Discours du Secours d'Hiver - 3 octobre 1941 (rare)

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    Discoursprononc pour louverture

    du Secours dhiver de guerre

    par Adolf Hitler

    Ber l in , 3 oc tobre 1941

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    Ceux qui trouvent sans chercher, sont ceux qui ont longtemps cherch sans trouUn serviteur inutile, parmi les autres.

    Dcembre 2009

    Scan, ORC, Mise en page

    L E N C U L U S

    Pour la Librairie Excommunie Numrique des CU rieux de Lire les USuels

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    Les remerciements du Fhrer au Front et au Pays

    A a uv r ur S h g

    l F h r e r

    P S B

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    Allemands et Allemandes, mes compatriotes !

    Si je madresse vous de nouveau aujourdhui, aprs de longs mois de silence, ce nest pde rpondre lun de ces hommes dEtat qui se demandaient rcemment avec surprise pourqume taisais depuis si longtemps. Un jour la postrit pourra juger en toute connaissance de caudcider ce qui a eu le plus de poids durant ces trois mois et demi :les discours tenus par Churchillou mes actes.

    Je suis venu ici aujourdhui pour prononcer comme de coutume quelques mots dintroduc la campagne du Secours dhiver. Il ma, du reste, t trs di cile de venir, cette ois, parclheure o je vous parle sachve une nouvelle opration entame sur notre ront de lEst et qconstituer un vnement ormidable.

    Depuis 48 heures cette action a pris des proportions gigantesques. Elle contribuera cra-ser ladversaire lEst.

    Je vous parle maintenant au nom de ces millions dhommes qui combattent en ce momentde vous demander vous, au pays allemand, de consentir cette anne encore, en plus de touautres sacri ces, ceux quimpose luvre du Secours dhiver.

    Depuis le 22 juin une lutte est dchane, qui est vraiment dune importance dcisive poumonde entier. Seule la postrit pourra discerner nettement quels urent lampleur et les e ecet vnement. Elle constatera aussi quil est la base dune re nouvelle.

    Mais cette lutte non plus, je ne lai pas voulue.

    Depuis janvier 1933, date o la Providence ma con la conduite et la direction du Re jenvisageais un but d ni dans ses grandes lignes par le programme du Parti national-socialinai jamais t in dle ce but, jamais je nai abandonn mon programme. Je me suis alors doprer le redressement intrieur dun peuple qui, aprs une guerre perdue par sa propre avait subi la chute la plus pro onde de toute son histoire. Ctait dj, en soi, une tche gigant Jai commenc raliser cette, tche un moment o les autres y avaient chou ou ne croyplus la possibilit de raliser un tel programme.

    Ce que nous avons accompli pendant ces annes de paci que redressement, reste unique dles annales de lhistoire. Aussi est-il vraiment o ensant, souvent, pour mes collaborateurs et moi de devoir nous occuper de ces nullits dmocratiques qui ne sauraient se r rer dans toupass une seule oeuvre vraiment grande et qui asse date dans leur vie.

    Mes collaborateurs et moi nous naurions pas eu besoin de cette guerre pour immortaliser nnom. Les uvres accomplies en temps de paix y auraient su et mme amplement. Du reste nnavionspas encore achev notre uvre cratrice dans maint domaine nous ne aisions mime quecommencer.

    Ainsi lassainissement intrieur du Reich avait donc dans les conditions les plus di cilese et, il aut en Allemagne nourrir 140 personnes par kilomtre carr. La tche est plus acil

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    le reste du monde. Et cependant nous avons pu rsoudre nos problmes, alors quen grande ple monde dmocratique na russi le aire.

    Les buts que nous poursuivions taient les suivants :

    Premirement, consolider intrieurement la nation allemande ;Deuximement, obtenir lextrieur lgalit des droits ;Troisimement, unir le peuple allemand et rtablir ainsi une situation naturelle, arti cielement interrompue pendant des sicles.

    Ainsi, mes compatriotes, notre programme extrieur lui-mme se trouvait donc x ds le pcipe, les mesures ncessaires pour sa ralisation taient pralablement d nies. Cela nimplnullement que nous eussions jamais lide de aire la guerre. Mais une chose tait certaine, cnous ne renoncions en aucun cas ni au rtablissement de la libert allemande, ni, par suite,

    conditions do sortirait le nouvel essor du pays.En poursuivant la ralisation de ces ides Jai soumis au monde un trs grand nombre. de gestions. Inutile de les rpter ici, mes collaborateurs les mentionnent chaque jour dans leur acde publicistes. Si nombreuses quaient t ces o res de paix, propositions de dsarmement, prsitions en vue damener par une voie paci que un nouvel ordre conomique national etc., toutesces propositions ont t rejetes par ceux auxquels je les avais aites et notamment par ceumani estement, ne croyaient pas pouvoir accomplir leurs propres tches en poursuivant une paci que ou, plus exactement, qui ne croyaient pouvoir ainsi maintenir leur rgime au pouv

    Nanmoins nous avons russipeu peu, au cours de longues annes de travail pacifque, nonseulement raliser la grande uvre de r orme intrieure, mais encore organiser lunion denation allemande, crer le Reich grand-allemand, ramener des millions de concitoyens mands au sein de leur vraie patrie et, par suite, o rir au peuple allemand le poids de leur nomcomme acteur de puissance politique.

    Durant ce temps jai russi acqurir un certain nombre dallis, en premire ligne lItalietroite et pro onde amiti munit personnellement lhomme dtat qui la dirige.

    Avec le japon galement nos relations nont cess de samliorer. En outre, nous avions enrope une srie de peuples et dEtats qui nous avaient toujours conserv une inaltrable et bveillante sympathie, notamment la Hongrie et quelques Etats nordiques. A ces peuples dautrsont joints, mais malheureusement, point ce peuple que jai le plus sollicit durant ma vie: le panglais. Non que ce soit le peuple anglais lui-mme dans son ensemble qui porte lui seul laponsabilit de cette situation. Non, ce ne sont que quelques personnes qui, dans leur haine avedans leur olie obstine, ont sabot toute tentative dentente, secondes en cela par cet enneminational du monde entier, que nous connaissons tous, la juiverie internationale.

    Nous navions donc malheureusement pas russi amener la Grande-Bretagne, et surtoupeuple anglais, ces relations avec lAllemagne que javais toujours espres. Cest pourquotement comme cela sest pass en 1914, le jour arriva o il allut prendre une dure dcision. certes pas hsit la prendre, car je voyais clairement que si je ne pouvais russir obtenir l

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    anglaise, il valait mieux que lhostilit de lAngleterre atteignt lAllemagne un moment otrouvais encore la tte du Reich. En e et, si cette amiti navait pu tre obtenue par mes mespar mes avances, ctait donc quelle tait jamaisperdue ; i l ne restait donc plus qu combattre,et suis reconnaissant au Destin du ait que cette lutte ait pu tre dirige par moi.

    Je suis donc galement convaincu quil ny a rellement aucune entente esprer avec cesl. Ce sont des ous dlirants, des gens qui depuis dix ans dj nont quun seul mot la boNous voulons de nouveau une guerre contre lAllemagne !

    En e et, durant toutes les annes pendant lesquelles Je me suis e orc damener tout prixentente, M. Churchill na jamais ait que rpter : Je veux avoir ma Guerre !

    Il la maintenant, cette guerre !et tous ses co- auteurs qui, comme lui, excitaient la guerre etne trouvaient rien dautre dire que : Nous aurons une guerre charmante et qui, ds le 1er sep-tembre 1939, se licitaient mutuellement de voir venir cette charmante guerre, ils auront, temps, sans doute chang dide sur les charmes quelle prsente.

    Et ils ne savent pas encore que cette guerre na rien de charmant pour lAngleterre, ils nipar sen apercevoir avec le temps aussi srement que je vous parle ici.

    Ces auteurs de guerre non seulement dans lancien monde, mais dans le nouveau ont r aire marcher la Pologne. Ils ont su avec ruse la persuader que, premirement, lAllemagnepas ce quelle prtendait deuximement, on avait la garantie dobtenir en tout cas laide nceCtait lpoque o lAngleterre nallait pas encore mendier aide et assistance dans le monde mis o elle o rait encore gnreusement son appui. Depuis lors, ma situation a bien chang !

    Nous nentendons plus dire maintenant que lAngleterre mne la guerre un tat en lui pmettant de laider, mais nous lentendons mendier dans le monde entier pour quon lui vienelle-mme en aide.

    Jai ait alors la Pologne des propositions dont il aut dire maintenant que les vnemont, contre notre volont, pris un autre cours que cest videmment la Providence, la toute-psante Providence qui a empch alors que mon o re t accepte. Elle savait pourquoi cela nepas tre, et maintenant, moi aussi, je le sais, nous le savons tous.

    Cette conjuration de dmocrates de Jui s et de rancs-maons a donc russi, il y a deux prcipiter dabord lEurope dans la guerre. Les armes devaient dcider.

    Depuis lors se droule une lutte entre la vrit et le mensonge. Et comme toujours, cette lse terminera par la victoire de la vrit. En dautres termes :la propagande britannique, la juive-rie internationale et leurs complices les dmocraties, auront beau entasser les mensonges, ellchangeront rien aux aits historiques. Et cest un ait historique que les Anglais ne sont pas enmagne, que les autres Etats nont pas conquis Berlin, quils nont avanc ni louest ni lEst

    La vrit historique est que,depuis deux ans dj, lAllemagne a cras un adversaire aprs lautre

    Cela, je ne lai pas voulu. Aprs la premire phase de la passe darmes, le leur ai aussitt de nouveau la main. Jai moi-mme t soldat et je sais le prix que cotent les victoires, com

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    de sang, de misres, de dsolation, de privations et de sacri ces elles comportent. On a repoplus brusquement encore ma main et, depuis lors, nous avons su que chaque o re de paix depart servait immdiatement de prtexte au auteur de guerre Churchill et ses satellites pouclarer aux peuples dups que ctait l une preuve de la aiblesse allemande. Une preuve qu

    ne pouvions plus combattre et tions la veille de capituler. Jai donc renonc essayer de nodemprunter cette voie.

    Jai fni par me convaincre quil allait amener une dcision bien nette, et une dcision pourlhistoire universelle des prochaines, cent annes.

    Me orant toujours de restreindre ltendue de la guerre, je me suis rsolu en 1939 unemarche qui, vous surtout, mes vieux camarades du Parti, a sembl, je dirai presque, la plus chumiliation que jai d subir. Alors jai envoy mon ministre Moscou. Il me allait surmontpropres sentiments et ce ut trs amer mais lorsquil y va du bien de millions dindividus, cpas aux sentiments dcider. Jai essay darriver l une entente. Vous savez vous-mmes

    que quiconque quel point jai loyalement et Sincrement tenu mes engagements. Notre prna plus crit un mot contre la Russie,plus un mot na t prononc dans nos runions contre lebolchevisme.

    Malheureusement, et ds le dbut, lautre partie na pas respect les accords. La consquences machinations ut une trahison qui dabord liquida tout le nord-est de lEurope. Vous savezce que cela nous a cot de devoir assister sans mot dire ltranglement du petit peuple nlaPourtant je me suis tu. A quel point nous avons t a ects par les violences aites aux Etattes, seul celui-l le comprendra qui connat lhistoire allemande, qui sait que dans ces pays ltrouverait pas un kilomtre carr qui nait t ouvert la culture et la civilisation humaine ptravaux de pionniers allemands.

    Et cependant, l encore je me suis tu. Ce nest que lorsque Jai senti plus vivement, de semen semaine, que la Russie sovitique voyait lheure venue pour elle de se dresser contre nousque 22 divisionssovitiques se trouvrent concentres notre rontire, alors que nous avions peine trois divisions en Prusse orientale, Lorsque jeus reu, peu peu, des preuves dmontrannotre rontire les crations darodromes se succdaient, que dans limmense empire soviles divisions se concentraient les unes aprs les autres nos rontires, que je me sentis moi-inquiet.

    Lhistoire, en e et na pas dexcuse pour ceux qui nont pas su prvoir et dclarent aprs c je ne lavais pas remarqu, ou : je ny avais pas cru. Me trouvant la tte du Reich allemandsens responsable des destins du peuple allemand, de son existence, deson prsent et,autant que possible, aussi de son avenir.

    Je us donc oblig de prendre des contre-mesures. Elles taient de nature purement d eTout de mme une constatation put tre aite ds les mois daot et de septembre de lannenire, une action contre lAngleterre qui aurait surtout retenu lOuest toute la fotte arienallemande, ntait plus possible, car nous avions dans le dos un Etat qui se prparait chaquedavantage se lancer contre le Reich un pareil moment.

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    Mais nous navons compris toute lampleur de ces prparati s que dans ces derniers tempsA cette poque je voulus encore une ois claircir tout le problme, et cet e et jinvitai M

    venir Berlin. Il me posa les quatre conditions que vous connaissez.

    Primo : LAllemagne devait permettre d nitivement que IU.R.S.S., se sentant de nouvemenace par la Finlande, en vnt une liquidation avec cette dernire. je ne pouvais aire autrque de re user lapprobation demande.

    La deuxime question concernait la Roumanie. Ctait la question de savoir. si la garantie allmande protgerait galement la Roumanie contre lU.R.S.S. L encore je devais men tenir role que lavais donne. je ne regrette pas ce que jai ait, car jai trouv en Roumanie, dans leAntonescoe, un homme dhonneur qui, lui-aussi, a tenu inconditionnellement sa parole.

    La troisime question concernait la Bulgarie. Molotov exigeait que lU.R.S.S. et le droit dplacer des garnisons en Bulgarie, a n que la Russie exert sur cet Etat un droit de garantieque cela signi e, lexemple de lEstonie, de la Lettonie et de la Lithuanie nous lavait su sam

    appris. Sur ce point, je pus allguer que loctroi dune telle garantit tait conditionn par le correspondant de lEtat en question. Or je navais pas connaissance dun tel dsir. Je devaistoutdabord prendre mes renseignements et consulter mes allis .

    La quatrime question avait trait aux Dardanelles. LaRussie revendiquait des bases sur lesDardanelles. Que Molotov essaie aujourdhui de nier ce ait, il ne aut pas sen tonner outrere. Sil quittait Moscou demain ou aprs-demain, il nierait probablement le ait quil ny est p

    En tout cas, il a pos ces revendications et je les ai repousses.

    Je ne pouvais agir autrement, et je neus plus de doute que la plus grande prudence simpdsormais. Jai observ depuis, avec la plus grande attention, ce qui se passait en Russie soviNous avons pris soigneusement note de toute division dont nous constations le dplacementnous avons pris les mesures qui simposaient, obissant en cela notre devoir. Au mois de msituation tait devenue telle quil tait hors de doute que la Russie avait lintention de nous atta la premire occasion. Vers la n du mois de mai, ces symptmes samoncelrent de telle sorlon ne pouvait plus carter lide de la menace dune lutte mort.

    Je dus alors garder obstinment le silence, ce qui me ut doublement pnible. Ce silencemoins di cile lgard de la patrie, car elle doit comprendre en n quil y a des moments one peut pas parler, si lon ne veut pas mettre toute la nation en danger, mais ctait beaucoupdi cile cause de mes soldats, qui occupaient, division par division, la rontire de lest du sans savoir ce qui se passait, sans se douter du changement qui stait opr entre-temps et qu

    audrait peut-tre un jour engager une lutte di cile, la plus di cile de tous les temps.Et cest prcisment cause deux que je ne devais pas parier, car si javais prononc une

    parole, cela naurait certes rien chang la dcision de Monsieur Staline, mais le et de la suma dernire arme, aurait t perdu. Toute annonce prmature, toute allusion mme, aurait cola vit des centaines de milliers de nos camarades.

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    Et cest encore pour cette raisonque jai aussi gardle silence le jour o je me suisdfnitive-ment dcid aire le premier pas. Car, lorsque je vois un adversaire me mettre en joue, je nattenpas quil tire, niais je pr re presser le premier la gchette. Ce ut, je puis bien le dire aujoula dcision la plus pnible de toute ma vie. Un tel pas, en e et, ouvre une porte qui ne recl

    des secrets, et les gnrations postrieures seront les seules savoir comment cela sest prodce qui est arriv.On ne peut que, dans son or intrieur, se mettre en rgle avec sa conscience, en sen reme

    son peuple, aux armes que lon a soi-mme orges, et en n, comme je lai dj dit si souvele Seigneur de bnir celui qui est prt et dcid engager une lutte sacre, toutes de sacri ceson existence.

    Cest le 22 juin au matin que sest dclenche la plus grande bataille de lhistoire mondTrois mois et demi environ se sont couls depuis et je puis aujourdhui, devant vous, aireconstatation :

    Tout sest droul jusquici selon les plans tablis !

    Quelles que soient les surprises que le soldat ou la troupe ont peut-tre rencontres, le comandement ne sest pas laiss ravir, une seconde, la direction des oprations. Au contraire: juce jour, chaque action sest droule avec la mme prcision que jadis lest, contre la Poensuite contre la Norvge, en n dans louest et dans les Balkans. Une autre constatation simNous ne nous sommes tromps ni sur lexactitude des plans ni sur la valeur et la bravoure unhistorique mme du soldat allemand nous ne nous sommes pas tromps non plus sur la quade nos armes !

    Nous ne nous sommes pas tromps non plus sur ladmirable onctionnement de toute no

    organisation du ront, sur ladomination des immenses espaces de larrire, pas plus que sur lat-titude de la patrie allemande.Nous nous sommes toute ois tromps sur un point :nous tions loin de croire que les prpa-

    rati s de ces adversaires contre lAllemagne et lEurope taient si gigantesques, que le dangerincommensurable que nous avions t si prs cette ois de la destruction non seulement de lmagne, mais aussi de lEurope entire. Cela, je puis le dire aujourdhui.

    Je le dis aujourdhui parce que je suis en droit da rmer que cet adversaire est bris et quse relvera plus !

    Une puissance stait ici rassemble contre lEurope, puissance dont beaucoup malheurement ne souponnaient pas la orce et dont beaucoup aujourdhui encore, ne se ont aucune

    Cet t une seconde invasion des Mongols sous un nouveau Gengis Khan.Si ce danger a t cart, nous le devons dabord la bravoure, la rsistance et lesprit

    cri ce de nos soldats allemands, ainsi quau sacri ce de tous ceux qui marchent avec nous. Caois, peut-on dire, lheure du rveil a sonn par tout le continent.

    Au nord combat la Finlande un vrai peuple de hros !dans ses vastes espaces, elle est sou-vent toute seule, ne pouvant compter que sur sa propre orce, sur son courage, sa bravoure capacits de rsistance.

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    Au sud, la Roumanie. Elle sest releve avec une rapidit tonnante, sous la direction dun me aussi brave que dcid, dune crise comptant parmi les plus graves qui puissent assaillpeuple et un pays. Nous avons ainsi une ide de toute ltendue de ce thtre doprations, qude la Mer Blanche la Mer Noire. Cest dans ces espaces que combattent nos soldats allem

    et, parmi eux et avec eux, des Italiens, les Finnois, les Hongrois, les Roumains, les SlovaquesCroates se dirigent vers le ront, des Espagnols se jettent aujourdhui dans la mle. DesBelges,desHollandais , des Danois, des Norvgiens et mme des Franais sont venus se joindre ce va

    ront ou y seront bientt. Vous connaissez dj, dans les grandes lignes, le droulement de phase unique de lhistoire.

    Trois groupes darmes allemandes ont t mis en ligne. Lun avait la mission den oncer lieu du ront, lune des deux ailes devait avancer sur Lningrad et lautre occuper lUkrainelessentiel, ces premires tches sont accomplies.

    Les adversaires ont dit souvent, dans cette priode de combats prodigieux et uniques dans ltoire : Pourquoi ne se passe-t-il rien ? Eh bien !il sest toujours pass quelque chose !et cest

    justement parcequil se passait quelque chose que nous ne pouvions pas parler !Si jtais actuellement Premier Ministre anglais, peut-tre parlerais-je aussi jet cont puisquil ne se passe rien l-bas. Voil la di rence !mes compatriotes, il aut que je dise ceciaujourdhui devant le peuple allemand tout entier :il ut souvent impossible de parler, non pasque nous napprcions pas leur juste valeur les per ormances prodigieuses et ininterrompunos soldats, mais parce que nous ne voulons pas que ladversaire ait prmaturment connaissde aits quil ne remarque que des jours, voire mme des semaines plus tard, grce son misservice de renseignements.

    En e et je lai ait dclarer rcemment dans le communiqu de larme le communiqlarme allemande est un communiqu vridique. Mme si un gratte-papier britannique quelque, lesprit obtus, prtend que ces nouvelles doivent tre tout dabord con rmes, le commude larme allemande sest toujours trouv jusquici amplement con rm !

    Est-il douteux par hasard que nous ayons remport la victoire en Pologne, et non les Polonbien que la presse anglaise ait t dun autre avis ? Que nous sommes en Norvge, et non lesglais ? Que nous avons remport la victoire en Belgique et en Hollande, et non les Anglais ?lAllemagne a vaincu la France, et non inversement ? Que nous sommes en Grce, et non les Aou les No-Zlandais, et que ce ne sont pas eux qui sont en Grce, mais nous. Donc, le commqu de larme allemande a bien dit la vrit.

    Il nen va pas autrement lest. Daprs la version anglaise, nous avons subi l-bas depuimois d aite sur d aite. Mais nous sommes mille kilomtres de notre rontire, nous somlest de Smolensk, nous sommes devant Lningrad et devant la Mer Noire. Vous sommes devaCrime et les Russes ne sont pas sur le Rhin.

    Si les Soviets ont jusqu prsent constamment remport des victoires, alors ils les ont maploites, car ils ont recul, aprs chaque victoire, d 100 200 kilomtres,probablement pour nousattirer toujours plus avant dans la pro ondeur du pays !

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    Au reste, les chiffres,nous font mesurer lchelle de cette lutte.

    Beaucoup dentre vous ont ait la Grande Guerre et savent ce que cest que de aire des p

    niers et davancer en mme temps de 100 kilomtres. Le nombre des prisonniers sovitiqueslev 2,5 millions. Le nombre des canons pris lennemi ou dtruits donc qui se trouvennotre ct est de 22 000 en chi re rond.

    Le nombre des tanks dtruits ou pris se trouvant de notre ct slve dj plus de 18 Le nombre des avions dtruits, anantis et abattus dpasse 14 500. Nos troupes ont derrire eun espace deux ois plus grand que ne ltait le Reich allemand en 1933, lorsque le suis arrpouvoir, ou quatre ois plus grand que lAngleterre. La distance vol doiseau parcourue psoldats allemands est aujourdhui, en moyenne, de plus de 800 1 000 kilomtres. Cest la dis vol doiseau. Il aut, en ralit, compter une ois et demi ou deux ois plus sur un ronlongueur gigantesque et en ace dun adversaire qui il aut bien le dire na rien de commulhomme, mais rappelle la bte sauvage.

    Nous avons, vu ce que te bolchevisme peut aire des hommes. Ilest Impossible de montrerau pays les documents photos dont nous sommes en possession. Un cerveau humain ne imaginerde plus horrible, un adversaire qui combat, dun cot pouss par ses instincts sanguinaires desauvage, dun autre par la lchet et la peur quil a de ses commissaires. Nos soldats ont apconnatre ce pays aprs 25 annes de bolchevisme. Je sais une chose :celui qui a t dans ce pays etavait peut-tre conserv encore au ond de lui-mme quelques traces de oi communiste au plus idal du mot, celui-l reviendra guri, vous pouvez en tre convaincus !

    Mes descriptions duParadis des ouvriers et des Paysansont toujours t exactes. A la n de cettecampagne, cinq ou six millions de soldats con rmeront que Jai dit la vrit. Ils seront des tmauxquels Je pourrai aire appel. Ils ont march sur les routes de ce paradis. Ils nont pas pu vivrles misrables taudis de ce paradis, car ils ny entrent pas si cela nest pas absolument ncessaont vu les institutions de ce paradis.

    Ce nest quune vaste abrique darmements qui, onctionne aux rais du standard de vhabitants. Une abrique darmements contre lEurope.

    Et cest contre cet ennemi cruel, bestial, roce, contre cet ennemi muni dun armement pgieux, que nos soldats ont remport ces victoires galement prodigieuses. Je ne connais poimots qui puissent galer leurs prouesses. Les preuves de courage et de bravoure quils donconstamment l-bas, les incommensurables e orts quils y dploient, tout cela est inimaginaQuil sagisse de nos divisions blindes ou de nos ormations motorises, de notre artillerie

    nos soldats du gnie, que nous pensions nos aviateurs, chasseurs, bombardiers de combat equ et aviateurs de bataille, que nous songions notre marine, aux quipages de nos sous-maque nous parlions, en n, de nos troupes alpines oprant dans le nord, ou des hommes de nos mtairesS S , ils sont tous gaux !

    Mais au-dessus de tout, et je tiens souligner de nouveau et tout particulirement ce poincelui de nos soldats qui, par ses exploits se classe au premier rang, cest le antassin allemanle usilier allemand !

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    Ensuite, mes amis, nous avons l-bas des divisions qui, depuis le printemps, ont e ectumarches de plus de 2 500, et mme de 3 000 kilomtres pied de nombreuses divisions quicouvert 1 500 et jusqu 2 000 kilomtres. Ce sont l des choses quon dit acilement.

    Je tiens seulement dclarer ceci :si lon parle de la guerre-clair, ces soldats mritent vraiment

    que lon considre leurs per ormances comme ayant la rapidit de lclair !en e et, dans lhistoire ilsnont t dpasss dans Cette marche en avant que par la, vitesse avec laquelle quelques rgianglais ont opr, eux, leur retraite.

    Mais, alors il sagissait de retraites-clairs historiques qui ont dpass en rapidit ces actmais non de si grandes distances parce que, ds de dbut, ces gens-l se sont toujours tenus pmit immdiate de la cte.

    Remarquez que je ne veux nullement o enser lennemi ; je veux seulement rendre au soldatallemand la justice quil mrite.

    Il a accompli des prouesses impossibles dpasser

    Et avec lui toutes les organisations dont les membres sont aujourdhui des ouvriers et en mtemps des soldats. Car, dans cet norme espace, presque chacun est aujourdhui soldat. Tout vailleur est soldat, tout cheminot est soldat, l-bas !

    Dans tout ce territoire, chacun doit constamment sacquitter dun service arm. Et cest ungantesque territoire !ce que lon ralise derrire ce ront est, dans son genre, tout aussi prodigieuque ce quon ralise au ront mme. Plus de 25 000 km de chemins de er russes ont t remistivit, plus de 15 000 km de chemins de er russes ont t adapts la largeur des voies allemanSavez-vous, mes compatriotes, ce que cela signi e ? Cest comme si lon avait tabli bout bolest quinze lignes dont chacune serait gale la plus grande diagonale traversant le Reich allede jadis, de Stettin aux Alpes de Bavire, cest--dire adaptaux voies allemandes quinze ois cettediagonale de 1 000 km.

    Ceux de larrire ne sont peut-tre pas encore mme de se rendre exactement compte dque cela reprsente de orts et dintense activit. Derrire tout Cela, il y a les bataillons du Sdu travail, de nos organisations, surtout lorganisation Todt et les organisations de notre BerliSpeer, et tous les autres qui sont l pour les services auxiliaires.

    Au service de tout ce gigantesque ront notre Croix-Rouge, nos o ciers de sant, notre pernel sanitaire et nos surs de la Croix-Rouge, dploient leur activit. Ils se sacri ent vraiment tet, derrire ce ront, se constitue dj la nouvelle administration qui era le ncessaire pour qgigantesques territoires si cette guerre dure longtemps soient rendus utilisables pour la paallemande et pour nos allis. Ils en tireront un pro t norme, et nul ne peut douter que nous nentendions organiser de tels territoires.

    Si je vous trace ici, en bre , un tableau des ralisations, vraiment uniques, de nos soldatstous ceux qui luttent ou travaillent dans lest, je tiens aussi exprimer les remerciements du ceux qui sont rests au pays !le remerciement de nos soldats pour les armes que la patrie a orgesces armes excellentes et incomparables, pour les munitions qui, cette ois loppos de

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    sest pass pendant la guerre mondiale nous sont ournies en quantits illimites. Ce nestaujourdhui quune question de transport. Nous avons pris des mesures de prvoyance telles qpuisse, au plein milieu de cette guerre de matriel, en aire cesser la production dans de vastmaines, parce que le sais quil ne y a plus dennemi que nous ne puissions vaincre avec les qu

    de munitions dont nous disposons dj.Mais si vous lisez par ois dans les journaux quelque dtail sur les plans gigantesques d

    Etats, sur tout ce quils veulent aire et tout ce quils veulent entreprendre, et si vous entendez alors de sommes se montant des milliards, alors, mes compatriotes, rappelez-vous ce que jedis maintenant :

    Nous aussi mettons au service de notre combat un continent entier ;1.Nous ne parlons pas de capital, mais de puissance de travail, et cette puissance de travail,2.nous lengageons cent pour cent ; etSi nous nen parlons pas, Il nest pas dit pour cela que nous ne assions rien.3.

    Je sais trs bien que les autres savent tout aire mieux que nous. Ils construisent des tanksont invincibles, ils sont plus rapides que les ntres, plus ortement blinds que les ntres, ils meilleurs canons que les ntres, et ils nont pas du tout besoin dessence.

    Mais, jusqu prsent, au combat, nous les avons abattus partout !

    et cest l le point dcisi !

    Ils construisent des avions merveilleux. Ce sont toujours des choses miraculeuses quils tout ait incomprhensibles, incomprhensibles galement du point de vue technique. Manont encore aucune machine qui dpasse les ntres.

    Et les machines qui, aujourdhui chez nous, roulent, tirent ou volent, ne sont pas les machavec lesquelles nous roulerons, tirerons ou volerons lanne prochaine !

    Je crois que cela sera su sant pour tout Allemand. Tout le reste sera ait par nos inventeupar nos ouvriers allemands, et aussi par nos ouvrires allemandes.

    Derrire ce ront du sacri ce, du courage bravant la mort et du risque de sa vie, est rang lede larrire, un ront orm par la ville et la campagne. Millions de paysans allemands, souveremplacs en grande partie par des vieillards, des adolescents ou par des emmes, ils accomp

    tous le summum de leur devoir.Des millions et des millions douvriers allemands travaillent sans aiblir jamais, et ce qu

    complissent est admirable. Et partout encore, la emme allemande, la jeune lle allemande, recent les millions dhommes aujourdhui au ront.

    Nous pouvons vraiment dire :pour la premire ois dans lhistoire, un peuple entier est aucombat en partie au ront, en partie larrire.

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    Mais lorsque je parle ainsi, il en rsulte pour moi, vieux national-socialiste, une reconnaisobligatoire :nous avons maintenant connu deux extrmes. Dune part, les Etats capitalistes, qure usent leurs peuples, par des mensonges ou par des tromperies, les droits vitaux les plus rels, qui se soucient exclusivement de leurs intrts nanciers, qui sont prts en tout temps

    sacri er des millions dhommes. Nous voyons de lautre ct lextrme communiste, un Etatplong dans une misre indicible des millions et des millions dtres humains, et qui sacri e asa doctrine le bonheur de tous les autres.

    A mes yeux, il ne peut en driver pour nous quune seule obligation poursuivre plus jamais notre idal national et socialiste !car nous devons tre xs sur un point Lorsque cetteguerre sera un jour termine, elle aura t gagne par les soldats allemands venus des erme

    abriques, etc., et qui, dans leur ensemble, reprsentent vraiment la masse de notre peuple.Et elle aura t gagne par le pays allemand, avec ses millions douvriers et douvrires, d

    sans et de paysannes. Elle aura t gagne par les hommes qui travaillent au comptoir ou dansmtier. Ce sont ces millions dhommes laborieux qui lauront gagne !e t alors, ce sera exclusive-

    ment lintrt de ces hommes que cet Etat devra tre adapt .

    Lorsque cette guerre sera termine,

    Jen reviendrai plus fanatiquementnational-socialiste que jamais !

    Il en sera de mme pour tous ceux qui sont appels diriger. Car dans cet Etat ne rgne comme dans lU.R.S.S.le principe dit lgalit, maisle principe de la justice. Celui qui est apte au

    rle de che , a toujours pour nous la mme valeur, que se soit en politique, dans le domaine miou dans lconomie. Mais celui sans la collaboration duquel toute direction resterait une actionet seulement une acrobatie de pense, doit nous tre tout aussi prcieux. Et cest l lessentiel

    Le peuple allemand peut tre er aujourdhui il a la meilleure direction politique, il ameilleurs hommes de guerre, il a les meilleurs ingnieurs, les meilleurs che s, conomique enisateurs, il a aussi les meilleurs ouvriers et les meilleurs paysans.

    Fondre tous ces hommes dans une mme communaut, telle ut la tche que nous, NationSocialistes, nous nous sommes autre ois impose, une tche qui, aujourdhui, nous apparatclairement que jamais.

    Je reviendrai un jour de cette guerre avec mon vieux programme du parti, dont la ralisatio

    parait aujourdhui peut-tre encore plus importante quau premier jour !Cest cette aperception qui ma amen ici aujourdhui encore, peu de temps dailleurs, pou

    ler au peuple allemand. Car il a de nouveau, dans le Secours dhiver aussi, une occasion de mater lesprit de cette communaut.

    Les sacri ces du ront sont au-dessus de toute rcompense.

    Mais ce que le pays accomplit doitaussi rester dornavant grav dans lhistoire .

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    Il est ncessaire que le soldat du ront sache que le pays soccupe de la amille quil a laquil ait pour elle tout ce qui dpend de lui. Il doit le savoir, et cela doit tre a n que les sacdu pays gurent un jour honorablement a ct des prouesses imposantes du ront. Chacun saquil doit aire en cette priode. Chaque emme, chaque homme, tous savent ce quon leur de

    bon droit, ce quils sont tenus de donner.Et si, un jour, dans la rue, vous vous demandez si vous devez donner encore une ois et que

    en sentiez lobligation, ou non, jetez un regard autour de vous peut-tre rencontrerez-vous aquelquun qui a sacri plus que vous pour lAllemagne.

    C qu r qu u u r ra v u ummu au a a r f , qu u urr r r a r

    Pr v u ga m urab a av r.

    Le Seigneur na encore jamais aid un paresseux, il naidenon plus le lche, il naide daucune faon celui qui ne veut pas saider lui-mme.Ici sapplique de la manire la plus grandiose leprincipe :

    Peuple , aidetoi toimme, et alors leSeigneur ne te refusera pas non plus

    son aide !

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