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CLASSEMENT des SUJETS et POSITIONS prise pour l'EC2- ETAT au 2011-09-16
Classe n° TITRERéférence
de l'EC2-1-1Finalisé le
Dernière mise
à jour
Cisaillement, vocabulaire - Question 1
Intitulé : VRdi est la contrainte de cisaillement «résistante» et non «de calcul».
Réponse : un corrigendum indique que "VRdi est la valeur de la résistance de calcul ....".
Ancrages-recouvrements - Question 3
Intitulé : Il serait nécessaire de confirmer que la condition «l’ancrage nécessaire de la barre ne dépasse pas 5
diamètres au-delà de l’extrémité de la partie courbe» est suivie de «ou» … avant les conditions qui suivent.
Réponse : le "ou" figurera dans le prochain corrigendum, donc le problème est réglé. Le corrigendum a
été vu et approuvé par notre GROUPE en sa séance du 10-04-09.
Ancrages-recouvrements - Question 5
Intitulé : Il existe d’autres formes d’ancrage, en particulier le double coude. Sont elles admises? Si oui peut on
les justifier avec les méthodes «classiques» qui font intervenir un coefficient de frottement acier/béton en plus
de la contrainte d’adhérence ?
Réponse : Toutes les dispositions sont possibles et sont à vérifier avec les méthodes données pour les
calculs d'ancrage. En revanche, pour les barres à haute adhérence, il ne faut pas tenir compte du
frottement de courbure acier-béton (alors que le BAEL le considérait).
Ancrages-recouvrements - Question 6
Intitulé : Dans le calcul du coefficient 2 il est fait référence à « l’enrobage minimal ». Il semble anormal
d’utiliser l’enrobage minimal défini au chapitre 4.4.1.2 en fonction des conditions d’environnement et de
durabilité de la partie d’ouvrage étudiée. Ne faut-il pas plutôt utiliser pour cd les valeurs d’enrobage
effectivement adoptées dans le projet et figurant sur les plans?
Réponse : 2 dépend bien de cd et non de l'enrobage minimal indiqué en 4.4.1.2, comme le montre le
tableau 8.2.
16/09/2011
11/12/2008
11/12/2008
11/12/2008
11/12/2008
LEGENDE
Intitulé du sujet = appuyer sur le + en marge
classe = n° transformé en un millier si interprétation d'une clause de l'EC2-1-1
classe = n° transformé en deux milliers si contestation d'une clause de l'EC2-1-1
classe = n° transformé en trois milliers si exemple d'illustration d'une clause de l'EC2-1-1
1d
CLASSEMENT des SUJETS de l'EC2-1-1 ETAT au
Position du groupe de suivi (de la commission miroir BNSR CF EC2) sur les questions relatives à l'EC2
6.2.5 (1) 09/12/20101a1001
classe = n° transformé en quatre milliers si sujet hors du champ direct de l'EC2-1-1 (pas de clause en référence)
référence = la première chronologiquement ou la plus probante
Solution = appuyer sur le deuxième + en marge
8.3 (3) 09/12/20101b
8.4.4 (1) 09/12/2010
1001
1001
1001
8.4.1 (2) 09/12/2010
BUREAU DE NORMALISATION SOLS ET ROUTES
(bureau de normalisation sectoriel
agrée par décision du délégué interministériel aux normes du 26 février 2010)
1c
e = e2.cos0L2
L.
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Classe n° TITRERéférence
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11/12/20086.2.5 (1) 09/12/20101a1001
e = e2.cos0L2
L.
Ancrages-recouvrements - Question 7
Intitulé : Dans le cas des boîtes d’attentes 100% des armatures sont en recouvrement aussi bien pour le brin
inférieur que pour le brin supérieur. 8.7.2 (4) autorise cette disposition sous réserve de respecter 8.7.2 (3). Or
ce dernier article demande non seulement de décaler les recouvrements mais de les espacer en plus de 0,3 l0.
Ceci signifie qu’en fait le pourcentage de recouvrement est limité à 50%. Le changement par rapport aux
pratiques actuelles est tel que je souhaiterais avoir confirmation de mon interprétation. Je me demande en
particulier si le coefficient du tableau 8.3 ne fait pas double emploi avec 8.7.2 (3).
Réponse : La seule chose qu’on puisse dire est que le 8.7.2(4) dit que les dispositions sont conformes à
(3), sauf que dans (3) il faut, pour l'application de (4), supprimer le 2ème indent qui parle d'espacer de
0,3 l0. Pour le reste, 6 ne fait pas double emploi.
Ancrages-recouvrements - Question 7bis
Intitulé : Faut-il comprendre que dans la mesure où aucune armature transversale n’est requise dans la dalle en
application de 6.2.2, il n’est pas exigé d’armature de confinement sur les recouvrements ?
Réponse : Oui, en l'absence d'armatures d'effort tranchant, les armatures de répartition, conformes au
8.7.4.1 (2), font office de couture des recouvrements.
Ancrages-recouvrements - Question 8
Intitulé : La longueur d’armatures supérieures, 0,20 fois la longueur de travée, n’est elle pas superflue par
rapport à celle découlant du tracé de la courbe enveloppe des moments décalée ?
Réponse : Non, les 0,2l de longueur forfaitaire minimale sont à appliquer aux dalles dès que la clause
9.3.1.2 (2) s'applique (cf. sujet n°10) et sur tous les appuis (intermédiaires et de rive). Il semble toutefois
loisible de réduire la longueur de 0,2l pour les appuis de rive si on a retenu la valeur de 15% du
moment M0 : on pourra prendre 0,10l ou faire l'arrêt des barres à partir du tracé local de la courbe
enveloppe des moments décalée.
09/12/2010
1001 1f 8.7.4.1 (2) 09/12/2010
1001 1g 9.3.1.2 (2)
11/12/2008
09/12/2010
11/12/200811/12/20081e 8.7.2(3), (4) et
8.7.3, et 6.2.1
1001
e = e2.cos0L2
L.
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11/12/20086.2.5 (1) 09/12/20101a1001
e = e2.cos0L2
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Valeur du Coefficient k d'armature minimale fissuration
Intitulé : Comment interprétez-vous la clause 7.3.2 (2) pour le calcul de k ? Faut-il utiliser la hauteur totale de
l’élément ou uniquement la hauteur tendue ?
Réponse : Voir toutefois le sujet 16 qui traite des cas d’application du coefficient k.
Pour la détermination de la section d’acier minimale d’une poutre rectangulaire ou d’une dalle, sous
moment positif ou négatif, le coefficient k est déterminé en fonction de la hauteur totale de l’élément (k
= 1 si h ≤ 300, k = 0,65 si h ≥ 800 et interpolation linéaire entre les deux). La largeur b de la poutre
n’intervient pas dans le calcul.
Pour la détermination de la section d’acier minimale d’une poutre à membrure (poutre en Té ou poutre
caisson), on procède de la façon suivante :
- On décompose la poutre en plusieurs éléments rectangulaires, selon les principes de la figure 7.101
de la NF EN1992-2 qui représente le cas d’une poutre en Té sous moment négatif, un élément d’âme (en
flexion composée) et un élément de membrure (en traction).
- Le ferraillage minimum est calculé séparément pour chacun des éléments :
~ Pour le ferraillage d’un élément d’âme, le coefficient k est déterminé en fonction de la hauteur totale
de l’élément (k = 1 si h ≤ 300, k = 0,65 si h ≥ 800 et interpolation linéaire entre les deux). La largeur b de
l’âme n’intervient pas dans le calcul.
~ Pour le ferraillage d’un élément de membrure, le coefficient k est déterminé en fonction de la largeur
de l’élément b = btot – bw (k = 1 si b ≤ 300, k = 0,65 si b > 800 et interpolation linéaire entre les deux). La
hauteur de la membrure et la hauteur de l’âme n’interviennent pas dans le calcul.
- Noter que dans le cas d’une poutre en Té sous moment positif, la partie tendue étant rectangulaire, on
est ramené au cas d’une poutre rectangulaire pour le calcul de k.
Application de la condition de non fragilité du § 9.2.1.1 (1) aux semelles
Intitulé : Faut-il appliquer la condition de non-fragilité du §9.2.1.1 (1) aux semelles calculées par une méthode
quelconque (bielle, flexion) ?
06/01/2011
22/09/2008
2 7.3.2 (2) 06/01/2011
22/09/20083 9.2.1.1 (1)
1002
1003
e = e2.cos0L2
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11/12/20086.2.5 (1) 09/12/20101a1001
e = e2.cos0L2
L.
Réponse : La condition de non-fragilité du §9.2.1.1 (1) n’est pas à appliquer aux semelles calculées par
une méthode quelconque (bielle, flexion).
22/09/2008 22/09/20083 9.2.1.1 (1)1003
e = e2.cos0L2
L.
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11/12/20086.2.5 (1) 09/12/20101a1001
e = e2.cos0L2
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Relaxation des aciers de précontrainte
Prédalles suspendues et Annexe : Boites d’attente
Intitulé : Définir l’ensemble des conditions permettant de considérer que des dalles à prédalles suspendues
avec des boites d’attentes relèvent de l’EC2-1-1 et de son AN.
Réponse : Voir les recommandations professionnelles publiées sur le sujet.
Valeur du diamètre des mandrins de cintrage et précision sur les 5
Intitulé :
Réponse : Dépend de la conclusion sur le deuxième corrigendum.
La règle du 5Φ au delà de la partie courbe s'applique à la partie droite qui termine la barre.
Par ailleurs on note que lorsque une armature à ancrer est insérée à l’intérieur d’autres armatures (par
exemple, soit issues de la poutre soit par ajout de cadres dans le poteau, dans le cas d'une poutre
arrivant dans un poteau) elle n’est pas considérée comme disposée près de la surface.Trois exemples
sont donnés à titre indicatif par les figures suivantes :
Interprétation de la formule (6.25) dans le cisaillement des surfaces de reprise
8.3.3 06/01/2011 30/03/2011
14/10/2009
6
4 3.3.2(8)
5 14/10/2009
7 6.2.5 (1) 30/03/201106/01/2011
3005
1004
1006
1007
e = e2.cos0L2
L.
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11/12/20086.2.5 (1) 09/12/20101a1001
e = e2.cos0L2
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Intitulé : Dans le cas de joints avec indentation les reliefs n’existent pas en général sur la totalité de la surface
de la reprise. Comment faut-il calculer Ai ?
Réponse : Ai représente l'aire projetée de la surface de reprise.
a) Le cas des reprises des poutres coulées en 2 phases est traité au sujet 22.
b) Le cas des boites d'attente superposée avec parties verticales est actuellement non traité, la position du
groupe est que la formule des coutures ne peut pas s'appliquer aux cas des pré-dalles suspendues
avec boites d'attente superposées.
c) La prise en compte ou non des barres comprimées et tendues dans le calcul de As : En flexion composée,
et en particulier pour les voiles, en sus du terme (c.fctd + µ. n), les armatures traversant la zone
comprimée de la reprise sont prises en compte en intégralité dans le calcul du ρ = As/Ai ; les armatures
situées dans la zone tendue ne peuvent être prises en compte que pour leur quote-part non utilisée
pour la flexion. Cette disposition n'est pas applicable sous charges de fatigue ou charges dynamiques
(cf. 6.2.5(5)), pour lesquels seuls les armatures réparties peuvent être prises en compte.
7 6.2.5 (1) 30/03/201106/01/20111007
e = e2.cos0L2
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e = e2.cos0L2
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Attentes des poteaux et cadres selon les cas de la figure 5.7
Réponse : Cf. paragraphes 6.1(4) , 8.7.3 et 9.5 de l'EN1992-1-1
Pour les poteaux dont la longueur de flambement est prise égale à la hauteur entre nus d'étages (cas a)
de la figure 5.7), le coefficient 6 = 1,5 des expressions (8.10) et (8.11) s'applique aux armatures
nécessaires calculées en flexion composée tenant compte uniquement de l'excentricité de l'article
6.1(4) (pas d'effet de second ordre).
Dans les autres cas de poteaux contreventés (cas c), d) et f) de la figure 5.7), les armatures sont
calculées en flexion composée en tenant compte de l'excentricité à l'encastrement qui est le maximum
de celle due à l'effet de second ordre,
conformément à la longueur de flambement retenue et de celle donnée par le 6.1(4).
Pour ce qui concerne les cadres de ces poteaux dans les zones de recouvrement :
- si les armatures longitudinales résultent du respect du % minimum de l'article 9.5, les armatures
transversales doivent être déterminées uniquement avec l'article 9.5.3.
- si les armatures longitudinales résultent du calcul de flexion composée, les armatures
transversales doivent respecter les clauses 8.7.4.1 (2) et (3) et 9.5.3.
A noter : les règles professionnelles ont précisé des conditions d'applications de la figure 8.9 b).
Interprétation de la figure 8.5 pour les Crochets des cadres
Réponse : sur la figure 8.5 du 8.5 (2) de l'EC2-1-1
Le schéma a) va de ≥ 135° à 180° ce qui donne un retour de max(5 et 50 mm)
le schéma b) va de 90° à < 135° ce qui donne un retour de max(10 et 70 mm).
Disposition constructive relative aux moments sur appuis des dalles
Réponse : La clause 9.3.1.2 (2) s'applique si l'on ne tient pas compte de la raideur en rotation des
éléments verticaux sur appuis (ex: au droit d'un voile) en considérant, dans l'analyse suivant la section
5 (cf. 5.3.2.2 (2)), la dalle continue sur appuis ponctuels. Il convient alors de tenir compte de ces
encastrements négligés dans les éléments verticaux en appliquant au moins les moments forfaitaires
donnés en 9.3.1.2 (2).
Poinçonnement - Définition et traduction du mot link
Réponse : La traduction du mot link semble avoir été mal faite (étrier = link, et pas « étriers, cadres et
épingles » et ailleurs « cadres et étriers »). La formule donne la section d’armature et pas la section d'un
brin d'armature.
Interprétation de la clause traitant des conditions d'adhérence médiocres
Réponse : On complète les règles données dans les recommandations professionnelles en Clause 8.4.2
(2) par la locution suivante "à condition que le béton ne présente d'effet de ressuage prononcé, ce qui
peut être assuré par e/c < 0,55".
8 5.8.3.2 (2) 09/12/201016/02/2010
9 8.5 (2) 06/01/2011
10 9.3.1.2 (2) 06/01/2011
10/04/2009
09/12/2010
11 9.4.3 (2) 06/01/2011
12 8.4.2 (2) 06/01/2011
10/04/2009
06/01/20111012
1008
1009
1010
1011
e = e2.cos0L2
L.
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e = e2.cos0L2
L.
Prise en compte du fluage dans l'équation 3.14 - coefficient k
Réponse : Pour les calculs au flambement, l’affinité sur la courbe de Sargin ne doit pas porter sur le
coefficient k.
Précision sur la clause (i) relative aux cadres en haut et bas des poteaux
Réponse : Le corrigendum n°2 de la norme NF sera complété avec la rédaction suivante : "i) dans toutes
les sections situées à une distance au plus égale à la plus grande dimension de la section transversale
du poteau au-dessus ou au-dessous d’une poutre ou d’une dalle ;".
Précision sur la Note qui traite du Moment au nu d'appui
Réponse : Le moment d’encastrement de la note du 5.3.2.2 (3) s’entend comme le moment
d’encastrement parfait de la poutre considérée entre nus.
Section minimale d’armatures de la section 7, Coefficient k de la formule (7.1)
Intitulé : Le guide méthodologique Eurocode 2 du Sétra indique que la valeur de k doit être prise égale à 1,0
sauf pour les éléments larges ou hauts soumis uniquement à des déformations imposées. S’agit-il d’une
simplification sécuritaire ?
Réponse : Voir la réponse au sujet 2 sur la façon de calculer le coefficient k en fonction des dimensions de
l’élément.
L’article 7.3.2(2) de la NF EN 1992-1-1 indique que le coefficient k traduit une réduction des efforts de
traction dus aux effets des autocontraintes (partie non linéaire des contraintes dans une section droite).
On peut donc tenir compte dans le calcul de cette réduction, en particulier lorsque les éléments sont de
grandes dimensions.
On réservera l’utilisation de ce coefficient k à des éléments soumis à des autocontraintes importantes
(exemple: radier ou mur de forte dimension, largeur ou hauteur suivant le cas).
EC2-3 Réservoirs pour hydrocarbures - règles applicables
Intitulé : Comment dimensionner un réservoir béton destiné à recevoir du fuel et pouvant être soumis à une
action sismique selon le projet d'arrêté
Réponse :
1- pour le fuel : La norme NF EN 206-1 et le FD P18-011 ne donnent aucune indication sur le risque de
corrosion du béton par le fuel. La seule indication est que l'agressivité des huiles ou graisses est à
retenir si ces dernières sont acides. Le fuel n'est pas acide. Il est prévu de faire des cuves à fuel des
stations service en béton sans revêtement, ce qui tend à prouver la non corrosion des armatures ou la
non attaque du béton.
2- pour le séisme : L'annexe nationale de l'EC8 partie 4 dit que l'annexe A est non applicable. Pour
l'instant, on attend une proposition de la Commission EC8.
GUIDES EFB sur l'Environnement et les Enrobages
Réponse : Ce sujet est résolu par les guides d’application (LCPC et CERIB) conformes à l’EC2 et
disponibles sur les sites suivants :
http://www.egfbtp.com et www.umgo.ffbatiment.com
http://www.cerib.com/frontoffice/est-paru--le-guide-d-aide-a-la-prescription.r2837_p148_l1_a405_t0.htm.
06/01/2011
10/05/2010
22/10/201017
10/05/2010
13 3.1.5 22/09/2008
14 9.5.3 (4) 06/01/2011
22/09/2008
06/01/2011
7.3.2 (2) 06/01/2011
30/03/2011
06/01/201116
1013
1014
1015
1016
1018
4017
18
15 5.3.2.2 (3) 10/05/2010
e = e2.cos0L2
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e = e2.cos0L2
L.
Effort normal ultime des poteaux, formule simplifiée du BAEL
Réponse : Le BAEL n’est plus d’actualité, ce sujet est donc résolu.
Examen de 4 cas d'ancrages des boucles d'aciers principaux
Réponse :
Cas 1 : Boucle de type boites d’attentes, les armatures hautes servant de chapeaux, les armatures
basses servant d’ancrage de la bielle d’appui : Lorsque ces boites ne relèvent pas d’un agrément
spécifique, le diamètre de mandrin de cintrage est le diamètre minimum donné par l’EC2 soit 4Ø pour
des diamètres inférieurs ou égaux à 12.
Cas 2 : Suspentes dans une poutre : Les armatures de suspente doivent être remontées assez haut de
façon à pouvoir justifier la traction du béton le long du contour séparant un coin de béton (à 45 °), ainsi
que les armatures reliant ce coin au reste (armatures en bleu continu) et le sous-tendeur de ces
armatures (en bleu tireté).
Cas 3 : Boucles de chaînage et/ou de liaison de cisaillement entre préfabriqués : Sous réserve de la
présence d’une clef, les essais CERIB ont montré que, jusqu’à HA 12, la traction capable des armatures
était retransmise avec un recouvrement constituant un cercle.
8.4.1 (2) 22/06/2010 09/12/2010
10/05/2010 10/05/20104019
1020 20
19
e = e2.cos0L2
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11/12/20086.2.5 (1) 09/12/20101a1001
e = e2.cos0L2
L.
Cas 4 : Continuité d’une poutre par clavetage intégral : Il faut définir la longueur minimale de
recouvrement pour la transmission intégrale des efforts d’une armature sur l’autre. A défaut de
justification particulière, on appliquera 0,4lb,rqd , et les armatures de couture (en jaune) ne reprennent
que 0,5F.
8.4.1 (2) 22/06/2010 09/12/2010
e = e2.cos0L2
L.
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e = e2.cos0L2
L.
Interprétation de la Note 2 de réduction de classe structurale pour les dalles
Intitulé : Certains lecteurs interprètent limitativement ce texte en n’autorisant la diminution d’une classe que pour
les armatures inférieures d’une dalle en s’appuyant sur les termes : « face coffrée » donc face inférieure, « sous-
face des dalles de pont ».
Réponse : Ce sont les éléments, et donc toutes les armatures de ces éléments, qui sont visés par la
note 2 du tableau 4.3NF au tiret "- face coffrée des éléments plans (assimilables à des dalles, éventuellement
nervurées), coulés horizontalement sur coffrages industriels.".
Reprise de bétonnage horizontale des poutres dans l'âme
Intitulé : Application de la formule (6.25) et de la figure 6.10
Réponse : La formule (6.25) du § 6.2.5 de l’EC2-1-1, relative aux reprises de bétonnage, est
incontournable car elle découle directement de l’étude du treillis de Ritter-Morsch. Les valeurs des
paramètres μ et c sont fixées par l’EC2-1-1 sans possibilité de déboxage.
On rappelle que les armatures de cisaillement et de glissement ne se cumulent pas car elles résultent
de l'utilisation du même treillis de Ritter-Morsch.
Pour l'utilisation des zones de pas constant, le projeteur peut choisir le nombre de zone(s) à considérer,
sur lesquelles l'espacement des armatures (le "pas") sera constant. La figure 6.10 est un exemple
présentant 3 zones de pas constant, dont la dernière ne donne pas d'armatures de glissement
calculées.
On peut dans le calcul des armatures de glissement faire intervenir n correspondant à une partie du
poids de la structure directement portée par la poutre et située au dessus de la reprise.
Poinçonnement des dalles
Réponse : Dans les bâtiments, lorsque les longueurs des travées adjacentes diffèrent de plus de 25%,
on doit revenir aux fondamentaux et considérer l’encastrement existant des poteaux dans les dalles et
calculer par la formule (6.39) avec les moments donnés par un calcul structural élastique. Si on a
moins de 25% d'écart, on peut appliquer les valeurs de la figure 6.21N, sans faire le calcul de .
Prise en compte de la contreflèche
Réponse : La contreflèche intervient dans le 7.4.1(4) et ne doit pas être appliquée au 7.4.1(5).
Ferraillage d'effort tranchant sur dalle étroite
Intitulé : Pour un cas particulier d'une dalle étroite à ferrailler (par exemple, une volée d'escalier non tenue
latéralement), on ne trouve pas de ferraillage d'effort tranchant car VEd < VRdc. Cependant l'article 6.2.1(4), dit
que dans ce cas un ferraillage minimum d'effort tranchant est nécessaire sauf si "une redistribution transversale
des charges est possible". Quelle redistribution est possible avec une charge uniformément répartie? Qu'entend-
t-on par redistribution des charges ? D'après l'article 9.3.2(1) précisait que pour les dalles < 20 cm d'épaisseur il
n'y avait pas lieu de prévoir d'armature. Mais que répondre si h > 20 cm ?
10/05/2010
22/06/2010
22/10/2010
06/05/2011
1024
1021 21 Tabl. 4.3NF 09/12/2010
7.4.1 (4) et (5) 06/01/2011
23 6.4.3 (3) et (6) 06/01/2011
1022
24
1023
06/01/2011
1025 6.2.1 (4)25
6.2.5 (1) et (3)
22/06/2010
30/03/201122
e = e2.cos0L2
L.
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à jour
11/12/20086.2.5 (1) 09/12/20101a1001
e = e2.cos0L2
L.
Réponse : Dans les bâtiments courants, les dalles étroites qui ne sont pas tenues latéralement et dont
la portée horizontale est inférieure à 5 m peuvent donc soit être considérées comme des éléments
secondaires selon la clause 6.2.1 (4), soit bénéficier d'une redistribution transversale (voir les
Recommandations professionnelles en 6.2 (2)). Dès lors, si VEd < VRdc , il n'y a pas lieu de prévoir un
ferraillage d'effort tranchant par application de la clause 9.2.2 et 9.3.2.
En ce qui concerne le VRdc, c'est celui des poutres sauf dans le cas où les trois conditions suivantes
sont satisfaites, auquel cas c'est le VRdc des dalles avec redistribution transversale :
Condition 1 : les aciers de répartition sont au moins égaux à 33 % des armatures principales de la dalle
avec comme minimum celui imposé dans le sens porteur selon 9.3.1.1 (1).
Condition 2 : le rapport de la portée à la largeur n'excède pas 2.
Condition 3 : l'épaisseur résistante minimale (en creux de marche en cas de volée d'escalier) est au
moins égale à la plus grande des valeurs suivantes : 1/15 de la largeur de la dalle ; 1/20 de la portée
horizontale, sans dépasser 1/5 de la largeur de la
dalle (clause 5.3.1 (4)).
22/06/2010 06/05/20111025 6.2.1 (4)25
e = e2.cos0L2
L.
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e = e2.cos0L2
L.
Prédalles
Réponse :
1- Une règle d’usage définit une dalle à prédalle comme une dalle dont la prédalle ne dépasse pas la
moitié de l’épaisseur de dalle finie (sinon il s’agit de dalles préfabriquées).
2- Dans le cadre du domaine fixé ci dessus, les limites de cisaillement et de glissement sont celle du
béton armé de l’EC2-1-1, que la prédalle soit béton armé ou précontrainte.
3- Dans le cas où la dalle est calculée en supposant qu’elle ne porte que dans une seule direction et
qu’elle comporte moins d’armatures de répartition que ce que donne le pourcentage minimum de la
section 9, alors la contrainte de cisaillement Vmin est calculée sans tenir compte de la redistribution
transversale avec la clause 6.2.2 (1) NOTE de l’annexe nationale de l’EC2-1-1. Dans le cas où la dalle est
calculée en supposant qu’elle porte dans les deux directions, elle comporte les armatures de répartition
requises. Dans ce cas le Vmin est celui de l'annexe nationale avec répartition.
4- Les prédalles préfabriquées en usine pourront être soumises à des règles spécifiques définies par
une norme appropriée, pourvu qu’elles fassent l’objet d’une procédure de contrôle adaptée.
Contrainte limite de cisaillement des murs sans acier d’effort tranchant
Réponse : L’utilisation de l’annexe MM de la NF EN 1992-2 pour justifier la limite de cisaillement des
murs non armés, limite basée sur des résultats d’essais expérimentaux sur maquettes (Cassba, Camus
1 et 2, Camus 2000, et Eco-leader) et validée par des calculs aux éléments finis, n’est pas à l’ordre du
jour.
Fluage non linéaire
Intitulé : Faut-il calculer les poteaux avec un fluage non linéaire ?
Réponse : Dans le cas général, les poteaux ne sont pas soumis à la règle de calcul du fluage non
linéaire (car c < k2.fck sous combinaison quasi-permanente).
Clause 5.10.2.2 (4)- Résistance minimale du béton à l'ancrage de précontrainte
Réponse : Il semble en effet que la traduction française soit allée plus loin que le texte initial, le
corrigendum français à venir intégrera la nouvelle version « Si la mise en tension d’un câble est
effectuée par étapes, la résistance requise pour le béton peut être réduite… ».
22/06/2010
22/06/2010
1026 26
1027 27
1029 29 5.10.2.2 (4) 15/03/201022/06/2010
30/03/2011
1028 28
15/03/2010
22/06/201022/06/2010
e = e2.cos0L2
L.
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11/12/20086.2.5 (1) 09/12/20101a1001
e = e2.cos0L2
L.
Calcul des flèches selon l’EC2-1-1
Intitulé : Quelle combinaison utiliser dans le calcul de la flèche nuisibles ?
Réponse : L’EC2 prévoit trois vérifications de calculs de flèches 7.4.1(3), 7.4.1(4) et 7.4.1(5). Le 7.4.1(3)
est complètement explicité par l’AN et les règles professionnelles associées en 7.4.3 (7) dans lequel on
considère les charges variables caractéristiques en déformation instantanée. Le 7.4.1(5) diffère du
7.4.1(3) par le fait qu’on considère uniquement la part quasi-permanente des charges variables et qu’on
lui applique un coefficient de fluage. On peut considérer que ces deux vérifications sont équivalentes,
et en conséquence on appliquera les règles professionnelles qui tiennent mieux compte du phasage et
de la notion de flèche nuisible. Le 7.4.1(4) ne s’intéresse qu’à la vérification de l’aspect, et doit être
systématiquement vérifié, en tenant compte de la possibilité de réaliser une contre-flèche.
3030 30 7.4.1 (3) à (5) 30/03/201122/06/2010
e = e2.cos0L2
L.
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e = e2.cos0L2
L.
Ancrage par soudure
Intitulé : La formule de lbd avec 4 = 0,7 convient-elle pour un ancrage par soudure ?
Comment une soudure reprend-elle 30% de l'effort d'après une formule et 50% d'après une autre?
Réponse : Oui, la formule de lbd avec 4 = 0,7 convient pour un ancrage par soudure, notamment dans
le cas d'un treillis soudé à barres à haute adhérence. Il est possible de renforcer l'ancrage de barres à
haute adhérence, même si elles ne font pas parti d'un treillis soudé, par des barres soudées
transversales suivant 8.6, ce qui justifie la remarque au bas du tableau 8.2 concernant l'ancrage par une
soudure sur appui.
Pour une soudure réalisée suivant NF EN ISO 17660-1, la qualité des assemblages soudés est
considérée correcte selon 8.6 (1). Pour les treillis soudés, la certification AFCAB ou équivalente permet
également de considérer que la qualité des assemblages soudés est correcte. Donc, la résistance à
l'entraînement du 8.6 (2) et (5) s’applique aux soudures citées précédemment en lieu et place du
coefficient 4. Cette résistance à l'entraînement s’applique dans la formule (8.3).Dispense du calcul de flèche et pourcentage d’acier
Intitulé : Dispense du calcul de flèches dans le cas d'une poutre en Té de largeur de table b 3 bw
Réponse : Dans l’expression (7.16), le pourcentage d’armature est calculé sur la largeur maximale de
l'aire comprimée (i.e. dans le cas d’une section rectangulaire bw, et dans le cas d’une section en Té beff
de la figure 5.3).
Répartition et positionnement des armatures transversales à proximité d’un appui
Réponse : Si on note s l’espacement calculé au plus près de l’appui, le premier cadre d’effort tranchant
doit être compris entre 0 et s et généralement situé à s/2 du nu de l’appui.
Selon le 6.2.3 (5), la répartition des cadres, dans les régions sans discontinuité d’effort tranchant, peut
être effectuée en considérant des tronçons élémentaires de longueur l = z.cot(q) sur lesquels
l’espacement est constant et en prenant la valeur minimale de l’effort tranchant sur ce tronçon.
Poutres en Té
Intitulé : éléments et précisions pour le calcul des poutres en Té
Réponse : La largeur participante de la table donnée en 5.3.2.1 est une largeur maximale.
On peut ne tenir compte que des largeurs de membrures justes nécessaires pour justifier la résistance
de la poutre sous sollicitations ultimes vis-à-vis de la flexion pour calculer les armatures de glissement
table/nervure.
Il est possible de concentrer les armatures longitudinales du 9.2.1.2 (2) dans l’âme. Lorsque une partie
de ces armatures est en dehors de l’âme, il est nécessaire d’assurer leur couture.
Longueur des poteaux
21/09/2010
21/09/2010
21/09/2010
21/09/2010
1032 32 7.4.2 (2) et
Tableau 7.4NF
1035
1033 33 6.2.1 (8) , 6.2.3 (8)
et 6.2.3 (5)
30/03/2011
21/09/2010
1031 31 8.6 (2) et 8.6 (5) 30/03/201121/09/2010
21/09/2010
35 5.8.3.2 (3)
1034 34 5.3.2.1 et 9.2.1.2
(2)
21/09/2010
e = e2.cos0L2
L.
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11/12/20086.2.5 (1) 09/12/20101a1001
e = e2.cos0L2
L.
Réponse : La longueur l dite hauteur libre du 5.8.3.2 (3) s'entend entre dessus de dalle inférieure et
sous-face de dalle supérieure si les éléments s'opposant au flambement dans le sens considéré sont
des dalles, sinon entre dessus de plancher inférieur et sous-face de poutre du plancher supérieur.
21/09/20101035 21/09/201035 5.8.3.2 (3)
e = e2.cos0L2
L.
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11/12/20086.2.5 (1) 09/12/20101a1001
e = e2.cos0L2
L.
Longueur de flambement
Réponse : Les formules (5.15) et (5.16), qui ne concernent que les éléments isolés ou pouvant être
considérés isolés (cf. définitions du 5.8.1) servent en particulier à déterminer l’élancement du (5.14),
et de le comparer à llim du 5.8.3.1 (cette comparaison est appelée le critère d’élancement).
Pour les éléments qui ne peuvent être considérés comme des éléments isolés mais participant à la
stabilité comme élément constitutif d'un portique de contreventement, il convient de mener l’analyse
selon la méthode générale visée en 5.8.5 et décrite en 5.8.6.
Recouvrement des barres dans une dalle
Réponse : Il n'est pas réaliste d'inverser les lits au droit du recouvrement (les aciers de 1er lit qui dans
une autre zone devraient être des aciers du 2e lit).
Une solution plus classique consiste à ne pas faire de recouvrement (barres en tiroir) et cela doit
pouvoir être retenu dans de nombreux cas compte tenu de la longueur commerciale des barres (qui est
de 12 m couramment). Une autre solution consiste à prévoir un lit local de barres de recouvrement.
Ancrage par barres transversales soudées (formules 8.8N et 8.9)
Réponse : Ce sujet est résolu car les deux formules s'appliquent à des cas différents et les conditions
de soudure sur ces diamètres différents expliquent la non continuité.
Bétonnage correct pour ancrage des chapeaux
Réponse : SUJET traité au SUJET 012.
EQU dans le cas d'une nappe d'eau - Révision de l'EC0 et du DTU 14-1
Réponse : La pression d'Archimède ne peut pas être affectée d'un coefficient multiplicateur autre que
celui de la densité de l'eau . Il faut définir le niveau d'eau EE avec le niveau de sécurité requis.
Zone de SUSPENTES selon EC2-1-1 (figure 9.7)
Réponse : La figure 9.7 définit le volume maximal à l'intérieur duquel les aciers de transmission des
charges de la poutre portée à la poutre porteuse doivent se trouver. Ce volume est à adapter en fonction
du schéma de transmission des charges.
La figure 9.7 concerne uniquement les nœuds de poutres entièrement coulées en place.
Flexion composée avec traction (formule 6.11)
16/02/201040
1036
9.2.5 (2)3041 41
1042
4040 30/03/2010
36 5.8.3.2 (3) 06/05/201115/03/2011
15/03/2011
30/03/2011
1037 37 8.7.4.1 (3) 15/03/2011
1038 38 8.6 15/03/2011
1039 39 10/05/201010/05/2010
30/03/2011
6.2.3 (3) 30/03/2011 16/09/201142
30/03/2011
e = e2.cos0L2
L.
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11/12/20086.2.5 (1) 09/12/20101a1001
e = e2.cos0L2
L.
Réponse : Dès lors que la contrainte de traction est forte (supérieure à fctm), il n'existe plus de schéma
crédible sur la base du béton armé. Par contre, un schéma basé sur un fonctionnement en treillis simple
avec membrures tendues en haut et en bas montant tendu et diagonale comprimée en béton est
statiquement viable :
Point 1 – on retient un treillis simple avec diagonale comprimée proche de 45°.
- distance entre les membrures z (on peut prendre égal à 0,9 d)
- distance entre les files de cadres, étriers = 0,75 d
Point 2 – la bielle peut avoir comme largeur celle bw de la poutre
Point 3 – la largeur des membrures dans le plan est de 3 Φ
Point 4 – la largeur des montants dans le plan est de 2 Φ au delà de la largeur hors tout des cadres
(soit, lorsqu’il n’y a qu’une seule file Φ, ce qui fait alors une largeur totale de 3 Φ) ou des files de cadres
groupées (soit3 Φ en cas de 2 files, ce qui fait alors une largeur totale de 5 Φ). Soit en général k Φ.
Point 5 – La largeur de la diagonale se déduit des deux droites de pente égale à celle de la diagonale
passant par les deux angles du rectangle du nœud,
à savoir 3 Φ membrure x k Φ montant
Point 6 - Vérification de la contrainte locale dans la bielle comprimée
On applique la règle EC2-1-1 de la figure 6.28 donnant la contrainte à respecter sur la section droite de la
diagonale, soit section,(soit bw ldiag ). Compte tenu de l’AN, la limite max à respecter est : 0,9.(1- fck /
250) fcd en MPa (AN § 6.5.4(4)c)
Remarque : Le schéma précédent n’est pas compatible avec la solution de cadres en spirale. Cette
solution est par ailleurs déconseillée en zone sismique.
Remarque : On peut retenir ce schéma si la traction max est inférieure à fctm.
Ecrêtage des moments dans le cas d'appuis de grande largeur (h < t) pour lesquels la portée est définie
par l'équation 5.8.
1042
5.3.2.2 30/03/2011 30/03/2011
6.2.3 (3) 30/03/2011 16/09/201142
1043 43
e = e2.cos0L2
L.
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11/12/20086.2.5 (1) 09/12/20101a1001
e = e2.cos0L2
L.
Réponse : Lorsque h (hauteur de la poutre) est inférieur à t (profondeur de l'appui), on remplace l'appui
par deux appuis fictifs de largeur h/2 séparés par une partie inerte de largeur (t-h).
- Dans le cas d'appuis non monolithes (par exemple : appuis sur maçonnerie) le calcul est à faire à la
limite intérieure de chacune des deux zones fictives de profondeur h/2. Dans l'application de la formule
5.9, il faut remplacer t par h.
- Dans le cas des jonctions monolithes l'écrêtage sur appui se fait sur la base du schéma précédent ce
qui est sans incidence sur les moments aux nus retenus pour les calculs.
Longueur d'ancrage des armatures de précontraintes dépassant des prédalles 30/03/2011 06/05/201144
5.3.2.2 30/03/2011 30/03/2011
1044 8.4.4 et 8.10.2.3
1043 43
e = e2.cos0L2
L.
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11/12/20086.2.5 (1) 09/12/20101a1001
e = e2.cos0L2
L.
Réponse : Pour la longueur d’ancrage des armatures de précontrainte qui dépassent d'une prédalle qui
ne sont pas traitées par l'Eurocode 2, les formules (8.4) à (8.7) de l’EC2-1-1 peuvent s'appliquer. Ces
longueurs d’ancrages peuvent être réduites de 30% au plus, sur la base d’essais probants qui ont été
présentés par le CERIB (référence rapport CERIB numéro 245 i "Ancrages des armatures de
précontraintes dépassant sur appuis"). Le groupe de suivi de l'EC2-1-1 ne voit pas d'objection
technique à ce que le DTU 23-4 tienne compte de cette observation.
Semelles sur 3 pieux : répartition des armatures entre les côtés et les médianes
Réponse : La phrase après les deux formules signifie qu'on fait le calcul :
Pour les côtés : k.NEd
Pour les médianes : (1-k).NEd
avec 0,67 ≤ k ≤ 1
A l'occasion de la révision des recommandations professionnelles, l'attention sera attirée sur la
nécessité d'ancrer convenablement les barres principales des semelles sur pieux.
Effort tranchant utilisé pour le calcul des cadres
Intitulé : Doit-on tenir compte de la transmission directe des charges aux appuis pour vérifier VRdmax ?
Réponse :
Prise en compte des charges en partie haute près des appuis
L’EC2-1-1 admet que tout se passe comme si les charges appliquées en partie haute sur la longueur 2d
se transmettent à l’appui par l’intervention simultanée de 2 schémas ci-après :
La figure de droite envisage le cas d’une seule charge P (située à l’abscisse a) pour laquelle on
représente deux schémas, à savoir celui de transmission directe à l’appui par une bielle (en pointillé) et
celui de transmission vers le bas de la poutre par des bielles rayonnantes (bielle moyenne arrivant à 0,5
a et largeur de diffusion de 0,75 a). Ces bielles sont remontées en haut du prisme d’appui par des aciers
transversaux constituant des montants (inclinés de l’angle α2 qui peut être choisi) pour redescendre
sur l’appui par des bielles rayonnantes.
16/09/2011
30/03/2011 06/05/201144
4045 06/05/2011
1044 8.4.4 et 8.10.2.3
46
45 9.8.1.b des
recommandations
professionnelles
30/03/2011
6.2.3 (8), 6.2.3 (5)
et 6.2.1 (8)
30/03/20111046
e = e2.cos0L2
L.
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e = e2.cos0L2
L.
Les membrures (haute et basse) sont soumises aux efforts découlant de ces deux schémas.
La charge P se répartit en la quote-part, soit 0,25 P si a est inférieur à 0,5 d et a. P / 2d si a est compris
entre 0,5 d et 2 d, qui correspond au schéma des bielles rayonnantes et le complément qui correspond au
schéma de transmission directe.
La figure de gauche représente le cas le plus général d’un prisme d’appui chargé en partie haute, le
chargement étant alors assimilé à 4 charges P1, P2, P3 et P4 respectivement appliquées à 0,5d, d, 1,5d et
2d. Comme vu dans la figure de droite, la charge P4 se transmet uniquement par le schéma de bielles
rayonnantes.
La courbe enveloppe de l’effort tranchant résultant des calculs des sollicitations est donc à rectifier
ensuite pour en retirer la quote-part de charges qui est réputée passer par transmission directe aux
appuis.
Calcul et disposition des aciers d’effort tranchant
Dans le cas de charges localisées en partie haute près d’un appui (distance 2d vue auparavant), on
procède comme suit : Après avoir choisi les angles et θ, on définit la courbe enveloppe
de l'effort tranchant en tenant compte de toutes les charges y compris celles localisées
en partie haute entre 0 et 2d. Un premier ferraillage dans la zone 0 à 2d correspond à l'effort
tranchant dans la section située à l'abscisse 2d. On ajoute ensuite à ce ferraillage le complément
d’aciers transversaux tels que vus plus avant dans les schémas correspondants aux charges P1,
P2, P3 et P4, compte tenu du choix effectué pour l’angle 2. On doit naturellement respecter
pour chacun de ces compléments la largeur de la zone dans laquelle il doit se situer.Retrait des clavetages (article 6.2.5 (4))
16/09/20116.2.3 (8), 6.2.3 (5)
et 6.2.1 (8)
30/03/2011
6.2.5 (4) 30/03/20111047 47 14/06/2011
e = e2.cos0L2
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e = e2.cos0L2
L.
Réponse : Réponse : Dans le cas des murs avec peaux préfabriquées, on suit la procédure d'Avis
technique du CSTB qui traite de ce sujet.
Les autres cas de retrait dans les clavetages entre pièces préfabriquées et/ou coulées en place sont à
traiter au cas pas cas.
Prise en compte des imperfections géométriques dans les contreventements par murs et/ou noyaux
selon l'article 5.2 et du flambement généralisé de la structure selon l'article 5.8.2.
Réponse : Les excentricités s'appliquent à toute structure mais elles ne devraient avoir d'incidence
notable que pour les portiques de stabilité et leur incidence dans des contreventements par murs et/ou
noyaux est le plus souvent négligeable, ce qui ne dispense pas de faire la justification au second ordre
de l'ensemble de la structure (cf 5.8.2).
EC2-3 - fissuration des réservoirs
Réponse :
Cisaillement des dalles à Prédalles
Réponse :
Contour de Poinçonnement des semelles en flexion composée (application formule 6.51)
Réponse : Il faut utiliser le contour partiel de la figure 6.20 a) limité par la zone comprimée sur le sol, la
partie non en contact avec le sol étant supposée ne pas exister, et l'équation (6.44).
Formule de cisaillement des sections circulaires
Réponse : la règle générale consiste à faire l'étude des contraintes normales en flexion composée
(béton tendu négligé) pour en déduire les axes principaux. Suivant l'axe principal de flexion, on trace la
distribution des cisaillements et la largeur minimale est celle où le cisaillement est maximum (en
général au nu intérieur de la (ou des) barre(s )tendue(s)).
Pour simplifier, on peut prendre bw = 0,7 Φ dès lors qu'il y a au moins 6 barres.
Avis sur la norme constituant annexe nationale de l'EN1997 (P94 262) sur les fondations profondes
Réponse :
- On peut réaliser des pieux non armé à compression centrée.
- Concernant le calcul des pieux tendus :
1°) si la traction dans les pieux est due à une combinaison d'action accidentelle, aucune vérification
d'ouverture de fissure n'est à faire.
2°) seulement si la traction est due à une combinaison quasi permanente, cette vérification est à faire.
Dans ce cas, puisque l'EC2-2 le permet, une vérification sans calcul avec le texte de l'EC2-2 est
possible. Il ne faut tout de même pas exclure la possibilité de faire le calcul complet de largeur de
fissure qui est extrêmement simple.
3°) pour le calcul des pieux tendus au delà de fctm, il y a lieu de se rapporter au sujet 42.
Le sujet est en principe réglé sous réserve que la norme après enquête publique ait bien conservé les
positions exprimées par le groupe.
14/06/2011
6.4.4 (2) 14/06/2011 14/06/2011
14/06/2011
1049 49
1050 50
1051 51
1052 52
16/09/20114053 53 - 16/09/2011
30/03/20111048 48
6.2.5 (4) 30/03/2011
5.2 et 5.8.2 30/03/2011
1047 47 14/06/2011
e = e2.cos0L2
L.
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CLASSEMENT des SUJETS et POSITIONS prise pour l'EC2- ETAT au 2011-09-16
Classe n° TITRERéférence
de l'EC2-1-1Finalisé le
Dernière mise
à jour
11/12/20086.2.5 (1) 09/12/20101a1001
e = e2.cos0L2
L.
EC2-1-2 FEU – section 5.6 Poutres
Intitulé :
Réponse : Il y a une erreur de traduction (remplacer deux fois supérieur par inférieur ou égal), qui a été
transmise à l'AFNOR.
4055 55 Evolution du Fascicule 74
4056 56 Poteau précontraint au flambement
57 Inclinaison des bielles sous sollicitation de flexion composée avec traction
Réponse : La contrainte σct peut être prise égale à NEd/Ac avec NEd effort de traction à l'ELU et Ac l'aire
de la section droite du béton. La référence au centre de gravité n'est donc plus nécessaire.
Rappel :
- si σct < fctm, on applique la clause 6.2.3 (2) NOTE de l'annexe nationale.
- si σct > fctm, on applique la méthode développée au sujet 42. Cette méthode peut également s'appliquer
au cas où σct < fctm.
58 Modèle bielles-tirants - question sur la figure 6.25 b)
Réponse : Dans l'attente de l'évolution de l'EN1992 1-1 :
Retenir les conclusions de l'article du Betonkalender rappelée ci-dessus et la formule rectifiée suivante
:
59 Calcul de la redistribution – coefficient du § 5.5 (4)
Réponse : L'application de l'Eurocode 2 ne pose pas de problème particulier. Il existe notamment
plusieurs méthodes d'approche au choix du projeteur.
2054 54 30/03/20115.6.1 (8) 06/05/2011
6.2.3 (2) de l'AN
6.2.3 (3)
16/09/2011 16/09/2011
6.5.3 16/09/2011 16/09/2011
5.5 (4) 16/09/2011 16/09/2011
e = e2.cos0L2
L.
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Classe n° TITRERéférence
de l'EC2-1-1Finalisé le
Dernière mise
à jour
11/12/20086.2.5 (1) 09/12/20101a1001
e = e2.cos0L2
L.
60 Réduction de l’ancrage des barres (Clauses 8.4(8.5) et 8.6)
Réponse : voir sujet 31. On rappelle qu'il n'y a pas cumul.
61 Calcul des aciers d’effort tranchant en about de poutre
Réponse : voir sujet 46
62 Les cadres confinent-ils la zone comprimée d’une poutre ?
Réponse : Les cadres conçus pour l'effort tranchant ne peuvent en aucun cas confiner la zone
comprimée d'un poutre3063 63 Poutres continues
1064 64 Vérification des rotules plastiques 5.6.2 et 5.6.3
3065 65 Calcul pratique de la redistribution des moments dans les dalles 9.3.1.2
1066 66 Coefficient de fluage pour le calcul ELU au second ordre 5.8.6 (4)
Barres réparties de la clause 9.8.1 (3)
Intitulé : Demande d’explication sur la désignation des "barres réparties" de la Clause 9.8.1(3)
1068 68 Ancrage des aciers sur appui intermédiaire
1069 69 EC2-1-2 – Prise en compte de la température dans le calcul des murs
Intitulé :
Réponse :
1070 70 EC2-1-2 – Vérification de l’adhérence des armatures
Intitulé :
Réponse :
Pour les aciers de béton armé, la justification est donnée dans le Code Model en 7.5.1.2.2 :
"Bond strength between concrete and steel has been shown to reduce with temperature, at a rate more
similar to the reduction of the tensile strength of concrete than that of the compressive strength.
Experience has yet very rarely produced evidence of failures by debonding in reinforced concrete
structures."
Pour les aciers de béton précontraint, le document remis par le CERIB le 14 juin 2011 reproduit ci-
dessus donne la conclusion suivante :
La courbe d'évolution de la résistance d'adhérence en fonction de la température est au dessus de la
courbe de la résistance des armatures de béton précontraint pour des températures situées entre 150 et
600°C. Cela signifie donc que la contrainte d'adhérence pour une température donnée diminue moins
que la résistance des armatures de béton précontraint par rapport aux résistances à 20°C.
En conclusion, la justification de contrainte d'adhérence des armatures n'a jamais lieu d'être effectuée à
l'occasion de la justification au feu.
1071 71 Effort tranchant dans les sections en flexion composée avec traction prédominante
Réponse : voir sujet 42
1067 67
14/06/2011 14/06/2011
9.8.1 (3)
6.2
16/09/2011 16/09/2011
8.4(8.5) et 8.6 16/09/2011 16/09/2011
6.2.3 (8), 6.2.3 (5)
et 6.2.1 (8)
16/09/2011 16/09/2011
e = e2.cos0L2
L.
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e = e2.cos0L2
L.
1072 72 Diffusion des Efforts – article 6.5.3
Intitulé :
Réponse :
1073 73 Exposition saline et fissuration des balcons de bâtiment
Intitulé : Doit-on calculer les balcon en bord de mer à la fissuration ?
Réponse :
1074 74 Articulations Freyssinet
Intitulé :
Réponse :
1075 75
6.5.3
e = e2.cos0L2
L.
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