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Dossier de Presse Inuit : une terre, un peuple, un art Du 29 octobre au 18 novembre 2012 Centre Culturel Christiane Peugeot

Dossier de Presse Exposition Inuit

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Dossier de Presse

Inuit : une terre, un peuple, un art

Du 29 octobre au 18 novembre 2012

Centre Culturel Christiane Peugeot

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Je crois qu’il existe une seule façon de préserver notre culture :

permettre aux gens d’en voir les manifestations

Manasie Akpaliapik (Ile de Baffin, Canada).

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Sommaire

Une ambition…………………………………………….p.4

A propos des Inuit…………………......................p.5

Parcours de l’exposition

Mode de vie……………………………………....p.6-7

Création………………………………..…………..p.8-9

Parmi les artistes………………………………………..p.10

Parole d’ethnologue……………………..….…………p.11

Atelier Z…………………………………………….…..….p.11

Ambire-Madrian......................................…...p.12

Autour de l’expo ………………….……………….....p.13

Pour aller plus loin........................................p.14

Visuels pour la presse………….…………………...p.15-16

Partenaires……………………………………………….p.17

Informations pratiques……………………..…......p.17

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Une ambition

Une exposition :

« Gratuite, pédagogique et pluridisciplinaire »

Alliant une approche ethnographique et artistique, l’exposition « Inuit : une

terre, un peuple, un art» entend faire connaitre la culture la plus

septentrionale du monde. Dotée d’un corpus composé de sculptures,

d’estampes, mais également de photographies et d’objets rares ou du

quotidien, le parcours cherche à mettre en lumière les caractéristiques

essentielles de la civilisation Inuit.

Parce que cet art se situe bien loin des références esthétiques occidentales, il

nous a semblé important de conserver tout au long du parcours un ton

didactique pour révéler à un public non sensibilisé à l’esthétique du grand

nord, ce patrimoine matériel et immatériel exceptionnel.

Conformément à cet engagement envers un large public, l’exposition est

gratuite.

Patrimoine exceptionnel, mais patrimoine en péril. Cette exposition explore

l’univers d’un peuple, où la tradition s’est effacée sans disparaître, où la

modernité s’est imposée tout en s’inspirant parfois du passé, et où

l’environnement change au point de menacer sa culture.

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A propos des Inuit

Dans le langage autochtone, le terme « Inuit » signifie « humains, personnes ».

On compte aujourd’hui environ 150 000 Inuit sur l’ensemble de l’aire

circumpolaire regroupant quatre régions : la Sibérie, l’Alaska, le Canada et le

Groenland.

Les langues de ces populations arctiques ne sont passées à l’écrit qu’au XIXe

siècle avec l’arrivée d’explorateurs, de missionnaires et de commerçants sur

leurs territoires. Longtemps appelés « Esquimaux », ethnonyme qu’on a

traduit par « mangeurs de viande crue », les Inuit sont aujourd’hui à la pointe

de la « modernité ». En l’espace de quelques générations seulement, les

harpons en os de baleine ont été remplacés par des fusils à lunettes, le

tambour chamanique par le crucifix, le traineau par la moto neige, et la

communication traditionnelle par les téléphones cellulaires et facebook.

Toutefois, les Inuit pratiquent toujours la chasse et la pêche, activités

auxquelles ils sont très attachés parce qu’elles leur permettent de perpétuer

un contact direct avec la nature.

Depuis plusieurs années, les scientifiques ont annoncé que sous le blanc de la

banquise se cachait une quantité inestimable d’or noir et autres minéraux

précieux. Cette donnée nouvelle pourrait être synonyme de déclin, ou de

renaissance…

Mais avant que la civilisation du phoque ne devienne celle du pétrole, de l’eau

aura coulé des glaciers… En attendant, leur créativité est exemplaire comme

en attestent les œuvres et les objets de cette exposition.

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Parcours de l’exposition

Mode(s) de vie

« A la découverte d’un mode de vie unique ! »

Cette salle est le théâtre d’un dialogue entre passé et présent grâce aux

clichés pris par l’ethnologue spécialiste de l’Arctique Jean-Michel Huctin et les

objets du quotidien (harpon et fusil, tambour en os et CD, anoraks, couteaux à

découper le phoque, design, presse et livres, etc.) collectés au Groenland.

Parmi ces objets et parce que de telles immensités confèrent aux moyens de

transport une valeur centrale dans la société inuit, un traineau à chiens, un

umiaq (bateau collectif) et un kayak sont présentés et mis en situation.

En confrontant objets traditionnels et modernes, il s’agit d’un voyage dans le

temps boréal et d’un témoignage de l’évolution d’un mode de vie Inuit. Tandis

que cet héritage millénaire tente de perdurer, la modernité tend à infléchir

ces traditions tout en s’y référant parfois. Ce dualisme toujours très présent

au sein de la population illustre avec pertinence cette société en pleine

mutation.

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Parcours de l’exposition

Création artistique Au travers d’une cinquantaine d’œuvres d’art issues de collections privées et de

la galerie Art Inuit Paris, trois thèmes inhérents à la culture Inuit sont abordés :

l’animal, mythologie et chamanisme et la société révélée. Ces œuvres ont été

réalisées par des artistes du nord Canada et du Groenland, durant la période

dite « moderne », dès années 40 à nos jours. Parmi les plus célèbres Manasie

Akpaliapik, Nick Sikkuark ou encore Judas Ullulaq s’inscrivent dans l’héritage

iconographie du peuple inuit.

Pour les sculptures, les matériaux employés (serpentine, stéatite, basalte,

marbre, ou ivoire) varient selon les régions et traduisent l’extrême virtuosité de

l’artiste dans un environnement hostile. Les dimensions et le poids des œuvres

montrent un changement d’échelle autorisé par la sédentarisation rapide des

populations autochtones. Le travail de la pierre dégageant beaucoup de

poussières, les sculpteurs travaillent majoritairement en plein air. Toutefois,

certaines étapes comme le ponçage humide, les incrustations et le polissage

peuvent se faire dans un atelier.

La production d’estampes et de lithographies, illustrée dans le parcours de

l’exposition par une dizaine d’exemples, permet d’apprécier la transposition de

l’iconographie sculpturale à la bidimentionalité du support papier.

L’animal : au cœur de la création

Lié à l’environnement immédiat du sculpteur, le bestiaire de

l’Arctique est central dans l’iconographie Inuit. Les œuvres

exposées illustrent la dépendance existante entre

l’homme et l’animal. Ce dernier est le garant de la

survie de la communauté, sans lui plus de nourriture, plus

de vêtements. Mais au-delà de l’aspect utilitaire, les Inuit

confèrent à l’animal une grande force spirituelle. Le chamane

en transe prend des traits zoomorphes. Cette omniprésence du

zoomorphisme dans la mythologie illustre à elle seule le statut de l’animal

dans ces latitudes. La figure de l’ours (Nanuk en langue inuit) est

récurrente. Cet animal au caractère anthropomorphe semble régner à la

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fois sur le monde des hommes et sur celui des animaux. Entre la pureté du

basalte ou du marbre et la préciosité de l’os de baleine ou de l’ivoire, les formes

animales s’animent et prennent vie.

Chamanisme et mythologie

Bien que christianisé à marche forcée dès la fin du

XIXe siècle, les Inuit restent très attachés au

chamanisme. Les sculptures de la partie

« chamanisme et mythologie » dressent le portrait

du chaman et des formes animales qu’il peut

emprunter.

Vecteur de la spiritualité, il marque la frontière entre

le monde terrestre et le monde de l’au-delà. Sa transe, l’apogée du rite

chamanique, constitue en effet un passage entre les deux mondes, entre le

visible et l’invisible. Durant toute une nuit, il entreprend son voyage mystique

en se métamorphosant en animal. Il possède alors ce que Leo Chestov nommait

« une vision pénétrante ».

Une société révélée

Au travers des œuvres d’œuvres d’art, c’est

l’organisation et la composition même de la

société qui semble apparaitre. Parmi

l’ensemble des relations à l’intérieur d’une

communauté, le lien de la mère à l’enfant est

cardinal. Nombreuses sont les sculptures à

représenter les deux têtes, de la mère et de

son enfant, dans la même capuche de parka. La communauté villageoise

dont l’existence remonte seulement au milieu du XXe siècle, est souvent

représentée à la fois dans la sculpture et dans les arts graphiques.

Les chants de gorge

Un rituel sonore traditionnel, diffusé le long des

parois voutées de la salle, accompagne

l’expérience visuelle du visiteur. Ces sonorités,

comme une porte sur l’âme, créent une

atmosphère mystique et envoutante.

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Parmi les artistes exposés

Judas Ullulaq (1937–1999)

Artiste canadien né dans la région de Thom Bay, sa production se

caractérise dans ses débuts par des petits formats réalisés à partir

d’ivoire de narval et morse. Progressivement il se perfectionna dans la

taille de la pierre et ses œuvres gagnèrent en volume. Très influencé

par le chamanisme, le monde des esprits est pour lui une source

inépuisable d’inspiration. Dans les dernières années de sa vie, son style

se singularise. Il déforme volontairement les contours des visages de

ses personnages comme une manière d’augmenter la charge

expressive et émotionnelle de ses œuvres.

Manasie Akpaliapik (né en 1955)

Né sur l’ile de Baffin, il s’installe avec sa famille à Arctic Bay en 1967. A

la suite d’un drame familial en 1980, il s’installe à Montréal où il

perfectionne ses connaissances sur les matériaux et les techniques de

créations. En 1989, il obtient du Conseil des arts une bourse qui lui

permet de retourner sur l’ile de Baffin. Ce voyage est l’occasion pour

lui d’approfondir la culture inuit, ses légendes, ses traditions.

Nick Sikkuark (né en 1943)

Né à Garry Lake, au Nunavut, Nick est orphelin très jeune et est élevé

par des missionnaires. Il hésite à s’engager dans la prêtrise mais choisit

de rester dans le nord où il exerce d’abord le métier de charpentier.

Vers 24 ans, il commence à sculpter, dans un style très particulier,

intégrant les matériaux des plus divers dans ses œuvres. Il produit

aussi de nombreux dessins dont 86 illustrent cinq livres publiés par le

ministère de l'Éducation en 1973. Depuis, il ne cesse de nous étonner

avec ses oeuvres immédiatement identifiables.

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« Avec les Inuit, pour eux et pour nous »

Par Jean Michel Huctin

A Uummannaq, petite île de la côte nord-ouest du Groenland, comme à

Barrow, pointe la plus septentrionale d'Alaska, j'ai pu constater

l'impact grandeur nature du changement climatique et de la pollution

industrielle. Mais au cœur du désastre écologique qui s'annonce,

j'ai aussi partagé la chaleur humaine et l'imagination créatrice du

peuple qui vit dans ces immensités. Depuis des millénaires, les Inuit ont

su s'adapter à l'un des milieux les plus hostiles de la planète. Il n'y pas

si longtemps, ils ont dû faire face à l'arrivée de l’Occident conquérant

et à l’imposition d’un nouveau monde. Aujourd'hui, alors que leur

culture fond avec le recul de la banquise, ils tentent de trouver leur voie

dans une mondialisation avide de nouvelles terres et de richesses.

C'est pourquoi on doit se réjouir aujourd'hui de voir naître ici et ailleurs

une aspiration à la protection de l'environnement et un plus grand

intérêt pour les peuples autochtones. Nous sommes de plus en plus

nombreux en effet à comprendre que la terre est un petit village et

l'humanité une grande famille. Espérons alors que nous tous, citadins

des grandes villes, saurons écouter ces inuit qui, à l'instar des autres

peuples jadis rabaissés au rang de primitifs mais aujourd'hui

redécouverts et appelés premiers, ont tant à nous dire.

Cette belle et généreuse exposition leur donne enfin la parole. Elle ne

cherche pas seulement à rendre hommage à leur grand passé, elle veut

surtout mettre en valeur leur production artistique, artisanale et

intellectuelle de notre temps. Et révéler ainsi, comme l'écrivait le grand

anthropologéographe Jean Malaurie, fondateur de la fameuse

collection Terre humaine et Ambassadeur de bonne volonté de

l'UNESCO pour l'Arctique, à propos de d'autres œuvres actuelles en

provenance du Grand Nord, que « le peuple inuit n’est pas dépossédé

de lui-même et qu’il n’a rien perdu de son génie créateur ».

Jean-Michel Huctin, Ethnologue, coauteur du film de fiction

groenlandais-français "Inuk", membre du Centre Européen pour

l'Arctique (CEARC) et enseignant à l’Université de Versailles Saint-

Quentin-en-Yvelines.

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Centre Culturel Christiane Peugeot

(Atelier Z)

Situé entre l'Arc de Triomphe et la porte Maillot, sur l’Avenue de la Grande

Armée, ce Centre culturel voué à l’art contemporain expose depuis sa

création en 1991 des artistes, français et étrangers.

Baptisé « Atelier Z » en hommage au peintre corse Xavier Zevaco, ce Centre

culturel est à l’écoute des innovations artistiques et cherche à s’ouvrir aux

cultures du monde.

C’est pour cela que l’association Ambire-Madrian a élu domicile dans cet

espace pour le temps d’une exposition.

Deux grandes salles de 75m2 chacune permettent d’articuler un parcours

séquencé autour de deux axes de réflexion.

L’éclairage naturel de la salle du rez-de-chaussée conviendra aux pièces

évoquant le mode de vie, tandis que la salle dédiée à la création artistique

est idéale pour créer une atmosphère envoutante et apaisante.

Salle sculpture et estampes

© Atelier Z/ développement Salle mode de vie

© Atelier Z/ développement

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Association Ambire-Madrian

Créée en 2012 par deux étudiants, l’association Ambire-Madrian a

pour but de faire découvrir des cultures méconnues en organisant

des évènements culturels.

Telle un manifeste de cette démarche pluridisciplinaire et innovante,

l’exposition « Inuit : une terre, un peuple, un art » mêle à la fois une

réflexion sur l’esthétique et sur l’utile. Sur l’esthétique, donc le Beau

contenu dans chaque parcelle des sculptures offertes aux regards

occidentaux, et sur l’utile, donc le quotidien qui recouvre tous les

objets glanés auprès de la population Inuit du Groenland.

Ces manifestations culturelles s’inscrivent sur les traces d’une pensée

platonicienne qui ne dissocie nullement le beau et l’utile, et

souhaitent voir transparaitre l’âme du peuple selon les recherches du

philosophe allemand Johann Gottfried Herder.

Comme évoqué dans le titre quasi éponyme (Piet Mondrian),

l’écosystème de l’association repose sur le dialogue permanent entre

vertical et horizontal. Découvrir la terre comme une surface sans fin,

et, dans un second temps, s’enraciner pour creuser. Chercher la

profondeur, celle d’un peuple, de son art, de son essence pour ne

jamais oublier que la terre est humaine….

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Autour de l’exposition

Ambire-madrian.fr

Sur le site internet crée pour l’exposition, de nombreux documents

(textes, photographies) sont mis en ligne. Des liens vers nos

partenaires ainsi qu’une bibliographie permettent de poursuivre la

visite. Un film présente les principaux acteurs ayant permis

l’organisation de l’exposition.

Un fascicule

Conforme au ton didactique du parcours, il sera proposé un fascicule

de 8 pages détaillant plusieurs objets de chacune des deux salles. Une

carte des régions accompagnée de textes, de photographie et

documents offrira aux visiteurs un contexte historique et

géographique.

Cycle de conférence « les grands enjeux de l’arctique »

Création, recherche ethnographique, écologique, économie,

géopolitique, les trois conférences organisées durant l’exposition sont

le moment d’évoquer, avec des spécialistes de l’Arctique.

Visites guidées

Des médiateurs culturels accompagneront des groupes pour des visites

organisées d’environ 45 minutes au fil de l’exposition.

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Pour aller plus loin …

Livres

Les Derniers Rois de Thulé, avec les Esquimaux polaires, face à leur

destin. Jean Malaurie Ed. Plon, coll. Terre humaine, 1955

La Civilisation du phoque. Paul Emile Victor et Joëlle Robert-Lamblin,

Ed. Colin 1989

L'Art du Grand Nord dirigé par Jean Malaurie, Ed. Citadelle &

Mazenod, 2001

Etre et renaître inuit, homme, femme ou chaman. Bernard Saladin

d’Anglure, Ed. Gallimard, 2006

The Inuit Imagination: Arctic Myth and Sculpture. George Swinton,

Harold Seidelman, et James Turner Ed. Douglas & McIntyre, 1994

Inuit Art an Introduction - Ingo Hessel, Douglas & McIntyre Publishers,

1998

Film et Documentaire

Jean Malaurie : Une passion arctique, réal. Michel Viotte, La

compagnie des Indes, Arte, Paris, 2010, 43 min.

Nanook l’Esquimau (version française), Arte Vidéo, 2005, 79 minutes

15 euros.

Le Voyage d'Inuk réalisé par Mike Magidson, une coproduction franco-

groenlandaise: C'est la vie Films, Docside, Auvitec et Foyer d'enfant

d'Uummannaq, 2010

Lieu à Paris Galerie Art Inuit Paris, 9 Rue Saint-Merri 75004 Paris

www.artinuitparis.com

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Visuels disponible pour la presse

Tous les visuels utilisés devront faire apparaitre la mention copyright "© Art

Inuit Paris".

Joe Talirunili

Povungnituk

LEMMINGS HIBOUX DE

CHASSE gravure sur

pierre 1963, 52x 62cm.

Josie Papialuk, 1988 Povungnituk

(Puvinutu)

Qimuksiit Chasse en

traîneau à chiens, 63x50

cm. 1998

Ukpatiku, Magdalene

Manasie Akpaliapik (né en

1955) Arctic bay. Phoque. Os

de baleine

Jonasie faber (né en 1944)

Greenland Qaqortoq, Cercle de

bœuf musqué, 2008

Latcholasie Akesuk (1919-

2000). Cape Dorset.

Chouette, 1975-1980

Barnabus Arnasungaaq (né en 1924).

Baker Lake. Bœuf musqué, 2003

Fred Degrace, Coral Harbour. Ours

2009

Effie Arnaluaq (né en 1936).

Baker Lake, mère et enfant.

Tuna Iqulik (né en 1935) Baker

Lake. Famille, 1970

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Partenaires

.

Le Centre Européen pour l'Arctique (CEARC) est l'un des laboratoires de recherche de

l'Observatoire de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, composante de l'Université de

Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines. Dirigé par le professeur Jan Borm, le CEARC assure,

depuis sa création en 2009, des missions de recherche, d’observation, de formation et de

diffusion des savoirs sur les territoires et les sociétés arctiques, dans la lumière de leur

histoire et face aux enjeux actuels. www.cearc.uvsq.fr

Installée depuis 1990 au cœur de Paris, près du centre George Pompidou, la galerie Art Inuit

Paris propose plusieurs centaines d'œuvres contemporaines d'artistes reconnus ou de jeunes

talents, ainsi qu’une collection de pièces plus anciennes. Elle assure aussi la promotion de

l’Art Inuit en France par le biais d’expositions, de conférences et de lettres d'information.

L’ONG le Cercle Polaire a pour objet d’élaborer et de promouvoir une authentique culture

scientifique des zones arctique et antarctique, et d’œuvrer pour une meilleure gouvernance

des régions polaires à même d'assurer une gestion durable et responsable de ces

environnements. Elle travaille à évaluer les enjeux climatiques, environnementaux,

géopolitiques et économiques de l’Antarctique et de l’Arctique, en mettant l’accent, pour ce

qui concerne l’Arctique, sur la notion de « milieu habité ».

Crée en 2008, DOCSIDE Production développe une ligne éditoriale qui témoigne des grandes

aventures humaines, de la découverte du monde, de son histoire, et de sa compréhension.

Des films comme Le Voyage d’Inuk qui sortira dans les salles en 2013 illustrent l’implication

de la société de production dans les problématiques liées à l’Arctique et à son peuple.

Uummannaq Polar Institute est dédié à la préservation de la culture locale du Groenland et

à la promotion des programmes éducatifs pour les jeunes enfants inuit. Situé à

Uummannaq, côte nord-ouest du Groenland, son objectif principal est de reconstruire

durablement le bien-être des enfants inuit.

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Informations pratiques & contacts

« Inuit, une terre, un peuple, un art » à l’Atelier Z 62 avenue de la

grande armée. Paris (17e arrondissement), Métro 1 arrêt

Argentine. Du 29 octobre au 18 novembre 2012. Tous les jours de

11h à 19h. Entrée libre.

Contact presse et demande de visuels

Romain Arazm & Victor Maille

Tel. : 06.78.36.14.54

Email : [email protected]

www.ambire.madrian.fr

Accès

En Métro : depuis la ligne 1 (arrêt Argentine ou

Porte Maillot) ou la ligne 6 (arrêt Charles de Gaule-

Etoile).