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CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE

DOSSIER COTE D’IVOIRE

PARTICIPATION et CONTRIBUTION de la délégation du CONSEIL MONDIAL

de la DIASPORA PANAFRICAINE à la CEREMONIE de DEDICACE du LIVRE

« NAISSANCE d’une NATION » (œuvre de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire)

et à la TABLE RONDE « TRANSITION DEMOCRATIQUE

et NAISSANCE des NATIONS en AFRIQUE »

Suivies de la DEDICACE du livre du Président Laurent GBAGBO

« SOUNDJATA » au Palais de la culture.

les 23, 24, 25et 26 mars 2006, à ABIDJAN - Côte d’Ivoire

CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE 85, boulevard Saint – Michel - 75005 – PARIS- tél/fax : (+33) 143.258.050.

Mémoire d’Afrique » : http://africa.smol.org - mail : africa@smol.org

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SOMMAIRE

1) Participation et contribution de la délégation du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine à la cérémonie de dédicace du livre « Naissance d’une Nation », œuvre de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire et à la table ronde « Transition démocratique et naissance des nations en Afrique », les 23, 24 et 25 mars 2006. Page 03 2) Lettre à Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire, Professeur Mamadou KOULIBALY, concernant l’invitation du Professeur Kapet de BANA à la cérémonie de dédicace de l’ouvrage : « Naissance d’une Nation », le vendredi 24 mars 2006 à Abidjan. Le 14 mars 2006. Page 11 3) Lettre de remerciements du C.M.D.P. à Madame la Première Dame de la République et à Monsieur le Président de la République de Côte d’Ivoire, Laurent GBAGBO, notre SOUNDJATA, grand combattant résistant de la Liberté, de la Dignité et de la Renaissance africaine du 21ème siècle du 3ème millénaire. Le 31 mars 2006. Page 12 4) Lettre de remerciements du C.M.D.P. à Son Excellence, Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire, Professeur KOULIBALY Mamadou, le 31 mars 2006. Page 14 5) Lettre de Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale de la République de Côte d’Ivoire, Professeur Mamadou KOULIBALY. Le 31 mars 2006. Page 17 6) Lettre du C.M.D.P. au Professeur Malick Ndiaye, le 4 avril 2006. Page 18 7) Revue de presse de Côte d’Ivoire. Page 19 8) Interviews du Professeur Kapet de BANA, vice-président de l’U.I.D.H. en mission d’intercession et de bons offices en Côte d’Ivoire du 25 au 29 novembre 2002 au journal « le Réveil », n°315 et 316 Page 22 9) Photos Page 25 10) Pour en savoir plus : « Mémoire d’Afrique » : http://africa.smol.org Page 26

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CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE

PARTICIPATION et CONTRIBUTION de la délégation du CONSEIL MONDIAL

de la DIASPORA PANAFRICAINE à la CEREMONIE de DEDICACE du LIVRE

« NAISSANCE d’une NATION » (œuvre de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire)

et à la TABLE RONDE « TRANSITION DEMOCRATIQUE

et NAISSANCE des NATIONS en AFRIQUE »,

les 23, 24 et 25 mars 2006, sous la diligence du Président KOULIBALY Mamadou,

Président de l’Assemblée Nationale de la République de Côte d’Ivoire.

Présentées par le Professeur Kapet de BANA,

Coordinateur International du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine et de

la Société Savante des Encyclopédistes africains. Délégation du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine : - Madame Ruth NABAKWE - Professeur Nicolas AGBOHOU - Professeur Kapet de BANA

CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE 85, boulevard Saint – Michel - 75005 – PARIS- tél/fax : (+33) 143.258.050.

« Mémoire d’Afrique » : http://africa.smol.org - mail : africa@smol.org

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CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE LIGUE CAMEROUNAISE des DROITS de l’HOMME

COMMUNIQUE de PRESSE DU CONSEIL MONDIAL de la DIASPORA PANAFRICAINE

en partenariat avec la LIGUE CAMEROUNAISE DES DROITS de l’HOMME.

AU SECOURS D’URGENCE. LE PEUPLE MARTYR de

COTE d’IVOIRE, sous tutelle des Nations Unies néocoloniales criminelles, SE MEURT !

Le paroxysme du néocolonialisme triomphant en Côte d’Ivoire ou le cimetière des principes des Droits de l’Homme et

des Peuples à disposer d’eux-mêmes.

KOFI ANNAN et le Conseil d’Insécurité des Nations Unies et les gouvernements néocoloniaux corrompus génocidaires

sont entrain d’ensevelir le peuple de Côte d’Ivoire, sans secours, ni recours.

La résistance des peuples contre l’oppression demeure, qu’on le veuille ou non, la règle d’or des Droits de l’Homme

inscrite dans la fameuse Déclaration Universelle.

DIEU n’a pas négocié avec le diable pour faire le monde. En d’autres termes, « LA LIBERTE ou LA MORT »

a écrit Robespierre à Paris, comme Lafayette à Washington ou Churchill à Londres et

pourquoi pas GBAGBO en Côte d’Ivoire.

DIEU et le PEUPLE le soutiennent avec tous les démocrates d’Afrique et du monde contre

le néocolonialisme corrompu sanguinaire.

La Sainte Bible, elle-même, ne nous enseigne-t-elle pas la légitime défense ?

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CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE LIGUE CAMEROUNAISE des DROITS de l’HOMME

COMMUNIQUE de PRESSE DU CONSEIL MONDIAL

de la DIASPORA PANAFRICAINE en partenariat avec

la LIGUE CAMEROUNAISE DES DROITS de l’HOMME.

§ RAPPELS des APPELS d’URGENCE AU SECOURS de la COTE d’IVOIRE pour le respect de la souveraineté

et de l’intégrité territoriale incarnées légitimement par

le Président Laurent GBAGBO soutenu par le rapport MBEKI

au nom de l’Union Africaine que nous encourageons.

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site Internet : http://africa.smol.org - mail : africa@smol.org

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COMMUNIQUE de PRESSE du CONSEIL MONDIAL de la DIASPORA PANAFRICAINE en partenariat avec la LIGUE CAMEROUNAISE DES DROITS de l’HOMME.

§ RAPPELS des APPELS d’URGENCE AU SECOURS de la COTE

d’IVOIRE pour le respect de la souveraineté et de l’intégrité territoriale incarnées légitimement par le Président Laurent GBAGBO,

soutenu par le rapport MBEKI, au nom de l’Union Africaine que nous encourageons.

Rappel des appels d’urgence au secours de la Côte d’Ivoire dont

la souveraineté est confisquée et les populations massacrées par les régimes néocoloniaux africains corrompus sanguinaires, sous couvert des Nations Unies et des organisations sous- régionales criminelles, genre CEDEAO, situation de tragi-comédie sanguinaire au Togo, au Darfour, au Liberia, en Centrafrique, au Tchad, en Sierra Leone, en Casamance, à Bakassi, en Mauritanie, etc…., avec la caution active des Nations Unies et ses représentants corrompus et impertinents, du genre TEVOGERE, à l’image de Kofi Annan soudoyé à la tête des Nations Unies par rapport au génocide rwandais et à l’argent du pétrole irakien détourné par le fils de Kofi Annan en échange de nourriture et de médicaments dus au peuple irakien sous l’anéantissement des armes de destruction massive anglo-américaines en quête du pétrole au Moyen Orient, comme au Palestine.

Le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine, en partenariat

avec la Ligue Camerounaise des Droits de l’Homme, interpelle l’opinion internationale au secours d’urgence actif du gouvernement légitime de souveraineté nationale incarné par le Président Laurent GBagbo contre une bande de criminels, armée et soutenue de l’extérieur par les gouvernements coloniaux impérialistes nostalgiques contre le développement durable de l’Afrique spoliée et endettée par le G8, nouvelle version de l’impérialisme européen du 3ème millénaire sous l’égide exclusive du Conseil de Sécurité des cinq puissances sanguinaires qui régentent le monde, 60 ans après la fameuse création des Nations Unies et la Déclaration dite universelle des Droits de l’Homme.

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COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE

COMMUNIQUE DE PRESSE du CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA

PANAFRICAINE &

APPEL D’URGENCE POUR LA COTE D’IVOIRE pour que les DEMOCRATES DU MONDE

SE REVEILLENT ET VEILLENT ! §

Toujours et encore la Côte d’Ivoire !

Même les journalistes ne se risquent plus de chercher la vérité et de la dire comme c’est leur mission, car, c’est la mort par disparition ou par assassinat qui les guette au bout de leurs plumes et au son de leurs micros.

Réagissons et agissons ! Le Conseil de Sécurité et la communauté internationale sont tristement

responsables et l’Afrique doit se lever au moment où Monsieur Konaré, Président de l’Union Africaine, nous annonce, en grandes pompes, la création de l’Organisation panafricaine de prévention des conflits pour la Paix en Afrique par l’Union Africaine : « Le Conseil de Paix et de Sécurité » .

Notre communiqué du 10 décembre 2002 est toujours d’actualité, que nous rappelons sous le titre :

APPEL D’URGENCE POUR LA COTE D’IVOIRE pour que les DEMOCRATES DU MONDE SE

REVEILLENT ET VEILLENT ! Que devient la Côte d’Ivoire depuis le 19 septembre 2002, après la réunion des

Chefs d’Etat de la CEDEAO à Yamoussoukro, à Dakar, au Ghana qui ont finalement élu domicile à Lomé où le peuple togolais n’a plus d’autres occupations que d’héberger et d’entretenir des parasites, professionnels négociateurs, pompiers pyromanes, et ce,

- depuis que BONGO est allé voir le Roi du Maroc, - depuis que WADE a dit que, seule la France pouvait amener la paix en Côte

d’Ivoire, - depuis que la France et les Etats Unis ont retiré leurs ressortissants pour laisser les

ivoiriens s’entre-tuer avec les armes fournies par les bailleurs génocidaires, - depuis que le Ministre français des Affaires Etrangères a fait sa tournée de « pote –

pote » à Abidjan, à Ouagadougou, à Bamako et à Lomé, - depuis que OUATTARA a quitté sa chambre de l’Ambassade de France pour aller

se réfugier à Libreville chez BONGO,

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- depuis que les Présidents de la Côte d’Ivoire, du Burkina Faso, du Mali se sont rencontrés à Bamako,

- et enfin, c’est maintenant le tour du Président du Togo d’aller rencontrer le Président de la Côte d’Ivoire pour finir par Paris avant de retourner à Lomé recommencer la danse macabre pendant que la liste des morts s’allonge, les charniers et fosses communes s’ouvrent et la CROIX ROUGE pleurniche et le peuple ivoirien se meurt…….. TROP, c’est TROP !

Aux dernières nouvelles, le Ministre français des Affaires Etrangères vient enfin

de se rendre compte que la Côte d’Ivoire est agressée et que c’est à Paris qu’il faut que les Ivoiriens se rendent pour élire domicile et continuer la danse sous la musique macabre devenue trop assourdissante pour les populations togolaises, EYADEMA le conciliateur impuissant, le maréchal Président sans troupes, devant rendre son tablier .

Et pourtant, les principaux éminents médiateurs dans ce conflit sont favorisés par une

triple légitimité aux yeux des populations africaines : 1) la légitimité géographique de proximité frontalière limitrophe de la Côte d’Ivoire.

(voir le proverbe : « quand la case du voisin brûle…… » on devine la suite………) 2) la légitimité politique, ce sont des Chefs d’Etat pleins d’expérience par rapport au

conflit du genre qui endeuillent la Côte d’Ivoire. 3) la légitimité du pouvoir militaire car, ce sont des généraux militaires de carrière,

Chefs d’Etat et Chefs suprêmes des armées nationales, sous leur haute autorité, qui devraient en imposer à leurs homologues militaires mutins de Côte d’Ivoire.

Aussi, ces trois sources de légitimité condamnent psychologiquement les quatre

Présidents du Togo, du Burkina Faso, du Mali, et du Nigeria, de surcroît investis par le pouvoir de l’organisation régionale, la CEDEAO, à éteindre l’incendie qui est entrain de ravager le village de leurs voisins ivoiriens en crise politique, sociale et économique.

Quel triste souvenir que ce 10 décembre 2002, triste 54ème anniversaire de la

Déclaration Universelle des Droits de l’Homme des Nations Unies pour l’Afrique endeuillée, meurtrie, terrorisée, apeurée……….

Ainsi, en résumé, la Côte d’Ivoire se meurt sous l’impuissance de la communauté sous-régionale, régionale, continentale et finalement mondiale, complice des forces négatives criminelles qui assassinent femmes et enfants et toutes catégories de populations vulnérables sans défense, à coups d’escadrons de la mort qui ont transformé ce beau pays en charniers et fosses communes au bord desquels les « CROIX ROUGE » du monde versent les larmes de crocodile, sans conviction.

Face à ce rituel macabre, la Ligue Camerounaise des Droits de l’Homme, solidaire de la Ligue Ivoirienne des Droits de l'Homme, réitère son appel d’urgence et interpelle toutes les forces éprises de paix pour que ce drame cesse au plus vite et encourage l’Union Interafricaine des Droits de l’Homme dans ses initiatives de missions d’intercession et de bons offices auprès de tous les antagonistes responsables pour que la paix et la quiétude sociales reviennent dans ce beau pays de fraternité africaine légendaire qu’est la Côte d’Ivoire où les populations victimes vivent la peur au ventre et la mort aux trousses, constat que nous venons de faire sur le terrain, sous l’égide de l’Union Interafricaine des Droits de l’Homme, présidée par Maître Halidou OUEDRAOGO.

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Ainsi va l’Afrique, avec les calamités génocidaires au Rwanda, au Burundi, au Congo, au Liberia, en Sierra Leone, en Guinée Bissau, en Casamance, en Angola, au Cameroun, en Centrafrique, en Algérie, au Polisario, au Soudan, au Tchad, à Madagascar, aux Comores, en Somalie, en Ethiopie- Erythrée……..

Triste fin du 2ème millénaire, triste commencement du 21ème siècle à peine

entamé…..Où va le monde ainsi ensanglanté……… Peut-être se sentira –t-il mieux après que les dirigeants sans vision, actuellement au

pouvoir dans le monde, auront aveuglement massacré, sans discernement, tous les génies et enseveli tous les acquis du Patrimoine Commun de l’Humanité, et ce, d’autant plus que l’actuel illustre Président des Etats Unis ne déploie la haute technologie de la plus puissante nation du globe que par aventurisme fantasmagorique autrement que par souci de préservation de la paix dans le monde.

C’est pourquoi, nous rappelons instamment l’Europe et les Etats Unis à s’assagir

et à agir avant que les derniers témoins rescapés des anciennes catastrophes mondiales occasionnées par leurs turpitudes meurtrières, ne disparaissent sans laisser de traces à l’Histoire, en faveur des générations futures.

Dans cette épreuve douloureuse, nous devons nous sentir tous ivoiriens pour la Paix, la Fraternité et la Concorde nationales.

Qu’enfin, les penseurs du monde, les philosophes, les théologiens, plus que des

intellectuels, se réveillent et éveillent sur le monde !

Le 10 décembre 2002 Le 26 mai 2004

Le 29 septembre 2005 Le 20 janvier 2006

Professeur Kapet de BANA,

Coordinateur International du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine et Président de la Ligue Camerounaise des Droits de l’Homme,

Ancien conseiller du gouvernement de la République de Côte d’Ivoire du Président Houphouët BOIGNY,

Membre de la mission d’intercession et de bons offices de l’Union Interafricaine des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire en novembre 2002.

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site Internet : http://africa.smol.org - mail : africa@smol.org

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Pour en savoir plus : « Mémoire d’Afrique » : http://africa.smol.org

1) Les intellectuels africains, défenseurs des Droits de l’Homme face à la crise politique et sociale en Côte d’Ivoire ou la deuxième mort d’Houphouët BOIGNY. Le 15 octobre 2002. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress20.pdf

2) Appel du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine pour la Paix en Côte d’Ivoire. le 5 décembre 2002. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress21.pdf

3) Interviews du Professeur Kapet de BANA, vice-président de l’U.I.D.H. en mission d’intercession et de bons offices en Côte d’Ivoire du 25 au 29 novembre 2002 au journal « le Réveil », n°315 et 316. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh.part22.pdf

4) Rapport de mission d’intercession et de bons offices de l’Union Interafricaine des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire du 25 au 29 novembre 2002 par le Vice-président, le Professeur Kapet de BANA. le 30 décembre 2002. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh.part23.pdf

5) Communiqué de presse de la Ligue Camerounaise des Droits de l’Homme en partenariat avec le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine : « Leçons à tirer de la Conférence de Paris concernant la crise politique et sociale en Côte d’Ivoire et l’instauration de la Paix durable par le respect des libertés démocratiques et des Droits humains ». Le 04 février 2003. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress30.pdf

6) L’Afrique sans journalistes. Journalisme et journalistes en danger en Afrique ! A quand de vraies écoles qui forment de vrais journalistes pour gérer de vrais journaux en Afrique ? Le 03 novembre 2003. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress48.pdf

7) Appel d’urgence pour la Côte d’Ivoire pour que les démocrates du monde se réveillent et veillent. Toujours et encore la Côte d’Ivoire. Le 26 mai 2004. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress56.pdf

8) Solidarité du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine avec les populations victimes de Côte d’Ivoire après ACCRA III. Le 05 août 2004. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress58.pdf

9) Appel d’urgence pour la Côte d’Ivoire pour que les démocrates du monde se réveillent et veillent. Du 26 mai 2004, après interpellation et appel de la Ligue Camerounaise des Droits de l’Homme, au 20 novembre 2004, notre détermination demeure et nous la réitérons parce que seule voie impérieuse contre le crime et le génocide dont est responsable la communauté internationale en Côte d’Ivoire. Le 20 novembre 2004. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress60.pdf

10) Au secours de la Côte d’ivoire recolonisée, pillée, divisée, sous tutelle des Nations Unies et administrée par les armées néocoloniales dites « LICORNE » ou « CASQUES BLEUS » nouvelle version, sous la conduite de Kofi Annan, comme ce fut le cas au Rwanda génocidé et actuellement le cas au Darfour endeuillé, incapable de désarmer une bande de mercenaires équipée par les puissances coloniales avec la complicité des gouvernements africains néocoloniaux corrompus. Les peuples d’Afrique doivent voir clair et agir ! le 02 mars 2005. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress73.pdf

11) Rappel des appels d’urgence au secours de la Côte d’Ivoire pour le respect de la souveraineté et de l’intégrité territoriale incarnées légitimement par le Président Laurent GBAGBO soutenu par le rapport MBEKI au nom de l’Union Africaine que nous encourageons. Le 29 septembre 2005.http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress92.pdf

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CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE (C.M.D.P.)

Excellence, Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire,

Professeur Mamadou KOULIBALY,

Le 14 mars 2006

Excellence,

Le secrétariat de la Coordination Internationale du Conseil Mondial de la

Diaspora Panafricaine a l’insigne honneur d’accuser réception de votre correspondance N° 250/AN/PT/OHF, invitant le Coordinateur International, Monsieur le Professeur Kapet de BANA à la rencontre de la dédicace de l’ouvrage « Naissance d’une Nation », à l’Assemblée Nationale, le vendredi 24 mars 2006, à Abidjan.

Aussi, nous vous remercions de cette invitation et confirmons la participation de Monsieur le Professeur de BANA en attente du titre de transport.

Dans cette attente, veuillez agréer, Excellence, Monsieur le Président, l’expression de notre très haute considération.

Le secrétariat

Permanence de la Coordination internationale et de la Consultation pédagogique et scientifique : Professeur Kapet de BANA

CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE 85, BD Saint-Michel – 75005 PARIS – Tél/Fax : (+33) 143.258.050. «Mémoire d’Afrique » : http://africa.smol.org mail : africa@smol.org

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**COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM**

CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE Objet : Remerciements à la suite de l’invitation du couple présidentiel réservée aux participants de la réunion du Colloque de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire.

Le 31 mars 2006

Excellences, Madame la Première Dame de la République et Monsieur le Président de la République de Côte d’Ivoire,

Laurent GBAGBO, notre SOUNDJATA, grand combattant résistant de la Liberté, de la Dignité et de la Renaissance africaine

du 21ème siècle du 3ème millénaire.

Excellences, Ayant rejoint le siège de la Coordination Internationale du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine, et après nous être imprégnés, à vos côtés, des réalités et des dures conditions auxquelles vous êtes confrontés pour sortir l’Afrique, Berceau de l’Humanité et Berceau de nos ancêtres, et la Côte d’Ivoire généreuses, de la domination criminelle et génocidaire des puissances coloniales impérialistes nostalgiques et de la communauté internationale prébendière, nous vous rendons un vibrant hommage mérité pour votre détermination constante inébranlable et demeurons inconditionnellement à vos côtés pour la victoire ultime. Excellence, vous qui êtes Notre SOUNDJATA du 21ème siècle, Libérateur de l’Afrique pour la dignité, la liberté et l’amour, le Colloque « Transition démocratique et naissance des Nations africaines », initié et orchestré par l’Assemblée Nationale souveraine de la République de Côte d’Ivoire, sous la haute diligence patriotique de Son Excellence, Monsieur le Président KOULIBALY Mamadou, et, admirablement, efficacement et brillamment modéré par Monsieur Charles BLE GOUDE, responsable national de la jeunesse patriotique héroïque de la Côte d’Ivoire généreuse, martyre, se veut le point nodal de départ du mouvement de la renaissance africaine par le respect des Droits des Peuples à disposer d’eux-mêmes, c’est-à-dire, fondement historique « du gouvernement du peuple par le peuple pour le peuple ». Aussi, les intellectuels d’Afrique et de la diaspora, venus de tous les continents, ont pu, dans un élan de conscience visionnaire, élaborer et mettre en place un réseau de coordination de plan d’action de solidarité pour la consolidation, la promotion et la défense des Libertés démocratiques et des Droits fondamentaux des Peuples à disposer d’eux-mêmes et à gérer démocratiquement leurs propres richesses culturelles, économiques, sociales, au triple plan, technique, scientifique et technologique, en vue du développement durable contre l’injustice, la corruption et l’impunité.

Excellence, Monsieur le Président de la République de Côte d’Ivoire, Laurent GBAGBO, répétons-le, avec toute la force de notre foi, que vous êtes Notre SOUNDJATA, grand combattant résistant de la Liberté, de la Dignité et de la Renaissance africaine du 21ème siècle du 3ème millénaire.

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Aussi, le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine, aux termes des articles 2 et 4 des statuts, fait désormais partie intégrante du réseau signataire de la « Déclaration d’Abidjan » engageant les Peuples d’Afrique à mettre tout en œuvre pour que la Paix revienne en Côte d’Ivoire, terre de dialogue, de solidarité et de fraternité entre les peuples, les êtres et les nations par l’amitié et le respect mutuel. Dans l’espoir que les conditions prévues seront rapidement mises en place pour que la « Déclaration d’Abidjan » se répande intensément, nous réitérons notre détermination inconditionnelle d’être à vos côtés pour œuvrer au triomphe des idéaux pour le bonheur, le progrès et la justice pour tous. En effet, dans la « Déclaration d’Abidjan », le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine a entrevu que soit édifié, à Abidjan, un « MEMORIAL PEDAGOGIQUE SOUNDJATA », Monument de la Liberté et du Souvenir de tous les héros et héroïnes de la résistance pour la Renaissance africaine : - Les Amazones du Dahomey, Joséphine BAKER, Coretta King, Nzinga, Rosa Parks, La

Reine Abla POKOU de Côte d’Ivoire, Ernestine POTOWSKI ROSE, Reine RANAVAIONA III de Madagascar , SEPTEMBER Dulcie, Solitude, Harriet TUBMAN (ROSS), Kimpa VITA, etc….

- Roi d’ABYSSINIE d’Ethiopie, Sylvère et Jules ALCANDRE, Cheikh ANTA DIOP, Mehdi BEN BARKA, Roi Duala BELL (Cameroun), BEHANZIN : Roi du Dahomey, Barthélémy BOGANDA, BOURGUIBA, Amilcar CABRAL, Maître DEMBA, Telli DIALLO, Roi Latt DIOR (Sénégal), Roi JOYA (Roi de Bamoun-Foumba), William Edward Burgardt DUBOIS, Félix EBOUE, Frantz FANON, William Lloyd GARRISON, Marcus GARVEY, Roi GHEZO du Dahomey, Abbé Henri GREGOIRE, Félix HOUPHOUET BOIGNY, Laurent Désiré KABILA, L’émir Abdel KADER d’Algérie, Jomo KENYATTA, Modibo KEITA, Roi du Manding (Mali), Abel KINGUE, Kwamé N’KRUMAH , Toussaint LOUVERTURE, Patrice LUMUMBA, Martin LUTHER KING, MALCOM X, Marcel MANVILLE, Roi MOHAMED V du Maroc, Félix-Roland MOUMIE, Le Roi MOKOKO du Gabon, Le MORO NABA, Roi des MOSSIS (Burkina Faso), Abdel Gamel NASSER, Julius NYERERE, R.G. NICOLO, Sylvanius OLYMPIO, Ernest OUANDIE, Georges PADMORE, Thomas SANKARA, Empereur Haïlé SELASSIE, Keïta SOUNDJATA, Roi TAFFOU-APY (Royaume Bana), l’Almany Samory TOURE, Rubens UM NYOBE, William WILBERFORCE, Alpha YAYA, etc…

Dans cette attente, Excellences, Monsieur le Président, Madame la Première Dame de la République, Simone GBAGBO, je vous prie, en mon nom personnel et au nom de la délégation du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine qui a œuvré avec humilité et amour au cours de la Conférence d’Abidjan, de daigner accepter nos sentiments de profonde admiration et affection.

Pour le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine, Le Coordinateur International,

Professeur Kapet de BANA

Délégation du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine : - Madame Ruth NABAKWE - Professeur Nicolas AGBOHOU - Professeur Kapet de BANA

CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE

COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM 85, Bd Saint – Michel – 75005 – PARIS - tél/fax : 01.43.25.80.50.

« Mémoire d’Afrique » : http://africa.smol.org – mail : africa@smol.org

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**COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM**

CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE Objet : Remerciements en guise de témoignage à l’issue de la rencontre d’Abidjan, les 23, 24 et 25 mars 2006, concernant la dédicace du livre « Naissance d’une Nation », organisée par l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire.

Le 31 mars 2006

Excellence, Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire,

Professeur KOULIBALY Mamadou,

Excellence, J’ai l’insigne honneur de venir très respectueusement, par la présente, vous témoigner

et réitérer, en mon nom personnel et au nom de la délégation du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine que vous avez bien voulu inviter et associer aux journées mémorables de la dédicace du livre « Naissance d’une Nation » et du Colloque « Transition démocratique et naissance des Nations africaines », sous l’égide de l’Assemblée Nationale souveraine de la République de Côte d’Ivoire, notre admiration pour votre détermination et votre vision lumineuse d’une Afrique libre, débarrassée des forces coloniales et néocoloniales nostalgiques sanguinaires génocidaires, instrumentalisées par les forces des Nations Unies mal diligentées par le Secrétaire Général KOFI ANNAN.

Aussi, Excellence, Monsieur le Président, le Conseil Mondial de la Diaspora

Panafricaine, aux termes de l’article 4 des statuts, s’inscrit à vos côtés pour le lancement du réseau panafricain que la rencontre d’Abidjan, sous votre haute diligence, a mis en place pour le triomphe des idéaux démocratiques de la Renaissance africaine, pour la dignité, la liberté et le développement harmonieux contre la corruption, l’injustice et l’impunité.

ARTICLE 4 : LA CHARTE DE L’UNITÉ DE LA DIASPORA

AFRICAINE ET DES PEUPLES NOIRS.

La présente charte définit l’éthique de l’Association vis à vis des groupes, des Etats, des organisations, des institutions envers lesquels elle agit ainsi que les modalités d’actions envisagées.

Tous les membres de la Diaspora, à quelque titre que ce soit, sont liés par cette charte et devront s’y conformer tant au niveau de leurs actions que de leur prise de parole au nom de l’Association :

1. Travail et Combat pour la Renaissance, la Reconstruction et le Développement de l’Afrique.

2. Réhabilitation des Peuples Noirs marginalisés. 3. Evaluation de l’apport et de la part de l’Afrique et des Peuples Noirs dans le

Patrimoine Général de l’Humanité.

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4. Devoir de mémoire : reconstitution du patrimoine détruit, pillé et spolié et leur récupération des mains des pilleurs colonisateurs esclavagistes.

5. Participation à l’élaboration des stratégies mondiales de la coopération et du développement général de l’Humanité.

6. Exiger le repositionnement de l’équilibre de la représentation du monde sur la base des cinq continents. La démocratie rotative à l’échelon mondial, direction à tour de rôle par ordre alphabétique des instances mondiales et des organisations internationales (respect systématique de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme des Nations Unies).

7. Exiger la démocratie participative à l’intérieur des sociétés africaines, favorisant ainsi le jeu de l’alternance démocratique dans la gestion des pouvoirs publics.

8. Exiger la condamnation à la réparation effective des dégâts causés à l’Afrique par les Etats esclavagistes de l’Occident euro – américain, de l’Orient ou du Moyen Orient Arabe.

9. Contribution par des actions concrètes programmées à la désaliénation spirituelle et culturelle des peuples colonisés au moyen de l’élaboration et de la mise en place de systèmes éducatifs devant générer le progrès scientifique et technologique centré sur l’être humain et ses besoins ressentis.

10. Encourager la mise en place à l’échelle mondiale d’une nouvelle pédagogie de l’enseignement de l’Histoire Universelle basée sur le dialogue des civilisations caractéristiques des sociétés des cinq continents réhabilitant ainsi la dignité de l’Afrique et des peuples noirs bafouée.

11. Conscientisation et responsabilisation des élites et des dirigeants des Peuples Noirs en vue de la pleine réalisation du bonheur et des aspirations profondes des populations en retard de développement.

12. Institutionnalisation d’une journée mondiale des retrouvailles de la Diaspora Panafricaine chaque mois de décembre en vue de renforcer les liens de fraternité favorisant l’esprit d’union, pour le développement de notre civilisation et notre participation à la détermination ou l’élaboration des stratégies mondiales. Cette journée considérée comme « journée de la renaissance africaine » revêtira une ampleur particulière pour l’évocation commémorative consacrée à la mémoire de toutes les victimes de l’esclavage, de la traite négrière, de la colonisation et du néocolonialisme.

13. Le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine informera l’opinion publique dans l’intention de promouvoir la reconnaissance aussi large que possible de la primauté de l’esprit de réhabilitation de la dignité humaine indistinctement au plan universel.

Excellence, Monsieur le Président, Nous ne terminerons pas cette lettre de remerciements du Conseil Mondial de la

Diaspora Panafricaine et de la Société Savante des Encyclopédistes africains sans réitérer notre admiration au vaillant peuple ivoirien martyr, son Parlement, ses Députés patriotes qui ont procuré, à tous les participants du continent et de la diaspora, un accueil familial dans ce beau pays de Côte d’Ivoire, pays de la fraternité africaine légendaire et pays de ressourcement de tous les africains en quête de spiritualité ancestrale et d’humanisme universel.

Enfin, nous réitérons également notre admiration et notre affection particulières à

Madame KOULIBALY, notre sœur, qui a, à vos côtés, su nous nourrir et de nourriture et d’affection maternelle.

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Une note particulière de nos remerciements et de notre reconnaissance va aux médias et

aux journalistes ivoiriens et étrangers qui ont su inonder le paysage national et africain des informations concernant cette rencontre mémorable à l’Assemblée Nationale souveraine d’Abidjan.

Nous n’oublierons pas également les officiels et les officiers du Salon d’Honneur

d’accueil de l’aéroport d’Abidjan qui nous ont fraternellement accueillis et informés. Aussi, bien entendu, tous les services et les maîtres de cérémonie de l’Assemblée

Nationale souveraine, sous votre haute diligence, que nous félicitons et admirons fraternellement pour leur disponibilité inlassable durant notre séjour.

Pour le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine, Le Coordinateur International,

Professeur Kapet de BANA.

Délégation du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine : - Madame Ruth NABAKWE - Professeur Nicolas AGBOHOU - Professeur Kapet de BANA

CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM

85, Bd Saint – Michel – 75005 – PARIS - tél/fax : 01.43.25.80.50. « Mémoire d’Afrique » : http://africa.smol.org – mail : africa@smol.org

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ASSEMBLEE NATIONALE REPUBLIQUE DE COTE D’IVOIRE

------- Union – Discipline – Travail 01 BP 1381 Abidjan 01 ------------- Tél : (225) 20 20 96 32 Fax : (225) 20 20 82 97

Le Président N°_____AN/PT/DSL/SEAP-kkd Abidjan, le 31 mars 2006 A

Monsieur Kapet de BANA Professeur

Objet : Remerciements Monsieur le Professeur, Nous avons été particulièrement honoré de votre présence effective à la cérémonie de dédicace de l’œuvre « Naissance d’une Nation » qui a eu lieu, le vendredi 24 mars 2006, à l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire. Aussi, venons-nous par la présente, vous témoigner toute notre gratitude pour votre engagement à nos cotés dans le difficile combat pour l’émancipation de nos peuples en proie aux velléités impérialistes des ex-puissances coloniales qui refusent l’indépendance de l’Afrique. Certes, le chemin pour y parvenir est semé d’embûches cependant, nous demeurons persuadés que dans une action concertée et continue, nous parviendrons à l’éveil des consciences et à la prise en main de notre destin. Avec les compliments de l’ensemble des Parlementaires ivoiriens pour votre haute contribution à la réussite de cette cérémonie, nous vous prions de croire, Monsieur le Professeur, en l’assurance de notre considération fraternelle.

Prof. KOULIBALY Mamadou

REPUBLIQUE

DE COTE D’IVOIRE

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**COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM**

CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE

Le 4 avril 2006 Bonjour Malick,

Depuis notre séparation d’Abidjan, c’est maintenant que j’arrive à domicile et qu’on

m’informe des derniers soubresauts que le caméléon WADE est entrain d’utiliser pour torturer et réduire au silence les combattants de la civilisation démocratique.

Qu’il se rassure, la jeunesse d’Afrique et de la diaspora, les populations meurtries et trompées par lui et qui attendent vainement le « SOPI », sont entrain de s’en raviser. Les étudiants, les intellectuels, les paysans, les pêcheurs sont morts par milliers sur les campus, dans les vieux bateaux ou dans les prisons, depuis qu’ils l’ont porté au pouvoir.

Et la guerre continue en Casamance de plus belle. Pourtant, il prétend aller arbitrer

d’autres conflits en mettant le feu sur sa propre maison. Quel illustre farceur ! Heureusement pour lui, les peuples africains en ont vu d’autres depuis la traite

négrière, l’esclavage, la colonisation, le néocolonialisme dont il revendique le leadership au point de prétendre au siège africain du Conseil de Sécurité des Nations Unies.

Bref, l’Afrique, sa jeunesse et sa diaspora continuent le combat contre la veulerie et

l’inconséquence des technocrates de la politique sans vision. Malick, bon courage. Un combattant doit s’attendre à tout du côté de l’adversaire à

moins de ne l’avoir pas correctement identifié. Heureusement, ce n’est pas notre cas. Car, nous connaissons nos bourreaux. Wade

étant leur gardien et leur défenseur. Le bourreau AHIDJO du Cameroun enterré à Dakar, le bourreau Hissène HABRE du Tchad sous sa protection à Dakar, et la guerre continue en Casamance et on attend toujours le « SOPI ».

Courage Professeur Malick. Je ne comprenais pas ton silence après notre séparation d’Abidjan surtout que

j’attendais dans la soirée après ton arrivée à Dakar que tu me retournes, comme promis, la mouture du projet de la Déclaration d’Abidjan que mon secrétariat n’a toujours pas reçue.

J’en ai prévenu les services du Président KOULIBALY, car, c’est ensemble qu’on attendait jusqu’à mon départ d’Abidjan.

Courage Malick, nous sommes ensemble jusqu’à la victoire finale contre le terrorisme

politique de la mauvaise gouvernance dont sont victimes le peuple d’Afrique, sa jeunesse, ses intellectuels et sa diaspora.

Et comme a dit le Président GBAGBO lors de la dédicace de son livre « SOUNDJATA » : « le combat continue pour la libération et la renaissance africaine » dont tu es l’un des acteurs que j’admire et salue.

A bientôt de tes nouvelles. Affectueusement.

Professeur Kapet de BANA Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine

Société Savante des Encyclopédistes africains.

CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM

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REVUE DE PRESSE

http://www.laurentgbagbo2005.info/actualites.php?id=2959

Table ronde de l’Assemblée nationale sur “transitions démocratiques et naissance des nations en Afrique”

Notre voie-27/3/2006

Les patriotes africains de l’intérieur et de la diaspora s’unissent pour défendre la cause ivoirienne

Dans le cadre de la dédicace du livre “Naissance d’une nation”, l’Assemblée nationale ivoirienne a organisé, samedi dernier, une table ronde sur le thème “Transitions démocratiques et naissance des nations en Afrique”. Une aubaine dont ont profité une palette d’éminents intellectuels et artistes patriotes africains de l’intérieur et de la diaspora pour appeler à la mise en place d’une chaîne de solidarité de tous les progressistes africains à travers la planète pour dénoncer la nouvelle guerre coloniale de la France en Côte d’Ivoire.

Ce que des intellectuels ont dit autour de «Naissance d’une Nation»

Débats - La clôture de la cérémonie de dédicace de l’œuvre «Naissance d’une Nation» a donné lieu, le samedi 25 mars dernier, à la rotonde de l’Assemblée nationale à une table ronde. Au cours des débats très enrichissants de personnalités du monde politique, de la société civile et du cinéma, des communications ont été faites. Lisez-en quelques unes. Pr. Kapet de Bana, Coordonnateur International du CMDP (France) (…) Il s’agit dans le cas de la Côte d’Ivoire, au nom de l’Afrique, de poser le problème des droits des peuples à disposer d’eux-mêmes. Et ces droits ont été revendiqués par toutes les Nations du monde. Les Etats-Unis s’en sont prévalus pour chasser les colons anglais, les chinois s’en sont également prévalus pour la résistance chinoise, les anglais s’en sont aussi réclamés, les russes sous le nom de la révolution d’octobre, les français s’en sont réclamés pour asseoir pour asseoir la révolution française. Et le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes était arrosé par le sang des patriotes. Et je crois que les patriotes africains ont dû laisser suffisamment leur sang. Le sang pour se libérer de la bêtise des noirs, pour se libérer de l’esclavage, de la colonisation, du néocolonialisme (…) Si on a éliminé des Lumumba, si on a éliminé des Moumié, si on arrive à éliminer tous les autres patriotes, on voudrait aujourd’hui éliminer un Gbagbo pour qu’il n’y a pas la souveraineté nationale. C’est de cela qu’il s’agit dans la guerre que vit actuellement la Côte d’Ivoire. Lorsque que la jeunesse qui est la garante de la souveraineté se lève, on la rend irresponsable et c’est elle qu’on condamne. Aujourd’hui, le Conseil mondial de la diaspora panafricaine interpelle la conscience universelle pour que Kofi Annan qui l’incarne sache qu’il faut penser au Rwanda où il est le principal vecteur avant de condamner d’autres peuples qui revendiquent leur liberté sous le couvert des Nations unies. Parce que ce sont ses représentants qui sont ici en Côte d’Ivoire qui confisquent la souveraineté sous tutelle des Nations unies. Et qui nous disent quand est-ce que nous devons nous mobiliser, nous désarmer alors qu’ils nous ont armés pour nous entretuer. Kofi Annan va être le premier à comparaître devant le tribunal pénal international. Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes est incarné par deux entités de la République incontournables : la présidence de la République avec Laurent Gbagbo et l’Assemblée nationale incarnée par Mamadou Koulibaly. Le problème fondamental c’est de savoir combien d’africains, d’Ivoiriens sont tombés sous les armes des Nations unies en Côte d’Ivoire. C’est ce bilan que nous devons faire pour que Kofi Annan répondent au nom de la communauté internationale. Le secrétaire général des Nations unies qui s’échine à condamner la jeunesse ivoirienne est englué dans les finances internationales avec son propre fils. Et dire que c’est lui qu’on utilise aujourd’hui pour résoudre les problèmes des Africains, des Ivoiriens. Donc le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ne peut être garanti par des Kofi Annan qui ne sont que des esclaves. Il n’est pas libre de ses actes, de son expression. Nous ne sommes pas en Côte d’Ivoire pour rechercher la naissance d’une Nation, mais nous sommes ici pour la délivrance d’une Nation. Quand les Américains prennent la parole pour livrer la guerre à leurs ennemis en disant God bless America (Dieu bénisse l’Amérique : ndlr). Nous, nous dirons : que Dieu sauve l’Afrique des criminels, des esclavagistes, des néocoloniaux, des intellectuels pourris. L’armée de Licorne, c’est l’armée pour voler les banques en Côte d’Ivoire, truander, violer la jeunesse. Ce n’est pas une armée pour faire la guerre ou désarmer ceux qui sont illégalement en armes

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Mettre en place un réseau panafricain d’intellectuels et de la société civile patriote pour mobiliser l’opinion africaine à travers le monde sur la vraie nature de la guerre qui ravage la Côte d’Ivoire depuis bientôt quatre ans. Une guerre que tous les participants se sont accordés pour désigner comme une guerre coloniale de la France qui refuse l’indépendance à la Côte d’Ivoire. Mais que certains, plus critiques, perçoivent comme un acte avancé de la tentative de remise en esclavage des peuples noirs par les Occidentaux. C’est la principale conclusion à laquelle les participants à la table ronde de l’Assemblée nationale sur le thème “Transitions démocratiques et naissance des nations en Afrique” organisée samedi dernier à la rotonde de l’hémicycle. Mais, pour que ce réseau soit efficace, les patriotes africains se sont aussi accordés sur la nécessité d’impliquer dans cette bataille de conscientisation de l’opinion africaine les médias progressistes à travers le monde. Parce que tout le monde a admis que cette guerre faite aux patriotes ivoiriens a été largement soutenue par la désinformation et l’intoxication des médias occidentaux, notamment français. “Cette guerre est une guerre de communication”, ont répété inlassablement les intervenants à la table rotonde de l’Assemblée nationale. Les participants ont aussi insisté auprès des patriotes ivoiriens pour qu’ils aillent à la rencontre des peuples africains à travers des tournées d’information et de sensibilisation. Sur la crise elle-même et sur les atermoiements de la communauté dite internationale, les invités du président de l’Assemblée nationale n’ont pas du tout été tendres avec le secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan qui se fait complice de la France dans l’extermination des Africains depuis le Rwanda jusqu’à la Côte d’Ivoire, en passant par les Grands Lacs. “Kofi Annan qui condamne les jeunes gens est lui-même englué dans des crimes économiques dans le scandale de l’affaire pétrole contre nourriture. Que Dieu sauve l’Afrique des griffes des intellectuels pourris du genre de Kofi Annan qui sont carriéristes à la mentalité d’esclave”, a vigoureusement dénoncé le président du Conseil mondial panafricain de la diaspora, le Camerounais Kapet Bana. A ce sujet, les plus belles contributions sont venues des participants Burkinabé qui n’ont pas manqué de stigmatiser les ingérences inacceptables du président du Faso, Blaise Compaoré. Ils ont surtout insisté pour que les patriotes ivoiriens sachent que leur combat est de plus en plus compris au Burkina Faso, parce que la vérité a fini par triompher du mensonge endémique. Mais, pour que ce combat pour la libération de l’Afrique soit facilité, les participants venus des pays anglophones comme le Ghana, le Kenya ou certains Africains de la diaspora ont exhorté les patriotes ivoiriens à faire l’effort de vaincre la barrière linguistique. Sir Olesegun, homme d’affaires nigérian vivant aux Etats-Unis a lui particulièrement, plaidé pour que ceux qui dirigent le mouvement de libération de la Côte d’Ivoire n’oublient pas les populations rurales. Mais les patriotes africains n’ont pas manqué aussi de se poser des questions sur les méthodes et les stratégies de leurs camarades ivoiriens. Dans la situation actuelle et face au discours ambiant qui donne le sentiment que les patriotes ivoiriens se laissent endormir, le Pr. Malick Ndiaye, président des intellectuels patriotes sénégalais, s’est posé la question de savoir si la prise du pouvoir par les armes qui a motivé l’agression de septembre 2002 n’est plus à l’ordre du jour. Pour sa part, le Camerounais Tené Sop s’est interrogé sur certaines prises de position du président Laurent Gbagbo qui ressemblent à ses yeux, à un refus d’assumer la révolution africaine dont il est aujourd’hui, de fait, le leader. Il a dit ne pas comprendre que la résistance ivoirienne n’ait pas suffisamment capitalisé les évènements de novembre 2004 qui ont réveillé tous les patriotes à travers le monde. A sa suite, des vétérans de la lutte émancipatrice des peuples noirs, comme l’Américain Dedon Kamattri Kencan, compagnon de lutte leader noir américain Malcom X, ont conseillé aux Ivoiriens de ne pas commettre les mêmes erreurs qu’eux, les Américains ont commises. Pour le patriote Ivoirien vivant en France le Pr. Nicolas Agbohou, auteur du célèbre livre “L’euro et le franc CFA contre l’Afrique”, les patriotes ivoiriens qui mènent la lutte de l’intérieur ne doivent pas dissocier les dimensions économiques et politique de la révolution. C’est pourquoi il a invité les dirigeants ivoiriens qui incarnent l’espoir d’une Afrique libre à prendre courageusement les décisions qui rendront irréversible la victoire de la résistance africaine. A commencer par le retrait du franc Cfa qui bloque structurellement le

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développement de l’Afrique francophone et favorise son appauvrissement. Le président de l’Assemblée nationale, acteur majeur de la résistance ivoirienne, et tous les patriotes ivoiriens comme le Pr. Niamien Messou, le député William Attéby ont tous dit prendre bonne note de toutes les propositions. Hier, tous les participants à la table ronde qui n’avaient pas encore rejoint leur pays ont été reçus à déjeuner par le président de la République Laurent Gbagbo et son épouse. Une opportunité dont ils ont profité pour saluer celui que tous s’accordent à désigner comme l’héritier des Nkrumah, Lumumba, Sékou Touré, Martin Luther King, Marcus Garvey et tous ses fils de l’Afrique qui se sont battus pour la dignité des peuples noirs.

Guillaume T. Gbato http://www.ivorian.net/contribution/index.php?m=20060327 Table ronde sur la crise ivoirienne :

Des intellectuels étrangers veulent défendre la Côte d’Ivoire.

mardi 28 mars 2006 par Hamadou ZIAO Ces intellectuels ont décidé de créer un réseau beaucoup plus élargi pour défendre la cause ivoirienne partout où besoin se fera. A l’issue de la table ronde qu’ils ont animée le samedi 25 mars dernier à la Rotonde de l’Assemblée nationale, sur le thème “ Transition démocratique et naissance d’une Nation en Afrique ”, ces hommes et femmes venus de divers pays francophones et anglophones ont décidé de se retrouver pour mettre en place leur réseau pour défendre la Côte d’Ivoire. Cela a été le fruit de la bonne compréhension de cette crise, qui leur a été expliquée durant ces deux jours. Notons que, c’est le député sénégalais, Alioun Dia qui a émis l’idée, après avoir indiqué que la crise ivoirienne a longtemps fait l’objet de débat au Parlement sénégalais. ‘’ Qu’est-ce qui cause la guerre en Côte d’Ivoire ? A qui profite-t-elle et comment faire pour arrêter la guerre ? sont des questions que nous nous sommes bien souvent posés au Parlement sénégalais. Ce qu’il m’a été donné de comprendre depuis que je suis arrivé en Côte d’Ivoire, c’est que l’opinion nationale et internationale a été trompée au sujet de cette guerre ‘’, a-t-il dit. Après sa bonne compréhension de la crise, le député sénégalais a promis en faire l’écho auprès de ses pairs. Mieux, il a indiqué qu’il faut élargir les explications relatives à la crise ivoirienne à plusieurs horizons afin de tisser un puissant réseau de communicateurs pour défendre la cause ivoirienne. Surtout que cette crise va au-delà des frontières ivoiriennes. ‘’ Une idée est née en Côte d’Ivoire et elle va inspirer le reste de l’Afrique ‘’, a-t-il dit. Il a ainsi promis, dès son retour au Sénégal, de créer un réseau de parlementaires africains pour parler au nom des peuples. ‘’ Nous ne sommes pas à l’abri de ce qui se passe en Côte d’Ivoire. Il nous faut identifier ceux qui tirent les ficelles des conflits et les combattre ‘’, a-t-il dit. Idem pour le journaliste américain Kenneth Carr qui reste convaincu que la mise en place d’un grand réseau de soutien à la Côte d’Ivoire à travers le monde, représente une arme fatale contre l’impérialisme. Pour le Ghanéen Kumi Ansah, docteur spécialiste des conflits internationaux et leur résolution, l’enjeu c’est de briser le système mis en place par l’impérialisme pour maintenir l’Afrique dans l’état de continent sous-développé. ‘’ Ce qui se passe en Côte d’Ivoire concerne l’Afrique entière ‘’, a-t-il dit. Quant à Kapet de Bana, président du conseil mondial de la diaspora, le système qui a éliminé Kwamé Nkrumah et Patrice Lumumba, est le même système qui guette Laurent Gbagbo aujourd’hui. L’enjeu, selon lui, c’est d’empêcher la souveraineté nationale, c’est-à-dire le droit des peuples de disposer d’eux-mêmes. Au total, les différents invités du président de l’Assemblée nationale Mamadou Koulibaly qui se sont exprimés le samedi 25 mars dernier ont retenu une seule chose : la crise ivoirienne n’est rien d’autre qu’une guerre de l’impérialisme contre les velléités d’un peuple de disposer de lui même. Ils ont de ce fait décidé de la mise en place d’un réseau pour combattre cette forme de néocolonialisme. Le président de l’Assemblée nationale, qui concluait cette table ronde a indiqué que tout tient dans l’efficacité du réseau. ‘’ Ce n’est pas parce qu’on n’est pas nombreux qu’on ne peut pas réussir. Il ne faut pas désespérer. Tout dépend de l’efficacité et la solidité du réseau ‘’, a-t-il conclu. http://www.linter-ci.com/article.php3?id_article=1930

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Pour en savoir plus : « Mémoire d’Afrique » : http://africa.smol.org

12) Les intellectuels africains, défenseurs des Droits de l’Homme face à la crise politique et sociale en Côte d’Ivoire ou la deuxième mort d’Houphouët BOIGNY. Le 15 octobre 2002. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress20.pdf

13) Appel du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine pour la Paix en Côte d’Ivoire. le 5 décembre 2002. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress21.pdf

14) Interviews du Professeur Kapet de BANA, vice-président de l’U.I.D.H. en mission d’intercession et de bons offices en Côte d’Ivoire du 25 au 29 novembre 2002 au journal « le Réveil », n°315 et 316. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh.part22.pdf

15) Rapport de mission d’intercession et de bons offices de l’Union Interafricaine des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire du 25 au 29 novembre 2002 par le Vice-président, le Professeur Kapet de BANA. le 30 décembre 2002. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh.part23.pdf

16) Communiqué de presse de la Ligue Camerounaise des Droits de l’Homme en partenariat avec le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine : « Leçons à tirer de la Conférence de Paris concernant la crise politique et sociale en Côte d’Ivoire et l’instauration de la Paix durable par le respect des libertés démocratiques et des Droits humains ». Le 04 février 2003. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress30.pdf

17) L’Afrique sans journalistes. Journalisme et journalistes en danger en Afrique ! A quand de vraies écoles qui forment de vrais journalistes pour gérer de vrais journaux en Afrique ? Le 03 novembre 2003. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress48.pdf

18) Appel d’urgence pour la Côte d’Ivoire pour que les démocrates du monde se réveillent et veillent. Toujours et encore la Côte d’Ivoire. Le 26 mai 2004. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress56.pdf

19) Solidarité du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine avec les populations victimes de Côte d’Ivoire après ACCRA III. Le 05 août 2004. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress58.pdf

20) Appel d’urgence pour la Côte d’Ivoire pour que les démocrates du monde se réveillent et veillent. Du 26 mai 2004, après interpellation et appel de la Ligue Camerounaise des Droits de l’Homme, au 20 novembre 2004, notre détermination demeure et nous la réitérons parce que seule voie impérieuse contre le crime et le génocide dont est responsable la communauté internationale en Côte d’Ivoire. Le 20 novembre 2004. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress60.pdf

21) Au secours de la Côte d’ivoire recolonisée, pillée, divisée, sous tutelle des Nations Unies et administrée par les armées néocoloniales dites « LICORNE » ou « CASQUES BLEUS » nouvelle version, sous la conduite de Kofi Annan, comme ce fut le cas au Rwanda génocidé et actuellement le cas au Darfour endeuillé, incapable de désarmer une bande de mercenaires équipée par les puissances coloniales avec la complicité des gouvernements africains néocoloniaux corrompus. Les peuples d’Afrique doivent voir clair et agir ! le 02 mars 2005. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress73.pdf

22) Rappel des appels d’urgence au secours de la Côte d’Ivoire pour le respect de la souveraineté et de l’intégrité territoriale incarnées légitimement par le Président Laurent GBAGBO soutenu par le rapport MBEKI au nom de l’Union Africaine que nous encourageons. Le 29 septembre 2005.http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress92.pdf

23) Lettre à Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire, Professeur Mamadou Koulibaly, concernant l’invitation du Professeur Kapet de BANA à la cérémonie de dédicace de l’ouvrage « Naissance d’une Nation », le vendredi 24 mars 2006 à Abidjan. Le 14 mars 2006. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp.mail52.pdf

24) Participation et Contribution de la délégation du C.M.D.P. à la cérémonie de dédicace de l’ouvrage « Naissance d’une Nation », œuvre de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire et à la Table ronde « Transition démocratique et Naissance des Nations en Afrique », les 23, 24 et 25 mars, sous la diligence du Président Koulibaly Mamadou, Président de l’Assemblée Nationale de la République de Côte d’Ivoire. Le 20 mars 2006. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress119.pdf