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Encoura 13 e CONCOURS CAMPUS MEILLEUR ARTICLE DE PRESSE Il y a un prix par niveau scolaire CAP / Mentions complémentaires BAC PRO / BAC TECHNO / BP BTS / Études supérieures Le sujet de l’article est libre mais doit être lié à la profession. Chaque jeune signe son article. Les articles réalisés en groupe ne sont pas acceptés. L’article doit faire entre 20 et 50 lignes avec un visuel. QUELLES SONT LES MODALITÉS ? COMMENT PARTICIPER ? Pour toute demande de renseignements, merci d’envoyer un e-mail à [email protected] MEILLEUR REPORTAGE VIDÉO Il y a un prix vidéo pour tous les niveaux scolaires confondus. Le thème du reportage vidéo est libre mais doit être lié à la profession. Chaque jeune signe sa vidéo. Aucune réalisation en groupe n’est acceptée. La durée du reportage vidéo doit être de 3 minutes maximum. { { (AU CHOIX) L’article est à envoyer en document word par e-mail : [email protected] Le reportage vidéo est à poster sur le site : www.lhotellerie-restauration.fr/ campus-videos DATE LIMITE : LUNDI 30 JANVIER 2017 REMISE DES PRIX LE 22 MARS 2017 AU PLAZA ATHÉNÉE À PARIS Un iPad à gagner offert par L’Hôtellerie Restauration au premier de chaque catégorie article et au lauréat de la catégorie vidéo. De nombreux lots prestigieux offerts par les partenaires. Encouragez vos élèves à participer au concours Campus du meilleur article de presse et du meilleur reportage vidéo ! En collaboration avec l’AFLYHT, l’ANEPHOT, la FNAPEETHT, l’ANPCR, l’AMFORHT et l’AEHT La remise des prix aura lieu le mercredi 22 mars 2017 dans le cadre exceptionnel du Plaza Athénée à Paris par un illustre jury, présidé par Alain Ducasse, accompagné des partenaires. Les articles et le reportage vidéo des vainqueurs seront publiés dans L’Hôtellerie Restauration avec le nom de l’auteur, de son professeur et de son établissement.

AURORE DELAGE - 1 ANNÉE DE CAP CUISINE AU … · cuisine), les Éditions BPI (La cuisine expliquée et La cuisine simplifiée de Gilles Charles). Sans oublier du chocolat Valrhona,

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Encouragez vos élèves à participerau concours du meilleur article de presse !Date limite le 1er février 2014 30

•11 avril 2013•N° 3337

Concours9e édition

Les lauréats du prix L’Hôtellerie Restauration du Meilleur article 2013Amandine Ganichaud, Thomas Brière et Aurore Delage ont convaincu le jury 2013, présidé par le chef Éric Frechon.

C’est au Bristol (Paris, VIIIe), dans la grande salle de réception classée aux Monuments historiques, que les trois lauréats 2013, Amandine Ganichaud, du lycée des métiers Sainte-Anne de Saint-Nazaire (44), Thomas Brière, du FIM d’Agneaux (50), et Aurore Delage, du CFA Cobas Formation à La Teste-

de-Buch (33), ont été ovationnés par les membres du jury et de nombreux professionnels. Les articles ont été sélectionnés parmi de très nombreuses copies. Le jury a été séduit par la fraîcheur et la passion des étudiants pour leur futur métier.

Les vainqueurs ont reçu un iPad, un livre dédicacé par le chef 3 étoiles Éric Frechon - président du jury - et ont visité les impressionnantes cuisines du Bristol. Nos partenaires ont

été, comme chaque année, très généreux : Bridor (livres), l’École Lenôtre (stage de cuisine d’une valeur de 2000 €), Flo (repas dans les Grandes Brasseries), Rougié (foie gras) et TransGourmet (matériel de cuisine), les Éditions BPI (La cuisine expliquée et La cuisine simplifiée de Gilles Charles). Sans oublier du chocolat Valrhona, des bons cadeaux offerts par la FNAPEETHT (association de parents d’élèves), et, bien sûr, la publication de leur article dans nos colonnes. TEXTE : NADINE LEMOINE

VIDÉO : CÉCILE CHARPENTIER

Les lauréats entourés des membres du jury et des partenaires.

CATÉGORIE BTS ET + AMANDINE GANICHAUD - 2E ANNÉE DE BTS HÔTELLERIE AU LYCÉE DES MÉTIERS SAINTE-ANNE DE SAINT-NAZAIRE (44)

Au nom des futures ‘cheffes’“- Tu n’as pas ta place ici.(Pendant un instant, je crois avoir mal compris.)- Pardon ? - Tu n’as pas ta place ici, en cuisine.(J’avais bien entendu, mais je ne comprends toujours pas ce qu’il veut dire.)- Qu’est-ce que tu dis ? Pourquoi je n’aurais pas ma place en cuisine ?- Parce que tu es une fille !”La réponse frappe et blesse, comme une gifle en plein visage. Je suis tellement abasourdie que je me retrouve à court de répartie. Nous sommes au XXIe siècle, et je fais face à cet homme des cavernes : Yves, commis de cuisine, pour qui le ‘sexe faible’ n’a rien à faire en cuisine. J’aurais aimé que vous entendiez tout le mépris, tout le dédain qu’il a réussi à mettre dans la prononciation du mot “FILLE”.J’ai 21 ans. Je suis élève en BTS hôtellerie-restauration. Je suis actuellement en stage dans un prestigieux restaurant parisien. À l’avenir, je souhaite devenir chef de cuisine. Et… ah oui ! Je suis une fille. Toujours estomaquée par sa réponse, je réussis à articuler un semblant de contre-attaque : “Et chez toi,

c’est ton père qui fait la cuisine peut-être ?”Voilà. Il a réussi à me mettre de mauvaise humeur. Pour lui, les femmes peuvent faire la cuisine à la maison mais pour le reste, c’est un métier d’hommes.Je suis bien consciente que la cuisine professionnelle en France est une histoire qui s’écrit au masculin, mais ce métier a évolué et les mentalités doivent en faire autant. Les femmes ne se cantonnent plus à la cuisine domestique. Elles sont de plus en plus nombreuses à revêtir la tenue professionnelle et la fameuse toque du cuisinier. Les conditions de travail en cuisine ont longtemps été rudes mais à ceux qui utilisent cet argument pour discuter la place des femmes derrière les fourneaux, je répondrais que la pénibilité physique liée à ce métier n’est plus ce qu’elle était. En effet, les avancées technologiques ont permis de penser l’ergonomie différemment. Le matériel est plus léger, il existe à présent une panoplie d’outils et de nouveaux matériaux qui permettent une certaine aisance de travail. Le critère de force n’est plus une barrière infranchissable.Je dois avouer que je suis effrayée lorsque je regarde le long chemin qu’il me reste à parcourir ainsi que

tous les obstacles à surmonter avant de pouvoir enfin gagner ma place dans ce monde saturé de testostérone. Les plus farouches ajouteront que c’est un métier dangereux qui n’admet pas les ‘fillettes’. Ils me pousseront alors gentiment vers la pâtisserie qui est davantage féminisée. Sachez tout de même messieurs les cuisiniers, commis, chefs de partie, seconds et chefs de cuisine que je ne baisserai pas les bras. J’ai déjà beaucoup de coupures et brûlures à mon actif, mais sûrement pas assez pour me décourager. Je ferai fi de vos réflexions quant à mon statut de femme. Je suis courageuse, motivée. Je n’ai pas choisi la cuisine au hasard. Loin de moi l’image de rêve qu’en donnent les émissions de télévision. Je connais la réalité du terrain et les contraintes qu’elle implique. Que l’on soit une femme ou un homme, ce métier demande que l’on s’y consacre à 200 %. C’est la passion qui nous fait lever le matin, qui nous aide à endosser la pression constante et qui nous fait tenir debout des heures durant. Sans cette passion, sans cette envie de cuisiner, il y a bien longtemps que j’aurais jeté mon tablier et tourné le dos à la restauration. La passion ne pose pas la question des genres et je vais m’accrocher. n

LE JURY 2013Frédéric Anton, Pré Catelan à Paris • Catherine Augereau-Leloup, Maxime Camus et Julien Léguillon, Groupe Flo • Pierre Berthet, président de l’Unatech, CET hôtellerie • Yves Cebron, TransGourmet • Marc Galais, chef de TransGourmet • Pascal Schneider, Euralis Gastronomie - Rougié • Patrick Eyroi, Bridor • Éric Frechon, Le Bristol à Paris • Philippe Gardette, président de l’OCI • Philippe Gobet, Lenôtre • Nathalie Hamon, FNAPEETHT • Régis Marcon, Régis et Jacques Marcon à Saint-Bonnet-le-Froid • Thierry Marx, Mandarin Oriental Paris • Joseph Le Gal, président de l’Anephot • Cyril Lignac, Le Quinzième à Paris • Michel Roth, Hôtel Président Wilson à Genève • Bruno Treffel, président de l’ANPCR • Laurent Trochain, Restaurant Laurent Trochain au Tremblay-sur-Mauldre, président de Générations Cuisines & Cultures • Agnès Vaffier, présidente de l’Aflyht.

Les vainqueurs ont reçu un iPad, un livre dédicacé par le chef 3 étoiles Frechondu jury - et ont visité les impressionnantes cuisines du Bristol. Nos partenaires ont

été, comme chaque année, très généreux

Retrouvez la cérémonie de remise des prix sur www.lhotellerie-restauration.fr/QR/RTR027746 ou avec le QR code ci-contre

Les articles des lauréats sont publiés dans

La remise des prix a lieu dans le cadre exceptionnel du Meurice à Paris avec un illustre jury

En partenariat avec :

L’HEBDO DES C.H.R. • www.lhotellerie-restauration.fr • m.lhotellerie-restauration.fr5 RUE ANTOINE BOURDELLE • 75737 PARIS CEDEX 15 • TÉL. 01 45 48 55 85 • FAX 01 45 49 97 59 • E-MAIL [email protected]

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N° 3337•11 avril 2013•

Concours

Les lauréats du prix L’Hôtellerie Restauration du Meilleur article 2013

CATÉGORIE BAC PRO, MENTION COMPLÉMENTAIRE ET BP THOMAS BRIÈRE - APPRENTI BAC PRO SERVICE AU FIM D’AGNEAUX (50)

CATÉGORIE CAP-BEP AURORE DELAGE - 1RE ANNÉE DE CAP CUISINE AU CFA COBAS FORMATION À LA TESTE-DE-BUCH (33)

Un soir de service comme les autres, en débarrassant l’une de mes tables où dînait un couple, je pose ma question habituelle: “Madame, monsieur, tout s’est bien passé ?” Madame répond avec engouement : “C’était simplement excellent ! Vraiment !” Je la remercie, la débarrasse, puis monsieur glisse avec une pointe de réprobation, presque sèchement : “Elle a même saucé.” Je dessers donc monsieur et me permets : “La sauce ne vous convenait peut-être pas, monsieur ?” Ce à quoi il me répond avec sincérité : “Elle était parfaite.” Je souris, les remercie et me dirige vivement vers la plonge, en contemplant les deux assiettes. Celle de madame immaculée, celle de monsieur contenant encore une quantité non négligeable de la sauce qui accompagnait son filet de bœuf normand.Une question s’impose alors à moi : faut-il ou non saucer son assiette, que ce soit au cours d’un dîner entre amis à la maison, dans une brasserie parisienne, un restaurant semi-gastronomique ou même un gastronomique étoilé au guide Michelin ? Commençons par recadrer les choses. Les règles de la bienséance trouvent leurs origines en

France sous le règne d’Henri Ier. Elles ont étés renforcées sous Henri III, puis Louis XIV. Ces règles définissaient les manières que les membres de la cour royale de France devaient adopter dans leur vie de tous les jours mais aussi et surtout à table. Abandonnées pendant quelques décennies suite à la Révolution française, elles sont rétablies par Napoléon Ier à l’aube du XIXe siècle. De nos jours, nombre de ces règles font partie intégrante de la vie quotidienne de tous les foyers : ne pas lécher son couteau, attendre que tout le monde soit servi pour entamer son repas, ne pas parler la bouche pleine... Mais faut-il toutes les appliquer à la lettre ? Certaines ne sont-elles pas devenues tout simplement obsolètes ?Dans certaines sphères de la société, où l’image que vous renvoyez aux autres est primordiale, la bienséance fait autorité et aucun écart ne saurait être toléré. Votre seule option sera de piquer un morceau de pain, que vous aurez préalablement rompu et non coupé, au bout de votre fourchette et de saucer en partie votre assiette. Jamais entièrement ! Après quoi, vous

disposerez vos couverts dans votre assiette, parallèles, les dents de la fourchette vers le bas. Ce qui est bien normal si vous vous trouvez à la même table que madame la comtesse de Paris. Toutes ces règles font partie intégrante du patrimoine français et participent à faire la réputation mondiale de notre gastronomie (gastronomie qui est, depuis le 16 novembre 2010, classée au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco). N’importe quel professionnel de la restauration se doit donc de défendre farouchement ces valeurs.Mais la gastronomie française n’est-ce pas également la bonne chère ? Le pot-au-feu ? Les potées spécifiques à chaque région ? Le cassoulet ? Tous ces plats qui font le charme de notre terroir ? La gastronomie française, c’est aussi les créations de nos chefs, avec ou sans étoiles, qui explorent, associent et créent de nouvelles saveurs toujours plus flatteuses, toujours plus surprenantes, toujours plus gourmandes ! Une pièce de viande, aussi noble soit-elle, n’est sublimée que par une sauce derrière laquelle se cachent souvent plusieurs heures de travail. En dernier lieu, je ferai

appel aux souvenirs de chacun d’entre nous. Nous avons tous une grand-mère qui cuisine. Souvenez-vous, le mercredi midi, à table avec vos grands-parents, dégustant la spécialité de votre aïeule. Vous êtes repu mais votre assiette n’est pas vide. Tombe alors la question fatidique de mamie : “- Qu’est-ce qu’il y a ? C’est pas bon ?- Si c’est excellent, mais je...- Hé bah tu vas en reprendre ! Il reste du poisson, je vais faire chauffer de la crème !”Et croyez-moi, dans ce cas, il est vivement recommandé de saucer son assiette !Nous avons tous en nous cette part d’insouciante gourmandise qui nous pousse à rendre une assiette impeccable. Le repas est un moment de partage, de détente et de plaisir. Au restaurant encore plus qu’ailleurs. Alors quand nous sommes face à notre assiette encore maculée, armons-nous de pain frais comme nos boulangers savent le faire et, je vous le dis, sauçons ! Sans retenue, sans gêne. Faisons honneur à la gastronomie qui est la nôtre ! Et jusqu’à la dernière goutte s’il vous plaît ! n

Une question de bienséance

Passe ton bac d’abord !Chaque enfant grandit avec des rêves plein la tête et des étoiles dans les yeux. Mon rêve, ma passion, c’est la cuisine, l’univers de la restauration. Quel problème y a-t-il avec ça ? Aucun, à première vue. Seulement, en grandissant, on confronte nos rêves à ceux que nos parents avaient pour nous. Et c’est ici que tout s’est compliqué. La cuisine ? Je suis tombée dedans quand j’étais toute petite, un peu comme Obélix et la potion magique. Lorsque l’on a une grand-mère qui adore passer des heures à mitonner de bons petits plats, qui est capable de vous faire manger de la lamproie ou des grenouilles et, plus étonnant encore, de vous faire adorer ça, vous ne vous en rendez pas encore compte mais l’idée germe en vous. Moi, plus tard, c’est ça que je veux faire. Je veux surprendre les gens par une odeur, une couleur, un goût qui leur feraient pétiller les papilles et briller les yeux. D’accord, me répond ma mère, quand tu auras passé ton bac !Après plusieurs disputes, restant bouche bée devant ce mur de refus de négocier de la part de mes parents, je m’y résous : je passerai donc un bac littéraire. De toute façon, ils n’y comprennent rien. Pour eux, un bon travail c’est un travail qui vous donne le samedi et le dimanche comme jours de repos, et qui surtout garde libre les jours fériés. Ce n’est pas grave, je prends

sur moi. J’étudie la littérature, le théâtre, tout en pensant que développer mon imagination me sera utile en cuisine, et l’anglais, qui m’aidera à travailler à l’étranger. Je contente mes besoins de porter l’uniforme et d’avoir des odeurs tenaces d’aliments sur les mains en travaillant dans un fast-food en plus du lycée. N’en déplaise à mes parents, ce n’est que le commencement. J’apprends les horaires en coupure, les rushes ou coups de feu, les heures à mourir de chaud sans avoir le temps de boire une goutte d’eau. Et si cela changeait ma vision du métier ? Au risque de paraître folle, je crois que ça n’a fait qu’encourager ma décision. Je serai cuisinière. Et à l’approche des repas de famille, mes papilles gustatives sont en ébullition à l’idée de déguster les tagliatelles au saumon et la sauce au sauternes de ma grand-mère. Ce qui ne détourne pas mes parents de leur volonté de me voir tenter les concours de la fonction publique. Alors me voilà, depuis quelques mois, apprentie en cuisine, éprouvant une grande fierté chaque fois que je fais une recette que je n’avais jamais faite, les yeux remplis d’étoiles devant les magazines culinaires. Pas un jour ne passe sans que les odeurs émanant des rondeaux ne me fassent voyager, pas un service sans que je me surprenne à sourire devant la

beauté d’une assiette. Je n’échangerai ma place contre aucun étudiant courant derrière son tram. Comme le disait Chamfort : “Les raisonnables ont duré, les passionnés ont vécu.” n

Merci à nos partenaires

13e CONCOURS CAMPUS

MEILLEUR ARTICLE DE PRESSE

Il y a un prix par niveau scolaire � CAP / Mentions complémentaires� BAC PRO / BAC TECHNO / BP� BTS / Études supérieures

Le sujet de l’article est libre mais doit être lié à la profession.Chaque jeune signe son article. Les articles réalisés en groupe ne sont pas acceptés.L’article doit faire entre 20 et 50 lignes avec un visuel.

QUELLES SONT LES MODALITÉS ?

COMMENT PARTICIPER ?

Pour toute demande de renseignements, merci d’envoyer un e-mail à [email protected]

MEILLEUR REPORTAGE VIDÉO

Il y a un prix vidéo pour tous les niveaux scolaires confondus.

Le thème du reportage vidéo est libre mais doit être lié à la profession.Chaque jeune signe sa vidéo.

Aucune réalisation en groupe n’est acceptée.

La durée du reportage vidéo doit être de 3 minutes maximum.

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(AU CHOIX)

L’article est à envoyer en document word par e-mail :

[email protected]

Le reportage vidéo est à poster sur le site : www.lhotellerie-restauration.fr/

campus-videos

DATE LIMITE : LUNDI 30 JANVIER 2017

REMISE DES PRIX LE 22 MARS 2017AU PLAZA ATHÉNÉEÀ PARIS

Un iPad à gagneroffert par L’Hôtellerie Restauration au premier de chaque catégorie article et au lauréat de la catégorie vidéo. De nombreux lots prestigieux offerts par les partenaires.

Encouragez vos élèves à participer au concours Campus du meilleur article de presse et du meilleur reportage vidéo !

En collaboration avec l’AFLYHT, l’ANEPHOT, la FNAPEETHT, l’ANPCR, l’AMFORHT et l’AEHT

Modalités du concours

Il y a un prix par niveau scolaire• CAP/BEP• Bac pro/Mention complémentaire• BTS/Études supérieures

Le sujet de l’article est libre dans le cadre de la profession.

Chaque jeune signe son article. Les articles réalisés en groupe ne sont pas acceptés.

La taille de l’article est de 25 lignes minimum et 4 pages maximum, manuscrit ou sur ordinateur.

Composé de personnalités de la profession (dont Frédéric Anton - chef du Pré Catelan, Éric Fréchon - chef de l’Hôtel Le Bristol, Régis Marcon - chef du restaurant Régis et Jacques Marcon, Michel Roth - chef du Ritz, Thierry Marx - chef du Mandarin Oriental), le jury départage les candidats.

Remise des prix au Bristol à Paris le 7 avril 2013.

Un iPad o� ert par L’Hôtellerie Restauration au premier de chaque catégorie, et de nombreux lots prestigieux o� erts par les partenaires.

Publication des articles des vainqueurs dans L’Hôtellerie Restauration avec le nom de l’auteur, de son professeur et de son établissement.

Envoyer les articles par e-mail : [email protected] ou par courrier : Concours Campus 5 rue Antoine Bourdelle 75 737 Paris Cedex 15

Pour toute demande de [email protected]

En collaboration avec l’AFLYHT, l’ANEPHOT, la FNAPEETHT et l’ANPCR :

Chaque jeune signe son article. Les articles réalisés en groupe ne sont pasacceptés.

Remise des prix au Ritz à Paris le 26 mars 2012.

La remise des prix aura lieu le mercredi 22 mars 2017 dans le cadre exceptionnel du Plaza Athénée à Paris par un illustre jury, présidé par Alain Ducasse, accompagné des partenaires.

Les articles et le reportage vidéo des vainqueurs seront publiés dans L’Hôtellerie Restauration avec le nom de l’auteur, de son professeur et de son établissement.