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La Convention du patrimoine culturel immatériel : première décennie Conférence internationale de Chengdu sur le patrimoine culturel immatériel pour la célébration du dixième anniversaire de la Convention de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel Chengdu, Chine, du 14 au 16 juin 2013 A l’occasion du dixième anniversaire de la Convention de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, une conférence se tiendra à Chengdu, en Chine du 14 au 16 juin 2013 afin de réfléchir sur l’histoire de la Convention à ce jour. La conférence se déroulera sous le patronage du Ministère de la culture chinois, du Gouvernement populaire de la province du Sichuan, de la Commission nationale de la République populaire de Chine auprès de l’UNESCO et de l’UNESCO, et sera organisée par le Gouvernement municipal populaire de Chengdu, le Centre national chinois pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, le Département culturel de la province du Sichuan, le Centre international de formation sur le patrimoine culturel immatériel dans la région Asie- Pacifique (CRIHAP) et la Section du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. La conférence se tiendra en conjonction avec le quatrième festival international du patrimoine culturel immatériel de Chengdu. Contexte Chaque convention est le produit de son temps et de son environnement. Elle reflète les priorités de la communauté internationale au moment de son adoption, en termes scientifiques, politiques et de valeurs. Cependant, elle peut également influencer, voire transformer les compréhensions globales et déterminer les priorités pour l’avenir. Cela est particulièrement le cas pour la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel Gouvernement municipal populaire de Chengdu Département culturel de la province du Sichuan

Chengdu conference – Tentative programme with … · Web viewDe même, la Convention de 1972 a continué à se développer durant la première décennie de la Convention de 2003

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Chengdu conference Tentative programme with speakers and moderators

La Convention du patrimoine culturel immatriel: premire dcennie

Confrence internationale de Chengdu sur le patrimoine culturel immatrielpour la clbration du dixime anniversaire de la Convention de lUNESCOpour la sauvegarde du patrimoine culturel immatriel

Chengdu, Chine, du 14 au 16 juin 2013

A loccasion du dixime anniversaire de la Convention de lUNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatriel, une confrence se tiendra Chengdu, en Chine du 14 au 16juin 2013 afin de rflchir sur lhistoire de la Convention ce jour. La confrence se droulera sous le patronage du Ministre de la culture chinois, du Gouvernement populaire de la province du Sichuan, de la Commission nationale de la Rpublique populaire de Chine auprs de lUNESCO et de lUNESCO, et sera organise par le Gouvernement municipal populaire de Chengdu, le Centre national chinois pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatriel, le Dpartement culturel de la province du Sichuan, le Centre international de formation sur le patrimoine culturel immatriel dans la rgion Asie-Pacifique (CRIHAP) et la Section du patrimoine culturel immatriel de lUNESCO. La confrence se tiendra en conjonction avec le quatrime festival international du patrimoine culturel immatriel de Chengdu.

Contexte

Chaque convention est le produit de son temps et de son environnement. Elle reflte les priorits de la communaut internationale au moment de son adoption, en termes scientifiques, politiques et de valeurs. Cependant, elle peut galement influencer, voire transformer les comprhensions globales et dterminer les priorits pour lavenir. Cela est particulirement le cas pour la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatriel, qui se projette rsolument dans lavenir par son engagement sassurer que les gnrations futures continueront davoir la possibilit de pratiquer les expressions culturelles dont nous jouissons aujourdhui.

Bien quelle ait t rdige en moins de deux ans, la Convention de 2003 sest construite sur prs de soixante annes de proccupations de lUNESCO concernant la protection du patrimoine en gnral. Elle rsulte plus particulirement de trois dcennies de rflexion sur les traditions vivantes. Les tous premiers jalons tels que la Convention concernant la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel (1972), les dispositions types UNESCO/OMPI de lgislation nationale sur la protection des expressions du folklore contre leur exploitation illicite et autres formes daction prjudiciable (1985), la Recommandation sur la sauvegarde de la culture traditionnelle et populaire (1989) et le programme des chefs-duvre du patrimoine oral et immatriel de lhumanit (1997) ont suscit des ractions, des dbats et des apprentissages qui ont finalement abouti la Convention de 2003.

Dix ans se sont couls depuis ladoption de la Convention de 2003, y compris les sept annes de mise en uvre effective au niveau international. Lors de la confrence, nous reviendrons sur cette dcennie afin de rflchir sur les fonctions, les valeurs et le rle de la Convention tout en envisageant son avenir.

Objectif et public cible

Lobjectif de la confrence est de rflchir de manire approfondie sur la vie de la Convention de 2003 jusqu aujourdhui, en offrant une occasion stratgique de rappeler les intentions de ses rdacteurs, didentifier ce quelle a accompli ce jour, et de dfinir les priorits pour lavenir.

Les principaux participants seront les experts scientifiques et juridiques ainsi que les tats parties qui ont activement pris part la prparation de la Convention de 2003. Dautres acteurs importants de la confrence seront constitus des experts dtats parties, des institutions travaillant dans le domaine du patrimoine culturel immatriel et des parties prenantes de traditions vivantes en gnral. Les participants prennent part la confrence en leur capacit personnelle.

Format

La confrence proposera une srie tables rondes en sessions plnires, chacune anime par une personne ayant une connaissance approfondie de lhistoire de la Convention. Les intervenants (quatre ou cinq par session) ne feront pas de prsentation formelle, mais seront plutt invits participer aux discussions et dbats, en sappuyant sur leur exprience personnelle et leur connaissance approfondie lie au thme de la session. Un temps important sera prvu dans chacune des sessions afin de rpondre aux questions et commentaires du public.

Programme

La srie de tables rondes a pour but de passer en revue une srie de thmes de manire progressive et chronologique partir dune session initiale en vue daboutir une perspective finale. Les sessions successives se rfrent en mme temps au pass et lavenir, en se concentrant plus particulirement sur les dfis auxquels fait face aujourdhui la Convention.

Table ronde 1: Ralisations de la Convention: faire voluer le discours du PCI et avancer de nouveaux concepts

Lors de la prparation de la Convention, les experts ont dbattu sur la signification et la comprhension de plusieurs termes cls afin de crer un vocabulaire international viable pour la Convention. Paralllement cet exercice, une comprhension plus profonde de la nature du patrimoine culturel immatriel sest galement dgage, ce qui a ncessit, pour beaucoup, une faon fondamentalement diffrente de penser et dagir par rapport ce qui prvalait antrieurement.

Le dbat qui sest dvelopp pendant des dcennies pour finalement aboutir lexpression patrimoine culturel immatriel en est un exemple. Les termes culture traditionnelle et coutumes avaient suscit des malentendus et des problmes, et le terme folklore tait peru comme ayant des connotations ngatives de nature pastorale, coloniale ou de domination. Le mot folklore tait typiquement utilis ou identifi par des personnes autres que les dtenteurs, alors que lexpression patrimoine culturel immatriel tait assimil une auto-appropriation, rservant le droit aux crateurs culturels et aux dtenteurs de dfinir eux-mmes leur patrimoine. Un autre exemple concerne les dbats qui ont conduit au terme sauvegarde au lieu de protection. La comprhension de ce terme ncessitait dautres notions caractrisant la dynamique des expressions culturelles et la ncessit den assurer la viabilit, en mettant laccent sur une approche procdurale, et impliquant les crateurs culturels et les dtenteurs comme parties prenantes du processus. Le terme de sauvegarde renferme une comprhension plus large et plus holistique, transformant laccent mis sur les produits ou les manifestations pour lorienter sur les processus et les personnes, et tranche fortement avec les notions figes ou dfensives de protection et de prservation, empreintes dune vision objective de la culture et de fortes connotations paternalistes.

Comment llaboration de la Convention de 2003 a-t-elle transform la comprhension globale du patrimoine culturel immatriel et de sa sauvegarde? Comment la nouvelle terminologie et les nouvelles dfinitions constituent-elles une reconceptualisation qui exige une rvision fondamentale des relations entre le patrimoine culturel immatriel et ses dtenteurs? En revenant sur la premire dcennie de la Convention, quel a t limpact global de ses nouveaux concepts et orientations? Comment ses concepts ont-ils influenc les instruments relatifs aux droits de lhomme qui lui ont succd et contribu lagenda de dveloppement international? linverse, y a-t-il eu des dveloppements au niveau du droit international ou des politiques internationales qui nous permettraient davoir une grille de lecture diffrente de la Convention et den comprendre les concepts cls travers un prisme diffrent?

Table ronde 2: Inventaires et listes

Les premires propositions boliviennes de 1973 concernant des mesures internationales pour la protection des arts populaires et du patrimoine culturel des diffrentes nations du monde appelaient dj ltablissement dun Registre international des biens culturels populaires. Au cours des trois dcennies dtudes et de dbats qui ont abouti la Convention de 2003, les avantages et les inconvnients des diffrents systmes denregistrement, de catalogage, dinscription sur des listes et dinventaire ont t dbattus en profondeur. Inspirs la fois des efforts des folkloristes au cours des sicles prcdents de collecter et rpertorier les expressions du patrimoine oral et du modle des listes tablies par la Convention de 1972, la volont de crer un systme denregistrement international a t forte, malgr les nombreuses mises en garde et critiques exprimes.

Rtrospectivement, on pourrait se demander quels ont t les arguments mis en avant pour tablir ces listes internationales qui ont t suffisamment convaincants pour clipser les cueils prvisibles? Quels sont les avantages des listes vus de la perspective actuelle? Existe-t-il certains nouveaux problmes lis aux mcanismes dinscription internationale qui nauraient pas t entirement anticips par ceux qui taient sceptiques quant leur valeur en 2003 ou auparavant? En ce qui concerne linventaire au niveau national, quelles mthodes et approches peuvent permettre de se dmarquer de ses origines, lies lapproche encyclopdique du xviiie sicle et aux tudes folkloriques du xixe sicle, et de pleinement contribuer la sauvegarde dans lesprit de la Convention? Les participants seront la fois ceux qui ont exprim des rserves concernant le mcanisme dinscription sur des listes et ceux qui peuvent expliquer comment il a t intgr avec succs au niveau national dans des stratgies de sauvegarde plus vastes, comment il a contribu accrotre la visibilit du patrimoine vivant et comment il a largi la comprhension de sa nature et de sa porte.

La session pourrait galement inclure un exercice cratif qui consisterait imaginer une histoire alternative parallle, dans laquelle la Convention aurait t adopte sans les listes internationales: que pourrions-nous souligner comme ralisations dix ans aprs? Ou alors une autre histoire dans laquelle labsence de listes internationales aurait rendu impossible ladoption de la Convention ou ne lui aurait pas permis de rencontrer un large soutien: le monde en serait-il meilleur ou pire?

Table ronde 3: Univers parallles: proprit intellectuelle, patrimoine mondial, biens et services culturels

Si les questions relatives aux droits de la proprit intellectuelle ont constitu une part importante des dbats de lUNESCO sur la conservation de la culture depuis les annes 1950, la Convention de 2003 exclut expressment la proprit intellectuelle de son champ. Dj au cours des annes 1970, certains experts doutaient quun seul instrument puisse la fois protger la proprit intellectuelle et assurer la viabilit des traditions vivantes, et lors de la prparation de la Convention de 2003, en dpit de la coopration fructueuse entre lUNESCO et lOMPI des annes durant, il a t dcid de se concentrer sur la sauvegarde. Quelle a t lvolution parallle de la proprit intellectuelle depuis 2003 sous les auspices de lOMPI? Au niveau national, comment les tats membres font-ils cohabiter les perspectives de la sauvegarde de la Convention de 2003 et celles de la protection de la proprit intellectuelle? Que se serait-il pass dans une autre histoire si la Convention avait galement inclut des dispositions de protection de la proprit intellectuelle quoi ressemblerait cette premire dcennie?

De mme, la Convention de 1972 a continu se dvelopper durant la premire dcennie de la Convention de 2003. Cette dernire a t, bien des gards, comme sa sur cadette, qui elle a servi la fois de source dinspiration et de modle, mais aussi comme une feuille rhtorique contre laquelle la sur cadette sest rvolte. Depuis 2003, cependant, les concepts et orientations de la Convention du patrimoine culturel immatriel ont galement influenc les pratiques de protection du patrimoine matriel. Par exemple, en 2012 le quarantime anniversaire de la Convention de 1972 a t clbr sous le thme: Patrimoine mondial et dveloppement durable: le rle des communauts locales. Les rapports des clbrations de lanne dernire, comme la Vision de Kyoto, montrent que le travail sur le patrimoine mondial, de manire beaucoup plus importante quauparavant, cherchera obtenir une implication effective des communauts locales. De quelle manire les concepts et les orientations de la Convention de 2003 ont-ils influenc lvolution de la Convention de 1972? Dans quelle mesure peut-il encore y avoir de la rsistance de la part de la vraie communaut patrimoniale envers sa cadette?

Le troisime domaine daction parallle concerne les biens et services culturels, tels que couverts par la Convention de 2005. Laccent que la Convention de 2003 met sur la nature dynamique du patrimoine culturel immatriel et sur sa transmission continue et sa recration fait cho aux proccupations de la Convention de 2005 de promouvoir des conditions favorables la crativit culturelle. De nombreuses expressions culturelles peuvent en outre tre considres la fois comme patrimoine culturel immatriel et comme biens et services culturels, mme si les domaines daction des deux conventions ne sont pas les mmes et quils aborderaient une mme expression culturelle partir de perspectives diffrentes. Certains tats ont ratifi les deux conventions et ont cherch les faire cohabiter dans leurs politiques et programmes; dautres tats ont choisi lune et rejet lautre; quelques tats ont rejet les deux. De quelle manire les tats ont-ils trouv un quilibre entre les tendues et objectifs parfois complmentaires et parfois diffrents des deux instruments?

Table ronde 4: Expriences de sauvegarde dans les tats parties

La Convention de 2003 a enregistr un taux de ratification sans prcdent par rapport aux autres conventions culturelles de lUNESCO, avec plus de 150 tats parties au moment de la confrence. Dans certains tats, la ratification a t accompagne par des politiques et des stratgies long terme pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatriel, ou a t intgre dans une stratgie nationale juridique et politique dintgration de la culture dans des agendas de dveloppement plus vastes. Le processus de mise en uvre a galement t dfini et dvelopp diffremment dans les tats. Certains ont commenc par la des campagnes de sensibilisation et dinformation; dautres se sont directement concentrs sur des inventaires nationaux et dautres efforts de sauvegarde. Enfin, certains tats se sont directement lancs dans les candidatures pour les listes internationales. Quelles sont les expriences de sauvegarde des tats parties? Certains voudront peut-tre mettre en avant ce quils considrent comme des russites ainsi que ce quils auraient pu faire diffremment? Comment la Convention a-t-elle contribu, au niveau national, dvelopper des meilleures pratiques ainsi que des nouvelles approches lgislatives et concernant les structures institutionnelles?

La Convention a galement offert ces tats loccasion de cooprer au niveau international, en faisant bnficier dautres pays de leur propre exprience nationale, et en apprenant deux travers leur participation aux mcanismes internationaux de la Convention. Comment les tats voient-ils leurs expriences par rapport celles dautres tats? Cette session offre une occasion aux reprsentants dun certain nombre dtats de partager leurs propres expriences rcentes dans la mise en uvre de la Convention au niveau national, dattirer lattention sur des stratgies concrtes pour renforcer une telle sauvegarde et didentifier les dfis auxquels ils continuent de faire face.

Table ronde 5: Questions ouvertes et orientations futures

Regardant vers lavenir, quoi ressemblera la Convention dans deux ou trois dcennies? Quels sont les cueils viter? Quelles sont les opportunits et les pistes qui devraient tre poursuivies dune manire plus approfondie quelles ne lont t jusqu prsent? Ces questions gnrales pourraient tre abordes travers diffrentes axes:

Comment la relation troite entre le patrimoine culturel immatriel et le dveloppement durable pourrait-elle tre souligne et renforce de manire plus efficace lavenir? Quelle est la place du patrimoine culturel immatriel pour attnuer les effets du changement climatique, par exemple en offrant des mthodes depuis longtemps prouves dadaptation environnementale ou dinstitutions communautaires de mdiation sur les questions daccs aux ressources qui deviennent de plus en plus rares? Quelles sont les implications pour la Convention des rcents dveloppements en matire de droits de lhomme internationaux tels que la Convention de 2006 relative aux droits des personnes handicapes et la Dclaration de 2007 des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones? Comment des proccupations concernant lgalit des genres et la diversit des genres ont-elles t prises en compte dans la mise en uvre de la Convention ce jour et comment pourraient-elles avoir une place plus centrale lavenir? Comment le patrimoine culturel immatriel peut-il jouer un rle mme plus important qu prsent dans la prvention et la rsolution des conflits, linstauration de la paix, la prvention des catastrophes naturelles et la rcupration post-catastrophe? Quelle est la place des langues dans la Convention de 2003 et comment pourrait-elle contribuer la promotion et la sauvegarde de la diversit linguistique, mme si cela nest pas explicitement son objectif?

Et enfin, quelles sont les questions qui devraient encore tre poses afin de sassurer que la Convention de 2003 volue dans la bonne direction, ralise de la manire la plus efficace les espoirs de ses auteurs et justifie la confiance quont plac en elle les peuples du monde entier?

Rsultats

Une sance de clture de la Confrence comprendra un bref rapport oral dun rapporteur qui rsumera les principales tendances des dbats. Ces derniers seront ensuite inclus dans un rapport crit qui sera finalis dans les mois qui suivent. En outre, les participants la confrence pourront adresser une srie de recommandations la Directrice gnrale, en mettant plus particulirement laccent sur le travail accomplir par lUNESCO et ses tats membres dans la dcennie venir.

Gouvernement municipal populaire de Chengdu

Dpartement culturel de la province du Sichuan

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Programme prliminaire avec les intervenants et les modrateurs

Date

Titre de la session

Intervenants et modrateurs

14 juin

09h00 10h00

Ouverture officielle de la confrence

Allocution douverture:

M. Cai Wu, Ministre de la culture de la Chine

M. Wei Hong, Gouverneur de la province du Sichuan

M. Ge Honglin, Maire de la municipalit de Chengdu

Mme Irina Bokova, Directrice gnrale de lUNESCO

Modrateur: M. Zhang Aiping, Directeur gnral, Bureau des relations culturelles extrieures, Ministre de la culture de la Chine

10h00 10h30

Pause

10h30 12h30

Table-ronde 1. Ralisations de la Convention: faire voluer le discours du PCI et avancer de nouveaux concepts

Intervenants:

M. Wang Wenshang

M. Kochiro Matsuura

M. Antonio Augusto Arantes

Modrateur: Mme Janet Blake

12h30 14h00

Djeuner

14h00 17h00

Table-ronde 2. Inventaires et listes

Intervenants:

Mme Claudine-Auge Angoue

Mme Kristin Kuutma

Mme Soledad Mujica-Bayly

Mme Vera Lacoeuilhe

Modrateur: Mme Noriko Aikawa

Soire:

Rception

15 juin

09 h 00 12 h 00

Ouverture du 4eFestival international du patrimoine culturel immatriel, Chengdu

12 h30 14h00

Djeuner

14h00 16h00

Table-ronde 3. Univers parallles: proprit intellectuelle, patrimoine mondial, biens et services culturels

Intervenants:

M. Wend Wendland

M. Chrif Khaznadar

M. Mounir Bouchenaki

Mme Alissandra Cummins

Modrateur: M. Rieks Smeets

16h00 16h30

Pause

16h30 18h30

Table-ronde 4. Expriences de sauvegarde dans les tats parties

Intervenants:

Algrie

Arabie Saoudite

Chine: M. Ma Wenhui

Espagne

Ethiopie

Japon

Jordanie

Nigria

Turquie

Modrateur: M. Chao Gejin

16 juin

09h00 11h00

Session 5. Questions ouvertes et orientations futures

Intervenants:

Mme Lourdes Arizpe

M. Lu Pintian

M. Marc Jacobs

M. Ali Ould Sidi

Modrateur: Mme Ccile Duvelle

11h00 11h30

Pause

11h30 13h00

Clture

Rapport oral du rapporteur, M. Rahul Goswami

Adoption des Recommandations de Chengdu

Modrateur: Ambassadeur Wang Xuexian

13h00 14h00

Djeuner

14h30 17h00Visit to Chengdu Jinsha Site Museum

Visite guide au muse Jinsha Chengdu