21
Page 1/21 Document Les périphériques DATE : / / LES PERIPHERIQUES D’ENTREE Eléments Définition/principes de fonctionnemen Critères de choix PERIPHERIQUES D’ENTREE INDISPENSABLES Le clavier C’est l’organe d’entrée par excellence. Il se compose de 4 blocs de touches : bloc de touches alphanumériques bloc de touches numériques (en option sur les portables) touches de déplacement (de moins en moins utilisé sous WINDOW) Touches de fonctions programmables - Souplesse de la frappe - Nombres de touches (les claviers actuels comportent 105 touches) - Le clavier peut être «sans fil ». la liaison avec l’unité centrale se fait alors par ports infrarouge (pratique pour faciliter le rangement) La souris Dispositif de pointage utilisé dans un environnement graphique (Windows), elle facilite grandement l’utilisation de l’ordinateur les souris bas de gamme ne sont pas précises PERIPHERIQUES D’ENTREE A USAGE SPECIFIQUE Le scanner Il permet de récupérer une image ou un texte imprimé. L’image pourra être modifiée grâce à un logiciel de retouches photos. Pour pouvoir modifier le texte, il faut disposer d’un logiciel O.C.R. (Optical Recognition Character) qui permet la reconnaissance de caractères - la résolution graphique exprimée en DPI (Dot Per Inch – points par pouce) : plus cette résolution est élevée, meilleure sera la qualité des documents récupérés (un bon scanner a une résolution de 2400 DPI) - Interface utilisée : USB ou SCSI (pour des utilisations professionnelles) - Qualité des logiciels fournis pour la reconnaissance de caractères ou la retouche photo La WebCam Elle permet de participer à des vidéoconférences via le réseau internet. Il est nécessaire de disposer d’une liaison haut débit. La WebCam se branche sur le port USB. Elle comporte un microphone - Résolution en pixels - Nombre de couleurs

Document DATE : Les périphériques / / LES …sejour.saintjosephloudeac.fr/informatique/telechargement/cours9... · Page 5/21 LES PERIPHERIQUES ET SUPPORTS DE STOCKAGE Périphériques

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1/21

Document

��� Les périphériques

DATE : / /

LES PERIPHERIQUES D’ENTREE

Eléments Définition/principes de fonctionnement Critères de choix PERIPHERIQUES D’ENTREE INDISPENSABLES

Le clavier C’est l’organe d’entrée par excellence. Il se compose de 4 blocs de touches : • bloc de touches alphanumériques • bloc de touches numériques (en option sur les portables) • touches de déplacement (de moins en moins utilisé sous WINDOW) • Touches de fonctions programmables

- Souplesse de la frappe - Nombres de touches (les claviers actuels comportent 105 touches) - Le clavier peut être «sans fil ». la liaison avec l’unité centrale se fait alors par ports infrarouge (pratique pour faciliter le rangement)

La souris Dispositif de pointage utilisé dans un environnement graphique (Windows), elle facilite grandement l’utilisation de l’ordinateur

les souris bas de gamme ne sont pas précises

PERIPHERIQUES D’ENTREE A USAGE SPECIFIQUE Le scanner Il permet de récupérer une image ou un

texte imprimé. L’image pourra être modifiée grâce à un logiciel de retouches photos. Pour pouvoir modifier le texte, il faut disposer d’un logiciel O.C.R. (Optical Recognition Character) qui permet la reconnaissance de caractères

- la résolution graphique exprimée en DPI (Dot Per Inch – points par pouce) : plus cette résolution est élevée, meilleure sera la qualité des documents récupérés (un bon scanner a une résolution de 2400 DPI)

- Interface utilisée : USB ou SCSI (pour des utilisations professionnelles)

- Qualité des logiciels fournis pour la reconnaissance de caractères ou la retouche photo

La WebCam Elle permet de participer à des vidéoconférences via le réseau internet. Il est nécessaire de disposer d’une liaison haut débit. La WebCam se branche sur le port USB. Elle comporte un microphone

- Résolution en pixels

- Nombre de couleurs

Page 2/21

L’appareil photo numérique

A titre professionnel, ce périphérique autonome est essentiellement utilisé pour la réalisation de catalogues ou de sites Web. Un port USB permet de transférer les photos vers un PC

- Résolution en pixels

- Capacité de la mémoire de stockage

Page 3/21

LES PERIPHERIQUES DE SORTIE

Eléments Définition/principes de fonctionnement Critères de choix Le moniteur Il permet d’afficher les

informations temporairement. Pour pouvoir brancher le moniteur à l’unité centrale, il faut disposer d’une carte graphique. Celle-ci allège le travail de l’unité centrale en prenant en charge tous les traitements liés à l’affichage.

Remarque : Certaines configurations informatiques sont vendues sans carte graphique. La carte mère est alors pourvue d’un circuit graphique et la mémoire vidéo est prise sur la RAM.

Choix d’un moniteur : - Taille exprimée en pouces (17 pouces minimum) - La résolution graphique exprimée en pixels (en bureautique l’affichage est de 800 X 600 pixels) - La fréquence verticale (mini 70 Hz) : plus cette fréquence est élevée, moins l’effet de scintillement sera visible) - Le pas de masque (pitch) : représente l’espacement entre les lignes. Plus le pitch est faible meilleure sera la qualité d’image (pour un usage bureautique 0,27 mm est suffisant) Choix d’une carte graphique : - Capacité de la mémoire vidéo : (32 MO pour un usage bureautiques suffisent largement) - Processeur graphique (actuellement processeur Nvidia GE FORCE 4MX) D’une manière générale une carte graphique « 1er prix » convient pour un usage bureautique. Pour des applications 3D (jeux, CAO) une bonne carte graphique est nécessaire.

Page 4/21

L’imprimante Les imprimantes se classent en 3 catégories :

Les imprimantes matricielles ou à aiguilles : elles sont utilisées pour l’impression de listings et de liasses carbonnées.

Les imprimantes jet d’encre (couleur ou noir et blanc) offrent une qualité acceptable et un coût d’achat relativement faible. En revanche, les cartouches d’encre se consomment rapidement et sont relativement coûteuses. L’impression est généralement lente (surtout en qualité photo) Les imprimantes laser noir et blanc : la qualité d’impression est très bonne, la vitesse est élevée de 8 à 20 pages par minutes et le coût à la page est relativement faible Les imprimantes Laser couleur existent mais sont très coûteuses.

- Rapidité (exprimée généralement en pages par minutes)

- Qualité d’impression exprimée en point par pouces

- Coût des consommables (généralement les comparaisons se font par rapport au coût à la page)

Page 5/21

LES PERIPHERIQUES ET SUPPORTS DE STOCKAGE

Périphériques de stockage

Support de stockage Critères de choix

Lecteur de disquettes

Disquette 3,5 pouces – 1,44 MO – ce support n’est pratiquement plus utilisé

Le disque dur :

Le disque dur est constitué d’une pile de disques rigides. Il contient : - le système d’exploitation - les programmes les données du (des) utilisateur(s) Les capacités des disques durs actuels vont de 40 GO à 160 GO et plus Pour utiliser plusieurs systèmes d’exploitation différents sur un même disque dur il faut créer des partitions (une partition pour chaque système d’exploitation). Chaque partition est alors indépendante et au démarrage de l’ordinateur, l’utilisateur doit choisir sa partition de démarrage. Un disque dur de taille importante peut aussi être partitionné pour séparer les programmes des données. Un disque dur de 80 GO peut ainsi être partitionné en deux unités logiques de 40 GO (qui pourront être désignées par les lettres C : et D :)

- capacité en GO

- temps moyen d’accès (exprimé en millisecondes)

- sa vitesse de rotation (actuellement 7200 tours/minute, les disques les plus rapides tournent à 10000 tours/minutes

Lecteur de CD ROM Le CD ROM (compact disc – Read Only Memory) est un support pouvant contenir jusqu’à 660 MO de données (ou 78 mn de musique). Un lecteur de CD ROM récent est capable de lire des CD RW (Compact Disk Rewritable – compact disk réinscriptible. Pour enregistrer des données sur un CD ROM ou un CD RW, il faut un graveur.

Vitesse de lecture : Un lecteur de CD 40X a une vitesse représentant 40 fois la vitesse d’un lecteur de CD Audio. Le lecteur de CD ROM est supplanté par le lecteur de DVD ROM

Graveur de CD ROM Un CD ROM peut être gravé en plusieurs fois si le graveur prend en charge le format multissession (on peut ainsi réaliser des sauvegardes complémentaires mais les fichiers déjà enregistrés ne peuvent ni être modifiés ni effacés) Un graveur permet également de graver des CD RW : - Un CD RW doit être au préalable formaté ; - Un CD RW peut être gravé comme un CD ROM, lorsqu’on veut le réutiliser il suffit de

La vitesse d’un graveur est exprimée avec 3 chiffres : 8x/4x/40x qui se lisent : - 8 X : vitesse de gravure d’un CD R - 4X Vitesse en gravure de CDrw - 40x : vitesse de lecture d’un CD A l’achat, il faut vérifier la présence d’un logiciel de

Page 6/21

faire un formatage rapide - Un CD RW peut également être utilisé comme une disquette (grâce au format UDF), une fois formaté, on peut par simple « glisser » déposer depuis l’explorateur « placer » des fichiers sur le CD RW comme s’il s’agissait d’une disquette Un graveur peut aussi lire des CD ROM (ou Audio)

gravage (NeroBurning ROM 5,50 par exemple ou EasyCDCreator.

Lecteur de DVD ROM

Un DVD ROM est un support en apparence similaire à un CD ROM mais la capacité est beaucoup plus importante : de 4,7 GO (9 h 30 « musicales) à 17 GO (35 h 00 “musicales”). Un lecteur de DVD peut également lire des CD R et CD Audio Les premiers graveurs de DVD R arrivent sur le marché mais les prix sont élevés. Pour la gravure de DVD rw, l’absence de standard constitue un frein important

Page 7/21

LES PERIPHERIQUES ET SUPPORTS DE SAUVEGARDE

Ils ont pour objet la sauvegarde partielle ou complète des données d’un système informatique. Pour un micro ordinateur autonome, les sauvegardes sont réalisées sur des CD R ou CD RW. Dans les réseaux, les sauvegardes sont réalisées sur bandes magnétiques (DAT ou DLT). Les lecteurs correspondants sont généralement connectés à une interface SCSI beaucoup plus adaptée à des transferts de données importants.

Périphériques de

sauvegarde

Support de sauvegarde Critères de choix

Lecteur de DAT

Le DAT (Digital Audio Tape) se présente sous la forme d’une cartouche contenant une bande de longueur variable et de hauteur de 4 mm. C’est un support magnétique séquentiel (les informations y sont stockés en continu, pour récupérer un fichier en fin de bande le lecteur doit lire tous les fichiers situés avant) Ce support est utilisé essentiellement pour les sauvegardes journalières des serveurs de fichiers. Le support a une grande fiabilité.

- capacité des bandes : de 2 à 40 GO et +

- Taux de transfert exprimé en MO par seconde

Lecteur de DLT

Le DLT (Digital Linear Tape – cassette numérique linéaire) se présente également sous forme d’une cartouche à bande magnétique. C’est aussi un support à accès séquentiel. La technologie employée permet d’atteindre des capacités élevés de stockage et des taux de transfert élevé.

- Capacité des bandes (de 40 à 220 GO compressées) - Taux de transfert : de 3 MO/seconde à 22 MO seconde

Page 8/21

LES PERIPHERIQUES DE COMMUNICATION

Les périphériques de communication permettent à un poste informatique de se connecter à un réseau (local ou étendu comme Internet). Ces périphériques seront plus développés lors de l’étude consacrée aux réseaux

Périphériques de communication Critères de choix La carte réseau

Elle se présente sous la forme d’une carte d’extension se connectant sur un port PCI. La carte réseau permet à un ordinateur de se connecter à un réseau local. Chaque poste du réseau (y compris le ou les serveurs) en est équipé.

- Débit : les cartes réseaux standards supportent des débits de 10 ou 100 Méga bits par seconde (on parle de carte réseau 10/100 Mbits).

- Remarque : des cartes à 1 Gbit (Giga Bit) existent pour les liaisons de serveur à serveur

Le MODEM

Le MODEM (Modulateur-DEModulateur) permet la conversion des signaux émis par l’ordinateur en signaux « audibles » sur les lignes téléphoniques. Il permet des échanges entre ordinateurs géographiquement distants (notamment pour l’accès à Internet). En fonction du type de ligne téléphonique utilisé ou de la technologie employée pour accéder à Internet, le type de modem sera différent : - Liaison téléphonique ordinaire (RTC) : MODEM RTC 56Kbits - Liaison téléphonique « Numéris » : MODEM RNIS (64Kbits ou 128 Kbits) - Liaison ADSL : MODEM ADSL

Tous les MODEMS se valent. Il faut choisir le MODEM en fonction du type de liaison téléphonique dont on dispose.

L’ADSL ne couvre pas toute la France. Se méfier des MODEMs qui sont à connecter sur un port USB : il est préférable d’installer une carte réseau Ethernet et de connecter le modem sur cette carte.

Page 9/21

ANNEXE

Page 10/21

La souris La souris comporte une bille sur laquelle tournent deux rouleaux. Ces rouleaux comportent chacun un disque cranté qui tourne entre une photodiode et une LED (Diode électroluminescente) laissant passer la lumière par séquence. Lorsque la lumière passe, la photodiode renvoie un "1", lorsqu'elle rencontre un obstacle, la photodiode renvoie un "0". A l'aide de ces informations, le PC peut connaître la position de votre curseur (voire la vitesse...!!). Astuce: A force de l'utiliser, votre souris récolte de la poussière qui vient se déposer sur les rouleaux, ainsi la souris peut avoir des réactions curieuses. Il suffit d'ouvrir la cage contenant la bille et de nettoyer les rouleaux (avec une brosse à dents par exemple).

Le code barre Les lecteurs de Codes barres (source : Informatique appliquée à la gestion – F. Jolivet – G. Reboul – Editions Dunod – Tome 1)

Principe de fonctionnement d’un scanner (source : Informatique appliquée à la gestion – F.

Jolivet – G. Reboul – Editions Dunod – Tome 1)

Page 11/21

Le scanner permet la saisie de textes, dessins, graphiques ou photos en les numérisant (conversion en signaux binaires). Les éléments numérisés sont ensuite exploités par un traitement de texte (dans ce cas le scanner a évité la saisie du texte) ou par un logiciel de dessin ou de PAO. Exemple de résultats obtenus :

Résolution à 150 DPI Résolution à 300 DPI résolution à 2400 DPI (La différence n’est pas nette car l’imprimante à une résolution limitée à 300 ou 600 DPI et la photographie provient d’un magazine) ECRANS TACTILES ET ORDINATEURS SANS CLAVIER Un exemple… : L’organiseur de poche (INFOPC n° 173 – Sept 2000)

Avec ses 15 mm de haut, 77 mm de large, 14 mm d'épaisseur, son poids de 142 9 (avec son rabat de protection), le Palm tient dans toutes les poches. Il est livré avec un petit stylet qui permet d'accéder à un clavier «logiciel». Ce dernier s'affiche au moyen d'un simple clic de stylet sur la zone abc du bas de l'écran. On peut aussi tracer directement des caractères à l'écran que le système convertit en caractères d'imprimerie avec l'application Graffiti. Tout dépend de votre goût ou/et de vos

habitudes de travail. Ce choix, clavier ou manuscrit, confère au produit une grande souplesse d'emploi. Attention: il est indispensable d'utiliser le stylet fourni avec l'organiseur à l'exclusion de tout autre objet, genre stylo à bille ou.. .clou !

Les cartes graphiques : « Résister à la tentation » (source Info PC – septembre 2000) Le marché de la carte graphique ressemble de plus en plus à celui des processeurs il y a deux ans : un constructeur domine et les autres essaient de suivre. Ce constructeur n’est autre que nVidia. Depuis la sortie en septembre 1999 du circuit GeForce 256, suivie en avril 2000 de celle du Geforce 2 GTS, le fabricant règne sans partage sur le monde des cartes graphiques 3D. Ce n’est pourtant pas une raison suffisante pour se jeter sur les cartes dotées de ses circuits. Le prix d’une carte 3D équipée du GeForce2 GTS se situe, en fonction des versions, entre, 2 500 et 3 500 F Or, ces cartes sont avant

Page 12/21

tout réservées aux joueurs acharnés, à ceux pour qui le gain d'une image par seconde est célébré en grande pompe. Pour les autres, si le jeu fait partie des priorités, une carte dotée d'un GeForce 256, qui vaut aujourd'hui à peu près 1500 F, est amplement suffisante. Mais on peut également conseiller des cartes moins cotées telles que l'ATI Xpert 2000 ou la Matrox Millennium, G400 (toutes deux pourvues du processeur graphique Nvidia Riva TNT 2). Loin d'être ridicules en 3D, elles ne grèveront pas le coût de l'ordinateur... Décompression de DVD-Video Pour la 3D, il faut simplement choisir un modèle doté d'au moins 16 Mo de mémoire vidéo (32 Mo dans l'idéal). C'est en effet le seul moyen de pouvoir accéder à des résolutions élevées en 3D sans trop nuire aux performances. Ces cartes peuvent par ailleurs offrir quelques autres avantages. Comme par exemple., les modèles ATI qui sont remarquables en décompressions des séquences vidéo Mpeg-2 des DVD-Video. Le seul dénominateur commun entre toutes les cartes graphiques ? Le bus AGP (Advanced Graphics Port). Présent sur quasiment toutes les cartes mères, il est réservé à la connexion de la carte graphique. Les personnes qui disposent d'un vieux PC sans connecteur AGP pourront se tourner vers certains modèles de cartes telles que les Voodoo3 2000 ou 3000 de 3dfx, proposées en version PCI. Dans le cas de micro-ordinateurs uniquement dédiés à la 2D (bureautique, Internet, CD-Rom ... ), il est même possible de se passer totalement de carte graphique. Il existe des chipsets (les i810 et i8l5 d'Intel et d'autres conçus par SiS, Ali ou Via) qui font également office de circuit graphique. Pour la gestion des données graphiques, une partie de la mémoire vive est utilisée. Très loin d'être synonyme de performances, cette solution recueille pourtant les faveurs.

Les écrans Un 17 pouces, sinon rien Le moniteur de 14 pouces semble - enfin - mort et enterré. Le 15 pouces, qui lui succède dans l'entrée de gamme, n'aura d'ailleurs certainement pas une durée de vie aussi longue. Le meilleur compromis entre confort d'utilisation et prix: le moniteur de 17 pouces. Même ceux de qualité moyenne sont capables de tenir une résolution de 1024 x 768 pixels, parfaite pour la bureautique, Internet, mais aussi pour la plupart des jeux. Il faut compter environ 2 000 F pour un 17 pouces d'entrée de gamme, tarif qui a été presque divisé par deux en trois ans. Si le budget le permet, opter pour un 19 pouces apporte un plus incontestable. Ces écrans peuvent atteindre une résolution maximale de 1600 x 1200 pixels, mais le confort optimal sera obtenu à 1 280 x 1 024 pixels. Les 19 pouces seront appréciés pour les applications graphiques, mais aussi par les utilisateurs de tableurs qui afficheront un maximum d'informations sans manipulations fastidieuses à la souris. Les joueurs, pour peu que leur PC intègre une carte graphique capable de supporter des hautes résolutions en 3D, en tireront également tous les bénéfices. Le problème de ce type de moniteur ? I ‘encombrement. Pas tellement en largeur mais plutôt en profondeur. Heureusement, les

Page 13/21

constructeurs ont eu l'idée de développer une technologie de moniteurs dits à tube court, laquelle réduit nettement le besoin d'espace. Cela ne va pas sans une perte de netteté de l'image sur les bords extérieurs, l'angle des faisceaux lumineux qui permettent l'affichage étant plus ouvert.

Les caractéristiques d’un moniteur (source : http://commencamarche.net)

Les moniteurs sont souvent caractérisés par les données suivantes:

• La résolution: Elle détermine le nombre de points que le moniteur peut afficher, ce nombre de points est actuellement compris entre 640x480 (640 points en longueur, 480 points en largeur) et 1600x1200.

• La taille: Il ne faut pas confondre la définition de l'écran et la taille de l'écran. En effet un écran d'une taille donnée peut afficher différentes définitions, cependant, généralement, un écran de grande taille (celle-ci se calcule en mesurant la diagonale de l'écran et est exprimée en pouces, c'est-à-dire 2.55 cm) permet de mieux visualiser à des résolutions hautes (ex : en 17 pouces on peut aller jusqu’à 1024 X 768 Pixels).

• Le pas de masque (pitch): C'est la distance qui sépare deux points, plus celle-ci est petite plus l'image est précise

• La fréquence de balayage (ou taux de rafraîchissement): C'est le nombre d'images qui sont affichées par seconde elle est exprimée en Hertz. Plus cette valeur est élevée meilleur est le confort visuel (on ne voit pas l'image scintiller), il faut donc qu'elle soit supérieure à 67 Hz (limite inférieure à partir de laquelle l'oeil remarque véritablement l'image "clignoter").

Les imprimantes

L'imprimante matricielle

Elle permet d'imprimer des documents grâce à un va-et-vient de la tête sur le papier. La tête est constituée de petites aiguilles, poussées par des électro-aimants, qui viennent taper contre un ruban de carbone situé entre la

tête et le papier.

Ce ruban de carbone défile pour qu'il y ait continuellement de l'encre dessus. A chaque fin de ligne un rouleau fait tourner la feuille Les imprimantes matricielles actuelles sont équipées de têtes d'impression comportant 24 aiguilles, ce qui leur permet d'imprimer avec une résolution de 216 points par pouce.

Page 14/21

L'imprimante jet d'encre La technologie du jet d'encre a été inventée par Canon, elle repose sur le principe simple mais efficace qu'un fluide chauffé produit des bulles. Le chercheur qui a découvert ce principe avait mis accidentellement en contact une seringue remplie d'encre et un fer à souder, cela créa une bulle dans la seringue qui fit jaillir de l'encre de la seringue. Les têtes des imprimantes actuelles sont composées de nombreuses buses (jusqu'à 256), équivalentes à plusieurs seringues, qui sont chauffées entre 300 et 400°c plusieurs fois par seconde grâce à un signal impulsionnel. Chaque buse produit une bulle minuscule qui fait s'éjecter une gouttelette extrêmement fine. Le vide engendré par la baisse de pression aspire une nouvelle goutte ...

L'imprimante laser L'imprimante laser reproduit à l'aide de points l'image que lui envoit le PC par le port LPT. Grâce au laser, les points sont plus petits et la définition est meilleure. Fonctionnement:

• Un ionisateur de papier charge les feuilles positivement. • Un ionisateur de tambour charge le tambour négativement. • Le laser quant à lui (grâce à un miroir qui lui permet de se placer) charge le tambour

positivement en certains points. Du coup, l'encre du toner chargée négativement se dépose sur les parties du toner ayant été chargées par le laser, qui viendront se déposer sur le papier.

Page 15/21

. Le disque dur

Un disque dur est constitué non pas d'un seul disque, mais de plusieurs disques rigides (en anglais hard disk signifie disque dur) en métal, en verre ou en céramiques empilés les uns après les autres. Ils tournent très rapidement autour d'un axe (à plusieurs milliers de tours par minute actuellement) dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Un ordinateur fonctionne de manière binaire, il faut donc stocker les données sous forme de 0 et de 1, c'est pourquoi les disques sont recouverts d'une très fine couche magnétique de quelques microns d'épaisseur, elle-même recouverte d'un film protecteur.

La lecture et l'écriture se font grâce à des têtes (head) situées de part et d'autre de chacun des plateaux (un des disques composant le disque dur). Ces têtes sont des électroaimants qui se baissent et se soulèvent (elles ne sont qu'à quelques microns de la surface, séparées par une couche d'air provoquée par la rotation des disques qui crée un vent d'environ 250km/h) pour pouvoir lire l'information ou l'écrire. De plus ces têtes peuvent balayer latéralement la surface du disque pour pouvoir accéder à toute la surface...

Cependant, les têtes sont liées entre-elles et seulement une seule tête peut lire ou écrire à un moment donné. On parle donc de cylindre pour désigner l'ensemble des données stockées verticalement sur la totalité des disques.

L'ensemble de cette mécanique de précision est contenue dans un boîtier totalement hermétique, car la moindre particule peut détériorer l'état de surface du disque. Vous pouvez donc voir sur un disque des opercules permettant l'étanchéité, et la mention "Warranty void if removed" qui signifie littéralement "la garantie expire si retiré" car seul les constructeurs de disques durs peuvent les ouvrir (dans des salles blanches: exemptes de particules).

Ainsi, l'imprimante laser n'ayant pas de tête mécanique est beaucoup plus rapide et moins bruyante

Page 16/21

La lecture et l'écriture

Les têtes de lecture/écriture sont dites "inductives", c'est-à-dire qu'elles sont capables de générer un champ magnétique. C'est notamment le cas lors de l'écriture, les têtes en créant des champs positifs ou négatifs viennent polariser la surface du disque en une très petite zone, ce qui se traduira lors du passage en lecture par des changements de polarité induisant un courant dans la tête qui sera ensuite transformer par un convertisseur analogique numérique (CAN) en 0 et en 1 compréhensibles par l'ordinateur.

Les têtes commencent à inscrire des données à la périphérie du disque (piste 0), puis avancent vers le centre. Les données sont organisées en cercles concentriques appelés "pistes", créées par le formatage de bas niveau.

Les pistes sont séparées en quartiers (entre deux rayons) que l'on appelle secteurs, c'est la zone dans laquelle on peut stocker les données (512 octets en général).

On appelle cylindre l'ensemble des données situées sur une même pistes de plateaux différents (c'est-à-dire à la verticale les unes des autres) car cela forme dans l'espace un "cylindre" de données.

Critères de choix d’un disque dur Le choix d’un disque dur se fait surtout en fonction de deux critères principaux : - Le temps d’accès exprimé en millisecondes

Page 17/21

- la capacité exprimée en GigaOctets : la capacité minimum des disques durs vendus dans le commerce est de 20 GO. La capacité dépend des besoins : pour un usage bureautique 20 GO suffisent largement. Pour des applications multimédia (traitement de la vidé notamment) il faut prévoir davantage. Remarque : la capacité des disques durs implantés sur les serveurs de fichiers (en réseau local) est fonction en partie du nombre d’utilisateurs et du quota attribué à chacun (par exemple si , dans un réseau de 100 utilisateurs, l’administrateur octroie un quota de 100 MO, la capacité de stockage à prévoir sera de 100X100 MO soit 10000 MO (environ 10 GO) uniquement pour les données utilisateurs indépendamment des autres besoins pour les applications installées sur le serveur. Préparation d’un disque dur Lorsqu’on change de disque dur ou lorsqu’on doit mettre en service un ordinateur non préparé, il faut réaliser les travaux suivants : 1) Partitionner le disque dur, c’est à dire le « découper » en volumes logiques. Le partitionnement est utile dans deux cas : a) si sur un même poste on souhaite disposer de plusieurs systèmes d’exploitation (ex : Windows 2000, Windows 98 et Linux), dans ce cas il faut créer une partition pour chaque système. Au démarrage du système, l’utilisateur peut choisir l’un ou l’autre des systèmes d’exploitation b) pour les disques durs de capacité importante (20 GO et plus), il est préférable de créer deux volumes logiques (ex : soit un disque dur de 40 GO, on peut le partitionner en 2 disques logiques de 20 GO qui seront identifiés par les lettres C: et D:). L’utilisateur a l’impression de disposer de deux disques durs. En général, lorsqu’on crée deux unités de disques logiques, le premier contient le système d’exploitation et les logiciels et le second ne contient que les données de l’utilisateur. Un troisième disque logique permet d’effectuer des sauvegardes. Sous Windows, le partitionnement se fait avec la commande FDISK (sous DOS). DANGER : les modifications de partition avec cette commande entrainent des suppressions irréversibles de données. Il existe toutefois des programmes tels que « Partition Magic » qui permettent de partitionner des disques sans perte de données. 2) Le formatage du disque dur Pour être utilisable, chaque disque (logique ou physique) doit être formaté. L’opération consiste à créer des pistes et des secteurs sur disques. Lorsque le disque à formater sert de disque de démarrage (boot), certains fichiers systèmes doivent être inclus. Sous Windows, pour formater un disque, on passe par l’invite de commande (appelé aussi ligne de commande MS DOS dans win 9X) Ex : C:\>FORMAT C:/S format le disque C et transfère les fichiers systèmes. Après cette opération, il est possible d’installer le système d’exploitation et tous les logiciels utilisateurs. Maintenance d’un disque dur Pour assurer des performances optimisées d’un disque dur, certains travaux périodiques sont nécessaires : - Suppression des fichiers devenus inutiles

Page 18/21

- Suppression des fichiers temporaires : généralement les fichiers temporaires sont stockés dans le répertoire c:\windows\temp. Attention : certains fichiers sont créés par les programmes en cours d’exécution, leur suppression est généralement impossible.

- Désinstallation des programmes inutiles : sous windows, pour désinstaller un programme il suffit d’ouvrir le panneau de configuration, d’ouvrir la fenêtre Ajout/suppression de programmes puis de sélectionner le programme à supprimer et de valider. - Vidage de la corbeille : Les fichiers et dossiers supprimés sont stockés dans la « corbeille » de Windows. En cas d’effacement accidentel, il est toujours possible de rechercher les fichiers dans la corbeille. Néanmoins, il faut de temps à autre vider la corbeille c’est à dire supprimer définitivement les fichiers inclus dans cette corbeille. - Vérification de l’intégrité des données du disque dur : l’utilitaire ScanDisk (sous win 9x) permet de vérifier :

a) l’intégrité du système de gestion de fichiers (vérification des adresses physiques des fichiers sur disque avec les adresses logiques)

b) intégrité des fichiers (recherche de fichiers endommagés) c) Test de surface pour rechercher les secteurs endommagés et les marquer comme non

accessibles par le système de gestion de fichiers) : certains secteurs peuvent être endommagés suite à des vibrations ou à un déplacement de l’unité centrale « allumée ».

d) Défragmentation du disque dur : lorsque le disque dur commence à se remplir, les fichiers sont fragmentés. Un fichier fragmenté correspond à un fichier dont les parties sont enregistrées sur plusieurs emplacements de disque. Lorsque le taux de fragmentation est élevé, les recherches sont plus longues ce qui pénalise les performances. La solution consiste alors à défragmenter les fichiers (à les « recoller »). Pour éviter que cette opération ne soit trop longue, il faut la réaliser régulièrement (une fois par mois). Sous Win 9x, la commande DEFRAG lancée sous Dos permet de réaliser l’opération automatiquement.

- Contrôle des virus avec un antivirus (développé lors de l’étude des réseaux)

Le CD-ROM Le CD-ROM (Compact Disc - Read Only Memory) est un disque optique de 12 cm de diamètre et de 1mm d'épaisseur, permettant de stocker des informations numériques, correspondant à 650 Mo de données informatiques (correspondant à 300000 pages dactylographiées) ou bien jusqu'à 74 min de données audio. Le Compact Disc a été inventé par Sony © et Philips ©. La composition d'un CD-ROM Le CD est constitué de matière plastique, recouvert d'une fine pellicule métallique sur une des faces. Les pistes sont gravées en spirales, ce sont en fait des alvéoles d'une profondeur de 0,83µ et espacées de 1,6µ. Ces alvéoles forment un code binaire, une alvéole correspond à un 0, un espace à un 1.

Page 19/21

Exemple: prenons la séquence suivante: 110010101. Celle-ci correspond sur le CD-ROM à deux espaces,

deux trous, un espace, un trou, un espace, un trou, un espace, un trou. On a ainsi une séquence binaire que le lecteur parcourt grâce à un laser; celui-ci est réfléchi lorsqu'il rencontre un espace, il ne l'est pas lorsqu'il rencontre une alvéole. Le lecteur de CD-ROM C'est une cellule photoélectrique qui permet de capter le rayon réfléchi, grâce à un miroir semi-réflechissant comme expliqué sur le dessin suivant:

Un chariot permet de déplacer le miroir de façon à pouvoir accéder au CD-ROM en entier. Il est ainsi possible de stocker sur ce support des musiques, des images, des vidéos, du texte et tout ce qui peut être enregistré de façon numérique. Ses caractéristiques Le lecteur CD-ROM est caractérisé: Par sa vitesse: celle-ci est calculée par rapport à la vitesse d'un lecteur de CD-Audio (150 Ko/s =1X). Un lecteur allant à 3000Ko/s sera caractérisé de 20X (20 fois plus vite qu'un lecteur 1X) Par son temps d'accès. C'est le temps moyen qu'il met pour aller d'une partie du CD à une autre. Les lecteurs de CD ROM ont actuellement une vitesse de 52X Par son type: ATAPI (IDE) ou SCSI Le graveur de CD-ROM

Page 20/21

Le graveur de CD-R (Compact disk – Recordable) travaille sur des supports vierges. Le CD-R comporte deux couches : une couche couleur or ou argent et une couche colorée (bleue généralement), un laser de forte puissance déforme la surface colorée en écriture, c’est pourquoi le CD ne peut plus être ré-enregistré. Néanmoins, on peut graver un CD-R en plusieurs étapes si le graveur autorise la gravure en multi-sessions Le CD-Rw (Compact Disk Rewritable) ou CD réinscriptible utilise une autre technologie : la surface est constituée d’une seule couche argentée (un alliage de différents éléments). Le support devient cristallin sous l’effet d’une température élevée, refroidi, il reprend sa forme originale. Le graveur de CD-Rw est donc conçu pour procurer 2 puissances de Laser. La plupart des graveurs de CD-R permettent aussi de graver des CD-Rw, leur performance se mesure avec 3 chiffres : exemple : 8X4X40X = Gravure des CD-R en 8 X, gravure des CD-Rw en 4X et lecture des CD-ROM en 40X

Le DVD-ROM

Le DVD-ROM (Digital Versatile Disk - Read Only Memory) est une variante du CD-ROM dont la capacité est largement plus grande que celle du CD-ROM. En effet, les alvéoles du DVD sont beaucoup plus petites (0,4µ et un espacement de 0.74µ), impliquant un laser avec une longueur d'onde beaucoup plus faible. (Rmq : 1 micron = 1 millionième de millimètre ( ???)

Le graveur de CD-Rom 9110i de HEWLETT PACKARD

Pour graver et regraver vos CD réinscriptibles (CD-RW), pour créer

vos propres CD Audio, vous constituer une

bibliothèque d'images numériques, stocker vos sauvegardes...

Super rapide! 32x en vitesse de lecture, 8x

en écriture, 4x en écriture CDWR. Interface IDE. GARANTIE 1 an,

service après-vente assuré.

Page 21/21

Les DVD existent en version "double couche", ces disques sont constitués d'une couche transparente à base d'or et d'une couche réflexive à base d'argent. Pour aller lire ces deux couches le lecteur dispose de deux intensités pour le laser: avec une intensité faible le rayon se réfléchit sur la surface dorée .Lorsqu’on augmente cette intensité le rayon traverse la première couche et se réfléchit sur la surface argentée.

Il existe 4 types de DVD différents:

Type de support Capacité Temps musical équivalent Nombre de CD équivalent

CD 650Mo 1h14 min 1

DVD simple face simple couche 4.7Go 9h30 7

DVD simple face double couche 8.5Go 17h30 13

DVD double face simple couche 9.4Go 19h 14

DVD double face double couche 17Go 35h 26

L'intérêt du DVD touche en priorité le stockage vidéo qui demande une place de stockage importante. Un DVD de 4,7 Go permet de stocker plus de deux heures de vidéo compressées en MPEG-2 (Motion Picture Experts Group), un format qui permet de compresser les images tout en gardant une très grande qualité d'image. Les graveurs de DVD Les premiers graveurs de DVD commencent à pointer leur museau mais à des prix élevés. A côté du graveur de DVD-R (DVD Recordable donc non réinscriptible), Il existe en fait deux standards concurrents et incompatibles entre eux de DVD réinscriptibles :

- Le DVD-RAM de Toshiba, Hitachi et Panasonic - Le DVD-Rw de Sony et Philips