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Appel d’airPHOTOGRAPHIEDe très belles raisons
d’ouvrir les yeux
ARTCachez ce sexe
que je ne saurais voir...
PORTRAITSDes femmes d’exception
pour la défense des libertés
NOSTALGIE
Marques, pubs et jouets cultes
de notre enfance
CINÉMA
Promenade inédite dans le monde
féerique de Peau d’âne
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PÂTISSERIE
D’EXCEPTION
/// Toutes les facettes du caramel,
même les plus insoupçonnées
/// Le macaron, icône du XXIe siècle
/// La pâte à chou : des sensations inédites,
surprenantes et terriblement gourmandes
/// La confi serie, un univers de douceur
Appel d’air
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Retrouvez-nous sur…www.editionsdelamartiniere.fr
www.facebook.com/editionsdelamartiniere
ed_lamartiniere
Appel d’air
La revue semestrielle des Éditions de La Martinière
Informations & abonnements :
Éditions de La Martinière
25, boulevard Romain Rolland
75014 Paris
Tél. 01 41 48 80 00
Fax 01 41 48 83 89
Directeur : Jocelyn Rigault
Directrices éditoriales :
Florence Lecuyer, Anne Serroy
Directrice Entreprises
& Partenariats :
Corinne Schmidt
Directrice de la Communication :
Patricia Ropartz
Retrouvez-nous sur…www.editionsdelamartiniere.fr
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ed_lamartiniere
Appel d’air
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25, boulevard Romain Rolland
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Directrice de la Communication :
Patricia Ropartz
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Family Love,
Darcy Padilla
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Vis-à-vis,
Gail Albert Halaban
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Musée national,
Marc Lathuillière
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Liu Bolin
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China Now
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Ángel Gitano,
Ruven Afanador
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Harcourt, le mythe
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Hollywood
en Kodachrome,
1940-1949
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Cadets,
Paolo Verzone
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40 ans
de photojournalisme
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Libérez Paris !
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L’Empire Céleste
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Musée de l’Ermitage,
Saint-Pétersbourg
Shunga
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Cache-sexe
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Diableries
Mort ou Vif
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Oscar Wilde
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Libres comme elles,
Audrey Pulvar
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Jouets cultes
du XXe siècle
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Marques et Pubs cultes,
Pierre Lescure
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Infographie
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Robert Stadler
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Le Cinéma français
33
Les Plus Beaux
Génériques de cinéma
Le Hobbit, La Bataille
des Cinq Armées
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Il était une fois
Peau d’âne
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Artisans
du luxe français
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Comment recevoir
à la française
Pierre Frey
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Piaget
Maison
Goossens
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Love,
Yves Saint Laurent
Montres
d’exception
40
Liberty
So Shoes !
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Les Beatles
en solo
Leonard Cohen
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Ils sont partis
vivre ailleurs
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Women’s Book
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Australie
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New York
Little Cup
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Orchidées
du bout du monde
Secrets
de paysagistes
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Jardins en Majesté
APPEL D’AIR 7
BEAUX LIVRES
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FAMILYLOVE Darcy Padilla
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En 1993, Darcy Padilla,journaliste photographe-reporter, rencontre Julie Baird au coursd’un reportage à l’Ambassador,
un de ces hôtels du quartier de Tenderloin,
à San Francisco, qui tient lieu d’annexe
aux hôpitaux surchargés. Elle la suit pendant
18 ans, jusqu’à sa mort, témoignant à travers
elle de la pauvreté, des familles brisées, de la
toxicomanie, du sida, des relations violentes.
Des ruelles de San Francisco à l’arrière-pays
de l’Alaska, cet ouvrage raconte la vie de Julie
au rythme des naissances et des décès,
des pertes et des retrouvailles, des petits
bonheurs et des grandes douleurs. Une épopée
bouleversante de la vie et de la mort qui prend
forme à travers les photographies de Darcy
Padilla et les mots d’Emmanuel Carrère.
E N T R E T I E NA V E C E M M A N U E L C A R R È R E
Comment avez-vous découvert le travail
photographique de Darcy Padilla ?
La revue 6Mois, qui consacrait une partie de son premier
numéro au travail de cette jeune photographe américaine,
m’a contacté pour que j’écrive un texte qui accompagne
la publication de ses photographies. En les visionnant,
j’ai été littéralement scotché, pratiquement en larmes et
j’ai accepté le projet, qui m’est apparu comme une évidence.
Comment avez-vous procédé ?
Je suis allé une dizaine de jours à San Francisco. Darcy
m’a raconté l’histoire de Julie. J’ai examiné avec elle
quelques milliers de photographies par ordre chronolo-
gique pour pouvoir retranscrire ensuite ce qui se joue dans
cette longue, longue série d’images, souvent très dures.
En quoi ce travail se démarque-t-il d’un reportage
classique sur la misère urbaine ?
Ce qu’il y a de remarquable dans le travail de Darcy, c’est
qu’il a duré. Ce n’est pas rien de passer dix-huit ans dans
l’intimité de quelqu’un. Il s’est établi une véritable proxi-
mité entre ces deux femmes que pourtant tout oppose.
C’est cette histoire à la fois artistique et humaine que
retrace cette série de photos exceptionnelles qui sont
publiées ici pour la première fois. C’est ce que j’ai essayé
de rendre compte dans le texte que j’ai écrit.
Peut-on y voir une forme de complaisance ?
Absolument pas. Certaines photos sont extrêmement poi-
gnantes et peuvent déranger mais elles n’ont rien de com-
plaisant. Darcy a fait preuve d’empathie tout en conservant
une rigueur dans le regard et une rigueur morale remar-
quables. La vie de Julie a été une succession d’échecs mais
elle disait à la fi n de sa vie qu’il y avait une chose qui n’avait
pas été si mal, c’était sa rencontre avec Darcy. Quelqu’un
avait gardé trace de sa vie. Les photos donnent à voir mais
aussi à exister, du point de vue même de celle qui l’a vécue.
D’ailleurs le titre du livre est moins noir que le
destin de Julie...
C’est l’histoire d’une famille qui s’aime, dans la grande
douleur, la détresse, mais c’est avant tout une histoire
d’amour et de lien entre les gens : l’amour de Julie pour
ses enfants et ses compagnons, de Julie et son père, et
la relation singulière qui s’est créée entre Julie et Darcy.
« J’espère que vous ne cessez de penser à l’histoirede Julie. J’espère qu’elle vous touche. J’espère qu’elle vous fait voir le monde différemment. » Darcy Padilla
Family LoveDarcy Padilla
Texte d’Emmanuel Carrère
En coédition avec la revue 6Mois
28 x 23 cm – 336 pages – 62 €OCTOBRE 2014
A C T U E X P O
Exposition à la Librairie Photographique Le 29, à Paris, du 15 au 20 novembre 2014.
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Autour de la 6e rue, au nord-est de San Francisco, le quartier de Tenderloin est un ghetto noir, un mar-ché pour le crack, un foyer de misère et de criminalité
– on y voit même des gens fumer des cigarettes, c’est dire. La plupart des hôtels travaillent en lien avec les services sociaux, qui leur versent directement les allocations des clients pour être sûrs que leurs chambres soient payées avant qu’ils courent s’acheter leurs doses. Au début des années quatre-vingt-dix, au plus fort de l’épidémie de sida, ces hôtels tenaient aussi lieu d’an-nexe aux hôpitaux surchargés : on y plaçait les malades pour qui il n’y avait plus rien à faire, en dehors d’injections quotidiennes de mor-phine. C’était le cas de l’Ambas-sador, où la jeune photographe Darcy Padilla a commencé à venir en 1992, accompagnant dans sa tournée un médecin à qui elle consacrait un reportage. Quand elle l’a terminé, elle est revenue, seule, pour photographier au long cours des malades avec qui elle a noué des relations d’amitié. Aujourd’hui encore elle parle avec émotion de Brian, le transsexuel si fi er de sa poitrine ; de Diane, qui ne pesait plus que trente kilos ; de Steven, à qui elle a offert un volume des nouvelles de Salinger et qui avait si peur de mourir seul qu’elle aurait aimé lui promettre d’être là, le moment venu, mais elle savait qu’il ne faut jamais faire de promesses qu’on n’est pas sûr de tenir et même si elle passait plusieurs heures par jour avec Steven, lui faisant la lecture et le nourrissant de glace à la vanille, la seule chose qu’il pouvait encore absorber, elle n’était pas tout le temps avec lui et il est bel et bien mort seul, certainement dans l’horreur et le désespoir, à 3 heures du matin, pendant que Darcy dormait tranquillement avec son petit ami de l’époque, à sept ou huit blocs de là.
Les histoires de Brian, de Diane, de Steven et de beau-coup d’autres se ressemblaient : familles pauvres et violentes, premières fugues très jeunes, drogue, prostitution, vie dans la rue, et puis la maladie qui leur tombait dessus, les trans-formait en sac d’os et d’escarres et les entraînait jusqu’au trou noir, dans une chambre sordide de l’hôtel Ambassador. Ces gens qui avaient alors vingt ou trente ans sont tous morts aujourd’hui et il n’y a personne pour se souvenir d’eux, sauf Darcy qui garde chez elle des centaines de photos de chacun, dans des cartons qui portent leurs noms. Ces tirages noir et blanc où on les voit rire, pleurer, exhiber leurs plaies, leurs peurs et leurs misères, sont la seule trace qui reste de leur passage sur terre. Le livre dont rêvait alors Darcy, et qui devait s’appeler Separate lives, different worlds : living poor in urban
America, n’était pas centré sur l’un d’eux, elle pensait plutôt à une galerie de portraits et, quand elle a rencontré Julie elle n’imaginait bien sûr pas qu’elle passerait les dix-huit années suivantes à faire la chronique de sa vie, jusqu’à sa mort.
Julie et Jack étaient des clients de l’hôtel Ambassador parmi d’autres mais ils se distinguaient des autres parce que, bien que séropositifs tous les deux, ils n’étaient pas malades et venaient même d’avoir un enfant. Elle avait dix-neuf ans, lui vingt, et Rachel neuf jours. Julie passait le plus clair de la journée avec Rachel dans le hall de l’hôtel, où elle se sentait mieux que dans leur chambre infestée de puces. Elle se tenait là, assise dans le fauteuil près de la baie vitrée donnant sur
la rue, la braguette de son panta-lon grande ouverte sur son ventre encore dilaté par la grossesse. Elle était méfi ante, hargneuse, si quelqu’un lui adressait la parole elle l’envoyait se faire foutre. Mais Darcy, gentiment, lui a proposé de photographier son bébé que depuis sa naissance personne n’avait pho-tographié et elle s’est adoucie. Mal-gré sa réticence à signer quoi que ce soit, elle a accepté de signer le
formulaire que lui a tendu Darcy : OK pour être photographiée, OK pour que les photos soient éventuellement publiées. Bien-tôt, Jack les a rejoints, il a pris Rachel dans ses bras, joué le jeune père attendri, et il était surtout attendrissant de voir les efforts et la maladresse qu’il mettait à tenir ce rôle. Ils étaient très contents, fi nalement, d’être photographiés en jeunes parents. C’était comme s’ils étaient des gens normaux, comme s’ils avaient une famille.Ce jour de janvier 1993, Darcy est devenue leur famille.
Texte d’Emmanuel Carrère, extrait du livre Family Love
En coédition avec
Le travail photographique de Darcy Padilla a été récompensé par de nombreux prix, notamment le
W. Eugene Smith Grant in Humanistic Photography, le John Simon Guggenheim Memorial Founda-
tion, le Getty Images Grants for Editorial Photography et le World Press Photo.
Darcy Padilla est représentée par l’agence VU.
« C’est cette histoire à la fois artistique et humaine que retrace cette sériede photos exceptionnelles qui sont publiées ici pour la première fois. »
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Gail Albert Halaban
FENÊTRE SUR COUR PARISIENNE« J’aimerais voir l’intérieuret l’extérieur en même temps », écrivait Edward Hopper au débutdes années 1960. Cet aveu trouveun écho singulier dans les imagesde la photographe new-yorkaiseGail Albert Halaban.
On y voit toute une galerie de personnages qui semblent en proie à la solitude et à la mélan-
colie des grandes villes. Bribes d’existence, fourmillement d’individus mais immobilité et
mise en scène des sujets à travers ce cadre photographique naturel qu’est la fenêtre. Voir
sans être vu, c’est toute la problématique du photographe qui souhaite fi ger une temporalité
authentique, donner son point de vue sans en dénaturer le propos. Véritable « fenêtre sur cour »
parisienne, Vis-à-vis nous offre un Paris intime, à nu, revisité.
Textes de Cathy Rémy et de Christian Caujolle
Vis-à-visGail Albert Halaban
Introduction de Cathy Rémy
Préface de Christian Caujolle
37,5 x 28,5 cm – 128 pages – 55 €OCTOBRE 2014
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SILENCIO
Thomas Jorion
36 x 25 cm – 216 pages – 69 €
A C T U E X P O
Exposition à la Galerie Esther Woerdehoff, à Paris, en février 2015.
« Le regard porté par Gail Albert Halaban, mêmeau travers des fenêtres, est un regard extérieur,porteur d’une culture qui magnifi e Paris, et il nous demande d’accepter que l’on puisse considérerl’univers comme un réservoir d’inépuisables fi ctions. »
Christian Caujolle
GREGORY CREWDSON
Melissa Harris, Jonathan Lethem, Nancy Spector
34,3 x 31,1 cm – 400 pages – 130 €
DÉJÀPARU
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Marc Lathuillière
LA FRANCE SOUS LE MASQUEEn 2004, Marc Lathuillière entreprendun travail photographique de muséifi cationet de représentation en image des différents métiers traditionnels de l’Hexagone.
De l’artisan anonyme aux élites et célébrités locales ou nationales, tous
ont accepté de se faire photographier en portraits masqués. À travers ces
200 portraits contextuels de personnages archétypes réalisés aux quatre
coins de la France, Musée national crée un décalage constant entre l’esthé-
tique photographique forte d’une France touchante, et la rigidité du masque
imposé, toujours le même, qui remet en doute l’authenticité des décors et des
personnages. Parce qu’il les fi ge, le masque questionne sur la reproduction
d’un modèle français aujourd’hui en pleine crise.
Un regard poétique et déstabilisant sur les Français et leurs lieux
de mémoire préfacé par Michel Houellebecq.
Musée nationalMarc Lathuillière
Préface de Michel Houellebecq
28,5 x 24,5 cm – 216 pages – 45 €OCTOBRE 2014
A C T U E X P O
Exposition Musée national
à la Galerie Binôme,
à Paris, du 6 novembreau 20 décembre 2014.
« […] j’aurais accepté assez
facilement de mettre un masque,
et de jouer mon propre rôle.
Je suppose que, dans le projet
de Marc Lathuillière, j’aurais été
le grantécrivain, devant un café,
fumant des Gitanes, au Flore.
Eh bien je l’aurais fait, avec
un certain plaisir même. »
Michel Houellebecq
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Liu Bolin
Liu Bolin est un caméléon qui se joue des caractéristiques urbanis-
tiques de nos sociétés modernes. Pékin, Paris, New York, Rome, Venise,
Bruxelles… les décors dans lesquels il se camoufl e deviennent partie
intégrante de son être, véritables prolongements de son corps, mais aussi
tableaux modernes qui racontent simultanément la présence et l’absence
de l’homme au monde. Points de vue social, architectural, politique, éco-
nomique et écologique, c’est avec ironie, contemplation et sarcasme que
l’artiste chinois, devenu adulte dans la Chine des années 1990, sur les
cendres de la Révolution culturelle, offre à travers clichés et sculptures un
panorama complet du monde contemporain.
LE CAMÉLÉON« Chacun choisit sa propre voie et son mode
de connexion vers le monde extérieur. J’ai décidé de me fondre dans l’environnement. Certains diront que je disparais dans le paysage ; je dirais pour ma part que c’est l’environnement qui s’empare de moi et jene peux pas choisir d’être actif ou passif. » Liu Bolin
Croyez-vousce que vous ne voyez pas ?
ÉDITION LIMITÉE
Liu BolinIntroduction de Philippe Dagen
Biographie de Silvia Mattei
32 x 25,6 cm – 224 pages – 49 €OCTOBRE 2014
Liu Bolin, version luxeSous coffret en Balacron
avec un tirage numéroté et signé
(170 exemplaires)
450 €
A C T U E X P O
Exposition à la Galerie Paris-Beijing, à Paris,
d’avril à juin 2015.
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Par la nouvelle scène
photographique
contemporaine chinoise
Depuis trente ans, la Chine n’en fi nit pas de se métamorphoser et de bousculer
l’équilibre de l’économie mondiale. Devant l’ampleur et la vitesse de ces boule-
versements, il apparaît impossible d’avoir une vision réelle et globale du pays
à travers le regard d’un seul photographe. C’est pourquoi Yann Layma, qui
vit depuis de nombreuses années à Pékin, s’est entouré de 14 photographes
chinois – Yin Liqin, Wang Yuwen, Yann Layma, Wu Pingguan, Qiu
Yan, Lu Guang, Wu Jianbin, Ouyang Xinkai, Qi Shihui, Chen Bixin,
Zhan Youbing, Xu Jingyan, Yu Haibo, Li Yuxiang et Chen Haiwen –
pour nous offrir, à travers une sélection de 140 images fortes, une vision juste
et contemporaine de la Chine d’aujourd’hui.
China NowSous la direction de Yann Layma
36 x 25 cm – 192 pages – 49 €OCTOBRE 2014
LA CHINED’AUJOURD’HUI
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Ruven Afanador
HOMMES DE FLAMENCO
Dans un contraste puissant sous le soleil blanc et implacable de l’Espagne
andalouse, ses images éblouissantes présentent un univers peuplé de gitans
plus vrais que nature, de musiciens expressifs et de danseurs débordant de
beauté et de panache. Immobilisés dans des poses ou au milieu d’une danse,
vêtus de superbes costumes ou bien nus, ces hommes incarnent une passion
juvénile, sauvage, indissociable du monde du fl amenco.
Après Mil Besos (2009), remarquable ensemble de photographies de femmes de fl amenco, Ángel Gitano explore avec une exubérance à la fois poétique et érotique le fl amenco au masculin.
Ángel Gitano, Hommes de fl amencoRuven Afanador
Préface de Diane Keaton
27,9 x 35,6 cm – 240 pages – 69 €OCTOBRE 2014
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L’ÉTERNITÉEN UN CLICHÉ« Chez Harcourt, le visage est masque. Il est sublimé et non
saisi dans sa vérité nue. Il est reconstitué, pour ainsi dire
modelé, afi n de lui conférer cet aspect velouté si recherché.
“Il faut travailler comme les peintres, en plusieurs poses”,
aimait à répéter Raymond Voinquel (1912-1994), le plus illustre
photographe des lieux. » Guillaume Evin
Pour célébrer le 80e anniversaire du studio Harcourt, l’ouvrage
retrace l’histoire du célèbre studio et met en valeur 80 portraits
mythiques, de Salvador Dali à Carole Bouquet, de Marlène Dietrich
à Arletty, en passant par Sophie Marceau, Jeanne Moreau,
Catherine Deneuve ou encore Jean Dujardin. Française ou inter-
nationale, acteur ou chanteur, chaque personnalité pose devant
l’objectif afi n d’être immortalisée dans le « style Harcourt »,
reconnaissable entre tous. Chaque portrait s’accompagne d’un
texte en regard qui contextualise la photographie.
Harcourt, le mythe80 ansDominique Besnehard
Avec la collaboration de Guillaume Evin
24 x 31 cm – 188 pages – 45 €OCTOBRE 2014
A C T U E X P O
Fotover Paris – Carrousel du Louvre,
à Paris, du 14 au 16 novembre 2014.
Une rétrospectiveinédite,
commentéepar Dominique
Besnehard
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QUAND
HOLLYWOOD
ADOPTELA COULEURCe livre réunit une des plus importantes collections parti-
culières de photographies en Kodachrome et de photogra-
phies en couleurs des années 1940 prises par de grands
photographes de l’âge d’or d’Hollywood. Photographies
de plateau ou hors studio montrant les stars chez elles,
en famille, portraits inédits de stars comme Clark Gable,
Bette Davis, Cary Grant, Frank Sinatra, Elisabeth Taylor ou
encore Marilyn Monroe, photographies publicitaires… ces
images numériquement restaurées à partir de diapositives
originales, de tirages carbro et Dye-Transfer anciens, mais
aussi de tirages Cibachrome plus récents, rendent hom-
mage à un fi lm aux couleurs riches, claires et éclatantes,
qui a le mieux résisté à l’épreuve du temps.
Une sélection de 250 photographies
en Kodachrome spectaculaires des années 1940
Hollywood en Kodachrome, 1940-1949David Wills, Stephen Schmidt
Préface de Rhonda Fleming
22,5 x 29 cm – 352 pages – 35 €OCTOBRE 2014
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Paolo Verzone
L’ÉLITEDES NATIONS
Un reportage exceptionnel
au cœur des grandes académies
militaires d’Europe
Entre 2009 et 2013, Paolo Verzone a voyagé à travers l’Europe pour réaliser les portraits
de cadets des plus grandes académies militaires. Royal Military Academy Sandhurst
(Royaume-Uni), École Navale (France), ESM Saint-Cyr (France), Marineschule Murwik
(Allemagne), Haerens Offi cersskole (Danemak), Academia Militare (Italie)… le photo-
graphe a rencontré les jeunes offi ciers d’une vingtaine d’académies qui sont le symbole
d’un lien existant entre les traditions, l’histoire de leur école, et le futur dont ils sont
porteurs. Chacun d’eux est photographié dans un lieu symbolique, fort, qui va bien au-
delà de la simple identité nationale.
CadetsPaolo Verzone
28,5 x 23,5 cm – 216 pages – 42 €OCTOBRE 2014
A C T U E X P O
Exposition au muséede l’Armée, dans les
douves de l’Hôtel national
des Invalides à Paris,
du 1er décembre 2014 au 22 janvier 2015.
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Les plus grands événements mondiaux des années 1960 à nos jours en 80 photos emblématiques
Le dernier volet de la trilogie
40 ANS DE PHOTOJOURNALISME
40 ANS DE PHOTOJOURNALISME,
GÉNÉRATION SIPA
Michel Setboun, Sylvie Dauvillier
25 x 28,5 cm – 240 pages – 39 €
40 ANS DE PHOTOJOURNALISME,
GÉNÉRATION SYGMA
Michel Setboun, Marie Cousin
25 x 28,5 cm – 240 pages – 39 €
Après le succès de Génération Sipa (2012) et Génération
Sygma (2013), ce troisième volet vient clore la trilogie
40 ans de photojournalisme en donnant la parole à
80 photoreporters d’agences photos françaises ou inter-
nationales qui ont choisi et commenté une image emblé-
matique de leur parcours. Émouvantes, drôles parfois,
souvent dramatiques et bouleversantes, ces photos prises
depuis les années 1960 retracent quarante années riches
en événements politiques. Des interviews de personnalités
du monde des médias viennent mettre en perspective cette
histoire qui est la nôtre et interrogent sur la place de l’image
dans notre société actuelle.
40 ans de photojournalisme,Génération agencesMichel Setboun, Marie Cousin
25 x 28,5 cm – 240 pages – 39 €AOÛT 2014
DÉJÀPARU
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LA LIBÉRATION
DE PARISQUARTIER APRÈS QUARTIER
Comment, en l’espace d’une semaine, Parisa retrouvé la ferveurdes révolutions quiont forgé son histoire.
À l’occasion du 70e anniversaire de la Libération de Paris,
ce livre nous plonge au cœur de cette insurrection populaire
à travers 400 clichés, pour la plupart inédits, pris par des
anonymes et qui rendent compte du quotidien des habitants,
mais surtout des combats, de l’organisation de la résistance
jusqu’à la victoire et ses dérapages. Une trentaine de docu-
ments d’époque (affi ches, tracts, journaux…) ainsi que
quelques images de photographes de renom comme Robert
Capa ou Henri Cartier-Bresson viennent enrichir et rythmer
ce panorama historique.
Libérez Paris !19-26 août 1944,les photographiesMichel Lefebvre, Claude Maire
24,5 x 34 cm – 224 pages – 45 €AOÛT 2014
D-DAY,
ILS ONT INVENTÉ
LE DÉBARQUEMENT
Béatrice Gamba, Sylvain Pascaud
En coédition avec Thalassa
24 x 28,5 cm – 96 pages – 20 €
DÉJÀPARU
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LA CHINE IMPÉRIALEÀ TRAVERS L’OBJECTIFLe Céleste Empire ou Chine impériale… la Chine offrait il y a quelques siècles un visage bien
différent de celui que nous connaissons aujourd’hui. Marchands ambulants, spectacles de rue, exé-
cutions publiques, effervescence des jours de marché, villes en plein essor (Pékin, Shanghai, Hong
Kong…), la vie quotidienne était animée de spectacles tout aussi magiques que terrifi ants. C’est cette
Chine traditionnelle que nous font découvrir Ferry Bertholet et Lambert van der Aalsvoort à travers de
nombreux clichés exceptionnels dont les premiers remontent aux années 1870.
Sur les tracesd’une Chine ancestrale
L’Empire Céleste, Images d’une Chine oubliéeFerry Bertholet, Lambert van der Aalsvoort
25 x 30 cm – 224 pages – 49,95 €OCTOBRE 2014
7695_p001A050_BL_VERSION_FR 197695_p001A050_BL_VERSION_FR 19 04/08/14 16:0404/08/14 16:04
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L’INTÉGRALEDES COLLECTIONS
DU MUSÉE DE L’ERMITAGE
À l’instar du Louvre, du Metropolitan Museum et du British Musem,
le musée de l’Ermitage de Saint-Pétersbourg est l’un des plus
grands musées du monde. Riche de quelque 3 millions d’objets
d’art, ses collections présentent, à côté de nombreuses pièces de
l’Antiquité, une collection d’œuvres d’art de la période classique qui
compte parmi les plus belles au monde. On y découvre également
des chefs-d’œuvre de l’école italienne, hollandaise, fl amande, espa-
gnole, allemande, anglaise et russe, ainsi que des grands noms de
l’histoire de l’art français.
Musée de l’Ermitage, Saint-PétersbourgIntroduction de Mikhail Piotrovsky,
directeur du musée
Coffret toilé, 2 volumes de 806 pages
24 x 31,5 cm – 249 €NOVEMBRE 2014
L’ouvrage de référence de la collectionpermanente du musée de l’Ermitagequi fête son 250e anniversaire cette année
HOKUSAI MANGA
Kazuya Takaoka
30,2 x 21 cm
696 pages
40,60 €
Sensualité sans équivoque sous les kimonos
défaits, délires et fantasmes au pays des images
du monde fl ottant… les shunga de l’époque
d’Édo, prisées de toute une société, infl uen-
cèrent jusqu’aux peintres impressionnistes.
Ces tableaux érotiques exprimant la force des
passions sous les masques du quotidien, avec
l’humour et la réjouissante liberté propres à
l’estampe japonaise, témoignent d’un mode
d’expression artistique porté à son sommet.
Rassemblant les œuvres de grands maîtres dont
Katsushika Hokusai, ce magnifi que livre d’art
présente plus de 350 reproductions sur papier
japonais dans les tons de la gravure d’époque.
L’ESTAMPE ÉROTIQUE
JAPONAISE
ShungaMitsuru Uragami,
Kazuya Takaoka,
Kobayashi Tadashi
Bilingue français-japonais
30,4 x 21 cm – 586 pages – 59 €OCTOBRE 2014
ACTU EXPOExposition Hokusai au Grand
Palais, à Paris, du 1er octobre 2014 au 18 janvier 2015.
DÉJÀPARU
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L’histoire de l’art nous a livré beaucoup de ses
secrets… mais pas tous. Pour répondre à la cen-
sure imposée par l’Église, les artistes ont rivalisé
d’imagination pour cacher l’indécence procla-
mée : le sexe. Si la feuille de vigne est habituelle,
d’autres motifs se révèlent à l’œil attentif, à la fois
surprenants, drôles et raffi nés : un papillon, le
froissé d’un drap, le sang du Christ, une cheve-
lure ondoyante, un coquillage, un homard… Des
fresques romaines de l’Antiquité à Pierre et Gilles,
l’ouvrage dévoile, à travers vingt siècles d’his-
toire de l’art, tous les moyens mis en œuvre pour
cacher ce sexe que l’on ne saurait voir.
E N T R E T I E N A V E CS Y L V I E A U B E N A S
E T P H I L I P P E C O M A R
Comment est née l’idée de ce livre ?
SA : Ce sont successivement deux tableaux, le premier de
Flandrin, le second de Gérôme, qui m’ont fait réaliser que
la dissimulation du sexe dans l’art était un sujet intéres-
sant. Avec Philippe, nous nous sommes aperçus que cette
question, qui est quand même centrale dans la représen-
tation du nu, n’était pas traitée par les historiens de l’art.
Qu’avez-vous découvert ?
SA : En rassemblant une importante iconographie sur le
sujet, nous nous sommes rendu compte que la feuille de
vigne, qui répondait au départ à un interdit chrétien, a été
peu à peu remplacée, voire détournée, au fi l des siècles.
PC : Il y a une pression religieuse à cacher le sexe. Alors
au début, on le cache bêtement par une feuille de vigne
pour respecter la tradition biblique puis, très rapidement,
les artistes cherchent des stratégies d’évitement et placent
un bouquet, un tissu, un coquillage à la place du sexe.
Ils respectaient la censure pour mieux la
contourner ?
PC : Il est effectivement intéressant de voir comment cer-
tains artistes se sont joués de cette censure pour à la fois
ne pas montrer, et respecter cette censure, et en même
temps avec beaucoup d’humour parfois, beaucoup de
perversité aussi, essayer d’induire au contraire un certain
regard sur le tableau. Ces tableaux deviennent d’une cer-
taine façon plus « obscènes » avec le cache-sexe que s’il
n’y en avait pas. Quand Mabuse, au début du ÇMwe siècle,
cache le sexe de Neptune par un coquillage pointu, cela
devient naturellement le centre du tableau.
Et aujourd’hui ?
SA : Des artistes continuent à interpréter et à jouer de ces
codes de censure, comme Paul-Armand Gette, qui cache le
mont de Vénus par des pétales de rose, ou Alvisa Lidzie,
qui, de manière plus agressive, recouvre le pubis avec des
épingles.
CACHEZ CE SEXE
QUE JE NE SAURAIS VOIR
Cache-sexe,Le désaveu du sexe dans l’artSylvie Aubenas, Philippe Comar
22 x 28,5 cm – 240 pages – 52 €OCTOBRE 2014
A C T UOuvrage proposé pour le suivi
de l’exposition Sade au musée d’Orsay, du 14 octobre 2014au 25 janvier 2015.
Mabuse [Jan Gossaert, dit],
Neptune et Amphitrite, 1516
Staatliche Museen, Berlin
Pierre et Gilles, Vive la France, 2006
photographie peinte, affi che de l’exposition Nackte
Männer (Des hommes nus), au Leopold Museum
à Vienne, 2012-2013
Face aux réactions offusquées d’une partie de la
population viennoise devant l’affi che de l’exposition
Nackte Männer, montrant trois footballeurs
entièrement nus, les sexes ont été censurés par
l’apposition d’un carton rouge.
George Platt Lynes, Salvador Dali
dans « Le Rêve de Vénus », 1939
Épreuve gélation-argentique
The Metropolitan Museum of Art, New York
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E N T R E T I E NA V E C D E N I S P E L L E R I N
Quel est le principe des Diableries ?
Les Diableries sont des modelages en argile réalisés en France entre 1860 et 1895
environ et photographiés pour le stéréoscope. Les épreuves étaient tirées sur un
papier très fi n et montées entre deux montures ajourées. La photographie en couleur
n’existait pas à l’époque. Les images étaient peintes au dos et protégées par un papier
extrêmement fi n. Lorsque l’épreuve était éclairée frontalement, elle apparaissait en
noir et blanc. Lorsqu’elle était éclairée par-derrière, elle apparaissait en couleur.
Comme elle était réalisée pour le stéréoscope, elle était également visible en relief.
Que représentaient-elles ?
La majorité des images ont été réalisées par deux modeleurs français, Adolphe
Hennetier et Louis Habert. Les deux hommes ont d’abord commencé par repré-
senter des sujets religieux puis, très rapidement, les cartes ont pris un caractère
plus séditieux. Mais les Diableries ne servaient pas uniquement à faire passer des
messages contre le régime, elles faisaient également référence à des artistes ou à
des événements de l’époque.
Les Diableries sont des dioramas dépeignant la vie de cet autre monde qu’est l’En-
fer. À la fois témoins et critiques de leur époque, ces séries de vues stéréoscopiques
sont extrêmement rares. Présenté sous coffret, cet ouvrage inédit qui est le fruit du
travail passionné de trois auteurs, dont Brian May, l’un des membres du groupe
Queen, contient un stéréoscope OWL révélant l’univers des diableries en 3D.
LES DIABLERIESDU XIXe SIÈCLE
Diableries, Aventures stéréoscopiques en EnferBrian May,
Denis Pellerin,
Paula Fleming
24,6 x 32 cm
280 pages – 49,95 €OCTOBRE 2014
Les premiers animaux naturalisés ont fait leur apparition dans les
cabinets d’art et de curiosités de la Renaissance. Ces animaux
saisissants de vie dans leur mort deviennent, peu à peu, un outil
pour la science, un support de référence biologique. La taxidermie
est née et son histoire se confond avec celle du Muséum national
d’histoire naturelle de Paris. En quatre siècles, cet art a vu le per-
fectionnement de ses techniques, l’enrichissement de ses collec-
tions de spécimens mythiques et la révolution de sa muséologie.
Les textes richement documentés de Jack Thiney sont illustrés par
les photographies modernes et décalées de Jacques Vekemans, qui
dépoussière cette thématique avec brio.
Un beau livre sur la taxidermie française publié à l’occasiondu 20e anniversaire de la Grande Galerie de l’Évolution
IMMORTELS
Mort ou Vif,Une histoire de la taxidermiecontemporaineJack Thiney
Photographies de Jacques Vekemans
En coédition avec le Muséum national d’histoire naturelle
24,5 x 34 cm – 192 pages – 45 €OCTOBRE 2014
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DÉJÀPARU
LE PORTRAITD’OSCAR WILDE
On retient d’Oscar Wilde son humour persifl eur et ses bons
mots. Il est également une fi gure de la vie mondaine et lit-
téraire à Londres, Paris et aux États-Unis. Il publie alors
des pièces de théâtre, des poèmes, des contes, des essais
esthétiques et son seul roman, Le Portrait de Dorian Gray.
Cependant, sa relation amoureuse avec Alfred Douglas va
mettre un terme à sa renommée littéraire. De la gloire à la
chute, Daniel Salavatore Schiffer embrasse la complexité
et la singularité d’un parcours hors du commun, pris dans
les batailles artistiques et morales de l’époque victorienne.
Entre le tragique et la fl amboyance, l’infamie et l’élégance, il
brosse le portrait d’un poète maudit par excellence.
Comprendre le fonctionnement du cerveau, telle est l’ambition de l’exposition perma-
nente qui ouvre en septembre à la Cité des sciences et de l’industrie. L’ouvrage qui l’ac-
compagne, placé sous la direction de Stanislas Dehaene, neuroscientifi que reconnu et
professeur au Collège de France, expose avec clarté le fonctionnement, l’organisation,
l’activité neuronale de l’organe le plus complexe du corps humain. S’appuyant sur les
récentes avancées scientifi ques et techniques, notamment en neuroimagerie, il donne
à voir un cerveau en perpétuel renouvellement.
COMPRENDRE LE CERVEAU
Le catalogue de la nouvelle exposition permanente de la Cité des sciences
La biographie d’un dandytragique et fl amboyant
Oscar Wilde,Splendeur et misèred’un dandyDaniel Salvatore Schiffer
19,3 x 26 cm – 224 pages – 32 €SEPTEMBRE 2014
SHERLOCK HOLMES,
DÉTECTIVE CONSULTANT
John Bastardi Daumont
19,3 x 26 cm – 216 p. – 32 €
AGATHA CHRISTIE,
LA ROMANCE DU CRIME
François Rivière
19,3 x 26 cm – 224 p. – 32 €
MARGUERITE DURAS,
L’ÉCRITURE DE LA PASSION
Laetitia Cénac
19,3 x 26 cm – 224 p. – 32 €
UN LIVRE UN JOUR,
UN LIVRE TOUJOURS
Olivier Barrot
15 x 21,5 cm – 416 p. – 19,95 €
CerveauStanislas Dehaene
19 x 25,5 cm – 216 pages – 32 €SEPTEMBRE 2014
En partenariatavec
ACTU EXPOExposition à partir du 16 septembre 2014à la Cité des sciences et de l’industrie, à Paris.
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E N T R E T I E NA V E C A U D R E Y P U L V A R
Pourquoi ce titre ?
Je suis une femme libre et je me bats pour cette liberté. Ce n’est
pas arrivé par hasard. De nombreuses femmes, en dehors de ma
vie privée, ont été importantes pour moi dans ma vie d’adolescente,
de jeune femme et de femme. Elles m’ont aidée à me construire et
sont donc immédiatement apparues dans mes choix quand il s’est
agi d’établir une liste. Ce qui m’intéressait, à travers ce qu’elles ont
signifi é pour moi, c’était d’éclairer un aspect peu traité avec un parti
pris un peu différent de ce que l’on voit ou de ce qui a déjà été fait
à propos de ces femmes.
Qu’avez-vous en commun avec elles ?
L’amour des livres, de la littérature et de la lecture en particulier.
Pour elles, la rencontre avec le livre s’est faite très tôt et a été sal-
vatrice. Ce qu’il y a de commun aussi, c’est ce que Jeanette Win-
terson appelle ce sentiment pénible et insupportable de ne pas être
à sa place, de ne jamais la trouver. Ces femmes ont toutes été à un
moment ou à un autre, souvent dans leur enfance, submergées par
ce sentiment et elles ont décidé de prendre leur vie en main, de
trouver leur place et de faire leur place.
C’est votre défi nition du féminisme ?
Mon propos n’est pas : on ne naît pas femme, on le devient, mais :
on ne naît pas féministe mais on n’a pas d’autre choix que de
le devenir. Être féministe, ce n’est pas être en guerre avec l’autre
moitié de l’humanité ou être en revendication permanente, c’est
juste créer, trouver et occuper cette fameuse place, celle qui est
au centre de l’œuvre de Jeanette Winterson. C’est quelque chose
d’inaliénable et de très porteur.
Est-ce que l’une de ces femmes a particulièrement
compté pour vous ?
Certaines sont particulièrement importantes, comme Toni Morrison,
Joyce Carol Oates, Karen Blixen ou Camille Claudel, mais toutes
celles qui sont présentes dans le livre ont vraiment compté à un
moment donné dans ma vie. Ces portraits de femmes sont comme
un puzzle qui se met en place pour défi nir la personne que je suis
aujourd’hui.
Audrey Pulvar brosse le portrait d’une vingtaine de femmes aux destins exceptionnels qui ont
fait des choix artistiques, littéraires, politiques ou personnels allant à l’encontre de leur époque
et des conventions sociales. Intellectuelles, auteures, artistes, toutes ont défrayé la chronique
et provoqué les foudres des bien-pensants. De Camille Claudel à Marilyn Monroe, en passant
par Toni Morrison, ces femmes singulières se sont avérées, avec l’évolution des mœurs, de
véritables pionnières. En prenant le risque de s’affranchir de leur temps, elles ont écrit l’histoire
et contribué à la défense des libertés.
LIBRES COMME ELLESAudrey Pulvar
Libres comme elles,Portraits de femmes singulièresAudrey Pulvar
22 x 28,5 cm – 216 pages – 35 €OCTOBRE 2014
Des femmesd’exceptionpour la défensedes libertés
« Ces portraits de femmes sont comme
un puzzle qui se met en place pour défi nir
la personne que je suis aujourd’hui. »
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2626
ILS SONTCULTES
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Jouets cultes du XXe siècleDorothée Charles, Claire Didier,
Brigitte Durieux, Laziz Hamani
24 x 31 cm – 240 pages – 45 €OCTOBRE 2014
OBJETS CULTES DU
MOBILIER INDUSTRIEL
Brigitte Durieux, Laziz Hamani
23 x 31 cm – 240 pages – 39 €
OBJETS ESTAMPILLÉS
FRANCE
Christine Fleurent, Véronique Méry
24,5 x 34 cm – 224 pages – 45 €
Ils ne sont pas encore tous entrés dans nos musées, mais ils appartiennent
déjà à notre mémoire collective. Ces jouets du ÇÇe siècle sont devenus des
œuvres vintage, aujourd’hui chinées ou vendues aux enchères dans les
salles de vente les plus prestigieuses. La poupée Bleuette, l’ours Steiff, la
voiture Citroën, le Télécran, Kiki… cinquante jouets du monde entier, datant
de 1905 à 2000 et provenant du musée des Arts décoratifs ou de collections
privées, sont ici réunis. Des objets remarquables pour leur design, leur tech-
nique de fabrication ou encore par le succès qu’ils ont connu auprès des
enfants. Des objets magnifi és comme des œuvres d’art qui se dévoilent sous
l’œil attentif du photographe.
50 jouets
emblématiques
du XXe siècle
DÉJÀPARU
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L’ÂGE D’OR
DE LA PUBLICITÉLa publicité fait partie de notre environnement quotidien depuis notre enfance. Qui n’a pas en
tête un slogan accrocheur, un logo, une image ou l’emblème d’une marque ? Spécialiste des
médias, Pierre Lescure se penche sur l’âge d’or de la réclame. Il nous livre un panorama des
pubs des années 1940 - 1960, qui ont vu défi ler nombre d’illustrateurs talentueux : Raymond
Savignac, Cassandre, Bernard Villemot, Hervé Morvan… Classées par thématique – équipe-
ment de la maison, alimentation, mode et beauté et transports –, ces publicités nous offrent une
image de la société française de l’époque. À travers elles se dessine une histoire des marques
françaises, un pan de notre histoire collective.
E N T R E T I E NA V E C P I E R R E L E S C U R E
Pourquoi un livre sur les publicités
et les marques ?
J’ai toujours été fou de publicité. Marcel Bleustein-
Blanchet, qui a fondé Publicis en 1926, disait qu’il fallait
développer la réclame. Après la guerre, c’est devenu la
publicité. Je suis né en 45. Je suis contemporain de l’explo-
sion de la publicité. Et cette histoire qui m’est contemporaine
parle également aux générations suivantes parce qu’il y a
cette permanence des marques.
Vous balayez trente années de publicité,
de 1940 à 1969
L’ouvrage présente des documents d’une très grande créa-
tivité et diversité. On y voit des affi ches d’Hervé Morvan,
de Raymond Savignac, de Jacques Charmoz ou encore
de Cassandre, qui sont de très grands affi chistes et dont
les créations font aujourd’hui partie du patrimoine culturel
français.
Les publicités ont-elles beaucoup évolué ?
On suit l’évolution des images et celle des slogans à tra-
vers les quatre grandes thématiques du livre. Certaines
publicités sont désuètes aujourd’hui, d’autres comme le
fameux « Dubo, Dubon, Dubonnet » de Cassandre, sont
magnifi ques. J’adore également les logos. Il n’y a rien
de plus beau qu’un logo qui vit éternellement. Canal+ va
fêter son trentième anniversaire et son logo est extrême-
ment pur. Comme par hasard, ce sont les marques qui
avaient les logos les plus simples, les plus inaltérables,
les plus solides qui ont perduré. Le logo Lu n’a pas bougé
depuis 50 ans.
Certaines publicités que vous présentez
ne seraient plus possibles aujourd’hui
Effectivement. Alors que la société est devenue à la fois
extrêmement permissive et extrêmement créative, cer-
taines publicités, comme celle de Banania avec les deux
bananes, ne passeraient pas aujourd’hui.
Qu’aimez-vous dans une publicité ?
J’aime la publicité quand elle ne nous encombre pas,
qu’elle nous surprend, qu’elle nous informe, quand je
me dis que c’est une belle idée. C’était déjà vrai dans les
années 50.
Marques et Pubs cultes, Années 1940-1960Pierre Lescure
21 x 27 cm – 192 pages – 29 €OCTOBRE 2014
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« J’aime la publicité quand
elle ne nous encombre pas,
qu’elle nous surprend, qu’elle
nous informe, quand je me
dis que c’est une belle idée. »
Pierre Lescure
Jacques Charmoz, Scandale, 1966
Hervé Morvan, Banania, 1956 / Les Arts décoratifsCassandre, Dubonnet, 1933
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LES COULISSES
DE LA CRÉATION GRAPHIQUEComment transformer des données brutes en images attrayantes ? Des statistiques en
images limpides ? Des montagnes de chiffres en images ludiques ? Et quel sens leur
donner ? Le design d’information peut-il améliorer nos vies et changer notre regard sur
le monde ? L’ère de l’information numérique de masse bouscule notre compréhension
du monde. Les données auxquelles nous avons accès aujourd’hui, parce qu’elles sont
collectées à grande échelle et compilées à grande vitesse, sont devenues complexes à
interpréter. Cet ouvrage dévoile les coulisses de la création numérique à travers les car-
nets de recherches des 75 graphistes internationaux les plus créatifs dans le domaine de
l’infographie.
Infographie,Carnets de recherchesdes plus grands designersSteven Heller, Rick Landers
22 x 29,7 cm – 416 pages – 39 €OCTOBRE 2014
BANDES DESSINÉES,
CARNETS DE CROQUIS
Steven Heller
22 x 29,7 cm – 352 pages – 39 €
DESSINS ANIMÉS
FILMS D’ANIMATION,
CARNETS DE CROQUIS
Laura Heit
22 x 29,5 cm – 320 pages – 35 €
DÉJÀPARU
GRAPHIC,
CARNETS DE CROQUIS
Steven Heller, Lita Talarico
22 x 29,7 cm – 352 pages – 42 €
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Robert Stadler, monographieRobert Stadler
24 x 30 cm – 240 pages – 45 €OCTOBRE 2014
Entre œuvre d’art et produit de consommation, le statut de l’objet n’a de cesse
d’être interrogé par Robert Stadler, désireux de dissiper le clivage entre art
et design. Ses créations, issues de collections privées et publiques, sont
ici regroupées et exposées à travers une iconographie riche de près de 400
photographies et dessins commentés par le designer lui-même ou par des
artistes, critiques d’art, architectes, designers, directeurs de musée… Une
balade à la frontière de la préciosité et de l’humilité, du sérieux et de l’absurde.
A C T U E X P O
Exposition Quiz à la Galerie Poirel,à Nancy, jusqu’au 12 octobre 2014.Exposition MAK Design Salon
au Geymüllerschlössel à Vienne,
en Autriche, du 13 septembreau 30 novembre 2014.
ENTRE ARTET DESIGN
La monographie du designer
autrichien, Robert Stadler
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LE CINÉMA FRANÇAISDepuis l’invention des frères Lumière
jusqu’aux plus récentes récompenses
glanées à Cannes ou à Hollywood,
Jean-Luc Douin retrace l’histoire du
cinéma français en 130 fi lms et plus.
Du muet aux révolutions numériques, il analyse l’éclosion de cou-
rants esthétiques parmi lesquels le réalisme poétique et la Nouvelle
Vague, qui infl uencèrent les cinématographies du monde entier.
Illustré par plus de 400 documents, cet ouvrage passionnant rend
hommage à nos plus grands cinéastes, explore la manière dont
le cinéma français rend compte de l’histoire de son pays, de sa
culture, de ses mœurs, en même temps qu’il honore ses comédiens
mythiques et ses techniciens marquants.
Le Cinéma françaisJean-Luc Douin
Préface de Thierry Frémaux
25 x 31 cm – 360 pages – 49,90 €OCTOBRE 2014
DÉJÀPARU
LE CINÉMA ITALIEN
Jean A. Gili, Ettore Scola
25 x 31 cm – 360 pages – 50,60 €
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LES PLUS BEAUX
GÉNÉRIQUES
LE HOBBIT, LA BATAILLE DES CINQ ARMÉES
Qui n’a été envoûté par le fascinant générique de Sueurs froides créé par Elaine et Saul Bass
pour le fi lm d’Alfred Hitchcock ? Ou plus récemment par les génériques de Se7en (Kyle Cooper)
et de Skyfall (Daniel Kleinman) ? Dans ce livre préfacé par Cédric Klapisch (Chacun cherche
son chat, L’Auberge espagnole, Les Poupées russes), premier du genre en France, Alexandre
Tylski nous raconte la fabuleuse histoire des génériques de cinéma, avec des témoignages
inédits des réalisateurs Jean-Pierre Jeunet, Jean-Jacques Annaud… du compositeur Gabriel
Yared et de créateurs contemporains.
Les Plus BeauxGénériques de cinémaAlexandre Tylski
Préface de Cédric Klapisch
28,5 x 26 cm – 208 pages – 45 €OCTOBRE 2014 La fabuleuse histoire
des génériques de fi lms
Le Hobbit, La Bataille des Cinq ArméesChroniques VDaniel Falconer, Weta
30,5 x 24 cm – 208 pages – 34,90 €DÉCEMBRE 2014
Le Hobbit, La Bataille des Cinq ArméesLe guide offi ciel du fi lmBrian Sibley
22 x 28,5 cm – 168 pages – 20,90 €NOVEMBRE 2014
LE GUIDE OFFICIEL DU FILM Interviews exclusives de Peter Jackson
et des acteurs, anecdotes de tournage, révélations sur les effets visuels et spé-
ciaux, la création des costumes et des décors… ce livre abondamment illustré
lève le voile sur les coulisses du tournage de La Bataille des Cinq Armées. Le
guide indispensable pour tout connaître sur cette saga-événement.
CHRONIQUES V Tous les intervenants ayant participé à l’incroyable aven-
ture de cette trilogie réalisée par Peter Jackson, depuis les dessins prépara-
toires des illustrateurs jusqu’à la conception et la fabrication des décors ou
des costumes dans leurs moindres détails, racontent leur expérience. Une
édition luxe, richement illustrée et passionnante.
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UN MONDE FÉERIQUE
E N T R E T I E NA V E C R O S A L I E V A R D A - D E M Y
Comment est née l’idée de ce livre ?
En 1990, après la mort de Jacques Demy, ma mère, Agnès
Varda, a entrepris la restauration de ses fi lms, d’abord en
argentique et aujourd’hui en numérique, pour disposer de
DCP pouvant être projetés dans les salles équipées de ce
nouveau standard. L’exposition « Le monde enchanté de
Jacques Demy », qui s’est tenue à La Cinémathèque fran-
çaise en 2013, nous a permis de fi nancer la numérisation
et la restauration de tous ses fi lms. Beaucoup d’archives
ont pu être exposées, mais je me suis aperçue que de nom-
breux documents et photographies auraient mérité d’être
montrés. C’est ainsi qu’est née l’idée d’écrire un livre autour
de Peau d’âne.
Comment s’articule l’ouvrage ?
Avec Emmanuel Pierrat, avocat mais aussi auteur, nous
avons écrit à quatre mains avec l’envie d’un livre comme
une sorte de promenade ludique autour de Peau d’âne. Il
s’articule autour de sept thématiques. On y retrouve l’uni-
vers du fi lm et du conte, bien sûr, mais aussi l’univers de
son metteur en scène, Jacques Demy : ce qu’il aimait en
matière de peinture, de sculpture, de photographie, de
musique au moment où il a écrit cette adaptation et qui a
infl uencé l’esthétique du fi lm. Et de manière plus person-
nelle, je livre des anecdotes et des souvenirs du tournage
pendant l’été 1970.
Qu’a-t-il d’original ?
L’ouvrage montre de nombreux documents inédits et excep-
tionnels : des photographies du tournage, des maquettes
de costumes d’Agostino Pace, de décors, comme cette
esquisse de Jim Leon représentant les écuries du royaume
bleu, des extraits des partitions de musique dont la fameuse
« Recette pour un cake d’amour ». Et découvrir et redécouvrir
Catherine Deneuve dans ce rôle de Princesse intemporel.
L’ouvrage restitue également dans sa forme toute
la magie et la féerie du fi lm
C’est effectivement un ouvrage foisonnant sur le fond
comme sur la forme. Chacun des chapitres s’ouvre sur
une couleur différente, évidemment les couleurs emblé-
matiques des contes de fée, l’argent et l’or, mais aussi le
fameux bleu, le rouge… Chaque ouverture de chapitre est
également ponctuée par un passage du conte de Perrault,
en vers, imprimé sur papier bible dans un format différent,
et chaque chanson est encartée sur du papier-calque. Nous
espérons que ces détails sophistiqués rendent toute la
magie du fi lm et du conte.
Rosalie Varda-Demy et Emmanuel Pierrat
nous convient à une promenade inédite
dans le monde féerique du fi lm Peau d’âne,
écrit et réalisé par Jacques Demy en 1970
et mis en musique par Michel Legrand.
On peut s’arrêter sur une chanson du fi lm,
une scène, un personnage, un décor, et voir
la sublime princesse, interprétée par Cathe-
rine Deneuve, dans ses robes couleur de
Lune, de Soleil ou couleur du Temps, ou
encore feuilleter le texte original en vers du
conte de Charles Perrault. Avec des cita-
tions de Catherine Deneuve, Jacques Perrin,
Michel Legrand, Jim Leon, Agostino Pace,
Agnès Varda, Jacques Demy, bien sûr, et des
souvenirs de Rosalie Varda-Demy, adoles-
cente au moment du tournage.
L’univers merveilleux de Peau
d’âne dans un livre sous coffret
au façonnage exceptionnel !
Il était une fois Peau d’âneRosalie Varda-Demy, Emmanuel Pierrat
24 x 31 cm – 304 pages sous coffret – 59 €SEPTEMBRE 2014
Peau d’âne
Peau d’âneJacques Demy
22 x 28,5 cm – 144 pages – 17 €OCTOBRE 2014
L’album du fi lm avec le scénario
dialogué original de Jacques Demy
Avec le soutien de Van Cleef & Arpels,du Domaine national de Chambord et du CNC
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Douze maisons dédiées à l’artisanat du luxe français, pour la plupart inaccessibles au public, dévoilent les coulisses de leur savoir-faire. Douze reportages uniques présentant des univers visuellement très contrastés pour découvrir des métiers d’exception : les ateliers lyonnais des foulards Hermès, les ateliers du plumassier Lemarié, le chausseur John Lobb, la cris-tallerie Baccarat, les broderies Lesage… Pour chaque atelier, un texte très documenté, assorti d’interviews de responsables des maisons, décrit les caractéristiques du métier.
LES ARTISANS
DU LUXE
Artisans du luxe françaisCaroline Clavier, Jean-Marc Palisse, Pascale Richard
24,5 x 34 cm – 240 pages – 49 €OCTOBRE 2014
Une découverte des ateliers les plus
confi dentiels de l’univers du luxe français
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L’ART DE RECEVOIR
À LA FRANÇAISE
Recevoir à la française fait appel à des codes immuables, un savoir-faire et un savoir-être à la
fois naturels et raffi nés qui demeurent des références dans le monde entier. Du choix des invi-
tés en passant par l’invitation, l’établissement du menu, le plan de table, les règles de services,
mais aussi le dress code, la conversation ou le cas particulier du repas d’affaires, cet ouvrage
révèle les secrets de la « French etiquette ». Une thématique particulièrement dans l’air du
temps, à l’heure où se multiplient les cours de bienséance et où de nombreux pays émergents
se passionnent pour les arts de la table à la française, ses usages et ses rituels.
Comment recevoirà la françaiseJacqueline Queneau
24 x 31 cm – 192 pages – 45 €SEPTEMBRE 2014
Un univers luxueux,
sobre et intemporel,
intimement lié
à l’histoire culturelle
et à l’art de vivre
français
LA MAISON PIERRE FREYMembre du prestigieux Comité Colbert, la maison Pierre
Frey conçoit et fabrique des étoffes et des tissus pour
l’ameublement et la décoration. Véritable ambassadrice du
goût à la française, elle cultive l’amour des belles créations
textiles et des matières nobles, et réinvente sans cesse
des motifs historiques pour le plaisir des décorateurs du
monde entier. Ses archives exceptionnelles constituent une
source inépuisable d’inspiration pour le studio de création
et pour les clients décorateurs. Elles représentent égale-
ment une documentation précieuse pour les historiens,
conservateurs et restaurateurs de monuments historiques. Pierre FreySerge Gleizes, Philippe Garcia
24 x 31 cm – 240 pages – 45 €OCTOBRE 2014
7695_p001A050_BL_VERSION_FR 377695_p001A050_BL_VERSION_FR 37 04/08/14 16:0404/08/14 16:04
PIAGET
MAISON GOOSSENS
« Faire toujours mieux qu’il n’est nécessaire. »
Signature inimitable dans l’univers du luxe et de la haute horlogerie, la marque impose son savoir-faire
et ses prouesses techniques. Des montres extra-plates aux bijoux les plus extravagants, Piaget est le
symbole d’une élégance stylée. « Faire toujours mieux qu’il n’est nécessaire », telle est la devise de
cette maison dont les qualités de préciosité, de sensualité et de fantaisie ont dialogué avec des artistes
comme Dalí, Warhol ou Pierre et Gilles, et sublimé les femmes les plus élégantes du monde. Un livre
spectaculaire qui nous emporte dans les coulisses de la haute horlogerie et joaillerie.
20 photographies inédites de Steve Hiett
Ce très beau livre retrace
l’histoire de la Maison Piaget,
depuis sa création en 1874,
au cœur des montagnes suisses,
jusqu’à aujourd’hui.
PiagetTextes de Florence Müller
Photographies de Philippe Garcia, Steve Hiett
25 x 31 cm – 344 pages – 65 €OCTOBRE 2014
Créateur des bijoux emblématiques de Mademoiselle
Chanel à partir des années 1950, Robert Goossens mit
à son service son inventivité et son habileté à allier les
matériaux les plus précieux avec les plus étonnants,
comme le cristal de roche. Que ce soit pour Yves
Saint Laurent, Christian Dior, Balenciaga ou Alexander
McQueen, la prestigieuse maison Goossens, aujourd’hui
propriété de Chanel, se réinvente continuellement, autant
par ses bijoux que par la création d’objets de prestige pour
les grandes marques de haute couture à travers le monde.
Maison Goossens,Bijoux & objets haute couturePatrick Mauriès
27 x 21 cm – 224 pages – 50 €NOVEMBRE 2014
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Modèles cultes, innovations techniques, mécanismes, publicités, égéries… ces cinq
élégantes monographies, richement illustrées, serties dans un écrin transparent, nous
plongent dans l’univers de ces marques mythiques, à la découverte de leur histoire,
de leurs secrets et de leurs créations les plus exceptionnelles, d’hier à aujourd’hui. Un
incontournable pour les amateurs de montres, comme des passions liées à l’horloge-
rie : sport automobile, voitures de collection, plongée, aviation, voile, golf, astronomie,
exploration de l’espace, ou la mode et la joaillerie.
Cinq noms, cinq mythes, qui font vibrer tous
les passionnés de montres et de haute horlogerie.
Coffret Montres d’exceptionBreitling – Rolex – Jaeger-LeCoultre –Omega – Patek Philippe
Maria Cappelletti
5 livres de 128 pages reliés soft touch sous coffret luxe
19 x 21 cm – 99 €OCTOBRE 2014
LOVE
LoveYves Saint Laurent
Préface de Patrick Mauriès
12 x 17,5 cm – 88 pages – 17 €NOVEMBRE 2014
À partir de 1970, Yves Saint Laurent a
envoyé chaque année à ses proches et
a ses amis ses vœux en peinture avec,
en guise de signature, son sésame, le
mot Love. Ces vœux, véritables petits
chefs-d’œuvre devenus célèbres, sont
réunis ici par ordre chronologique, et
accompagnés d’explications sur ce qui
a inspiré chacun d’eux : l’amour, bien
sûr, mais également des événements et
des endroits chers à Yves Saint Laurent.
Toute la vie de l’artiste y est racontée :
les jardins Majorelle à Marrakech qu’il
a fait restaurer et où il a élu domicile,
l’affection qu’il porte à son chien Moujik
peint par Andy Warhol…
36 motsd’amourgriffés
Yves Saint Laurent
RolexBreitling
Jaeger-LeCoultre
OmegaPatek Philippe
CINQ LÉGENDESDE LA HAUTE HORLOGERIE
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4040
LA BOTTE SECRÈTEDE L’ÉLÉGANCE FRANÇAISE
LIBERTY
So Shoes !La botte secrète de l’élégance françaiseIsabelle Thomas,
Frédérique Veysset,
Clément Dezelus
16 x 24 cm – 192 pages – 25 €SEPTEMBRE 2014
Objet de passion pour les femmes – et de fantasmes pour les
hommes –, la chaussure est un accessoire essentiel du style,
signature du goût et touche incontournable de l’élégance. Cet
ouvrage, au ton incisif et léger, décrypte ce phénomène de mode,
et délivre des conseils avisés aux femmes désireuses de suivre les
tendances tout en cultivant leur personnalité. Du mocassin aux
cuissardes en passant par les ballerines : un coaching mode selon
les occasions, son dressing, sa fantaisie… Avec des nombreuses
anecdotes sur l’histoire de souliers emblématiques, les chaus-
sures préférées de nombreuses personnalités, et des interviews de
professionnels et de créateurs, dont Christian Louboutin, Michel
Vivien ou encore Inès de la Fressange…
TEXTILES ET
VÊTEMENTS DU MONDE
Catherine Legrand
27 x 25 cm – 240 p. – 39,90 €
INDIGO
Catherine Legrand
29 x 26 cm – 288 p. – 39,90 €
LibertyMarie-Thérèse Rieber
Sous coffret
avec 16 fac-similés sous enveloppe
28,3 x 24,5 cm – 96 pages – 45 €OCTOBRE 2014
Depuis 1875, Liberty est synonyme de luxe et de
design de qualité. L’intuition et la vision de son
fondateur, Arthur Liberty, l’amenèrent à voyager à
travers le monde à la recherche des plus beaux
objets pour satisfaire le goût d’une clientèle exi-
geante. Liberty continue de porter les valeurs
d’intégrité, de qualité et, par-dessus tout, le goût
des beaux objets. C’est cette vision et cet esprit
qui se perpétuent aujourd’hui au sein du légen-
daire magasin Tudor et qui sont célébrés dans ces
trésors d’archives. Cette marque au solide héri-
tage regarde résolument vers le futur et est recon-
nue pour son éclectisme, son avant-gardisme et
ses incomparables imprimés.
YOU’RE SO FRENCH !
Isabelle Thomas,
Frédérique Veysset
16 x 24 cm – 192 p. – 25 €
YOU’RE SO FRENCH MEN !
Isabelle Thomas,
Frédérique Veysset
16 x 24 cm – 192 p. – 25 €
Un voyage à la découverte
d’une véritable institution
britannique
DÉJÀPARU
DÉJÀPARU
+ de 100 000exemplairesvendus dans
le monde
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LA VIE ET L’ŒUVRE
DES BEATLES
APRÈS LES BEATLES
Leonard CohenEverybody Knows
Harvey Kubernik
27,5 x 21,5 cm – 224 pages – 35 €OCTOBRE 2014
Les Beatles ont sorti douze albums en huit ans. Mais
depuis leur séparation à la toute fi n des années 1960,
John Lennon, Paul McCartney, George Harrison et Ringo
Starr ont enregistré à eux quatre plus de neuf cents chan-
sons. Leur carrière solo est à l’image de leur créativité
personnelle, exceptionnelle. Elle révèle leurs forces et
leurs faiblesses, leurs triomphes et leurs tragédies, leurs
amitiés et leurs amours. Présentés dans un coffret, ces
quatre livres, illustrés par de nombreuses photographies
et documents d’archives, retracent la vie et l’œuvre des
Beatles après les Beatles.
Les carrières solos
de John, Paul,
George et Ringo
Les Beatlesen solo
Mat Snow
Coffret de 4 livres
de 96 pages
22 x 26,9 cm – 45,50 €OCTOBRE 2014
Leonard Cohen a captivé des générations d’auditeurs et de spectateurs partout dans le monde. Des premiers
succès du jeune poète et romancier montréalais jusqu’à son dernier album, Old Ideas, et ses tournées,
l’ouvrage retrace la carrière exceptionnelle de cet artiste de renommée internationale, qui fête cette année
son 80e anniversaire. Les nombreux témoignages de producteurs, collaborateurs et artistes qui l’ont côtoyé
complètent cette superbe biographie en images.
HOMMAGE AU GÉNIE DELEONARD COHEN
7695_p001A050_BL_VERSION_FR 417695_p001A050_BL_VERSION_FR 41 04/08/14 16:0404/08/14 16:04
PORTRAITS D’EXPATRIÉS
De plus en plus de Français partent tenter leur chance à
l’étranger. Cet ouvrage suit le parcours d’hommes et de
femmes qui ont osé franchir le pas. En famille, en solo
ou en couple, leurs motivations sont variées : découvrir
un pays, apprendre une langue étrangère, créer une acti-
vité, rejoindre l’être aimé, réaliser un rêve, booster une
carrière ou repartir à zéro… Des expériences riches et
multiples qui montrent les différents visages de l’expa-
triation aujourd’hui avec, en prime, un carnet pratique
pour répondre à toutes les questions que se posent les
candidats au départ.
Qui n’a jamais songé à s’installer dans un autre pays ?
Pour six mois, un an, toute une vie peut-être ?
Ils sont partis vivre ailleursSandrine Mercier, Michel Fonovich
19,3 x 26 cm – 240 pages – 29,90 €SEPTEMBRE 2014
En partenariat avec
7695_p001A050_BL_VERSION_FR 427695_p001A050_BL_VERSION_FR 42 04/08/14 16:0404/08/14 16:04
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L’HOMMAGE D’UNE FEMMEÀ TOUTES LES FEMMES DU MONDE
Véronique Durruty sillonne le monde depuis près de vingt-cinq ans. À chacun de ses voyages, elle
photographie, dessine, raconte. Aujourd’hui, elle se souvient des femmes qu’elle a croisées, regardées,
écoutées, admirées. Elle a rencontré des conteuses, des mères, des bergères au port de reine, des
nonnes rasées et pieds nus en robe rose, des prêtresses inuits, une princesse de Chitral, des prostituées
du Bangladesh, des fabricantes de monoï aux Marquises, des danseuses d’ici et d’ailleurs… Elle a par-
tagé leur vie l’espace d’un instant ou quelques semaines. Leurs souffrances et leurs rires à jamais mêlés.
Et tant de rêves aussi que l’ouvrage tente de rendre par petites touches d’écriture, collages, dessins et
photographies.
Women’s BookVéronique Durruty
22 x 28,5 cm – 288 pages – 35 €OCTOBRE 2014
« Les femmes
que j’ai rencontrées
au long de ces vingt-cinq
années d’errance sont
celles qui sont venues
à moi. »
Véronique Durruty
DÉJÀPARU
ROAD BOOK
Véronique Durruty
22 x 28 cm – 312 pages
38 €
JAPAN BOOK,
VOYAGE NIPPON
Véronique Durruty,
Jean-Luc Toula-Breysse
22 x 28,5 cm – 232 pages
38 €
ILS ONT FAIT
LE TOUR DU MONDE
Sandrine Mercier,
Michel Fonovich
19,3 x 26 cm – 272 pages
29,90 €
7695_p001A050_BL_VERSION_FR 437695_p001A050_BL_VERSION_FR 43 04/08/14 16:0404/08/14 16:04
44 L’ÎLE-CONTINENTForêts tropicales verdoyantes et
détrempées, déserts de sables
rouges, monolithes de grès, aridité
brûlante au cœur d’un continent
piqueté d’oasis, lagons turquoise,
sommets enneigés…
La diversité climatique de l’Australie
se lit dans ses paysages, superbement
photographiés par Olivier Grunewald,
lauréat à trois reprises d’un World Press.
Mais ce décor à couper le souffl e ne doit
pas faire oublier les menaces dues au
réchauffement climatique : la disparition
de la forêt, la destruction de la Grande
Barrière de corail… L’auteur, Bernadette
Gilbertas, porte dans ce livre un regard
alerte sur la situation écologique de
cette île-continent, à la faune et à la fl ore
uniques.
Australie,l’île-continentBernadette Gilbertas,
Olivier Grunewald
27 x 31 cm – 264 pages – 45 €SEPTEMBRE 2014
ISLANDE, L’ÎLE INACHEVÉE
Bernadette Gilbertas,
Olivier Grunewald
27 x 34 cm – 256 p. – 45,60 €
DÉJÀPARU
7695_p001A050_BL_VERSION_FR 447695_p001A050_BL_VERSION_FR 44 04/08/14 16:0404/08/14 16:04
BIG APPLE
LE PLUS ANCIEN
TROPHÉE SPORTIF
DE L’HISTOIRE
Little Cup, une histoire de la « Petite coupede l’America »François Chevalier
30 x 28 cm – 208 pages – 45 €DÉCEMBRE 2014
Très largement illustré par plus de 100 photographies et des plans
de forme, dessins et cartes de François Chevalier, cet ouvrage
nous conte, à travers 25 championnats, des origines de la course
à nos jours, les régates, les hommes, l’histoire des découvertes
des technologies de pointe, mais aussi l’architecture de ces petits
catamarans de sport.
New YorkYann Arthus-Bertrand,
John Tauranac
31,7 x 42,8 cm
216 pages
49 €OCTOBRE 2014
Conçu comme une promenade architecturale, l’ouvrage met en lumière les
buildings même les plus récents, comme le One World Trade Center, les
monuments ou les parcs qui ont fait l’histoire de cette ville fascinante. Un
texte de l’historien de l’architecture, John Tauranac, dévoile les charmes et
les secrets que renferme chacun de ces ouvrages d’art.
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CHASSEURS D’ORCHIDÉES
LA CRÉATION
PAYSAGÈRE
CONTEMPORAINESont réunis ici treize jardins privés, méconnus, nés de la main de pay-
sagistes de renom : Louis Benech, Fernando Caruncho, Pascal Cribier,
Jinny Blom, Dominique Lafourcade, Vladimir Sitta… Qu’ils se situent
en Europe, en Australie ou en Nouvelle-Zélande, ces jardins témoignent
d’une diversité à la fois horticole et conceptuelle : ils sont nés d’une
envie, celle du propriétaire des lieux ; ils sont le fruit d’une vision, celle
du paysagiste. Pour chacun d’eux, le créateur – le paysagiste lui-même
– revient sur les étapes qui ont donné vie au jardin. Un cheminement
créatif superbement mis en images par les promenades photogra-
phiques d’Alain Le Toquin.
Secrets de paysagistesAlain Le Toquin
28,5 x 25,4 cm – 240 pages – 39 €OCTOBRE 2014
Les orchidées ont de tout temps fasciné. Arrachées à
l’exubérance de leurs jungles lointaines par d’intrépides
aventuriers, elles déclenchèrent une véritable folie dans
l’Europe du ÇwÇe siècle. Symboles de richesse et de
prestige, elles fi rent fl amber les enchères aux ventes de
Londres où s’affrontaient des milliardaires passionnés.
Ce livre relate les expériences des « chasseurs » d’orchi-
dées, ces explorateurs missionnés dans le monde entier
à la recherche d’espèces rares ou nouvelles qui traver-
sèrent les océans pour rejoindre les serres les plus raffi -
nées. Richement illustré d’une iconographie ancienne et
contemporaine, l’ouvrage comprend également un album
des grandes collections d’orchidées dans le monde.
Orchidées du bout du mondeCatherine Vadon
24 x 31 cm – 224 pages – 45 €OCTOBRE 2014
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JARDINS ROYAUX
Jardins en MajestéJean-Baptiste Leroux
Préface de Stéphane Bern
26 x 28,5 cm – 280 pages – 35 €SEPTEMBRE 2014
Nous voici embarqués pour un fabuleux voyage dans les plus
beaux jardins du monde ayant appartenu ou appartenant encore à
des familles royales. Par leur infl uence et leur goût, celles-ci ont
laissé à la postérité des jardins inoubliables qui occupent toujours
une place exceptionnelle dans l’histoire de l’art et des jardins. Cette
balade est introduite par Stéphane Bern et formidablement illustrée
par les photographies de Jean-Baptiste Leroux.
DEUX MILLE ANS DE JARDINS
Jacques Bosser, Alain Le Toquin
25 x 25 cm – 320 pages
35,50 €
Flâner dans les
allées du Jardin
inférieur du palais
de Peterhof,
méditer sur les
paysages enneigés
du château de
Neuschwanstein,
grimper jusqu’au
domaine de Rocagel
– jardin secret
des Grimaldi –,
ou encore
accoster sur l’îlot
enchanteur de
Drottningholm
près de
Stockholm…
DÉJÀPARU
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P. 3 9782732464985 P. 8 9782732464824 P. 11 9782732463971 P.12 9782732448824 P. 13 9782732467160P. 6 9782732461397
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Le Hobbit, La Batailledes Cinq Armées (guide)
Le Hobbit, La Bataille des Cinq Armées (Chroniques v)
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C R É D I T S P H O T O G R A P H I Q U E S B E A U X L I V R E S
Couverture : photographies extraites de Liu Bolin © Liu Bolin
Sommaire (2) et pages 2-5 : photographies extraites de Family Love © Darcy Padilla
Sommaire (6) et pages 6-7 : photographies extraites de Vis-à-vis © Gail Albert Halaban
Sommaire (8) et page 9 : photographies extraites de Musée national © Marc Lathuillière
Sommaire (10) et pages 10-11 : photographies extraites de Liu Bolin © Liu Bolin
Sommaire (13) et page 13 : photographies extraites d’Ángel Gitano © Ruven Afanador
Sommaire (16) et page 16 : photographie extraite de Cadets © Paolo Verzone
Sommaire (21) et page 21 (à droite) : photographie extraite de Cache-sexe © BPK, Berlin, Dist.
RMN-Grand Palais/Jörg P. Anders
Sommaire (22) et page 23 : photographies extraites de Mort ou Vif © Jacques Vekemans
Sommaire (25) : photographie extraite de Libres comme elles © Augustin Détienne
Sommaire (26) et pages 26-27 : photographies extraites de Jouets cultes du XXe siècle © Laziz Hamani
Sommaire (28) : DR © Pierre Lescure
Sommaire (34) : photographie de plateau du fi lm Peau d’âne de Jacques Demy, 1970
Michel Lavoix © 2003 Succession Demy
Sommaire (38) et page 38 (en haut) : photographie extraite de Piaget © Philippe Garcia
Sommaire (40) et page 40 (au centre) : photographie extraite de So Shoes © Frédérique Veysset
Page 12 : photographie extraite de China Now © Yin Liqin
Pages 14-15 : photographies extraites de Harcourt, le mythe © Harcourt
Page 17 : photographie extraite de 40 ans de photojournalisme © David Turnley
Page 18 (en haut) : photographie extraite de Libérez Paris ! © DR
Page 18 (au centre) : photographie extraite de Libérez Paris ! © Service de presse alliés
Page 18 (en bas) : photographie extraite de Libérez Paris ! © Agence France Presse
Page 19 : photographie extraite de L’Empire Céleste © Collection Ferry Bertholet,
Lambert van der Aalsvoort
Page 20 : photographie extraite de Musée de l’Ermitage © Phil Sayer
Page 21 (en haut à gauche) : photographie extraite de Cache-sexe © Estate of George Platt Lynes
Page 21 (en bas à gauche) : photographie extraite de Cache-sexe © Pierre et Gilles
Vive la France, Serge, Moussa et Robert, 2006
Page 22 : photographie extraite de Diableries © Collection London Stereoscopic Company Ltd
Page 24 (à gauche) : photographie extraite d’Oscar Wilde © Lux-in-Fine/Leemage
Page 24 (à droite) : photographie extraite d’Oscar Wilde © Peter Nahum at The Leicester Galleries,
London/Bridgeman.
Page 25 : photographie extraite de Libres comme elles © Jack Mitchell/Getty Images
Page 29 (en haut à droite) : photographie extraite de Marques et pubs cultes © Jacques Charmoz,
Scandale, 1966/Adagp, Paris 2014
Page 29 (en bas à droite) : photographie extraite de Marques et pubs cultes © Hervé Morvan,
Banania, 1956/Adagp, Paris 2014/Photo Les Arts Décoratifs, Paris/Jean Tholance
Page 29 (en bas à gauche) : photographie extraite de Marques et pubs cultes
© Photo by Apic/Getty Images
© MOURON. CASSANDRE. License 2014-22-07-03/www.cassandre.fr
Page 30 (à gauche) : photographie extraite d’Infographie © Headcase design
Page 30 (à droite) : photographie extraite d’Infographie © Nathalie Miebach
Page 31 (en haut) : photographie extraite de Robert Stadler © Marc Domage, Nuit Blanche Paris, 2007
Page 31 (en bas) : photographie extraite de Robert Stadler © Patrick Gries, Pools & Pouf ! 2004
Page 32 (en haut à droite) : photographie extraite de Le Cinéma français, La Vie d’Adèle
© Wild Bunch-Quat’Saus fi lms-France 2-Cinéma-Scope Pictures-RTBF-Vertigo/DR/TCD
Page 32 (en bas à gauche) : photographie extraite de Le Cinéma français © Cocinor /DR/TCD
Page 32 (en bas à droite) : photographie extraite de Le Cinéma français © Raymond Cauchetier
Page 33 : photographie extraite de Les Plus Beaux Génériques de cinéma, Film OSS 117 Rio ne
répond plus réalisé par Michel Hazanavicius, Générique créé par Laurent BRETT c/o Sabotage
© Gaumont-Mandarin Cinéma-M6 Films
Page 34-35 : photographies extraites de Peau d’âne © 2003 Succession Demy
Page 36 : photographies extraites de Artisans du luxe français © Jean-Marc Palisse
Page 37 : photographie extraite de Comment recevoir à la française © Francis Amiand pour Ercuis
Page 38 (en bas) : photographie extraite de Maison Goossens © Patrick Sigal
Page 40 (à gauche) : photographie extraite de Liberty © Westminster City Archives
Page 41 : photographie extraite de Les Beatles en solo, Vidéo So Bad © Bettmann/Corbis
Page 42 : photographies extraites de Ils sont partis vivre ailleurs © Felix Vallat et Yann l’Hénoret
Page 43 : photographies extraites de Women’s Book © Véronique Durruty
Page 44 : photographies extraites de Australie © Olivier Grunewald
Page 45 : photographies extraites de New York © Yann Arthus-Bertrand
Page 46 (à gauche) : photographie extraite de Orchidées du bout du monde © Marc Walter
Page 46 (centre) : photographie extraite de Secrets de paysagistes © Alain Le Toquin
Page 47 : photographies extraites de Jardins en Majesté © Jean-Baptiste Leroux
Direction artistique : Valérie Gautier
Conception graphique : Florine Synoradzki
Rédaction : Cécile Dick
Appel d’air est une marque La Martinière Groupe
Les visuels de couverture présentés dans cette revue
sont susceptibles de modifi cations.
Dépôt légal août 2014
DIFFUSION - DISTRIBUTION
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