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FONDS AFRICAIN DE DEVELOPPEMENT CAMEROUN APPUI INSTITUTIONNEL AUX REFORMES EN MATIERE DE GOUVERNANCE RAPPORT D’ACHEVEMENT DE PROJET DEPARTEMENT OSGE Octobre 2012

CAMEROUN APPUI INSTITUTIONNEL AUX REFORMES EN MATIERE DE GOUVERNANCE · L'objectif du projet est de contribuer à la promotion de la bonne gouvernance à travers le renforcement des

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FONDS AFRICAIN DE DEVELOPPEMENT

CAMEROUN

APPUI INSTITUTIONNEL AUX REFORMES EN MATIERE DE GOUVERNANCE

RAPPORT D’ACHEVEMENT DE PROJET

DEPARTEMENT OSGE

Octobre 2012

1

RAPPORT D'ACHEVEMENT DU PROJET A. INFORMATIONS SUR LE PROJET ET DATES CLES I. INFORMATIONS DE BASE Référence du Projet Tire du Projet Pays

P-CM-KA0-007 Projet d'appui Institutionnel aux Réformes en matière de Gouvernance

REPUBLIQUE DU CAMEROUN

Instrument(s) de Prêt Département Catégorie Environnementale

Appui Institutionnel - PRÊT FAD N°2100150013794 OSGE III

Engagement Initial Montant Annulé Montant Décaissé Pourcentage Décaissé

4 000 000 2 595 252 1 404 747,85 35,12%

Emprunteur

GOUVERNEMENT DU CAMEROUN

Organe(s) d'Exécution [Citer les principaux ministères, cellules d'exécution du projet, agences et organisations de la société civile chargés de la mise en œuvre du projet.]

CELLULE D'EXECUTION DU PROJET (CEP)

Cofinanciers et Autres Partenaires Extérieurs [Citer toutes les autres sources de financement et les montants, l'assistance technique ou autres sources utilisées dans le cadre du projet]

Le Projet était financé en parallèle par un prêt FAD de 25 millions d'UC destiné à un appui à la Balance des Paiements en faveur des structures impliquées dans la mise en œuvre des réformes soutenues par le projet.

II. DATES CLES Note de Concept du Projet Approuvé par Com. Ops.

Rapport d'évaluation Approuvé par Com. Ops

Approbation par le Conseil d'Administration

04-Déc-06

Restructuration(s)

Date initiale JJ/MM/AA

Date effective JJ/MM/AA

Ecart en termes de mois (généré

automatiquement)

ENTREE EN VIGUEUR 31-Déc-06 10-Jul-08

18,6

REVUE A MI-PARCOURS 30-Nov-07 21-Avr-10

29,1

CLÔTURE

31-Déc-09

Pour les projets actifs, entrer la date de réalisation de 98% de décaissement

28,4

30-Avr-12

III. RESUME DES NOTES CRITERES SOUS-CRITERES NOTES

RENDEMENT DU PROJET

Réalisation des Résultats 2

Réalisation des effets 2

Respect du Calendrier 2

RENDEMENT GENERAL DU PROJET 2

2

PERFORMANCE DE LA BANQUE

Conception et état de Préparation 3

Supervision 3

PERFORMANCE GENERALE DE LA BANQUE 3

PERFORMANCE DE L'EMPRUNTEUR

Conception et état de Préparation 3

Exécution 2

PERFORMANCE GENERALE DE L'EMPRUNTEUR 3

IV. RESPONSABLES DU PROJET AU SEIN DE LA BANQUE

FONCTIONS A L'APPROBATION A L'ACHEVEMENT

Directeur Régional M. J. M. GHARBI, ORCE Mme Marlène KANGA, ORCE

Directeur Sectoriel M. Isaac LOBE NDOUMBE, OSGE

Chef de Division du Secteur M. Jean Luc BERNASCONI, OSGE.1

Chef de Projet M. A. BERNOUSSI, ORCE M. Alain Fabrice EKPO, OSGE.1

Chef de l'équipe du RAP M. Bekale OLLAME , OSGE.0

Membres de l'equipe du RAP

M. Denis TANKOUA , CMFO / M. Alain Fabrice EKPO, OSGE.1/M. Sékou KEITA et M. Clément AHOSSI, CMFO/ORPF

B. CONTEXTE DU PROJET

Faire un résumé du bien-fondé de l'assistance de la Banque. Texte: -sur quel défi du développement porte le projet, -stratégie générale de l'emprunteur pour relever ce défi, -activités de la Banque dans ce(s) pays et dans ce secteur durant l' année dernière et performance, et -activités en cours financées par la Banque et d'autres sources extérieures qui complètent, font doublon ou se rapportent à ce projet. Veuillez citer les sources concernées. Exprimez-vous sur la force et la cohérence de cette justification. [300 mots au plus. Tout autre propos pertinent sur les origines et l'historique du projet doit être, si besoin, présenté à l'annexe 6 intitulé: Description du Projet]

Malgré les progrès accomplis par le Gouvernement au cours des dernières années, l’incidence de la pauvreté n'a pas significativement diminué au Cameroun. La promotion de la gouvernance est une condition nécessaire pour l’efficacité de lutte contre la pauvreté Le programme à moyen terme du Gouvernement du Cameroun pour la période 2006-2008, soutenu par la Facilité pour la Réduction de la Pauvreté et la Croissance (FRPC), est axé sur les priorités suivantes : (i) la consolidation de la stabilité macroéconomique ; (ii) le développement du capital humain et physique ; (iii) la promotion de la bonne gouvernance ; et (iv) la réduction des autres obstacles à la croissance. A fin juin 2012, Le portefeuille actif de la Banque au Cameroun, comprend dix-neuf (19) projets d’un montant total d’engagements nets de 576,37 millions d’UC dont 247,23 millions d’UC (43%) pour les projets publics nationaux. Le secteur des transports occupe une place prépondérante, représentant 56% du portefeuille des opérations publiques. Le portefeuille comprend également un projet d’appui institutionnel, le projet d’appui à la modernisation du cadastre et au climat des affaires (PAMOCCA), d’un montant de 7 millions d’UC.

3

L'appui Institutionnel est un volet du Programme d'appui aux réformes en matière de gouvernance. Il s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Document de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP), du Programme national de gouvernance révisé (PNG-R) et du DSP 2005-2009 de la Banque. L'Appui Institutionnel en matière de Gouvernance est en ligne avec le programme à moyen terme du Gouvernement et se concentre sur les quatre composantes suivantes : (i) l’amélioration de l’efficacité du système judiciaire ; (ii) l’amélioration de l’efficacité de l’administration publique ; (iii) l’amélioration de la gestion des finances publiques ; et (iv) l’intensification de la lutte contre la corruption. Ce Projet est axé sur le renforcement des capacités des structures devant jouer un rôle de premier plan dans la mise en oeuvre des mesures de réformes retenues dans le cadre du programme à savoir le MINJUSTICE, le SPRA, la CFB/AN, le CSE, la CDC/CS, l'ARMP et enfin la CONAC. La Banque travaille en étroite collaboration avec les PTF tels que : le FMI, la Banque Mondiale, l’Union Européenne, le PNUD, l’Allemagne, le Canada et la France. Le FMI a approuvé la FRPC pour soutenir le programme du Gouvernement en octobre 2005. Source : Rapport d’évaluation du PARG ADF/BD/WP/2006/87/Rev.1

NOMBRE DE MOTS 392

C. OBJECTIF DU PROJET ET CADRE LOGIQUE 1. Enoncer le(s) Objectif(s) de Développement du Projet (ainsi qu'ils sont présentés dans le rapport d'évaluation)

L'objectif du projet est de contribuer à la promotion de la bonne gouvernance à travers le renforcement des capacités des structures devant jouer un rôle de premier plan dans la formulation et la mise en œuvre des stratégies et politiques judiciaires, administratives, de contrôle des finances publiques et de lutte contre la corruption

2. Décrire les principales composantes du projet en indiquant comment chacune contribuera à la réalisation des objectifs du projet

Le projet d’appui institutionnel comportait les mêmes composantes que celles du programme : i) appui à l’amélioration de l’efficacité du système judiciaire : Le projet visait le renforcement des capacités du système judiciaire (en droit humain, administratif, droit de propriété) à travers l'interconnexion des différentes juridictions, la formation des magistrats et la dotation en équipements informatiques et fond documentaire. ii) appui à l’amélioration de l’efficacité de l’administration publique: Le projet visait une déconcentration de la gestion de la solde, une meilleure rationalisation des procédures administratives et le renforcement des capacités des agents de l'Etat. iii) appui à l’amélioration de la gestion des finances publiques: cette composante visait à renforcer les capacité des structures en charge du contrôle budgetaire interne et externe, et du système de passation des marchés publiques. iv) appui à l’intensification de la lutte contre la corruption: cette composante permetait de contribuer: (i) au renforcement du cadre institutionnel et juridique de lutte contre la corruption, et des capacités d'intervention des organes impliqués dans la lutte contre ce phénomène, ainsi qu'à (ii) la définition d'une stratégie nationale dans ce domaine.

3. Evaluer brièvement (deux phrases au plus) les objectifs du projet sous trois angles : noter l'évaluation, en utilisant l'échelle de notation fournie à l'appendice 1.

CARACTERISTIQUES DES OBJECTIFS DU PROJET

EVALUATION NOTE

PERTINENTS a) Pertinent au regard des priorités de développement du pays priorities.

Eu égard au contexte qui prévalait lors de sa préparation, l’on peut affirmer que le projet et les activités retenus étaient pertinents

4

REALISABLES

b) Objectifs jugés réalisables au regard des contributions au projet et des délais envisagés.

Lors de la préparation et l'évaluation, les objectifs étaient jugés réalisables au regard des contributions et des délais envisagés. Cependant, les retards constatés dans la mise en oeuvre du projet et les nombreuses prorogations montrent que les capacités ont été quelque peu surrevaluées

2

COHERENTS

c) Conforme à la stratégie nationale ou régionale de la Banque.

Le projet était bien cohérent avec le DSP 2005-2009 dont l'un des piliers portait sur la promotion de la bonne gouvernance pour assurer une gestion transparente des ressources de l'Etat et améliorer l'efficacité de l'administration publique.

4

d) Conforme aux priorités générales de la Banque.

Le projet était en conformité avec les priorités de la Banque en matière de gouvernance

4

4. Présenter le cadre logique. En l'absence de cadre logique, remplir le tableau ci-dessous, en indiquant l'objectif global du projet, les principales composantes du projet, les principales activités de chaque composante et les résultats et effets attendus, ainsi que les indicateurs de mesure de la réalisation des effets. Vous pouvez créer des rangées supplémentaires pour les composantes, activités, résultats ou effets, si nécessaire.

4

COMPOSANTES ACTIVITES PRODUITS INDICATEURS A

MESURER EFFETS

INDICATEURS A MESURER

Composante 1: amélioration du système judiciaire

Installation réseaux locaux, VSAT, boucles radio et configuration de serveurs

Réseau intranet à Yaoundé réalisé (réseau reliant le Ministère de la justice, la Cour suprême, les Cours d'appels, les Tribunaux de grandes instants et les Tribunaux de premières instances)

Intranet installé

Capacités de l’administration générale de la Justice renforcée

Délais de traitement des dossiers

Achat de postes de travail informatique, matériel de bureau (photocopieurs, vidéo projecteurs…)

Administration judiciaire équipés en matériels informatiques et bureautique

Livraison des matériels et équipements

Recrutement de consultants internationaux en droit administratif et droits de la propriété intellectuelle pour la formation des magistrats

Magistrats formés Nombre de magistrats formés

Inspection Générale des Services Judiciaires renforcées (IGSJ)

Financement de voyages d'études pour les magistrats

Formation en droit de la propriété intellectuelle, en droit de l’homme et en contentieux administratifs

Agents de l'IGSJ formés

Nombre d'Agents de l'IGS formés

Financement d'une étude sur la création d'une base de données

Base de données carcérale mise en place

base de données réalisée

Cour Suprême renforcée

Installation de serveur

Formation des utilisateurs

Développement de l'application

Fichier central du casier judiciaire mis en place

Ficher centrale du casier judiciaire réalisé

Achat d'équipements informatiques

Formation des utilisateurs

Achats de fond documentaire pénal, civil et commercial

Fonds documentaire mis à la disposition du Ministère de la justice et de la Cour suprême

Livraison des ouvrages

5

Composante 2:amélioration de l’efficacité de l’administration publique

Recrutement de consultant pour élaboration les normes

Normes de rendement en vue de l'évaluation des agents publics aux résultats, élaborées

Normes élaborés

La gestion du personnel et de la solde sont améliorées

Le SIGIPES est utilisé dans 11 autres départements ministériels en 2006 et étendu au reste des départements ministériels et de l’administration en 2007 ;

évaluation des normes

Les structures et procédures administratives sont rationalisées Achats de matériels

informatiques

Recrutement de consultants pour élaboration de manuels de procédures

Manuel de procédures administratives et de gestion des carrières élaborés

Manuels élaborés

Le système d'évaluation des agents de l'administration est amélioré

Organisation de sessions de formations au profit des utilisateurs du SIGIPES aux métiers de gestion des carrières et de la solde ;

120 agents formés en gestion des carrières et en gestion de la solde

Nombre d'agents formés

Organisation de Séminaires de formation au métier de management des ressources humaines à l’intention des directeurs chargés des ressources humaines et des délégués provinciaux du MINFOPRA

cadres en charge de la gestion des ressources humaines et délégués provinciaux du MINFOPRA formés

Nombre de cadres formés

Recrutement de consultants pour élaboration de manuels de procédures

Manuel de procédures de gestion de la solde élaboré

Manuels élaborés

Recrutement de consultants pour élaboration des guides et cadres organiques

Guides méthodologiques et de cadres organiques de 4 ministeres élaborés (MINT, MINTP, MINEDUB, MINADER)

Nombre de cadres organiques élaborés

Composante 3:Amélioration de la gestion des finances publiques

Financement de voyages d'études et organisation de séminaires de formations

Députés et experts de la Comission des finances et du budget (CFB) de l'assemblée nationale formés

Nombre de députés et d'experts formés

Capacités de la Commission des Finances et du Budget de l’Assemblée Nationale (CFB/AN) renforcée

Indicateurs PEFA : PI-27 Examen de la loi de finances annuelle par le pouvoir législatif PI-28 Examen des rapports de vérification externe par le pouvoir législatif

Achat de matériel informatique et d'équipements

Locaux de la CFB équipés en matériels informatiques de bureau et de communication

Livraison des équipements et matériels

6

Achats de fonds documentaire

la CFB dotée d'un fonds documentaires et d'un service d'archivage

Livraison des ouvrages

Financement de voyages d'études et de stages pratiques en jugement et contrôle des comptes

Les magistrats, greffiers et autres personnels de la Cour des comptes (CdC) sont formés pour l’élaboration des lois de règlement

Nombre de magistrats formés Chambre des

Comptes opérationnelle

Indicateurs PEFA : PI-26 Etendue, nature et suivi de la vérification externe

Achat de fonds documentaire

la Cour des comptes est dotée d'un fonds documentaire

Livraison des ouvrages

organisation de séminaire international sur l'audit informatique

Les vérificateurs du Controle Supérieur de l'Etat (CSE) sont formés aux nouvelles techniques d’audit et de vérification

Nombre personnes formées

Organes de Contrôle interne renforcé

Indicateurs PEFA : PI-20 Efficacité des contrôles internes des dépenses non salariales PI-21 Efficacité du système de vérification interne

Recrutement de consultant pour élaboration des normes et manuels

Normes de vérification et manuels de procédures élaborées ;

Manuels et normes élaborés

Financement de la rédaction et reproduction du rapport

Rapport annuel de vérification de 2006 du patrimoine de l’Etat publié par le CSE

Nombre de rapports distribués

Acquisition d’équipements didactiques et d’un kit pour la reprographie des documents de formation

Centre de formation du CSE équipé en matériel pédagogique et didactique

Livraison du matériel

Achat de 57 ordinateurs portables et de logiciel de vérification

CSE équipé en informatique

Livraison du matériel

Achats de 200 ordinateurs, 5 serveurs et autres équipements de connexion

l'Agence de régulation des marchés publiques (ARMP) est informatisée

Livraison du matériel informatique

Transparence des marchés publics améliorée

Taux de marchés passés par appel d'offres

Recrutement de consultants pour l'élaboration d'une plateforme de dématérialisation et d'une plateforme de gestion électronique de données

Banque de données de l’ARMP opérationnelle

base de données réalisée

7

Composante 4:appui à l’intensification de la lutte contre la corruption

Recrutement d’un bureau d’études pour élaborer l'étude diagnostique ainsi qu’une stratégie nationale et un plan d’action de lutte contre la corruption;

Etude diagnostique sur la corruption et politique de lutte contre la corruption élaborée

étude diagnostique et politique réalisée

Dispositifs pour la lutte contre la corruption renforcés

taux de traitement des cas d'infractions soumis à la CONAC

Elaboration par le bureau d'études de textes relatifs à la corruption internalisant les dispositifs et conventions internationales en la matière ;

Dispositif législatif répressif de la corruption élaboré et texte d'application de l'article 66 de la consitution adopté

textes élaborés et article 66 adopté

Organisation de séminaires de formations

membres de la CONAC et personnel des organisation de la société civile inpliqué dans la lutte contre la corruption formé

Nombre de personnes formées

Elaboration par le Bureau d'étude d'un cadre institutionnel de la Coalition nationale de lutte contre la corruption ;

Coalition nationale de lutte contre la corruption mise en place

Formalisation de la coalition

Achat de matériel informatique et d’un fonds documentaire

CONAC équipés en matériel informatique et en documentation

Livraison des matériels et ouvrages

5. Pour chaque dimension du cadre logique, indiquer brièvement (deux phrases au plus) à quel point le cadre logique a contribué à la réalisation des objectifs mentionnés ci-après. Noter l'évaluation en utilisant l'échelle de notation fournie à l'appendice 1. En l'absence de cadre logique, attribuer à cette section la note 1.

CARACTERISTIQUES DU CADRE LOGIQUE

EVALUATION NOTE

LOGIQUE

a) Prévoit un enchaînement causal logique pour la réalisation des objectifs de développement du projet.

Le cadre logique prévoit bien un enchaînement causal pour la réalisation des objectifs de développement. Cependant, certains indicateurs ne sont pas très bien définis. 3

MESURABLE b) Enonce les objectifs et les effets de manière mesurable et quantifiable.

Le cadre énonce les objectifs et les effets mesurables et quantifiables 4

DETAILLE c) Mentionne les risques et les hypothèses clés.

Le cadre logique mentionne de manière claire les risques et les hypothèses clés

4

D. RESULTATS : PRODUITS ET EFFETS I. PRODUITS OBTENUS Dans le tableau ci-dessous, évaluer pour chaque principale activité, les réalisations par rapport aux résultats prévisionnels, en se fondant sur le cadre logique présenté à la Section C. Noter le degré de réalisation des résultats attendus. Calculer les notes pondérées en proportion approximative du coût des activités du projet. La somme des notes pondérées s'affichera automatiquement et correspondra à la somme des notes pondérées. Ignorer la note automatiquement calculée, si vous le souhaitez, et justifier.

8

PRINCIPAUX PRODUITS Note de l'évaluation

Proportion des Coûts du Projet en pourcentage

(ainsi que mentionné dans le rapport d'évaluation)

Note pondérée (généré

automatiquement) Produits Attendus Produits Obtenus

Réseau intranet à Yaoundé réalisé (réseau reliant le Ministère de la justice, la Cour suprême, les Cours d'appels, les Tribunaux de grandes instants et les Tribunaux de premières instances)

Réseau intranet installé progressivement depuis 2008 sur financement propre du Gouvernement

0 7,711 0,00

Administration judiciaire équipés en matériels informatiques et bureautique

IGSJ doté d'équipements informatiques en 2012

2 1,099 0,02

Magistrats formés Réalisé sur le budget de l'État de 2008 à 2010

2 1,735 0,03

Agents de l'IGSJ formés Réalisé sur le budget de l'État de 2008 à 2010

2 5,297 0,11

Base de données carcérale mise en place

base de données non réalisés. Scanners et appareils photos numériques acquis

2 2,806 0,06

Fichier central du casier judiciaire mis en place

Fichier central non réalisé 0 1,402 0,00

Fonds documentaire mis à la disposition du Ministère de la justice et de la Cour suprême

Réalisé en 2012 4 0,676 0,03

Normes de rendement en vue de l'évaluation des agents publics aux résultats, élaborées

Réalisé en 2011 4 6,448 0,26

Manuel de procédures administratives et de gestion des carrières élaborés

Réalisé en 2011 4 2,736 0,11

120 agents formés en gestion des carrières et en gestion de la solde

non réalisé 0 6,369 0,00

cadres en charge de la gestion des ressources humaines et délégués provinciaux du MINFOPRA formés

non réalisé 0 0,988 0,00

Manuel de procédures de gestion de la solde élaboré

réalisés en 2011 4 1,856 0,07

Guides méthodologiques et de cadres organiques de 4 ministères élaborés (MINT, MINTP, MINEDUB, MINADER)

réalisés en 2011 4 7,001 0,28

Députés et experts de la Commission des finances et du budget (CFB) de l'assemblée nationale formés

non réalisé 0 1,082 0,00

Locaux de la CFB équipés en matériels informatiques de bureau et de communication

réalisé en 2011 4 2,046 0,08

la CFB dotée d'un fonds documentaires et d'un service d'archivage

réalisé en 2011 0 0,338 0,00

Les magistrats, greffiers et autres personnels de la Cour des comptes (CdC) sont formés pour l’élaboration des lois de règlement

réalisé 2 11,910 0,24

la Cour des comptes est dotée d'un fonds documentaire

réalisé en 2012 4 0,338 0,01

Les vérificateurs du Contrôle Formation en audit 2 3,272 0,07

9

Supérieur de l'Etat (CSE) sont formés aux nouvelles techniques d’audit et de vérification

informatique non réalisée. Séminaires de formation et recyclage pour les auditeurs internes des ministères réalisés

Rapport annuel de vérification de 2006 du patrimoine de l’Etat publié par le CSE

réalisé en 2007 4 0,747 0,03

Centre de formation du CSE équipé en matériel pédagogique et didactique

non réalisé 0 2,545 0,00

CSE équipé en informatique non réalisé 0 2,976 0,00

l'Agence de régulation des marchés publiques (ARMP) est informatisée

Matériel informatique livré mais serveurs et matériels de connexion du réseau non livré

2 5,787 0,12

Banque de données de l’ARMP opérationnelle

La plateforme de dématérialisation et de gestion électronique de données a été conçue mais elle n'est pas opérationnelle, faute d'équipements

2 11,875 0,24

Etude diagnostique sur la corruption et politique de lutte contre la corruption élaborée

réalisée 4 2,706 0,11

Dispositif législatif répressif de la corruption élaboré et texte d'application de l'article 66 de la constitution adopté

textes élaboré mais non adopté

2 3,044 0,06

membres de la CONAC et personnel des organisations de la société civile impliqué dans la lutte contre la corruption formé

réalisé en 2012 4 1,522 0,06

Coalition nationale de lutte contre la corruption mise en place

réalisé 4 0,304 0,01

CONAC équipés en matériel informatique et en documentation

réalisé en 2012 4 3,382 0,14

NOTE GENERALE DES RESULTATS [correspond à la somme des notes pondérées] 2,0

Cochez ici pour ignorer la note autocalculée

Donner les raisons pour lesquelles la note autocalculée a été ignorée

Inscrire la nouvelle note ou réinscrire la note auto calculée 2

10

II. EFFETS OBTENUS

1. En utilisant les données disponibles sur le suivi, évaluer la réalisation des effets attendus. Importer les effets attendus du cadre logique présenté dans la Section C. Attribuer une note pour le degré de réalisation des effets attendus. La note générale des effets sera automatiquement calculée et correspondra à la moyenne des notes de l'évaluation. Ignorer la note automatiquement calculée, si vous le souhaitez, et justifier.

Effets Note de

l'évaluation Prévus Obtenus

Capacités de l’administration générale de la Justice renforcée

Capacités de l’administration générale de la Justice renforcée garce à la mise en place partiel du réseau d'échanges de données et des formations

2

Inspection Générale des Services Judiciaires renforcées (IGSJ)

Inspection Générale des Services Judiciaires renforcée (IGSJ) grâce à l'utilisation d'outils moderne de gestion

3

Cour Suprême renforcée Cour Suprême renforcé par des formation et la mise à disposition de fonds documentaire

4

La gestion du personnel et de la solde sont améliorées

La gestion du personnel de la solde est améliorée grâce à l'utilisation de manuel de procédures

3

Les structures et procédures administratives sont rationalisées

Les procédures sont améliorées mais les agents ont besoin de formation

2

Le système d'évaluation des agents de l'administration est amélioré

Le système est amélioré à la disponibilité de normes d'évaluation des rendements

3

Capacités de la Commission des Finances et du Budget de l’Assemblée Nationale (CFB/AN) renforcée

Les députés n'ont pu bénéficier de formation 0

Chambre des Comptes opérationnelle La Chambres compte est opérationnelle. Elle a bénéficié de formations et d'un fonds documentaire

3

Organes de Contrôle interne renforcé Les organes de contrôle ont bénéficié de quelques formations mais demeurent sous équipés et non formés aux nouvelles techniques de contrôle

2

Transparence des marchés publics améliorée La transparence n'a pas beaucoup évolué. Le système de dématérialisation des procédures n'a pas encore abouti

2

Dispositifs pour la lutte contre la corruption renforcés

Le Dispositif a été considérablement renforcé grâce à l'élaboration d'une stratégie de lutte contre la corruption et des campagnes de sensibilisations

4

NOTE GENERALE DES effets [Correspond à la moyenne des notes de l'évaluation]

2

Cocher ici pour ignorer la note calculée

Donner les raisons pour lesquelles la note autocalculée a été ignorée

Inscrire la nouvelle note ou réinscrire la note auto calculée 2

2. Autres effets: Commenter les effets additionnels non prévus dans le cadre logique, et qui portent notamment sur les questions transversales (genre, par exemple).

Aucun effet additionnel n'a été obtenu en raison de l'exécution en deçà des attentes du projet.

3. Menaces qui pèsent sur la viabilité des effets obtenus. Souligner les facteurs qui affectent, ou pourraient affecter les effets du projet à long terme ou leur viabilité. Mentionner toute nouvelle activité ou changement institutionnel éventuellement recommandé pour assurer la viabilité des effets. L'analyse devra s'inspirer de l'analyse de sensibilité de l'annexe 3, si pertinent.

11

Les facteurs qui risquent d'affecter la viabilité des effets obtenus sont: (i) le manque d'entretien et de maintenance des équipements de bureaux et informatiques ; (ii) la mauvaise conservation des ouvrages, des guides et manuels de procédures acquis dans le cadre du projet ; (iii) la non application et la non transmission des connaissances acquises lors des séminaires, formations et voyages d'études ; le non recyclage du personnel formé, la non acquisition du matériel nécessaires pour l'opérationnalisation de la plateforme de dématérialisation et de la plateforme de gestion électronique de données pour l'ARMP, la non continuation de l'appui des PTFs.

E. CONCEPTION ET ETAT DE PREPARATION A LA MISE EN ŒUVRE DU PROJET 1. Indiquer dans quelle mesure la Banque et l'emprunteur se sont assurés que le projet tienne compte de la capacité de l'emprunteur à le mettre en œuvre, en assurant sa bonne conception et en mettant en place le dispositif requis pour l'exécution. Analyser tous les aspects liés à la conception du projet. Les questions liées à la conception sont les suivantes: dans quelle mesure la conception du projet a-t-elle tenu compte des leçons tirées de précédents RAP dans le secteur ou dans le pays (citer quelques RAP clés); le projet repose-t-il sur de sérieuses études analytiques (citer quelques documents clés); dans quelle mesure la Banque et l'emprunteur ont-ils convenablement évalué la capacité des organes d'exécution et de la cellule d'exécution du projet; degré de consultations et de partenariats, justification économique du projet et les dispositions prises en matière d'assistance technique [250 mots au plus. Tout autre propos concernant la mise en œuvre devra être présenté à l'annexe 6 intitulé : Description du projet]

Le projet s'est inspiré des leçons des projets passées, notamment du projet d’appui au PNG suggère. Deux leçons majeures ont guidé le programme : (i) la nécessité d'assurer un meilleur suivi de l’exécution du projet par les bénéficiaires pour favoriser de meilleures performances dans la mise en œuvre des activités; (ii) la nécessité de discuter et valider l'ensemble des mesures du programme avec les autorités en tenant compte de des capacités du pays. C’est sur la base de ces leçons que le présent programme a été conçu. La Banque et l'emprunteur ont convenu du dispositif de mise en œuvre (Comité interministériel de supervision (CIS), Comité technique de suivi de programme économique (CTS), Comité de pilotage regroupant les points focaux des administrations impliquées dans la mise en œuvre des réformes et la CEP). La Banque et l'emprunteur ont en outre convenablement évalué le degré de consultations et de partenariats, ainsi que la justification économique du programme. Cependant l'Agence d'exécution, le CTS, n'a pas fait l'objet d'une évaluation spécifique sur sa capacité à mettre en œuvre le projet.

NOMBRE DE MOTS 176

2. Pour chaque dimension de la conception et de l'état de préparation à la mise en oeuvre du projet, présenter une brève évaluation (deux phrases au plus). Attribuer une note d'évaluation en utilisant l'échelle de notation figurant à l'appendice 1.

ASPECTS LIES A LA CONCEPTION ET A L'ETAT DE PREPARATION DE LA MISE EN ŒUVRE DU

PROJET EVALUATION

Note de l'évaluation

REALISME

a) Du fait de sa complexité, le projet est sous-tendu par une analyse de la capacité du pays et de son engagement politique.

Le projet a bien été sous-tendu par une analyse de la capacité du pays et de son engagement politique. La capacité de l'agence d'exécution n'a toutefois pas fait l'objet d'une évaluation spécifique

3

EVALUATION DU RISQUE ET ATTENUATION

b) La conception du projet tient suffisamment compte des risques analyses.

La conception du projet a tenu compte des risques, mais en a sous-estimé certains, notamment ceux relatifs à la capacité de l'agence d'exécution et au délai requis pour l'acquisition de biens et services.

2

UTILISATION DES SYSTEMES DU PAYS

c) Les systèmes de passation des marchés, de gestion financière, de suivi et/ou autres sont fondés sur des systèmes qu'utilisent déjà le gouvernement et/ou d'autres partenaires

Les systèmes de passation des marchés, de gestion financière de suivi et ou autres étaient bien fondés sur des systèmes déjà utilisés par le Gouvernement. Il faut toutefois noter que pour certains marchés, la combinaison des règles et procédures de la Banque et de celles de l’emprunteur était requise, ce qui a allongés les délais.

3

12

Pour les dimensions ci-après, attribuer des notes d'évaluation distinctes pour la performance de la Banque et la performance de l'emprunteur :

Note de l'évaluation

Banque Emprunteur

CLARITE

d) Les responsabilités en ce qui concerne la mise en œuvre du projet sont clairement définies.

Les responsabilités en ce qui concerne la mise en œuvre du projet étaient clairement définies. Cf. Chapitre 5 : Prêt d’appui aux réformes en matière de gouvernance, sections 5.4 à 5.10

4 4

PREPARATION A LA PASSATION DES MARCHES

e) Les documents requis pour l'exécution (documents sur les spécifications, la conception, la passation des marchés, etc.) sont prêts au moment de l'évaluation.

Les documents requis pour l’exécution du projet n’étaient pas prêts lors de l’évaluation, à l’exception de l’ARMP pour lequel l’on disposait de TDRs pour la plateforme de dématérialisation. Pour le reste, il a fallu souvent travailler avec les points focaux lors de l'exécution qui n’avaient pas les capacités nécessaires

3 3

PREPARATION AU SUIVI

f) Les indicateurs et le plan de suivi sont adoptés.

Les indicateurs et le plan de suivi ont été adoptés lors de la préparation du projet. Toutefois certains indicateurs sont manquants pour permettre une bonne mesure des résultats

3 3

DONNEES DE REFERENCE

h) La collecte des données de référence est achevée ou en cours.

Les données de suivi ont été insuffisantes, en l'absence d'indicateurs appropriés. 3 3

F. MISE EN ŒUVRE 1. Donner les principales caractéristiques de l'exécution du projet quant aux aspects suivants: respect des calendriers, qualité des constructions et autres travaux, performance des consultants, efficacité de la supervision par la Banque et efficacité de la surveillance par l'emprunteur. Déterminer dans quelle mesure la Banque et l'emprunteur ont veillé au respect des mesures de sauvegarde. [300 mots au plus. [Tout autre propos concernant la mise en oeuvre devra être présenté à l'annexe 6 intitulé : Description du projet]

Globalement, la mise en œuvre du projet a connu beaucoup de difficultés. Les calendriers arrêtés dans le cadre de la mise en œuvre du projet n’ont pas été respectés : - l’accord de prêt a été signé douze (12) mois après les négociations ; le lancement de l’exécution du projet est intervenu après 18 mois ; les fonds de roulement, ainsi que la Commission Spéciale de Passation des marchés ont été mis en place tardivement, retardant ainsi l’exécution du projet d’appui institutionnel ; le projet a été prorogé à trois reprises, ce qui fait que sa clôture est intervenu que trente- six (36) mois après la date initialement prévue. La liste des biens et services a connu des révisions, pour tenir compte (i) de la nécessité de remplacer certaines activités qui n’étaient plus d’actualité en raison du démarrage tardif du projet et (ii) des demandes de nouvelles activités formulées par les bénéficiaires. Près de 75% des services de consultants prévus n’ont pas été réalisés pour diverses raisons (difficulté de constitution de short-list selon les exigences de la Banque (2 soumissionnaires maximum par pays), absence de manifestation d’intérêt, insuffisance des enveloppes budgétaires prévues). Il faut cependant noter que le consultant recruté pour assurer les formations demandées par la Chambre des comptes de la Cour Suprême a donné entière satisfaction. La supervision de la Banque, bien qu’elle se soit régulièrement déroulée n’a pas donné entièrement satisfaction du fait notamment de l’incompréhension entre le chef de projet (Mai 2009-Juin 2011) et les bénéficiaires. La surveillance de l'emprunteur n’a non plus été totalement satisfaisante, les missions du COPIL n’ayant pas été bien comprises au départ. A cela, il faut ajouter les difficultés suivantes par (i) l’inadéquation des modes d’acquisition, (ii) une sous- estimation des budgets prévus pour la réalisation de certaines activités prévues dans le cadre de l’appui institutionnel. Les rapports d'audit du PAIRG 2010 (retard de 4 mois) et 2011 et clôture ont été transmis à la Banque; il ressort de leurs analyses des faiblesses au niveau de l'environnement du contrôle interne. Les dépenses inéligibles identifiées ont ete justifiées et/ou remboursées. Certaines lacunes ont été relevées dans la qualité du travail et du rapport d'audit de clôture, qui doit être repris et transmis à la Banque.

13

NOMBRE DE MOTS 367

2. Commenter le rôle des autres partenaires (bailleurs de fonds, ONG, entreprises, etc.). Evaluer l'efficacité des modalités de cofinancement et de la coordination des bailleurs de fonds, le cas échéant.

Les autres partenaires, bailleurs de fonds ont joué un rôle positif dans la mise en œuvre du projet. C’est ainsi que la Banque Mondiale a financé les aspects (réformes structurelles et sectorielles) relevant de son domaine de compétence ; l’UE et le Commonwealth ont soutenu le MINJUSTICE pour les aspects relevant de leur domaine d’intervention ; la Fondation pour le Renforcement des Capacités en Afrique a soutenu de façon complémentaire la mise en œuvre de certaines activités de renforcement de capacités et acquisition du matériel informatique. L’on peut affirmer que les modalités de cofinancement et de la coordination ont été efficaces. Par contre, il est à noter que les ONG et les entreprises n’ont pas été très présentes dans la mise en œuvre du projet.

3. Harmonisation. Indiquer si la Banque s'est explicitement employée à harmoniser les instruments, systèmes et/ou approches avec les autres partenaires.

S’agissant de l’harmonisation, la Banque s’est explicitement employée à harmoniser les instruments, systèmes et/ou approches avec les autres partenaires, chaque mission de supervision ayant toujours donné lieu à une concertation avec ces derniers (FMI, Comité multi bailleurs)

4. Pour chaque aspect de la mise en oeuvre du projet, indiquer dans quelle mesure le projet a atteint les objectifs ci-après. Présenter une évaluation succincte (deux phrases au plus) et attribuer une note d'évaluation, en utilisant l'échelle de notation figurant à l'appendice 1.

ASPECTS LIES A LA MISE EN ŒUVRE DU PROJET

EVALUATION NOTE DE

L'EVALUATION

RESPECT DU CALENDRIER

a) degré de respect de la date prévue de clôture. Si l' écart à droite est: inférieur à 12, "4" est automatiquement noté entre 12.1 et 24, "3" est automatiquement noté entre 24.1 et 36, "2" est automatiquement noté Supérieur à 36.1, "1" est automatiquement noté

Ecart en mois entre la date prévue de clôture et la date effective de clôture ou la date de réalisation de 98% de décaissement. (généré automatiquement)

L'exécution du projet a connu des retards énormes.

2

28,4

PERFORMANCE DE LA BANQUE

b) Conformité de la Banque aux :

Mesures de protection environnementale

Elles ont été bien identifiées dans le rapport d’évaluation

4

Dispositions fiduciaires La Banque s’est conformée aux dispositions fiduciaires de l’Accord de prêt.

3

Accords conclus dans le cadre du projet

La Banque s’est conformée aux accords conclus 4

c) La supervision de la Banque a été satisfaisante en termes de dosage des compétences et de praticabilité des solutions.

La supervision de la Banque n’a pas été totalement satisfaisante en termes de dosage des compétences

2

d) La surveillance de la gestion du projet par la Banque a été satisfaisant.

La surveillance de la gestion du projet par la Banque a parfois été un facteur de blocage du fait de l’exigence des recours constants aux ANO ou avis de la Banque

2

PERFORMANCE DE L'EMPRUNTEUR

e) L'emprunteur s'est conformé aux:

Mesures de protection environnementale

Les mesures de protection environnementale identifiées dans le rapport d’évaluation ont été globalement respectées (cf. Mesures

4

Dispositions fiduciaires Les dispositions fiduciaires n’ont pas toujours été respectées

1

14

Accords conclus dans le cadre du projet

L’emprunteur ne s’est pas entièrement conformé aux accords conclus.

3

f) L'emprunteur a été attentif aux conclusions et recommandations formulées de la Banque dans le cadre de sa supervision du projet

L’emprunteur s’est efforcé, dans la mesure du possible d’être attentif aux recommandations formulées par la Banque dans le cadre des missions de supervision.

2

g) L'emprunteur a collecté et utilisé, pour les prises de décisions, les informations tirées du processus de suivi.

L’emprunteur a collecté et utilisé, pour les prises de décisions les informations tirées du processus de suivi.

2

G. ACHEVEMENT

1. Le PAR a-t-il été fourni à temps, conformément à la Politique de la Banque?

Date de réalisation de 98% de décaissement (ou date de

clôture, si applicable)

(généré automatiquement)

Date PAR été envoyé a [email protected]

JJ/MM/AA

Ecart en mois

(généré automatiquement)

NOTE DE L'EVALUATION (généré automatiquement)

Si l'écart est égale ou inferieur a 6 mois, la note est de 4. Si l'écart est supérieur à 6

mois, la note est de 1.

30/4/12 31/10/12 6,13 1

Décrire brièvement le processus RAP. Décrire la manière dont l'emprunteur et les cobailleurs ont participé à l'établissement du document. Souligner toute incohérence dans les évaluations présentées dans le présent RAP. Donner la composition de l'équipe et confirmer si une visite approfondie a été effectuée. Mentionner toute collaboration substantielle avec d'autres partenaires au développement. Indiquer dans quelle mesure le bureau de la Banque dans le pays s'est impliqué dans l'établissement du présent rapport. Indiquer si les commentaires de la revue des pairs ont été fournis a temps (indiquer les noms et les titres des pairs de revue). [150 mots au plus] Le processus du RAP a débuté par une mission de préparation du RAP. La mission était composée par le staff du département sectoriel (OSGE) et du bureau régional de la Banque au Cameroun. L'emprunteur a d'abord rédigé son RAP en consultation avec les bailleurs de fonds. Ensuite la Banque a effectué une visite approfondie pour récolter les informations complémentaires à la préparation du RAP et à répondre au nouveau format des RAP qui utilise le cadre logique actuel qui ne correspond pas à celui avec lequel le programme avait été préparé. pour la suite du processus, une version préliminaire du RAP sera transmise au Chef de Division et aux pairs évaluateurs.

NOMBRE DE MOTS 112

H. LECONS TIRES DE L'EVALUATION Résumer les principales leçons que la Banque et l'emprunteur peuvent éventuellement tirer des effets du projet. [300 mots au plus. Tout autre propos concernant la mise en oeuvre devra être présenté à l'annexe 6 intitulé : Description du projet]

Les leçons que l’on peut tirer pour les opérations futures portent sur (i) la qualité à l'entrée du projet et (ii) le suivi de la mise en œuvre du projet. Au niveau de la qualité à l'entrée, il a été noté des insuffisances dans l'évaluation des couts du projet, des capacités de l'agence d'exécution, des modes d'acquisitions et des délais requis pour l'exécution de certaines activités. Pour les prochains projets, la Banque devrait être attentive sur les points ci-après: - le choix des modes d’acquisition les mieux adaptés lors de l’évaluation pour faciliter l’exécution des activités par l'emprunteur. - une bonne estimation des coûts, en particulier pour des domaines très pointus et très techniques (exemples audit informatique, vérification judiciaire). - une appropriation du projet par tous les bénéficiaires dès la phase de conception ; En ce qui concerne la mise en œuvre, il importe de démarrer assez tôt (si possible par anticipation) la mise en place des organes de gestion du projet, y compris la Commission de passation des marchés. - le maintien d’une bonne communication entre la Banque et l’emprunteur pendant l’exécution du projet. - recruter les auditeurs répondant aux exigences minimales de la Banque - renforcer le dispositif fiduciaire avec un accent sur le contrôle interne

15

I. RESUME DES NOTES OBTENUES PAR LE PROJET Toutes les notes de l'évaluation sont automatiquement calculées par l'ordinateur à partir de la section pertinente du RAP

CRITERES SOUS-CRITERES Note de

l'évaluation

RENDEMENT DU PROJET

Réalisation des résultats 2

Réalisation des effets 2

Respect du calendrier 2

NOTE GENERALE DES effets DU PROJET 2

PERFORMANCE DE LA BANQUE

Conception et état de préparation

Les objectifs du projet sont pertinents pour les priorités de développement du pays 4

Les objectifs du projet sont réalisables au regard des contributions au projet et du calendrier prévisionnel

2

Les objectifs du projet sont conformes à la stratégie nationale ou régionale de la Banque 4

Les objectifs du projet sont conformes aux priorités générales de la Banque 4

Le cadre logique prévoit un enchaînement causal logique pour la réalisation des objectifs de développement du projet. 3

Les objectifs et les effets, ainsi qu'ils sont présentés dans le cadre logique, sont mesurables et quantifiables 4

Le cadre logique présente les risques et les hypothèses clés 4

La capacité et l'engagement politique du pays sont à la hauteur de la complexité du projet 3

La conception du projet contient une analyse satisfaisante des risques 2

Les systèmes de passation des marchés, de gestion financière, de suivi et/ou autres processus sont fondés sur les systèmes qu'utilisent déjà le gouvernement et/ou d'autres partenaires. 3

Les responsabilités en ce qui concerne l'exécution du projet sont clairement définies 4

Les documents requis pour la mise en œuvre (documents sur les spécifications, la conception, la passation des marchés, etc.) sont prêts au moment de l'évaluation 3

Les indicateurs de suivi et le plan de suivi sont adoptés 3

La collecte des données de référence est achevée ou en cours 3

NOTE PARTIELLE DE LA CONCEPTION ET DE L'ETAT DE PREPARATION DU PROJET 3

Supervision:

Conformité de la Banque aux:

Mesures de protection environnementale 4

Dispositions fiduciaires 3

Accords conclus dans le cadre du projet 4

La qualité de la supervision de la Banque a été satisfaisante en termes de dosage des compétences et de praticabilité des solutions

2

La surveillance de la gestion du projet par la Banque a été satisfaisante 2

Le PAR a été fourni à temps 1

NOTE PARTIELLE DE LA SUPERVISION 3

NOTE GENERALE DE LA PERFORMANCE DE LA BANQUE 3

16

BORROWER PERFORMANCE

4

Les documents requis pour la mise en œuvre (documents sur les specifications, la conception, la passation des marchés, etc.) sont prêts au moment de l'évaluation

3

Les indicateurs de suivi et le plan de suivi sont approuvés 3

La collecte des données de référence est achevée ou en cours 3

NOTE DE LA CONCEPTION DU PROJET ET DE SON ETAT DE PREPARATION 3

Mise en œuvre

L'emprunteur s'est conformé aux:

Mesures de protection environnementale 4

Dispositions fiduciaires 1

Accords conclus dans le cadre du projet 3

Conception et état de préparation 2

Les responsabilités en ce qui concerne la mise en œuvre du projet sont clairement définies 2

NOTE PARTIELLE DE LA MISE EN ŒUVRE 2

NOTE GENERALE DE LA PERFORMANCE DE L'EMPRUNTEUR 3

J. TRAITEMENT

ETAPE SIGNATURE ET OBSERVATIONS DATE

Vérifié par le Chef de Division du Secteur

Vérifié par le Directeur Régional

Approuvé par le Directeur Sectoriel

I

APPENDICE 1 Echelle de notation et correspondances

NOTE EXPLICATION

4 Très satisfaisant - Réalisation parfaite, aucune faille

3 Satisfaisant - La majorité des objectifs sont atteints en dépit de quelques lacunes

2 Moyen - Projet partiellement abouti. Presqu'autant de résultats que de lacunes

1 Médiocre - Très peu de réalisations et de graves lacunes

NA Sans objet

N.B.: Les formules sont arrondies à la décimale supérieure ou inférieure. Pour les calculs, seuls des nombres entiers sont retenus.

II

LISTE DES ANNEXES Informations obligatoires

1. Coûts du projet et financement a. Coûts du projet par composant b. Ressources par source de financement

Le coût du projet, net des taxes et des droits de douane, est évalué à 4,49 millions UC. Cette estimation contient 3% pour les imprévus physiques et 3% pour hausse des prix. Les coûts des différentes rubriques ont été déterminés après discussions avec les responsables des différentes composantes, les fournisseurs de biens et prestataires de services et les partenaires au développement. Les coûts estimatifs sont résumés dans les tableaux 2 - 7 ci-après : La composante relative à la gestion des finances publiques (contrôle des finances publiques et marchés publics) absorbe 44% des ressources de base de l’appui institutionnel, contre 21% pour ce qui concerne l’appui à l’amélioration de l’efficacité de l’administration publique et 18% pour l’appui à l’amélioration de l’efficacité de la justice. La mise en œuvre des mesures pour l’amélioration du système judiciaire, des performances du système des marchés publics et du contrôle des finances publiques concourt à la lutte contre la corruption, ce qui explique que seulement 7% des ressources sont consacrés directement à la composante « intensification de la lutte contre la corruption ». L’exécution et l’audit n’absorbent que 4% des ressources.

III

Tableau 1 : Coûts estimatifs du projet par composantes Composantes Millions de FCFA Millions d'UC %du

total % en devises DEV ML TOTAL DEV ML TOTAL

Appui au système judiciaire 186,24 437,57 623,81 0,24 0,57 0,82 18% 30%

Appui à l’administration publique 7,2 702,53 709,73 0,01 0,92 0,93 21% 1%

Appui à la gestion des finances publiques

Appui CFB/AN 12,45 293,88 306,33 0,02 0,39 0,4 9% 4%

Appui à la CdC 182,88 179,25 362,13 0,24 0,24 0,48 11% 51%

Appui au CSE 172,7 126,5 299,2 0,23 0,17 0,39 9% 58%

Appui à l'ARMP 299,8 222,4 522,2 0,39 0,29 0,69 15% 57%

Appui à la lutte contre la corruption 0 254,25 254,25 0 0,33 0,33 7% 0%

Fonctionnement 0 116,2 116,2 0 0,15 0,15 3% 0%

Audit 36 0 36 0,05 0 0,05 1% 100%

Coût de base 897,27 2332,58 3229,85 1,18 3,06 4,24 94% 28%

Imprévu (6%) 53,84 139,95 193,79 0,07 0,18 0,25 6% 6%

TOTAL GENERAL 951,11 2472,53 3423,64 1,25 3,24 4,49 100 28%

Compte tenu de l’urgence des besoins de renforcement des capacités techniques, 33% des ressources du projet seront consacrées à la formation, contre 27% pour les consultants et 23% pour les équipements. Le fonctionnement afférent à la CBF/AN, à la CONAC, à l’exécution du projet et à l’audit absorberont 12% des ressources.

Tableau 2 Coûts estimatifs du projet par catégorie de dépenses

DEV ML TOTAL DEV ML TOTAL FAD En % devise En % du total

Millions de FCFA Millions d'UC

Services 578,02 1460,23 2038,25 0,76 1,92 2,67 2,58 57% 60%

Consultants 269,1 640,28 909,38 0,35 0,84 1,19 1,19 30% 27%

Formation 308,92 819,95 1128,87 0,41 1,08 1,48 1,39 27% 33%

Biens 283,25 510,35 793,6 0,37 0,67 1,04 0,98 36% 23%

Fonctionnement 0 362 362 0 0,48 0,48 0,17 0% 11%

Audit 36 0 36 0,05 0 0,05 0,05 100% 1%

Sous Total 897,27 2332,58 3229,85 1,18 3,06 4,24 3,77 28% 94%

Imprévu (6%) 53,84 139,95 193,79 0,07 0,18 0,25 0,23 6% 6%

TOTAL GENERAL 951,11 2472,53 3423,64 1,25 3,24 4,49 4 28% 100%

Environ 64% des ressources du projet d’appui institutionnel seront consacrées au financement des activités à réaliser en 2007. Les 36% des ressources restantes seront utilisées au cours de l’année 2008. La Banque s’assurera du démarrage rapide du projet et de l’engagement des activités prévues avec un maximum d’efficacité pour atteindre les objectifs de programmation prévue pour le projet.

IV

Tableau 3: Calendrier des dépenses par composante

Composantes Millions de FCFA Millions d’UC

2007 2008 TOTAL 2007 2008 TOTAL

Appui au système judiciaire 226,2 397,61 623,81 0,3 0,52 0,82

Appui à l’administration publique 297,5 412,23 709,73 0,39 0,54 0,93

Appui à la gestion des finances publiques

Appui CFB/AN 203,55 102,78 306,33 0,27 0,13 0,4

Appui à la CdC 268,88 93,25 362,13 0,35 0,12 0,48

Appui au CSE 248,95 50,25 299,2 0,33 0,07 0,39

Appui à l'ARMP 522,2 0 522,2 0,69 0 0,69

Appui à la lutte contre la corruption 180,2 74,05 254,25 0,24 0,1 0,33

Fonctionnement 88,5 27,7 116,2 0,12 0,07 0,15

Audit 18 18 36 0,02 0,02 0,05

Sous Total 2053,98 1175,87 3229,85 2,66 1,58 4,24

Imprévu (6%) 123,24 70,55 193,79 0,15 0,1 0,25

TOTAL GENERAL 2177,22 1246,42 3423,64 2,82 1,67 4,49

Tableau 4 : Calendrier des dépenses par catégories

Catégories Millions de FCFA Millions d’UC

2007 2008 TOTAL 2007 2008 TOTAL

Services 1314,78 723,47 2038,25 1,73 0,95 2,67

Consultants 522,85 386,53 909,38 0,69 0,51 1,19

Formation 791,93 336,94 1128,87 1,04 0,44 1,48

Biens 501,3 292,3 793,6 0,66 0,38 1,04

Fonctionnement 219,9 142,1 362 0,25 0,22 0,48

Audit 18 18 36 0,02 0,02 0,05

Sous Total 2053,98 1175,87 3229,85 2,66 1,58 4,24

Imprévu (6%) 123,24 70,55 193,79 0,15 0,1 0,25

TOTAL GENERAL 2177,22 1246,42 3423,64 2,82 1,67 4,49

Le projet sera financé conjointement par la Banque et le Gouvernement camerounais. La Banque financera 4 millions d'UC, soit 89% du coût total. Le prêt de la Banque couvrira 100% des dépenses en devises et 85% des dépenses en monnaie locale. Ce financement concerne toutes les catégories de dépenses, à l’exception du fonctionnement de la CFB/AN. Enfin, la contribution du Gouvernement s’élève à 378 millions de FCFA ce qui représente 11 % du coût total du projet et servira à prendre en charge le solde des dépenses en monnaie locale non supporté par le financement de la Banque. Les charges supportées par le Gouvernement porteront notamment sur : (i) la location des salles et le transport local pour les formations ; (ii) le fonctionnement de la CFB/AN, notamment les salaires des experts et du personnel d’appui, la location de bureaux ; (iii) la maintenance des équipements fournis à l’ARMP, le per diem des utilisateurs à former pour le fonctionnement des plates-formes acquis en faveur du système des marchés publics et le coût de la connexion à haut débit de l’ARMP ; ainsi (iii) qu’une partie du fonctionnement en vue de l’exécution du projet.

V

Tableau 5 : Sources de financement

SOURCES DE FINANCEMENT

Millions de FCFA Millions d'UC

DEV ML TOTAL DEV ML TOTAL %

Banque 951,11 2094,53 3045,64 1,25 2,75 4 88,96%

Gouvernement 0 378 378 0 0,49 0,49 10,90%

TOTAL GENERAL 951,11 2472,53 3423,64 1,25 3,24 4,49 100,00%

Tableau 6 : Calendrier des dépenses par source de financement

Source Millions de FCFA Millions d'UC

2007 2008 TOTAL 2007 2008 TOTAL

Gouvernement 210,53 146,07 356,6 0,28 0,19 0,47

Banque 1843,45 1029,8 2873,25 2,38 1,39 3,77

Coûts de base 2053,98 1175,87 3229,85 2,66 1,58 4,24

Imprévu (6%) 123,24 70,55 193,79 0,15 0,1 0,25

TOTAL GENERAL 2177,22 1246,42 3423,64 2,82 1,67 4,49

VI

2. Contributions de la Banque. Citer les principaux membres de l'équipe ainsi que leurs attributions durant la préparation et la supervision. Fournir une liste consolidée des missions de préparation, de supervision et d'achèvement en ordre chronologique. Fournir la date et les notes attribuées par le dernier rapport de supervision. Le projet a été préparé et évalué par M. BERNOUSSI économiste en Chef et M. KOUSSOUBE Spécialiste en Chef au Département Régional de l'Afrique Centrale (ORCE). Il a été exécuté et supervisé respectivement par M. NZAPAYEKE, Economiste à OSGE1 en 2008, par Mme ALPERTE, Spécialiste en gestion des finances publiques, OSGE1 de 2009 à Juin 2011, par M. OLLAME, Assistant aux Opérations, OSGE1 de Juillet à Décembre 2011 et par M. EKPO de Janvier à Avril 2012. Toute l'exécution a bénéficié des Conseils de M. Racine KANE, Représentant Résidant au bureau régional de la Banque au Cameroun (CMFO), M. TOUNKARA SAMBA BOCARY, Chargé des Programmes Pays en Chef, CMFO, et de la contribution de M. AHOSSI Clément, Coordonnateur Régional en acquisition, ORPF1, M. SEKOU KEITA, Coordonnateur régional en gestion financière, ORPF2 (à partir de Decembre 2011), M. TANKOUA Dénis, Economiste, CMFO, Mme DJEUFO Cathy, Chargé d'acquisitions, CMFO et M. KAMGA André, Assistant au décaissement, CMFO. La dernière supervision avait été effectuée le 1er Mars 2012 qui a donné une note moyenne de 1,69 et un statut de PP.

3. Analyse économique (TRE) et analyse financière, si applicable. Recalculer les taux de rentabilité économique sur la base des coûts et bénéfices au moment de l'achèvement, et les comparer aux estimations faites lors de l'évaluation. Répartir par composante, le cas échéant. Analyser la sensibilité du TRE aux hypothèses clés. Présenter une analyse financière des entités bénéficiaires du projet.

Le projet ayant été annulé en cours d'exécution, le calcul du TRE ne pourra pas s'appliquer dans cette situation.

4. Dernier Plan de Passation des Marchés.

5. Liste des documents justificatifs

Informations facultatives

6. Description du projet. Principaux facteurs n'ayant pas été pris en compte dans la grille générale et qui ont affecté la conception et la mise en œuvre du projet. Ces facteurs, positifs et négatifs pourraient comprendre: le climat et les conditions météorologiques, les changements politiques, les questions contractuelles ou personnelles, les questions techniques, les processus de passation des marchés et les interactions avec les autres partenaires. Si l'un quelconque de ces facteurs est suffisamment significatif pour affecter les notes de l'évaluation, ceci devra être mentionné dans la grille, avec renvoi à la présente annexe.