51
ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE ÉDITION 2018 – VERSION COMPLÈTE 1 ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

  • Upload
    others

  • View
    2

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE

ÉDITION 2018 – VERSION COMPLÈTE

1ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE

Page 2: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Objectif de l’étude

| 2

9ÈME ENQUÊTE RÉALISÉE À L’INITIATIVE DU LEEM

Etat des lieux de la recherche menée en France entre 2016 et 2017 par les entreprises du médicament

Suivre et évaluer la position de la France au sein de la compétition mondiale

Identifier les points forts et les points faibles, afin de proposer des axes de progrès.

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE

Page 3: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Méthodologie de l’étude

| 3

ANALYSE DE CLINICALTRIALS.GOV

Etudes interventionnelles

Sur le médicament

Financement industrielou mixte ou académique

Date d’inclusion du 1er patient dansl’essai entre 2015 et 2017

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE

ENQUÊTE MENÉE AUPRÈS DES ENTREPRISES DU MÉDICAMENT

Etudes interventionnelles (475 essais analysés)

Etudes observationnelles (178 études analysées)

Date d’inclusion du 1er patient(ou 1ère analyse) en France entre 2016 et 2017

Page 4: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

1.

ANALYSE DE LA BASE DE DONNÉES CLINICALTRIALS.GOV

COMPARAISON INTERNATIONALE

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE CLINICALTRIALS.GOV | 4

Page 5: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Périmètre de l’analyse

REGROUPEMENTS GÉOGRAPHIQUES

Afrique: Arabie Saoudite, Egypte, Emirats Arabes Unis, Israël, Jordanie, Liban, Tunisie, Turquie

Amérique du nord: Canada, Etats-Unis

Amérique du sud: Argentine, Brésil, Chili, Colombie, Costa Rica, Equateur, Guatemala, Honduras, Mexique, Panama, Pérou, Porto Rico, République Dominicaine, Venezuela

Asie: Chine, Corée du Sud, Hong Kong, Inde, Japon, Malaisie, Philippines, Singapour, Taiwan, Thaïlande

Australasie: Afrique du Sud, Australie, Nouvelle-Zélande

Europe: Allemagne, Autriche, Belgique, Biélorussie, Bosnie Herzégovine, Bulgarie, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Géorgie, Grèce, Hongrie, Irlande, Islande, Italie, Lettonie, Lituanie, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Roumanie, Royaume Uni, Russie, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse, Ukraine.

| 5ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE CLINICALTRIALS.GOV

Page 6: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

DANS LE MONDE

7 964 nouveaux essais prévoyant d’inclure 1 900 000 patients 47% impliquent les industriels (financement exclusif ou mixte) 38% des essais industriels ont une participation européenne

EN FRANCE

555 nouveaux essais 66% impliquent les industriels (financement exclusif ou mixte)

La recherche clinique sur le médicament en 2017

| 6ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE CLINICALTRIALS.GOV

Participation des grandes aires géographiques aux essais industriels initiés en 2017 (n= 2 636)

Page 7: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

| 7

Un tiers des essais cliniques industrielssont initiés exclusivement en Amérique du Nord

34%

15% 15%

2% 1% 1%

0%

5%

10%

15%

20%

25%

30%

35%

40%

USA/Canada Europe Asie AustraIasie Afrique Amérique Iatine

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE CLINICALTRIALS.GOV

Part des essais industriels initiés exclusivement dans une grande aire géographique entre 2015 et 2017 (n=8327)

Page 8: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

La France se positionne au 4ème rang européen en terme de participation

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE CLINICALTRIALS.GOV | 8

stabilité entre 2015-2017Gain entre 2015-2017Recul entre 2015-2017

Participation des pays européens aux essais industriels initiés dans le Mondeentre 2015 et 2017 (n= 8 390)

Page 9: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

| 9

Evolution de la participation des pays EU5 aux essais industrielsinitiés dans le Monde entre 2015 et 2017 (n= 8 390)

En complément, le nombre d’essais cliniques initiés en France a diminué en moyenne de -13% par an entre 2015 et 2017 (versus -6,5% pour l’Allemagne)

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE CLINICALTRIALS.GOV

Depuis 2015, la participation de la France aux nouveaux essais cliniques initiés dans le Mondea diminué

Page 10: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

La part de la France est limitée dans les essaisindustriels internationaux de phases 1 et 2

| 10

Phase 1 n=3518 (43%) Phase 2 n=2137 (26%)

Participation des pays aux essais industriels initiés dans le Monde entre 2015 et 2017en fonction des phases

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE CLINICALTRIALS.GOV

Page 11: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

La France participe à près d’un quart des essais industriels internationaux de phase 3

| 11

Phase 3 n=1981 Phase 4 n=500

Phase 3 n=1981 (24%) Phase 4 n=500 (6%)

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE CLINICALTRIALS.GOV

Participation des pays aux essais industriels initiés dans le Monde entre 2015 et 2017en fonction des phases

Page 12: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

| 12

La part des essais de phases 1 et 2 reste faibleen France

Evolution de la répartition du nombre d’essais industriels en fonction des phases (2015-2017)

Monde France

Parmi les essais impliquant la France, 49% sont des essais de phases 1 et 2(versus 72% dans le monde)

N =2 861 N =2 748 N =2 600 N =415 N =334 N =312

42% 42% 45%

25% 27% 27%

26% 24% 23%7% 7% 5%

0%

20%

40%

60%

80%

100%

2015 2016 2017

Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4

18% 22% 19%

27%31% 30%

50% 41% 48%

5% 6% 3%

0%

20%

40%

60%

80%

100%

2015 2016 2017

Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE CLINICALTRIALS.GOV – ESSAIS FINANCÉS EXCLUSIVEMENT PAR LES INDUSTRIELS

Page 13: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Les pays de l’Est participent majoritairementà des essais de phase 3

| 13

N =1 428

26%31%

19% 20%12%

25%

6%

25%

5%16%

5%9%

3%

28%

28%

29% 28%

30%

26%

31%

29%

23%

27%

23%

26%

25%

42%37%

48% 47%53%

46%

59%

42%

67%

53%

68%61%

70%

5% 4% 5% 5% 6% 3% 4% 4% 5% 5% 5% 4% 2%

0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

70%

80%

90%

100%

Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4

N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Répartition du nombre d’essais industriels en fonction des phases (2015-2017)

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE CLINICALTRIALS.GOV – ESSAIS FINANCÉS EXCLUSIVEMENT PAR LES INDUSTRIELS

Page 14: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

04/12/2018ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE INTERNATIONALE - SOURCE CLINICALTRIALS.GOV | 14

19,4%

59,2%

15,4%11,9% 12,6%

16,8% 16,7%

22,7%

9,0%12,6%

5,7%

17,6%

3,5%

8,7%

3,2%

11,0%

4,0%

0,0%

10,0%

20,0%

30,0%

40,0%

50,0%

60,0%

70,0%

N=2026

Participation des pays aux essais cliniques en oncologie sur la période 2015-2017 (%)

En oncologie, la France participe à près d’un essai sur cinq initiés dans le monde

Page 15: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

| 15

0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

phase 1 phase 2 phase 3 phase 4

Participation de la France aux essais cliniques en oncologie (%)

En oncologie, la France participe à près de la moitié des essais de phase 3 initiés dans le monde

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE CLINICALTRIALS.GOV – ESSAIS FINANCÉS EXCLUSIVEMENT PAR LES INDUSTRIELS

Page 16: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

| 16

En France, l’oncologie est le domaineprédominant de la recherche clinique

Parmi les essais industriels auxquels la France participe, 45% concernent l’oncologie (versus 25% en Europe)

Répartition des essais industriels initiés en 2017 en fonction des aires thérapeutiques

FranceEurope

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE CLINICALTRIALS.GOV

Page 17: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

2.

ENQUÊTE MENÉE AUPRÈS DES ENTREPRISES DU MÉDICAMENT

ÉTUDES INTERVENTIONNELLES INITIÉES EN FRANCE ENTRE 2016 ET 2017

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE | 17

Page 18: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Description de l’échantillon

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 18

28 LABORATOIRES PARTICIPANTS

59,4% du chiffre d’affaire de l’industrie pharmaceutique Abbvie, Amgen, AstraZenzca, Astellas, Bayer, Biogen, Boeringher-

Ingelheim, BMS, Celgene, Chiesi, Daiichi-Sankyo, Pierre Fabre, Gilead, GSK, Incyte, Janssen, Lilly, Merck, MSD, Novartis, Novonordisk, Pfizer, Roche, Sanofi, Servier, Takeda, UCB

475 ESSAIS CLINIQUES ANALYSÉS (2016 ET 2017)

73% des essais cliniques industriels renseignés dans clinicaltrials.gov

Répartition des essais cliniques par laboratoire

Page 19: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 19

*N<13: congenital, familial and genetic disorders; endocrine disorders; eye disorders; hematologic disorders; immune system disorders; injury, poisoning and procedural complications; investigations; psychiatric disorders; renal and urinary disorders; reproductive system and breast disorders; rheumatoid arthritis and related; solid organ transplant rejection; surgical and medical procedures; vascular disorders

43%

17%

6%

6%

6%

5%

4%

3%

3%3% 3%

Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris les kysteset les polypes) et troubles du système lymphatique

Autres*

Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux

Troubles du système nerveux

Troubles du métabolisme et de la nutrition

Infections et infestations

Troubles gastrointestinaux

Troubles hépatobiliaires

Troubles de la peau et des tissues sous-cutanés

Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif

Troubles cardiaques

Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés

L’oncologie concerne près de 43% des essais cliniques analysés

Page 20: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

14% des essais analysés concernent les maladies rares et 6,3% sont dédiés exclusivement à la pédiatrie

*N<13: congenital, familial and genetic disorders; endocrine disorders; eye disorders; hematologic disorders; immune system disorders; injury, poisoningand procedural complications; investigations; psychiatric disorders; renal and urinary disorders; reproductive system and breast disorders; rheumatoidarthritis and related; solid organ transplant rejection; surgical and medical procedures; vascular disorders

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 20

Populations Adultes Enfants(moins de 18 ans)

Seniors(plus de 65 ans)

Combinés

Proportion d’essais (%) 68,1 6,3 1,1 24,5

Répartition des essais « maladies rares » en fonction des aires thérapeutiques (n=62)

Page 21: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Nombre d’essais cliniques analysés par phase (n=475)

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 21

104 108

235

28

72

44

83

6

0

50

100

150

200

250

Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4

Essais (n)

Essais oncologie (n)

L’oncologie concerne près de 70% des essais de phase 1 analysés et 35% des essais de phase 3

Page 22: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Les étapes pour initier un essai clinique en France

Obtention des autorisation/avis ANSM et CPP

Mise en place du 1er centre

Inclusion du 1er patient

Dépôt des dossiers ANSM et CPP

0 45j 60j xj yj

Envoi du projet de convention au centre coordonnateur

Signature convention centre coordonnateur

Signature convention centre associé

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 22

Cadre réglementaire:

- Règlement européen du médicament n ° 536/2014- Décret n° 2016-1537 du 16 novembre 2016 relatif aux Recherches

Impliquant la Personne Humaine- Décret n° 2016-1538 du 16 novembre 2016 relatif à la Convention Unique

Page 23: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Obtention des autorisation/avis ANSM et CPP

Mise en place du 1er centre

Inclusion du 1er patient

Dépôt des dossiers ANSM et CPP

0 45j 60j xj yj

Envoi du projet de convention au centre coordonnateur

Signature convention centre coordonnateur

Signature convention centre associé

104j

133j

Autorisations

+ convention

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 23

(délais médians)

ANSM 63 jours (versus 57 jours en 2014-2015) CPP 77,5 jours (versus 62 jours en 2014-2015)

Centre Coordonnateur 73 jours

Préparationdossier

133 jours sont nécessaires pour autoriser un essai clinique et contractualiser avec le centre coordonnateur

Page 24: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Obtention des autorisation/avis ANSM et CPP

Mise en place du 1er centre

Inclusion du 1er patient

Dépôt des dossiers ANSM et CPP

0 45j 60j xj yj

Envoi du projet de convention au centre coordonnateur

Signature convention centre coordonnateur

Signature convention centre associé

104j

133j

160j

205j

Le délai entre la 1ère demande d’autorisation et l’inclusion du 1er patient est de près de 7 mois

Autorisations

+ convention

+ mise en place

+ 1ère inclusion

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 24

(délais médians)

Préparationdossier

Page 25: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Obtention des autorisation/avis ANSM et CPP

Mise en place du 1er centre

Inclusion du 1er patient

Dépôt des dossiers ANSM et CPP

0 45j 60j xj yj

Envoi du projet de convention au centre coordonnateur

Signature convention centre coordonnateur

Signature convention centre associé

104j

133j

160j

205j

75j

120j

139j

180j

15% des essais cliniques ont participé à ce dispositif

Autorisations

+ convention

+ mise en place

+ 1ère inclusion

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 25

(délais médians)

Préparationdossier

Ce délai se réduit à 6 mois dans le cadrede la phase pilote du Règlement Européen

Page 26: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Obtention des autorisation/avis ANSM et CPP

Mise en place du 1er centre

Inclusion du 1er patient

Dépôt des dossiers ANSM et CPP

0 45j 60j xj yj

Envoi du projet de convention au centre coordonnateur

Signature convention centre coordonnateur

Signature convention centre associé

108j

127j

151j

196j

Autorisations

+ convention

+ mise en place

+ 1ère inclusion

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 26

(délais médians)

Préparationdossier

Le délai entre la 1ère demande d’autorisation et l’inclusion du 1er patient est de 196 jourspour les essais en oncologie

Page 27: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Soumission au CPP avant le 17/11/2016N = 331

Soumission au CPP après le 16/11/2016N = 96

- Le ratio entre les CPP n’est plus que de 1 pour 5 (versus 1 pour 31)- A noter: l’évolution du périmètre d’activité des CPP (RIPH type 3)

a engendré une augmentation d’activité de plus de 30% pour les CPP

Répartition du nombre d’essais par CPP

17/11/2016: entrée en vigueur de la désignation aléatoire des CPP

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 27

La désignation aléatoire des CPP a permisde répartir les essais entre les CPP

Page 28: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Evolution du délai médian entre la soumission et l’avis des CPP (jours)

54

62 62

77,5

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

2010-2011 2012-2013 2014-2015 2016-2017

- Le délai médian d’obtention de l’avis des CPP est de 77,5 jours- L’introduction de la désignation aléatoire des CPP a augmenté le délai entre

la soumission du dossier par le promoteur et la date de session du CPP- En oncologie, le délai médian d’obtention des CPP atteint 80 jours

Médiane(min-max)

Quartile 25 Quartile 75

Délai d’avis définitif du CPP

77,5(8-859)

55107

Délai soumission -session

25(1-393)

2139

Délai session -réception avis

41(0-844)

2269

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 28

Le délai d’obtention de l’avis des CPPaugmente depuis 2010

Page 29: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

68,5

73,5

90

77

64

62

65

62

56

63

63

58

0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100

Phase 4

Phase 3

Phase 2

Phase 1

2012-2013

2014-2015

2016-2017

Le délai médian d’obtention de l’avis des CPP est de 90 jours pour les phases 2En oncologie, ce délai médian atteint 101 jours

Evolution par phase du délai médian entre la soumission et l’avis des CPP (jours)

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 29

Le délai d’obtention de l’avis des CPP estsupérieur pour les phases précoces

Page 30: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Evolution du délai médian en jours entre la soumission et l’autorisation de l’ANSM (jours)

49

5557

63

0

10

20

30

40

50

60

70

2010-2011 2012-2013 2014-2015 2016-2017

Médiane(min-max)

Quartile 25 Quartile 75

Délai d’autorisation de l’ANSM

63(2-1021)

5588

Le délai médian d’obtention de l’autorisation de l’ANSM est de 63 joursEn oncologie, ce délai médian atteint 72 jours

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 30

Le délai d’obtention de l’autorisation de l’ANSM augmente depuis 2010

Page 31: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

54

60

63

86

46

57

56

60

44

54

55

54

0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100

Phase 4

Phase 3

Phase 2

Phase 1

2012-2013

2014-2015

2016-2017

Le délai médian d’obtention de l’autorisation de l’ANSM est de 86 jourspour les phases 1

En oncologie, ce délai médian atteint 94 jours.

Evolution par phase du délai médian entre la soumission et l’autorisation de l’ANSM (jours)

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 31

Le délai d’obtention de l’autorisation de l’ANSMest supérieur pour les phases 1

Page 32: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Médiane(min-max)

Quartile 25 Quartile 75

Délai de signature de la convention« centre coordonnateur »

73(0-632)

42112

Délai de signature de la convention « centre associé »

51(0-1166)

2691

Le délai de signature de la convention « centre coordonnateur » est de 73 joursLe délai de signature de la convention « centre associé» est de 51 jours

Ces délais médians sont supérieurs pour les essais en oncologie (78 et 66 jours,respectivement)

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 32

Les délais de contractualisation avec les centres investigateurs sont hors délais réglementaires

Page 33: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Répartition des centres ouverts en fonction de leur statut (n=3 327)

CHR/U CH CLCC EBNL Cliniques Autres Total

28 70 18 14 45 8 183

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 33

Nombre d’établissements de santé différents et autres structures impliqués dans ces essais

Les essais cliniques ont impliqué l’ouverture deplus de 3 300 centres, situés à 70% dans des CHR/U

Page 34: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

24,9% 10,6%

19,4%

14,3%

13,2%

9,4%

9%

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES| 34

https://solidarites-sante.gouv.fr/systeme-de-sante-et-medico-social/recherche-et-innovation/l-innovation-et-la-recherche-clinique/article/groupements-interregionaux-pour-la-recherche-clinique-et-l-innovation-girci

Un quart des centres ouverts sont situésen Ile-de-France

Page 35: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

624

519

411

358

306273

247

150

6536

5324 22 34

GIRCI Ile-de-France

GIRCI SOHO GIRCI GrandOuest

GIRCI AuvergneRhône-Alpes

GIRCI EST GIRCI Nord-Ouest

GIRCI MED

Centres associés Centres coordonnateurs

Répartition des centres coordonnateurs et associés par inter-région

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES

39% des centres coordonnateurs sont situésen Ile-de-France

Page 36: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Nombre de centres ouverts par phase (n=3 350)

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 36

324

546

2179

301261 267

854

59

0

500

1000

1500

2000

2500

Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4

Centres ouverts (n)

Centres ouverts oncologie (n)

Les essais de phase 3 mobilisent 65% des centres ouverts

Page 37: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Nombre d’inclusions par phase (n=11 979)

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 37

16211293

7539

15261254

819

3204

335

0

1000

2000

3000

4000

5000

6000

7000

8000

Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4

Inclusions (n)

Inclusions oncologie (n)

77% des inclusions de phase 1 concernent l’oncologie47% des inclusions analysées concernent l’oncologie

Près de 63% des patients sont inclus dansles essais de phase 3

Page 38: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Centres ouverts Centres ouvertssans inclusion

Ratioglobal

Ratio enoncologie

Phases 1 133 39 0,29 0,37

Phases 2 184 67 0,36 0,25

Phases 3 1085 202 0,19 0,17

Phases 4 195 27 0,14 0

Phases 1-3 1597 335 0,22 0,21

Activité des centres ouverts pour les essais ayant finalisé leurs inclusions au 31/12/2017

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 38

22% des centres ouverts n’ont pas pu inclure de patient (33% dans le cas des phases 1 et 2)

Page 39: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Ratio médian « inclusions réalisées/ inclusions prévues » global

Ratio médian « inclusions réalisées / inclusions prévues » en oncologie

Phases 1 0,72 (n=38) 0,85 (n=18)

Phases 2 0,88 (n=39) 0,96 (n=15)

Phases 3 0,86 (n=123) 1,02 (n=42)

Phases 4 0,98 (n=17) 1,59 (n=2)

Phases 1-3 0,85 (n=200) 1,02 (n=75)

Bilan du taux d’inclusions pour les essais ayant finalisé leurs inclusions au 31/12/2017

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES INTERVENTIONNELLES | 39

…mais 85% des objectifs de recrutement sontatteints (100% en oncologie)

Page 40: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

3.

ENQUÊTE MENÉE AUPRÈS DES ENTREPRISES DU MÉDICAMENT

ÉTUDES OBSERVATIONNELLES INITIÉES EN FRANCE ENTRE 2016 ET 2017

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE | 40

Page 41: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

21 laboratoires (> 55% du chiffre d’affaire)

178 études observationnelles recensées

Etudes financées par les laboratoires (> 99%)

19 % associent plusieurs laboratoires

Externalisation dans 70 % des études (gérées à 77 % au niveau de la France)

76 % sont destinées à être publiées dans une revue scientifique

| 41ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES OBSERVATIONNELLES

32

2219 19

118 8 7 7 7 6 6 6 5

3 3 2 2 2 2 1

0

5

10

15

20

25

30

35

N P D K R G Q F H I A C O L E T B J S U M

Répartition des études observationnelles par laboratoire

Participation des laboratoires

Page 42: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Nombreux domaines thérapeutiques concernés (principalement oncologie

et maladies infectieuses > 16%)

17 % des études concernent des maladies rares

10% des études concernent la pédiatrie

24%

17%

9%8%

7%

6%

5%

4%

4%

4%

13%Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris leskystes et les polypes) et troubles du système lymphatiqueInfections et infestations

Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif

Troubles cardiaques

Troubles du système nerveux

Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux

Troubles congénitaux, familiaux et génétiques

Maladies du sang

Troubles gastrointestinaux

Troubles du métabolisme et de la nutrition

Autres

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES OBSERVATIONNELLES | 42

Aires thérapeutiques

Page 43: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

> 40% sont des analyses de bases de données déjà existantes ou desrecherches impliquant la personne humaine de type 3°

Méthodologie: 45 % prospective, 38 % rétrospective, 31 % longitudinale

Source des données principales Dossiers médicaux

SNDS

Étude prospective impliquant la personne humaine avec

recueil de données (périmètre RIPH 3)44 (63 %) 0

Analyse de bases de données déjà existantes 3 (4 %) 32 (45 %)

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES OBSERVATIONNELLES | 43

Types d’étude

Page 44: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Temporalité des études Avant l’inscription

Après l’inscription

Étude prospective impliquant la personne humaine avec

recueil de données (périmètre RIPH 3)5 (14 %) 61 (50 %)

Analyse de bases de données déjà existantes 28 (78 %) 34 (28 %)

71% sont réalisées après la demande d’inscription sur la liste desmédicaments remboursables

Objectifs les plus fréquents Avant l’inscription

Après l’inscription

Efficacité en vie réelle 8 (22 %) 62 (51 %)

Parcours de soins - pratiques de prise en charge 26 (72 %) 34 (28 %)

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES OBSERVATIONNELLES | 44

Types d’étude

Page 45: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

| 45

20% (35 études) réalisées à la demande formelle des autorités

65% (115 études) à l’initiative du laboratoire dont 42% (74 études) àdestination des autorités

Autorités principales EMA HAS (CT)

HAS (autres)

Requérantes (pour les 35 études) 11 (32 %) 15 (44 %) 4 (12%)

Destinatrices (pour les 74 études) 13 (18 %) 40 (54 %) 21 (28 %)

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES OBSERVATIONNELLES

Interactions avec les autorités

Page 46: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

| 46ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES OBSERVATIONNELLES

178 études(21 laboratoires)

19% multi-labo70% externalisées

76% pour publications

Aires thérapeutiques multiplesOncologie 24%

Maladies infectieuses 17%Maladies rares 17%

43%analysebase dedonnées

existantes

63% dossiers médicaux 45% SNDS

42%RIPH

de type 3

Une part importante des études sont réalisées sur base de données existantes, notamment le SNDS

Page 47: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

| 47ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE - SOURCE ENQUÊTE QUANTITATIVE ÉTUDES OBSERVATIONNELLES

178 études(21 laboratoires)

Avant / inscription / Post21% 71%

51% efficacité vie réelle

72% parcours de soins

Initiative20% autorités / 65% labo

Destinataire42% autorités

La majorité des études sont initiées par lelaboratoire en post-inscription

Page 48: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

4.

MESSAGES CLÉS ET RECOMMANDATIONS DU LEEM

ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE | 48

Page 49: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

Les industriels sont les principaux financeurs des essais cliniques

La France est désormais au 4ème rang européen pour les nouveaux essaiscliniques industriels avec une participation qui est en baisse (-13% par an enmoyenne)

Sa participation aux nouveaux essais industriels mondiaux de phases 1 et 2 estlimitée (6% et 13%, respectivement)

Près de 7 mois sont nécessaires entre la 1ère demande d’autorisationet l’inclusion du 1er patient (6 mois avec la phase pilote du règlement EU)

Au sein de plus de 3 300 centres ouverts, les investigateurs français respectent85% de leurs objectifs de recrutement (100% en oncologie)

L’oncologie est l’aire thérapeutique prédominante (participation à 19% desnouveaux essais industriels mondiaux et 45% des essais réalisés sur le territoire)

Forte implication des industriels dans les études observationnelles.

| 49ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE

La France dans la recherche sur le médicament

Page 50: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

A COURT TERME

1- Réduire le délai entre la demande d’autorisation et l’inclusion du 1er patient et donner de la prévisibilité aux promoteurs

en poursuivant les efforts mis en place (plan « essais cliniques » ANSM, travaux CPP et CNRIPH, convention unique)

en optimisant l’articulation entre les étapes et entre les acteurs impliqués (ANSM, CPP, établissements de santé, promoteurs et CROs)

2- Augmenter l’inclusion des patients et la fiabilité des centres investigateurs

en améliorant l’identification des patients à inclure et leur information sur la recherche clinique

en adaptant le modèle des centres performants et en renforçant la coordination entre les centres investigateurs

| 50ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE

Les 4 objectifs proposés par le Leem pourrenforcer l’attractivité de la France

Page 51: ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE · Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 N =1 349 N =1 140 N =1 008 N =902 N =823 N =786 N =601 N =589 N =337 N =311 N =305 N =289

A MOYEN TERME

3- Disposer d’un réseau de compétences multiples

en renforçant la formation initiale et continue des professionnels de santé à la recherche clinique

en favorisant les partages d’expertise, entre chercheurs publics et industriels, et entre disciplines

en développant les interactions avec les associations de patients

4- Intégrer l’utilisation des données dans le parcours recherche

en renforçant la recherche observationnelle, complémentaire d’une recherche interventionnelle

en améliorant l’utilisation des données générées tout le long du parcours de soins (recensées par l’hôpital, par les professionnels de santé de ville ou directement par le patient).

| 51ATTRACTIVITÉ DE LA FRANCE POUR LA RECHERCHE CLINIQUE

Les 4 objectifs proposés par le Leem pourrenforcer l’attractivité de la France