DOMAINE DE LA CHEYLANE Diagnostic : Structure · Domaine La Cheylane – la Londe les Maures - 3 - - CHAPITRE 2 - ETAT DES LIEUX Les murs sont en pierres non taillées de forte épaisseur

Date : 18 novembre 2018 BEBCI SAS au capital de 1.000 €

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DOMAINE DE LA CHEYLANE

Diagnostic : Structure

mailto:[email protected]

Diagnostic Structure BEBCI Domaine La Cheylane – la Londe les Maures

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SOMMAIRE

PREAMBULE ........................................................................................................................ 2

PRESENTATION GENERALE ................................................................................................ 2

- CHAPITRE 2 - ETAT DES LIEUX ........................................................................................ 3

2.1 – DESCRIPTION DU BATI ................................................................................................ 3 2.2 – DESCRIPTION DES DESORDRES ............................................................................... 3

2.2.1 – Constatations visuelles : ......................................................................................... 3 2.2.2 - Evolution dans le temps :......................................................................................... 5 2.2.3 - Observations – remarques : .................................................................................... 5

CHAPITRE 3 – ANALYSE DE LA STRUCTURE ................................................................... 6

3.1 – Les murs .................................................................................................................... 6 3.2 – Les planchers ............................................................................................................. 6 3.3 - La Charpente .............................................................................................................. 7

CHAPITRE 4 .......................................................................................................................... 8

PROPOSITIONS DE SOLUTIONS TECHNIQUES ................................................................ 8

4.1 – ECARTEMENT GENERAL DE LA STRUCTURE ..................................................... 8 4.2 - Charpente- Couverture ............................................................................................... 8 4.3 – Planchers ................................................................................................................... 8 4.4 – Reprise du mur extérieur en partie basse .................................................................. 9 4.5 - Fondations .................................................................................................................. 9 4.6 – Réparation de l’escalier extérieur côté NORD ........................................................... 9

CHAPITRE 5 ........................................................................................................................ 10

ESTIMATIONS ..................................................................................................................... 10

1 – Tirants ......................................................................................................................... 10 2 – Réparation poutre sous tour EST ............................................................................... 10 3 – Confortement de plancher .......................................................................................... 10 4 – Reprise du mur extérieur en soubassement ............................................................... 10 5 – Protections périphériques ........................................................................................... 10 6 – Réparation de l’escalier extérieur ............................................................................... 10 Maîtrise d’œuvre ............................................................................................................... 11

DOSSIER PHOTOS ............................................................................................................. 12

PLANS – SCHEMAS ............................................................................................................. 0


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PREAMBULE

Ce rapport comporte : - Un état des lieux descriptif du bâtiment - Une analyse technique visuelle du bâti et des désordres - Les préconisations de travaux de confortements

- Les estimations financières correspondantes

Le bâtiment est ancien. Sa construction est antérieure au 19ème

siècle. Il est entièrement à usage d’habitation avec des pièces de remises à rez-de-chaussée côté Nord. Il comporte 2 étages sur rez-de-chaussée et combles. Un escalier principal en partie centrale et un petit escalier secondaire dans l’aile EST. SURFACES :

Rez-de chaussée : 375 m² hors œuvre 1

er étage : 360 m² hors œuvre

2ème

étage 280 m² hors œuvre

Son inscription ou classement au patrimoine historique n’est pas connu.


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- CHAPITRE 2 - ETAT DES LIEUX

Les murs sont en pierres non taillées de forte épaisseur. Le bâtiment ne comporte pas de vide sanitaire : les locaux du rez-de-chaussée sont sur dallage sur terre-plein. (Le mode de fondation n’est pas reconnu dans le cadre de ce diagnostic qui ne comporte pas de sondages ou d’études géotechniques.) Les planchers sont en bois sur poutres en sapin de grandes portées, avec revêtement en carreaux de terre cuite. Ces poutres sont supportées par les cloisons de distribution. La structure des escaliers est également en bois. Les façades sont revêtues d’un enduit hydraulique ancien, avec peinture minérale. Les murs exposés à l’Est sont habillés d’un bardage en carreaux de terre cuite collés au mortier. La couverture a été entièrement refaite avec plaques en fibro-ciment posées sur l’ancienne charpente ; les chevrons ont été conservés. La charpente est constituée de pannes de grandes portées posées sur les murs. Seules les deux petites tours comportent une charpente assemblée.

2.2.1 – Constatations visuelles :

2.2.1. A – Fissuration des murs intérieurs et extérieurs

Des fissures très importantes de largeur supérieure à 1 cm et traversantes affectent la majeure partie des murs intérieurs et extérieurs du bâtiment. Elles sont d’allure essentiellement verticale :

Voir plans de repérage et photos : ANNEXE 1 Les déformations les plus graves concernent : - La tour Sud Est - La tour Sud Ouest - Le mur du fond de la cage d’escalier principale - Le mur pignon Est

Elles montrent un « écartement » de l’immeuble aux niveaux intermédiaires. Les fissures sont moins larges au niveau du sol et au niveau combles. La structure comporte des tirants NORD/SUD aux 2 extrémités, posés à l’origine et constitués de plats métalliques assemblés. Le déplacement des murs a entraîné un « désencastrement » des poutres en bois. Une poutre a été ajoutée il y a longtemps pour soutenir la charpente de la tour Sud Est ; elle est elle-même sortie de son appui et a été sommairement étayée.


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2.2.1. B – Déformations – Bombements des murs De grosses déformations dans la direction horizontale vers l’extérieur sont visibles notamment sur le pignon OUEST et sur la façade principale côté OUEST – 1

er et 2

ème étage.

2.2.1. C – Affaissements de murs Des déformations dans la direction verticale sont relevées : elles concernent le mur de la tour Ouest du côté intérieur ainsi que le mur de la façade principale qui le jouxte. Il s’agit d’un affaissement ancien ; il affecte aussi l’équerrage des menuiseries.

2.2.1. C – Remontées d’humidité Elles ont fait l’objet d’un traitement par percements de trous de « ventilation » dans certaines pièces. Elles sont visibles sur l’ensemble de l’immeuble mais elles ont un caractère dommageable à la structure en pied du mur pignon OUEST et particulièrement dans la cuisine où le mur semble éclater par désagrégation du liant.

2.2.1. D – Flambement de cloisons

Les cloisons intérieures au droit du dégagement des cuisines (côté Ouest) se sont cintrées sous l’effort de compression qu’elles subissent venant des étages supérieurs. Leur éclatement peut se produire à court terme.

2.2.1. F - Planchers

Les planchers présentent des fléchissements très importants ; notamment les chambres situées dans le corps de bâtiment central. La longueur des poutres porteuses est environ 8.00 m avec un entraxe de l’ordre de 2.00 m. Les sondages du bois aux étages n’ont pas mis en évidence de pourrissement ou d’attaques d’insectes. Par contre, le plancher du 1

er étage situé aux dessus des remises et locaux de rangements

côté Nord présente une dégradation du bois très avancée : poutres et planchers vermoulus sur une grosse profondeur. Les bois ne semblent pas avoir été traités : pas de traces d’injecteurs.

2.2.1. G – Charpente La charpente est d’époque avec des poutres plus récentes ajoutées notamment sous le versant NORD OUEST et la tour SUD EST. On ne décèle pas de trace de traitement des bois. L’appui de la poutre de renforcement au plafond de la tour SUD EST est sorti du mur ; il est manifestement insuffisant et un calage en bois a été ajouté par dessous. La poutre faîtière côté OUEST est brisée ; lors des travaux de réparations, après dépose du plafond, on peut constater que la poutre voisine est également cassée : voir photos en annexe.


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2.2.1.H – Escaliers L’escalier principal central est en bon état ; on note un léger fléchissement des poutres supportant les paliers. L’escalier annexe côté EST doit être considéré comme dangereux compte tenu de l’écartement qui s’est produit entre ses éléments porteurs et la maçonnerie.

2.2.1.H – Dallage – sols du rez-de-chaussée Le revêtement de sol présente des dénivellations : tassements et gonflements du terre-plein sous le sol du rez-de-chaussée. Compte tenu de l’ancienneté de ces ouvrages, ces déformations peuvent être qualifiées de « normales ».

2.2.2 - Evolution dans le temps :

D’après les observations qui nous sont relatées, les fissures qui affectent les deux tours ont évolué récemment ; les « écartements » de l’escalier EST et de la poutre en plafond de la tour EST ont visiblement augmenté. De même, les « témoins » visibles dans l’escalier montrent un écartement supplémentaire. L’évolution est donc certaine. L’éclatement du mur extérieur de la cuisine est également relativement récent.

2.2.3 - Observations – remarques :

L’immeuble ne semble pas avoir pas subi de gros dégâts des eaux par la toiture

Les gouttières ont été réparées

Les canalisations d’eaux pluviales dans lesquelles se branchent les descentes de gouttières ne semblent pas fonctionnelles

Sur le pignon EST, une ligne électrique est accrochée : le poteau qui la soutient est très éloigné et l’effort de traction exercé sur le mur est considérable et permanent. Il s’agit donc d’un élément aggravant vis-à-vis de l’écartement des murs périphériques.

La périphérie immédiate du bâtiment ne comporte pas de protection vis-à-vis des eaux de pluie : trottoirs, système de drainage… ce qui est un facteur d’affaiblissement de la portance des sols sous les fondations.


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CHAPITRE 3 – ANALYSE DE LA STRUCTURE

3.1 – Les murs

Les modes de construction employés à l’époque de l’édification ne comportent pas de chaînages, de raidisseurs, de « ceintures » mais uniquement quelques tirants en fer dont la capacité de résistance n’est pas de nature à retenir les efforts qui leurs sont appliqués. La « poussée au vide » se produit aux niveaux 1 et 2, le niveau « combles » étant moins impacté. Des phénomènes particuliers augmentent considérablement les désordres : - Mauvaise qualité du sol sous les fondations entrainant des cassures structurelles plus ou

moins graves, mais nombreuses. - Absence de drainage à la périphérie immédiate du bâtiment pouvant entrainer des

modifications de la portance. - Absence de barrière étanche entre les soubassements et l’élévation avec remontées

capillaires très importantes. - Traction permanente sur le mur pignon due au câble électrique.

3.2 – Les planchers

Les sections des poutres et leurs entraxes ne permettent pas de justifier par le calcul la résistance à la flexion. Elles s’appuient donc obligatoirement sur les cloisons de distribution qui ne sont pas de nature à reprendre ce chargement. Le flambement de la cloison du rez-de-chaussée devant la cuisine est lié à ce phénomène. Absence de chauffage : le bois des poutres est soumis à des variations de température et surtout d’hygrométrie très importantes, entrainant de grandes variations dimensionnelles suivant les périodes. Les poussées et retraits alternatifs des planchers en bois, conjugués à leurs flexions, ont pu entrainer des cassures dans les murs, la disposition des fissures correspondant bien avec ce phénomène. Les attaques du bois par les xylophages semblent être limitées au plancher du haut du rez-de-chaussée : elles sont graves ; les poutres et les enfustages (planches qui soutiennent le carrelage) sont considérablement dégradées. Conclusion : L’écartement de la structure verticale est très important et très grave puisqu’il commence à impacter les appuis des poutres dans les murs, notamment le long du pignon EST ; mais il se produit sur l’ensemble de l’immeuble, et dans les 2 directions EST/OUEST et NORD/SUD dans des proportions similaires. Le dimensionnement des anciennes structures de planchers est très insuffisant vis-à-vis des contraintes appliquées. Cela explique des déformations par fléchissements qui se sont produites sur une durée longue. Elles vont continuer à progresser.


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3.3 - La Charpente

Bâtiment principal : La charpente en bois est ancienne et constituée de poutres en bois résineux de grandes portées. L’état des bois n’a pas été examinée de manière exhaustive dans le détail. Globalement, elle n’est pas apparue vermoulue et, hormis les cassures, nous n’avons pas détecté de poutres affaiblies ou nécessitant une intervention rapide. La cassure de la faîtière est liée à la suppression de la tête de la cloison qui supportait les chevrons et l’ajout d’un plafond suspendu : ceci a amené un chargement supplémentaire sur la poutre qui a finalement cédé ainsi que la poutre voisine, côté Sud. - Le chantier de réparation de charpente est en cours lors de notre visite du 14/11/2018

Dans les parties courantes, la rénovation de la couverture avec des plaques de PST a assurément allégé le chargement. On a relevé des extrémités de poutres qui sont sorties de leurs encastrements de plusieurs centimètres dans l’aile EST. Les charpentes des tours sont constituées d’éléments assemblés de petites dimensions. Des réparations et rajouts ont été disposés notamment dans la tour EST. Certaines pièces de bois sont considérablement dégradées car elles ont subi des fuites anciennes maintenant réparées. Les efforts qui leur sont appliqués sont faibles. Il s’agit de « rafistolages » dont il n’est pas possible de connaître la longévité ; mais la réparation de ces parties de charpente ne nous parait pas envisageable sans dépose et remplacement total. La poutre qui a été ajoutée sous le plafond et qui sort de son encastrement devra faire l’objet d’un travail de renfort de son appui après stabilisation des murs. L’écartement des murs n’est pas la conséquence de la poussée de la charpente ; il est la cause des échappements des appuis des poutres. Conclusions : La nécessité de réhabiliter totalement la charpente avec dépose de la couverture n’est pas une priorité , l’étanchéité générale semblant correcte. Compte tenu de la vétusté globale, le remplacement de l’ensemble devra toutefois être envisagé ; lorsque l’occurrence de la réfection totale des planchers interviendra, la dépose totale de la toiture permettra une réalisation du chantier avec des moyens de levage traditionnels : grue à tour, ce qui limitera les coûts et la durée globale des travaux ; la réalisation d’un chaînage périphérique en béton armé, indispensable à moyen terme, nécessitant déjà la dépose d’une partie de la couverture.


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CHAPITRE 4 PROPOSITIONS DE SOLUTIONS TECHNIQUES

La réhabilitation de l’immeuble n’est pas traitée dans le cadre de ce diagnostic. Toutefois, la démolition et reconstruction totale des planchers nous parait incontournable à moyen terme, le vieillissement des structures en bois étant très avancé. L’alourdissement de l’ouvrage qui s’en suivra devra entraîner un confortement des fondations. Les modes de renforcements stipulés ci-après ne peuvent constituer une solution définitive à la solidité de l’ensemble mais uniquement une mesure provisoire permettant de limiter les aggravations à court terme. Le traitement de l’écartement des tours uniquement nous paraît insuffisant ; les déformations étant similaires pour le corps central du bâtiment.

4.1 – ECARTEMENT GENERAL DE LA STRUCTURE

La mise en place de tirants métalliques type barres GEWI de DIWIDAG peut accroitre la résistance à la « poussée au vide »

- Voir plan de principe Elle peut être effectuée : soit au-dessus des planchers par encastrement dans l’épaisseur du carrelage, soit par-dessous. Les travaux comprendront la pose des clés extérieures avec percements traversants et le scellement de profilés soudés de type « peigne » pour encastrements sur la façade SUD.

4.2 - Charpente- Couverture

Après stabilisation des murs, le renforcement de l’appui de la poutre de renfort sous la charpente de la tour EST sera à réaliser : soit par remplacement de la poutre existante par une poutre plus longue, soit par moisage de plaques de rallonge.

4.3 – Planchers

La zone où l’affaissement est le plus important et où la solidité des poutres est faible est située au-dessus des cuisines. Un renforcement des poutres par moisage de poutrelles métalliques doit être effectué rapidement. Les enfustages (planches) sont également faibles car les poutres sont très écartées et leur portée est donc très grande. C’est le cas pour l’ensemble de la maison.


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4.4 – Reprise du mur extérieur en partie basse

Il s’agit d’une réparation sur une longueur d’environ 6 ml. Elle consistera : - Démolition de maçonnerie de pierre par parties alternées - Coffrage et remplissage en béton par phases

4.5 - Fondations

(Les caractéristiques du sol ne sont pas connues)

La mise en place de protections périphériques pour éloigner les eaux de pluie nous paraît très importante. Elle est à effectuer rapidement. Elles devront consister : - Canaliser les écoulement pour les éloigner des soubassements :réfection des réseaux

enterrés - Créer un réseau de drainage périphérique - Réaliser des trottoirs pour éviter les infiltrations contre les murs

4.6 – Réparation de l’escalier extérieur côté NORD

La structure de l’escalier est métallique avec des profilés type IPN encastrés dans le mur et remplissage en maçonnerie. Ces poutrelles sont rouillées et ne sont pas « réparables » L’escalier devra être démoli et reconstruit, par exemple en béton armé.


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CHAPITRE 5 ESTIMATIONS

1 – Tirants

Voir PLAN DE PRINCIPE EN ANNEXE

Tirants type GEWI 20 ml 186 Clés extérieures U 35 Ancrages scellés U 4 Montant estimé HT 25 000.00 €

2 – Réparation poutre sous tour EST

Reprise de l’ancrage dans le mur Montant estimé HT 1 500.00 €

3 – Confortement de plancher

Poutrelles métalliques scellées sur sommiers béton armé Moisages des poutres bois ( non compris reprises de cloisons, plafonds et peintures ) Montant estimé HT 12 000.00 €

4 – Reprise du mur extérieur en soubassement

Démolition de maçonnerie en sous-œuvre Béton : coffrage – coulage par parties alternées Montant estimé HT 9 000.00 €

5 – Protections périphériques

Canalisations EP : 80 ml Regards : 10 U Drain : 105 ml Dallages pour trottoir 160 m² Montant estimé HT 55 000.00 €

6 – Réparation de l’escalier extérieur

Démolition Maçonnerie Ferronnerie Montant estimé HT 25 000.00 €


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DIVERS

- Traitement des murs contre les remontées capillaires : une campagne d’injections dans les

murs en pierre pour limiter la remontée d’humidité et protéger le mortier de hourdage est nécessaire.

- Traitement des bois : protection contre les xylophages

+ Suppression de la ligne électrique aérienne

Maîtrise d’œuvre

Les estimations ci-avant ne comprennent pas les frais d’études d’exécution et de maîtrise d’œuvre.

Estimation prévisionnelle : TAUX 10 %


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DOSSIER PHOTOS

TOUR SUD EST Fissure sur le mur


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PIGNON EST


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PIGNON OUEST

Bombement du mur

FACADE SUD COTE OUEST


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PIGNON OUEST


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CAGE D’ESCALIER Partie haute


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CHARPENTE TOUR EST

DETAIL DU BOIS


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POUTRE CASSEE AILE OUEST


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Visite du 14 novembre 18 :

Cassure panne :

PLANS – SCHEMAS

Documents

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