BAROMÈTRE DE L’ÉCONOMIE€¦ · BAROMÈTRE DE L’ÉCONOMIE BVA - BFM - LA TRIBUNE - AVANQUEST Confiance en l’avenir de la situation économique en France Opinion sur la politique

BAROMÈTRE

DE L’ÉCONOMIEBVA - BFM - LA TRIBUNE - AVANQUEST

Confiance en l’avenir de la situation économique en France

Opinion sur la politique menée à l’égard de la fonction publique et des fonctionnaires

Opinion sur les chômeurs arrivant en fin de droit

Potentiel de l’I-pad

LEVÉE D’ EMBARGO LE 9 FEVRIER 2010 - 01H00

Contact BVA : Gaël Sliman - Directeur de BVA Opinion 01.71.16.88.34

Février 2010

Ce sondage est réalisé par pour

Publié dans et diffusé sur et le mardi 9 février.

2

Fiche technique

L’Institut BVA a réalisé ce sondage par téléphone les 5 et 6 février

auprès d’un échantillon de 1007 personnes, représentatif de la

population française âgée de 15 ans et plus.

La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des

quotas, appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, profession

du chef de famille après stratification par région et catégorie

d’agglomération.

3

L’ŒIL DU SONDEUR : Gaël Sliman

L’allocution télévisée du chef de l’Etat effectuée le 25 janvier dernier n’aura décidément eu aucun effet

positif sur l’opinion :

Avec 64% de pessimistes, le moral économique des Français est toujours aussi défaillant et, en plein

débat sur la mobilité des fonctionnaires une majorité de Français juge « mauvaise » la politique de

Nicolas Sarkozy à l’égard de la fonction publique et des fonctionnaires. Heureusement pour lui les

Français ne lui imputent pas majoritairement le million de chômeurs qui arrivera en fin de droits en fin

d’année.

1) Un moral toujours défaillant :

29% seulement de nos concitoyens se déclarent plus confiants en l’avenir de la situation économique du pays depuis ces dernières

semaines. A l’inverse ils sont 64% à se déclarer moins confiants en l’avenir. L’allocution télévisée de Nicolas Sarkozy qui voulait

redonner confiance aux Français et expliquer ses réformes, n’a donc eu aucun effet bénéfique ; au contraire, l’indice de moral

toujours extrêmement médiocre se dégrade encore de 2 points ce mois-ci (stabilité des bonnes opinions, mais 2 points de plus sur

les mauvaises opinions) pour s’établir à -35, le niveau d’indice le plus bas enregistré depuis avril 2009.

2) Une politique globale à l’égard des fonctionnaires jugée « mauvaise » :

En plein débat sur la question de la mobilité des fonctionnaires et à 48 heures d’une réunion au sommet avec les syndicats à ce

sujet, 57% (contre 35%) des Français jugent globalement mauvaise la politique de Nicolas Sarkozy à l’égard de la fonction publique

et des fonctionnaires. Cette perception, si elle ne concerne pas spécifiquement l’actualité du moment touchant à la mobilité des

fonctionnaires, est largement consensuelle : à l’exception des sympathisants de droite, et des chefs d’entreprises et professions

libérales, toutes les catégories de population s’accordent à juger « mauvaise » la politique conduite par le Président dans ce

domaine.

Le Président réussit la double « prouesse » de mettre d’accord catégories supérieures et classes populaires à ce sujet (58% et 56%

de réprobation) et de se mettre à dos les retraités (57% de réprobation), pourtant le plus souvent les plus favorables à son égard.

Il existe toutefois quelques clivages assez nets à ce sujet entre les salariés du secteur public et ceux du secteur privé : alors que les

premiers ne sont qu’un sur deux à rejeter la politique de Nicolas Sarkozy en matière de fonction publique, les seconds, eux, sont près

des trois-quarts (72%) à le faire.

4


Peut-être existe-t-il tout de même un bénéfice de mobilisation électorale à cette opération :

A l’approche des élections régionales, mobiliser la droite en agitant le « chiffon rouge du fonctionnaire » peut avoir du sens.

D’ailleurs cela fonctionne, mais uniquement sur l’UMP : les trois-quarts des sympathisants UMP (74%) soutiennent la politique du

Président

à l’égard de la fonction publique, mais à l’inverse, les deux tiers (65%) de ceux du FN comme du Modem (67%) la rejettent, tandis

que ceux du Nouveau-Centre sont très partagés sur la question (47% contre 46%). Toutefois, les régionales n’étant pas les

européennes, mobiliser le noyaux dur UMP est évidemment nécessaire, mais sera largement insuffisant pour l’emporter aux seconds

tours. Surtout si cette mobilisation de l’électorat UMP produit en réaction une sur-mobilisation des adversaires du Président. Plutôt

plus enclins à l’abstention, les sympathisants de gauche ne demandent qu’un petit stimulus pour exprimer un vote sanction. Le leur

donner, hier sur l’identité nationale, et à présent sur les fonctionnaires (74% jugent mauvaise la politique), n’est pas forcément ce

qu’il y a de plus pertinent d’un point de vue stratégique .

3) Les chômeurs en fin de droit : un problème lié avant tout à la crise économique pour une majorité de Français (55%),

mais aussi, pour une conséquente minorité de 4 Français sur 10 le signe de réformes excluant du système de plus en plus

de Français

Défiants en l’avenir, mécontents de la politique économique du Président, de ses réformes à l’égard des fonctionnaires, et, plus

globalement de son action, les Français ne lui font tout de même pas majoritairement porter la responsabilité de la « bombe » sociale

à venir : pour 55% d’entre eux, la crise économique mondiale est la principale responsable du million de chômeurs qui arrivera en fin

de droit d’ici la fin de l’année.

Tout de même, 40% de nos concitoyens pensent à l’inverse que ce problème est avant tout la conséquence des réformes de Nicolas

Sarkozy qui excluraient du système de plus en plus de Français. Cette analyse est même majoritairement partagée par les

sympathisants de gauche (53% contre 44%) et les chômeurs (52% contre 48%). Elle l’est aussi par près d’une personne sur deux

parmi les salariés du secteur public et les employés (47% contre 49%).

5


La question nouvelles technologies : les Français parient sur le succès de l’I-Pad

Parallèlement à nos questions macro-économiques et politiques, le baromètre accueille désormais une question axée

spécifiquement sur les nouvelles technologies.

Ce mois-ci, évidemment, elle porte sur l’I-Pad et l’accueil que les Français lui réservent. Celui-ci est triomphal.

La foi suscitée par Steve Jobs auprès de Français est remarquable : alors qu’ils sont globalement défiants en l’avenir et qu’ils

ignorent encore tout de sa dernière création, ils anticipent déjà un vrai succès pour l’I-Pad.

Le dernier « joujou » d’Apple est promis à un brillant avenir par un Français sur deux (50%) et près de six jeunes sur dix (58% des

15-34 ans) estimant que cette « tablette tactile multifonctions » connaîtra le même succès sur le marché des ordinateurs que l’I-

Phone a connu sur celui des téléphones.

Seulement un peu plus d’un quart des Français ne le pensent pas, un cinquième refusant de se prononcer par manque de

connaissance (bien normal) sur le sujet.

Ramenée sur la base des personnes exprimant un choix, cela signifie que près des deux-tiers des Français (63%) se prononçant sur

l’I-Pad fait le pari de son succès.

Même si les domaines n’ont évidemment aucun rapport, il y a la de quoi faire envie à un Président en vraie panne de confiance.

Gaël Sliman, DGA de BVA

6

L’ŒIL DE L’ENTREPRENEUR : Bruno Vanryb

Le thème de ce mois-ci : des français déprimés mais réalistes…

Q1, Baromètre : A quoi ça sert que Sarko il se décarcasse !

Pour Sarkozy, le message est clair : quelle que soit le nombre de téléspectateurs, il ne suffit pas de passer à la

télé avec des « vrais gens » pour inverser la tendance de fond que l’on observe maintenant depuis plusieurs

mois - les Français ne croient pas en la reprise et le font savoir…

Pourtant, les chiffres du chômage et de la consommation ont été moins mauvais que d’habitude en Décembre, et même si une

hirondelle ne fait pas le printemps, on aurait pu espérer que le niveau des sceptiques baisse un peu face aux premières bonnes

nouvelles depuis longtemps.

L’explication la plus évidente est que nous sortons d’une crise économique pour entrer dans une crise de confiance, ce qui

est tout aussi grave car sans confiance, difficile d’imaginer une vraie reprise. A ce titre, le résultat des régionales au niveau des votes

et des abstentions permettra de savoir si cette crise de confiance concerne l’ensemble des institutions et des partis (« les élites »), ou

si elle doit être prise au premier degré comme un rejet du Président et de sa politique !

Q2, Politique à l’égard de la fonction publique et des fonctionnaires : le privé se solidarise avec le public, ça ne vous

rappelle rien ?

Bien sur, la question est clivante, et il ne faut pas s’étonner que 65% des sympathisants de droite soutienne la politique du

gouvernement qui vise à favoriser la mobilité des fonctionnaires au travers d’une traditionnelle approche « carotte et bâton », tandis

que 74% des sympathisants de gauche sont comme d’habitude vent debout dès qu’on touche au secteur public…

Plus intéressant, on s’aperçoit que dans les 57% de français qui trouvent cette politique mauvaise, on trouve 50% des salariés du

privé, qui pourtant ne disposent ni de la protection de l’emploi, ni des divers avantages liés à la fonction publique. On aurait pu

imaginer que ces salariés de plus en plus précarisés par la crise souhaitent plus d’équité avec un rééquilibrage public privé.

Visiblement ce n’est pas le cas avec cette réponse 50/50 !

En 1995, lors des grandes grèves qui ont paralysé la France, les sondages montraient également un certain soutien du privé au

public, qu’on a interprété à l’époque comme un mouvement de « grève par procuration » pour ceux qui ne pouvaient protester par

peur de perdre leur emploi.

7


Ce résultat est donc une très forte alerte pour le gouvernement : à 50/50, on n’est pas encore dans un basculement de

l’opinion, mais il y a clairement un mouvement de fond des salariés du privé qui expriment leur inquiétude vis-à-vis du chômage et

des salaires gelés. La réaction traditionnelle qui consiste à se plaindre des avantages dont bénéficient les fonctionnaires est

remplacée progressivement par une expression de solidarité, démontrant que l’attente des salariés du privé pour un meilleur

environnement prime sur tout le reste.

En résumé, le retour possible dans un futur plus ou moins proche de la grève par procuration, c’est l’expression d’une

possible rupture profonde entre les classes populaires et Sarkozy, rupture qui ne pourra être compensée par de la

communication, aussi efficace soit-elle…

Q3, Chômeurs en fin de droit : Les français réalistes face à la crise !

Si les questions précédentes permettent de mettre en lumière la frustration des français qui ne font plus confiance à nos politiques ou

à Sarkozy pour prendre les bonnes décisions, ils ne sont pas pour autant dénués de réalisme économique…

En affirmant à plus de 55% que la crise a rendu encore plus difficile pour les chômeurs en fin de droit la recherche d’un emploi, ils

confirment savoir que l’état ne peut pas tout, et qu’une politique sociale peut servir à amortir le choc du chômage mais pas à créer de

l’emploi. Sur cette question, le fait que 44% des sympathisants de gauche sont en accord avec la majorité ne fait que confirmer cette

montée en puissance d’une culture économique chez tous les Français quelle que soit leur appartenance politique.

En tant qu’entrepreneur, je trouve que ce réalisme économique est plutôt une bonne nouvelle, car l’idée que c’est l’état qui peut

créer les emplois (et non les entreprises) est une des maladies endémiques de la France, maladie qui nous a conduit à mettre

en place des politiques de protection sociale - certes très efficaces et plébiscitées par nos concitoyens - mais trop souvent au

détriment de la compétitivité et du déficit budgétaire de notre pays, avec l’impact négatif que l’on connait sur le taux chômage depuis

plusieurs dizaines d’années.

Q4, Potentiel de l’iPad : Apple tout puissant ?

63% des français qui ont entendus parler de l’ipad pensent que ce produit connaitra le même succès que l’iphone !!!!! Quand on voit

le buzzz négatif qu’a provoqué sur internet la sortie de l’ipad, sorte d’iphone géant, on peut être surpris, car en effet le produit est loin

d’être parfait ! Pas de possibilité de surfer sur tous les sites Web (« flash on supporté »), pas de support des cartes

mémoires, obligation de tenir la tablette sur ses genoux pour taper un texte, la liste des critiques plus ou moins justifiée est longue…

8


Bruno Vanryb

President & CEO d’Avanquest

Alors le marketing d’Apple porté par son fondateur emblématique Steve Jobs est-il tout puissant au point de pouvoir

imposer un produit médiocre ? Pas si simple…

A titre personnel, si je rejoins la plupart des critiques sur ce produit très « marketing », je pense que l’ipad va tout de même bien se

vendre car à la différence des précédents produits d’Apple, c’est un produit clairement orienté home, qu’il n’est pas vraiment

nécessaire de transporter, sorte de complément ludique à l’iphone destiné au gigantesque marché du « consumer electronic ».

On pourrait décrire l’ipad comme un iphone géant pour la maison, synchronisé en permanence avec les mêmes données, alternative

confortable avec écran large pour utiliser les mêmes logiciels que sur l'iPhone « at home » et lire des livres en plus… Avec un prix

qui reste tout de même assez bas pour Apple (comparable au prix d'un netbook), les millions d’utilisateurs fans de iphone/ipod touch

habitués à payer très cher leurs produits l’achèteront facilement !

Ce qui me soucie plus en tant qu'éditeur de logiciels indépendant, c’est que le modèle itunes semble « sympa » mais en réalité ne

donne aux éditeurs de softs/livres/musique aucun contrôle sur le choix des produits mis en avant, le niveau des ventes, le mode de

promotion, et surtout la marge… Au final il y a un risque de contrôle excessif d’Apple sur la diffusion de la musique, des livres, et des

logiciels téléchargés en payant…

Apple la marque « cool » devenu nouvel épouvantail monopolistique après Microsoft et Google ? C’est une possibilité…

9

Plutôt plus confiant

29%

Plutôt moins confiant

64%

(Ni plus, ni moins)

6%

(NSP)

1%

Confiance en l’avenir de la

situation économique en France

Depuis ces dernières semaines, êtes-vous plutôt plus confiant ou plutôt

moins confiant concernant l’avenir de la situation économique en France ?

=*

+2*

* Comparaison avec la vague du mois de janvier

Indice « Plutôt plus confiant » - « Plutôt moins confiant » = -35

(Rappel janvier -33)

10

Depuis ces dernières semaines, êtes-vous plutôt plus confiant ou plutôt moins

confiant concernant l’avenir de la situation économique en France ?

Évolution de la confiance en l’avenir de la

situation économique en France

34

53

20

12

20

14 14 12 1116 18 17

2628

3431

29 29 29 29

59

36

72

8372 77 80 82 83

76

74 75

63 6157

62 6364 62 64

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

dé

c.-

06

jan

v.-

07

févr.

-07

ma

rs-0

7

avr.

-07

ma

i-0

7

juin

-07

juil.

-07

ao

ût-

07

se

pt.

-07

oct.

-07

no

v.-

07

dé

c.-

07

jan

v.-

08

févr.

-08

ma

rs-0

8

avr.

-08

ma

i-0

8

juin

-08

juil.

-08

ao

ût-

08

se

pt.

-08

oct.

-08

no

v.-

08

dé

c.-

08

jan

v.-

09

févr.

-09

ma

rs-0

9

avr.

-09

ma

i-0

9

juin

-09

juil.

-09

ao

ût-

09

se

pt.

-09

oct.

-09

no

v.-

09

dé

c.-

09

jan

v.-

10

févr.

-10

Plutôt plus confiant Plutôt moins confiant

11



Évolution de l’indice de confiance en l’avenir

de la situation économique en France

-25

17

-52

-71

-52

-63-66

-70-72

-60-56

-58

-37

-33

-23

-31-34 -35 -33 -35

-80

-70

-60

-50

-40

-30

-20

-10

0

10

20

30

dé

c.-

06

jan

v.-

07

févr.

-07

ma

rs-0

7

avr.

-07

ma

i-0

7

juin

-07

juil.

-07

ao

ût-

07

se

pt.

-07

oct.

-07

no

v.-

07

dé

c.-

07

jan

v.-

08

févr.

-08

ma

rs-0

8

avr.

-08

ma

i-0

8

juin

-08

juil.

-08

ao

ût-

08

se

pt.

-08

oct.

-08

no

v.-

08

dé

c.-

08

jan

v.-

09

févr.

-09

ma

rs-0

9

avr.

-09

ma

i-0

9

juin

-09

juil.

-09

ao

ût-

09

se

pt.

-09

oct.

-09

no

v.-

09

dé

c.-

09

jan

v.-

10

févr.

-10

Indice de confiance

12

Confiance en l’avenir de la situation économique en France selon la

catégorie professionnelle



CSP-

CSP+

Ensemble

31%

28%

29%

63%

63%

64%

6%

9%

7%

Plutôt plus confiant Plutôt moins confiant (Ni plus, ni moins) / (NSP)

=

-5pts

(Cadre sup.,

Prof. lib. + Prof. Inter.)

(Employé +

Ouvrier)

* Comparaison avec la vague du mois de janvier

Evolution Plutôt

plus confiant*

+6pts

13

Opinion sur la

politique menée à

l’égard de la fonction

publique et des

fonctionnaires

14

Opinion sur la politique menée à l’égard de la fonction publique et des

fonctionnaires

Vous personnellement, que pensez-vous de la politique menée par Nicolas Sarkozy à l’égard de

la fonction publique et des fonctionnaires. La jugez-vous … ?

Très bonne5%

Plutôt bonne30%

Plutôt mauvaise35%

Très mauvaise22%

(NSP)8%

ST Bonne 35%

ST Mauvaise 57%

15


fonctionnaires selon la proximité partisane

Sympathisants de

Gauche

Sympathisants de

Droite

Ensemble

2%

13%

5%

19%

52%

30%

43%

20%

35%

31%

10%

22%

5%

5%

8%

Très bonne Plutôt bonne Plutôt mauvaise Très mauvaise (NSP)

35%

65%

21%

ST

Bonne

57%

30%

74%

ST

Mauvaise



16

CSP-

CSP+

Ensemble

6%

5%

5%

30%

31%

30%

32%

33%

35%

24%

25%

22%

8%

6%

8%


(Cadre sup., Prof. lib. + Prof. Inter.)

(Employé +

Ouvrier)


fonctionnaires selon la catégorie professionnelle



35%

36%

36%

ST

Bonne

57%

58%

56%

ST

Mauvaise

17


fonctionnaires selon le statut de l’interviewé

Salariés du secteur public

Salariés du secteur privé

Ensemble

3%

6%

5%

19%

36%

30%

36%

32%

35%

36%

18%

22%

6%

8%

8%




35%

42%

22%

ST

Bonne

57%

50%

72%

ST

Mauvaise

18

Opinion sur les

chômeurs arrivant en

fin de droit

19

Le signe que la crise économique mondiale a rendu de plus en plus difficile pour les

chômeurs de retrouver

rapidement un emploi

55%

Le signe que le gouvernement

mène des réformes conduisant à

exclure du système de plus en plus de

Français40%

(NSP)5%


Selon le Pôle Emploi, un million de chômeurs arrivera en fin de droit d’ici la fin de

l’année. Pensez-vous que c’est avant tout…

20




selon la proximité partisane

Sympathisants de Gauche

Sympathisants de Droite

Ensemble

44%

70%

55%

53%

24%

40%

3%

6%

5%

Le signe que la crise économique mondiale a rendu de plus en plus difficile pour les chômeurs de retrouver rapidement un emploi

Le signe que le gouvernement mène des réformes conduisant à exclure du système de plus en plus de Français

(NSP)

21

CSP-

CSP+

Ensemble

51%

57%

55%

45%

38%

40%

4%

5%

5%

Le signe que la crise économique mondiale a rendu de plus en plus difficile pour les chômeurs de retrouver rapidement un emploi

Le signe que le gouvernement mène des réformes conduisant à exclure du système de plus en plus de Français

(NSP)

(Cadre sup.,

Prof. lib. + Prof. Inter.)

(Employé +

Ouvrier)


selon la catégorie professionnelle



22

Potentiel de l’I-pad

23

Oui50%

Non29%

(Ne connait pas du tout le sujet)

18%

(NSP)3%

Opinion sur le potentiel de l’I-pad

Le constructeur informatique Apple vient de lancer un tout nouveau produit

technologique, l’I-pad, qui est une tablette tactile multifonctions de la taille d’un petit

ordinateur portable.

Pensez-vous que ce nouveau produit connaîtra le même succès sur le marché des

ordinateurs que l’I-Phone a connu sur le marché des téléphones ?

24

Oui63%

Non37%

Opinion sur le potentiel de l’I-pad






Base «exprimés» (à l’exclusion des 21% de non réponses) :

25

Opinion sur le potentiel de l’I-pad selon l’âge






65 ans et plus

de 50 à 64 ans

de 35 à 49 ans

de 25 à 34 ans

de 15 à 24 ans

Ensemble

34%

55%

49%

56%

58%

50%

19%

22%

35%

34%

38%

29%

43%

20%

12%

8%

4%

18%

4%

3%

4%

2%

3%

Oui Non (Ne connait pas du tout le sujet) (NSP)

Documents

BAROMÈTRE DE L’ÉCONOMIE€¦ · BAROMÈTRE DE L’ÉCONOMIE BVA - BFM - LA TRIBUNE - AVANQUEST Confiance en l’avenir de la situation économique en France Opinion sur la politique