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ART CONTEMPORAIN 2 mai - 23 juin 2012 La tête d’obsidienne Jean-Marc Brunet

Catalogue BRUNET

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2 mai - 23 juin 2012

La tête d’obsidienne

Jean-Marc Brunet

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L’Escamoteur de temps

"Si les vibrations de sa peinture anesthésiaient l’atmosphère,il est évident que son œuvre engendrerait le nihilisme"

Pour date, rédiger à l’emporte-pièce, un texte sur un artiste est un exercice aisé, rédiger une réflexion sur la sève d’une modernité est une entreprise ardue.

Brunet, artiste aux pulsions sanguinaires et sans concessionsMétamorphose ses origines.Les perspectives de ses intervalles diluent la trace de son imaginairesur des aplats de circonstance.Sa création est à la croisée d’une incontestable renaissance.

Dans son atelier où divaguent des panoramas incendiés,sa main multiplie les esquisses de sa récente orientation.

Audacieux, il escamote ses anciennes nuances avec deux auxiliaires,l’anthracite et l’ivoire, prenant soin de les dissoudre dans l’infini.Solitaire, il apostrophe le futur avec une écriture novatrice,boit la matière de ses obsessions sur des strates d’innovations.Troublé par l’alphabet de cet appel, il légende avec discernement ses métaphores sur l’écorce de papiers éclatants.

Le dialecte qu’il impose se révèle singulier, Condottiere, il fait mordre la poussière aux couleurs qu’il pratiquait avec intrépidité.Inspiré, il plonge la neutralité des noirs blancs dans le crescendo d’une palette succincte mais terriblement efficace.

Le passé coloriste de Brunet balafre enfin la violence pour enfanter une modernité absolue.

François de Villandry 14 Juin 2010

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Courir dans la rosée - Huile sur toile, 200 x 200 cm, 2011

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Brunet à nu

Entré très tôt en poésie, Jean-Marc Brunet accomplit sa vie comme d'autres la rêvent. Si d'une manière générale la poésie s'associe à un genre littéraire, il convient avec cet artiste de remonter le fil du temps et se souvenir de ce que les grecs ont légué. Étymologiquement, le mot renvoie aux verbes faire et créer, le poète étant donc avant tout celle ou celui qui imagine, conçoit ou invente, les mots ou ici les couleurs jouant substrat de l'expression. Brunet aime les poètes, c'est une évidence et l'écriture au sens large, c'est une certitude. Son œuvre du reste le prouve puisqu'il multiplie les rencontres et les expériences avec les artisans de l'écrit (Jean Orizet, Michel Butor, Jean-Marc Natel...). Pour autant, cela n'a rien d'une frustration  ; il développe en parallèle un langage propre, les signes d'un alphabet qu'il a eu le génie de ne pas limiter à vingt-six. Ce qui conviendrait à un homme du clergé ne sied point à ce créateur de tons chauds et froids, ombres et lumières. Ici vit l'homme d'une terre labourée par l'histoire, dont les racines puisent leur nourriture dans l'éclat des ombres et l'explosion des lumières... pourrait être l'épitaphe de son vivant, en soi un pied de nez au temps d'aimer. Car c'est d'amour que nous parle Jean-Marc Brunet, l'amour de son travail de peintre de chevalet, la joie de l'enfant de Soissons de pouvoir être et vivre de son art, sans prétention, sans se couper des réalités du monde et probablement que ses nombreux séjours au Maghreb, en Afrique de l'Ouest etc., ne sont pas étrangers à cette vigilance.

Né en 1970, Brunet agit et se construit en autodidacte, guidé par l'évidence qu'il serait peintre, rien d'autre. Il entreprend Paris, parce que la ville lumière offre l'émulation, les recherches de chacun contribuant au patrimoine de tous, et son surnom ne doit rien au hasard, c'est pour beaucoup un phare, un repère que l'on quitte pour mieux le retrouver. « Je n'ai pas fait d'école d'art, pour moi la peinture c'était Paris, j'ai alors travaillé dans des ateliers, j'avais besoin de pratique, il fallait que je sente la peinture et que la main bouge. J'ai rencontré des peintres et je leur ai demandé si je pouvais découvrir leur univers, travailler avec eux ». Ainsi, Oswaldo Vigas accepte. Le peintre vénézuelien présentait à l'époque une exposition au Musée de la Monnaie et le contact est vite établi entre l'ancien et le jeune, à tel point que Brunet le rejoint dans son atelier à Caracas. Autre coïncidence déterminante, la rencontre avec l'artiste sénégalais Ousseynou Sarr, disparu en 2006. « J'étais l'assistant parce que je donnais un coup de main dans le quotidien, la préparation des tableaux, rangement, organisation des expositions, puis on devient copain et ami....pour moi, c'était la découverte d'un autre monde, il était à Paris mais il était sénégalais avec tout ce que cela comporte dans la pensée, dans l'organisation, dans la manipulation de la peinture aussi...c'est à dire qu'il y avait un travail très important sur l'ombre et la lumière, et la matière, mais passait en second plan la pérennité de l'œuvre.

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Par exemple, pour les collages, je lui conseillais la colle de pot alors que lui utilisait la colle en tube. Il y avait aussi la notion du sacré dans la peinture, une empreinte africaine très présente, qui m'a donné envie d'aller à la rencontre de l'Afrique, avec un rapport au temps différent ». D'autres comme Albert Bitran sont sollicités pour un conseil, un avis, l'apprentissage d'une espérance en peinture dans un cadre de rigueur car tous consacrent une énergie folle… et demeure pourtant le doute, autre enseignement. « Alors évidemment, en face de moi, Vigas ou Bitran, il y a une somme de connaissances que je n'ai pas mais c'est ce qui construit mon quotidien et c'est une grande chance, une très grande chance, et c'est pour cela que je parle de bonne étoile  ; un peintre c'est comme un coureur de fond, ce qui compte c'est de passer l'arrivée, c'est l'entraînement de tous les jours, c'est la durée qui compte ».

C'est sûr, l'homme est curieux de nature, presque affamé de l'expérience des autres. Les influences, oui, mais à considérer plutôt comme nourriture de laquelle le corps tirerait les éléments nécessaires à son bon fonctionnement, à un équilibre. « Tout d'abord être peintre aujourd'hui, c'est connaître l'histoire de la peinture. J'essaie tous les jours d'apprendre et de voir toutes les peintures. Pour moi, être peintre c'est peindre sur chevalet. Mon travail est toute la continuité de l'histoire de la peinture, je n'invente rien, je réinvente tous les jours, mon espace pictural et mes peintures, ce sont des suites qui se répondent les unes aux autres. Alors c'est certain que lorsque l'on regarde mon travail on peut voir des liens avec certains peintres, certains mouvements de peinture, certaines générations de peintres. L'école de Paris en fait partie, ces peintres des années 50, mais l'école américaine aussi de la même période, Pollock, etc. Mon travail est en suspension, par exemple par rapport à la peinture américaine qui remplit le cadre, le rectangle, la toile. Il y a une assise, il y a presque une figure quelque part bien que cela soit abstrait. Comme tous ces peintres, moi c'est le travail fond / forme, mais cela tient sur un fil, cela reste dans l'espace. Les influences sont là, car j'attache beaucoup d'importance au geste, et ce travail de couleurs, de subtilité, de grain de toile comme Olivier Debré. La peinture abstraite a cent ans, et j'ai essayé de la comprendre, avec par exemple une période très construite, pratiquement une abstraction constructiviste. Auparavant j'ai eu également un travail très matière et cela pouvait s'apparenter à certains peintres espagnols ou d'autres. J'ai essayé de parcourir en une vingtaine d'années cette abstraction pour essayer d'en faire un résumé, de prendre ce qui m'intéressait ». Plus qu'une étiquette, l'abstraction lyrique se vit ici comme un repère et peut-être comme un leurre. Les titres des œuvres (Comme la pluie sur les vitres, Passage du vent, Courir dans la rosée, Éloge de l'envol, etc.) renvoient à du vécu, des émotions, des états de l'artiste, une balade en forêt et la découverte d'une lumière singulière etc. « La peinture n'a pas besoin de prétexte et c'est aussi dans ce sens-là que je ne suis pas figuratif. La nature est multiple et variée, les saisons ne sont pas des prétextes. C'est une vie permanente, je suis dans l'atelier, je la peins, je sors de l'atelier, je la vois.

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(...) C'est ancré en moi, les sujets sont là, l'acte de peindre doit rester vierge même répété, je suis plus dans la notion de quelque chose plutôt que de réfléchir sur tel arbre que j'ai vu en me promenant. ».

Cet œuvre se construit pas à pas, entre solitude et sérénité. Solitude des deux ateliers qui se jouxtent, l'un consacré à la peinture, l'autre à la gravure. Sérénité de passer de l'un à l'autre, de s'aménager du rythme dans la création, de passer d'un travail à la verticale en peinture, face à la sévérité du chevalet, à quelque chose de plus physique et sensuel en gravure, où la main blesse à jamais la plaque, le bruit de l'outil, les copeaux de métal, l'odeur des encres, le poids de la presse sur le papier qui est déjà en soi une œuvre d'art. Brunet entretient le même rapport avec la lithographie ou la céramique. Ce sont d'autres chemins à explorer, d'autres contraintes à saisir, d'autres expériences, où échecs et succès visent l'excellence de la pratique. Ces différents modes alimentent la réflexion et tendent vers le même objectif, la recherche. L'atelier est avant tout laboratoire. Comme le voyageur s'attache plus au chemin parcouru qu'à la destination atteinte, l'artiste a placé son oeuvre sous l'égide de l'interrogation et les réponses qu'il pouvait apporter à cette intrigue que constitue la lumière dans ses effets sur l'âme. «  Dans ma peinture, j'attache une grande importance à la lumière. Je ne parle pas de couleurs, je parle d'ombre et de lumière, de chaud et de froid. La couleur m'importe peu, que je mette un bleu ou un vert, pour moi c'est la même résonance, cela a le même impact lumineux. Quand je me promène dans la région, il y a des variations de lumières permanentes. Le Maghreb, le Sénégal, le Mali... je trouve là d'autres lumières qui m'intéressent et qui transfigurent ma peinture. (...) Je me réfère à la nature et non à la réalité car dans cette nature, la lumière est multiple, elle est changeante à chaque instant. C'est comme lorsque je peins, il y a une différence entre l'instant et l'instantané. C'est-à-dire essayer de prendre l'instant justement où une lumière traverse et d'avoir la petite gouttelette de blanc qui va faire vibrer tout l'espace ». La vibration, le maître-mot pour évoquer cette œuvre. Peintures, pastels, dessins, litho, céramiques, c'est à cette pulsation de vie qu'ils répondent, la satisfaction de l'artiste dans l'acte de créer étant manifeste. L'espoir, enfin. L'espérance dans le lendemain, faire que cette peinture aux apprêts soignés résistent aux morsures du temps et s'inscrivent dans l'histoire. Alors, heureux Jean-Marc Brunet ? « Même si c'est très éprouvant physiquement, je ne suis pas dans la souffrance, plutôt dans la jubilation. Quel bonheur de ne faire que ça ! ». Ici et maintenant, l'oeuvre de l'artiste soissonnais suggère un univers poétique où résonnent les vibrations de l'âme....ou comme l'écrivait avec certainement plus de bonheur Mallarmé, le sens mystérieux des aspects de l'existence.

Jean-Christophe VilaSète, mars 2012

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Éloge de l’envol - Huile sur toile, 200 x 200 cm, 2011-2012

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Vent salé - Huile sur toile, 160 x 160 cm, 2011

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Dessin 290 - Pierre noire et pastel gris, 50 x 65 cm, 2010

Dessin 283 - Pierre noire et pastel gris, 50 x 65 cm, 2010

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C'est le vent - Monotype rehaussé au pastel sur papier Arches 300g, 67,5 x 109 cm, 2010

Jazz - Gravure technique mixte, 67 x 109 cm, 2010

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Vivement le printemps - Huile sur toile, 100 x 81 cm, 2011

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Le chant des sirènes - Huile sur toile, 130 x 162 cm, 2011

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Jean-Marc BrunetNé en 1970, vit et travaille à Chassemy, FranceExpose depuis 1990 en France et à l’étranger

expositions personnelles (extraits)

2012 Galerie La Tête d’Obsidienne, fort Napoléon, La Seyne-sur-Mer Galerie Chauvy, Paris2011 L’Arsenal, Musée de Soissons Galerie La MAL, Gravure, Laon Galerie Évelyne Héno, Brunet/Orizet, Paris2010 Galerie des Tuiliers, Lyon2009 Musée - Palais Dar Al Makhzen, Tanger, Maroc Galerie de La Kasbah, Tanger, Maroc Les Abattoirs, Avallon Galerie En Aparté, Limoges2008 Galerie de l’Institut Français L.S Senghor, Dakar, Sénégal Galeries du fort Napoléon, La Seyne-sur-Mer Galerie Chauvy, Paris2006 Galerie La MAL, Ville de Laon Galerie Estève, Gravure, Paris Centre d’Art, Ville de Six-Fours Pigments des Toiles, Paris2005 Crypte Sainte-Eugénie, Biarritz2004 Librairie Intermède, Luxembourg

expositions collectives (extraits)

2012 Galerie Lessedra, Estampe, Sofia, Bulgarie2011 Galerie 14, Copenhague, Danemark Galerie Des Tuiliers, Carte Blanche, galerie Ariel, Lyon avec Alechinsky, Appel, Bitran, Debre, Doucet, Gillet, Marfaing, Messagier, Pedersen, …2010 Galerie Ariel, Carte Blanche Galerie Des Tuiliers, Paris avec Comte, Destarac, de Reimpré, Yankel, … Galerie Chauvy, Paysages, Paris avec Bazaine, Bertholle, Bolin, Le Moal, Manessier, Singier Galerie Des Tuiliers, Opus 3, Lyon avec Destarac, Lindstrom, Seguin, Yankel,…2009 Musée d’Orsay, Centième édition du guide Michelin, Paris Galerie En Aparté, Limoges avec Delepine, Gontard, Labegorre, Ruta, … Galerie Chauvy, Dessin, Paris avec Batlle, Bierge, Delaunay, Lapicque, Papart, Picabia, Pignon, Villon, … Galerie Des Tuiliers, Opus 2, Lyon avec Bargoni, Destarac, de Reimpré, Wang, … 2008 Galerie Chauvy, Paris avec Beaudin, Bissière, Lapicque, Minaux, Pignon2007 Galerie Art Ascaso, Caracas, Venezuela Musées d’Art Moderne, Istanbul, Izmir et Ankara, Turquie2006 Musée National d’Izegem, Belgique2005 Fringe Gallery, Brighton, Angleterre Musée de la Poste, Caen2004 Galerie The Art Store, Dublin, Irlande Musée de Zlin, République Tchèque

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Devant La Seyne - Huile sur toile, 92 x 73 cm, 2011

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Salons et Foires (extrait)

2012 Foire Internationale ARTNÎM, Bueno Organisation Art, Nîmes2011 Salon de La Société Nationale Des Beaux-Arts, Carrousel du Louvre, Paris Foire Internationale ARTNÎM, Bueno Organisation Art, Nîmes2010 Biennale Parcours d’Artistes, Blanchevoye-Carleton, Bruxelles, Belgique2009 Foire Européenne Lille Art Fair, Galerie Des Tuiliers, Lille2008 Biennale Parcours d’Artistes, Blanchevoye-Carleton, Bruxelles, Belgique2007 Foire d’Art Contemporain, St’Art, Mary-Ann Manning Gallery, Strasbourg Foire d’Art Contemporain, Galerie Quilleré-Ustünel, Istanbul, Turquie Biennale de la Gravure, Mary-Ann Manning Gallery, Reims2006 Biennale de Dakar, Galerie Ambre, Sénégal

collections publiques

Musée de Soissons / Landkreis Schaumburg, Stadthagen, Allemagne / Musée de La Kasbah, Tanger, Maroc / Musée de Erevan, Arménie / Conseil Régional de Picardie / Agglomération du Soissonnais Artothèque de l’Aisne / Musée de Romans / Hôtel de Ville de Dublin, Irlande / Mairie de Mercin et Vaux / CCI de Reims-Épernay / Centre Culturel Français, Saint-Louis, Sénégal / Ville de Séville, Espagne /Bibliothèque de Champigny-sur-Marne / Villes de Sainte-Savine / Laon / Soissons / Pontrieux / Gonfre-ville- Avallon / La Seyne-sur-Mer.

Ont écrit sur Brunet

Charles Aznavour, David Beaurain, Michel Butor, Christian Carbone, Charles Carrère, Christian Curtil, Jacques Demarny, Marie-Laure Desjardins, Pierre Drachline, Gérard Gamand, Lydia Harambourg, Sylvie Lescouzères, André Médouni, Maurice Metton, Jean-Marc Natel, Jean-Pierre N’Diaye, Pierre Nicolas, Jean Orizet, Anne-Sophie Pellerin, Agnès Rouffy, Jean-Christophe Vila, François de Villandry, Alain Vollerin, Charlotte Waligora

Monographies

2010 Jean-Marc Brunet, Éditions Fragments International, préface de Pierre Drachline, Michel Butor et texte de Charlotte Waligora

2005 Des instants et des fuites, Éditions art-forum-reims, poèmes d’Agnès Rouffy, Pierre Nicolas, André Schmitz, François de Villandry, Maurice Metton, Jean Orizet, David Beaurain, Jean-Marc Natel et Claude Nougaro

2003 Jean-Marc Brunet, Éditions Fragments, préface de Jean-Marc Natel et texte de Jean Orizet, Collection Atelier

1996 Mutation, Éditions CREA, préface de Christophe Lefèvre et poèmes de Pierre Nicolas1995 Fractures, Éditions Cahier Distorsions, poèmes de Pierre Nicolas

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La danse des oiseaux - Huile sur toile, 200 x 200 cm, 2011-2012

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Cette exposition et ce catalogue ont été réalisés par la Ville de La Seyne-sur-MerService Culture et Patrimoine

Marc Vuillemotétant Maire de La Seyne-sur-MerVice-Président de Toulon Provence MéditerranéeConseiller régional PACA

Florence CyrulnikAdjointe au MaireDéléguée au Patrimoine et à la Culture

Avec l’aide du Conseil général du Var

En partenariat avec Bueno Home Gallery

Commissariat et suivi éditorialJean-Christophe Vila,Direction Culture et Patrimoine

Photographies©Jean-Paul Fievet pour les œuvres©Jean-Christophe Vila pour le portrait

Les remerciements du peintre s'adressent : À la Ville de La Seyne-sur-Mer et l’équipe du fort Napoléon pour son engagement.À Jean-Paul Fievet pour son implication depuis 16 années et ses photographies.À François de Villandry et Jean-Christophe Vila pour les textes qui accompagnent mes toiles et papiers.Mes remerciements vont aussi à Cécile & Gérald Bueno pour leur soutien permanent.Une mention particulière aux Carqueirannais, Isabelle et Jean-Luc Daunizeau et le poète Toulonnais, Jean-Marc Natel.

Achevé d’imprimer sur les pressesde l’Imprimerie Hémisud en avril 2012Tél. 04 94 14 70 14

n° ISBN 978-2-917169-21-6

La tête d’obsidienneFort NapoléonChemin Marc Sangnier83500 La Seyne-sur-MerTél. 04 94 30 42 80 - Fax 04 94 30 63 [email protected]

© Copyright les auteurs© François de Villandry pour la préface© Jean-Christophe Vila pour le texteTous droits réservés pour toute exploitation © Brunet / ADAGP E

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