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Magazine interparoissialCommission paritaire n°0615 L 86686Comité de rédaction : Michel BARRAULT,Daniel BOURTON, Raymonde BOURTON,Geneviève CAILLOUX, Yves DRIARD, Thérèse MARTIN, Monique MARTINET,Bernard MERCIER, Danielle CHAUMETTE.Secrétaire de rédaction : Monique MARTINETDirecteur de publication : Bernard MERCIER68, bd Maréchal Foch 45240 LA FERTÉ SAINT AUBINRédaction des pages locales et abonnement : s’adresser à la paroisseCorrespondance : Monique MARTINET30, domaine de Beauvoir 45250 BRIAREPublicité : Bayard Service Régie18, rue Barbès 92128 Montrouge CedexTél. 01 74 31 74 10 - Fax 01 74 31 74 40E-mail : bsr-idf@bayard-service.comMaquette et impression :Imprimerie GiennoiseZI avenue des Montoires 45500 GIENTél. 02 38 67 26 25E-mail : imprimerie.giennoise@wanadoo.frEdité par : l’association Le Renouveau5, place du Château 45500 GIENPrésidente : Monique MARTINETAssociation Membre de la F.N.P.L.C.(Fédération Nationale de la Presse Locale Chrétienne)

S O M M A I R EP2/3 Une pâtissière peu ordinaireP3 EditorialP4 Un week-end pour Haïti Conférence-débat Gaël GiraudP5 Renaissance, mouvement chrétien de femmes en rupture de coupleP6 Animatrice de gym volontaireP7 Une femme sur les toits...P8 L’harmonie c’est aussi l’affaire des femmesPA CalendrierPB Décès du Père Emmanuel VossahPC Vers un monde meilleurPD/E Engagements de femmePF Le Centre Social Municipal de PithiviersPG Les scouts et guides mobilisés CarêmePH Nos joies, nos peines...P9 Il vit et il crutP10 Remerciements du PapeP11 La méthode NathanaëlP12 Les élections municipales P13 Liberté et réconciliationP14 A Puiseaux jadisP15 Au Brésil

Crédits photos, tous droits réservés : Le Renouveau4, rue du Châtelet - 45330 MAISONCELLES-COUDRAY

- E-mail : contact@rivieresarl.com

Mercredi des Cendres : 5 mars 2014 Beaune 18h30 (messe familiale) Puiseaux 18h00 Malesherbes 19h00 Sermaises-Autruy 19h00 à Sermaises Pithiviers 19h00Dimanche 16 mars : Journée Communautaire à Puiseaux de 9h30 à 16h30 Messe à 10h30Sacrement du Pardon : annonces dans les feuilles du Doyenné.Messe des Rameaux (12/13 avril 2014) Boiscommun le samedi 18h30 Puiseaux 10h30 Malesherbes 18h30 le samedi Sermaises-Autruy 10h30 à Autruy Pithiviers 10h30Jeudi Saint : 17 avril 2014 Beaune 20h00 (messe familiale) Puiseaux 18h30 Malesherbes 19h00 Sermaises-Autruy 18h30 à Autruy Pithiviers 19h00Vendredi Saint : 18 avril 2014 Boiscommun 15h00 Puiseaux 18h30 Malesherbes 19h00 Sermaises-Autruy 19h00 à Sermaises Veillée pascale : 19 avril 2014 Boiscommun 20h30 Puiseaux 20h30 Malesherbes 21h00 Sermaises-Autruy 20h00 à Autruy Pithiviers 21h00Pâques : 20 avril 2014 Boiscommun 10h30 Puiseaux 10h30 Malesherbes 10h30 Sermaises-Autruy 10h30 à Sermaises Pithiviers 10h301ères communions Dimanche 18 Mai, 10h30 pour Sermaises, Beaune, Puiseaux, Dimanche 22 Juin 10h30 pour Pithiviers et MalesherbesProfessions de Foi, Dimanche 15 Juin

Le 8 Avril 2014 sera marqué par les 70 ans de sacerdoce du Père Jacques Doublier !

Samedi 10 mai, à 20 h 30 à Malesherbes, célébration de ND de Fatima, avec la participation de Mgr Blaquart.

En route vers Pâques

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FunérariumCrématoriumContrat

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Ce mercredi 15 janvier 2014 fut un jour de grande douleur pour les chrétiens du Togo, plus particulièrement à Vogan et Aneho, et aussi pour notre Doyenné :l’annonce du décès soudain par accident de santé du Père Emmanuel. Nous sommes dans une profonde tristesse. « Comment un chêne aussi puissant peut-il s’écrouler si brutalement ? »

Etudes à Paris et vie pastorale à PithiviersLe Père Emmanuel a partagé la vie de la communauté chrétienne de Pithiviers à partir de la rentrée scolaire 2002 jusqu’en janvier 2008. Il est venu en France pour préparer un diplôme à l’Institut Catholique de Paris ; il a beaucoup travaillé et réussi ses examens. En même temps, il était au service de l’Eglise du Pithiverais, là où il était hébergé. Son intégration fut rapide ; il était avide de découvrir le mode de vie de chaque famille où il était reçu et partageait volontiers les activités des uns et des autres, adultes ou jeunes avec lesquels il a tissé des relations privilégiées.

Il était passionné de football (comme tous les africains, disait-il) ; des matchs spontanés s’organisaient avec des jeunes de tous âges et de tous bords. Tous les petits voulaient jouer avec le Père Emmanuel qui avait une frappe de balle phénoménale. Dans les temps de pause, le P. Emmanuel restait lui-même, calme, attentif, partageant la vie des enfants et des adolescents, des jeunes souvent surpris d’approcher un homme noir de peau, aussi gentil, aussi simple…, un prêtre de surcroit.Le Père Emmanuel a aussi découvert les plaisirs de la pêche, en famille, au bord de notre fl euve, la Loire. Il a goûté la joie de pêcher des petits poissons énergiques et résistants. Nous l’avons vu détendu et heureux comme un enfant. Son rire puissant et sonore montrait à quel point la pêche le reposait.Le Père Emmanuel a largement participé aux activités pastorales : mariages, baptêmes, messes dominicales à la ville et dans les villages proches. Et il avait une charge particulière près des jeunes dans le cadre de l’aumônerie des scolaires. Les animateurs laïcs se souviennent de sa présence forte, au-delà des prises de parole, toujours mesurées. Sa foi et sa paix intérieure transparaissaient dans sa seule présence, dans son écoute. Sa relation au temps différait de la nôtre : prendre le temps, prendre son rythme conduisait déjà à la réfl exion.

Retour au TogoAu fi l des années, nous avions oublié qu’il était de passage chez nous ; nous l’aurions bien gardé ! Mais il était attendu au Togo, et son évêque lui réservait une mission à sa mesure : la création et la direction du moyen Séminaire de Vogan.Chaque année nous avons eu le plaisir de l’accueillir à nouveau, il visitait ses amis, il partageait ses repas dans les familles. On se le disputait !Ainsi, nous avons suivi la construction du séminaire, l’amélioration des bâtiments et l’augmentation du nombre des élèves, leurs succès aux examens dont il était très fi er.Une association de jumelage a été créée en 2011 pour structurer les contacts avec le Moyen Séminaire et rechercher ici des aides pour Vogan.Des jeunes scouts de Pithiviers ont été reçus au Séminaire pendant l’été 2012. Ils gardent le souvenir d’un accueil très chaleureux, d’une grande attention à leur bien-être, des visites très intéressantes au cœur de la vie togolaise.

Pour nousSa vie d’homme et de prêtre est d’une grande fécondité. Il restera de lui son calme, sa discrétion, sa SAGESSE et aussi son attention délicate, son regard sur les enfants, sur les personnes âgées. Il nous a éveillés au respect dû aux anciens.Il demeure notre ami. Il est entré dans la Communion des saints. Toujours près de nous. Nous croyons qu’il continue au Ciel sa mission sur la terre, à l’image de Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus qu’il a priée à la Basilique de Lisieux.

Ce 31 janvier, en l’église de Pithiviers, nous étions en union de prière avec les Togolais lors d’une Eucharistie suivie d’une veillée animée par les Scouts, pour ses obsèques le samedi 1er février à 10h.

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Décès de notre ami, le Père Emmanuel Vossah.

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Dimanche 19 Janvier 2014 : 100ème Journée du Migrant et du Réfugié.

Vers un monde meilleur par une culture de la Rencontre

Depuis 100 ans, dans toute l’Eglise, une Journée Mondiale est dédiée à nos migrants et réfugiés.La Pastorale des Migrants et le Conseil Pontifi cal proposait : «Migrants et réfugiés : vers un monde meilleur». Passer à une «culture de la rencontre», «seule capable de construire un monde meilleur, plus juste et fraternel», voilà le cap!Dans notre doyenné, ont eu lieu diverses initiatives. A Pithiviers, avant la messe, un temps de témoignages a permis de mieux comprendre la réalité vécue par nos frères que nous croisons au quotidien. Après la messe, au Centre Paroissial, on a pu parler autour d’un verre puis d’un repas partagé. A Sermaises, une famille d’origine Bissau-guinéenne a lu le passage d’Isaïe de la messe du Jour : «Oui, j’ai du prix aux yeux du Seigneur».Rien n’apparait plus vrai que ces mots du pape François : «confi ance et espérance ; migrants et réfugiés portent dans leur cœur le désir d’un avenir meilleur non seulement pour eux-mêmes, mais aussi pour leurs familles et pour les personnes qui leur sont chères».

Quelques extraits de témoignages

Ma famille est en Centrafrique, le confl it est géopolitique et non pas religieux. Les communautés locales vivent en paix depuis toujours. En 2012, des mercenaires musulmans étrangers ont mené des exactions très violentes contre les chrétiens (80% de la population). L’archevêque de Bangui abrite l’Imam ; ensemble ils ont appelé à l’apaisement. Les évènements engendrent une grande misère. La population tente de migrer vers les états voisins et vers les Etats-Unis. Mais les demandes de visa pour la France ne sont plus étudiées : ainsi je ne peux pas faire venir mon père.La diaspora centrafricaine se mobilise, et verse une part de ses revenus en aide aux populations, aux centres de soins totalement démunis. J’ai reçu une éducation « civilisée » comme disait mon père, une éducation européenne complétée par la sagesse africaine reçue de ma grand-mère. Pour mes enfants, je souhaite une éducation européenne complétée par la culture africaine. Valentine

Musulmans à Pithiviers : Quelques pithivériens chrétiens ont été invités en voisins à la mosquée. L’imam et quelques fi dèles nous ont fait visiter le lieu et nous ont offert, selon leur tradition, du thé et des pâtisseries. Spontanément, nous avons ébauché un échange sur la foi en un Dieu unique. Le jour de l’ordination diaconale de François, ce sont les salariées turques de l’exploitation qui ont franchi le seuil de notre église; un grand moment d’émotion ! Nicole

Métis franco-centrafricaine, je suis arrivée en 2002; très bien accueillie, mais je cherche toujours à «savoir où je me situe». Jacqueline

Venue du Portugal il y a 50 ans ; je me souviens de mon arrivée à la gare d’Austerlitz, j’étais toute petite, j’en tremble encore aujourd’hui ! Maria

Arrivé il y a 25 ans depuis la Guinée - Bissau, j’habitais à Rouvres St Jean, je partais à 3h à pied dans la nuit pour embaucher à 5h à Sermaises. Mes amis sont partis à Pithiviers, mais ma femme et moi, nous préférons être à Sermaises, près du travail. Alberto

Ecrivain Camerounais : après la sortie de mon 1er livre au pays : «RETOUR AUX SOURCES», je me suis rapproché du ministère de la culture pour être soutenu, mais sans succès; je suis venu en France et à force de persévérance, j’y ai trouvé un éditeur, j’ai pu ainsi publier deux romans : «AURORE» et «ENLEVÉES PAR LEUR PÈRE AFRICAIN», bientôt un 4ème. Les diffi cultés rencontrées sont grandes, cependant, à partir de mon expérience, je tiens à dire aux africains et à tous les migrants qui se retrouveraient dans la même situation de ne pas baisser les bras pour la réalisation de leur rêve, surtout de toujours interpeller le Christ pour renforcer leur foi. Puis dans le même élan, on peut aider nos frères et sœurs. Séverin Michel

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Engagements FEMME ET ELUE

L’envie d’une expérience d’élue municipale.Cela a débuté par une passion pour l’Histoire de France et notamment la période révolutionnaire. Pendant ma scolarité, je me suis passionnée pour les cours d’instruction civique. J’ai donc eu la volonté de participer au fonctionnement de ces institutions qui nous gèrent au quotidien.Dans un village rural de moins de 500 habitants, la tâche ne me paraissait pas trop prenante. Mais il fallait passer le « concours » des élections. Cela entraîne une demande auprès des élus en place au moment pré-électoral. Ma candidature a été refusée, est-ce parce que j’étais une femme ? J’ai recherché d’autres personnes motivées pour constituer une liste même incomplète. A notre stupéfaction, tous les membres de la liste furent élus au premier tour.

La découverte de la gestion communale par la nouvelle élue.Dans le début des années 70, le Conseil municipal se réunissait une fois par trimestre avec un ordre du jour. Les sujets abordés traitaient essentiellement des budgets d’exploitation et d’investissement. Par exemple, il fallait délibérer sur la réfection du clocher de l’église avec l’installation d’une horloge rythmant les heures au son de la cloche. Cela parait anodin, mais cela serait-il accepté par les habitants et les résidents secondaires en quête d’un calme absolu ?Je découvris que le Conseiller municipal doit s’impliquer dans différentes commissions (travaux, fi nances, scolaire…). En plus, j’étais la première et la seule femme élue dans le canton, excepté le chef-lieu. Cela surprit certaines municipalités des environs. L’étonnement s’amplifi a quand je remplaçai le Maire qui démissionna pour raison de santé. J’étais résidente secondaire ! Pour exercer cette importante fonction se posait la question d’une présence accrue, donc du transport. Il m’a fallu d’abord acheter un cyclomoteur performant, puis, inévitablement, passer le permis de conduire… et le réussir !Aujourd’ hui, les tâches sont devenues plus compliquées et on ne pourrait pas travailler ainsi : être là pour reconnaître le décès d’un marginal, tenter de régler à l’amiable des confl its de voisinage, autant d’imprévus qui surgissent. J’ai même été assimilée à une assistante sociale, sans doute à cause de ma sensibilité féminine.

Prise dans un engrenage qui conduit au-delà de la commune.Je participais aux réunions des syndicats intercommunaux, ceux du canton, mais aussi des communes du département voisin. Voulant pousser plus loin mon service, j’ai postulé pour faire partie du Conseil d’Administration de l’Association des Maires du Loiret, puis j’en suis devenue secrétaire. Dans cette association, nous n’étions que quelques femmes. L’accueil dans cette instance fut bien meilleur que mes premiers contacts avec les maires du canton, tous masculins, lors des premières réunions intercommunales. J’étais une femme, jeune, non issue du milieu agricole, dans une région rurale, cela s’apparentait à une incongruité !

Mais aussi des relations avec l’EgliseDans une région « d’incroyance tranquille », il me paraissait important de préserver notre patrimoine, bien que la loi de 1905 défi nisse la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Cela s’est traduit par des achats pour le remplacement de mobilier (bancs, autel…), des réfections (électricité). Ponctuellement, l’église était nettoyée par l’employé communal.Quand la célébration régulière des messes a cessé, s’est posée la question de l’occupation de l’église pour des évènements culturels. J’ai donc écrit à l’évêque d’alors, le Père André Fort, qui m’a donné téléphoniquement, une réponse d’attente. Egalement, le Père René Picandet, évêque du diocèse, nous avait rendu une visite pastorale dont le thème était : « Chrétiens acteurs dans la société ». J’ai une grande reconnaissance envers lui pour l’appui qu’il m’a apporté lors d’une grosse diffi culté.

En conclusion : Aujourd’ hui, d’autres femmes sont les premiers magistrats de leurs villages. J’ai eu l’impression d’être une pionnière. Maintenant, la loi exige la parité entre hommes et femmes dans les instances civiles et administratives. Cela confère une réelle harmonisation de la vie sociétale.

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de femmes FANNY PERON, 83 ans :

Itinéraire d’une Pithivérienne, professeur bénévole depuis 1995 au Centre social à Saint-Aignan.

Revenons quelques instants sur ton parcours...Je me suis mariée très jeune à 21 ans avec Claude qui avait 23 ans. Avec 5 enfants et un mari sur les routes car représentant, je me suis dit que prendre un commerce serait une solution plus viable pour nous, d’autant que j’étais moi-même fi lle de commerçant. Soutenus moralement et entourés par nos deux familles, nous avons monté le magasin d’articles de sport, La Hutte, qui a vite bien marché et auquel j’ai adjoint pour mon bonheur un rayon de prêt-à-porter. Et voilà !En 1995, je prends ma retraite.

Et c’est là que tu t’engages à Saint-Aignan...Oui, pendant mes dernières années d’activité, je me disais que je devrais bien employer ma retraite et j’avais le désir d’aller sur Saint-Aignan. Je trouvais qu’habitants du centre-ville et habitants de Saint-Aignan, nous vivions parallèlement. Pour moi, ce n’est pas comme cela que doivent vivre des chrétiens ; alors, ma Foi m’a poussée à m’investir à Saint-Aignan auprès de Monique Alletti qui y vivait et avait mis en route les cours d’alphabétisation.

Tu évoques une expérience si riche d’échange et de connaissance de l’autre...Alors que les maris travaillent et les enfants sont à l’école, les femmes quittent leur cuisine et profi tent des cours de français. En près de 20 ans, que de bonheur partagé ! Nous sommes deux équipes de quatre bénévoles qui nous relayons le lundi et le jeudi. Nous animons la classe de 1er niveau :le plus souvent une dizaine de femmes assistent aux cours ; certaines passeront en classe supérieure au bout d’un an ; d’autres viennent plus en dilettante. Il faut dire que les nouvelles lois obligent désormais les candidates à la naturalisation à suivre des cours pendant deux années. Face à l’hétérogénéité des niveaux et des motivations, un seul mot d’ordre :encourager et être prompt à être positif sur tout petit progrès précis !

Propos recueillis par Natalie VigierPrPrPropopopososos rrrecececueueueililillililis s s papapar r r NaNaNatatatalililie e ViV gie

Photos © Natalie Vigier / Compagnie du Petit Musc

Rejoindrel’église locale

BEAUNE-BOISCOMMUN25, rue du Cdt Rolland45340 BoiscommunTél : 02.38.33.75.58Permanence : Samedi de 10 h à 11 h 30

✝MALESHERBES2, place de l’église45330 MalesherbesTél : 02.38.34.80.41Fax : 02.38.34.82.40paroisse-malesherbes@orange.frPermanence : Mercredi et samedi de 10 h à 11 h 30Présence d’un prêtre le mercredi de 10 h à 12 h

✝PITHIVIERS6, place Denis Poisson45300 PithiviersTél : 02.38.30.02.66Fax : 02.38.06.00.52paroissepithiviers@gmail.comPermanence : Lundi au vendredi de 10 h à 12 h et de 14 h à 16hLe samedi de 9 h 30 à 11 h 30

✝PUISEAUX2, rue Blanchard45390 PuiseauxTél : 02.38.33.61.39Fax : 02.38.33.51.85Permanence : Samedi de 10 h 30 à 12 h

✝SERMAISES1, av de la gare45300 SermaisesTél/fax : 02.38.39.73.34Permanence : le samedi de 9 h à 11 h

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RESTAURANTREPAS D’AFFAIRES

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Rive du Bois45340 CHAMBON-LA-FORÊTTél. 02 38 32 28 44 - Fax 02 38 32 02 61Site : www.auberge-rivedubois.com

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LE FOYER LUMINEUXÉLECTRICITÉ

CLIMATISATIONCHAUFFAGEPLOMBERIE

SALLE DE BAINS

19, rue de l’Hôtel-de-Ville - 45340 BOISCOMMUNTél. 02 38 33 76 45 - Fax 02 38 33 76 16

Transports PETITToutes distances

Tél. 02 38 32 23 69 - Télécopie 02 38 32 24 33

Bois Flotin45340 BOISCOMMUN

S.A.S. CHRISTOPHE GOUGEAncien Ets Berger Christian

Plomberie-Chauffage-ClimatisationAménagement de salle de bain

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Portable : 06 16 86 15 01-Email : saschristophegouge@bbox.fr

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Le Centre Social Municipalde Pithiviers

Au service de tous…

L’objectif du Centre social est de permettre « le mieux vivre ensemble » en donnant aux habitants l’occasion de mieux se connaître. Il n’est pas réservé aux personnes en diffi culté. Il invite tous les Pithivériens à vivre la mixité sociale et la solidarité en participant à des activités et des rencontres.Dans trois lieux, l’antenne François Villon à Saint Eloi, l’antenne Camille Claudel à Saint Aignan et l’antenne Madeleine Rolland en Centre-ville, il offre des activités variées.

Des ateliers sont ouverts aux adultes : calligraphie, cuisine, mosaïque, bois, vannerie, couture, jardinage, informatique, gym douce…Des rencontres permettent l’échange et l’écoute : Pauses café, jeux… Pour les familles des visites et des sorties sont organisées ainsi que des activités intergénérationnelles.Des services sont offerts avec la Mission Locale qui accueille et informe les jeunes pour leur orientation et leur insertion sociale et professionnelle, tandis que « Coup de main papiers » est à la disposition de tous ceux qui ont besoin d’aide pour des courriers, des dossiers, des démarches administratives.Grâce à l’aide de 16 bénévoles, des cours d’alphabétisation et de perfectionnement dans la langue française sont donnés aux adultes et l’accompagnement scolaire, (aide aux devoirs et activités socio-éducatives) est organisé dans les trois lieux pour les élèves du CP au CM2 et les collégiens de la 6ème à la 3ème. Enfi n des temps forts comme la Fête interculturelle, le Téléthon, la Fête de printemps ou celle des voisins, permettent de rassembler les Pithivériens.

Récits de vie

Ce fi lm documentaire réalisé par Danièle et Jean Ridereau, en partenariat avec le Centre Social de la ville de Pithiviers, a nécessité 18 mois de rencontres, de soirées d’échanges et de tournage.Madame Elizabeth Vidal, directrice du Centre Social, souhaitait, depuis longtemps déjà, rassembler les témoignages de Pithivériens venus d’ailleurs dans les années 1960 1980. Au fi l des rencontres, certains lui avaient raconté leur histoire : enfance vécue ailleurs, départ dans des conditions parfois tragiques avec l’espoir d’une vie moins dure, installation et diffi cultés rencontrées à l’arrivée, efforts déployés pour s’adapter puis construction de leur vie ici. Un livre, c’était compliqué et pas à la portée de tous, un enregistrement vocal, pas satisfaisant non plus. Au fi nal, 24 personnes, originaires d’une autre région de France, du Portugal, d’Algérie, du Maroc, de Turquie, d’Afrique ou du Cambodge ont accepté d’être fi lmées.Réalisé sans voyeurisme et avec la volonté de ne pas trahir ce que voulait dire les acteurs, le fi lm leur a été projeté afi n qu’ils puissent demander des modifi cations ou des coupures. Aucune n’a été sollicitée. Le résultat est un fi lm touchant et optimiste qui a permis de montrer que, malgré les différences, le désir de bien vivre ensemble était le même pour tous. Les jeunes générations ont entendu une parole souvent peu exprimée. A l’issue de la projection, ne jeune fi lle a dit : « Je suis fi ère de mon grand-père. »En Novembre 2013, une projection publique, au cinéma le Mail, a fait salle comble, on a même dû refuser du monde et programmer une autre séance. Ce très beau documentaire sera ensuite proposé à des centres sociaux, à des établissements scolaires, à des salles Art et Essai ainsi qu’à à des chaînes de télévision comme Arte.

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Les scouts et guides de Pithiviers se sont mobilisés pour transmettre un symbole de paix le dimanche 15 décembre

La Lumière de la Paix Bethléem est un événement scout chrétien qui se déroule chaque année pendant la période de l’Avent, depuis 25 ans. Allumée dans la grotte de la Nativité à Bethléem par un scout autrichien, la Lumière est rapportée à Vienne, où elle est transmise à des délégations scoutes et guides venant de toute l’Europe.

Ainsi, chaque année à la mi décembre une délégation commune aux Scouts et Guides De France (SGDF) et aux Eclaireuses et Eclaireurs Unionistes de France (EEUDF) se rend à Vienne pour recevoir la Lumière. A son retour à Paris, elle la transmet à des Scouts et Eclaireurs venus de toute la France, pour que les groupes locaux continuent ensuite la chaine de diffusion de la Lumière.

Comme prévu, cette lumière est arrivée à Paris dimanche 15 décembre dernier au matin, en provenance de Bethléem via Vienne. Des scouts et guides de Pithiviers et de Montargis sont allés la chercher et l’ont rapportée à Ladon, où a eu lieu une célébration en compagnie des aumôniers des deux villes, des scouts et guides, et de leurs familles. Toutes les tranches d’âge étaient représentées,

et tous ont échangé des messages de paix et de joie. Ceux qui étaient allés chercher la lumière à Paris l’ont transmise aux membres de l’assemblée, et chacun est parti avec sa bougie vers son foyer. Une bien belle ambiance de fraternité et de chaleur humaine à la veille de Noël...

Sylvain Mahuzier

Du samedi 26 avril à 14 h au dimanche 27 avril 2014 à 17 h Eglise St Martin de Malesherbes : Fête de la Divine Miséricorde animée par le Père Benoît Marie Berger (Dominicain).

Le carême est un temps de préparation. C’est aussi un chemin, une route que l’on doit suivre et qui nous permet de « faire le lien ». Le lien avec nous-même,en nous débarrassant du superfl u grâce au jeûne, le lien avec Dieu à travers la prière, le lien avec nos sœurs et nos frères en

humanité à travers le partage.Les propositions d’animations spirituelles et liturgiques qui vont suivre pourront vous aider à construire ces liens, à rejoindre l’humanité dans toute sa diversité aussi bien ici, au sein de nos communautés que par-delà les mers et les continents, aux quatre coins du monde. Renforçons nos liens de fraternité pour, ensemble, entrer dans la joie de Pâques.

Dans le cadre de la campagne de Carême,- A Pithiviers : Célébration du mercredi des Cendres avec partage d’un bol de soupe le 05 mars 2014.

- Le mardi 18 mars 2014, soirée au Relais. 23 rue des Tirelles.45170 Chilleurs aux Bois avec Tonio, un petit agriculteur Brésilien engagé dans l’agroécologie.

- Cinquième dimanche de Carême avec collecte des enveloppes CCFD le dimanche 06 avril 2014.

Détails sur le site : http://www.orleans.catholique.fr/evenements/agenda.html

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Baptêmes Profession de foi 1ère communion Con rmations Mariages Obsèques

BeauneBoiscommun Malesherbes Pithiviers Puiseaux

SermaisesAutruy Total

49 29 102 37 18 23549562053

272

10 4 28 71610 10 20

3 3 14216 10 18 7

79 39 67 54 33

SUR LES REGISTRES PAROISSIAUX en 2013

PUISEAUX4e trimestre 2013

BEAUNE - BOISCOMMUN4e trimestre 2013

BAPTÊMESCommencement de la vie chrétienne BROMEILLES : Jude BONNOT

ONDREVILLE : Louane SABOT

OBSÈQUES Prière publique de l’EgliseBATILLY : Odette GIRARD - MERIGOT, Marguerite ARNAULT. BEAUNE : Simone BAUDET - GREGOIRE, André DEDIEU, Christian GAY, Désiré BRETHEREAU. BOISCOMMUN : Simone LEROY, Jeannine MEUNIER - ENOUS. GAUBERTIN : Romain TARDIF JURANVILLE : Ghislaine DENOYE MONTLIARD : Yvonne DRIARD NANCRAY sur RIMARDE : Madeleine METIVIER NIBELLE : Raymonde ROUSSEAU - LEROY SAINT LOUP : Lucien BOSSARD, Odette GILLES - CAILLARD.

OBSÈQUESPrière publique de l’Eglise AUGERVILLE : Odette GRANDJEAN épouse DEZE AUXY : Andrée METAIS Vve CHARVILLAT,Bernard BOURRAND. BEAUMONT : Lucien RIVET, Marie-Antoinette PAYEN, Andrée AMOKRANE. BOËSSES : Lucien BONAL BURCY : Félix LIMODIN BRIARRES-SUR-ESSONNE : Michel MARCHENAY, Victor DUMANOIR. DESMONT : Philippe FEDELE GRANGERMONT : Yvette ABSOLU Vve PLACIER LA NEUVILLE : Roger SABOURIN,Yolande PRAZ Vve LEROY. ONDREVILLE : Jean PUTIGNY PUISEAUX : Gisèle TOUTAIN, Christiane GINGREAU Vve BARRÉ, Désirée MAISON Vve FOIRAT, Suzanne SIMON.

Nos joies, nos peines...

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