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LA REVUE MILITAIRE Les Urbaindigenes Compagnie Photo : Emilie Verriez http://cie-lesurbaindigenes.com/

Dossier spectacle "La Revue Militaire"

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L’expérience urbaine commence en 2005 : une dizaine de gymnastes décident de sortir de leur cocon formel pour s’essayer à l’acrobatie et au spectacle de rue.Les premiers «crashs tests» sont amateurs, mais l’énergie décalée s’avère créatrice.

En 2006 l’équipe assume son envie d’explorer les multiples facettes de ce monde extérieur alors inconnu et crée «Homo Eco-nomicus» avec le soutien du Pudding Théâtre. Une horde d’êtres humains nouvelle génération, résultant de l’évolution de l’Homo Sa-piens Sapiens, est alors lâchée dans son milieu naturel. Le public est invité à observer le comportement de ces spécimens et les suit à travers les hauteurs de la ville. Les Urbaindigènes ont trouvé leur terrain de jeu…

Au fil du temps, des for-mes déambulatoires s’affirment dans les rues et l’esprit de la compagnie se concrétise. Les Urbaindigènes sont acrobates, grimpeurs, équilibristes, volti-geurs… en deux mots perturba-teurs urbains.

‘‘La rue devient notre principale source d’inspiration, elle canalise nos impulsions’’

Les spectacles«Homo Economicus», Aurillac 2005, diffusion en 2006.«Les Blancs», événementiel 2008 - 2009.«Les Mercodier», création 2010, actuellement en tournée.«La Revue Militaire», Aurillac 2011, en diffusion.

La Compagnie

Cette «physicalité» se précise alors, elle n’est plus une fin mais un moyen au service d’un propos, d’une théâtralisation. Des personnages et des histoires naissent, le jeu s’aiguise grâce aux rencontres faites avec d’autres compagnies.

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Pourquoi la Rue?

L’espace public est l’endroit par lequel les Ur-baindigènes prennent position dans leur démarche acrobatique et théâtrale. C’est ici que leur langage a trouvé ses mots et c’est à ce même endroit que le spectacle prend vie. Pour eux, rues, champs, places, carrefours, che-mins, cages d’escaliers, fenêtres, murs, toits sont autant de matière pour développer, écrire et partager avec le public.

La rue est truffée d’espaces potentiels dans lesquels les Urbaindigènes décalent le lien à la ville et ses architectures pour y injecter une dose effi-cace de spectacle et de détournement. Les Urbaindigènes sont avant tout des arpen-teurs, des acrobates ayant comme but de dévoiler de nouveaux rapports entre les techniques acroba-tiques et une lecture ludique de l’espace public.

Photo : Emilie Verriez

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Photo : Emilie Verriez

Photo : Dominique Villy

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La Revue Militaire« Ah Bordel, s’ils avaient été là en 40 !» Général De Gaulle.

- Elle parle, et nous questionne sur la notion de patriotisme malheureusement trop souvent associée à celle de nationalisme ou même de racisme.

- Elle parle de la Jeunesse, celle qui se perd, se trouve, se cherche. - Elle parle de l’appartenance à un groupe, dans tout ce que cela peut avoir de positif et de fédérateur mais aussi d’aliénant et de destructeur.

- Elle parle des « vat-en guerre » qui n’hésitent pas à sacrifier des générations sur les champs de bataille pour la soi-disant gloire d’une na-tion. - Elle parle des immenses cimetières militaires dans les quels reposent des gamins d’à peine 15 ans. - Elle parle d’une actualité qui n’est pas celle de notre pays mais malheureusement celle de nombreux pays dans le monde.

Un bataillon de 10 hommes, véritable fleuron de la jeunesse française, part à l’assaut de la ville. Ils ont pour but de sculpter leur corps et de restaurer l’hon-neur de la France grâce à la méthode de gymnastique naturelle du lieutenant Georges Hébert. Ce bataillon est dirigé par une cheftaine , patriote passionnée, Ma-dame Yvonne.

Sur le ton de l’humour et de l’ironie, la Revue Militaire parle de la guerre, de l’ultranationalisme et des boucheries du XXième siècle. Elle parle de la franche-camarade-rie, celle pratiquée dans les vestiai-res sportifs et les casernes militai-res.

« Affligeant ! »Maréchal Pétain.

Photo : Emilie Verriez

Photo : Emilie Verriez

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La Revue Militaire

Parce que les extrémistes nous font peur, nous avons voulu les doubler sur leur propre terrain : notre bataillon de 10 gymnastes a de faux airs de régiment, des allures de commando, des semblants de milice, des relents de jeunesse hitlérienne.

La Revue Militaire puise beaucoup dans le film de genre : le film de guerre, avec ses héros, ses actes de bravoure, ses sacrifices, son humanité. Elle puise dans l’imagerie des guerres du 20ième siècle : les photos de Robert Capa ….

« La guerre est une chose trop importante pour la confier à des militaires, sauf aux hommes de Madame Yvonne ! »Georges Clémenceau.

«Quand les talons claquent, l’esprit se vide.» Georges Clémenceau.

Photo : Emilie Verriez

Photo : Emilie Verriez

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Spectacle Fixe et DéambulatoireDurée : 1h15 Jauge : 500Montage sur le lieux du spectacle : 2 heuresDémontage sur le lieux du spectacle : 3 heuresRégie : Césaire Chatelain

C’est un spectacle fixe et déambulatoire, il commence sur une place, déambule, s’arrête par trois fois sur des scènes à travers les rues et revient sur la même place pour la scène finale. Les scènes fixes sur le trajet s’appuient sur le mobilier urbain qui nous est offert. Le trajet s’opère donc en boucle ou en aller/retour suivant les possibilités et la configuration des rues et ruelles. Nous favorisons des trajets courts entre les différentes scènes.

La première scène se déroule sur une place centrale (20m/20m) sur laquelle sont disposés des agrès de gymnastique, un système son (1000 Watts) et quelques éléments de décor. Le public est en arc de cercle autour de cette scène. Cette première scène dure environ 15 minutes, le public est ensuite invité à suivre le bataillon à tra-vers la ville, guidé par Mme Yvonne.

Les temps de déambulation sont donnés à titre indicatif car ils varient en fonction de la jauge et de la géo-graphie du quartier. Les déambulations sont elles aussi théatralisées et nécessaires au propos.

Conditions générales

- Première déambulation de 5 minutes, puis arrivée à la première scène fixe d’une durée de 10 minutes.- Deuxième déambulation d’environ 5 minutes, puis deuxième scène fixe d’environ 15 minutes.- Troisième déambulation d’environ 5 minutes, puis troisième scène d’environ 15 minutes.- Dernière déambulation très courte, puis scène finale 10 minutes.

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Besoins techniques- Une prise 16 ampères.

- Une arrivée d’eau à proximité pour nettoyer le décor à la fin de chaque représentation. Nous utili-sons de la peinture gouache rouge lors de la dernière scène. Celle-ci peut tacher momentanément le sol pendant quelques jours.

Besoins humains Un gardiennage de la scène pendant le temps de la représentation.

Equipe en déplacement 11 artistes, un Technicien (sous réserve) Un camion de type fourgon avec remorque ainsi que deux voitures, depuis Salins les Bains (39110). Prise en charge des repas et du logement depuis l’arrivée, un jour avant la représen-tation pour les repérages et répétitions sur les lieux, jusqu’au départ. Départ possible le lendemain de la représentation si l’horaire de passage est tard. Possibilité de logement en chambre double ou gîte.

Repérages Les repérages se font un jour avant la représentation voire même plus en amont. Nous devons effectuer des adaptations aux différents lieux de jeu.

Conditions générales

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Céline Chatelain «Madame Yvonne»

Nicolas Fumey «Pablo» Nicolas

Dangon «Léon»

Baptiste Faivre «Roland»

Césaire Chatelain «Ramôn»

Charles Jacques «Maurice»

Naïm Ab-delhakmi «Youssef»

Mathieu Faivre-Vuillin «Bernard»

Mathias Jacques «René»

Maxime Muller «Phillippe»

Mehdi Ab-delhakmi «Alain»

Distribution

Création collective : Les UrbaindigènesOrchestration : Christophe ChatelainCostumes : Joceline Cauve, Lisyane RivièreCréation Musicale: Benoît Favereaux

LA REVUE MILITAIRE

RésidenceLa «Vache qui Rue» Moirans en Montagne

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Contacts

Compagnie les Urbaindigènes61, rue de la République39110 Salins les [email protected]

AdministrationCorinne Locatelli06 14 31 04 [email protected]

Production / DiffusionBaptiste Faivre06 19 86 62 [email protected]

TechniqueCésaire Chatelain06 31 01 57 [email protected]

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