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1 Le catéchisme nous enseigne que l’enfant doit être considéré d’une certaine manière comme un adul- te. C’est en effet le sacrement de confirmation qui lui confère cet honneur. Le sacrement de pénitence en est un signe frappant. Là, au confessionnal, plus de parents, pas de surveillance, pas de punition ; l’enfant est seul, il dit ce qu’il veut et ne dit que ce qu’il veut. L’Eglise le prend au sérieux, elle lui fait confiance, il doit prendre seul ses responsabilités de- vant Dieu. Il dispose du sang de Jésus, de son état de grâ- ce, de son éternité. Bien sûr, l’enfant reste un enfant et il a besoin d’aide pour apprendre à faire bon usage de la confession. Com- me pour la sainte commu- nion, il est beaucoup deman- dé aux enfants finalement, car les actes libres qu’ils po- sent sont de la plus haute im- portance ; parfois on est trop derrière eux, parfois pas as- sez. Il faut nous rappeler toujours que les sacrements sont avant tout une oeuvre de Dieu Lui-même, et que nous devons cependant collaborer à cette oeuvre com- me éducateurs. Aucun sacrement, disait un pieux évê- que, ne dépend pour ses effets autant que le sacrement de pénitence, de la coopération personnelle de celui qui le reçoit. Parents, prêtres, éducateurs doivent donc veiller à aider soigneusement l’enfant à bien recevoir ce sacrement. La première confession que font les enfants a tou- jours une importance particulière ; souvent elle exerce sur toute la vie une influence capitale. Si, la première fois que les enfants se sont approchés du sacrement de pénitence, ils y ont été bien préparés, s’ils se sont ac- cusés de leurs fautes avec une entière sincérité, et avec un véritable regret de les avoir commises, il y a tout à espérer pour leurs confessions futures. Pour cela, on attire de loin le regard de l’enfant sur cette grande ac- tion et on leur fait sentir le besoin qu’ils en ont. Peu à peu, on les amène à constater combien facilement ils tombent dans des fautes et on essaie de leur inspirer l’horreur et le regret de ces fautes qui abîment leur âme et la rendent désagréable aux yeux du bon Dieu. Ainsi on leur communique le désir de les voir effacées et on leur laisse entrevoir le bonheur de se confesser et d’obtenir le pardon. Au fur et à mesure que le grand jour approche, on en parle plus souvent, on encourage au désir d’in- nocence et de pureté. On les aide dans leur examen de conscience, en se met- tant à leur portée. On aide spécialement les enfants moins doués. Il importe que les enfants commencent à se confes- ser de bonne heure. N’ayant à s’accuser alors que de fautes légères, ils prennent l’habitude de vaincre la répugnance à la confession. A mesure qu’ils grandissent, ils doivent se confesser plus fréquemment. Ainsi ils bénéficient, ou- tre la grâce du sacrement, de ses effets pédagogiques. L’enfant apprend en effet par ce moyen à se connaître lui-même, connaissance ô combien fondamentale. Par la douleur d’offenser Dieu, il renonce au péché, à ses défauts. Par les résolutions, il fortifie sa volonté. Par la confession, il apprend l’humilité. La confession est aussi un complément pratique sur bien des notions de doctrine : péché, faute, tentation, pardon, réparation etc. L’examen de conscience souvent renouvelé clari- fie la connaissance des commandements de Dieu. En- fin le contact avec le prêtre aide l’enfant à s’ouvrir sur les choses de Dieu et à trouver des réponses à ses questions les plus profondes. Numéro 243 Paraît le dernier dimanche du mois Gratuit dans nos chapelles Lanvallay, Saint-Malo, Saint-Brieuc, Guer, Rennes, École Sainte-Marie, Cours Sainte-Anne Octobre 2012 É D I T O R I A L La confession des enfants La confession des enfants La confession des enfants La confession des enfants Par M. l’abbé Jacques Mérel

É Par M. l’abbé Jacques Mérel La confession des enfantslaportelatine.org/district/prieure/lanvallay/SainteAnne243.pdf · délicat à trouver car l’enfant est dis-trait. Visons

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Le catéchisme nous enseigne que l’enfant doit être considéré d’une certaine manière comme un adul-te. C’est en effet le sacrement de confirmation qui lui confère cet honneur. Le sacrement de pénitence en est un signe frappant. Là, au confessionnal, plus de parents, pas de surveillance, pas de punition ; l’enfant est seul, il dit ce qu’il veut et ne dit que ce

qu’il veut. L’Eglise le prend au sérieux, elle lui fait confiance, il doit prendre seul ses responsabilités de-vant Dieu. Il dispose du sang de Jésus, de son état de grâ-ce, de son éternité.

Bien sûr, l’enfant reste

un enfant et il a besoin d’aide pour apprendre à faire bon usage de la confession. Com-me pour la sainte commu-nion, il est beaucoup deman-dé aux enfants finalement, car les actes libres qu’ils po-sent sont de la plus haute im-portance ; parfois on est trop derrière eux, parfois pas as-sez. Il faut nous rappeler toujours que les sacrements sont avant tout une œuvre de Dieu Lui-même, et que nous devons cependant collaborer à cette œuvre com-me éducateurs. Aucun sacrement, disait un pieux évê-que, ne dépend pour ses effets autant que le sacrement de pénitence, de la coopération personnelle de celui qui le reçoit. Parents, prêtres, éducateurs doivent donc veiller à aider soigneusement l’enfant à bien recevoir ce sacrement.

La première confession que font les enfants a tou-

jours une importance particulière ; souvent elle exerce sur toute la vie une influence capitale. Si, la première fois que les enfants se sont approchés du sacrement de pénitence, ils y ont été bien préparés, s’ils se sont ac-cusés de leurs fautes avec une entière sincérité, et avec un véritable regret de les avoir commises, il y a tout à espérer pour leurs confessions futures. Pour cela, on

attire de loin le regard de l’enfant sur cette grande ac-tion et on leur fait sentir le besoin qu’ils en ont. Peu à peu, on les amène à constater combien facilement ils tombent dans des fautes et on essaie de leur inspirer l’horreur et le regret de ces fautes qui abîment leur âme et la rendent désagréable aux yeux du bon Dieu. Ainsi on leur communique le désir de les voir effacées et on leur laisse entrevoir le bonheur de se confesser et

d’obtenir le pardon. Au fur et à mesure que le grand jour approche, on en parle plus souvent, on encourage au désir d’in-nocence et de pureté. On les aide dans leur examen de conscience, en se met-tant à leur portée. On aide spécialement les enfants moins doués. Il importe que les enfants commencent à se confes-ser de bonne heure. N’ayant à s’accuser alors que de fautes légères, ils

prennent l’habitude de vaincre la répugnance à la confession. A mesure qu’ils grandissent, ils doivent se confesser plus fréquemment. Ainsi ils bénéficient, ou-tre la grâce du sacrement, de ses effets pédagogiques. L’enfant apprend en effet par ce moyen à se connaître lui-même, connaissance ô combien fondamentale. Par la douleur d’offenser Dieu, il renonce au péché, à ses défauts. Par les résolutions, il fortifie sa volonté. Par la confession, il apprend l’humilité. La confession est aussi un complément pratique sur bien des notions de doctrine : péché, faute, tentation, pardon, réparation etc. L’examen de conscience souvent renouvelé clari-fie la connaissance des commandements de Dieu. En-fin le contact avec le prêtre aide l’enfant à s’ouvrir sur les choses de Dieu et à trouver des réponses à ses questions les plus profondes.

Numéro 243

P a r a î t l e d e r n i e r d i m a n c h e d u m o i s

Gratui t dans nos chapel les

Lanval lay, Sain t -Malo , Sa in t -Br ieuc, Guer, Rennes, Éco le Sain te-Mar ie, Cours Sain te-Anne

Octobre 2012

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La confession des enfantsLa confession des enfantsLa confession des enfantsLa confession des enfants Par M. l’abbé Jacques Mérel

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Les enfants ont besoin d’être aidés à se présenter au confessionnal. La grande pédagogie dont il convient d’user est de parler toujours de ce sacrement avec une haute estime, accompagnée de douceur et d’encourage-ments. Le confessionnal, s’il est un tribunal, n’est pas un lieu de règlement de compte mais la rencontre avec la miséricorde du Sacré-Cœur. Les enfants aimeront à ce sujet se faire raconter la parabole de l’enfant prodigue. Un enfant devrait pouvoir penser au père de l’enfant prodigue, qui, quand il a vu son fils, a tout oublié, lui a ouvert les bras et l’a serré sur son cœur ; un enfant doit retenir très tôt dans son cœur que c’est toujours avec cette tendresse que Dieu nous ac-cueille quand nous venons lui avouer nos fautes et que nous en avons le regret. Cette note de doux encoura-gements donnés à l’enfant doit abso-lument bannir d’autres attitudes comme des plaisanteries « alors qu’est-ce qu’il t’a passé l’abbé ? » ou des moqueries, des menaces « attends un peu, M. l’abbé va te tirer les oreilles. » La confession ne doit pas être présentée comme un supplice, ni utilisée comme moyen de pression pour obtenir quelque chose ! Il convient aussi d’éviter les reproches que l’on fait parfois à un enfant insupportable… qui vient de se confesser : « si c’est ça, ce n’est pas la peine d’aller te confesser ». C’est là qu’il faut se rappeler que l’enfant reste un enfant et qu’il a besoin de beaucoup d’encouragements surtout dans les choses plus difficiles.

Faut-il aider un enfant à préparer sa confession ?

Oui, mais avec la discrétion requise par le respect dû à l’acte personnel que va faire l’enfant seul devant Dieu. Les plus petits, on les aide dans leur examen de cons-cience ; on énumère les péchés qu’un enfant de six ou sept ans peut commettre mais on se garde bien de lui

dire : « souviens-toi du jour où tu as mangé du chocolat en cachette », ce serait une humiliation inutile. On se contente d’énumérer ce que le bon Dieu demande : être franc, ne pas être gourmand etc. Il faut veiller aussi à ne pas transformer des peccadilles en crimes. On explique bien clairement ce qu’est un péché mortel (quelque cho-se de très très grave, qu’on fait exprès, en y pensant bien), en ajoutant que tout péché même léger est en soi laid et détestable. Il est bien d’expliquer aussi l’utilité de l’aveu, qui, s’il coûte, est justement le moyen de se sépa-rer du péché en disant : voilà ce que j’ai fait, je le regret-te, j’essaierai de ne plus recommencer.

On ne force pas un enfant à se confesser, affaire de discrétion enco-re une fois. Pas de « tu va me faire le plaisir de te confesser immédiate-ment » ! Là aussi il y a un équilibre délicat à trouver car l’enfant est dis-trait. Visons à soutenir la volonté sans la forcer. Il faut parfois rappeler le devoir : « à l’occasion de telle fê-te, pour demander telle grâce, pour remercier de telle faveur, ne veux-tu pas te confesser ? » Entre contrainte et liberté, choisissons hardiment la liberté ! De même, n’exigeons pas que l’enfant aille se confesser à tel prêtre. Donnons une certaine liberté dans le choix du confesseur, et –discrétion encore-, ne cherchons pas à savoir ce que le prêtre a dit !

Le cœur de la question, c’est en définitive la contri-tion ; la douleur de l’enfant prodigue corrélative à la bonté et la miséricorde du père. Que l’enfant apprenne sur les genoux de sa mère la douleur d’avoir offensé Jé-sus et Marie. L’examen de conscience de la maman sous ce rapport peut se formuler ainsi : « ai-je appris de bon-ne heure à mon enfant que Dieu pardonne toujours au repentir sincère ? » ; « est-ce que j’ai ouvert son cœur à l’amour du bon Dieu ? à la reconnaissance envers le

(Suite de la page 1)

L’L’L’L’Atelier du Cœur Atelier du Cœur Atelier du Cœur Atelier du Cœur

Immaculé de Marie Immaculé de Marie Immaculé de Marie Immaculé de Marie

vous proposevous proposevous proposevous propose

Ventes de gâteaux : ♥ Le dimanche 7 octobre à Lanvallay ♥ Le dimanche 14 octobre à Saint-Malo,

Rennes, Saint-Brieuc Marchés de Noël : ♥ Le dimanche 25 novembre à St Malo ♥ Le dimanche 2 décembre à Lanvallay ♥ Le dimanche 9 décembre à St-Brieuc

Milice de Marie Réunions le mercredi 17 octobre et le samedi 3 novembre

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Créateur, à la confiance absolue en Lui ? » ; « Ai-je don-né à mon enfant l’habitude de réciter l’acte de contrition avec confiance ? »

Cette question de la contrition revêt des aspects très

concrets. Les religieux éducateurs signalent le fléau de la confession de routine. L’enfant prend facilement l’habi-tude, si on n’y veille pas, de réciter des listes de fautes trouvées dans des formules qu’il connaît par cœur, qu’il ne compare pas avec la réalité de ses actes, et sans contrition portant précisément sur telle ou telle faute. L’enfant finit par prononcer des mots sans tellement pen-ser aux actes qu’il a commis. Il importe d’expliquer aux enfants qu’il n’est pas nécessaire ni utile d’accuser tous ses péchés véniels ; il leur est plus profitable d’en choisir quelques-uns parmi les plus graves et les plus fréquents (ou aussi un péché sur lequel ils ont un doute de cons-cience), et de porter leur effort de contrition et de ferme propos sur ces fautes-là. Ceci n’enlève rien à la sincérité parfaite à laquelle il faut engager les enfants. Ils doivent être sincères parce qu’ils se confessent à Dieu, qui sait tout. La sincérité ne porte pas sur le fait d’avoir une liste

complète de péchés véniels, mais sur le sens de la pré-sence de Dieu à qui rien n’échappe.

Il s’agit d’enseigner de bonne heure à l’enfant l’Acte

de contrition, en lui faisant comprendre ce qu’il expri-me : le regret d’avoir offensé Dieu, infiniment bon et parfait, et la résolution de mieux vivre. De plus il convient d’habituer les enfants à se tourner vers Dieu spontanément dans leurs difficultés, afin qu’ils puisent là une contrition empreinte d’amour. « Ô mon Dieu, aidez-moi, donnez-moi du courage. » A un enfant demandant à sa maman « tu crois qu’il est fâché contre moi le bon Dieu », elle répondra : « Dis-Lui que tu regrettes de tout ton cœur d’avoir fait le mal et Il te pardonnera et il t’ai-dera à redevenir tout à fait gentil. ». L’enfant apprend ainsi à vivre de la grâce de Dieu, à penser à Lui, à Lui parler, à L’aimer dans ses infidélités même. Ainsi habi-tuons l’enfant à bien vite demander pardon au bon Dieu dans son cœur quand il a taché son âme par un péché, à réparer sa faute par quelque prière ou bonne action, à reprendre ses résolutions, en particulier celles concernant son défaut principal : désobéissance, mensonge, colère,

gourmandise. Ainsi l’enfant avance dans la contrition habituelle et dans l’esprit de prière, d’amour de Dieu. Qui ne voit que la bonne confession d’un enfant demande beaucoup aux adultes qui l’entourent ? Quelle école de progrès pour nous aussi ! Ecole de patience, école de prière. Demandons avec les enfants et pour eux la grâce de la contrition, cœur du sacrement de pénitence. Et, pour re-prendre le précieux petit livre L’éduca-tion de Jean-Marie, « stimulons le zèle de nos petits par notre exemple, prions beaucoup pour eux, entraînons-les à la piété mais ne les contraignons jamais. Si de bonne heure et par nous, ils ont com-pris l’aide puissante des sacrements, s’ils en ont goûté la pratique, ils y resteront fidèles. »

Grande récollection paroissiale de l’Avent Le dimanche 2 décembre 2012

La récollection sera prêchée par M. l’abbé Guy Castelain Thème : récollection avec le Père de Montfort - La consécration à Marie

Programme

Prédication aux deux messes - repas tiré du sac : 12h30 – Première instruction : 14h00 Chapelet médité : 15h00 - Deuxième instruction : 16h00, suivie de 15 minutes d’oraison personnelle

Vêpres et Salut du Saint-Sacrement à 17h30.

NB : Des personnes sont invitées à se faire connaître pour s’occuper des enfants.

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Actuellement beaucoup de gens s’accordent à dire que le portable est de plus en plus indispen-sable. Et c’est vrai.

Voyez, pour toutes difficultés, même et sur-tout les plus graves, combien il est simple et prati-que de prendre son portable en main et de prendre les contacts nécessai-res.

Les grincheux vont dire que c’est cancérigène, que cela attaque le cer-veau ou affecte la circulation sangui-ne. A cela on peut toujours répondre en disant qu’il suffit de s’équiper de modèles en bois (d’olivier par exem-ple) qui se trouvent sur le marché à des prix abordables. Étonnant, non ? Mais en réalité les modèles à base de produits plastiques sont inoffensifs et souvent bien plus pratiques, plus faci-les d’emploi, et moins regrettés en cas de perte ou de vol (cas très rare).

Le portable tient dans la poche ou se place facilement à la ceinture. Du reste il doit toujours être à portée de main, car encore une fois, c’est souvent qu’on a besoin de lui. Le matin en allant au travail, en allant faire les courses, avant de quitter son chez-soi, on veille par dessus tout à ne

pas l’oublier ; on aime au contraire sentir sa pré-sence ; il faut vraiment acquérir le réflexe de ne pas pouvoir s’en passer, de le prendre souvent dans nos mains, de le regarder. On fait demi-tour si on s’aperçoit qu’on l’a oublié.

Le portable demeu-re aujourd’hui un moyen de commu-nication extraordi-naire, utilisable tout le temps, partout (presque), même à la chapelle (on gar-de son portable avec soi à la mes-se). Il est très sim-ple d’utilisation, fa-cile pour les petits et les grands. Nul ne peut dire : ce n’est pas pour moi, c’est trop compli-qué pour moi. Pour réconforter à distance un ami, confier vos soucis, résoudre une diffi-culté, un petit appel rapide suffit. On peut le réitérer, plusieurs fois dans la journée, 3, 10, 150 fois… On peut laisser un message,

même écrit ; cela évite la lassitude de penser qu’on n’arrive pas à avoir son interlocuteur. Il est là en fait, mais pour différentes raisons, il a mis son message automatique d’accueil et nous assu-re qu’il s’occupera de nous dès que possible. Qui dit mieux ?

(Suite page 5)

Le mois du portableLe mois du portableLe mois du portableLe mois du portable Abbé Jacques Mérel

(nous déclinons toute responsabilité envers quiconque penserait que cet article constitue une apologie du téléphone portable!)

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Le coût du portable, c’est surtout l’énergie qu’il faut pour l’utiliser. Heureusement, l’utilisa-tion est facile ; cependant il faut reconnaître que c’est parfois contraignant. Il faut recharger, veiller à l’abonnement. L’idéal, c’est 1h/jour environ (3 fois 20mn). L’expérience prouve cependant com-bien le système est souple et s’adapte à chacun. Une fois qu’on y a goûté, en général on augmente la consommation ! Ce qui compte surtout c’est de se tenir à ce qu’on s’est fixé, jour après jour, et de prendre de bonnes habitudes afin que vraiment l’utilisation du portable devienne un acquis sur le-quel on ne reviendra jamais.

On dit que le portable dérange les autres, qu’il rend asocial. C’est vrai qu’il dérange les égoïstes et les orgueilleux qui croient toujours qu’ils vont se débrouiller tout seuls comme des grands. Les habi-tués, au contraire, ont remarqué qu’on capte mieux quand on est plusieurs. On émet mieux aus-si du reste, même si on s’en rend moins compte. En fait le portable réunit les gens, adoucit les mœurs et permet de réaliser de grandes entrepri-

ses, de vraies croisades, en restant chez soi. Pas besoin de prendre l’avion au bout du monde avec armes et bagages.

Sans doute il faut la foi, et l’espérance d’être écouté. Il faut aussi la persévérance dans les fati-gues, les lassitudes, les communications apparem-ment à sens unique. On n’a rien sans rien. Mais c’est si simple de sortir son portable de sa poche et de s’en servir en tout besoin. Ou simplement parce qu’on aime son interlocuteur et que l’on veut passer un moment avec Lui, avec Elle.

En ce mois du portable, sachons donc investir, réinvestir dans le portable. Qu’il ne soit plus porta-ble seulement, mais porté assidûment. L’idéal se-rait d’arriver à ce que ce soit lui qui nous porte… une espèce de connexion permanente, continuelle si vous voulez, de sorte non pas à passer tout son temps à utiliser son portable, mais à passer le res-te du temps comme il faut, pour que ces conversa-tions à distance soient toujours plus douces, hum-bles et saintes, préludes des conversations éter-nelles en face à face. Là il n’y aura plus besoin du portable !

(Suite de la page 4)

À DONNER

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Monde ": de 1978 à 2011. Collection du magazine mensuel " Voiles et Voi-

liers " ( 10 ans ). Machine à coudre SINGER ancienne ( à péda-

lier ) , qui nécessite quelques coups de chiffon. Seuil de porte en duralinox ( 1,47m ) acheté chez

LAPEYRE en 2008, neuf. Obole bienvenue pour oeuvre.

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long. Tél:02 96 39 56 70 (Prieuré).

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chambres. 60800 euros (pas de frais de négocia-tion). Le prix de la vente sera versé aux religieuses de Traonfeunteuniou. Contacter le Prieuré.

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Amour de la vérité et haine de l ‘erreurAmour de la vérité et haine de l ‘erreurAmour de la vérité et haine de l ‘erreurAmour de la vérité et haine de l ‘erreur Textes de Dom Chautard et du R.P. Faber

L'ardent amour pour Jésus et la vraie direction pour les âmes donne à l'apôtre toutes les audaces compatibles avec le tact et la prudence. D'un laïc éminent nous tenons directement ce récit. S'entretenant avec Pie X, il avait au cours de la conversation décoché quelques paroles mor-dantes à l'adresse d'un ennemi de l'Église. « Mon Fils, lui dit le Pape, je n'approuve pas votre langage. En punition, écoutez cette histoire. Un prêtre que j'ai beaucoup connu arrivait dans sa première paroisse. Il crut de son devoir de visiter chaque famille. Juifs, protestants, francs-maçons même ne furent pas exclus, et il annonça en chaire que chaque année il renouvellerait sa visite. Grand émoi chez ses confrères qui se plaignent à l'évêque. Ce-lui-ci mande aussitôt l'accusé et lui adresse une verte se-monce. « Monseigneur, lui répond modestement le curé, Jésus, dans l'Évangile, ordonne au pasteur d'amener au bercail toutes ses brebis, oportet illas adducere. Com-ment y réussir sans aller à leur recherche ? D'ailleurs je ne transige jamais sur les principes et me borne à témoi-gner mon intérêt et ma charité à toutes les âmes, même égarées, que Dieu m'a confiées. J'ai annoncé ces visites en chaire, si votre désir formel est que je m'en abstienne, daignez me donner cette défense par écrit, afin que l'on sache que je ne fais qu'obéir à vos ordres. » Ébranlé par la justesse de ce langage, l’évêque n'insista pas. L'avenir, du reste, donna raison à ce prêtre qui eut la joie de convertir quelques-uns de ces égarés et força tous les autres à un grand respect pour notre sainte Religion. L'humble curé est devenu par la volonté de Dieu, le Pape qui vous donne, mon fils, cette leçon de charité. Soyez donc inébranlable sur les principes, mais que votre chari-té s'étende à tous les hommes, fussent-ils les pires enne-mis de l'Église. »

Dom Chautard, L’âme de tout apostolat J'ai encore sur le cœur une autre plainte impopulaire.

L'ancienne haine de l'hérésie devient rare ; on perd l'ha-bitude de regarder Dieu comme l'unique vérité, en sorte que l'existence des hérésies n'est plus un sujet d'épouvan-te. On tient pour certain que Dieu ne doit rien faire qui ne soit pénible, et que son autorité ne doit prendre aucu-ne forme désagréable ou blessante pour la liberté de ses créatures. Comme le monde a rejeté les idées exclusives, il faut bien que Dieu suive le progrès et mette de côté des principes surannés dans sa conduite à notre égard. Les majorités doivent finir par avoir le dessus, telle est la rè-gle et le fait d'expérience dans un pays constitutionnel. C'est ainsi que la discorde et l'erreur en religion ont fini

par devenir moins odieuses et moins alarmantes, simple-ment parce qu'on s'y est accoutumé. Il faut une certaine hardiesse de cœur et d'intelligence pour croire que toute une grande nation ait tort ou que tout un siècle puisse aller de travers. Mais la théologie, dans sa simplicité, met bravement le monde tout entier au ban comme pécheur, et ne trouve pas de difficulté à n'assigner à la vraie Église qu'une portion modérée de la population du globe. La croyance dans la facilité du salut hors de l'Église est fort douce si nous avons des parents ou des amis dans les liens de l'hérésie ; de plus, si nous voulons admettre cette maxime, le monde nous pardonnera une foule d'erreurs et de superstitions, et nous fera l’honneur de nous compli-menter de notre religion comme étant un produit littérai-re on philosophique de notre cru plutôt qu'un don de Dieu. Est-ce donc là un si grand avantage pour que tant de gens en soient si enchantés, le paient si cher et sans regret ! Il est clair que cette croyance diminue notre esti-me pour l'Église et doit affaiblir notre empressement à convertir les autres. Ceux qui font le moins d'usage du système de l'Église, sont naturellement ceux qui, le connaissant et l'estimant le moins, seront le moins en état d'en juger ; et avec cela, ce sont justement ceux qui sont les premiers à faire généreusement le sacrifice des préro-gatives de l'Église aux exigences de la mollesse et de l'indifférentisme moderne. Il serait étrange que les véri-tés divines fussent toujours au gré d'un monde perdu dans la corruption et le péché : nous le savons bien ; mais nous n'avons pas le courage de rester fidè-les à nos prin-cipes. Nous regarderions le prêtre, les sa-crements et l'union à l'Égli-se comme cho-se de la derniè-re conséquence pour nous si nous venions à mourir ; mais si c'est le voi-sin, nous les estimons de trop peu de conséquence pour justifier

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� Intention de la Croisade Eucharistique d’octobre : la consécration de la Russie au Cœur Immaculé de Ma-rie.

� Intention de la Croisade du Rosaire d’octobre : les missions et la propagation de la foi.

� Apéritif de rentrée à Saint-Malo. Rendez-vous à tous le dimanche 21 octobre à l’issue de la messe chantée de 10h00.

� Adoration du Saint-Sacrement. Il y aura désormais à Lanvallay une nuit d’adoration proposée chaque mois, ordinairement dans la nuit du 1er vendredi au 1er same-di. Par ailleurs les journées d’adoration (il y en a trois par an) dans le cadre de l’adoration perpétuelle de la Fraternité auront lieu normalement à la chapelle Sainte-Anne de Saint-Malo de 10h00 à 18h00 (messe à 18h30).

� Conférences du lundi soir au Prieuré. Les abbés du Prieuré vous proposent cette année un programme un peu plus fourni que d’habitude, avec aussi la possibilité d’un travail préparatoire personnel, vous l’avez vu avec le traité de la Sainte Trinité présenté par M. l’abbé GUYON le 1er octobre. Prochain rendez-vous : le lundi 15 octobre ; l’abbé MÉREL entreprendra le commen-taire de Ils l’ont découronné, analyse magistrale de

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une franchise un peu rude et qui ne serait pas du goût de tout le monde ; ou bien, serait-il vrai que nous sommes indifférents s'il se perd ou s'il se sauve ? Quoi qu'il en soit, notre défaut de haine de l'hérésie nous fait descen-dre en fait de doctrine ; puis notre pratique ne peut faire autrement que de s'en ressentir. Par la raison correspon-dante, si notre esprit de pénitence vient â s'accroître, no-tre amour pour l'Eglise grandit aussi, et là où se trouve la haine cordiale du péché, la haine cordiale de l'hérésie n'est pas loin. Toutes ces idées sont passées de mode, et malgré cela, je m'y retrouve toujours sans m'en douter. Je crois que notre repentir serait plus réel et plus valide si nous avions quelque peu l'esprit des inquisiteurs du temps passé. Je devrais en rougir de honte à la face du grand soleil du dix-neuvième siècle, mais c'est une fai-blesse que je ne puis vaincre, peut-être faute d'avoir fait des efforts suffisants. Jusqu'à présent donc, je maintiens que la haine de l'hérésie doit accompagner le repentir intérieur. Je demande à Dieu, dans son infinie compas-sion, d'entretenir en moi, jusqu'à la dernière heure, cette profonde détestation qu'il m'a donnée, et que je reconnais tenir de lui ; je lui demande d'augmenter immensément en moi cette détestation. Le ciel est le séjour de l'amour, mais la haine de l'hérésie n'y diminuera point, car, au fond, ce n'est pas autre chose que l'amour qui adore l'éternelle vérité de Dieu.

R.P. Faber, Conférences spirituelles En quoi consiste la perfection ? Elle consiste en une

charité d'enfant qui ne prétend point y voir de loin, mais

qui croit toutes choses ; elle consiste dans une merveil-leuse conviction surnaturelle que tous les autres sont meilleurs que nous ; elle croit qu'il y a bien moins de mal dans le monde qu'il n'y en a réellement ; elle regarde avec partialité tout ce qui est bien ; elle est ingénieuse à tout prendre en bonne part, et à s'aveugler sur les fautes d'autrui ; elle est gracieusement obstinée à ne pas croire au scandale, tellement que les saints ont parfois semblé passer les bornes de l'édification en ce point. Voilà la perfection ; voilà l'humeur et la trempe des saints et de ceux qui leur ressemblent. C'est une vie de désirs et d'ou-bli des choses de la terre ; c'est une foi lumineuse et forte dans sa conviction que les lenteurs de l'homme ni ses froideurs ne sauraient arrêter la marche de la gloire de Dieu. En même temps, il y a un combat instinctif dans lequel on emploie les armes de la prière et de la répara-tion contre des maux qu'on ne peut se décider à croire. Jamais ombre de morosité chagrine dans l'âme d'un saint ; cela n'est pas possible. Enfin, la perfection a le don d'entrer dans l'esprit de Dieu, qui, dans son universa-lité, se complaît dans la diversité de nos adorations, et s'accommode de tout, Or, tout ceci est diamétralement opposé à l'humeur de ces gens si faciles à scandaliser. La différence est si claire que tout commentaire serait super-flu. Heureux qui peut dire à son lit de mort : « Jamais dans le cours de ma vie personne ne m'a scandalisé ! » Il n'a pas vu les fautes du prochain, ou s'il les a vues, c'était au travers de tant de rayons lumineux, qu'il s'est moins arrêté à ce qui pouvait remuer la bile, qu'aux motifs d'un amour plus profond et plus compatissant.

R.P. Faber, Conférences spirituelles

Page 8: É Par M. l’abbé Jacques Mérel La confession des enfantslaportelatine.org/district/prieure/lanvallay/SainteAnne243.pdf · délicat à trouver car l’enfant est dis-trait. Visons

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-Prieuré Sainte-Anne : Messe à 11h00 sauf le vendredi : 18h30. Ces horaires peuvent être soumis à des modifications, indiquées le dimanche aux annonces. Chapelet tous les jours à 19h00. Vêpres et salut du Saint-Sacrement les dimanches et fêtes à 17h30

-Saint-Malo : Messe célébrée le mardi et jeudi à 18h30 et les premiers vendredi et samedi du mois à 18h30 ; chapelet à 18h00 avant les messes. -Saint-Brieuc : Messe célébrée le 1er vendredi du mois à 18h30 et le 1er samedi du mois à 10h00. Messe le mardi à 18h30. Messe le

mercredi à Phéhédel à 11h00. -Rennes : Messes le mercredi à 18h30, le samedi à 10h00 ; le 1er vendredi du mois à 18h30.

Chapelle Saint-Hilaire (Saint-Brieuc)

48 rue de Brocéliande 22000 Saint-Brieuc

Dimanche messe à 10h00

Chapelle Sainte-Anne (Saint-Malo)

52 rue Jean XXIII 35400 Saint-Malo

Dimanche messes à 8h30 et 10h

Chapelle du Sacré-Cœur (Lanvallay)

Avenue de Beauvais 22100 Lanvallay

Dimanche messes à 8h et 10h30

Chapelle Saint-Yves (Guer)

17 rue Rencontre 56380 Guer

Dimanche messe à 18h00

Chapelle Sts Pierre et Paul (Rennes)

44 rue du Manoir de Servigné 35000 Rennes

Dimanche messe à 10h00

Mgr LEFEBVRE sur la crise conciliaire et ses remè-des. Le 22 octobre ce sera le tour de M. l’abbé FRA-MENT qui parlera cette année de questions d’éduca-tion de l’enfance à l’âge adulte. Ce 22 octobre il traite-ra « des parents chrétiens ». Chaque abbé donnera un cours par mois (abbé GUYON : 1er lundi du mois, abbé MÉREL : 2e lundi, abbé FRAMENT : 4e lundi).

� Doyenné. Les abbés du doyenné sont en récollection les 19 et 20 octobre à l’école Sainte-Marie, avec la pré-sence de M. l’abbé BOIVIN, 1er assistant de district.

� Messes à Rennes : Dorénavant, la messe sera célébrée à la chapelle Saint-Pierre et Saint-Paul tous les samedis à 10h00, avec les confessions avant. La messe du mer-credi continue, toujours à 18h30. Il y aura aussi la mes-se pour les 1er vendredis du mois, à 18h30.

� Messes à Saint-Brieuc : la messe est maintenant célé-brée le mardi à la chapelle Saint-Hilaire à 18h30, et le mercredi à Phéhédel à 11h00 (en période scolaire).

� Sortie du groupe Saint-Malo (groupe scout du Prieu-ré, sous la direction de M. Hervé de CACQUERAY, assisté du Frère JEAN-BENOÎT pour les garçons et de Mme Marie-Anaïg BASTIDE pour les filles) : samedi 13 et dimanche 14 octobre. Vente de gâteaux à l’issue de la messe de 10h30 à Lanvallay le 14 octobre.

� Cours de doctrine pour étudiants à Lanvallay : ces cours, avec M. l’abbé FRAMENT, auront lieu les sa-medi 13 et 27 octobre à 17h30.

� Récollection du Tiers-Ordre de Saint-Pie-X : le di-manche 14 octobre au Prieuré (abbé FRAMENT)

� Croisade Eucharistique : les réunions reprennent le samedi 20 octobre, organisées par Mademoiselle So-phie STOREZ. Le prêtre responsable est M. l’abbé FRAMENT.

� Lourdes : le car partira de Lanvallay le vendredi 26 octobre au matin, puis passera à Rennes. Les tracts sont disponibles dans les chapelles. On peut appeler au prieuré pour tout renseignement. Il paraît indiqué de profiter des grâces de Lourdes en cette année tournée vers sainte Jeanne d’Arc, dont le miracle qui a permis sa canonisation a eu lieu précisément à Lourdes.

� Chapelet au Prieuré. Le chapelet est assuré tous les jours au Prieuré à 19h00, sauf évidemment le diman-che et les jours où la messe est le soir.

� Retraite. Merci de prévenir le colonel de CHARETTE (02 96 39 30 18) si vous vous rendez à une retraite en voiture…afin de remplir la voiture (de retraitants !)

� Intention de prière : M. l’abbé GUYON fera sa retrai-te annuelle du 8 au 13 octobre à Gastines.

Carnet paroissial

Baptêmes

� Mayeul SAINT MARTIN , né le 14 août 2012, baptisé le 23 septembre.

Funérailles

� Monsieur Guy BOISNARD, le jeudi 13 septembre 2012 à la chapelle Sainte-Anne de Saint-Malo, à l’âge de 92 ans.

� Mademoiselle Suzanne (Rose) GUINEL, le vendredi 21 septembre 2012 à Lanvallay, à l’âge de 92 ans.

� Madame Clotilde LAFFON , le samedi 22 septembre 2012 à Pleudihen, à l’âge de 36 ans.

Autres évènements familiaux

-Baptême de Hermine STOREZ le 15 septembre 2012, petite fille de M. et Mme STOREZ. -Baptême de Flavie BURG le 9 juin 2012, petite fille de Mme Pierre EVEN. -Baptême de Hubert JAQUEMET le 29 septembre 2012, 20e petit fils de M. et Mme Armel de CHARETTE. -Entrée au séminaire de Simon NOUNGOUNA (Chapelle St Pierre et St Paul de Rennes) à Flavigny le 6 octobre 2012.

CONFIRMATIONS Le sacrement de Confirmation sera conféré par Son Excellence Monseigneur Bernard FELLAY les 9 et 10 février 2013 à Lanvallay et Brest.