CHIFFRES CLÉS 2014 - reseau-chu.org · 2 “ 1 623 lits et 200 ... l’ICR - indice de coût relatif- est un outil de calcul des coûts moyens /groupe homogène de ... Hygiène des

CHU de Rennes

“Prendre soin de tous et surtout de chacun”

CHIFFRES CLÉS

2014

ChiffresClés2014_ChiffresClés 09/07/15 16:21 Page1

Structure et organisationdu Centre hospitalieruniversitaire de Rennes

www.chu-rennes.fr › chiffres clés 2014

“5 sites pour prendreen charge les patients

à chaque étape de leur vie

”


Nombre de lits et places par discipline1 623 lits et 200 places

EHPAD

SLD

SSR

Gynéco-Obstétrique

Chirurgie

Médecine

6,58 %

6,58 %

6,75 %

26,11 %

47,39 %

6,58 % 120

120

120

123

476

864

2

3“1 623 lits et 200 placespour prendre soin de chacun

”


16 PÔLES D’ACTIVITÉS MÉDICALES

Pôle abdomen

Pôle anesthésie-SAMU-urgences-réanimation

Pôle biologie

Pôle imagerie et explorations fonctionnelles

Pôle locomoteur (rhumatologie, orthopédie-traumatologie)

Pôle médecine interne, gériatrie, médecine légale et pénitentiaire

Pôle médecines spécialisées

Pôle médecine et soins de support

Pôle neurosciences

Pôle obstétrique, gynécologie, biologie de la reproduction,chirurgie plastique et reconstructrice

Pôle odontologie

Pôle pédiatrie médico-chirurgicale et génétique clinique

Pôle pharmacie

Pôle pharmacologie et investigation cliniques

Pôle thoracique, vasculaire et métabolique

Pôle santé publique et information médicale



Attractivitéet activités

ORIGINE DES PATIENTS

DES PATIENTS ACCUEILLIS PAR LE CHU RÉSIDENT EN ILLE ET VILAINE,DANS LE MORBIHAN OU LES CÔTES D’ARMOR

4

5

90%



LES ACTIVITÉS CLINIQUES

■ HOSPITALISATION

* DMS : durée moyenne de séjour

■ URGENCES GÉNÉRALES ET SPÉCIALISÉES

■ CONSULTATIONS EXTERNES471 503 dont 418 397 en médecine, chirurgie, gynéco-obstétrique

■ ORTHOGÉNIE2 073 dossiers / 1 923 IVG et 1 298 consultations post IVG

■ MATERNITÉ (NIVEAU III) 3 887 accouchements pour 3 994 naissances


LES ACTIVITÉS MÉDICALES SPÉCIFIQUES

■ CENTRE D’ASSISTANCE MÉDICALE À LA PROCRÉATION527 ponctions d’ovocytes

1 126 transferts embryonnaires

1 389 consultations (CECOS)

■ TRANSPLANTATION D’ORGANES

119 greffes hépatiques

73 greffes rénales

28 greffes cardiaques

68greffes de moelle osseuse

■ SAMU-SMUR246 017 appels au centre 15

145 987 dossiers de régulation

2 572 sorties primaires du SMUR 35

1 352 sorties secondaires

577 transports pédiatriques

6

7


3 CENTRES DE RÉFÉRENCESAnomalies du développement et syndromes malformatifs(génétique clinique)

Surcharges en fer d’origine génétique (hépatologie)

Spina bifida

20 CENTRES DE COMPÉTENCESMaladies auto-inflammatoires et arthrites juvéniles (pédiatrie)

Maladie de Wilson (médecine interne, neurologie)

Malformations cardiaques congénitales, cardiomyopathies, troubles durythme cardiaque (cardiologie)

Maladies rares du foie (hépatologie)

Maladies digestives intestinales de l’enfant (pédiatrie)

Atrésies des voies biliaires de l’enfant (pédiatrie)

Cytopénies auto-immunes, syndrome d’Evans et anémies hémolytiques (pédiatrie)

Micro-angiopathies thrombotiques (néphrologie)

Troubles de l’hémostase (hématologie-immunologie)

Maladies constitutionnelles du globule rouge et de l’érythropoïétèse (pédiatrie)

Épilepsies rares et sclérose tubéreuse de Bourneville (pédiatrie)

Maladies respiratoires rares (pneumologie)

Hypertensions pulmonaires sévères (pneumologie)

Maladies rénales rares (néphrologie)

Maladies osseuses constitutionnelles (chirurgie pédiatrique)

Déficits immunitaires héréditaires (pédiatrie)

Syndrome de Marfan (génétique clinique)

Fentes labio-palatines (chirurgie pédiatrique)

Maladies odontologiques rares (odontologie)

Maladie de Rendu-Osler (pneumologie)



8

9

LES ACTIVITÉSMÉDICO-TECHNIQUES ET INTERVENTIONNELLES

43 942 interventions (10 709 376 ICR*) dont

32 714 en bloc opératoire

6 564 endoscopies digestives

2 182 interventions d’hémodynamique

2 051 explorations cardiovasculaires et métaboliques

(*) l’ICR - indice de coût relatif- est un outil de calcul des coûts moyens /groupe homogène demalades élaboré pour mesurer le niveau d’activité des structures médico-techniques à l’hôpital

1 912 coronarographies

749 angioplasties

158 116 875 actes de biologie et d’anatomieet cytologie pathologiques

243 156 actes principaux d’imagerie

17 252 forfaits “IRM”

44 320 forfaits “scanner”

“309interventionsréalisées à l’aide

“

“Un tauxde chirurgieambulatoirede 34,4 %

“


Recherche cliniqueet publications

ÉTUDES CLINIQUES EN COURS

NOUVEAUX PROJETS SÉLECTIONNÉS EN 2014

PRODUCTION SCIENTIFIQUE / SCORE SIGAPSLe score SIGAPS est un indicateur de résultats des activités de recherche. Il pondère le nombrede publications en fonction de la notoriété de la revue et du rang de l’auteur.

Le CHU de Rennes se situe au 12e rang des établissements publics de santé.



11 UNITÉS MIXTES DE RECHERCHE

DU SITE RENNAIS

CNRS UMR 6290 – IGDRInstitut de génétique et de développement de Rennes

INSERM UMR 746 – VisAgesVision, action et gestion d’informations en santé

INSERM UMR 835Fonction structure et inactvation d’ARN bactériens

INSERM UMR 917 – MICAMicro-environnement et cancer

INSERM UMR 991Foie, métabolismes et cancer

INSERM UMR 1085 – IRSETInstitut de recherche santé environnement travail

INSERM UMR 1099 – LTSILaboratoire de traitement du signal et de l’image

INSERM CHU UR1 - CIC 1414Centre d'investigation clinique – plurithématique et innovation technologique

UPRES UPRES - EA 4712Comportement et noyaux gris centraux

UPRES UPRES - EA 1254Microbiologie "risques infectieux"

FR UMS 3480 – BIOSITBiologie santé innovation technologique

10

11


LABELLISATIONDE DEUX FÉDÉRATIONS HOSPITALO-UNIVERSITAIRES

pour améliorer la filière de soinsen cancérologieLa Fédération Hospitalo-Universitaire CAMin (Cancer-Microenvironnementet Innovation) a pour objectif d’optimiser la filière de soins en cancérologieen intégrant les différentes composantes de recherche dans ce domaine.Elle est organisée autour de groupes de travail portant sur la structurationen réseau de certaines tumeurs, la caractérisation moléculaire descancers jusqu’aux essais cliniques et le suivi des thérapies ciblées, larecherche translationnelle, la formation et l’enseignement.

pour mieux développer les technologiesinnovantes en santéLa Fédération Hospitalo-Universitaire TECH-SAN (Technologies pour laSanté) a été conçue afin de permettre aux patients, cœur de cible de ladémarche, d’obtenir un accès privilégié et accéléré aux produits de larecherche en structurant la filière régionale dans le domaine destechnologies médicales innovantes incluant entre autres l’imageriemédicale, la télémédecine, la chirurgie assistée par l’image.



La qualité et la sécurité des soins

■ LUTTE CONTRE LES INFECTIONS NOSOCOMIALES (2013)Hygiène des mains (ICSHA.2) : score 89/100 classe A

Bon usage des antibiotiques (ICATB.2) : score 97/100 classe A

Maîtrise des bactéries multi-résistantes (ICA-BMR) : score 92/100 classe B

■ INDICATEURS TRANSVERSAUX DE QUALITÉ ET SÉCURITÉ DES SOINS (2013)Évaluation de la douleur (MCO) : 71/100, classe B

Réunion de concertation pluridisciplinaire en cancérologie (MCO) : 85/100, classe B

Dépistage de troubles nutritionnels (MCO) : 71/100, classe B

Pour plus d’information, consulter les fiches du CHU de Rennes sur le site www.scopesante.fr

12

13


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1 180%I

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243 xoxooxoxo

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■ LES ÉQUIPEMENTS BIOMÉDICAUX12 300 équipements biomédicaux

8 500 interventions de maintenance

5 IRM dont

1 IRM co-exploitée avec le CLCC Eugène Marquis et dédiée à la cancérologie

1 IRM co-exploitée avec l'Université Rennes 1 dans le cadrede la plateforme Neurinfo

4 scanners

1 robot chirurgical

1 système de radiologie ”basses doses“ EOS

6 salles interventionnelles vasculaires, cardiovasculaireset électrophysiologique, polyvalente

1 plateforme de recherche et de développement pour les thérapies par dispositifs médicauximplantables (TherA-image)

4 plateformes de spectrométrie de masse, dont une très haute sensibilité

2 plateformes de haut débit (hématologie, biochimie)

1 séquenceur de biologie à haut débit (NGS)

■ LES ÉQUIPEMENTS INFORMATIQUES5 122 postes de travail informatiques installés

720 To de capacité de stockage numérique

530 bornes wi-fi

Un plateau techniquede pointe


■ L’INFORMATION MÉDICALE1 286 792 dossiers gérés (+ 3,34 %)

177 673 dossiers communiqués (+ 5,16 %)

14

15

■ LES SERVICES HÔTELIERS ET LOGISTIQUESBlanchisserie : 3 457 tonnes de linge lavé

Restauration : 1 700 147 repas servis (60 % aux patients)

Transports sanitaires : 38 528 ambulances et VSL

Brancardage : 78 746 transports de patients

Navette Plus : 11 604 personnes transportées

Parkings visiteurs : 430 887 entrées

Plateforme logistique : 165 000 lignes de préparation38 000 livraisons

“35 %du volumede produitsachetés parla restaurationdu CHUsont des produitslocaux

”


■ PERSONNELS MÉDICAUX

694 ETPR*

dont 38 %d’hospitalo-universitaires

• 386 internesaffectés au CHU

• 894 étudiants en stages

■ PERSONNELSNON MÉDICAUX

6 331 ETPR*

dont 73 %de personnels soignants,éducatifs et médico-techniques

*ETPR : effectif moyen d’équiva-lents temps plein rémunérés (totaldes ETP présents au dernier jourde chaque mois/12)

Les personnels1er employeur de la région (hors État)avec 8 305 professionnels

Assistants spécialistes (7,5 %)Praticiens contractuels (8,4 %)

Praticiens attachés (5,3 %)

Praticiens hospitaliers (40,6 %)

Hospitalo-universitaires temporaires (16,7 %)Hospitalo-universitaires permanents (21,5 %)

Personnel médical694 ETP moyens rémunérés

282

149

116

58

5237

4 164993

701

440 33

Personnels services de soins (66%) Personnels techniques et ouvriers (16 %)

Personnels médico-techniques (7 %) Personnels éducatifs et sociaux (1 %)

Personnels administratifs (11 %)

Personnel non médical 6 331 ETP moyens rémunérés


Formationet recherche

■ ENSEIGNEMENT MÉDICAL

1 000 ÉTUDIANTS GÉRÉS PAR LE CHUMédecine : 712Pharmacie : 96Odontologie : 192

■ ENSEIGNEMENT PARAMÉDICAL ET MAÏEUTIQUE907 étudiants dont 47 promotions professionnelles

Soins infirmiers généraux (IFSI) : 433Puériculture : 30 (IPDE)

Anesthésie : 38 (IADE)

Bloc opératoire : 7 (IBODE)

Sages-femmes : 108Imagerie médicale (IFMEM) : 93Ambulanciers : 91Aides-soignants :107

■ FORMATION DES CADRES DE SANTÉ (IFCS)34 étudiants dont 3 promotions professionnelles

Formationet enseignement

16

17


Finances

Budget total645 M€■ RÉPARTITION DES CHARGES ET DES RECETTES DU BUDGET PRINCIPAL


Les dépenses 2014

Dépenses financièresDépenses hôtelières et générales

Dépenses médicales Dépenses de personnel

Total des dépenses 624 722 372 €

58,63%25,52%

8,52%

7,33%

Total des recettes 624 967 002 €

Les recettes 2014

Autres produits Autres produits de l'activité hospitalière

Produits versés par l'assurance maladie

76,35%

17,44%

6,21%

“Un budgetprincipalà l’équilibreen 2014

”


■ BUDGETS ANNEXES

EHPAD *

18

19

17,55%

34,93%

41,55%

5,97%

20,96%

69,30%

2,26%7,47%


USLD **


31,66%

1,55%

13,32%

53,46%

Dépenses financières

Dépenses hôtelières et générales

Dépenses médicales

Dépenses de personnel

68,08%

5,95%

22,97%

3%


CAMSP ***

20

21

99,25%

0,75%

78,44%

19,23%

2,33%

*EHPAD : établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes**USLD : unités de soins de longue durée***CAMSP : centre d’action médico-social précoce


ÉCOLES ET INSTITUTS DE FORMATION


80,18%

19,82%

78,24%

21,76%


22

23

L’ANNÉE 2014 EN IMAGES

JanvierMessagerie sécurisée : Le CHU renforce l’utilisation de la messagerie sécurisée avec

les médecins de ville

FévrierCertification : Le CHU est certifié avec recommandations par la Haute Autorité de Santé

MarsPrise en charge : Des ondes magnétiques contre les douleurs chroniques

AvrilChirurgie vasculaire : Installation dans le centre cardio-pneumologique

MaiArt : L’exposition des dessins des élèves de l’école Robert Desnos

JuinRecherche médicale : Création de deux fédérations hospitalo-universitaires : CAMin et TECH-SAN

JuilletAccès aux soins : Rappel des rendez-vous de consultation par SMS

AoûtVirus Ebola : Le CHU, établissement de santé de référence, se prépare à l’accueil de patients

touchés par le virus Ebola

SeptembreGynécologie-obstétrique : Un nouvel espace pour accueillir les consultantes de gynécologie-

obstétrique

OctobreAccréditation : Accréditation partielle du laboratoire de biochimie du CHU par le COFRAC

NovembreDépart : André Fritz, Directeur général du CHU, quitte ses fonctions après huit ans d’exercice

dans l’établissement

DécembreDroit des patients : Le CHU reçoit le label ”Droit des patients” par le ministère de la Santé

Le dossier médical de chaque patient est conservé pendant 20 ans

à compter de la date du dernier séjour ou de la dernière consultation.

La transmission des informations médicales est soumise à des règles

et notamment celle de recueillir l’accord du patient avant toute

communication surtout si celle-ci s’effectue à l’extérieur de l’établissement

vers un professionnel ou une structure de santé. Tout demandeur doit

formuler sa demande par écrit et justifier son identité et statut (carte

d’identité, livret de famille, jugement de tutelle…). Le demandeur

doit préciser s’il souhaite recevoir tout ou partie du dossier médical.

Le dossier médical n’est jamais transmis en version originale

mais en copie. Celle-ci est payante et doit être précédée d’un tri

du dossier afin de ne pas transmettre des informations recueillies

auprès de tiers. Les éléments demandés doivent être envoyés par

courrier postal et non par e-mail ou fax.

Qui peut accéder au dossier médical?

La personne majeure elle-même.

Les personnes titulaires de l’autorité pour un mineur ou majeur

sous tutelle.Un autre médecin s’il est choisi par le patient comme intermédiaire.

Les ayants droit après le décès de la personne, sauf volonté

contraire exprimée.

Les ayants droit ont accès aux seules informations nécessaires pour

connaitre la cause du décès, défendre le mémoire du défunt ou faire

valoir ses droits.

TRANSMETTRE

L’ACCÈS AU DOSSIER MÉDICAL

Plus d’infos sur intranet : rubrique direction de la qualité

et des usagers > droit des patients > accès au dossier médical

Toute personne majeure peut, si elle le souhaite, faire une déclaration

écrite appelée ”directives anticipées” afin de préciser ses souhaits

quant à sa fin de vie, prévoyant ainsi l’hypothèse où elle ne serait

pas en capacité d’exprimer sa volonté. Elles permettent de connaitre

les souhaits du patient concernant la possibilité de limiter ou arrêter

les traitements en cours.Pour qu’elles soient valables, il faut qu’elles aient été établies

moins de trois ans avant l’état d’inconscience de la personne.

Le médecin doit vérifier l’existence de ces directives, apprécier

leur validité et prendre connaissance des souhaits qui y sont

formulés pour l’appuyer dans sa décision médicale. Les directives

anticipées n’ont pas de valeur contraignante pour le médecin.

Celui-ci reste libre d’apprécier les conditions dans lesquelles il

convient d’appliquer les orientations exprimées par le patient

compte tenu de la situation concrète et de l’éventuelle évolution

des connaissances médicales.

Les directives anticipées sont conservées dans le dossier médical

du médecin de ville, ou dans le dossier médical hospitalier. Elles

peuvent également être remises à la personne de confiance ou, à

défaut, à un proche.

RESPECTERLES DIRECTIVES ANTICIPÉES

Plus d’infos sur intranet : rubrique direction de la qualité

et des usagers > séjour > directives anticipées

La ”personne de confiance” est une personne majeure, qui a la

confiance du patient, qui connait ses convictions et ses choix concernant

sa santé. Elle a un rôle de consultation et d’accompagnement.Elle est consultée en priorité si le patient n’est pas en état d’exprimer

ses volontés. Sa parole est prépondérante sur le reste de l’entourage,

qui sera aussi consulté avant toute intervention ou décision médicale

importante. Elle peut décider à la place du patient dans le cas particulier

d’une participation à un protocole de recherche médicale. Seule une personne majeure capable (qui n’est pas sous tutelle)

peut désigner une personne de confiance. Sa désignation, non

obligatoire, se fait par écrit et est révocable à tout moment. La personne

de confiance peut être un parent, un proche, un membre d’une association

de bénévoles auprès des malades ou le médecin traitant.Le médecin ne peut pas refuser de recevoir la personne de

confiance puisqu’il s’agit du choix du patient. Le secret médical

n’est pas levé vis-à-vis de la personne de confiance et elle n’a pas

accès au dossier médical. Cependant, elle peut assister, à la demande

du patient, aux entretiens médicaux pour l’aider dans sa prise de

décision.Personne à prévenir et personne de confiance...Elles peuvent être différentes ou être la même personne.La personne à prévenir s’occupe des démarches administratives,

de l’organisation matérielle à la sortie du patient.La personne de confiance a un rôle d’accompagnement et d’information

des équipes médicales sur les souhaits du patient.

RESPECTERLA PERSONNE DE CONFIANCE

Plus d’infos sur intranet : rubrique direction de la qualitéet des usagers > séjour > personne de confiance

Nuancier190x100_Mise en page 1 24/06/13 15:06 Page6

INFORMERINFORMATION SUR L’ÉTATDE SANTÉCONSENTEMENT LIBRE ET ÉCLAIRÉ

DROITS

DES PATIENTS

LE PATIENT, CO-ACTEUR

DANS LES DÉCISIONS MÉDICALES


CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES2, rue Henri le Guilloux 35033 Rennes cedex 9

www.chu-rennes.fr • e-mail : [email protected]

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2014


Documents

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