBL Cercle Culturel de Saint-
Mard, ci-après dénommé le bénéficiaire.
Article 2 :
Le Service Culturel se charge de la création graphique et de l’impression des invitations. Les
fichiers nécessaires seront remis au Service Culturel au plus tard le 1er
juillet 2018 ;
Article 3 :
Le bénéficiaire utilise la subvention pour l’organisation d’une exposition qui se tiendra du 24
au 29 août 2018, dans la salle de gymnastique de l’Ecole de la Communauté française de
Saint-Mard.
Article 4 :
Pour justifier l’utilisation de la subvention, le bénéficiaire produira les documents suivants :
factures d’achats liées à l’organisation de l’exposition.
Article 5 :
La subvention est engagée sur l’article 763/332-02 (Subsides socio-culturels divers) du budget
ordinaire de l’exercice 2018.
123
OBJET A) 46. ASBL MAISON DE JEUNES DE VIRTON – OCTROI D’UNE
SUBVENTION EN NUMÉRAIRE.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, et notamment les articles
L1122-30 et L3331-1 et suivants ;
Vu la circulaire ministérielle du 30 mai 2013 relative à l’octroi des subventions par les
pouvoirs locaux ;
Vu sa délibération prise en date du 07 juin 2013 concernant le règlement relatif à l’octroi de
subventions et aux obligations à charge des bénéficiaires ;
Vu le courrier reçu en date du 16 mai 2018 par lequel Madame Aurélie LAMBERT,
Animatrice/coordinatrice de l’ASBL « Maison de Jeunes de Virton » sollicite une subvention
exceptionnelle suite à l’organisation de la « Fête de la Musique » qui se tiendra le vendredi 22
juin 2018, sur l’Esplanade de l’Avenue Bouvier à Virton ;
Vu sa délibération prise en date du 24 juin 2016, octroyant un subside de 2.000 € (deux mille
euros) à ladite ASBL à l’occasion de la « Fête D’la Zik » ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 31 mai 2018 décidant de
proposer au Conseil communal d’octroyer à l’ASBL « Maison de jeunes de Virton » une
subvention exceptionnelle de 17.000 € ;
Considérant que la subvention est octroyée à des fins d’intérêt public, à savoir une
manifestation conviviale et familiale à l’attention de la population et plus particulièrement des
jeunes de la commune, et couvrir une partie des frais annuels de la Maison de Jeunes ;
Considérant que le but de l’association est de veiller au développement et à l’épanouissement
des jeunes ;
Considérant que l’asbl « Maison de Jeunes de Virton » ne doit pas restituer une subvention
reçue précédemment ;
Considérant l’article 7623/332-02 (Subsides Maison de Jeunes) du budget ordinaire de
l’exercice 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DÉCIDE :
Article 1 :
La Ville de Virton octroie une subvention de 17.000 euros à l’asbl « Maison de Jeunes de
Virton », ci-après dénommée le bénéficiaire.
Article 2 :
124
Le bénéficiaire utilise 2.000 euros pour l’organisation des Fêtes de la musique 2018.
Article 3 :
Le bénéficiaire utilise 15.000 euros pour couvrir les frais de gestion de l’asbl « Maison de
Jeunes »
Article 4 :
Pour justifier l’utilisation de la subvention, le bénéficiaire produira les documents suivants :
a) factures d’achats liées à l’organisation des Fêtes de la Musique 2018 à hauteur de
2.000 euros ;
b) factures d’achats couvrant les frais de fonctionnement annuels de l’asbl « Maison de
Jeunes » à hauteur de 15.000 euros ;
pour le 01 décembre 2018 au plus tard.
Article 5 :
La liquidation de la moitié de la subvention, soit 8.500 euros, est autorisée avant la réception
des justifications visées à l’article 4. Le solde de la subvention, soit 8.500 euros, sera liquidé
après réception des justifications visées à l’article 4. La liquidation du solde sera effectuée
avant le 31 décembre 2018. Dans le cas où les justificatifs présentés n’atteindraient pas la
somme de 17.000 euros, le subside restant sera liquidé à hauteur du montant total des
justificatifs présentés, déduction faite de 8.500 euros (1er
versement).
Article 6 :
Le Collège communal est chargé de contrôler l’utilisation de la subvention faite par le
bénéficiaire.
Article 7 :
La subvention est engagée sur l’article 7623/332-02 (Subsides Maison de Jeunes) du budget
ordinaire de l’exercice 2018.
OBJET A) 47. « OPÉRATION ÉTÉ JEUNESSE 2018 » - CONVENTIONS DE
PARTENARIAT.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, notamment l’article L1122-30 ;
Vu sa délibération prise en date du 30 mai 2018 ayant pour objet l’opération « Été
Jeunesse » ;
Vu les 3 conventions de partenariat soumises à la signature à savoir :
- celle à conclure avec le Dojo Shotokan Gaume,
- celle à conclure avec le Centre équestre Au Chabus,
125
- celle à conclure avec les Flèches Gaumaises ;
Considérant l’accord de principe sur l’organisation de l’opération « Été Jeunesse » édition
2018 avec la collaboration de divers clubs sportifs de la commune de Virton ;
Considérant que l’ASBL Les Flèches Gaumaises a son siège sociale situé rue de Mathon, 37 à
6767 Dampicourt et que la discipline (tir à l’arc sur cibles) aura lieu au Rox à Rouvroy ;
Considérant qu’exceptionnellement car cette discipline n’existe pas dans la commune, il y a
lieu de répondre favorablement à la demande de ladite ASBL ;
Entendu Monsieur l’Echevin ayant les sports dans ses attributions précisant que cela
n’engendre pas de coût financier à charge de la Ville hormis les quelques lignes dans la
publicité à réaliser ;
Sur proposition du Collège communal ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
MARQUE SON ACCORD sur le contenu des conventions de partenariat entre la Ville et les
clubs, à savoir :
- le Dojo Shotokan Gaume,
- Le Centre équestre Au Chabus,
- Les Flèches Gaumaises.
OBJET A) 48. AIVE – MISE EN ŒUVRE DE NOUVEAUX SERVICES EN MATIÈRE
D’AIDE À LA GESTION DES RÉSEAUX D’ÉGOUTTAGE –
CONVENTION DE SERVICE ENTRE LA VILLE DE VIRTON ET
L’AIVE.
LE COLLEGE,
Vu la nouvelle loi communale et plus particulièrement son article 135 ;
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation et plus particulièrement ses
articles L 1122-30 et L1321-1 ;
Vu les statuts de l’intercommunale AIVE ;
Attendu que la commune est associée à l’intercommunale AIVE ;
Vu le Code de l’Eau et notamment ses articles D343 et D344 prévoyant l’agréation
d’intercommunales en qualité d’organismes d’assainissement chargés notamment des
missions suivantes :
- contribuer à l'élaboration des programmes d'assainissement en exécution du plan de
gestion de bassin hydrographique et assurer le service d'assainissement;
- assurer la maîtrise de la conception, de la réalisation et de l'aménagement
126
- des ouvrages destinés à collecter et à épurer les eaux usées provenant des égouts
publics;
- gérer, exploiter et améliorer l'efficacité des installations assurant, dans le ressort
territorial de l'organisme, l'épuration des eaux usées collectées par les égouts publics;
- organiser avec les communes, qui se situent dans le ressort territorial de l’organisme,
une parfaite collaboration entre l’épuration et l’égouttage communal ;
Considérant la définition des « eaux usées » donnée à l’article D2 du code de l’Eau à savoir
les eaux polluées artificiellement en ce compris les eaux de ruissellement artificiel d’origine
pluviale ;
Vu la reconnaissance par la Région Wallonne de l’AIVE en qualité d’organisme
d’assainissement agréé ;
Vu la partie règlementaire du Code de l’Eau contenant le règlement général d'assainissement ;
Vu sa délibération prise en date du 17 juin 2010 décidant de conclure le contrat d’égouttage
relatif à son territoire communal avec l’intercommunale AIVE en sa qualité d’organisme
d’assainissement agréé ;
Considérant que l’AIVE a, au travers du suivi en exploitation de ses ouvrages d’épuration
mais aussi du suivi des dossiers d’investissement à la fois en épuration et en égouttage, acquis
de nombreuses compétences en ces matières ;
Vu la Directive européenne du 15 janvier 2014 relative à la passation des marchés publics et
notamment ses articles 11 et 12 ;
Considérant que les relations entre la commune et l’intercommunale AIVE respectent les
conditions fixées à l’article 12 susmentionné (exception « in house ») ;
Vu la circulaire du ministère de la Région wallonne du 16/07/2008 relative aux relations
contractuelles entre communes et intercommunales, en complément de la circulaire précitée,
établissant les conditions de désignation d’une intercommunale sans devoir recourir à la
législation sur les marchés publics ;
Vu la loi du 17 juin 2016 sur les marchés publics et plus particulièrement l’article 30 § 3
relatif au contrôle « in house » qui permet à un pouvoir adjudicateur qui n'exerce pas de
contrôle sur une personne morale régie par le droit privé ou le droit public au sens du
paragraphe 1er, de passer un marché public avec cette personne morale sans appliquer la
présente loi, lorsque toutes les conditions suivantes sont réunies :
1. le pouvoir adjudicateur exerce, conjointement avec d'autres pouvoirs adjudicateurs, un
contrôle sur la personne morale concernée, analogue à celui qu'ils exercent sur leurs
propres services ;
2. plus de 80 % des activités de cette personne morale sont exercées dans le cadre de
l'exécution des tâches qui lui sont confiées par les pouvoirs adjudicateurs qui la
contrôlent ou par d'autres personnes morales contrôlées par les mêmes pouvoirs
adjudicateurs ;
3. la personne morale contrôlée ne comporte pas de participation directe de capitaux privés
à l'exception des formes de participation de capitaux privés sans capacité de contrôle ou
127
de blocage requises par les dispositions législatives nationales, conformément aux
traités, qui ne permettent pas d'exercer une influence décisive sur la personne morale
contrôlée ;
Considérant que ces trois conditions sont en l’espèce rencontrées en ce qui concerne
l’intercommunale AIVE, dans la mesure où :
1. la Commune exerce un contrôle conjoint sur cette intercommunale au travers des
administrateurs désignés sous le quota communal lesquels disposent d’un quorum de
vote obligatoire pour l’adoption de toute décision par le Conseil d’administration,
2. l’intercommunale exerce plus de 80 % de ses activités dans le cadre de l’exécution des
tâches qui leur sont confiées par les pouvoirs adjudicateurs qui la contrôlent ;
3. l’intercommunale ne comporte pas de participation directe de capitaux privés ;
Considérant qu’en exécution des propositions de nouveaux services présentés lors de l’AG de
21 décembre 2016, le Conseil d’Administration de l’AIVE a, en juin dernier a marqué son
accord sur le principe de développer en province de Luxembourg une gestion préventive des
réseaux de collecte ;
Considérant que courant juillet 2017, toutes les communes de la Province ont été sollicitées
pour donner leur accord de principe pour participer à ce marché groupé visant à assurer
l’entretien et le curage préventif des réseaux d’égouttage.
Vu sa délibération prise en date du 29 mars 2018 décidant du principe d’adhérer au marché
groupé relatif à l’entretien annuel des réseaux d’égouttage proposé par l’AIVE ;
Considérant que la commune garde le choix, sur base des conclusions de cette analyse
approfondie, de confier ou non l’organisation et la gestion de l’entretien et du curage des
réseaux d’égouttage à l’AIVE ;
Considérant que lors de sa séance du 22 décembre 2017, le Conseil d’Administration de
l’AIVE a approuvé le cahier spécial des charges, l’estimation ainsi que le projet d’avis du
marché cadre relatif à l’entretien et au curage de réseaux d’égouttage communaux, au montant
annuel de 625.340,00 € hors TVA, soit 756.661,40 TVA à charge des Communes qui
souscriront à ce marché cadre, et a décidé de retenir comme mode de passation de marché, la
procédure ouverte avec publicité à l’échelle européenne ;
Considérant que le Cahier spécial des charges définit les conditions dans lesquelles les
curages et entretiens de réseaux d’égouttage pourront être confiés, pour une période
déterminée, à une ou plusieurs entreprises ;
Considérant que le marché envisagé comporte les principes suivants :
Le marché est divisé en trois lots géographiquement distincts, chacun des lots
pouvant être attribué individuellement ;
Le lot I reprend la zone nord de la Province et concerne 16 Communes :
Daverdisse, Durbuy, Gouvy, Hotton, Houffalize, La Roche, Libin, Marche ;
- Le lot II reprend la zone centre de la Province et concerne 11 Communes :
Attert, Bertrix, Bouillon, Florenville, Habay, Herbeumont, Léglise,
Libramont, Neufchâteau, Tintigny, Vaux-sur-Sûre pour un linéaire de 26 km
de réseau à curer ;
128
- Le lot III reprend la zone sud de la Province et concerne 9 Communes :
Arlon, Aubange, Etalle, Messancy, Meix-devant-Virton, Musson, Saint-Léger,
Rouvroy, Virton pour un linéaire de 32 km de réseau à curer ;
Sur chaque lot territorial et sur chaque sous-lot, cinq missions sont envisagées,
à savoir : le curage des canalisations, le nettoyage des avaloirs, le fraisage
d’éléments encombrants, la mise à niveau de trappillons et la vérification par
caméra de zoomage ou autotractée ;
Un seul opérateur sera désigné par lot pour l’ensemble des sous-lots et des
missions ;
Dans chaque lot et chaque sous-lot, pour chaque mission, le prix remis sera
déterminé pour chaque poste du métré ;
Le choix de l’adjudicataire par lot sera réalisé selon les critères d’attribution
qui ont été fixés ;
La durée du marché sera conclue pour une période de trois ans ;
Considérant que le marché a été publié à l’échelon européen le 15 janvier 2018 et le dépôt des
offres fixé au 23 février 2018 ;
Considérant que le Conseil d’administration a décidé d’attribuer le marché à la firme qui a
remis l’offre la plus intéressante et a chargé les services de rédiger, pour chaque Commune
qui a marqué un accord de principe, une offre personnalisée et actualisée sur base des prix
remis pour la zone géographique concernée ;
Considérant que sur base des conclusions de l’analyse approfondie, tant technique que
financière, des différentes offres reçues, l’AIVE propose à la commune de Virton de retenir
l’offre la plus intéressante à savoir celle déposée soit la SM RENOTEC – ROEFS, rue du Parc
Industriel, 54, B – 4300 WAREMME pour le montant des offres contrôlé de :
- Pour le lot 1 : 179.187,50 € hors TVA ou 216.816,88 €, TVA comprise (7,95 % de
moins que l’estimation) ;
- Pour le lot 2 : 178.777,44 € hors TVA ou 216.320,70 €, TVA comprise (8,45 % de
moins que l’estimation) ;
- Pour le lot 3 : 215.080,80 € hors TVA ou 260.246,90 €, TVA comprise (8,63 % de
moins que l’estimation) ;
- Soit pour les 3 lots : 573.045,02 € hors TVA ou 693.384,47 €, TVA comprise (8,36 %
de moins que l’estimation totale des 3 lots) ;
Considérant que pour la Commune de Virton le montant de l’offre personnalisée se chiffre à
39.519,64 € hors TVA ou 47.818,76 €, TVA comprise suivant le tableau repris en annexe de
la convention dont question ci-dessous ;
Vu la convention en annexe fixant les modalités de réalisation de ces missions ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 04
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis favorable en date du 07 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
129
1. de confier, à l’intercommunale, le soin d’organiser les opérations de curage et
d’entretien de son réseau d’égouttage suivant les conditions et les modalités qui ont
été arrêtées par le Conseil d’administration de I’ AIVE lors de la séance du 22
décembre 2017.
2. d’approuver la convention entre la Commune – Ville de Virton et l’AIVE qui fixe les
modalités d’exécution des missions confiées et les coûts qui y sont liés pour une
période de trois ans renouvelable.
3. d’approuver la rémunération de l’AIVE qui s’élève à 15% sur le montant total du
marché.
4. de financer cette dépense par l’inscription récurrente d’un crédit suffisant au budget à
l’ordinaire (article 877/124-06) et ce pour la durée de la convention.
OBJET A) 49. FOURNITURE ET POSE DE CLÔTURES EN VUE D’ASSURER LA
PROTECTION DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION D’EAU
POTABLE – CAPTAGE DU BONLIEU – APPROBATION DU CAHIER
DES CHARGES.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation et ses modifications ultérieures,
notamment l'article L1222-3 §1 relatif aux compétences du Conseil communal et les articles
L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ;
Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en
matière de marchés publics, de certains marchés de travaux, de fournitures et de services et de
concessions et ses modifications ultérieures ;
Vu la loi du 17 juin 2016 relative aux marchés publics, notamment l’article 42, § 1, 1° a (la
dépense à approuver HTVA n'atteint pas le seuil de 144.000,00 €) ;
Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés
publics et ses modifications ultérieures ;
Vu l'arrêté royal du 18 avril 2017 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs
classiques et ses modifications ultérieures, notamment l'article 90, 1° ;
Considérant le cahier des charges N° 2018-260 relatif au marché “Fourniture et pose de
clôtures en vue d'assurer la protection des installations de production d'eau potable - Captage
du Bonlieu” ;
Considérant que le montant estimé de ce marché s'élève à 24.793,39 € hors TVA ou
30.000,00 €, 21% TVA comprise ;
Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure négociée sans publication
préalable ;
130
Considérant que le crédit permettant cette dépense est inscrit à l’article 8740/723-60 numéro
de projet 20180047 du budget extraordinaire de l’exercice 2018 ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 25
mai 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis favorable en date du 29 mai 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
- d'approuver le cahier des charges N° 2018-260 et le montant estimé du marché
“Fourniture et pose de clôtures en vue d'assurer la protection des installations de
production d'eau potable - Captage du Bonlieu”. Les conditions sont fixées comme prévu
au cahier des charges et par les règles générales d'exécution des marchés publics. Le
montant estimé s'élève à 24.793,39 € hors TVA ou 30.000,00 €, 21% TVA comprise,
- de passer le marché par la procédure négociée sans publication préalable,
- de financer cette dépense par le crédit inscrit à l’article 8740/723-60 numéro de projet
20180047 du budget extraordinaire de l’exercice 2018.
OBJET A) 50. PIC 2017-2018 – POINT 4 – ENTRETIEN EXTRAORDINAIRE DE LA
RUE DES GRASSES OIES À VIRTON – APPROBATION DU CAHIER
DES CHARGES.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation et ses modifications ultérieures,
notamment l'article L1222-3 §1 relatif aux compétences du Conseil communal et les articles
L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ;
Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en
matière de marchés publics, de certains marchés de travaux, de fournitures et de services et de
concessions et ses modifications ultérieures ;
Vu la loi du 17 juin 2016 relative aux marchés publics, notamment l'article 36 ;
Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés
publics et ses modifications ultérieures ;
Vu l'arrêté royal du 18 avril 2017 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs
classiques et ses modifications ultérieures ;
Vu sa délibération prise en date du 10 février 2017 approuvant le Plan d’Investissement
Communal 2017-2018 détaillé comme suit et fixé par ordre de priorité :
Point 1 : Remplacement de l’ascenseur des Vatelottes à Virton – 165.165,00 € TVAC
Point 2 : Entretien extraordinaire de la rue de Buré à Saint-Rémy (hors distribution
d’eau) – 46.278,79 € TVAC
131
Point 3 : Modernisation de la rue des Combattants à Virton (hors distribution d’eau) –
493.068,35 € TVAC
Point 4 : Entretien extraordinaire de la rue des Grasses Oies à Virton – 296.390,45 €
TVAC
Point 5 : Entretien extraordinaire de la rue Baillet Latour à Latour – 52.773,45 €
TVAC
Point 6 : Entretien de la ruelle Othelet à Saint-Mard – 26.375,58 € TVAC
Point 7 : Entretien de la rue de Longuyon à Ruette – 239.844,99 € TVAC ;
Vu le projet établi par Madame Sarah GERMAIN, attachée spécifique à la Ville, auteur de
projet ;
Considérant que le montant estimé de ce marché s'élève à 281.472,88 € hors TVA ou
340.582,18 €, 21% TVA comprise ;
Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure ouverte ;
Considérant que le crédit permettant cette dépense est inscrit au budget extraordinaire de
l’exercice 2018, article 4212/731-60 (n° de projet 20180061) et que celui-ci sera augmenté
lors de la prochaine modification budgétaire ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 29
mai 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis réservé en date du 29 mai 2018,
lequel précise « qu’il est prévu d’augmenter le crédit budgétaire de 75.000,00 € en MB1 et
que la décision d’attribution du marché ne pourra intervenir que lorsque la MB1 sera
approuvé par l’autorité de tutelle et que les crédits seront donc exécutoires – concernant la
légalité du cahier des charges, l’avis est favorable » ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
- d'approuver le projet établi par Madame Sarah GERMAIN, attachée spécifique à la Ville,
auteur de projet relatif aux travaux d’entretien extraordinaire de la rue des Grasses Oies et
le montant du marché estimé à 281.472,88 € hors TVA ou 340.582,18 €, 21% TVA
comprise,
- d’accepter de prendre en charge le financement de la partie non subsidiée,
- d’approuver le plan de sécurité santé établi à cet effet,
- de passer le marché par la procédure ouverte,
- de fixer comme suit les conditions du marché: catégorie C et classe3,
- d’approuve l'avis de marché établi à cet effet,
- de financer cette dépense par le crédit inscrit au budget extraordinaire de l’exercice 2018,
article 4212/731-60 (n° de projet 20180061) lequel fera l'objet d'une prochaine
modification budgétaire.
La présente délibération ainsi que tous les documents annexes seront transmis au pouvoir
subsidiant dans les plus brefs délais.
132
OBJET A) 51. PIC 2017-2018 – POINTS 5 ET 6 – ENTRETIEN EXTRAORDINAIRE DE
VOIRIES : RUELLE OTHELET À SAINT-MARD ET RUE BAILLET
LATOUR 183 À LATOUR – APPROBATION DU CAHIER DES
CHARGES.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation et ses modifications ultérieures,
notamment l'article L1222-3 §1 relatif aux compétences du Conseil communal et les articles
L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ;
Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en
matière de marchés publics, de certains marchés de travaux, de fournitures et de services et de
concessions et ses modifications ultérieures ;
Vu la loi du 17 juin 2016 relative aux marchés publics, notamment l'article 36 ;
Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés
publics et ses modifications ultérieures ;
Vu l'arrêté royal du 18 avril 2017 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs
classiques et ses modifications ultérieures ;
Vu sa délibération prise en date du 10 février 2017 approuvant le Plan d’Investissement
Communal 2017-2018 détaillé comme suit et fixé par ordre de priorité :
Point 1 : Remplacement de l’ascenseur des Vatelottes à Virton – 165.165,00 € TVAC
Point 2 : Entretien extraordinaire de la rue de Buré à Saint-Rémy (hors distribution
d’eau) – 46.278,79 € TVAC
Point 3 : Modernisation de la rue des Combattants à Virton (hors distribution d’eau) –
493.068,35 € TVAC
Point 4 : Entretien extraordinaire de la rue des Grasses Oies à Virton – 296.390,45 €
TVAC
Point 5 : Entretien extraordinaire de la rue Baillet Latour à Latour – 52.773,45 €
TVAC
Point 6 : Entretien de la ruelle Othelet à Saint-Mard – 26.375,58 € TVAC
Point 7 : Entretien de la rue de Longuyon à Ruette – 239.844,99 € TVAC ;
Considérant qu’il a été décidé lors de la réunion plénière en date du 22 mai 2018, sur conseil
de Monsieur Pierre BOSSELER, attaché, Service Public de Wallonie, pouvoir subsidiant, de
réaliser conjointement les travaux de la rue Baillet Latour à Latour et la ruelle Othelet à
Saint-Mard ;
Considérant le cahier des charges relatif à ce marché établi par l’auteur de projet, Monsieur
Hervé BROCARD, Service Technique Provincial, Zoning du Magenot 6 à 6740 ETALLE ;
Considérant que le montant estimé de ce marché s'élève à 91.690,75 € hors TVA ou
110.945,81 €, 21% TVA comprise ;
Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure ouverte ;
133
Considérant qu'une partie des coûts est subsidiée par SPW - Département des Infrastructures
Subsidiées - Direction des voiries subsidiées, Boulevard du Nord à 5000 NAMUR ;
Considérant que le crédit permettant cette dépense est inscrit aux articles suivants :
- Ruelle Othelet : 42119/731-60 numéro de projet 20180065
- Rue Baillet Latour : 42129/731-60 numéro de projet 20180062 ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 04
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis son avis réservé en date du 05 juin
2018, conditionné comme suit « considérant que le montant estimé de ce marché est de
110.945,81 € TVAC et qu’actuellement ces deux projets sont scindés. Le crédit de l’article
42119/731-60 numéro de projet 20180065 est de 26.375,88 € et celui du numéro de projet
20180062 est de 60.000,00 €, ce qui donne un total de 86.375,58 €. Une réunion des deux
projets (réunis sous le projet 20180062) ainsi qu’une augmentation du crédit budgétaire est
prévue en MB1, avec un crédit total de 126.430,00 € (qui sera alors suffisant), cependant à ce
jour la MB1 n’est pas encore approuvée. Le marché ne pourra être attribué que lorsque les
crédits seront exécutoires. Je n’ai aucune remarque à formuler sur le csc.» ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
- d'approuver le cahier des charges et le montant estimé du marché “PIC 2017-2018 - Points
5 et 6 - Entretien extraordinaire de voiries: Ruelle Othelet à Saint-Mard et rue Baillet
Latour à Latour”, établis par l’auteur de projet, Service Technique Provincial, Zoning du
Magenot 6 à 6740 ETALLE. Les conditions sont fixées comme prévu au cahier des
charges et par les règles générales d'exécution des marchés publics. Le montant estimé
s'élève à 91.690,75 € hors TVA ou 110.945,81 €, 21% TVA comprise,
- de passer le marché par la procédure ouverte,
- d’approuver le plan de sécurité santé établi pour ce dossier,
- d’accepter de prendre en charge le financement de la partie non subsidiée,
- d’approuver l'avis de marché établi à cet effet,
- d’approuver les conditions du marché détaillées comme suit: catégorie C et classe 1,
- de financer cette dépense par le crédit inscrit aux articles suivants
- Ruelle Othelet : 42119/731-60 numéro de projet 20180065
- Rue Baillet Latour : 42129/731-60 numéro de projet 20180062
Une réunion de ces deux projets - réunis sous le projet numéro 20180062 - ainsi qu’une
augmentation du crédit budgétaire est prévue en MB1, avec un crédit total de 126.430,00
€.
La présente délibération ainsi que tous les documents annexes seront transmis au pouvoir
subsidiant dans les plus brefs délais.
OBJET A) 52. MISE EN ŒUVRE DE L’ÎLOT « SOCOLAIT » - PROPOSITION DE
CONVENTION D’ASSISTANCE À MAITRISE D’OUVRAGE (AMO)
PAR IDÉLUX « PROJETS PUBLICS ».
LE CONSEIL,
134
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, notamment l’article L1122-30 ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 28 avril 2016 décidant d’inviter
Messieurs Yves DEMEUSE et Jacques HANSEL, de la société IDELUX, à soumettre au
Collège communal un contrat afin de pouvoir leur confier la gestion du dossier du SAR
SOCOLAIT et de détailler celui-ci en qui concerne les objectifs à atteindre ;
Vu le courrier, en date du 02 août 2017, de Monsieur Jacques HANSEL, Directeur de
Département, et de Madame Caroline PINON, Chef de Projets, à IDELUX PROJETS
PUBLICS, lesquels transmettent une proposition de convention d’Assistance à Maîtrise
d’Ouvrage (AMO) suite à une réunion tenue le 14 juin 2017 au cours de laquelle une note de
cadrage a été présentée aux membres du collège ;
Considérant que le site SOCOLAIT a fait l’objet de la fiche-projet n° 3 de l’opération de
rénovation urbaine et que, en vue de mettre en œuvre cette fiche, la Ville a acquis les
entrepôts appartenant à la société ALLARD ;
Considérant également que, pour démolir les anciens entrepôts et hangars, assainir le site et le
réhabiliter, une demande de reconnaissance en tant que « SAR » a été introduite et a été
définitivement reconnue le 20 février 2009 ;
Considérant que les travaux de démolition et d’assainissement ont été exécutés sous le
contrôle de la Ville et que le site a été réaffecté en une vaste zone temporaire de stationnement
public ;
Considérant que la Ville souhaite réaménager et revaloriser cet endroit jouissant d’une
position centrale par rapport au centre-ville ;
Considérant également que la Ville a demandé à IDELUX PROJETS PUBLICS de réaliser
une note de cadrage afin de déterminer les pistes de valorisation de ce bien et souhaite
l’intervention d’IDELUX PROJETS PUBLICS pour l’accompagner dans les différentes
étapes nécessaires à la réalisation dudit projet depuis l’identification d’un programme de
reconversion jusqu’à la mise en œuvre de ce programme en faisant, le cas échéant, appel à des
partenaires privés ;
Considérant que l’objet général de la mission confiée à IDELUX PROJETS PUBLICS
consiste en une Assistance à la Maîtrise d’Ouvrage (AMO), pour l’étude approfondie des
potentialités du site, ce afin de déterminer le programme à mettre en œuvre sur celui-ci et, le
cas échéant, une préparation de la mise en exploitation ;
Considérant que cette mission d’assistance porte sur les aspects conceptuels, de faisabilité et
de suivi de la mise en œuvre sur les plans administratif, technique et financier, en ce compris
la recherche de subside ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 08 novembre 2017 marquant son
accord de principe sur le projet de convention et décidant de ne pas lever l’option de la
surveillance et de confier celle-ci à Madame Sarah GERMAIN, Attachée spécifique en notre
commune ;
135
Considérant qu’un montant de 50.000,00 € est prévu à l’article 12490/731-60 (projet
20180087) du budget extraordinaire de l’exercice 2018 ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 24
avril 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie
Locale et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis favorable en date du 08 mai
2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
APPROUVE la convention d’aménagement du site SOCOLAIT et les modalités d’exécution
de la mission confiée à IDELUX PROJETS PUBLICS comme suit : «
.1. Faisabilité du projet
2.1.1 Validation du programme et mise en site
- Définition et validation de la programmation par le Maître d’ouvrage. À ce stade, un
pré-programme a été énoncé par la Ville lors de la présentation de la note de
cadrage. Celui-ci consiste en du logement, une surface commerciale de moyenne
dimension, une salle de sport et un parking souterrain. Le programme sera confirmé
par la Ville en début de mission ;
- Identification des contraintes de la situation de fait ou de droit en lien avec le
programme confirmé par la Ville (affectations urbanistiques, périmètres opérationnels
- rénovation urbaine, développement rural… - périmètres environnementaux…) ;
- Élaboration d’un plan masse destiné à vérifier la faisabilité du programme validé par
le Maître d’ouvrage. Ce document qui prendra la forme d'un document de conviction
servira lors de la phase suivante, soit la phase de tests auprès d'opérateurs.
IDELUX Projets publics sous-traitera la réalisation du plan masse à un bureau extérieur qui
sera désigné conformément aux marchés publics.
2.1.2 Tests auprès d’opérateurs
- Sur base du plan masse élaboré lors de la phase précédente, objectivation des
besoins, de la demande et prises de contacts exploratoires avec des partenaires
privés potentiels en vue de valider la faisabilité du programme ayant préalablement
été défini et validé par la Ville.
2.1.3 Finalisation du plan de mise en site
- Présentation du plan masse aux administrations concernées par une éventuelle
subsidiation (par exemple SAR, rénovation et/ou revitalisation urbaine,…), les
éventuels partenaires, les futurs utilisateurs et/ou les exploitants ;
- Adaptation éventuelle du plan masse en fonction des conclusions des rencontres
avec les différents opérateurs et de l’évolution de programme qui en découlerait. Le
cas échéant, le plan masse pourra être traduit en CU2 de façon à préciser les
attentes de la Ville en matière de projet urbanistique sur ce site et de rassurer les
candidats promoteurs sur la possibilité d’obtenir un permis sur cette base.
136
2.1.4 Validation du type de montage opérationnel
- Réflexion sur les pistes de montage opérationnel, notamment concernant le
financement et/ou l’exploitation du projet ;
- Le cas échéant, examen de la problématique de gestion de l’équipement avec :
o établissement d’un compte d’exploitation prévisionnel ;
o proposition d’un modèle de gestion et du type de marché à mettre en œuvre pour
désigner un exploitant (facultatif).
2.2. Montage du projet Trois types de montage opérationnel peuvent être envisagés : montage d’un projet 100% privé, d’un projet communal ou d’un projet mixte privé-public.
2.2.1 Montage d’un projet 100% privé
Lancement d’un appel à partenaire. Celui-ci réalisera l’ensemble de l’investissement :
- Réalisation d’un CSC de vente ou de marché de promotion suivant le niveau
d’imposition fixé par la ville (procédure, intégration du programme souhaité par la
Ville, choix des critères d’attribution), préparation des documents nécessaires à la
validation du marché par le Conseil communal et rédaction du rapport d’analyse des
offres.
- Établissement d’une convention* (*La forme de la convention dépendra du type de
partenariat (vente conditionnée, marché de promotion,…). Cela pourrait donc être un
compromis de vente, une simple option d’achat,…entre la Ville et le promoteur
reprenant les engagements et les droits de chacune des parties.
- Suivi de l’exécution de la convention.
2.2.2 Montage d’une opération publique
Désignation d’un auteur de projet et/ou d’un bureau d’étude chargé de concevoir, puis de
mettre en œuvre le projet public :
- Après discussion avec le Maître d’ouvrage sur le mode de marché, rédaction du
cahier des charges relatif au marché de services pour la désignation d’un auteur de
projet et/ou bureau d’étude ;
- Rédaction de propositions de décision pour le Maître d’Ouvrage quant au mode de
marché choisi, à l’estimation du montant de celui-ci et au cahier des charges
proposé ;
- Suivi de la procédure de marché, rédaction du rapport d’attribution avec rédaction de
propositions de décisions pour la désignation de l’auteur de projet et/ou du bureau
d’étude par le Maître d’ouvrage
Accompagnement de l’auteur de projet choisi dans le cadre de sa mission de conception, en
apportant notamment son expérience et sa connaissance :
- de suivi d’exploitation de divers projets et donc, de l’importance d’éléments
conceptuels en termes de fonctionnement ultérieur ;
- de concepts novateurs et originaux ;
137
- des mécanismes de subvention et des contraintes que ceux-ci peuvent avoir sur la
conception d’un ouvrage (subsides plafonnés au m², non éligibilité de certains postes,
possibilité de récupérer la TVA, intervention de plusieurs pouvoirs subsidiants,…).
Contacts avec les pouvoirs subsidiants sur base du travail de l’auteur de projet et du budget
y relatif. Détermination des montants de subsides qui pourraient être octroyés pour le projet.
Gestion des demandes de subsides dont :
- l’organisation et le suivi des contacts avec les différents Cabinets et les
Administrations susceptibles d’intervenir financièrement,
- la préparation des propositions de lettres d’intervention auprès des autorités
politiques pour soutien des dossiers,
- l’accompagnement du travail des prestataires de services jusqu’aux stades
nécessaires à l’introduction des demandes de subsides,
- la préparation des dossiers nécessaires à l’obtention des engagements.
Préparation et introduction de l’ensemble des demandes d’autorisation nécessaires pour la construction des ouvrages. Préparation des budgets d’investissement et du plan de financement. Préparation et finalisation, pour compte du Maître d’ouvrage, des procédures de passation des marchés publics relatifs à toute autre prestation de services requise pour le bon aboutissement du projet (coordination sécurité santé, essais de sol, expertises spécifiques, surveillance chantier si IDELUX Projets publics n’a pas été désignée pour cette mission,…). Gestion, pour compte du Maître d’ouvrage des procédures de passation des marchés publics de travaux et de fournitures. Elaboration du calendrier de réalisation du projet. Le cas échéant, préparation des contrats d’exploitation (facultatif).
2.2.3 Montage d’un projet mixte privé-public
Pour le montage d’un projet mixte, soit un projet en partie privé et en partie publique (ex. : revitalisation urbaine), les étapes reprises aux points 2.2.1 « Montage d’un projet privé » et 2.2.2 « Montage d’une opération publique » seront d’application. 2.3. Mise en œuvre du projet
2.3.1. Mise en œuvre d’un projet privé
Dans ce cas de figure, le promoteur assurera à ses frais toutes les études, obtiendra les permis nécessaires et se chargera de la réalisation des travaux.
138
Si la commune le souhaite, IDELUX Projets publics pourra assurer le suivi des conventions établie entre le(s) partenaire(s) privé(s) et la Commune jusqu’à l’obtention des permis par le(s) partenaire(s) privé(s).
2.3.2 Mise en œuvre d’un projet communal
2.3.2.1 Dans le cadre de l’assistance à la maîtrise d’ouvrage proprement dite :
- Participation aux réunions de chantier quand il est question de problèmes
conceptuels ou budgétaires et ce, avec l’objectif de faire respecter le projet et les
financements approuvés par le Maître d’ouvrage.
- Gestion avec les pouvoirs subsidiants des problèmes liés à d’éventuelles
modifications ou travaux supplémentaires en cours de chantier.
- Tenue à jour des tableaux de suivi de l’investissement et de la trésorerie du projet.
- Tenue à jour du calendrier de réalisation.
- Préparation des différents dossiers de demande de liquidation des subsides obtenus
en veillant à ce que cette liquidation se fasse dans les délais les plus courts et en
devant justifier tout écart éventuel.
- Suivi de la préparation des différents documents de mise en exploitation technique
(Dossier d’Intervention Ultérieure (DIU), procédures de gestion des équipements,…).
- Gestion, si le Maître d’ouvrage le souhaite, des démarches de communication
relatives à la mise en service de l’équipement (conférence de presse,
inauguration,…) (facultatif).
2.4.2 Mise en œuvre d’un projet mixte privé-public
Pour la mise en œuvre d’un projet mixte, soit un projet en partie privé et en partie publique (ex. : revitalisation urbaine), les étapes reprises au point 2.3.2 « mise en œuvre d’un projet communal » seront d’application pour la partie publique du projet. Le promoteur assurera par contre toutes les études, obtiendra les permis nécessaires et se chargera de la réalisation des travaux de la partie privée du projet.
3 - Honoraires Les tâches ci-avant décrites d’IDELUX Projets publics seront rémunérées comme suit, conformément à la tarification des services d IDELUX Projets publics approuvée par l’assemblée générale du 22/12/2010 :
3.1. Pour la mission d’assistance à maîtrise d’ouvrage proprement dite (points 2.1. « Faisabilité du projet », 2.2. « Montage du projet » et 2.3.2.1. « Mise en œuvre d’un projet communal – dans le cadre de l’AMO ») Au taux horaire de 135 €/h HTVA indexé, établi sur base d’un time report, majoré d’1% du montant des subsides liquidés. L’indexation a lieu de manière annuelle sur base de l’indice des prix à la consommation, l’indice de départ étant celui de décembre 2010. A titre indicatif, le taux horaire actualisé en 2017 est de 149,02 € HTVA. Ce tarif comprend :
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les prestations de gestion du projet par le chef de projet en charge du dossier et par le management ; l’intervention ponctuelle de compétences généralistes en matière juridique, environnementale, urbanistique et comptable ; les frais de secrétariat ; les frais de reproduction dans le cadre d’un usage normal et les frais de déplacement dans le cadre d’une sollicitation normale pour ce type de mission, à l’exclusion de l’hébergement. Sur base du tarif horaire validé repris supra, la réalisation des deux premières étapes de la première phase (validation du programme et mise en site, tests auprès d’opérateurs) est estimée à environ 8 jours de prestation, soit à environ 10.000€ HTVA (hors mission d’auteur de projet, reprise ci-dessous). Cette estimation a été effectuée sur base de quantités estimées qui pourront être revues à la hausse ou à la baisse. Seules les prestations réellement effectuées seront facturées sur base trimestrielle. En l’état, la nature et le volume des prestations relatives aux deux dernières étapes de la première phase « faisabilité du projet – 2.1.3 et 2.1.4 », au « montage du projet – 2.2. » et à la « mise en œuvre du projet – 2.3. » ne peuvent être définies précisément. Celles-ci dépendront notamment du type de projet à mettre en œuvre (projet communal, projet privé ou projet mixte). Si la Ville le souhaite, après l’étape « 2.1.3. Tests auprès d’opérateur » IDELUX Projets publics pourra estimer la quantité de prestations à réaliser pour la suite de la mission. Dans le cadre de la phase 1 « Faisabilité du projet », IDELUX Projets publics sous-traitera la réalisation du plan masse à un bureau extérieur qui sera désigné conformément aux marchés publics. Cette mission d’auteur de projet est estimée, pour réaliser un CU2 en bonne et due forme (conformément à l’article D.IV.30 du CoDT), à maximum 30.000€ HTVA. Il pourrait être prévu de s’arrêter à une phase intermédiaire, soit à l’élaboration uniquement du plan masse. Cette mission intermédiaire de réalisation du plan masse (sans aller jusqu’au CU2) est estimée entre 15.000 et 20.000€ HTVA. Cette mission spécifique sera refacturée à la Ville de Virton, comme précisé au point 4. « Paiement des honoraires ». La mission éventuelle de suivi de réalisation du chantier sera précisée ultérieurement en fonction de l’évolution du dossier et du souhait du Maître d’ouvrage de faire appel ou non à la mission facultative de surveillance du chantier. Toute demande de prestations supplémentaires par rapport à la commande initiale pourra donner lieu au paiement d'honoraires supplémentaires. De telles prestations supplémentaires pourraient notamment résulter de modifications substantielles apportées au projet ou aux dossiers de demande de subsidiation en cours de mission ou d'une demande du Maître d'ouvrage, en fin de projet, de mener un complément de mission pour valoriser un solde de subvention qui ne serait pas consommé. Remarque : les tâches de préparation à la mise en gestion seront rémunérées au montant de 135 €/h indexé quelle que soit l’option choisie par ailleurs pour le reste de la mission. 4 - Paiement des honoraires
4.1. Pour la mission d’assistance à maîtrise d’ouvrage proprement dite (points 2.1.
« Faisabilité du projet », 2.2. « Montage du projet » et 2.3.2.1. « Mise en œuvre d’un
projet communal – dans le cadre de l’AMO »)
Tel que défini au point 3.1., IDELUX Projets publics établira des factures de manière
trimestrielle sur base du nombre d’heures prestées au cours de la période écoulée. En cas
de résiliation de la mission, la facture sera établie dans le mois de ladite résiliation.
140
Les honoraires correspondant à 1% des subsides obtenus seront dus au moment de la
liquidation desdits subsides sur le compte bancaire du Maître d’Ouvrage, ou à l’engagement
de ceux-ci si le Maître d’Ouvrage décidait de ne pas confier la mission de surveillance de
chantier à IDELUX Projets publics.
Dans le cadre de la phase 1 « Faisabilité du projet », les coûts relatifs à la mission du bureau
extérieur chargé de la réalisation du plan masse (ou du dossier de CU2) seront refacturés au
prix coûtant par IDELUX Projets publics à la Ville de Virton :
- Pour le plan masse : le montant correspondant à la réalisation du plan masse lors de
l’introduction de la facture trimestrielle qui suivra la remise du plan masse intégrant
les remarques éventuelles de la Ville de Virton ;
- En cas de réalisation du CU2 : le coût propre à la réalisation du CU2 lors de
l’introduction de la facture trimestrielle qui suivra la remise du dossier CU2 intégrant
les remarques éventuelles de la Ville de Virton.
5 - Mode de paiement
Les paiements seront effectués par virement sur le compte ouvert auprès de BELFIUS sous
le numéro IBAN BE04 0910 1889 5831 au nom d’IDELUX Projets publics
6 - Communication d’informations
Le Maître d’ouvrage s’engage à associer IDELUX Projets publics et/ou à citer le nom
d’IDELUX Projets publics dans le cadre de tout type de communication réalisé par ou à la
demande du Maître d’ouvrage et portant sur le projet pré-décrit.
7 - Résiliation de la mission
Le Maître d’ouvrage dispose de la faculté de résilier à tout moment la présente mission.
A cet effet, il notifiera sa décision par lettre recommandée à IDELUX Projets publics.
Si le Maître d’ouvrage fait usage de son droit de résiliation, il s’engage irrévocablement à
payer les prestations effectuées, estimées de commun accord (en ce compris la réalisation
du plan masse).
Si l’arrêt de la mission a lieu avant la liquidation des subsides, les honoraires correspondant à 1% des subsides obtenus tels que définis aux articles 3 « Honoraires » et 4 « Paiement des honoraires » seront dans cette hypothèse perçus sur le montant des subsides ayant fait au minimum l’objet d’un accord de principe. »
Une copie de la présente sera transmise à toutes fins utiles et nécessaires à IDELUX
PROJETS PUBLICS pour signature de la convention et restera jointe à celle-ci.
OBJET A) 53. APPEL À PROJETS VISANT À « AMÉLIORER LE CADRE DE VIE DES
CITOYENS ET AUGMENTER L’ATTRACTIVITÉ DES LIEUX DE
CENTRALITÉ DE NOS COMMUNES » - RUE DES REMPARTS DE
VIRTON – ACCORD DE PRINCIPE SUR L’AVANT-PROJET.
LE CONSEIL,
141
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, notamment l’article L1122-30 ;
Vu sa délibération prise en date du 1er
février 2018 décidant de proposer à madame Valérie
DE BUE, Ministre wallon des Pouvoirs Locaux, du Logement et des Infrastructures Sportives,
un dossier de candidature pour répondre à l’appel à projets visant à améliorer le cadre de vie
des citoyens et augmenter l’attractivité des lieux de centralité de nos communes pour la rue
des Remparts à Virton et acceptant de financer la part communale s’élevant à 67.555,88 euros
pour autant que ce projet soit retenu dans le cadre de cet appel à projets et soit subventionné à
hauteur de 150.000 euros ;
Vu le courrier du 20 mars 2018 annonçant que le dossier de candidature de la Ville de Virton
a été retenu dans le cadre de l’appel à projets susmentionné et que le montant maximal de la
subvention qui est octroyée est de 150.000 euros ;
Vu l’avant-projet transmis le 28 mai 2018 par le bureau Alinea Ter, Bertrand VAN
DROOGENBROEK, architecte, comportant les plans établis en 2006 et une estimation
revue ;
Considérant que cet avant-projet a été soumis à la DGO4, services de l’urbanisme à Arlon,
lors d’une réunion avec monsieur José Schwanen, en date du 14 mai 2018, en présence de
monsieur Falier, de la DGO1 direction des déplacements doux et des partenariats
communaux ;
Vu le rapport de réunion correspondant ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 7 juin 2018 ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 18
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis favorable en date du 18 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
MARQUE SON ACCORD sur l’avant-projet transmis par le bureau Alinea Ter, Bertrand
VAN DROOGENBROEK, architecte, comportant les plans établis en 2006 et une estimation
revue, pour un montant total TVA compris de 219.785,12 euros.
La dépense comprenant les honoraires, d’un montant de 265.000 euros, sera prévue au budget
extraordinaire de l’exercice 2018 lors de la prochaine modification budgétaire (article
42118/731-60 /20180111).
Le Conseil communal marque une suspension de séance de 00h15’ à 00h24’.
OBJET A) 54. COMPTE COMMUNAL – EXERCICE 2017.
Monsieur Jean RAULIN, Echevin des finances, présente en le commentant le compte 2017 de
la commune et répond ensuite aux questions posées. Il est ensuite procédé au vote.
142
LE CONSEIL,
Vu la Constitution, les articles 41 et 162 ;
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, les articles L1122-23, L1122-
26, L1122-30, et Première partie, livre III ;
Vu l’arrêté du Gouvernement wallon du 5 juillet 2007 portant le règlement général de la
comptabilité communale, en exécution de l’article L1315-1 du Code de la Démocratie locale
et de la Décentralisation ;
Vu les comptes établis par le Collège communal ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 14
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du code Locale et de la
Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis favorable en date du 14 juin 2018 ;
Considérant que conformément à l’article 74 du Règlement général de la Comptabilité
communale et après vérification, le Collège certifie que tous les actes relevant de sa
compétence ont été correctement portés aux comptes ;
Considérant que le Collège veillera au respect des formalités de publication prescrites par
l’article L1313-1 du Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation ;
Considérant que le Collège communal veillera également, en application de l’article L1122-
23, § 2, du Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, à la communication du
présent budget, dans les cinq jours de son adoption, aux organisations syndicales
représentatives ; ainsi qu’à l’organisation, sur demande desdites organisations syndicales et
avant la transmission des présents comptes aux autorités de tutelle, d’une séance
d’information présentant et expliquant les présents comptes ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
Article 1 :
D’approuver, comme suit, les comptes de l’exercice 2017 :
Bilan ACTIF PASSIF
121.454.576,76 121.454.576,76
Compte de résultats CHARGES (C) PRODUITS (P) RESULTAT (P-
C)
Résultat courant 18.546.596,83 22.551.516,88 4.004.920,05
Résultat d’exploitation (1) 21.634.312,65 26.374.585,60 4.740.272,95
Résultat exceptionnel (2) 1.683.165,77 2.760.163,83 1.076.998,06
Résultat de l’exercice
(1+2)
23.317.478,42 29.134.749,43 5.817.271,01
143
Ordinaire Extraordinaire
Droits constatés (1) 24.154.692,50 4.849.390,16
Non Valeurs (2) 149.149,16 0,00
Engagements (3) 19.333.221,57 11.537.698,29
Imputations (4) 19.115.682,04 3.486.826,72
Résultat budgétaire (1 – 2 –
3)
4.672.321,77 -6.688.308,13
Résultat comptable (1 – 2 –
4)
4.889.861,30 1.362.563,44
Article 2 :
De transmettre la présente délibération aux autorités de tutelle, au service des Finances et à la
Directrice financière.
Article 3 :
Le Conseil communal certifie que la formalité de l’avis de publication sera bien effectuée.
Cette délibération a été adoptée par 19 voix favorables, 0 voix négative et 0 abstention.
Ont voté positivement :
ROISEUX Bernadette, CHALON Etienne, FELLER Didier, WAUTHOZ Vincent, RAULIN
Jean, VAN DEN ENDE Annick, LACAVE Denis, LEGROS Philippe, GOBERT Sabine,
LEFEVRE Christian, BAILLOT Hugues, CLAUDOT Alain, GOFFIN Annie, GONRY Paul,
PRIGNON Cédric, ZANCHETTA Philippe, GRAISSE Martine, MULLENS Michel et CULOT
François.
OBJET A) 55. MODIFICATION BUDGÉTAIRE N°1 ORDINAIRE ET
EXTRAORDINAIRE 2018.
LE CONSEIL,
Vu la Constitution, les articles 41 et 162 ;
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, les articles L1122-23, L1122-
26, L1122-30, et Première partie, livre III ;
Vu l’arrêté du Gouvernement wallon du 5 juillet 2007 portant le règlement général de la
comptabilité communale, en exécution de l’article L1315-1 du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation ;
Vu le rapport favorable de la Commission visée à l’article 12 du Règlement général de la
Comptabilité communale) en date du 18 juin 2018 ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 18
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du code Locale et de la
Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis en date du 18 juin 2018 ;
144
Considérant que le Collège communal veillera au respect des formalités de publication
prescrites par l’article L1313-1 du Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation ;
Considérant que le Collège communal veillera, en application de l’article L1122-23, § 2, du
Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, à la communication des présentes
modifications budgétaires, dans les cinq jours de leur adoption, aux organisations syndicales
représentatives, ainsi qu’à l’organisation, sur demande desdites organisations syndicales et
avant la transmission des présentes modifications budgétaires aux autorités de tutelle, d’une
séance d’information présentant et expliquant les présentes modifications budgétaires ;
Vu sa délibération prise en date de ce jour relative à la reprise des voiries de Rabais pour
cause d’utilisé publique par la commune de Virton ;
Considérant qu’il y a lieu de prévoir un article budgétaire de dépense concernant la facture de
43.772 € pour le paiement de IDELUX et un article de recette concernant le paiement de
400.000 € effectué par IDELUX ;
Vu sa délibération prise en date de ce jour relative à la Vallée de Rabais et spécifiquement
l’accord sur la proposition de nouvelle convention avec IDELUX Projets Publics ;
Considérant qu’il y a lieu de prévoir une augmentation de 5.000 € afin que le crédit à l’article
124/747-60 soit de 35.000 € ;
Considérant qu’aucun crédit n’est prévu pour la libération des parts AIVE de l’exercice 2018
et que la tutelle préconise d’ajouter ce point dans la délibération du Conseil ;
Sur proposition du Collège communal ;
Après en avoir délibéré,
par 13 voix « oui », 5 voix « non » et 1 « abstention » sur 19 votants pour la modification
budgétaire ordinaire n°1 en ce compris les modifications apportées en séance,
par 11 voix « oui », 5 voix « non » et 3 « abstentions » sur 19 votants pour la modification
budgétaire extraordinaire n°1 en ce compris les modifications apportées en séance,
DECIDE :
Article 1 :
D’approuver, comme suit, les modifications budgétaires n° 1 de l’exercice 2018 :
Service ordinaire Service
extraordinaire
Recettes totales exercice proprement dit 20.895.522,30 21.954.752,80
Dépenses totales exercice proprement dit 20.881.164,99 17.498.820,80
Boni exercice proprement dit 14.357,31 4.455.932,00
145
Recettes exercices antérieurs 4.758.771,65 1.122.240,64
Dépenses exercices antérieurs 707.549,10 7.214.533,43
Boni / Mali exercices antérieurs 4.051.222,55 - 6.092.292,79
Prélèvements en recettes - 14.269.378,90
Prélèvements en dépenses 4.000.000,00 12.633.018,11
Recettes globales 25.654.293,95 37.346.372,34
Dépenses globales 25.588.714,09 37.346.372,34
Boni global 65.579,86 -
Article 2 :
En ce qui concerne la reprise des voiries de Rabais pour cause d’utilité publique par la
commune de Virton :
de prévoir un article budgétaire de dépense concernant la facture de 43.772 € pour le
paiement de IDELUX,
de prévoir un article de recette concernant le paiement de 400.000 € effectué par
IDELUX.
En ce qui concerne la Vallée de Rabais et spécifiquement l’accord sur la proposition de
nouvelle convention avec IDELUX Projets Publics, de prévoir une augmentation de 5.000 €
afin que le crédit à l’article 124/747-60 soit de 35.000 €.
Article 3 :
D’ajouter les écritures suivantes dans le cadre de la libération des parts AIVE de l’exercice
2018 :
Article 4 :
De transmettre la présente délibération aux autorités de tutelle, au Service des Finances et à la
Directrice Financière.
La modification budgétaire ordinaire n°1 en ce compris les modifications apportées en
séance a été adoptée par 13 voix favorables, 5 voix négatives et 1 abstention.
Ont voté positivement :
ROISEUX Bernadette, CHALON Etienne, FELLER Didier, WAUTHOZ Vincent, RAULIN
Jean, VAN DEN ENDE Annick, LACAVE Denis, BAILLOT Hugues, CLAUDOT Alain,
GONRY Paul, GRAISSE Martine, MULLENS Michel et CULOT François.
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Ont voté négativement :
LEGROS Philippe, GOBERT Sabine, LEFEVRE Christian, PRIGNON Cédric et
ZANCHETTA Philippe.
S’est abstenue :
GOFFIN Annie.
La modification budgétaire extraordinaire n°1 en ce compris les modifications apportées en
séance a été adoptée par 11 voix favorables, 5 voix négatives et 3 abstentions.
Ont voté positivement :
ROISEUX Bernadette, CHALON Etienne, FELLER Didier, WAUTHOZ Vincent, RAULIN
Jean, VAN DEN ENDE Annick, BAILLOT Hugues, CLAUDOT Alain, GONRY Paul,
GRAISSE Martine et CULOT François.
Ont voté négativement :
LEGROS Philippe, GOBERT Sabine, LEFEVRE Christian, PRIGNON Cédric et
ZANCHETTA Philippe.
Se sont abstenus :
LACAVE Denis, GOFFIN Annie et MULLENS Michel.
OBJET A) 56. FABRIQUE D’ÉGLISE DE BLEID – GOMERY : OCTROI D’UN
SUBSIDE EXTRAORDINAIRE.
LE CONSEIL,
Vu la Constitution, les articles 41 et 162 ;
Vu la loi spéciale de réformes institutionnelles du 8 août 1980, l’article 6, §1er, VIII, 6 ;
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation ;
Vu le décret impérial du 30 décembre 1809 concernant les Fabriques des églises ;
Vu la loi du 4 mars 1870 sur le temporel des cultes, telle que modifiée par le décret du 13
mars 2014 ;
Vu le budget de la fabrique d’église de Bleid-Gomery, pour l’exercice 2017, voté en séance
du 08 août 2016 par le conseil de fabrique ;
Considérant que les dernières pièces justificatives ont été déposées en date du 05 décembre
2016 et que dès lors le dossier est complet ;
Vu la décision du 30 août 2016 réceptionnée en date du 02 septembre 2016, par laquelle
l’organe représentatif du culte approuve l’acte du 08 août 2016 susvisé sous réserve des
modifications y apportées : récapitulatif dépenses 2.321 € ;
147
Vu sa délibération prise en date du 28 décembre 2016 approuve le budget 2017 de la fabrique
d’église de Bleid-Gomery ; sous réserve des réformations effectuées : récapitulatif dépenses
2.321 € ;
Considérant que le budget 2017 de la fabrique d’église de Bleid-Gomery comporte une
intervention communale extraordinaire de secours de € 20.000 pour le remplacement de 6
vitraux de l’église et des verres de protection de ces vitraux ;
Considérant que la fabrique d’église de Bleid-Gomery ne doit pas restituer une subvention
reçue précédemment ;
Considérant que la dépense sera imputée à l’article 7908/633-51/2017 du projet 2017 0082
intitulé « Subside Extra Fabrique d’Eglise Bleid-Gomery » du budget extraordinaire de
l’exercice 2018 où 20.000 € sont prévus ;
Considérant que le crédit inscrit au budget 2017 (et reporté au budget 2018) a été calculé sur
base de la première estimation telle qu’elle figure au budget de la fabrique d’église de Bleid-
Gomery ;
Considérant que le montant du subside est plafonné à € 20.000 ;
Considérant que la fabrique d’église de Bleid-Gomery a consulté 3 sociétés qui ont remis une
offre pour le remplacement des vitraux ;
Considérant que la fabrique d’église de Bleid-Gomery a retenu après analyse comparative
l’offre meilleur marché de l’Atelier-Vitrail de Dominique Henry, associé à la Vitrerie Fox,
pour un montant total TVAC de € 27.116,10 ;
Considérant que la fabrique d’église de Bleid-Gomery nous a fait parvenir 2 factures totalisant
20.000 € TVAC ;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 14
juin 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis en date du 14 juin 2018 ;
Sur proposition du Collège ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
Article 1 :
La commune octroie une subvention extraordinaire de € 20.000 à la fabrique d’église de
Bleid-Gomery, ci après nommé le bénéficiaire.
Article 2 :
Le bénéficiaire utilise la subvention pour les travaux de remplacement de 6 vitraux de l’église
et des verres de protection de ces vitraux.
148
Article 3 :
Pour justifier l’utilisation de la subvention, le bénéficiaire produit copie des factures relatives
à ces travaux.
Article 4 :
La subvention est engagée sur l’article 7908/633-51/2017 du projet 2017 0082 intitulé
« Subside Extra Fabrique d’Eglise Bleid-Gomery » du budget extraordinaire de l’exercice où
20.000 € sont prévus.
Article 5 :
La liquidation de la subvention intervient après réception des justificatifs visés à l’article 3.
Article 6 :
Le Collège communal est chargé de contrôler l’utilisation de la subvention faite par le
bénéficiaire.
OBJET A) 57. ÉCOLE COMMUNALE DE BLEID – ACQUISITION D’UN CONTAINER
MODULAIRE PRÉFABRIQUÉ NEUF OU D’OCCASION –
APPROBATION DU CAHIER DES CHARGES.
LE CONSEIL,
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation et ses modifications ultérieures,
notamment l'article L1222-3 §1 relatif aux compétences du Conseil communal et les articles
L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ;
Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en
matière de marchés publics, de certains marchés de travaux, de fournitures et de services et de
concessions et ses modifications ultérieures ;
Vu la loi du 17 juin 2016 relative aux marchés publics, notamment l’article 42, § 1, 1° a (la
dépense à approuver HTVA n'atteint pas le seuil de 144.000,00 €) ;
Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés
publics et ses modifications ultérieures ;
Vu l'arrêté royal du 18 avril 2017 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs
classiques et ses modifications ultérieures, notamment l'article 90, 1° ;
Considérant qu’afin de répondre au nombre croissant d’élèves fréquentant l’école communale
de Bleid, il est indispensable d’acquérir un container modulaire préfabriqué neuf ou
d’occasion ;
Considérant le cahier des charges N° 2018-252 relatif au marché “Ecole communale de Bleid
- Acquisition d'un container modulaire préfabriqué neuf ou d'occasion” établi par le Service
Travaux - Etude des Marchés ;
149
Considérant que le montant estimé de ce marché s'élève à 34.710,74 € hors TVA ou
42.000,00 €, 21% TVA comprise ;
Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure négociée sans publication
préalable ;
Considérant que le crédit permettant cette dépense est inscrit au budget extraordinaire de
l’exercice 2018, à l’article 7220/712/52 – projet 20180057;
Considérant que le dossier complet a été communiqué à la Directrice financière en date du 30
mai 2018 conformément à l’article L-1124-40, §1er
, 3° et 4° du Code de la Démocratie Locale
et de la Décentralisation et que celle-ci a transmis son avis favorable en date du 01 juin 2018 ;
Vu la délibération prise par le Collège Communal en date du 07 juin 2018 ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
DECIDE :
- d'approuver le cahier des charges N° 2018-252 et le montant estimé du marché “Ecole
communale de Bleid - Acquisition d'un container modulaire préfabriqué neuf ou
d'occasion”, établis par le Service Travaux - Etude des Marchés. Les conditions sont
fixées comme prévu au cahier des charges et par les règles générales d'exécution des
marchés publics. Le montant estimé s'élève à 34.710,74 € hors TVA ou 42.000,00 €,
21% TVA comprise,
- de passer le marché par la procédure négociée sans publication préalable,
- de financer cette dépense par le crédit inscrit au budget extraordinaire de l’exercice
2018, à l’article 7220/712/52 – projet 20180057.
OBJET A) 58. INFORIUS – CONTRAT DE MAINTENANCE.
LE CONSEIL,
Vu le règlement européen relatif à la protection des personnes physiques à l'égard du
traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données du 27
avril 2016 qui est entré en vigueur le 25 mai 2018;
Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation et plus particulièrement l'article
L1122-30 ;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 27 décembre 2017 marquant son
accord pour transférer le contrat de maintenance eCourrier de CIVADIS à INFORIUS ;
Vu le projet de contrat de maintenance « eCourrier et délibé » proposé par INFORIUS;
Considérant que ce projet de contrat ne mentionnait pas le respect du règlement général sur la
protection des données;
150
Vu le courriel du 24 mai 2018 par lequel Madame PETIT de chez INFORIUS, transmet le
contrat modifié et indique qu'un point "protection des données à caractère privé" y a été
ajouté;
Vu le "contrat de maintenance: eCourrier et délibé" transmis par INFORIUS;
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 07 juin 2018 marquant son
accord sur le contrat de maintenance proposé par la société INFORIUS et la mise en
conformité du contrat par rapport au règlement général sur la protection des données et décide
de soumettre le contrat proposé par INFORIUS à l'approbation du Conseil communal lors de
sa prochaine séance;
Entendu Monsieur le Bourgmestre ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
MARQUE SON ACCORD sur le contrat de maintenance proposé par la société INFORIUS
contenant notamment une clause relative à la protection des données à caractère privé suite à
l’entrée en vigueur du Règlement Général sur la Protection des Données.
OBJET A) 59. PLAN DE COHÉSION SOCIALE 2014-2019 – APPROBATION :
ÉVALUATION DU PCS 2014-2019 : GESTION DU PLAN ET
IMPACTS.
LE CONSEIL,
Vu la délibération prise par le Collège communal en date du 14 juin 2018 approuvant les
différents rapports d’évaluation du Plan de Cohésion Sociale 2014-2019 :
- Evaluation du PCS 2014-2019 – Gestion du Plan et impacts,
- Evaluation du PCS 2014-2019 – Virton – Formulaire 1 sur 2,
- Evaluation du PCS 2014-2019 – Virton – Formulaire 2 sur 2 ;
Considérant que l’ensemble des rapports d’évaluation ont été validés par la Commission
d’accompagnement PCS ;
Après en avoir délibéré, UNANIME,
APROUVE les différents rapports d’évaluation du Plan de Cohésion Sociale 2014-2019 à
savoir :
- Evaluation du PCS 2014-2019 – Gestion du Plan et impacts,
- Evaluation du PCS 2014-2019 – Virton – Formulaire 1 sur 2,
- Evaluation du PCS 2014-2019 – Virton – Formulaire 2 sur 2.
Monsieur le Président déclare que les points suivants concernent les divers et
communications. Compte tenu du fait que lesdits points repris à l’ordre du jour sous les
151
numéros A)60, c'est-à-dire : « Divers et communications – Ordonnances de police et/ou
arrêtés de police pris d’urgence par le bourgmestre. », et A)61, c'est-à-dire : « Divers et
communications - Mise à disposition d’un local situé au premier étage des dominos à l'asbl «
4 minutes pour la vie » - Précision à apporter. », n’ont pas été soumis au vote, il convient de
réexaminer ces points à la prochaine séance du Conseil communal et donc de les porter à
l’ordre du jour de la prochaine séance du Conseil communal.
Avant d’aborder le huis-clos, Madame Sabine GOBERT, Conseillère communale, demande
comment contrôler à l’entrée de la piscine si une personne est ou non de Virton. Monsieur
Didier FELLER, Echevin, déclare que la remarque a été faite plusieurs fois, et que pourtant
c’est dans l’intérêt de l’exploitant. Celui-ci déclare que chacun a un rôle au niveau du comité
de secteur pour faire des contrôles (vérification de la température, nombre d’entrées, les
écoles…). Monsieur le Président déclare qu’une évaluation est à faire dans 3 mois et qu’il y a
lieu de laisser une période d’adaptation.
Madame Annie GOFFIN, Conseillère communale, indique que les commerçants demandent
s’il est possible d’envisager le changement d’un haut parleur qui ne diffuse pas de la
musique. Il est répondu que la demande est à introduire auprès du syndicat d’initiative.
Madame GOFFIN indique qu’à la Rue des Fossés, il y a un miroir « opaque ».
Madame GOFFIN informe avoir lu dans le journal que Meix avait obtenu 200.000 € pour une
maison médicale avec un logement tremplin et déclare : « à Virton, on est passé à côté ».
Monsieur WAUTHOZ, Echevin, déclare qu’il n’y a pas de demande de médecins. Monsieur
CLAUDOT, Conseiller communal, déclare que tous les projets ont été abandonnés à la
demande des médecins.
Monsieur GONRY, Conseiller communal, demande jusqu’à quand le kiosque de Saint-Mard
sera fermé car c’est la période des vacances. Monsieur le Président répond : « jusqu’à la
disparition des belges du mondial » et précise qu’il y a une convention écrite entre les
organisateurs des apéros kiosque et les jeunes. La Zone de Secours a refusé que les deux
activités se déroulent ensemble car en cas d’attentat ou de catastrophe, ce serait ingérable. Si
les deux activités n’ont pas lieu le même jour, cela ne pose pas de problème.
Monsieur GONRY, Conseiller communal, déclare que la Croix-Rouge a demandé à titre
précaire cinq emplacements sur le parking Socolait et elle n’a pas eu de réponse. Monsieur
WAUTHOZ, Echevin, déclare qu’ils ont reçu une réponse claire : « non », et qu’ils peuvent
occuper le parking derrière n’importe où.
Monsieur GONRY déclare que la Croix Rouge est un service. La Croix Rouge a fait cette
demande pour que les véhicules soient stationnés « ensemble » et qu’ils soient proches.
Monsieur ZANCHETTA, Conseiller communal, déclare avoir lu dans un procès-verbal de
Collège que, concernant les matchs de football, la police avait émis une recommandation à
152
savoir que l’activité se déroule au complexe plutôt qu’au kiosque. Monsieur le Président
répond que la police a marqué son accord quand à l’activité au kiosque.
Il est indiqué que l’emplacement des toilettes devant l’église n’est pas très esthétique.
La séance est ensuite levée à 01h54’ sans qu’aucune remarque ou observation n’ait été
formulée sur le procès-verbal de l’assemblée du 04 juin 2018, lequel est en conséquence
approuvé.
La Secrétaire de séance, Le Président,
M. MODAVE F. CULOT