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8f* Année. — iV“ A8. CINQ CÊNT1MÈ8 — Le Nu^jro CIWQ C^NTIItÈÉ r I d our ■y EUX \o h OD Qeor, ails. TE les acci- >^^0 R |i:s. r>ec'is. iover laele inipor- Imaoife^nt grenrs,'".les ligestrons), aiTcctioas m auvaille bri'îhile, les Ls, les pâles ^li on nô le, i ■-7J.- Paraissant le Jeudi et le Dimanche. jp U R N A L DE’ SE N L IS Rédacteur en. ' clief • Loup BtÈRl^OZ» ’Iï' K--; ,o l^gàijs^ie^steddi §t le^proa^b^ :'T Ô”’’ . oU-"' ^ B O W 35T B3 M E IT T S « - - Ji. I Ou s’ABomni aux Bureaux du Journal et dans toui SmHi «t Oi»t* Autre»oep. i bureaux de poste» — L’abonnement est paTable Qn an................ 6 Ir. 8 tr. | j ’avance et continue de plein droit jasç[u’Arweption Six mois ................... 4 fr. 6 fr. I d’avis contraire, Z m Abonnem ents petrtent da 1* au du iS de chaque mois. w^küJt, K É irM îiîO îr^ SENI j IS — 11. P lace de l’HôteW e-PiUe, 11^ — S E N tlS .................... ' -'X it à f â ’é rT O ’X r’s r - r • Annoneet 0«5Q e. 1» BfBt» ......... .d^:c.:i»iigii*.;:ï j.r- Aimonou^tûru . ®>“ . I ...................... L m «nnonce». ricianet .to.,'«oncmiimt Pari» «t le» Cépartomente «ont tefoe» üreiptem**, r. - aux bureaux du journal. , ___ . . Les manuscrits, insérés ou non, tfe sont pas rendus. Senlis, le Juin 1910. La de Campiègiie. U n exem ple à su ivre 0, etc., et le ; renoà- ail ou les ttca'e aotte tt cr ! » Nous donnons pins loin le compte rendu très succinct du baquet orga nisé e.'n l’honneur du distingué Maire de Compiègne, M. Fournier-Sariovèze, le nouveau député de l’Oise. Si nous disions tout le succès de uette belle réunion, nous froisserions la modestia du nouvel élu dont la popularité date de longtemps et qui s’est accrue par sa franchise, sa cor dialité et la sincérité de ses convic tions. Plus de deux mille citoyens, venus de tous les cantons, ■ ont es corté et acclamé dans les rues de Compiègne. Si imposante, si éclatante que soit cette victoire, elle a été célébrée, avec enthousiasme sans doute, mais avec Tme correction, une dignité qui ména geait toutes les susceptibilités des vaincus de la veille. Nos radicaux de Beauvais, de Crépy et de Senlis ne peuvent pas en dire autant. A Gom- piègne, les libérau.x manifestent leur joie sans froisser personne, tandis qu’ailleurs, les blocards, a leurs chants de triomphe ont ajouté dés cris de haine et des iiÿures à l’adresse de ceux qui les avaient combattus loyale ment. Ils avaient beaucoup de raisons de se montrer modestes, ils n’ont même pas été généreux ; Us ont, dans bien des circonstances, fait preuve d’une si mauvaise éducation, que des radicaux eux-mêmes ont rougi de leurs scandaleuses manifestations et n’ont pas craint de les désavouer. Voilà le premier enseignement que l’on p'eut tirer des ovations publiques, spontanées dont M. Sarlovèze vient d être l’objet. ■Mais ü y a autre chose qu’ü con vient de souligner, et que nous nous faisons un devoir de donner en médi tation à nos amis politiques, les répu blicains progressistes et libéraux de la première circonscription de Senlis. Tout d’abord, ü faut constater ce fait, qu’au lendemain de leur victoire, nos amis de Compiègne ne s’endor ment pas sur les lauriers. Ils restent sur la brèche, poursuivent leur excel lente campagne, complètent leur oiga- nisation, non seulement pour conser ver leurs positions, mais pour les accroître et les fortifier. Ce n’est pas tout. Cet excellent état d’esprit qui démontre les sentiments dont les électeurs sont animés, noiis fait voir d’autres qualtés non moms précieuses qui ont assuré la victoire de l’honorable maire M. Foumier-Sàr- lovèze, l’infatigable apôtre de la jus tice et de la liberté. Un de nos con frères voisins, l’Argus So^onn&is, parlant de cette belle réumon de .di manche à Compiègne, fait la réflexiori suivante : Ce gui nous frappa le plus hier ce fut la discipline de ces S.OOO citdÿens'^'de- nus de tous les cantons 'de Varrondisse ment de Compiègne et qui, sans tapage, avec une dignité parfaite, une correc- tidti absolue, firent à leur député la plus belle escorte gtion puisse imagi ner. M. Fourmer-Sarlovèie est pour tous plus qu’un ami, ét les protestation de dévouement qu’it reçut hier otU fiû le toucher profondément. Le confrère a évidemment raison. Nous ne sommes pas habitués, en gé néral, de rencontrer dans notre p ^ nette disciplinequi faitda fo r^ .Jïhi* cipàle des armées, et oh éprouve une surprise -bien agréable de constater qu’elle existe chez nos amis de Com piègne ; nous les en félicitons bien sincèrement. Après avoir rendu'au -nouveau député, pour son amabilité et son activité, l’hommage qui lui est du, XArgus se demande pourquoi ü ne s’est pas trouvé à Soissons un homme lui ressemblant,, qui consente à des cendre dans la hce où M. Fourmer- Sarlovèze a trouvé la victoire ? La ré ponse à cette question est b^sim ple. Parce que l’union, la dischdme n exis taient pas d’une façon complète, etque péi^ùhe n'éprouvé le besom ou laiie- '^ s ité de courir au devant d’un éÆeç. Lé'jour où la discipline et 1 oigam- sation seront les qualités maîtréssès du ‘parti républicain modéré, la victoire lui est assurée. Nous avons maintes 'fois répété cela et des, événements nous ont donné raison. Nous n en vou- lOBS pour jweuve que ce quis’est passé à Senlis. . . ^ i: Mâteré une orgamsation tardive, (fisons le mot, « improvisée », il s en est faUu de peu que nous ayons un triomphe à notre actif. Nous Sommes arrivés sl près du bût, ,qù en poursm- yant iiQtre-^tïvr6 àv 6 Clapçrséyéraiicô rt l’activité désirables, le succès n’e ^ pas douteux a la première bataille que nousüvrerons. "Voilà pourquoi nous ne cesserons . . V «tvnâa -nnliH /m oa sans lesquels la meilleure des causes ne saurait être défendue efficacement. Ne perdons pas de vue l’exemple que vienueot de nous donner les circons criptions de Beauvais, Compiègne et Creil. où nos amis politiques, MM. Hucher, Fournier-Sariovèze et Heuze, ont battu les blocards. Restons comme eux sur la brèche, redoublons d’activité, de zèle, d’énergie et entre tenons chez nos amis, les défenseurs de nos légitimes revendications, cet esprit de solidarité et d’étroite union qui nous permettra de couronner nos efforts d’un succès aussi brillant que légitime. . . ,• N’oublions pas que sans discipline il n’y a pas d’organisation possible. Quand l’intérêt supérieur d’un parti est en jeu, quand des questions primor diales groupent des citoyens sur un même terrain, ils doivent sans arrière pensée se sentir les coudes pour assu rer le triomphe de la cause com mune. Tels sont les enseignements que nous devons tirer des manifestations sympathiques dont les députés libé raux ont été l’objet dans les circons criptions voisines. Ils ont été modestes dans la victoire et surtout d’une di gnité, d’une correction que ne con naissent point nos adversaires poli tiques, mais ils font preuve pour l’organisation de leur propagande d un esprit pratique dont nous aurions tort de ne pas nous inspirer. L oup BERTROZ. jOisU-ibutioD d©prospectus. - L ad- niinislration des postes avait la préienlion de faire condamner les magasins qui disiribuent sous pii fermé des prospeelus. La onzième chambre correctionneile vient do repousser ces prétentions. . Mot de la fin. Calino venu à Paris pour la première fois de sa vie est monté en omnîbns. Le contrô leur parait ; — Pas de correspondance ! Calino tirant de sa poehe un petit paquet de lettres ; — Rien de bien intéressant, mais vous pou- , i: «rnin I-'t 1 « M ' ■ La Presse et la réformé électoralè. Echos et Nouvelles. Les vacances judiciaires an l ”août La consultation par voie de référendum instituée par le ministre de la justice pour fixer la date des vacances judiciaires, est terminée, et elle â conclu à la date du 1” août. En conséquence, la décision ministé rielle fixant officiellement les vacances judi ciaires du août au 1*' octobre serapnse incessamment* Les conquérants de l’a^* — i’oma- ieuT DuTdy blessé- — L^ayiateur français Dùray, qui prend part au circuit d’aviation, voulait essayer, dimanche après-midi, à Vé rone (Italie), un aéroplane qui venait d être rénaré. Il prit sou vol, mais l’appareil menaçant de se renverser, Duray se jeta b terre. , Il parait qu’un patin de 1hélice le heurta violemment. L’aviateur dut être transporté au poste de secours. Son état n’est pas ^ave. aianifestation électorale mouve mentée. — A l’issue d’un banquet offert dimanche à Montpellier, à ToccasiOn de sa réélection à M. P. Ler6y-Beaulieu,LΑ9e-” “ '' festation a parcourü' les rues. Sur la place de la'Comédie, une bagarre s’est produite, au .cours.de laquelle MM. B ^- rère et Belin, commissaires de police, ont été frappés. Six arrestations ont été opérées. Les débats d’une législature. — On jait que la..nauyelle Chambre se Vréùna.du-, ^ °'lï «invocation a été adressée aux59t élus j ils se réuniront de plein droit, les pouvoirs de la Chambre élue en 1908 e x p i â t le 31 mnij au Sxièine coup dè minuitL i i .."f * li ne'doit y avoir aueunè interruption entre les deux assemblées ; théoriquement c’est la même session-qui continuBiaîavec une Cham bre différente. - . Cette Action de la contmmte' a p p t ^ si inélucUble aux théoriciens dû drqit parlemen taire qu’il y a huit ans, eh 19f)2, le l"juin tombant un dimanche, on n’osa ;®s ajohramr au lendemain lundi la rédhion de la nouvelle Chambre et qu’elle siégea ce jour-là pour nommer un président provisoire et deux vice- ^'^Rappêîons l’ordre du jour dé là séance pu blié à WAeief..- . jnstallation du président et des secrétaires ^ ^ r û tiû pour là nomination dii président pro visoire t. - , Scrutin poiïr;la nommation de deux vice-pré sidents provisoires ; ' . , Installation du piesideht provisoire ; Tirage au sort des bureaux ; _ Lé'pr^deht f âgé qui ouvrira la première séance de la légisteture est, le vénérahle M. Pà^yi député républicain libéral des Andelys, une le bloc à vainement çombattu ét qui a ffiomphé brillammeht dèsofl concurrent radi cal. " ______ - CèncotiiN g^érWl agrleeto J e Paris Le Concours général d’animaux reproduc- ieutmse tiendra ûu Çhamp-de-Mars du_ 13 au S i^ h . L'é progranimé en ^ ains%la»Tf)pé- rationst , , ;p.-ïî ’ 97 - - . ' JÂmdi 13 ' ét nuadi ti juin, -r Réception des animaux reproducteurs, des’animaux de baspe^ur et d'es'ipstrd^nts ge^hines- fs jm». — Co’ntinuafioh de cette ré c e i^ n et Ouverture de l’qxpoâtiqn. des ma- ehîBds: r ' . V ^- Jeudi 16 juin. —^Opérations inimmix de basaecour, et e^Msm^^dgj^pa- ijnnes.l .Si . animâhx alnnes.i ■— —r ,cr.Véndreii 47 juàt. ooDéiathins denquryaiides: -awmai^^wno- ^M^de^cÎÆnaidahwgat. wUatoiBeMes dn matin à 5 hétgw *MPHKe«ÿosilioiBifflbh-. que dé tout lé comipurs..i , .. ^ , .Samedi 43 au mardi BYiutn.—Exposition ■pûblique générale ,ûe,â,.heure»,Ja,.sa*Biài &heures du apir. -amiiaoO - lie Programme jlottvelle Chambre La ré- fornie a^hûliilstrative.— Le statut ides fonctlonnatres. L’impôt sur le revenu. Les lois sur l’ensei- guemenf»— Les lois sociales. Les ministres se sont réunis lundi en cOnsf il de cabinet, sous la présidence de M. Briand Les ministres, dit le communiqué, se.sontinis entièrement d’accord sur tous les points du programme qui sera soumis aux Chambres. Il résulte de renseignements recueillis de source officieuse que le gouvernement dépo sera, dès la constitution de la Chambre, un projet de loi de réforme électorale. La réponse ne serait pas liée à la réforme administrative. Elle en sera complètement indépendante. Le projet comportera le rétablissement du scrutin de liste par départements avec repré sentation proportionnelle des minorités. Tou tefois quelques départements, comme les Bas- ses-Alpes et les HautesrAlpes, seront groupés à cause du chiffre peu élevé de leur popu lation. . La réforme comprendra la péréquation des circonscriptions proportionnellementau nombre d’électeurs inscrits. Le projet établira en outre le sectionnement des départements qui par leur chiffre de population auraient droit à des feprésenlÈuts trop nombreux. La Chambre serait élue pour six ans et renouvelable par tiers tous les deux ans. Sans aller jusqu’à l’abrogation complète de la loi sur les candidatures multiples, le projet y apporterait une modification profonde et’ le même candidat pourrait se présenter dans trPis circonscriptions à la fois. Le gouvernement déposera‘dès la rentrée d’octobre un projet.de réforme administrative et judiiàaire. D’autre part, il saisira la Chambre du ;statut des fonctionnaires. Le projet sera à très peu de choses près la reprise de celui qui a été déposé àp èèiirs des deux dernières, législa tures. ' ; , , Le Président du Conseil, démandera à la Chaanbre dé discuter et dé viitèr au pltis tôt le programme naval déposé à la ffn dp la dernière législature. par Tamiiÿ, .,B.ôu|- de Lapeyèft. " ' ' . .... Au point de vue'Sdcial,'le gouvernement déposera successivement des projets portant organisation du crédit ouvrier, des contrats collectifs du travail et de la participation au bénéfice. - , ‘j-i. ' i.rifiSLï Au point de vue fiscal,, le. gouvernement se déclaré'prêt à coUaBôrÇràŸécla WTOSsipn Sénàlorialé déTiiiipôt '‘SesMû projet voté parla Cnan^re.., 'Efi"ce ’ffiii concerné Pen^rgneniejït, nous croyons savoir'qne'le igbuyerneméijf Pg pré posera pas le monopole ma^ seqlemeqLites projé|s‘*feHhéfe ■à’\sdnsàriiter: «It l’école' laïqiié, tout eh assurant laneutrEjité absolue et à organiser l’enseignement pnyè soit au point de vue de la compéténce des maîtres qui enseignent dans les écoles ..libres soit au' point de vue des livres qui suhtimsen- treles màihs des enfants, . . [, C .. . ■sft- ~ La République Française (M. Louis Latapie) : ; I Nous savons ce qne c’est que la représen- I latiofi proporliorineilc loui couri ; mais repré- sentalioo proporlionoelle des minorités, nous né le savons pas. Peut-élre veut-on dire que les candidats ayant obtenu la majorité ai>soliie seraient tous éiùs ; là proportionnelle ne com mencerait è jouer qu’entre* les candidats en minorité. C’est-à-dire |que dans un 'départe-- ment où deux l^tes. seréient ^n priésupcO) -si Tune comÿoséé de dix candidats obtenait sui 100.000 volants 5p.Mt-.^ix, elle passerai* Ipule entière, tandis que l’autre qui réunirait 4Û.OpO voiî^ n’aurait a,uçun élu; C’est pmir parer à cette injustice qü àïa -réforme a é(ié imaginée et Ton votid^ii non .seulement la .maintenir, mais eticorè î'aggraverrpar le scru tin de liste I Ceux qui ont inventé ce sy ^ u ie ne.sbm pas des proportionn^istes très ^n«^ cères. Où voit bien;,qü’iJ» se résignent contre leur sèntime.ntintuné*.; i 1 VHumaniÜ (M. Jean Jfuirès) lî Mais je me réjouis qne'le ministère, se sbit décidé à pTopoBct^ id réfbéfflé'éïéctbrâle par le scrutin de liste avec i-représentalion propor- tionnellé. Car c’est bien la représentation pro portionnelle, avec quelques précautions de langage pour ména^r tous les àmour^ propres, y compris celui du gouvernement lui- même. A vrai dire, le;mode sous lequel il la conçoit prêle à de sérieuses objections. Je suis convaincu aussi que tout-ce qui a trait au re nouvellement partiel et à la prolongation du mandat législatif est très critiquable, au moins tant qu’ü y a un sénat. Et tout cet ordre * problèmes devra être disjoint de la réforme électorale proprement dite et examiné à part. L’iBctoir (M. Ern^ Judet) Ce que la France àttend, c’est un complet remaniement des conditions électorales, et une fois ce résultat acquis, un essai loyal qui permette d’être aassitbVfiyé. sur, ropinion. Les députés qui arrivent èn scène savent désor mais ce qu’il appartieb.t de< voler pour ne pas mécontenter le suffrage universel. Plus^ils se dépêcheront, plus ils auront la chance de ren trer en grâce. i . LdiLanterne : ■ . 11 est entendu que l’on^abordera dès la ren- • trée la réforme élècjm^lè ; ;ia djscussjon ^’pu- 'vrira sur un p^ôjet'c<^p6^nt '.un. système,de représentation proportionnelle. Nous reconnaissonÀ dans l’attitude présente de M. Briand, son p.àrti:pris IjOpable. de déférer toujours à ce qu’il crbit.ôtrè le vœu de.l’opi^ -nion publique. Mais nous persistons à penser que jamais le parti i républicain ne se . sera ; trouvé en face d*nnej aussi inquiéta.nte opéra tion. . " ' •> i ' ' '' îti jGraadlése nHUolfeataiioit .-.■■ 0 i ‘:\ :V.‘ r l I, '^ünanciie. a eu Usu A X lo m p ^ i eoitiy -ma,noos l’avons, annoBBêi .Ie, j^ano banj 'auet p^ulairè.'qoffert .aii. Bonveauidépule Bpa^üa-.îiiiéi;»! (de i T^ondissoment; 'M.'Foiïriiioit S î^ o jè ^ . 'v ".y- I,: "Qn.i^ide.flueBe ipopujarité, ,SI.,Foor- nîer Satle'fè^ oi^ii^P- ÜOB, «ffirès leSi.éleSions du 24 avril, la manifestation dOuer en a été une preuve "nouvèllé.él éclatante.- Nous y,reviendrons que prés deg,Ql9ô I électeurs sé pressaient .dans l’umnense ] saRe aménagié«.A4A vdn0Tie;Plry. . . M. le "colonel Bougon, vaillant ohqmpion des,Iuttes. übéîal^, .psêsd4t le.àasquet. M. HucBar,,ûoirc ,sîiRpto®ie députéde a l ’?VcircpnsçriBt^ ÿ}q,j^ipiais,; était r ânx eêiêsitej^it,ied|Ié|gm M.dé'Ço.ljipoihssiUfiT^DS^.vq'ùiS^^^^^ hautement le dràpeau républicain lUbéial contre IÇF. „ ' iSois conseillers municipaux de Pans, ' v* ___ X «Mx. _"HfAmTîvt Ât Dans le S® corps d^àrâée. Ecole d’instruetioil. L'Officiel publie l'état -Doroînatif des oQiciers de réserve et de l’armée territo riale qui se sont fait remarquer par le zèle et le dévouement qu'ils ont montrés dMS le fonctionnémeait des-écoles d’instruction en 1909. . . : Nous y relevons les noms suivants ; Ecole d’instrùétion de Compiègne. M. Gillard, capitaine au 13’ régiment territorial d’infanterie. _ ' ' "ÙOfficièl ptflàié égaléfnent l’état no minatif des, officiers de réserve e t de i’ar- niéë'tèrrKoriale 'qui S'è àorit fait remar quer’ p a t’ le -zèle à .sàiVre Jes,: ccw s ; des écoles dTnslruetion en 19to,, ét .par les travaux qu’ils pnt produits.;. GoBTeinemeii^. mUfiatTè de Parii Ecole idüistruciiim.rje . la caserne du .'princeEugène., M. Bernier,’ lieutenant de réserve au 54“ régiment d’infwiterie. . • u-' • Mitâoioutt^eWeSSitfJe'Wservé régiment d’infanterie Ecole d instruction de l’Ecole militaire. M. Gorges, lieutenant de résêrve au 54“ régiment d’infanterie-., : r. 3“ corps d’aruiée. Ecole d'insiruetion de Beauvais. M. Meunier, capitaine d’infanterie ter ritoriale, du service dés chemins de fer et des étapes ( 2“ régi,on).. Ecole d’instruction de Compiègm. M. Flamant,: capitaine au 13' régiment territorial d’infanterie. M. Renaud, Capitîùhe au 13‘ régiment territorial d’infanterie. M. Morin,; capitaine au 13“ régiment territorial d’infanterie. I M.,Lefebvre, lieutenant au 13“ régi ment. téiiritQriai-idlufantetie. Certificats : d’étndes primaires éiémen^ilres en Datedesexamerts.,.y Samedi H Juin. — Le Coudray-Saint- Qermer. — . Beauvais (garçons), école .Sainte-Marguerite. — Breteuil. — Guis- [card. — ^tz. ' - l tiLundi 4 S juin.— Beauvais (filles), école [, Smnti-André. —:Maignelay. “ Lassigny. Mercredi 4 6 Juin .—Chanmont. —Son- geoas.-TT-BstréèS-Saint-Denis. — Ressbns- sur-Matz.-"‘Nanteuil. Vendredi 1 f Juin.— Aune uil.— Grand villiers. — Froissy. — Attichy. — Pont Sainte-Maxencer. — - I Samedi Sô Juin. NëüIilf-en-Tlielle. — ffivillers (Beauvais école Pelleriri).— ' "Liancoiurti — i^écôurt.iCr,épy.‘ L undizi Juin. —Noailles. Marseille.— Srint-J.ustrenHChaussée. - — "Compiègne . (garçons), école Hersan,i .i- Creil (gar- | .çons),;écoie des garçons. ,;fgMercrediS9juin. — Mouj, — Crève- ■icœur.— Clermont. — Noyoh. — Creil !(Blles), é c o le ^ filles. -■ Vendredi'î Juillet. ^ Méru, — For bmerie. — Clermont (école de'ipréserva- ji tion). Compiègne (filles),‘école' Jeànne- lidlArci--^ Senlis. decioe, à voire barreau, à votre industrie. Voilà voire fooction sociale. » , . « Vous me demandez hue place, rhais vous savez bien que'celte place, qu’elle Soit de 'tré- Sorier-paÿeur général ou de simple receveur buraliste, je ne puis vous la donner qu en la prenant à quelqu’un — à quelqu’un qui y a droit, à un fonctionnaire de carrière qm aura tiàvaïlfé toute sa vie pour l’obtenir... Vous me demandez donc de commettre à votre prtmt, une iniquité... Avouez que cela n est guère drffoe.d’un législateur.,. Voilà ce qu’il faudrait répondre aux qué mandeurs qui, moins désintéressésqueÇiucm- nat'tis, ne veulent pas retourner à leur charrue 3 et prétendent continuer à se faire nourrir par ^l'Etàtl'i' JmutlatqpQ- - '■ u.,, . Horribles déteUs. Dé nôtre envoyé spécial;:. . Les^avès révélations de notre aimable etiSâihgiiéconfpèrè dé Crépy, coimerntuit ràttaqoe à ismin samêe de rEcole maJer- ; nellë dé Dûvy par tine horde de,, premiers »; communiants fanatisés, nous faisaient un f. devoir d’ouvrir, une contre-enquête, d ^ s rés'poif qiie lés faits avaient peut-être été ' dèBafiirâ. Màlheureiisement il n,en est ■ rien; et quelque hontequenous.en éprou- ll vions force nous est de recomallre que le T magnanime correspondit de lEcho ré- pwlicàinest loin d’avoir exagéré. .. ' D’ailleurs voici les faits. Poussant ju^ [ qu’à là coquetterie le souci de la .venté, I nous nous contenterons de reproduire la I narration dê VEcho en corrigeant ce que I sa réserve et sa courtoisie habituelles ont eu, cetle fois encore, d’excessif. , - n « Le lundi 23 mai, vers 40 h. 412 au « matin, une bande de communiants. « portant encore habits de cérémpnie et « brassards, s’amenait au pas g y m n ^ tique. mot dordre, répété enche- [ Œmin .* « A Vécole! àVécole.l » inot- ‘Apis important. — Lés épTeuves com- .“■taencerontÀ’^ t heures et demie du ma- l ’^titidims' léé, communes mentionnées ci- i'dessûs.’ ' Le fort’d1s |y ,^ d ^ f é M f||i^^^ g a ssa g g ^ ij. tSfcffâî&wiSSSjKfâÇi 'ISriné qnCareà 300 «rüllenrsi'et « eapeon dn, ^mVIohmeni la'"g#rbison du •((«, pendant fe bombardement^ ont, pn, plus petits "détails,bastions, . où plus d’un avaient vu Ta m w u _ j ».• Ib u s céeviBlBSéteaSep^^;^^^ été-re«»ipar lefiieoteiieiiïPtignïi-™’* -» * ^ .««...ni aWxntHrie. aeaomuaiCBé‘<des sonn- ,]|^ît®Bi!?ws»meI#o-gr»ève.— A rrêt généra .1 des trains.— Gares fermées. --Ce qa’ois I à là Ceinpagiiiéj, ' lies employés de la Compagnie des che mins de fer du Sud. se sont mis en p-ève. Sans àvis préalable àla Cotnpfgàie, Sans demander de pourparlers,sans discussions. La Compagnie savait bien que la Confé dération générale du travail agissait auprès de son personnel et quedesmeneurs sty lés !par elle y entretenmént une efferves cence inquiétante, mais un mouvement de grèVé éfmt d’autant plus imprévu que, lo- giqnimienti il n’avait aucune, raison (te se produire. ' -■ -r ?-E5n effet, les principales améliorations qùe la'Compagnie pput accordérà sesem- pfis^ ^n t à Tétude 'refrffites,'repbs pé- riôffl^ès,rte;..-Cëttèdernffijt'é ^position «gf en grandéipàrtie àppHqfi^^': lés ém- ployés.de .la voie, de,la tràdtiqnén.bénéfl- ciêtitY^"*)&mp^^e7ètndiq le moyen de i'aôcordef aux agents des gares^ Ll’organisation des retraites ne peut se frire que par demotivéües ; conventions aveo l’Btat.’i-Une 'Conqfi^e'Setibndaire comfne la Compagnie deS cftéffinS de fer du -^ndr-dont lés dépéfisei! éi^iiéùt les recettes, ne pourrritn’infligetjifié charge mm. Froment-Méurice., Merümét.dAncfi? gné, àssîStfiéift'îê^mënt au "banquet, ainsi que M. Langlois, conseiller, gépéral d’Estrées-Saint-Deriis, ét MM. de Seroux, Martin, Rabot, Harmand-Fercot, le comte de l’Aiffle etPhHiÿpefConséillers d arron- ^S^duSokéW q n b n c é s b a i ; ÏJMS Poumier 3artov|èzé-, le ..^Ipùel Bougon, Hucher et Profiént-MenficS, ; ' . A la sOrtié'i fmé-mànifestatioii s est pro duite. ï*Insienrs=|milU'«ra, de eitoyeps ont acclamé M. JF’ dSrbiëriSàrlbvéze et 1ont accompagné en chutant, la Marseillaise. Les assljm»’■fié' Des débriâdei'âtfa^s sounus^.a» dé toisa s3opvrirént ,1e sous ia présidente de M. VasseUei. p o i^ d - 1èr à la ebut cfabpei; d’Amiens, asasté de ":M i i r et ;Herselin.iHges au tribunal i civitdélBeaifvàiS'. " ’' "Voïmi^la.. liste! de ces diiŒ&ents .procès avec i’^dicàtilpn du journù,âls5 sei»ntrap- hinspecfloii acadénriaue I I , . V deroise. VExamep. àü brevet élémentaire {asp i- ranies). Chargement de date. — Arrête ministériel. . .. Le Ministre de l’Instriiction Publique et des Beaux-Arts. "Vule décret ét l’arrèlé du ISjanvier 1887J "Vu l’arrêté du 4 janvier 1910.j Arrête , . L’otivertnrède la i” session de l’examen - dif Brevètrtémentaire est fixée,dans l’Oise, r àu lundi 20 juin, pour les aspirants comme k pour les lüSpiràntes. ' Le remstré d’inscription.sera clos poui |- tous lès criididats le 4 juin I9l0._ Frit à Paris, le 19 mai 19iÔ. ; Signé : .Gaston Doumergob . IX //De/Cl xA «I V w w ^ ^ a quait clairement le but poursuivi par w ces échappés... de t église de Crépy. » I Tout y est. Nous sommes ramenés d un bond aux plus mauvais jours dés guerres de rellrion. Dieu sait toute la haine que le prédicateur de la retraite avait dû soui ller dans l’âme de ces enfants, pour qu im médiatement après la messe d’actions de grâces, à peine rendus à la liberté de I rUe ét à la "surveillance exclusive de leur famille, leur premier mouvement ait, été de se rangerainsi enbon ordre,au noinbre de douze' au moins et, dé courir danfi-le I sentier dé. là guerre,, portant, comme les I croisés d’Untto ou les hommes de la Ingoe, I l’emblème de leiirs superstitions et s exoi- r ’tant mutuefleméot au cri mille et mille I fois répété de f à'I’éçole-. Le but de la flpi- I liqUensè 'expédition étril dbnc. cynique ment àÿopé: il s’àg^ait de détruire la '—Sx w J A li'x. ’ .4 f »»A js- ‘I , - I -, A“- - 'Bientôt, oUmani la porte, ils fai saient irruption dans la cour de lé- cole enfantine, hurlant comme sçms devraient ie faire les damnés de tp - glise, en son enfer,, ». , Entendez vous cètté clameur infernale où s’entrechoquent tons les cris de l’enpe I et de la haine ! 11 faudrait, pour en remtie toute l’horreur, lé sombre génie de Dante, I Tim ^nation' dé "Shakespeare, l’âme _ins- I piréedu vieux MUton, les hall'ucinaüons 1 W bides de Beaiidelaire et le délire de Castellant. . u V-'j -rü? Encore S’ils s’écrient boriieS| a vocqsrer. i Mais" non, be’tfétrit quOile chant de gjiejre du guerriei’ jCômancne avant 1 action, le j prélude satanique du drame horrible qui [ àllait SB jouer. , , , , |v « Escüld^^^t les niàfchesdfiiü classey « dont la porte se trouvait ouverte., ils « lancèrent des,pétards et antres pro- ii dùïis détonnants, » mélinite, dyna mite, écrâbûuillite et amorces à cent pour un sou. . , „ . Les paisibles habitants de Duvy crurent â un retour offensif de la comète et _se signèrent de terreur avantlé chambarde ment définitif, « la rnaüresse dût s en- » /’értiier (avec lés enfants) p o iz rf^ W - (I mer et tes préserver de brutalités ^ o d accidents, le cheval âfun horiprgnle » commerçant se cabra », du" Fénol se mordit la langue de penr_et .faillit .être au quémandeur de Baqdon. Affrirei,"EmUe PI»-- tlèr ^26 an.^s,j^attentats à Impudeur 4 ^ de- demander à nos anus politiques, fi gisent alnfantme, aeoomOT l’union, la discipline, le dévouenient, J officiere,.gMd^d«**wre‘ « aussi ■écrtüsaniï. àri?é le ■secbdrs de l’Etat. La question :*e8r dqnc à ' rétu&..,I<^ em ployés espérrient-usjparji.négrèy.e subite,, efiràyér Ta Compagnie, et Fqbliget:i;ca|»-; tul.eq- .qur quelicpieé fevendications î Une quêsàoa aussi imjportante que celle des retrritea ne peut être réglée "én'quèlques jours. '" ms, .v o^^^^^.à'ïriéi^riëà^ moins.Srostèrepubiio, M* Flachj.Defen- seur, M* Poulet, C’est le Petit Journal qui-sé diarge au jourd’hui d’infliger au Père Quinze Mille une dé ces leçons •euisantés;’dont "D a.si •andbeseiqt ^ ' 7 UC-Petit Journal examino* la'demande lu"député filàêkbbuléBàndon: fnniriétrbuoè'ÿhe plaee-vci FaejMam^ine des comnmiriaitéS suivants: Jî/onfiii’Kstaie donnriï.'dfqit‘Y)-.L^^^^ ‘Sentantidmi^ple' donàlbsdffiràgeumvé^l n’a ^aaîiîenBfivelé^Buùid^fim^^qmf'dfi'Se^ soimaipSAUstidépens deJ’Ehit î ■ jku Aucune l0i,!Dien merci, n’a consacré.encore cette praUgi^maisphabitjdfijeidaBt, les m ressés en taréent à coiiaiB^;!; commeun droit ce (nlf n’est'qu’un Sbûs -rj." tin des nombreux abUAnééBfe nbs’m'tB'ursMVléaénalres. . vj Brsetisl«è>%ie'nt' à'WdeewraSs qn’on sèrait (te'ilB fnialiléidBâteaté.N'ôuBAedqn/ea France, la nismiwiajontfîinetionnarisenî’fe.repïéseh- tantdu .peiiples’iinaKlaB vnlontiarq qnanecupe uaefonctioh dans l’Etal,:et,qae le-jour où cette 1 ».; aoé Wûttl»^ nUP Ut ailfmUFA rniiv^pie »! pu..™., r- roFctlOtf, riàis-trtfj ^ d ^ t ^ ce n’est pas la même chose. LftC0ijla“e*8 CWralie lui a:ËonfiâeA.naiidat;'illélutir«inè’n tbnou à raison, c’est son droit; .ceci.:, d .n’eri;m icto||^rie;iM ^ quenées’’deS OTCi|®na^ st®age, universel, ' 'c^ dèciSi’diîs'SissentnéUW 'ifiSpiréés : pàr.l’er- reiiK' pSï l’inigratjttiâé" bumêliie l'injiistiM. A ceux sM ’-reclûméhl son'’^8onréi’Tl7n'a .pM antre diase-ù’ répondre’q u e : « Que faifte^WBtS'Atiéninpsvcband, je veux difie avant "d’être député ?>.. retournez à votre mé- d’armes furent convoqués en hâte et 1on pensait "à demander d’urgence à Ciqn- piègne un eficadron ..pu;.jé u x .de dragons qiiandré bonheur, « les Jeunes énerm- « mènes catholiques se décidèrent, b ^ à contre-cœur, à battré. en retraite ». i Nous ne pouvons,'apr^ avoir enregis tré ces frits làmentables, avec lebltoe •qu’ils méritent, que nous désolidariser d’avec leurs auteurs et pour que notre réprobation soit complète, spit p u s éner gique nous emprunterons là voix du poète et nous conclurons que... * ...n’y a plus rien à faire, n’y a plus « rien à dire, n’y, a-gl^s, qtfi jriew?"- < i M ais le pluStrist*ye teût Cette affaire... C’est que, quoiqu’on fasse « les véritables < i coupables, échafmeront^ comme tou- « Jours à là sanction » des lois. Heureu sement que la conscience outrag^ peut en appeler au tribunal» lie fiz sawe.rfzt- » son de topinion publique ». T>O nson nn Teeraii. ' ■ PosT-Siaoùriftï7 —, Et tout cela psurcé que donzè""^MS,':'àitf àmesüé.gosses, affo lant ’de'Jpnudré' ’^ 'd ê Wuîl" comme en ,ràf- folèréBfS*léItfîiîe téSjins puritains Mqs du Fénql s’en, sont allés museç vers D u^, ^ n s Mniié^^léb’ ct^rierçàbt^ étiiient’W(>i®és"’f ïetir ^ndre.— àepa- rèmtoént’p®'i>ônf'metire dàns lasiqade — et que’ plus'b'n'moins maticieusenient deux ou ' troi^ dé 'fies péferds inoffénsifs espiesêréht “dèvalft l’école, “ comift-.lé® coups de fouet ÿun,maître charfetiér.. Que "vhnnénffrire io\ viaiment la ,tiftirale , .... -------- gendarmerie et pour quilBoAo- ses lect«trs.'r ' >- .i ; " Du Bromure. .. prend-il I ■'i

Echos et Nouvelles. - bmsenlis.com · faisons un devoir de donner en médi ... arrivés sl près du bût, ... ieuT DuTdy blessé- — L^ayiateur français

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8f* Année. — iV“ A8. CINQ CÊNT1MÈ8 — Le Nu^jro CIWQ C^N TIItÈÉ

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Qeor,ails.

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laele inipor- Imaoife^nt

grenrs,'".les ligestrons),

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bri'îhile, les Ls, les pâles ^li on nô le,

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Paraissant le Jeudi et le Dimanche. j p U R N A L D E ’ S E N L I SR é d a c t e u r e n . ' c l i e f • L o u p B t È R l ^ O Z »

’Iï' K--; ,o

l ^ g à i j s ^ i e ^ s t e d d i § t l e ^ p r o a ^ b ^:'T Ô”’’ .

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^ B O W 35T B3 M E IT T S« - - Ji. I Ou s’ABomni aux Bureaux du Journal et dans touiSmHi «t Oi»t* Autre» oep. i bureaux de poste» — L’abonnement est paTable

Qn an.. . . . . . . . . . . . . . . 6 Ir. 8 tr. | j ’avance et continue de plein droit jasç[u’A rweptionSix mois................... 4 fr. 6 fr. I d’avis contraire,

Z m A b o n n e m e n t s p e t r t e n t d a 1 * a u d u i S d e c h a q u e m o i s .

w ^ k ü J t , K É i r M î i î O î r ^S E N I jI S — 1 1 . P l a c e d e l ’H ô te W e - P iU e , 11^ — S E N t l S

....................

' - 'X i t à f â ’é 'è r T O ’Xr’s r - r •Annoneet 0«5Q e. 1» BfBt»......... .d^:c.:i»iigii*.;:ï j.r-A im onou^tûru . ®>“ . I ......................

Lm «nnonce». ricianet .to.,'«oncmiimt Pari» «t le» Cépartomente «ont tefoe» üreiptem**, ■ • r. - aux bureaux du journal. ,___ . .Les manuscrits, insérés ou non, tfe sont pas rendus.

Senlis, le Juin 1910.

La

d e C am p ièg iie .

U n e x e m p l e à s u i v r e

0, etc., et le ; renoà- ail ou les

ttca 'e aottett cr ! »

Nous donnons pins loin le compte rendu très succinct du b a q u e t orga­nisé e.'n l’honneur du distingué Maire de Compiègne, M. Fournier-Sariovèze, le nouveau député de l’Oise.

Si nous disions tout le succès de uette belle réunion, nous froisserions la modestia du nouvel élu dont la popularité date de longtemps et qui s ’est accrue par sa franchise, sa cor­dialité et la sincérité de ses convic­tions. Plus de deux mille citoyens, venus de tous les cantons, ■ ont es­corté et acclamé dans les rues de Compiègne.

Si imposante, si éclatante que soit cette victoire, elle a été célébrée, avec enthousiasme sans doute, mais avec Tme correction, une dignité qui ména­geait toutes les susceptibilités des vaincus de la veille. Nos radicaux de Beauvais, de Crépy et de Senlis ne peuvent pas en dire autant. A Gom- piègne, les libérau.x manifestent leur joie sans froisser personne, tandis qu’ailleurs, les blocards, a leurs chants de triomphe ont ajouté dés cris de haine et des iiÿures à l’adresse de ceux qui les avaient combattus loyale­ment. Ils avaient beaucoup de raisons de se montrer modestes, ils n’ont même pas été généreux ; Us ont, dans bien des circonstances, fait preuve d ’une si mauvaise éducation, que des radicaux eux-mêmes ont rougi de leurs scandaleuses manifestations et n ’ont pas craint de les désavouer.

Voilà le premier enseignement que l’on p'eut tirer des ovations publiques, spontanées dont M. Sarlovèze vient d être l’objet.

■Mais ü y a autre chose qu’ü con­vient de souligner, et que nous nous faisons un devoir de donner en médi­tation à nos amis politiques, les répu­blicains progressistes et libéraux de la première circonscription de Senlis.

Tout d’abord, ü faut constater ce fait, qu’au lendemain de leur victoire, nos amis de Compiègne ne s’endor­m ent pas sur les lauriers. Ils restent su r la brèche, poursuivent leur excel­lente campagne, complètent leur oiga- nisation, non seulement pour conser­ver leurs positions, mais pour les accroître et les fortifier.

Ce n’est pas tout. Cet excellent état d’esprit qui démontre les sentiments dont les électeurs sont animés, noiis fa it voir d’autres qualtés non moms précieuses qui ont assuré la victoire de l’honorable maire M. Foumier-Sàr- lovèze, l’infatigable apôtre de la ju s­tice et de la liberté. Un de nos con­frères voisins, l’A rgus So^onn&is, parlant de cette belle réumon de .di­manche à Compiègne, fait la réflexiori suivante :

Ce gui nous frappa le plus hier ce fu t la discipline de ces S.OOO citdÿens'^'de- nus de tous les cantons 'de Varrondisse­ment de Compiègne et qui, sans tapage, avec une dignité parfaite, une correc- tidti absolue, firent à leur député la plus belle escorte gtion puisse imagi­ner. M. Fourmer-Sarlovèie est pour tous plus qu’un ami, ét les protestation de dévouement qu’it reçut hier otU fiû le toucher profondément.

Le confrère a évidemment raison. Nous ne sommes pas habitués, en gé­néral, de rencontrer dans notre p ^ ne tte disciplinequi fa itda f o r ^ .Jïhi* cipàle des armées, et oh éprouve une surprise -bien agréable de constater qu’elle existe chez nos amis de Com­piègne ; nous les en félicitons bien sincèrement. Après avoir re n d u 'a u

-nouveau député, pour son amabilité et son activité, l’hommage qui lui est du, XArgus se demande pourquoi ü ne s’est pas trouvé à Soissons un homme lui ressemblant,, qui consente à des­cendre dans la hce où M. Fourmer- Sarlovèze a trouvé la victoire ? La ré­ponse à cette question est b ^ s im p le . Parce que l’union, la dischdme n exis­taient pas d’une façon complète, etque p é i^ ù h e n'éprouvé le besom ou la iie - ' ^ s i t é de courir au devant d’un éÆeç. L é 'jo u r où la discipline et 1 oigam- sation seront les qualités maîtréssès du ‘parti républicain modéré, la victoire lui est assurée. Nous avons maintes 'fois répété cela et des, événements nous ont donné raison. Nous n en vou- lOBS pour jweuve que ce quis’est passé à Senlis. . . ^i: Mâteré une orgamsation tardive, (fisons le mot, « improvisée », il s en est faUu de peu que nous ayons un triomphe à notre actif. Nous Sommes arrivés sl près du bût, ,qù en poursm- yant iiQtre-^tïvr6 àv6C lapçrséyéraiicô r t l’activité désirables, le succès n’e ^ pas douteux a la première bataille quenousüvrerons.

"Voilà pourquoi nous ne cesserons. . V « tvnâa - n n l i H / m o a

sans lesquels la meilleure des causes ne saurait être défendue efficacement. Ne perdons pas de vue l’exemple que vienueot de nous donner les circons­criptions de Beauvais, Compiègne et Creil. où nos amis politiques, MM. Hucher, Fournier-Sariovèze et Heuze, ont battu les blocards. Restons comme eux sur la brèche, redoublons d’activité, de zèle, d’énergie et entre­tenons chez nos amis, les défenseurs de nos légitimes revendications, cet esprit de solidarité et d’étroite union qui nous permettra de couronner nos efforts d’un succès aussi brillant que légitime. . . ,•

N’oublions pas que sans discipline il n’y a pas d’organisation possible. Quand l’intérêt supérieur d’un parti est en jeu, quand des questions primor­diales groupent des citoyens sur un même terrain, ils doivent sans arrière pensée se sentir les coudes pour assu­rer le triomphe de la cause com­mune.

Tels sont les enseignements que nous devons tirer des manifestations sympathiques dont les députés libé­raux ont été l’objet dans les circons­criptions voisines. Ils ont été modestes dans la victoire et surtout d’une di­gnité, d’une correction que ne con­naissent point nos adversaires poli­tiques, mais ils font preuve pour l’organisation de leur propagande d un esprit pratique dont nous aurions tort de ne pas nous inspirer.

L oup BERTROZ.

jOisU-ibutioD d©prospectus. - L ad-niinislration des postes avait la préienlion de faire condamner les magasins qui disiribuent sous pii fermé des prospeelus. La onzième chambre correctionneile vient do repousser ces prétentions. .

M o t d e l a f in .Calino venu à Paris pour la première fois

de sa vie est monté en omnîbns. Le contrô­leur parait ;

— Pas de correspondance !Calino tirant de sa poehe un petit paquet de

lettres ;— Rien de bien intéressant, mais vous pou-

, i:«rnin I-'t 1 « M ■ ' ■”

L a P r e s s e e t l a

réformé électoralè.

Echos et Nouvelles.Les vacances judiciaires an l ” août

La consultation par voie de référendum instituée par le ministre de la justice pour fixer la date des vacances judiciaires, est terminée, et elle â conclu à la date du 1” août. En conséquence, la décision ministé­rielle fixant officiellement les vacances judi­ciaires du août au 1*' octobre serapnse incessamment*

L e s c o n q u é r a n t s d e l ’a ^ * — i ’om a- ieuT DuTdy blessé- — L^ayiateur français Dùray, qui prend part au circuit d’aviation, voulait essayer, dimanche après-midi, à Vé­rone (Italie), un aéroplane qui venait d être rénaré.

Il prit sou vol, mais l’appareil menaçant de se renverser, Duray se jeta b terre. ,

Il parait qu’un patin de 1 hélice le heurta violemment.

L’aviateur dut être transporté au poste de secours. Son état n’est pas ^ave .

aianifestation électorale mouve­mentée. — A l’issue d’un banquet offert dimanche à Montpellier, à ToccasiOn de sa réélection à M. P. Ler6y-Beaulieu,LΑ9e-” “ ' ' festation a parcourü' les rues.

Sur la place de la'Comédie, une bagarre s’est produite, au .cours.de laquelle MM. B ^- rère et Belin, commissaires de police, ont été frappés. Six arrestations ont été opérées.

Les débats d’une législature. — Onja it que la..nauyelle Chambre se Vréùna.du-,

^ ° 'l ï «invocation a été adressée aux59t élus j ils se réuniront de plein droit, les pouvoirs de la Chambre élue en 1908 e x p iâ t le 31 mnija u Sxièine coup dè minuitL i i .."f *

li ne'doit y avoir aueunè interruption entre les deux assemblées ; théoriquement c’est la m ê m e session-qui continuBiaîavec une Cham­bre différente. - .

Cette Action de la contmmte' a p p t ^ si inélucUble aux théoriciens dû drqit parlemen­taire qu’il y a huit ans, eh 19f)2, le l" ju in tombant un dimanche, on n’osa ;®s ajohramr au lendemain lundi la rédhion de la nouvelle Chambre et qu’elle siégea ce jour-là pour nommer un président provisoire et deux vice-

^'^Rappêîons l’ordre du jour dé là séance pu­blié à WAeief..-. jnstallation du président et des secrétaires

^ ^ rû t iû pour là nomination dii président pro­visoire t . - ,

Scrutin poiïr;la nommation de deux vice-pré­sidents provisoires ; ' . ,

Installation du piesideht provisoire ;Tirage au sort des bureaux ; _

L é'p r^deh t f âgé qui ouvrira la première séance de la légisteture est, le vénérahle M. Pà^yi député républicain libéral des Andelys, une le bloc à vainement çombattu ét qui a ffiomphé brillammeht dèsofl concurrent radi­cal. " ______ -CèncotiiN g^érWl agrleeto J e Paris

Le Concours général d’animaux reproduc- ieutmse tiendra ûu Çhamp-de-Mars du_ 13 au S i ^ h . L'é progranimé en ains%la»Tf)pé-rationst , , ; p .- ïî ’ 97 - - .' JÂmdi 13 ' é t nuadi t i ju in , - r Réception des animaux reproducteurs, des’animaux deb a sp e ^u r et d 'es'ipstrd^nts g e ^ h in e s -

f s jm » . — Co’ntinuafioh de cette r é c e i^ n et Ouverture de l’qxpoâtiqn. des ma- ehîBds: r ' ■ ■ ■. V -

Jeudi 16 ju in . —^Opérations inimmix de basaecour, e t e^Msm^^dgj^pa- ijnnes.l .Si .

animâhxalnnes.i ■— — r

,cr.Véndreii 47 juàt.ooDéiathins denquryaiides: - a w m a i^ ^ w n o - ^M ^de^cÎÆ naidahwgat. wUatoiBeMes

dn matin à 5 hétgw *MPHKe«ÿosilioiBifflbh-. que dé tout lé comipurs..i , . .

^ , .Samedi 43 au mardi BY iutn.—Exposition ■pûblique générale ,ûe,â,.heure»,Ja,.sa*Biài & heures du apir. -am iia o O -

lie P ro g ra m m e

jlo ttv e lle C ham bre

La l » r é -fo rn ie a^ hû liilstrative.— Le

sta tu t ides fon ctlon n atres. L’im pôt su r le reven u .

Les lo is su r l’en se i- guem enf»— Les

lo is so c ia le s .Les ministres se sont réunis lundi en cOnsf il

de cabinet, sous la présidence de M. Briand Les ministres, dit le communiqué, se.sontinis entièrement d’accord sur tous les points du programme qui sera soumis aux Chambres.

Il résulte de renseignements recueillis de source officieuse que le gouvernement dépo­sera, dès la constitution de la Chambre, un projet de loi de réforme électorale.

La réponse ne serait pas liée à la réforme administrative. Elle en sera complètement indépendante.

Le projet comportera le rétablissement du scrutin de liste par départements avec repré­sentation proportionnelle des minorités. Tou­tefois quelques départements, comme les Bas- ses-Alpes et les HautesrAlpes, seront groupés à cause du chiffre peu élevé de leur popu­lation. .

La réforme comprendra la péréquation descirconscriptions proportionnellementau nombred’électeurs inscrits. Le projet établira en outre le sectionnement des départements qui par leur chiffre de population auraient droit à des feprésenlÈuts trop nombreux.

La Chambre serait élue pour six ans et renouvelable par tiers tous les deux ans.

Sans aller jusqu’à l’abrogation complète de la loi sur les candidatures multiples, le projet y apporterait une modification profonde et’ le même candidat pourrait se présenter dans trPis circonscriptions à la fois.

Le gouvernement déposera‘dès la rentrée d’octobre un projet.de réforme administrative et judiiàaire.

D’autre part, il saisira la Chambre du ;statut des fonctionnaires. Le projet sera à très peu de choses près la reprise de celui qui a été déposé àp èèiirs des deux dernières, législa­tures. ' ; , ,

Le Président du Conseil, démandera à la Chaanbre dé discuter et dé viitèr au pltis tôt le programme naval déposé à la ffn dp la dernière législature. par Tamiiÿ, .,B.ôu|- de Lapeyèft. ’ " ' ' . ....

Au point de vue'Sdcial,'le gouvernement déposera successivement des projets portant organisation du crédit ouvrier, des contrats collectifs du travail et de la participation aubénéfice. - , ‘j-i. ' i.rifiSLï

Au point de vue fiscal,, le. gouvernement sed éc la ré 'p rê t à coUaBôrÇràŸécla WTOSsipnSénàlorialé déTiiiipôt

' ‘SesMû projet voté p a rla Cnan^re..,■ 'Efi"ce ’ffiii concerné Pen^rgneniejït, nous croyons savoir'qne'le igbuyerneméijf Pg pré­posera pas le monopole ma^ seqlemeqLites projé|s‘*feHhéfe ■à’\sdnsàriiter: «Itl’école' laïqiié, tout eh assurant laneutrEjité absolue et à organiser l’enseignement pnyè soit au point de vue de la compéténce des maîtres qui enseignent dans les écoles ..libres soit au' point de vue des livres qui suhtimsen- treles màihs des enfants, . . [,

• • C . . . ■ sft- ~ ■

La République Française (M. Louis Latapie) : ;

I Nous savons ce qne c’est que la représen-I latiofi proporliorineilc loui couri ; mais repré-

sentalioo proporlionoelle des minorités, nous né le savons pas. Peut-élre veut-on dire que les candidats ayant obtenu la majorité ai>soliie seraient tous éiùs ; là proportionnelle ne com­mencerait è jouer qu’entre* les candidats en minorité. C’est-à-dire |que dans un 'départe-- ment où deux l^tes. seréient ^n priésupcO) -si Tune comÿoséé de dix candidats obtenait sui 100.000 volants 5p.M t-.^ix, elle passerai* Ipule entière, tandis que l’autre qui réunirait 4Û.OpO voiî^ n’aurait a,uçun élu; C’est pmir parer à cette injustice q ü à ïa -réforme a é(ié imaginée et Ton votid^ii non .seulement la .maintenir, mais eticorè î'aggraverrpar le scru­tin de liste I Ceux qui ont inventé ce sy ^u ie ne.sbm pas des proportionn^istes très n« cères. Où voit bien;,qü’iJ» se résignent contre leur sèntime.ntintuné*.; i

1 VHumaniÜ (M. Jean Jfuirès) lîMais je me réjouis qne'le ministère, se sbit

décidé à pTopoBct id réfbéfflé'éïéctbrâle par le scrutin de liste avec i-représentalion propor- tionnellé. Car c’est bien la représentation pro­portionnelle, avec quelques précautions de langage pour m éna^r tous les àmour^ propres, y compris celui du gouvernement lui- même. A vrai dire, le;mode sous lequel il la conçoit prêle à de sérieuses objections. Je suis convaincu aussi que tout-ce qui a trait au re­nouvellement partiel et à la prolongation du mandat législatif est très critiquable, au moins tant qu’ü y a un sénat. Et tout cet ordre * problèmes devra être disjoint de la réforme électorale proprement dite et examiné à part.

L’iBctoir (M. E r n ^ Judet)Ce que la France àttend, c’est un complet

remaniement des conditions électorales, et une fois ce résultat acquis, un essai loyal qui permette d’être aassitbVfiyé. sur, ropinion. Les députés qui arrivent èn scène savent désor­mais ce qu’il appartieb.t de< voler pour ne pas mécontenter le suffrage universel. Plus ils se dépêcheront, plus ils auront la chance de ren­trer en grâce. i .

LdiLanterne : ■ .11 est entendu que l’on^abordera dès la ren-

• trée la réforme élècjm^lè ; ;ia djscussjon ’pu- 'vrira sur un p^ôjet'c<^p6^nt '.un. système,de représentation proportionnelle.• Nous reconnaissonÀ dans l’attitude présente de M. Briand, son p.àrti:pris IjOpable. de déférer toujours à ce qu’il crbit.ôtrè le vœu de.l’opi -nion publique. Mais nous persistons à penser que jamais le parti i républicain ne se . sera

; trouvé en face d*nnej aussi inquiéta.nte opéra tion. . " ' •> i ' ' ''îti

jG ra a d lé se nHUolfeataiioit.-.■■ 0 i ‘:\ :V.‘ r l

I , '^ünanciie . a e u Usu A X lo m p iè ^ i eoitiy -m a,noos l ’avons, annoBBêi .Ie, j^ a n o ban j 'a u e t p^u lairè .'qo ffert .aii. B onveauidépule B p a ^ ü a - . î i i i é i ; » ! (de i T ^ o n d is s o m e n t; 'M.'Foiïriiioit S î^o jè^ . 'v ".y-

I,: " Q n .i^ id e .f lu e B e ipopu jarité , ,SI.,Foor- n îe r S a t le 'f è ^ o i ^ i i ^ P -ÜOB, «ffirès leS i.éleS ions du 24 avril, l a m anifestation dOuer en a é té une p reu v e "nouvèllé.él éclatante.- N o u s y ,reviendrons

que p ré s deg,Ql9ô Ié lecteurs sé p re ssa ien t .dans l’u m nense ]

‘ saRe aménagié«.A4A vdn0Tie;P lry. . .

M . le "colonel Bougon, vaillant ohqmpion des,Iuttes. übéîal^, .psêsd4t le.àasquet.M. HucBar,,ûoirc ,sîiRpto®ie députédea l ’?VcircpnsçriBt^ ÿ}q,j^ipiais,; était

r ânx eêiêsitej^it,ied|Ié|gm M .dé'Ço.ljipoihssiUfiT^DS^.vq'ùiS^^^^^ hautement le dràpeau républicain lUbéialcontre IÇ F. „

' iSois conseillers municipaux de Pans,' v* ___X «Mx._"HfAmTîvt Ât

D ans le S® corp s d ^ àrâée.Ecole d’instruetioil.

L'Officiel publie l'état -Doroînatif des oQiciers de réserve et de l’armée territo­riale qui se sont fait rem arquer par le zèle et le dévouement qu'ils ont montrés dMS le fonctionnémeait des-écoles d’instruction en 1909. . . : ■

Nous y relevons les noms suivants ;Ecole d’instrùétion de Compiègne.M. Gillard, capitaine au 13’ régiment

territorial d’infanterie. _ ' '"ÙOfficièl ptflàié égaléfnent l’état no­

minatif des, officiers de réserve e t de i’ar- niéë'tèrrKoriale 'qui S'è àorit fait remar­quer’ pat’ le -zèle à .sàiVre Jes,: ccws ; des écoles dTnslruetion en 19to,, ét .par les travaux qu’ils pn t produits.;.

GoBTeinemeii^. mUfiatTè de Parii Ecole idüistruciiim.rje . la caserne du

. 'p r in ceE u g èn e .,M. Bernier,’ lieutenant de réserve au

54“ régiment d’infwiterie. . • u-' •Mitâoioutt^eWeSSitfJe'Wservé

régiment d’infanterie Ecole d instruction de l’Ecole militaire.

M. Gorges, lieutenant de résêrve au 54“ régiment d’infanterie-., : r.

3“ corps d’aruiée.Ecole d'insiruetion de Beauvais.

M. Meunier, capitaine d’infanterie ter­ritoriale, du service dés chemins de fer et des étapes (2“ régi,on)..

Ecole d’instruction de Compiègm.M. Flamant,: capitaine au 13' régiment

territorial d’infanterie.M. Renaud, Capitîùhe au 13‘ régiment

territorial d’infanterie.M. Morin,; capitaine au 13“ régiment

territorial d’infanterie.I M.,Lefebvre, lieutenant au 13“ régi­ment. téiiritQriai-idlufantetie.

C ertificats : d’étn d es p rim aires é iém en ^ ilres en

Datedesexamerts.,.y Samedi H Juin. — Le Coudray-Saint-

Qermer. — . Beauvais (garçons), école .Sainte-Marguerite. — Breteuil. — Guis- [card. — ^ tz . ' -l tiLundi 4 S ju in .— Beauvais (filles), école [, Smnti-André. —:Maignelay. “ Lassigny.

Mercredi 4 6 Juin .— Chanmont. — Son- geoas.-TT-BstréèS-Saint-Denis. — Ressbns- sur-Matz.-"‘Nanteuil.

Vendredi 1 f Juin.— Aune uil.— Grand villiers. — Froissy. — Attichy. — Pont Sainte-Maxencer. — -

I Samedi Sô Juin. NëüIilf-en-Tlielle.— ffivillers (Beauvais école Pelleriri).—

' "Liancoiurti — i^écôurt.iC r,épy .‘ ■ L u n d iz i Juin. —Noailles. Marseille.—

Srint-J.ustrenHChaussée. - — "Compiègne . (garçons), école Hersan,i .i- Creil (gar- | .çons),;écoie des garçons. ,;fgMercrediS9juin. — Mouj, — Crève- ■icœur.— Clermont. — Noyoh. — Creil !(Blles), éco le^ filles. -■ ’

Vendredi'î Juillet. ^ Méru, — For bmerie. — Clermont (école de'ipréserva- ji tion). Compiègne (filles),‘ école' Jeànne-lidlArci--^ Senlis.

decioe, à voire barreau, à votre industrie. Voilà voire fooction sociale. » , ■ .

« Vous me demandez hue place, rhais vous savez bien que'celte place, qu’elle Soit de 'tré- Sorier-paÿeur général ou de simple receveur buraliste, je ne puis vous la donner qu en la prenant à quelqu’un — à quelqu’un qui y a droit, à un fonctionnaire de carrière qm aura tiàvaïlfé toute sa vie pour l’obtenir... Vous me demandez donc de commettre à votre prtmt, une iniquité... Avouez que cela n est guère drffoe.d’un législateur.,. ■

Voilà ce qu’il faudrait répondre aux qué­mandeurs qui, moins désintéressésqueÇiucm- nat'tis, ne veulent pas retourner à leur charrue

3 et prétendent continuer à se faire nourrir par ^ l 'E tà t l 'i ' ■ JmutlatqpQ-- '■ u.,, .

H orribles d éteU s.Dé nôtre envoyé spécial;:. .Les^avès révélations de notre aimable

etiSâihgiiéconfpèrè dé Crépy, coimerntuit ràttaqoe à ismin samêe de rEcole maJer-

; nellë dé Dûvy par tine horde de,, premiers »; communiants fanatisés, nous faisaient un f. devoir d’ouvrir, une contre-enquête, d ^ s

rés'poif qiie lés faits avaient peut-être été ' dèBafiirâ. Màlheureiisement il n,en est

■ rien; et quelque hontequenous.en éprou-ll vions force nous est de recomallre que le T magnanime correspondit de lEcho ré-

pw licàinest loin d’avoir exagéré. ..' D’ailleurs voici les faits. Poussant ju ^ [ qu’à là coquetterie le souci de la .venté,I nous nous contenterons de reproduire la I narration dê VEcho en corrigeant ce que I sa réserve et sa courtoisie habituelles ont

eu, cetle fois encore, d’excessif. , -n « Le lundi 23 mai, vers 40 h. 412 au

« matin, une bande de communiants.« portant encore habits de cérémpnie et« brassards, s’amenait au pas g y m n ^

;« tique. mot dordre, répété enche-[ Œ min .* « A Vécole! àVécole.l » inot-

lé ‘Apis important. — Lés épTeuves com- .“■taencerontÀ’ t heures et demie du ma- l ’ titidims' léé, communes mentionnées ci-

i'dessûs.’ '

Le fo rt’d1 s | y , ^ d ^ f é M f | | i ^ ^ ^

■ g a s s a g g ^ ij.tSfcffâî& wiSSSjKfâÇi'ISriné qnC areà 300 «rüllenrsi'et « eapeon d n , ^ m V Io h m e n i la'"g#rbison du •((«, pendant fe bombardement^ ont, pn, plus petits "détails,bastions, .où plus d’un avaient vu Ta m w u o ® _ j».• I b u s c é e v i B l B S é t e a S e p ^ ^ ; ^ ^ ^é té-re«» ipar lefiieoteiieiiïPtignïi-™ ’* - » * ^ .««...ni aWxntHrie. aeaomuaiCBé‘<des sonn-

,]| ît®Bi!?ws»meI#o-gr»ève.— A rrê t g én éra .1 d e s tra in s.— G ares

fe r m é e s . - - C e qa’ois I à l à C einpagiiiéj, '

lies em ployés de la C om pagnie des che­m ins de fe r du Sud. se so n t m is en p -ève.

Sans àv is p réa lab le à la C o tnpfgàie , Sans dem ander de p o u rp a rle rs ,san s discussions. L a Com pagnie sava it b ien que la Confé­d éra tion g énérale du trava il ag issa it auprès de son perso n n el e t q u e d e s m e n e u rs sty­lé s !par e l le y e n tre ten m én t u n e efferves­cence in qu ié tan te , m ais u n m ouvem ent de grèVé éfm t d’a u ta n t p lu s im prévu q u e , lo- g iqnim ienti il n ’avait aucune, ra iso n (te se p ro d u ire . ' -■ -r?-E5n effet, les p rinc ipa les am élio rations q ù e la 'C om pagnie ppu t a c c o rd é rà se se m - p f i s ^ ^ n t à T é tu d e 'refrffites,'repbs pé- r iô f fl^ è s ,rte ;..-C ë ttè d e rn ffij t 'é ^ p o s i t io n «g f en g ra n d é ip à r t ie àppHqfi^^': lé s ém - p loyés.de .la voie, de ,la tràd tiqnén .bénéfl- c iê ti tY ^ " * )& m p ^ ^ e 7ètnd iq le m oyen de i 'a ô c o rd e f aux agen ts des gares^

Ll’o rgan isation des re tra ite s ne p e u t se f r i r e que p a r dem o tiv éü es ; conventions aveo l’Btat.’i-Une 'C o n q f i^ e 'S e t ib n d a ir e com fne la C om pagnie deS cftéffinS de fe r du -^ n d r-d o n t lé s dépéfisei! é i ^ i i é ù t les re c e tte s , n e p o u r r r i tn ’in flig e tjif ié charge

mm. Froment-Méurice., Merümét.dAncfi? gné, àssîStfiéift'îê^mënt au "banquet, ainsi que M. Langlois, conseiller, gépéral d’Estrées-Saint-Deriis, ét MM. de Seroux, Martin, Rabot, Harmand-Fercot, le comte de l’Aiffle etPhHiÿpefConséillers d arron-

^ S ^ d u S o k é W q n b n c é s b a i ; ÏJMS Poumier 3artov|èzé-, le ..^Ipùel Bougon, Hucher et Profiént-MenficS, ; ' .

A la sOrtié'i fmé-mànifestatioii s est pro­duite. ï*Insienrs=|milU'«ra, de eitoyeps ont acclamé M. JF’dSrbiëriSàrlbvéze et 1 ont accompagné en chutant, la Marseillaise.

L es assljm»’■fié'Des débriâdei'â tfa^s sounus^.a»

dé toisa s3opvrirént ,1e sous ia présidente de M. VasseUei. po i^d- 1èr à la ebut cfabpei; d’Amiens, asasté de ":M i i r et ;Herselin.iHges au tribunal

i civitdélBeaifvàiS'. "■ ’ ' "Voïmi la.. liste! de ces diiŒ&ents .procès avec i’ dicàtilpn du journù,âls5sei»ntrap-

h i n s p e c f l o i i a c a d é n r i a u e I I , . V d e r o i s e .VExamep. àü brevet élémentaire {asp i-

ranies). — Chargement de date. — Arrête ministériel. . . .

Le Ministre de l’Instriiction Publique et des Beaux-Arts.

"Vu le décret ét l’arrèlé du ISjanvier 1887J "Vu l’arrêté du 4 janvier 1910.j

Arrête , . L’otivertnrède la i” session de l’examen

- dif Brevètrtémentaire est fixée,dans l’Oise, r àu lundi 20 juin, pour les aspirants comme k pour les lüSpiràntes. ‘ '

Le remstré d’inscription.sera clos poui |- tous lès criididats le 4 juin I9l0._

Frit à Paris, le 19 mai 19iÔ.; Signé : .Gaston Doumergob.

IX //De/Cl • xA «I V w w • ^a quait clairement le but poursuivi par

w ces échappés... de t église de Crépy. »I Tout y est. Nous sommes ramenés d un bond aux plus mauvais jours dés guerres de rellrion. Dieu sait toute la haine que le prédicateur de la retraite avait dû soui­ller dans l’âme de ces enfants, pour qu im­médiatement après la messe d’actions de grâces, à peine rendus à la liberté de là

I rUe ét à la "surveillance exclusive de leur famille, leur premier mouvement ait, été de se rangerainsi enbon ordre,au noinbre de douze' au moins et, dé courir danfi-le

I sentier dé. là guerre,, portant, comme les I croisés d’Untto ou les hommes de la Ingoe,I l’emblème de leiirs superstitions et s exoi- r ’tant mutuefleméot au cri mille et mille I fois répété de f à'I’éçole-. Le but de la flpi- I liqUensè 'expédition étril dbnc. cynique­

ment àÿopé: il s’àg^ait de détruire la'—Sx w J A li'x. ’ .4 . » f »»A d û

js-‘I , - I -, A“-

- 'Bientôt, oUmani la porte, ils fai­saient irruption dans la cour de lé- cole enfantine, hurlant comme sçms devraient ie faire les damnés de tp - glise, en son enfer,, ». ,Entendez vous cètté clameur infernale

où s’entrechoquent tons les cris de l’enpe I e t de la haine ! 11 faudrait, pour en remtie

toute l’horreur, lé sombre génie de Dante,I Tim^nation' dé "Shakespeare, l’âme _ins- I piréedu vieux MUton, les hall'ucinaüons 1 W bides de Beaiidelaire et le délire de

Castellant. . u V-'j -rü?Encore S’ils s’écrient boriieS| a vocqsrer. i Mais" non, be’ tf étrit quOile chant de gjiejre du guerriei’ jCômancne avant 1 action, le

j prélude satanique du drame horrible qui [ àllait SB jouer. , , , ,|v « Escüld^^^t les niàfchesdfiiü classe y

« dont la porte se trouvait ouverte., ils « lancèrent des,pétards et antres pro-

ii dùïis détonnants, » mélinite, dyna­mite, écrâbûuillite et amorces à cent pour un sou. . , „ .

Les paisibles habitants de Duvy crurent â un retour offensif de la comète et _se signèrent de terreur avantlé chambarde­ment définitif, « la rnaüresse dût s en- » /’értiier (avec lés enfants) p o iz r f^ W - (I mer et tes préserver de brutalités ^ o d accidents, le cheval âfun horiprgnle » commerçant se cabra », du" Fénol se mordit la langue de penr_et .faillit .être

au quém andeur d e Baqdon.

Affrirei," EmUe PI»--t l è r ^ 2 6 an. s,j attentats à Impudeur 4 ^

de- demander à nos anus politiques, fi gisent alnfantme, aeoomOT l’union, la discipline, le dévouenient, J officiere,.gMd^d«**wre‘ «

aussi ■écrtüsaniï. àri?é le ■secbdrs de l’Etat. La question :*e8r dqnc à ' rétu&..,I<^ em­ployés espérrient-usjparji.négrèy.e subite,,efiràyér Ta Compagnie, et Fqbliget:i;ca|»-; tul.eq- .qur quelicpieé fevendications î Une quêsàoa aussi imjportante que celle des retrritea ne peut être réglée "én'quèlques jours. '"

ms, .v o ^ ^ ^ ^ ^ .à 'ï r ié i^ r ië à ^moins.Srostèrepubiio, M* Flachj.Defen- seur, M* Poulet,

C’est le Petit Journal qui-sé diarge au­jourd’hui d’infliger au Père Quinze Mille une dé ces leçons • euisantés;’ dont "D a.si

•andbeseiqt ^ ' 7UC-Petit Journal examino* la'demande

lu" député filàêkbbuléBàndon: fnniriétrbuoè'ÿhe plaee-vci

FaejMam^ine des comnmiriaitéS suivants:J î/o n fiii’Kstaie donnriï.'dfqit‘Y)-.L ^

‘Sentantidm i^ple' donàlbsdffiràgeum vé^l n’a ^aaîiîenBfivelé^Buùid^fim^^qmf'dfi'Se^soimaipSAUstidépens deJ’Ehit î ■ ■ jku

Aucune l0i,!Dien merci, n’a consacré.encore cette praUgi^m aisphabitjdfijeidaBt, les m ressés en ta ré e n t à coiiaiB^;!; commeun droit ce (nlf n’e s t 'q u ’un Sbûs -rj." tin des nombreux abUAnééBfe nbs’m'tB'ursMVléaénalres. . v j Brsetisl«è>%ie'nt' à'W deewraSs qn’on sèrait (te'ilB fnialiléidBâteaté.N'ôuBAedqn/ea France,la nismiwiajontfîinetionnarisenî’fe.repïéseh- tan tdu .peiiples’iinaKlaB vnlontiarq qnanecupe uaefonctioh dans l’Etal,:et,qae le-jour où cette

1».; aoé Wûttl» nUP Ut ailfmUFA rniiv pie

»!pu..™., r - — roFctlOtf, riàis-trtfj ^ d ^ t ^ ce n’est pas la même chose. LftC0ijla“e*8CWralie lui a:ËonfiâeA .naiidat;'illélutir«inè’n tb n o u à raison, c’est son droit;

.ceci.:, d .n’eri;m icto||^rie;iM ^quenées’’deS OTCi|®na^ s t® a g e ,universel,' 'c ^ dèciSi’diîs'SissentnéUW 'ifiSpiréés : pàr.l’er- reiiK' pSï l’inigratjttiâé" bum êliie l'injiistiM.

A ceux s M ’-reclûméhl son'’^8onré i’Tl7n'a.pM antre diase-ù’ répondre’q u e : « Que

faifte^WBtS'Atiéninpsvcband, j e veux difie avant "d’être député ?>.. retournez à votre mé-

d’armes furent convoqués en hâte et 1 on pensait "à demander d’urgence à Ciqn- piègne un eficadron ..pu;. jéu x.de dragons qiiandré bonheur, « les Jeunes énerm- « mènes catholiques se décidèrent, b ^à contre-cœur, à battré. en retraite ». i

Nous ne pouvons,'apr^ avoir enregis­tré ces frits làmentables, avec leb ltoe •qu’ils méritent, que nous désolidariser d’avec leurs auteurs et pour que notre réprobation soit complète, spit pus éner­gique nous emprunterons là voix du poète et nous conclurons que...

* ...n’y a plus rien à faire, n’y a plus « rien à dire, n’y, a -g l^s, q tf i jriew?"-<i M a i s le pluStrist*ye teût Cette affaire... C’est que, quoiqu’on fasse « les véritables <i coupables, échafmeront^ comme tou- « Jours à là sanction » des lois. Heureu­sement que la conscience outrag^ peut en appeler au tribunal» lie fiz sawe.rfzt- » son de topinion publique ».

T>Onson nn Teeraii.' ■ PosT-Siaoùriftï 7 —, Et tout cela psurcé que donzè""^MS,':'àitf àmesüé.gosses, affo­lant ’de'Jpnudré' ’ 'd ê Wuîl" comme en ,ràf- folèréBfS*léItfîiîe téSjins puritains Mqs du Fénql s’en, sont allés museç vers D u^,

^ n s Mniié léb’ ct^rierçàbt^ étiiient’W(>i®és"’f ïetir ^ndre.— àepa- rèmtoént’p®'i>ônf'metire dàns lasiqade — et que’ plus'b'n'moins maticieusenient deux ou ' troi^ dé 'fies péferds inoffénsifs espiesêréht “dèvalft l’école, “ comift-.lé® coups de fouet ÿun,maître charfetiér.. Que "vhnnénffrire io\ viaiment la ,tiftirale

, . . . . --------gendarm erie e t p o u r q u ilB o A o - ses le c t« trs .'r ' >- .i ; "

• Du Bromure.

. . prend-il

I

■'i

j S ^ r c f v e r s

^ n s t l t n ^ o n S iin l- V In c e n tréunion^^s Anciens Elèvts.

H y avait autrefois un vieux cio- cher qui avait bravé plus de six siècles. — Et ce clocher abritait un nid iA'hiroadellés. t- v Et (âtauwe printemps voyait naître une coùireé. — Et chaque' automne avait un volde pius dans l’azur de son ciel....

Dr, dima^ohe dernier, apcourueS de tous les points'de l’horizon, ces hiron­delles arrivaient au vieux nid familial; Saint-Vinoent recevait la visite habituelle de ses enfants,-- et-rcoiabiçn-pQmhretK:! plus de iifi. Le Collège, sur lequel gla­nait, il y a quelques j'oiirS' à pShë,' 1 OHi- bfe' dé la mort, manifestait-uné'hflé plus

avait vaincu. Aiissi, pour fè t^Ja viofoire aé ëésdéfenseurs, là vienle^iSnSye sRait- elle mise en frais de toilette : souhaits de bienvenue, oriflammes et drapeaux or­naient la façade, tandis que les cloîtres îempéf aient, par l'éclat des faisceaux mul­ticolores, l’austérité de leurs voûtes et de leurs portiques; partout l’on sentait passer le soufïïe de la petite patrie : les anciens étaient bien chez eux.

A fO heures, la grand messe fut célé­brée par M. lé Supérieur de Saint-Vin- cent.

Elle fut ce qu’elle est aux jours de fête. Sous l’habile direction de M. Pfléger les chœurs se surpassèrent, et les anciens purent révivre une de ces bonnes heures de jadis, où la foi et l’art (l’une insérant Uautre) portent les âmes vers la lumière et vers,» paix.

■Vitt en&ite la visite, ou plus justement là ^ ib n ^ ^ u réfectoire. Ici l’affluence extraordinaire des convives avait apporté une modiicatîon au dispositif d’autrefois.; Sur le théâtre,, une table en demi-c^rclé &ait occupée 'p'aV;'.;. le ^ s é " : leé mbines du XV» siScle en ^andédétume del%)bqu( avaient auprès d’eux leurs écoliers; sou! la présidence’ dë l’abbé du lilbn^èreî Comme couleur locale, rien ne m'ânqûaiti sauf, à cbup sur, lafrugaiité’danslémlenui Le reste de la sàllé'étatit tapissé d'~ gumàhdesi, avec, de cidaiâ, deS, ^ ,auxpbtes joryeûsës qiii sonnaièut'dbmtoii Uii appel de clairon ah lendemain‘ffahi: victoire; Quelle fut l’ordohhânCé'du bân qùel'f.'il serait difficile de rB"ilifë : çei vieillàrds,''*<â h o to e s ’ murs,' cés jeuhej gens neTormam a Phèure 'préseaté qu’uné seWe 'femülè avéc iê' mêmé eSprrt ët'b même éoeUr,“1001 cela arrêtàit fà'pëdsée e faisait naître l’émbtiph. '' Bientôt un êlèirè de' philosophie se’ léva

M. Barmhhlier?: cféthit le merci tradition­nel du Sàhrt-'Vincént'dtfprésën't au saint

que lorsque-------------- ---------des Anciens Elèves'remercia ,séS'"’i^ma- ràdes, éii'’teniiés‘ cOüias niais éçàW,' (fa| vbir combattu 4e bon’combàl. ^Bn','M; l'àbbé Cbnèn prit là pàroté ;’ oii l’&ttëm dait-’EtfÎBt donné sori' attabheiiiëàt ,aù vieux Collège, M. le Supérieür né pàrler qu’avec Son cœur. Il â fait pilns é mrëux : il à su ' mettre ison 'grand faïeiÿ d’cfràteUr atU servièe de'ses'seutîméûfsf.'' f ■ ' 11 ,salué la magnifique' famîllfe"dqs âii- ciéns de Saint-Vinoent- qui yîèht'de mar­quer, d’un geste 'si beau',: Jà' ipéïéîlrfitë tenace dé'son fitfal âmpdHpOnr son vfenh C'ollége.' Il' la-félicité d’àvoir'’a ^ c h é ‘'a 1 ffont de Saint-’fincent une auréofèdeboi 1 renom, de distlnbtion, dé pOpulaiité, qu ; l’a ri bien sérvr dans là crise qu’il 'viec t de traverser. Je crois auSaint-'vihcent di l’avénir; dit-il én'termînant, parce que j i croib'â ■éotis et Avtté fidélités c’ôutdmTêres. ihyéùt lesgloires fam'ih’aîes de Saint-Vin h cènt; vive.nl lés.môîBsbnS blbndeg de‘;sœ cultivàtéhrhj vive là ’vaiftàncef' dè'J éé'é 'sbï-

iviche

les cemaux et l’on sortit. Sur la cour des grands, des attractions nouvelles.'it^ attendent. Le-mîfitre Graviche s^‘ coriiM et si aimé de SaHt-Vincent préselîtait ses élèves anciens et nouveaux. Si le français et la ■vérsion latine sontiniMs'- pensables, la souplesse physique ifet aussi nécessaire dans là vie, et M. s’entendktej^elopper.

La pome*iKs aiiciens fut gagm M. Chastaing, un habitué des triomphes, et celle des jeunes par MM.. Leroy Robert et de Gr|iOTt^ ; La. lutté fut intéressante et cepéndtet' pàpâs 'ét fhamans n’avaient d’yeux que pour un autre spectacle : le tourniquet. Cela ne vous dit rien, pro- faneal AUezj^vous voulez rirer-voiedes eql'ants j’î ri vu dësTiommesyën équifibre SUT" tm cjlïndfe mobile et essayant de i'arcdüKr .'unè ceitamdf'^tàg!è'.ï:..v oju plutôt essayez vouS-'âieSes.''- îm'fihjlapnît tombait. Les anciens par- tfréhV hedî'euxlsrité' dBlife’dé cette journée

le dansJa joie,,avec le eSBUTJin

de mélancolique qui s'attache au déclin des choses et qui nous fait dire : « C’est donc fini! » Non, Messieurs, ce n’est pas fini, et grâce à vous, celté belle fête vous la verrez souvent encore.

Un admirateur d ’un beau gèite.♦

Le R éveil d e S en lis à St-Q uentin.La section de concours du Réveil devait

être 20 gymnastes bien entraînés, mais la veille dudépart, le meilieur était obligé d’entfér à l’hôpital, un autre assistait au mariâgé de son frère et quatre autrœ'dont la cotisation n’était pas â jour restaient à genlis.

Iri' section se réduisait à 14 travailleurs, malgré ce terrible à-coup, l’ardeur n’en fut (que plüsriye et grâce a l’énergie qu’ils déployèrent âti^côneours àuxapparëifs les gymnastes se'nïïri'éns Sortirènt triômÿànts a une lutte avec dés’Sbciétés céthme belles de Paris, Bordeaux, Reims, Efbeufv Oêàn, Arcachon, Boissons; Vincennes, Pantin; etc., et©., car leBéveil se voyait dédriner la même récQjmppnse, 4 a plus haute, la couronne de laurjer, qui est.le prix d’ex­cellence, et se classait ayant La Française de Paris, La Jeunesse du ;^V1U“ Arles; Cbulètamiers', SrièbrOÙbk, ; Bbugival J toutes inscrites à lat^iviSion caffigmie. Ci Ce prix consiste en'uh bronzé : « ftiffbêsse de Bessomhes-». 1 ■

Au cpncours de courses, un prix d’ex cellèhcë : jaquette de la Fête fédérale de Saiitt-Quenlib. fifi^Soéiétés y ontnris parti lé^è'veîl cfeiSSé 16 avec IMjSiS'aé pcùqjs; se trouve 1" des Sociétés de rofse ayant coUrhV 'L - 0 '■ !

Prnrif action ’milifairev un I®' prix diplôme.

Concours spéciaux (international) uii 2“ prix : diplôme.

GohcoiiredBtir,prix desectiuli': diplôméCette magnifique fête qui a duré deu;;

jonrs’î laissera ;dans • l?espm‘ demoàgym' • nastes un souvenk’ d’autant pluèîdhrâfitii qu’elle .aétéam saqcès éelatanédanS toute ; les^éPf*»^® d®.fi:.h9“bt8Jrs.<îtt’iis; ofit'fk-if p ^ ,^ â n r i le s j6urnées bien re p l ie s dej dimanche et Tundi'dè Pentecôte, de plüi ce succès joint-àu'x •''notés ‘excellentes 'Â1 direction qh’àrecueillies le-dévoué'direc­teur SL Grimbert, classe le Réveil de Sen • lis daasdes; bonnes Ssciétés de-gÿnfiiàri tique françaises, félicitons-terincèrèriéni do ceoyét^ble; Idemphfi' cbnsiétaàt h! S.prîx remportés dgas/uae fête féd^sfié t les gytjMqsteSifliuLpeuyetit.êtce^etÂde ci béau fésuLtri voient, ..u e fois deptui qu’avec une bbnnp_ discipline, dtt.tpava_ et un directeur déyo’àè, ,la drapeau du R ^'V6ii âbritBrsëncbr'tè M£ûi''H?2uifrAc vip.i/hirAG

L 'incident d e la ProceneldmQmpnit quç depuis de pomhrttesss âh-

nées la procession de la Fêre-Biéli se dé, reniait, deux dirtanchès de suite, paisible- m'tot à travers nos rues, sans provoquer le toptndré incident. 11 n’en n’a pas été de m^M^diiùanche dernier; on ne peut que

C ^ sa ^ te â’enfants et de jbhüès fiffès vêtues de blanc, n'a .jamais offensé lès

"de ses juges;^ viVe la science'de des do< teurs, 'vive le zèlede 'ses apôtresiviVé tbu. Ce qui chânte, tout ce qui-grandit,'trif cp hfirglorffié; tout ' ce (^i perpétue 'Sainf Vincent. 'Viyenf vous, MesSiënhsCel'Téve*- net-ribustoujours.-' -f 5

Le banquet touchait sa fin : le feu des - eigarés 'piquait; dépeints brillants l’obscir- rité 'comméBçàhle-lorsqiié 'le ridehu; un instait b à ié^ se 'raesa. — La chûràlé chantait ce’qhe Ton; appelle à Saïhî-A'iut

clfcéBrdtf’C(me|é. Puis M.'De'R» dans une allégorie due â sa-plumé"âlèi-te è î'’què flr-val(hr ÀncoTÇ une iràbs^abié dictroh; 'vîhl-’dirè'â serifrères àfnés,'què

. le vieil abbé çh) XV®"sièc!e‘demaiîdait a éèpâ'raltre- ’devSÙt éux’.' ’’Lë!s“'chbsés dd cœur,ajouta:t-il,se rediseûtiàiis àé r^ête t jàfeais'. Il avait’raison.': îS.’;’Heûflier qui tenait le rôie'tttfflcite;‘îut'parfàit d’à'fsance et' de majesté'; ' M. Éscavy fut cè‘ 'qh’il i élé tqut récemment dàiïs Tinterprétation d'une pièce- moderne que nous avqhs applaudie ; les moines, toqs les éChlrers eurent leur pàrt','-niéMtéé’'d’appla'udisse-‘ mehts, et pour rèsutiier fimbrespioh 'pro­d u is qu’il me srit-permis d’eriplôyeÊ'le m ot ftavsiidBfef 4*3? pléuhff êï' j’ai ■%' 'des Srmes. ....... -'l ié s cigarés s’étaient éteints : làchâr-

trtjnsétàvait jeté njjedeniière chaleur d ^ ^

v ^ abriteraencPre bi^'djautres yictoiresi ♦ . . .

Le banquet dn S. S.Samedi soir, la jebaé- Société le Club

Sportif SenHsîen doontülrdans léS salonS de l'hôtelJlebrésey t» bànqnèSôûB'é eessl dér.éggpr ua seul fnstèiirt .FdntCaiÈ"iéf il jôiè'lnfiiusfranriMii eh-o-i ..zc-ar-'B. j

La presse étaitc représéotèë par- ifbtré confrère Fontaine de la Gazette de-TOisd Noire pii;éèteuivque. desi'bbligations di fainillô 'retenaient.-ce jour ^Joii>;dé Senl lis, n’avait pn,à soa grand rsgrç^assistei a ces fraternelles, agapes et s’était excusé; ' ’ iuu'nlé'‘de''&eiiqêe4 e.ri fait.'A rhëûre dès'toasts, if . JBoissay, I®é* sidentduC. S. leyâ'son .verre,aux in-»vités 8l%ixhfic‘4ès d ^ c5,ùïenra(de Senlisi .Après'ttL.’H ; FoÀl.ame'ifèriétmajbéhûtes air-n'bm ffe’lâ Presse, et improviéâ d’iihq manière charmante niielmies.vér's sur li

Te'éôasf aux dames est de rigueur ; un dei invités lerpoete alors‘8tt'‘shiFHoïif.'’'' ' « - Après -«hâBSonnçites 'et mdhofbgues salués d'unanimes .uppluuffis3effleots,-roij se rptira tard dans la ooirée, .héûreUx des heurés agréaBlès si vite; passées et qus l’on se proinitliiên'de fairerevit^re Tannée!

. prduhaiâé'.'"‘À '' j. . : » ■ • •

Les C ourses'd e jChaqt|lj|y.A Toocaripn iîèp .cmjrsés

qui à.ijFôht(iîffà' î?s '3',’»' et 12 .juip, la g ^e de Béo'tlàcdmmddCerafqQsimè. les -apaées précédentes,. Ja..disfdnqlidn)-.^ ^ le ls dès H VeitIe’iié''c'B'fc'üri(de .è^ frws jours de coursés. ' '....... . ' ' i

passants qursont tonjoura, sommeipute-, nrf pfeB’yassopWh. il EStriloincM ifllént ’ regrettablé' qu’un (Stdyéh,

Æ. Parant, adjoiqt,ti.û,.maii;ode Néry, qit ^ de troubler cette fêté. '

!®S'g mots-, :ude.

jugé à propCë Rappelons les faits en ^

et'àvée la plus rigourêtrse e;La procession,-sertie-de fé^ise-, venait

de s’engager Tue' du 'Ghancfflier-Guérin, quapd M. riarant, coBduiSant's» bicyclrite

^ é n t jhfi âr'ecônnaître que les agentsiqnt fait leur devoir, çe ç’est,4 ’ailleuj^ . ■ -

se frit

avoir été bou|cajésj. qulils ont employé la forcÊ,'! entêhdu, sans ' *

Au pbste dé (police-, „ expliquer Tinçidlnl et réçoit jës dé]

i t e . - ' • ’

présente devant le magistrat et réclame fa.mi&e eh. lj’ *" ’ j-l’incul ' '“culpé.

atjofté

. Jd. Roger, r i t cé fru’ii

cale se ^h . liberté , imméffiate de

iE%uijiï»f ,jô1bqu'atyoué is ciJmHé DiO'csWf, e1f cetw cir- coDêtaoce-, né s’explique pas. A qeri t'tt® 'StiAé’ quel drôir'réëiamàilùli l’élargisse­ment d’un homme qui, chose curieuse, 'n’était 'Bîéïné -pas en'élaî éràfréstah'oni—

cpHtmisericé i<ib pblice, sa-amtf- Tl'n’o noc H’nr-

à 'Ia main,'pénétra dans les rangs et vint se placer au milieu de la rue.

Un des vicaires dé'la paroisse, avec b ^ B O ^ de iBOâératioft', o r éviter un scandale, lè pria poirment de rester sur le trottoir, pendant le passage du cortège.

Le neuv-eau venu s’y refusa éærgïque- menl, prétextant que la ohausSée lui ap- partenrit aussi bien qu’à tout le monde.■ 'Voyant-qu’ii avait affaire à un homme de parti-pris, à un provocateur, l’abbé donna Tordre aux porteurs d’étendards dé contourner l’obstacle, c’est-à-dire 'dè passer à droite ou à gauche ^ rtiidividu, qui refusait toujours éueïigiquément de Céder la place.' La processihû continua ainsi sa route pendant un instant, lorsqu’à l’arrivée d’un groupe de femmes, ayant à leur tête la bannière de Saihte-Ânnè, Mme Prion, qui faisait partie du corté^, fit observer à M. Parant que sa conduite n’était pas convenable. Pour toute réponse; elle reçut une giflé.' Les témoins, indignés, iaférmèrent de ce frit lés gardes-champètres Lemaire et Guibert. La vue des agents ne calma point Tirrascible promeneur qui refrisa dé les suivre'eu commissariat pour décliner ses noms, qualités et répondre de l’acte de vîôléncé' qCif venait de commettre. Le garde Güibért réçql même un coup .'de poihgà’la'tefape droite. • )

Ce procédé, on Tavdfiéra, dépassait les bornes. Les agents~vinrent au secours de leur camarade.et, nonsans péine, condui- rirent .lep,écÿcitrMit au j^nremi de M. Ro- gep. Laprboesrioa eonthiua son chemin saris autre impdent.' llfoilà éri.té§o«é le fait raconté simple-

??îé de i.nembteux témoins des o honofrablement connus et dignes defdi-pouirgnt le certifier.

Naturellement, 1® j'ôïrhaux blocards présentent cet jucideiat de façon à en tirer tout le pgrti qu’as espèrent. A les croire) M. -garant. serait la,malheureuse victime des hrntahtés des-enfants; des femmes et dé la poljçe I I I ;. f". ': :

L'enquête k iaqséile nous avons dû nous livrsi-, nqug p'érm.et de rétablir la vérité. ^Tçtttjd’ahord'nricidêpî ajélé ÎL'*¥arari. frit''partie'^dé la , Fédération

=%''qiii 'est son droit, - r ü èértait 'mi' Ij’àriquet dû Comité', qui avait neii'à'Tfiôtel du'Grand Cerf. Enfin il a été ap'mpU)*'altèndaht''la. prpcesribn sur son Éassa^'. Çh's't.'de prjmo|','d^îbéré.et. aveé OTtémmm'h|OTri-re^jjé*Drpvoquer,uà soàndâiS7*Voire''méfliè ü'nh .horisculadej qu’il a franchi avee-sa-bicycletté les rangs de la procession pour s’installer au milieude la rue. i

Lés'jhüfnàux blocards bsént nous rai contër ÿfe les agents ont opéré une arres-

qeUhoji.tenu oif envoyé au Parquet,, ce n’est Ms les démarches et Tmtcrvehtion de la Fé-

'de,prendre.

‘■ i

è;^t'.tfKairri','' lës. gârdës .champêtres maire ë£ Guibert sQpf trop estimés de la rid® talion .senlisiehn'é pqu'r qqq.le mpin-i' ®eifôujê^ puisse srins'isigr à ce.suiât. , ’j. .j^srihns'.îi'n 'cbm'i^issaire 'de(police, HiRogÔîj'ëTdés agèrit's qui accorriplisseï t scrupuleusement leur devoir, font preûvë de-tact-dans-f exerélw de lenrs^déticàtesfonctions, . , - - ....................... - '

Quelle à dddqété oiécdn'Btàice-?

ir conduiteén___- - n'Btàice •?. ÿ o l^ ^ ; les i (choses, ' sans

pàrff jléfey tellës'qn“ ies 'éé'‘présénteri£ à i’esprit de ThommSTlünt le jugement n’est pas faussé.JBlnhbâlèiinBgmBliiriffti^s

^ef^!^qnU 31Sestation ; on les prévient qÜTin homme cause du scandale, ils arri-l vent'et 'ItàflW^ofvStiï gifihôt rifle Ihinmei (Le gardé oHmripéâ-è 'fé rr ih ^ le ' à ’ l'oiWre et ffinvRe à'8h flèèdr'ë’àVecliii'âtf'cbriiinis-i sariKir- 'L’iù'ffiVM d ''réristfl' ériëijgftuëttiftit et donne un cçunffiiMfig' lû'& fdè Efni-; berl. Est-iïiéfdfifiSrit TWfèûcëtmrgfqfc'a'teuc tjtixtgiflé>u!rie?émmé'eiloütëàgé’ler'eiJré- sentaûtrie là^oî'ScM rinené (fhyiritM.' le

Il ne faut pas confoi}ffi'èl'’fti’criTZifttffe auirùredU^'poUkdSLyeemte arrestation. Or,£ceaûme'M.'-Bdrâïrt’refiifei3t cTaCeomB'a- gner le r‘àéenis,'''qeùxq)î'ôrit''èté-oblîgés u'emplbyëhM fdrcè.' -'"L’adjoint'au narire de Néry est, pair ît-

11, d’une ♦i^eirrré'ëri comtffune''pour son âgé t-ibim'hfforihé Ws JriériiŸèS,'in^iil h ’a

-qBS'‘8t*i‘'pî%.ndrr‘a''ruBflMm;% a-éte ; edndnit''lwé»^'’ÂBHia»¥Sû briBali-de M - R r i d ë r ; ' ' ' ' 'c a e q iv : : - ■<'. .ic ‘T-.- n .c-'UTOUS lêé‘ témoitfs'-fië‘'éèltë âciSne h’h'é-

..iu êlvl,;.-.................i : .- tu . i : .n'oit, 10 ur,i-. •- -iio si h i '_

! 4 ; . - h - ü r . . i ^ C i iiJ ; . u j

(3T5*FÊcâ,tÊî0i»Ÿ C O 'U Sm È R 'dé^m Ëü « l i i l 0 0 Ô

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r H à P I ^ E ^ X ^iJ- iî‘ .ù-y S i - ....

— Yous savez bien que vpus^etes ici chez v’ôus l .ajqqtC ie.,iîS8 }f S i»

La comtssaMidédKféi'dÿi’elle ne s j souciait ^ riicune façonrie Taccompa-;

H partit, accompagne par son valetde chambre.

$od'(à|b8éncè séjirq jm ag^ - ' ■ - f ' ■-f-a-ArWfiîg-^^é'^s&il avec la com-

-tesse;l’U avajt. 1 Jfüÿ e t (i:ép\iogneraon-j

atT e temps de r^ in e ; je réçit -.4 X. .X - t^ e p ^ ^ e rd o h d

fe.'v^âît'

,nViî <S •----C‘-r-,1x6 .comte proposa-q.ajlri' en informa-

( J3ii château à ' là cha,<Khl|re'le trajet qlsît itrês cbiirt par le raccqurci du fcor- 'lâèt : On pooi^Lyf,mçntier?

'.-i ccnii. : , V;oq T y^ilnctiaa et reproductioa intarütes..^5SKxfS.a6.

’W S -M fwÇüiKïVhqri

jcWiminesirt-r^amS'irdDate je .. ,y^ientUiù»'p«ohçiblérient'/-'t> 'bi ;

Le comtef E)mtiri«ieqbhùt'Sda‘’’i8érixf■heuvéS-iBev»» n’a .ineai otrd ..•ui «rc.-oA'iiqtri’àMittttairriJéulih-riOTWél® *

bEj^ai*» xtaàttfihkimbvalBtiolvêvaMde Me’ .-SààdiSnginipaêMtteBtrt fP V khd^^e,

-t-4i©ÆSe»««j>tfsBfeSi'’.ïPkfccVêièé(-®i^

. s ■ , - , . . .jC piaB ie t> ra! mçijazf-e «parae ou pü-.

l:ie parquet'de'^diftverâi.âr^ À'^vait' pasaaooneüâiï; . '

Oh' Là ;dë pqriqsité' quiavait sôutép^.^.;jFWft's“ 'hofflbri^ mequre qup.saQransajtlTheiwe.ï.

.spqimeU.ln'.gMnBib'UirésistàUe-'»#nt,,ÎK*jrie*i™eaiS;*n*

jeneui i s fWlli!-..--.!,-. . x. ,ix;3ri;Xlli-l»‘tf''’eon'' .m sjç.üai;: javecqiê- dçcseur nneTCpp^JS^aœ-da ! moins'en. inoitis àjïp>ée,hri qu’e'ntre--

^ rs deux beures du matin. Ja^nom- H itE aî?#e,#âit

..x..-.4Ç3riS5 ^

r*77Hrri8°îW!!ffB: >111jrqgpjgnp-

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i » :

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— C est le iuc«

d=«thë

— Du tout.

^onolnation.Par un décrefciâti-24 màh notre canci-

toyen, M.. Léon flerbel, "ancien avoué à VienL-d’ètre’ nommé juge 'suppléant

ipV^ibunjtf de ^nlis..vNoris alresso^ à. notre nouveau juge

nôs.plus ^pèrej-félicitations.

'Lës P révoyan ts d e f A venir.La recette mensuelle des Prévoyants

de l’Avenir (S8S" section, Senlis) aura lieu dimanche prochain, 8'’juftrde 9 h.Ly^ à H heures, chez M. Bonniol, café Cher Ami) place de la Halle.

P o lice corrëcfionneU e d e Sen lis.Audienc^duSOmaitS'tO., )

Présiffeiipa(li,e ’ïï. 'Zets, {gé&ident. MiriislèiÊ.'pltolo.': -ÿU PucuÈss, brâcttreur. Crépÿ. — Ayant quitté sa'femme il y a deux

mois alors qu'il habitait. Poutolse, Jeaublauc BeiftEuAB ans4repcésentanlas-ca{ésx.est.;veim■SéUUsCSTTÀiC

lët îûcîdenlàca'üsèun vif émoienville, il faille sujet de toutes les conversations de­puis dimauche. 11 est, cela va'Bans dire, dé­sapprouvé pay la population. Qu’on ait des sentiments r'èiigieux ou qu’onn’enait pas, ce doit respecter la liberté d’autrui et fàis- ser,dans les villes ou «lies gônt 'àùto.risées, les processions oifêrilèr 'Bb'reMen'*. oies cort^es àe gê'qéïit pè'fSônhé et il estinad- missinle 'étiprofôëdéthent regrettable que des ibro'vricateurs causent du scandale, Suëcuent le désordre, dans le seul but de faire interdire la procession-.

Nos blocards laissent pe?cèr le bout de l’oreille et en teriSinant l’article qu’elle consacre % cet incident, la République de Çtiîse fait cette réflexion : qu'un pareil fa it justifie, la suppression des perdis­sions dans ta rue. • *

Voilà qui expliqué teût.Cette manœuvre blocardè ne nous sur-

Brobd'#û®i-mafS qui eri stupéfiafiî c’est dè?srai lës'prdvocatéafsisé poser en vic­times 111

L’affaire est à l’instruction, comme ên lût au Palais, nous avons confiance éh iâ justice de notre pays et,- nfihs hùus attendons la sanction qué 1h 'Tribunal donnera à, 1-incMetit'brovoqué par nos adversaires ptdjtlSjiies. 1 L. B.

pas la solitude, il s’est adjoint une compagne en pers'pnne de Capelier Marie veuve Dégui­sé» âgée de 32 ans. La dame Jeanblanc peu satisfaite d’être supplantée, a fait constater le flagrant délit. Jeanblanc et sa nouvelle compa-

.................. ’ ' ‘ . d’a

1,4. M. hféariolin Malhurin-Marie, garçon ^ 'restaurant à LondMS (Angleterre), et llfie Chaudelec ScolastistS; cuisfiière à Chanti^.

14. M. Ferrand lessMjWiah, palefrenier à Chantilly, et Mlle Dessein 'Virginie, domen; tique à Chantilly.. .JJoriaje- — U. It. Moiri Ànalo%Femand, blanchisseur à Chantijlï, ,et Mlli^imiefTe Màrie-Augustine, bbidmseeriril à âS S ^y .

Décès. — 4. Loiseau, sexe masculin, pré­senté sans vie ; 8. Lecomte Charles-Louis, célibataire, 21 ans ; 15. Miles Arther-Ernesl, iiirié,27T'an». ' -

Crell» --- Conseil Municipal. — Le Conseil municipal s’ëst ré'ririî ëri BesSioii ordinrire.de:m rirsam edf2 8 Tnatrà 8 h . l / t dù,.so'ir, sous la présidence de M. Dar- Càigne, m aire. E taient en outre présents : MM. Alargent et Magnier, adjoints ; Pic-

Supti -Maugé, Simon, Bernard, Laforêt, lélàg'e;, Lépée, Varibrisin-,. Lriougg, Beb- naux, Parm'entiër, Moïel, Len'oir et ^ p -

Spopt V éloë lp ëd iq n e S ed iisien .. La réunioil mensûèilé aurà lieu demain jeuffi 2 jrilii') à 'hûit heù'rës et'dèinie ,dù soir; au Siège éociâl. , î--,- -

.'.ORpRÇ DU JOUR :1» Lecture du prqcès-verbif ;2° Admissions ;3. prdpQsitions diverses ;4° raeiuent dés cotisations.

Al u . ■(■IVéerologle.

Lundi dernier, ont eu lieu au milieu d’une nombreuse assistance, en l’Eglise Notre-Dame de ■ Serilis; le s obsèques de Mme veuve Dufourdfentel'; la - déftinte était la-mère dé notfê concitoyen' M; Dm tenrm enteij anoien’ -juge au Tribnhal de Commerce; '

Nous lui présentons, ainsi qu’à toute sa faarille; l ’expression d en o s plus vives et sincères'coifiîoteanëes. r- |îL'û ti-d' tr. ■ •'-• !

La famille Dufourmentel remercie bien sincèrement toutes les personnes qui ont assisté au-x Djisèques de le.ur-mère,i- ains| que celles empèehées, qui-ont adressé leurs coridoléahoes, < - ,i. .ii. - i- La famille prie également les personnes

qui ont été oubliéesbien involontairement de l’excuser. ■- . : ,,f., .-'i-., i

L es loueurs' de. vo itures d'é'*’FPfe,nfcè. '.Mi’ai-’n-'

Les membreg QODii deTasso.ciation et des délégués. se réuniront Ig,..mardi ] juin, à-Tfiïtèl:du Grand-.Cerf-.dq,Senlis; soris ia présidence de M. FerséguçrSuMl Favier, sécrëtâirë général, rendra («Mpté delà pétition -natiopale qui-vieot 4 ’être cloSë et;lëcomité décidera la-gâte rieisa dëïûandq d-.iq^dhctioq auprès rie M. le miqfetre des |ffîàrices.., .i

Dë's quèstioris très intéressantes étant inscrites à Tordre du jour, .les membres dri çîbmité sont priés de ne pas ihanquer

'à ggj-[g grande'réunion.

gne s’entendent octroyer chacun is fr. menfle.

Menidtèiir^. - Dans la soirée du 10 avril, une B'iScussion éclata dans le débit Fruit, entre Henhegrave Emile 47 ans, de Montataire et les jeunes Denève Marceau et Violette rienjàttün, tons] deux Agée de 19 ànS'. briga'àhl que la dispute ne ^qéÉén^ré 'éli, rixe le débitant pria les COiiîfèmmateurs d’aller s’expliquer dans la 'i'ü'è,; ce qu’ils tirent. A en croire Hennegrave, il aiirait reçu à' ce moment un coup de poing de Denéve. Tout le monde rentra en débit. Vers onze heures HennegraVô hô'r'ti't avec son neveu Monmerthe pôulr regagner son- ddféicile, ee ftlt Ê'nsnite le téu'r de Denève et Violette .de .quitter rétablissement. À. peine 'étment US de­hors qn'tl's furent .înferpèlK.è par Hennegrave qui:lé.iir riorta. à choèun un coup de couteau,■yiolettè iîàppé le premier fut aUej;;;(.j,fYgi)[pS et Denève au côté droit, Saigrè' les affirtna- hons des deux vtctuhe| Hennêghivh nïe être 1 ariteur dû t’affession,. Ci 'Kffiuhâl lui octroie IS jottifs dé JirlS'dS 'ivéri édîsis.

— Le 25 mari, Potdevin Charles, 35 ans, était surpris posant des collets dans la forêt de Chantilly, territoire de Ponlarmé-, ht condamné par défaut le IS avril; ett 4 iSolsde prisoii' 400 fr. d’àménde aÿàllt' fbtiHé Ophosi- tton Potdevin p.fêtèttdqué le'gérdé ne''airtfas la yéflteée qui rierapêchepas le Tribunal'de ttaintenir la peine, . ' ‘

Senlis. — Molin Pierre, 36 ans, sans~dôüilt. cilè, étant en état d’iyressê et causant riu scandale dans la file de Paris, fut cueillir p,ar l'es agents éVdéposé au viol.pri münicipaJ, Ên- fef,me, Molin, brisa le baquet dé propreté et à Faide d ’uB idébris se mit à frapper dans4a pofte prpférqnt,-des menaces et-des. outrages. MTRogér,,commissaire de police, ainsi que les agënts Dhallu et Baillat, étant mlerVenu, durent engager une lutte avec ce forcené pour pou­voir Tri mettre les chaînes et l’empêcher de continuer Son œuvre de destruction. Cet indi­vidu q r ia rié tà subi de- nombreuses' et fortes' condamnations pour des faits semblables, ré­colte 6 ,ffl0is de prison et 5rfr. d’amende.

— Daûs la soirée du iô ’mai, Jaiïtzen Geor­ges, 25 ans, manouvrier à Senlis, voulait entrer au- domicile de GrépiaMæcime, ceirirei ayant refusé. d’ouvrir Jantzen brisa deux carreaux en' jetant des morceaux de briques. Crépin étant .sorti pour admonester non agresseur, ce dqrnier lui porta un.coup de poing en pleine ligure. .Poursuivi, pour bris ce clôture et vio- leèqés, .jantzen est cbndainné en 13 jours de pïfsôn.. '.,

Le 6 mai, Jabin Joseph, 37 ans et Beau- cerf Désiré, 23 ans,‘étatent occupés à fureter, dans la-forét de.Eônlarmé,-Iieurtit le « Chêne Edoilleux », lorsque-survint le garde forestier Robert, qui leur déclara procès-verbal. Jabin rébofie .6 jours de. prison 50,. fr. d’amende; Rêaucerf s’en tire avec 30 fr. d’amende senle- m^nt.

’Vez. — Convaincu d’avoir porté des coups à -Vandamne Charles et Hermann Jules, dans ia| nuit du i"'' au 2 mai deroier,.A la sortiç. du café « des Ecureui.ls » tf .Vaumdise, Vernet Dénis; 32 ans, manouvrier .a Vez, est couv dimné en •8 jours de prison.

U ne bonne cap tu re .Depuis (Bjffsien.rp^nujtsTes gàcdes Guibert

et ^mtCmq,'spryeiuaiept (une 'haiide de bracôflhîejs. A pr^ ;ime. .puit .pamsé. eii forêt, anliéti dit J la Xjçtoifë, »,iils^ur-s prii-erit; ënx inÿvidtiS ’c|pt.urànt qn faon që .Bichë ; 'çë's fi^ux (Bràchnojers mirent.la Dete (mnS Un sao et vinfenj pour, le vendrd à'^Ilëmétrie. Ils. s’adressèreut à un jar-i diuier d’un château qui, moyennant le prix de 1() francs, acheta la bête.

Pro'çès-'verbàl a 'élé. jressé contre les deux bAcdnniérs, les pommés Lambïin fEdénàf'dj eÏDëstrez (Jules);tous les deux condamnés déjà plusieuré'foîs pôiir bra-i eoMagfrr --------------- - ...............

Toutes nos .félicitations à nos deux ganëesÿourla surveillance pctive qa’jls exërfeent sansrelcÉcHe.“ *"*' ‘ '■

. TOUPET■ L. FÉ'VRIE(H, successeur

Voir nû& Etalages

■ ^ l ' f f l T S X Ô G A M '

iB é th lsy -S a ln t-P icppe .— Aucon- càprs. — Dimanche procham,- S juin, la s f ^ lé * la'fahffffe Municipale » prendra part au concours de Nanterre.

Le mènie jour la Société v TUuion mu- siéàle » ira-concourif-àChauny.

!— A la parade.— La compagnie d'Aro dej Béthisy-St-Pierre prendra part diman­che prochaiii à la parade de St-Sauveur.

Èlat civil de Chantilly du t "au 16 mai. fidissarices. — l'®. Dumoulin René-G.eorges ;

9. i Meyer Jean-François-Joseph ; tO.‘ “Vrbert Soiange-Rose-Yvonne.. Pnlificalions demariages. — 7. M. Matbôn Chartes, carrossier, à Chantilly, et Mme Trau- let lAngèleiClémence, ménagère à Chantilly.

l'é'sëefisession, donne lecture du procès-verbal de la dernière réunion,-qui est adopté sans observation.

Le Conseil donne up avis, favorable aux demandés dë Sursis d'incorporation pre- sçfltéçs par les jeunes G'uyot et Hannier, étudiants.

La subvention de l’Etat pour les sa­peurs-pompiers s’élève à A'>6.fr.,33i sur cettë sëtfliiië So francs seront allbiiéS â titre de secours au sapeur Chebault, âgé de plus '&"6o ânsî le'resie' sera èniployé en achat de matériel.

Le Maire donne lecture au Conseil d’une lettre de Î.L Go'ufhày, président de TAs- ëociâtioh départementale des sociétés dë prépàrriion militaire-, demandant une subvention à là ville pour Totgànisatibh â Dfeil, ëhii.e la tni-juin et la mi-juillet de la fête annuelle de l’association. Sur avis favprâbjç de là Ççmmssion une somme Je M |r a n a s ‘ëk i% |f! '’'. ,

Le.Conseil autorise le Maire à payer aux héritiers de Mme Lemire, le prix du loyer de l’immeuble occupé par Tootroi de la rue de la République.

Le Maîr.i est également autorisé à régler divers iflémoir® de 1909, s’êlevaut au letai de 373 fri JS.

Le Conseil vote conformément aux conclusions de la Commission ries che­mins jyiBSOmmede S92 fCtSiJ p'ôur rëfaiëe le inur.dé süutâinpmént 'qui ë’ëstëffqndj'é rué Eê'nr'ÿ Bàrliiet, âii iiiomêni dèà ilioiiJ dations.. '■.‘(Lé Conseil a également solutionné la question de la rue de Gournay à l’étude depuis plusieurs mois et même années. Les'propriétaires riverains eut consenti à TâDàhüOn de leur terrain, ce qui était indispensable pour les travaux d’écoule­ment des eaux, la chaussée sera ensuite rechargée. Bref le Conseil décide d’affecter aux divers travaux de cette rue une somme de 17;ÔOO francs, qui seraprélevéë sur les fonds disponibles de l’exercice 1909 et inscriteau budget supplémentaire dë 1910.

' Le cantonnier=paveur Renaud ayant ré­silié ses fonctions pârcequ’ainsi que ses prédécesseurs il trouvait le tfaitëiilëntant nuel de 1.800 fr- insuffisant, la commfe- sion propose, que le traitement soit élevé pour ce poste â 2.400 fr. Sur l’observation de différents conseillers, il est décidé que le nouveau titulaire sera pris à Tessai, la ville attrait peut être intérêt- pour ce genre spécial-de travaux à traiter à forfrit avec ud'entrepreneiir, cariTy a peine de qüdi occuper un homme à Tannée.

.-Le Conseil approuve les conclusions de lamoinmission des chemins, de donner à la place du Marché, je nom d(Albërt-rDu- gué, et-à la. rue des Champs, le nom de ferrer; Sur lé désir de M. Sithon, il a en outre-changé le nom' de laCfnë des Mou­lins', en celui de 'Victor-Ëo^, de la rue du'- Pré-Saint-Médard, en-Ju'les-Micbelel;

- deJa ruedes Falaises, en Benjamin' Ras-- pairiet rue du Temple en rue-Le Brun. ( Cet-te-profusion de noms propres quîsévit

actuellement dans toutes les villes ne sim- pTilie ,pour personne la possibilité de s’y retrouver .'Une somme de 380 fr. est votée pSûr laUcnfection et la pose des plaques

' et le numérotage des maisons de diverses rues. '" ‘ - ,i Le Maire donne lecture d’une pétition demandant la démolition du kiosque-hor-

: lorge dè,la place de la gare, leMàiirè-n’est pas partBan de cette .démolition, car ie kiosque qui ne coûte actuellement que

. fr,-annuellement à.la ville doit lui faire retour dans huit ans et sa publicité est

■ dbn excëllent rapport. Le Conseil se ran-■ à 'ùet'-àvis et adopte'ün vœu de M. Si- 'mon 'dèmandant l’agrandissement de la ^aee de la gare; -ciAûîtâantdonner satisfaction auxouvùiers qui rentrent à toute heure de la nuit, le Conseil yotedes conclusions de la commis­sion .jës't^emins et du gaz prévoyant un crAjit 'dé"-432 fr. 63 pour permettre de laîsSer brûler jusqu’à cipq heures du ma- lifi p'éndant les mois d’hiver les beos dits përiuanents qui n’allaient que jusqu’à dëux.hejures et demie. Il adopte également là'tr’apsfocmaiiou de I36( becs simples en becs à'incandesuence. . .'-"Lë(CônsëitvQle une somme de 2.720 fr. poùfla'transTô'tihation du prétoire de la Justice de Paiy. Le cabinet actuel du juge sera-dèmolfel-féra'partie de la nouvelle

t SalleTlu.ipD'blîCi le nouveau -cabinet ■sera

qière. main ! Firçnin, vous- ferez jP iP ëé lr-èefkà? '--‘ PâS'’6 îtfri'iAë'lfl‘cbtbtëssJHl'ii^

^ s? iris

pouvait être motivée m pH itéfd lfâiiW pâb

tiâient -poiiri'liirolrfijgL Rivemôntl 'àuiraël-ilb'aviTêâi ( f e r ^ ^ t l ^ é ^ d é ’« b |o n te t , la

ààîi& 4 dufë afljùris qd’fl etmf'sôiuifent; ( ( .(.

La con^ss^iJiràjt ouvert une |enêtre

UpAboMfbareUi'Sasceaéiëf'ew'ïIl échangea quglques.ymots avec le

valet de.chanibfe qju était venu au de- vâttt -ée:-|^®Bffiià4biri<ftita;â*ë»tëüité les nriKkM m du pewofi.b->èi ou ■■■ti A rr;.:n , -a.ilifiiUStpBiiâprèajilB. valet.d'ç chambre ouvüaitJa porte «<-annonçait Mi-iajuge

'j£a(sr>

■ C(HÂPITRE X X V iiï- . -. ' ..-IS'i,-..-, ■!Pég0ubdân'ê4ittà;-maji^tuéiü et coùr-

-doifi-i'i, ‘,-.-s-q:.’ „uic lm;,uu'n JUtivs-iô-:';i «aœsrtutîâibiïimlMëWleatéMMfvril- lé la baronne Staat elle mêcDec-üoou'jq iuÜBWffMfiud^âîflofiiüdear ^eèsondrea-

MUËl

il s’inclkn'DtètUbiqtKâqufi àuëuSapsaCaMéÜMM^'IlMiant iêJ?e»lftàti*iaoàï*ir»b •mq ,»«n trittii ù ;^Ëé§ ; :-I>^Se*t»n-.l<aigis6upBef.iuii

.gWjsseme^^ ryȑha des

— .w en k . -.mions^eur, le-mge d'initïïlffitA’rTiif'celui-cï, p'e'fsüàdçqm cette-imijhSilîtié èt'cdtte“’ë x i f i e ^ j i ^ e phymiOilloiateinlpHqusiénilj^Ë'àBmmmi xpuetteAi'rJlDrzeurâaréj'-ihJë.-’-i -WîCtae iT(lC%sp»oi&semblëpeitâihrtiuiidip>sw-

. P»:aBdreig^aor<iaD.ç :■ ; • r./; 0) , '-...-^^^igTOqtjjmonsieur.lei.coiBtel.ft- il.Vbii'ssâvépïejà... ‘ . ‘v iaci. '

i’tîàticnfer

a le 'doÇtêur de Rivemont,monsieur le juge d’instruction, dit le doitteui:.',C7ëst p a r naoi que Mme- la cohatessè ët M. le comte ont été ins­truits des faitSTur-jesquels vous venez ttSatsért-ogBr-âàns ' doute’?' Je iné’sërà'is rfeœiui Etupsës de vWus', si o-n'ta’aV-ait ptëvtm»p«itôisî‘4yué îë Tâvais recofln- 'Bfetidé'.ééFjgôregi-e'tté?.-:

-r- Non ! Non ! interrompit Pégour- daM-t^s'grâjiiîéùi.’ïîé vous mettez -pas

dm^'régr^j*'ffoâeiat ! ï f iTyia pàS- SjT.'àtfèiïdu ,(que’ ça h'ért pas

'àinené...TOim‘ !;.'."Büiri’ 1...' qüe' je suis veuiù Jgi, yeuxjedmjjjNai^rellement-, ndus-au- pbffi .b^^^nSîrê U m ^tif de cau-'settè’riisemble... Mâisplus tard lï® 0Ûr Jle,WOmrtit,j«;nejrieMrpas ici-■comme

J.lteiPsjèuism'rtralte;'.»! ii» en if^derirètsp'M'-dliu.ïi -mats

. a-MàiS>-M»iï«>ifcdfiiciùqü%n homme du mondetJtïMWTéîtte deVëSIr

— Comment ! fit le cointe stupéfait. Une - —™=rr=-o . - .V. ug.

frette, ..r-A fisraille, mada-

m élâ conxtéme ; et cmmitfe; malheoreu- sementgri j- atheaucoim-de^ns qn î‘la conaaissâiriàr détte'heuré.'jé Püis'bîfe -vïbssfla-’ edevShriM.ffrdcçœim.îiïüc^ q'dfe:,Vblfe’'’UéfeoÿeZ(Ai|am.paré!^ à tua COhfiria»wO dh inoinsl . .. ., .!('

. zdôçteur esti notre ami, ditlecomté»; iiurlez monsieur ! Expliquez-

’>rs jSnsja:'.ai fc

'rirèinsrettr Je comte.'»Je stHS-bieir’fâclié!.. Mais votre demoiselle est partie de chez vous cette nuit,;et j-’a ieu le plaisir de la voir, à la gare de MotntveoFdisr, au rnoment ou-on venait d’arrêter M. Ré- rhaville ! - r .

Là comtesse eut unesourde exclama­tion; et le visage du dôcléur exprimà la plüs'-profbntle'sùrprise, pendant q'uë le cômte s’Ériraitfait brusquement' ‘vers le

- jé^MÏ>fhstiHietTOtt,--dont îT-'prenàiF là vâahn '.'6-uojc_i j . - -s ; - alqsïiycam: dites î s’êcnia-t-iL.. Je n’ai p^bjen.conspris ! C'est évident l 'Vous

, dHe§.,.5>s-:.(neo i.0 . i ' ' - i f j ; -i, ^ t--rje-dis-que Mlle .Miquefc allait par- tif.p'o'ur .Paris par le train de 11 heures a'véc.’-M. RémaÿîUèj-iet .que, sans mt», ^Sirf at^aîGarrêteë'éilë. aussi ! 'ri^retnre'riéçtjlS'dè quelques pas; en pdùsSânrihncri'teTiiibte. ; .b-fii^#eigVrilfsoilffpdnt-dans''ses iaâiife, étri3^ïafd&' Pi^ourdati d’un oeil fôb, éperite'îfc. é ; - '-".non"'bwpjàempéram eut'apoplectique reo»- dait'excessivement dangereuses pour luij;-das ^cvtipns, aussi-v io lâtes et aussi sqbiîes-qàe celles qu'il .épriduTyst âc'ém pm ént;, . '■ ■'■..c;‘“Là''çom ^sse èn-voya-nt la facé s’StS" pdarf^r'Tëdouta'' une congestion .éble Séfeterfii partagea cette crainte. ' ' ~ffb'*piw: lefféomte par -le hraà et Yeiit tra îné v<B>à Use fenêtre qrfüou-vrit pré-- cip'taiâimçiitî'lointô. ■ . t

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lannées. p'uçentf kii) était Téooule- J ensuite l ’affecter p somme ) sur les

|d909 et ■de 1910. lyant ré- |Gue ses Kentan- commis- ) 1 élevé ervation pdé que sssai, la

Ire genre Ta't avec I ce quoi

usions de donner i bertrDu- I nom de

L il e en 1( s Mou* le la ruS

dicbeleti fiin Ras- ,! Brun.

|i ni sévit i ne sim-

Jlé de s'y lest votée

plaques t diverses

I pétition que-hor- lire n’est

car le lient que

1 ni faire lllc ité est i l se ran- Be M. Si- Qt de la

ouvriers I nuit, le fcommis- |y a n t un

ettre de I du m a-

lecs dits jusqu 'à

ta lem ent ppfes en

12.720 fr. de la

iujuge ■nouveOe Inet sera

ïàdtéf..de

-, plaisir dierviau

Ré-

xclama- r i în i la : cfùf .le

I vers- le atai'ia.

l ' - ' '

| j e &’aiII Vous

édlQé dans la salle actuelle des témoins et le tribunal installé en biais, près du nou­veau cabinet. .......................

Un crédit supplémentaire HR 2.000 fr. est veté pour la fgté àttnüellé:

h i SS'iScripîion potir les inondationss'est élevée à 2.173 fr'. 70, noj comprisles 300 fr. votés par la ville; 1.3H fr. ont été distribués et les 862 fr. lO restant ont été remis au sous-préfet pour être versés

Ite des ûnanCéS; n’autre part, lesà la recette a , , „dépenses pour fournitures, lUadrieu, ins­tallations de passerelles, etc., se sppLéle-ons ue ilctsaci ...V --- ; .vées à i.212 fr..07j le Conseil ma’re à demander la remise des oUO Ir., ijui serviront ainsi à payer une partie des frais ; le reste sera pris sur le budget.

Le Conseil, à l'unammilé vote ensude l’ordre du jour suivant, présenté par Mi

^*s'^ËnVais’n des heures pénibles que ,1a !,illede Creilaeues à tmverrar Içrs des inondàlions su a au 7 mars 1910, le Con- Vi.ii municipal, réuni le 28 mai 1910, tient à rendre lioinmage de reconnaissance à tous les habitants de Çreü pour le deyoue- menl et le sangsfrDifl dpnt ilà Ont fait.

pour YSiür én aide a nos conci- loyens, à la municipalité pour l'organi^- tion des secours, aux omciers, sous-olii- ciers, caporaux et sapeurs-pbiilpiers de la yillé de Cr'eit qui, par leur dévouement et teiir abnégalion, ont assuré le service de sécurité nuit et jour, partout où on taisait appel à leur bonne volonté, à toutes les personnes qui ont apporté leur cbole a la souscription publique ouverte par la ville en faveur des victimes des inondations.

Le Conseil municipal adresse également s‘és reïïiércîérGehiS à la gendarmerie et a la police locale. , „ e, ■

Le Maire cède la présidence à M. De- lage pour là reddition des ocimpes admi­nistratif bt dô gestion de Î909 qui se sol­dent par un boni de 92,496 francs. Le rapport dont M. Picquot donne lecture est iàopté à l'unanimité. LeJ7onseil ap­prouve également les comptes des Bu reaux. de Bienfaisance fa..

M; Plunlet est autorisé à taire une la rade dans la devanture dé 1 ancien pres- ly ïè r r dont il est locataire sous sa res-

P T e S i f v t t f d u crédit de 400 francs p d i l’Inloi de.doüSe fillettes à la colonie

s de subventions sont 'refusées on accorde 30 francs à la Com p4 l e ïa r c pour un prix à son concours

® ünT demande .de,, M; Parihehtier pour àtitîîi ^6 ccùches d arrosage rue des

fi'duUns et rues voisines est renvoyée à lacommission des eaux. , , . - , „__

Sur la demande de M. Lepée, le Conseil vote une somme de l.bOO francs pour la construction d’un kiosque à musique.

Une demande de M, I^afouge pour 1 ^ cbat d'une voiture spéciale au transport des blessés et dés malades est renvoyée

C r é p y . - Conseil municipal. — Be- maiu vendredi, 3 juin, à 8 heures du soir, réunion du Conseil municipal.

fiSWîE nu .loéR :— Compits et Küdifet. fiSppdrt delà CSainirs-

sion.— Sitiialion des L'ii-emins vicinaux.— Conversion des preslalions en nature. Travaux de pavage. Rapport de la Commis­

sion..4l!rlbiiiicia pn le» Relloy.

— Secours, a îï. Cddol; reigeiii de FpniEier».— Matériel des sapeurs-pompiers (préleve-

— Don’âfion' de Mme veuve Ariiouit; à l'hos­pice (avis à donner).

— Création d’une septième classe à 1 écoledes filles.

— êam ei de .mai-iatfe. NoUS appre-- nb'ns avec le plus vif plaisir lè très pro- aiiain imariàge de M, Jedn puyiVigr, fils de I htinbrame M. Duviviéf; dghdlltfeur à Russy-Bémont, et frère de Mme veuve Cultru, de Crépy-en-Valois, avec Mlle Sa- batier, de Nogent-sur-Marne.

Aux HeuréuX jëdnes Sensj nous ollrons nos”vieux les üièille-urs et nous présentons nos plus respectueux compliments a leurs familles, si connues et si estimées dans notre région.

— Médaille d’honneur. — Nous som­mes heureux d'apprendre que M.Justin- Àrmand Lédàn; aucien employé de la gare de Crépy, ancien cnéf de gare de Nanteuil-Ie-Haudouin, actuellement en ré­sidence dana notre ville, vient de recevoir, au cOufs 4'uné assemblée de la Frater­nelle des Emplovés dé la Compagnie du Nord, la médaille d'honneur du travail, en récompense de trente années de bons et loyaux services. . . . __

NfltiS ebinbliiaentqns. bien ViVement notre sympatiiique concitoyen pour cette distinction si méritée.

— Matku à Crépy. - L'excellent théâ­tre Mathy, qui déjà fut notre bote il y a quelques années, el'dont nos concitoyens ont gardé le meilleur souvenir, est pré­sentement installé sur la place de la République, où il donne chaque soir une représentation avec un programme entiè­rement renouvelé. __

Nous ne saurions trop engager les ama­teurs de théâtre à se rendre cher Mathy. Les spectacles donnés dans cet établis­sement si confortable sont toujours du meilleur goût et supérieurement inter-

Prix des places : 0 fr. S9, 0 fr. 73, 1 fr. S lS tï’.

— Concert de nuit. — concert donné le 28 ma i P.ar 'ef « Enfants dii VâloiS « sDüs lia ciel sutietos -etau re gard des étpileSi â défaut de 'a oomete I

telle, sert de prélune,,e.iie est, Ou peut dire, crânement enlevée. ' Une ouverture dAn- drieu Graiitllà fait lé régal des d llet- tânts. Les traits dé bugle Sont fwt jolis et supérieurement eXéeuWs par M.Letort. C'est ensuite Afan'e-ffenne«e, fantaime brillante mais déjà entendue, de Monta-

ne, enfin Caprice-Maiurka', bonne pro­duction de fiioaise jduëë aVéo tbule la lé , gèreté désirable et.'là Célèbre vaiSe de Weslv Piançailles, laquelle figure au ré- nerloire de tous les orchestres Tziganes. M. Paquet a ftdt le lour de force_ de plier ses cuivres à cette mnsiqiie extrêmement vaporeuse Bt doUcê, sliftoüt uans la mélo­die. Nous en avons été agréablement sur­pris et nous l'en féHcitons bien sincère­ment ainsi que ses artistes, _ tJn fait sanspréeédènt.—U. André B..., s’étant offert il y a . quelques jours, cheà M. ï ’agard, buraliste, un pâquet de cigarettes.élégântes à 65 centimes, a eu la siwprtse d’autant plus agréable, qu il y p.* ._____ X J _ 1« Isnivceo en T» loc tahaftS.

^ ô n t à l a i ^ é - ^dçt^fiçttiori et re~vaccination. — Le médecin' vàccînàtenr se transportera le mardi 7 juib .prochain, à neuf heures du matin, à la mairie, salie du sous-sol, pour procéder aux vaccina- tiens gratuites.

Ôevront êtré présentés à cette séance . 1” Tous les eirfanlS de la commune

ayant pl us dé'trois m'ois et m’oins d’uh an ;•2” Tous les enfants "dé'la oomihune âgés

de 10 à l l ans'; ‘ ' ' '3» Toutes les personnes âgées dè 20 ans

à 21 ans qui résident dans la commune.i^dgentJ — Une enquête èst ouverte

pohr rechercher an jenne h ô ^ e de No- k n ti oili saffledi soir, à la sorSe du théâ­tre de'Creil, a Üriî un co,ap de revorlver sur la voie publique.

— Le jeune Kléber Ménard, également de Nogent, qui difiianohe soir, à la sortie également du théâtre, â grôSSièrement insulté' lèS agents,- sera poursuivi pduf outragés dt làpàge héctsrne';

Revue d es Livres.> • ’i.. }.4 A

Vient ■ clé p^àùre, "chez *Messelnré3îleur, - 19, quai St-Michel, un fqlunie SJean Rouiel, ayèc'üne ptéfach oteJlf Iftewcire Henry, r .. >■ -l ■ - ... - ‘ -

Ce voIUmé, doùt rauteur est mort récem­ment, comprend.troispièçesnonreprésetit^s: la Dêlaistée, Bernard JPalisiy,.Jffçqv£S Clé-rtient La?f)femiére est en’:vers efc 'fqtt éBm- vanle ; les deux autres 's'ôiït des draîMies ifflSio- riques remplis de couleur, de mouVem^ et dè‘<ef.- ,

L’ouvrâge est'imprimé par lés soins de l’Association des Joarnalistes RépiÿipG^s,,• * - dtt ’déftmvdoât- -tv J sm ssB i.àa s’étennerà-'.fort que lé taîéni si réd de Jean fionXel D’aifipas obtenu sur la seèM IB» brillants aùiqttels il âvaitleeteiSfh'rèmptaherqnl les Spe<#m^ÿ

V A R I E T E SLes fleurs eflu em iés f

Il parait certmn que certaines fleurs éprouvent l’une pour l’autre une insur­montable rép'ülsiôn. Par exemple, la rose et le réséda në'p'énvènt pas Se.sootrnr. Pour s'en rendre compte, il süfnt dems lier â une gerbe d’autres fleurs que l’on met dans un vase d'eau. Une heure après la rose et lé réséda dépérissent, tandis que les autres fleurs resplemfissent de- g r^e et de fraîcheur. Les muguets sont égafe» ment féroces pour les autres Tleurs‘4 u ils tuent sans pitié.

Par contre, les œillets et les héliotropes s’inspirent, mùtueUemçnt une vjve sym-

^^M as ! qui eût crû (Jlie des fleUfs qül embaument ne pussent^j^ntir.

ront â p p S lanvaleuf /e s héUes oeuvres

deux autre»-volumes de «.Théâme » dont le

blicaifiS; f r . ' ; ” ‘ '.‘.Tf' t

L’orig ine de» c isea u xOn a cru que les premiers, ciseaux

étaientl'oBüvredes 'Vénitiens ; mmsunS Bible du X” siècle représente d ^

t pâire de ciseau:t«-

li'â

la commission d’bygièûe n„Le Conseil s'é constitue ensuite en Co­

mité Séfebel.— Communiqué. — Le Maire de la

ville de Creil informe ses administrés que les rôles de la taxe des biens de main- m U e sont déposés à la pmceplion de Creil où ils peuvent en prendre connais­sance.’■ 'éé- jirrestations. — "Wallet Jean-Bap-Üste et pierdat Louis, m anouvrie rs ontété arrêtés, le premier, dimanche en vertu d’un extrait de jugement le condamnant pour ivresse, et -le second, lundi, pour extrait de jugement le condamnant pour faits de chasse.

— A l'occasion de lafête annuelle et en raison de l'encombrement de la place Gar- hot le marché du samedi H juin se tiendra sur la place du Marché près de l’eghse.

Par réciprocité, les marchés des 31 oc* tohre et 7 novembre qui se tiennent sur cette place se feront place Carnot

Yaccination. — Une séance de vac*cination aura lieu le vendredi 3 juin, par M. le docteur Debray, à l'hôtel dé ville de

6 'h. à 6 h. 1/2 pour lés dames et les enfants ; de 6 h. 1/2 à 7 h. pour lesLom- B8S ;' les enfants fréquentant lés écoles seront vaccinés dans ces établissements.

La révision et la remise des qertiücats de vaccination aura liéu le 19 juin.

Les habitants sont invités‘âsé conlor- mer à la loi sous peine dè contràvention

-i-A'cciaewL—Lftcheval de M.Carnelle, loueur de voiture, ayantèu peur dimanche soirversàh. l / 2 ,ruediiFaubourgdeParis, ’ d’un rouleau compresseur, a reculé et a fiut tomber M. Damboy qui suivait le fiacre àbicyélette. Dans la chute celle-çi a étê fortement endommagée, mais 1 allaire n’aura pas de suite le loueur ayant pris a sachm-geles frais de réparation de cet accident. -

— L’épilogue d'un procès. — Le pro­cès Darcaign'e-Simon qui avait fait un mo­ment un certain bruit en ville s’est terminé lundi dernier en eau de boudin. Le conseil­ler Simon ayant, en présence de ses col è- , — ' “n cIu-ss‘éTcheva‘lien du Mé-

S k îà '.£ is -p S ,? ,;ï ‘‘“r.taiLKw.™ .»....... ta& iies'ast tet«wéqparmnrmh-9f.6.ÇiêS*“

personnagé tenant ùné^àire de e la main. , -n

D’un autre côté, la bibliothèque de Be­sançon possède un mandSCrît de la fin du XlY’si&ieiqdidéliïné le aesmn des ciseaux àlam es. cpoisêssi Mais dé fût seùlement sous François 1" que cet instruJfîeilt oevnii d'un üsage'courânti Alors, Ifâ 'fàbriques àsMilâHTde Pâdoue, de NajplèS eusuriorit de Venise acquirent une éitraorainaire re-

Moulins, depuis 1360, fabriquait des ci­seaux dont la réputation ^ t uMTerse“ f Les ciseaux ont eu les fondes les pl®» verses. Les. Persans leurs donnaient nect d’un diséail dont le be'c formait des ames. D'autres ciseaux orientaux soOt faits de teHe sorte que, fermés, d sp a ra^ sent n’avoir q’Une seule lame et, un -seul l^ e a ü seplaïant au-dessus et constituantùnomemefit. , ...

Pendanfla Renaissance, les ciseaux pa­raissent adoir eu la même faveur que les dés. Les ciseâns de c.ette époque é taien t. ornés de dorures, de damasquinürës m ae gravures, les branches én étaient surchar­gées d’emblèmes et de devises; Ils étaient enfermés dans des gainés qui Sg pendaient •à la ceinture. Ces gaines, de veritaUleS m- iouxd’art, étaient en cuir doré, gaufré, damasquiné, en cuivre, en argent ciselé, en acier découpé, en filigrane, etc. ; elles s’ornementaient de pierres précieu­ses.

en ce mommit de la hausse sur les t'^acS, de trouvèr ’23 cigarettes .dans son paquet.

Cela fait oublier un heftf les « çrâpnms incombustibles, lès . infufflabulQS » (il à la douzaine) et aussi les « Sénateurs » 3ft.000.ft-, Ht paire 0

Ce fait peu banal setait-il dù à la comète Sapeurs-Pompiers. Désignés par

le Président' de la ^Fédération Nationale désSafieurs-Pompiers Français, pour faire nartieaâ Juïyv les i lieutenants Vincent,

Vincmit,®'dê- GindCM sont rendus dimanche dernier, 29 mal, à Évreux'f-Eure), où' avàlt lieu, un grand concours, national deipompes à.inçeqdie et-de sauvetage. Plus .de. cent subdivisions prenaient part à ce concours

iik'CércZe Artistique. — Hier soir a eu lieu aii Café du Commerce, la soirée de réception offerte annuellement, pai' le Co­m ité du Cercle Artistique aux.membres des divisions théâtrateset masiaile ayant prêté leur dévoué ■concours’'pendanl lasaison 1909-1910. n i ™nioNous en donnerons dimanche le compte rendu détaillé.

Nécrologie. — M. Léon Gaussé, an­cien contrôleur des pontributions indi­rectes à Crépy, actuellement à Pans, vient d'avoir la dpuleiir de perdre son

décédé à l'âge de 68 ans. . . . Nos sympathiquès compliments de ci

laÉ c r i r e o u -s’a d f ê s ê ê f

â M * . - ,(Agent ,

.A nnonce»li.’ItillJS.

Etude deavoué h

4nidde£àmiB.~.-f.' .- ‘vRi.

droit

'iSi'.t II.’

hACO!

detoute...nature, 'Viej Incen^e, Renfès ■Viagères, ÂcdîaeBIs, à S E I V L . 1 ^ . 4 . r ix © 4 © l a a r o x i x i e l l e r i e : )

d ij ï ïF tA N 'c E

L’AstHfîi# â'U ê.

Cbaaue année, dans la seconue qum- f a in e ^ mai, pour itfois, a t t ’araîf laslhme dété. i

tronches se prenMnt Æ “ crises d'asthme se cfêblarent. — lè’ufs remèdes à opposer à ces crises sont le Iferiïül .Berthiot contre le rhume de berveaU.-et la PondreÏAinislÆgraè c o n ^ i l suftoèatiOD, Là Poudre Louis! Legrafe dâlme mstanlanément les p to «olents

dm is i S ^ a f r . 10. Envoi contre man- d l l » à L e g r a s , 139. boulevard Mageiitài PatK-'" .............

A ib i t e i e t

lotUciaire.Déci(imi^>i^eau de Sentis

- <969.--. -, -

D'un jugement' ’har défaut resdu ' par le TribuDal eiTO de première ios- ianee=-de-6w##Hà vingt-ciua,uuiq c 'êi6r’'mir iJëHP%eiï'Rnq enregbtréf ' o

’Au;profit de M.” Marie-Loo«e!.Van SémïSo^Ç -ïffiige ^ Monsieur ,R e 'péJe,^ps,3W bujr>er. avec , qaèli«lpè'»deoMiupe( de'drcwi mais àB6ns!Sf’'i(rré»illéï et résidant de TâR à'i llcintlfe^i chez Monsieur Vialp-.'i/be'mandêrèSle'Icomparant et plai­dant; par Mt-Georges Morand, son

Contre'TKirsiedr René Bp Vos, mpnfi tieiiidejggUîant à Montetairc, m^taamt^iactdnlemient sans domi­cile ni résidence conifcs f■-" %érêbfiëw’'3éfaîffà4 ;

■*. rt-> p ’autre part;'îi appert! ; jt •; 7 r-" ,

Oae le divorce a été’pro’B p n d d e ^ ■ffe-'IeS époux Dej Voâ è 1» «^é îeelatfproft;del»dan*peVo^

Lèdft-.ié'gèaeni n’Jyant pu être signifié à.îsprifl8«jnne Dè Vos, la présen*’

'rèndue’sW 'éeàB èe ^ 7 P«eurm Pcé^deut du ïiibttïW ôiîè'pe instance déuiLiïfai mlLneut PéBMx, eni'églstîee,

tfî fa«ië^@<1f . délais d'Opp» et d’appel di|ja)g!jBeït s»»-

Poér/extrait : (sfeip-ijoaMa».

. et.de orort

V iâ jaa -3 T v rj* .a •« éric qu’il efldïél^U » n-Sffvxl, comprenaxt ta

ouimncej-j

SSpb^oos oe^nritre

notaire à Senlis.est faite en nou­

vellement! oe celle parge fdW nJe Courrier Me VOîse, Joumafdeÿen^

v a :r» J ■ ■ t f e . -Pour d eu s i^e insertion : .

dû sieur insertiofi est l’article 247

. j Aar. 6.Suivant acte repu par M' Richard,

notaire à Pont-Sainte-Maxence (Oise), leSKqoato ze et çngbjânq .api .-pii

nf cenhfiix, IpmieM. Edoos^ UtS-mlir BOCQlJET,'nia

Q ueiqués im p a rfa its .Voici uhe boutade satirique; sur les af­

freux imparfaits) .du subjonctif qui gâtent tant nbtrt belle langue française, et qui sont d'unp si difficile digestion i

Oui, dèsll'ihsfant que-jevous Vis,Beauté féroce, vous me plùtes;^De l’améur qu’en‘vos yeux je pris,

"Sùr le champ vous vous aperçûtes ;Mais delquel air froid vous reçûtesTous leé soius que pour vous je pris !

■Cbrabien de soupirs je rendis!Dê ’éfùàle cruauté vous fûtes.

Ta témoignage de Mme dsèhilièf, S4,füe Adrfeh Maîtf®, dispense de tmit

'’T e M ’lIbWef f f l f h t , - M f f l g „dismt s, J’ètmt oonÜnfl|le«è.8£^^ tée par des d.6aie,nr2 a a n y ^ î ,^ .“P®. pouvais pliis.me bmssShdtt simple mouvement sansi endurer dgS tirm;- lements très douloureux à hauteur, de -ta

i ceinture. Ne sachant plus quéfaire, pour. ..4 . . . .. It ___4 t..., Th.l.vlaeî VnCTP.r.

lUi'P.S ; RBeBR-# lîn f’ .Etude de M' « . 1X10», avoué

:■ .o*Senliî,.,u 2Ç, rue aqgU^puBlique.

Assistance JnàiclâirO; -Admis^a.

D’un jugeménrTéndu’'par' défaut par le Tribnnall civil de Senlis, eji date du vingl-hnil décembre mu ûeiif èent neuf,'Imregistré ;' ’Enirè Monsieur Augustin-François- Marie Joubrel, maréiSial-fetrant, de- m èdràuW e^i^x «lise) i

Demandeur, ayant-M» G. tziir pour avenéièonstitué j '. Èt Madame' llarie-lLouise Martin, épouse de Monsieur Joubret'sus­nommé,- demeurant 4 e droit avec toi mais résidam de fait à Neuilly-sor- Eeine, boulevard Binean,uuméro 6^

Défenderessei défaillante'faute par elliïd’avpir.cpnstilné,avoué;- .i '-iil.appért;:!'Qdel lè divorce a été pronor.ci

d’entre les épdux Joubrel-Martin, à la requête et aii profit du mjri.

Pour extrait: «I Signé : LOIR.

Châties Rondeaux, marééMt, et à Madafaè,Rtan^ >Rl»iSBi;4W

touse, demeurant ensemWem yn- Aronde JiÇ

le rie sisfà‘ reuriTOs,%^nnu? -Moiî^iw 1B0CQUET et consislatft' jd&ns i ' wi— MAT II T"i''— i -f cfientèle et Tachalandage y

iÿ.iQàtériel et le mbîSlîerinâus- à son expiotttfion r marchandises efl dépen-

dant. .; L vJtrée en jouissance a été fixée au.preifiie juin mil neufoentdix.i

Les opîo^ions, ^ 1 v a ^ u , de-, , vrdntéttelfâMes'Sian. læ flp joci? { des l»Osé«o||e |n s ^ o | et- sBfc^ reçues ed l ^ é e TOf l*«llichirdV Dotaife à Font.

■ .su

.s^stainsvj

541

fi't’qnél profoud dédain vous eûtes Pour led Voéux que fe Vous offris !En vainj je priai, je _Dans vdjrè'’diïretë vous sûtes MéEfjjer tout ce que je fis.'Même lii jour je vous écrivis Un billé ndre quf„yous lûtes.Et je né sais; comment vous pûtes pfe San -froid voir ce quej'y mis.Ab ! jfallaitTil que je vous visse,Falïàit-il que vous me plussiez, QuTngénuement je vous le disse Qu'aVeo orgueil Vous vous tussiez ;

. Fallait-il que je vousèaim^se.Que vous me désespéraesiezï- Et qu’eh vain je m’opiniâtrasse Et que je vous ISoIât^ssé Pour que vous m’assassinassiez !

(La Presse Associée).

5 isë et ên me leyànt je n'éptOnvM? pîhs dé riolents Ïttaifi de tête. A mesure que théssouffrances difflinuaîenl, j6 deVeùafc.^»souple et deux semaines après j ^ats tffut â fait rétablie;». '■ Le' Ù novembre' 1909, 'Mme Coeuillet ajoute : « Voilà près de deux ans que j m été guérie par lès Piltiles Fostèr., Depuis, je h ai plus rien ressenti et j ut tim.iours faitmon travail aviBC beaucoup defcralité».

Femmes qui souffrez de.mauïr conti­nuels : mal de dos, migraines, abattement général, nervosité, langueur après.ies re­pas, idées noires, ne prenez pas ces trou­bles, qui affectent aussi bien 1 homme, oour des malaisés féminins inévitables car, bien que peu s'en doutent,, ils . annoncent. simplement un mauvais fonctioonemenîdes rpijJ5iLes,.Kl9l®5 J'n®!®’’’ i®** f î j l S a u t en bPuT tX enrayent le ma' dès

Étude de iif PÉTfP'’

et daSie

làde^ei

reviennent l’énei Tou te.s pharmacies en ge

la signature «Tanfes Ppstei . boite, 19 fr. les six pq-franco contre man­dat : Spécialitës Foster, H. Bimb, phar­macien, 25, rue St-Fertwand, Pans. 9.

, jiÆ=

. . .

Suivant^actéj.rëçu pâtr M" Petit,

sfesr Loui?.,M0WsellarLouige C demeûiàot â,i

[expt.iMié à Se|nl!S,moyeonanj «niphx m tionz expdmèe.audjfiacte-

Entrée èn jdugsaiçe (e vmgl-cinq mai mit neuf cent dis. o-

..edJotpisaeiéhbMWjles oppositions, s’Uyà lieu, â[lpnn», en L^qde.dp:. M'PeW, .notajr.c. | . ,

La présenté- iasettion rcnouvelte, celle 'parue,dans, le aumérodu vmgt sixmai -dernier du t>r^nfc et d’a«iifturduipp®ri-le délai de dix jours fixé paf la Iqi pond las.?«wey . sitions. . J ';<! ; uls..,

' ‘ h ■'-rtiflteT.ic''--: '/DBDXiËME. nSERtlON

Suivant

PReM E SIMON

Le Gérant : SAVBECT-BtAweiARP.''

rôçu par M« Petit,

î, wcnsiieur rèd4B9*

uni |iiiwi iw AftiimimaM ©vi vai v» ------B-ll, place de PHôtel-de-ynie, Senlis.

mil neuf ce.L Gustave DaBBOlN, meutant à La Lbi èahfôn. de SenTisîa;canton, de Sèmisiniv^^ï^onaçùr Iules Deyaux, fabizcanl a e î^ ^ % et Msdathè- Aoeljne-MarieZOtympe VarRIER. tsob éious.e, demeurant

TXlliance, noméroîi5;îieFoiwts « ^

V.i. ; 'X .;,

Suivant acte reçu par M' Lesguil- lieT, fiotairé à Pans, fé vingt mai mn'hèÙf.èfeM'âix, MonàertCHénfrLouisqftlfftÉSlÇQtWjIngénieiin dfe-•njëùmnUèj Câdiijî», 'Viflb' dé la’Todri

ifiti à cliiih^Uîr

demeuraitt à Précy-spr---0jse (Ois^x ■ ASNEB1Ô^B>

Monsieur Fernand BOL-propiiélære/ aFeCi-tm

dcfflèiire l à Bourg'd’OisaflS •énfaats.rétabM gs^BTO^- •

s æ t i iô S f i 'Sobjets s e r ra ipteitiklipQ; jrn ’ ? nu) r '■‘Moyennant un prix et sous des

c o id it^ s indiqués au contrat.’l/cricfeb ep .^ issM ce a été fixée

àü'preiîifer juin ïnil neuf çtjBtjdigc. j / i -^ .e ’piiositions, s’il y a-liéu, se­ront' reçues par les acquéreurs, au siège: du- fonds cédé, jdâns 'les dis j ^ t s de la deoxièirfe Sùs^ion fe-’ nbdVelànt la pr^qnte.5 ^ " " ' ï.'êsGUÎLÜÊR'.

A u . 7;

' p CiTilB liililiÈrBdélia r t e do M eai»'.’^

Soelèûi A nonym e'^u ’h ip ita f

,. de Meau3:,^'iid

OE COlVVOCATroaï'

Les acftionnaire?. de ,1a S o c i é t éC iv i l e -

' d é ^ é â p s sont co n v o q o ^ ^ as- ''"‘-^“ l^bénérale extrawJliwre, au

liai à Senlis. rué de Meaus,

« m » ' !’w'ï'augm'entation du çapi-

SjSC': .J^ ConseitA^ d j 'm a f '^ ÿ ^

'iSERCU TM lE, ■'*' :.IXièaiif*^y'àe 1 2 4 ''■ ta semaine, sans soto, .!.. pottvam' faire davartagèjj&s bon

qjiartiér.|iiileflÿt4'y*?t^)-'?"i 'vscv

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545

p L I S S O U S L’ E M P I B E

poüf s e f ï i f à l ’ilistoiire de Senlis. une les rues

it par­

as: en

HMÎHU,il ÙSày

tes* et

ntlperi^itpré»

- - v;- ' A n n ée« I’ La mairie scrébi*a 'en 'c’bmmtsrion extraordiçaire to'gs'les'

lundis II h. du matin, et thutesles =. ?y sera’ traité de tout ce qui c o h œ ^ ^avPour donner plus d’activité aux ressorts -de la d m m ^ tio n , pour entretenir l'iirthnité et l’unkffl qui étabhssent to des autorités

^ 0u,;K.un de. sesjoindre à c e t t e - . . . , _ .procurer à'iaAtae, outrelajouissàhcéde'posséderla MmsonduHoi,

mffitaiies et civUe3,"MM: le comma.ndant , la place,

le bénéfice des anciens nages et pnvUèges, Mçr de L u ^ o u g ' s ^ ro p p U ê ÉShtéhir

distribution d’étapes, qui nê^fatiguera-iris-^^^ ^ ^' la ville qui a mis tous lés Togemenîs-à IS dis^itiMF'*»* bngadiers

dès gmdes et n'en trouverait plus un seuL... 4° Poqr assua^ej.plus efficacement le bon ordre, le Ministre sera supplié de porter à lo,

Î f 6 le nombre des gendarmés Ù clievaï.-fi’rixis officiers-de. ’ceHe'vîIlê seront convoqués ét chargés de faire àtti rapport

les maladies contagieuses, la salubrité dè l’air et celle des eaux ■ils feront analyser, 6’ L'Hôpital miUtaire sera visité par une

commision présidée par le maire et composée des a minis m ordinaires et des officiers de l’étàt-major, à 1 effet d y r infirmerie convenable, dresser lè.,deyiâ des.réparatipns n ssair qui seront faites par qui de droit, •efrrégler les différentssoins à donner à MM. des giùjes du rtrps ». Suit le tableaù dçsétapes nouvelles dont est question dæis l’artide 3,J.

« Le 35 août. Fête desalve d’artiUene.Parordredemairie.les

b a l a y é e s , les ordttrès-'enleyées,, et tous les travaux suspen­dus A 9 h. du matin, les autoritéaet l^.fbnrtiqnnaireç.se X l’hôtel de viUe. A lo h. le cortège se dirige irers;,lé:«^fF“f mars pour y prendre la C“ de MM. les; gardés dn;.coÎT(>s, et,de la vers l’Eglise, où il entie par le grand portaU. Après la mœse, le cortège descend, par le rempart de la porte Compiègne, IRsq® “piace de-Pobélisque rétabli et érigé tout nouvellement (>) et dédiéS., A. R. la duchesse d'’Angoolème ; sur, lequ.dfpbéfis^^.son gravées les armes du Roi \ suivies de c é ^ inscription VfléjnqBle Ludovico XVllI, hoc monu menbm .mfaustis temporibus evefsim èurant^vs' arbis pro^ecto <Bdiïïbus pes^3ûrdtaTh, refecturn, e Marks Tbefesios, Dacissœ En lolismœ dicatam. Aderant Regii Cas todes. Duce D" Ltucemburgo, civici eqaUes, magistratus omnes, cives mmersi,cum plausibas i wumeris. Die XX V mensis augas i MDCCCXIV.(‘)

Le maire prononce un discours analogue, auquel répoqd AL Agai, commandant des gardes du çorps = tpu5.,dâux ,sont f ^

f , , J „ j»«..i;no«îp T.fl fètc se teroiili^lPFpplaudis et salues par desdes cris mille fois répétés -. . . . iLe soir, grande iUumination et t o u t e s .les l«bifatK)ns,a;^ ei^jrecs dès la chute du jour ; suivent des réjouissancesiel des,danses ».

«Le 3o août, deux arrêtés de mairie-tii^.Sur sa demande et-.vu„.n grand âge, le s'.Rémy, conservateur sans appointements 4e bibliothèqueï-puMique,..est pourvu d un a<y^h raires, le s' Paulet. 3» « D est rappelé aux fi’’ ' “déposer l4 à màii^ fës'BonsVie réqnisi^

assistenS-^ ''®é cblôftw, maréchal de eaffip'î 6 Ü'

$e retire des affoxteSr S'adr. au Bureau Su Jpurnal.

Ü M N I B U Sh caqrtci*** ** g;» l»rie ,

.. ï -, jBttériear .•”4 plocéâ, P

c a u s e a u t o .

■ S’a i r . a u B u re a u .tii J o ù r n ï t l . - 81*'

* is* dl'Hqîràine's;''ie 'çïieviü’ b ’^ a y . uespoy^ brigad' ; U^rd, mgé-

“^i^qultS 'd S ^ le cour de iz'sSp-eux acquiuc» , .-i v.tèmbraproohaiÉ-sons peine de perdre tous leurs dmfe

« Septembre, le i5. (Double prestation de serment faite ényeytade la nouveUe c h a r t e promulguée le 4 juin spus.ie^md de réformation. Devant l'un des adjoints c o m p î îa i l^ .M v W ’d é l^ é par le préfet pour remplir les fonctions de .

sous-préfet de Sentis en congé : lequel, pom ^tueuxdévouementi S. M; Louis :^ y m rtà la f^ < Jq e £ o u r î .ç ^ . ainsi que pour satisfaire à l ’a r r ê t é prèfectoÆ du prêté en nos mains l e serment suivant,L la G- des gardes du corps et de touteal^ deJejare e t promets à Dieu de garder

i n t e l ü g e n c e . d e n ' a s s i s t e r à aummicmiseil, de n enseroit contraire à s o i i .autonté; et ^ d a n s

e n io a g , c e t o n e u s q u e a , c ie in m » i m w x- w.*wîîit© ê tre e n v u e a€ d a n s l ’a n g le p r f e l e b a s tio n d e la po i rtd d e r a mc h a o u e cô té d u re m p a r t , bcnhs» l e ;*9 a v p l I839 , ie m a ire ,c h a q u e cô té d u re m p a r t .

■-'qv) C’'ësra-®re, littératemont : « tW feu(d a n s , des . te m p s ; ro a ll ie a re u x , a été, « D ucliesse d ’A n g p o lèm e .d e s E d iles d e c e tte v i l le , e t d é d i M a n e ^ L u x e m b o u r g , l e u r c h e f ;E ta ie n t p ré aen ls ; le s G a rd e s - ro ja v , i ; V avec d es a p p la u -le s a toJ^ens-C lieva lie rs ; to u s tes n « g is t i , ' fd is se m e n ts in n o m b ra b le s . Le 35*jcàue d ^ ” *

n’avoir aucunetretenir aucune ligue «pu .— ' ■ , ,-anwmidauemon arrondissement ou affieurs, J appren qp .tvise è son préjudice, je le ferai connoitre au Roi. Dont acte _ap^

Paris; Caaiorn;dIien»t5Crôm4 MairreV'lrtli^y:^Loiÿs^qlfiit/^éÿixt^y. T ijp.et, BoiteL adj’; th ^ K .^ e ê ié -

Oc7oïi%!ffe a5 . Deinàn^ pou'rouycriure d'un théâtre. « Mess^rs, ie s o u ss ig n ? P ) tf Ÿ ^ u lt , marchariâ'4è vin* m igtoe, propxîéfaire

lem eu^Ci biidis,-iiifii&iSu'’»s> " l’hj»n£nr4 f ytms^jplarer,conformémefit-anx décrets des i3 et ,9 janvier 179., que moninteiitihû'iSt de faite élev^üti théâtre pubUc pour dette «fie t o slé ' bâtîfeètit ù ntoî appmteaarit en ladite ru* dfeBçauvais B* a5. A

a5 dCtohre i8i4, signé Fricault. -i-. Dent acte, sigfip

■ m f S ! &mptes'de l'octroi en iStS, se solfiant par 1, 3»4 (S-réSc. tant en jrecettes qu’eù dépenses; , . . . . .Le 36, tes âalMres dés g a r d e s r c h a m | ^ t e q s , n e TOuvantjdus être

nus comme pïécMemme|(;4 'fi Vharge exclusive des cîimvaleurs, 'ils seront désormais prélevés sur tes centime» additionn^ dont le taux n e ^ t dépasser deuj ^nümesaiS;'^iWlpôiw francviNfiiti- ■moins, ieé g ^ actnds seront c m i^ é s ej» 4emB,,foi(çtipM

àaéiS i e fd ffls jfe p i é f e n c e dea-armé» AiSéasi^ o rt rnsB-Iréun ïèle infffigû»lèi’làft''âélilW <^de.^ît,>.*o«r*es in n o m b ï^

signature,, _; 3' ef ifê smte-î*t|r?^fïous-préfetreçoit le même serment de toiâ

lés membres du Conseil municipal, dont acte signé par les mêmes

(A suivre). A.!M,i lê';

.j* ‘

m r -

i l côBRMÉh DE L’OiSimüélÊÊÊÊm

Étude de M* S A IN TE -B EU V E ./ avoué à Sen3is»^ ■ ?u»Ç

par suite de sail8i:e imm<*ili*re,

M J k j £ & 0 : N.<>- ,. . t ICircoTtàîances et Dépendances,

Viises A CHAUBLY(Oise),

SUC la place du Marché, rue de Paris, numéro 34.

U’adjudication aura lieu le MARBI 1 4 .lUIN 1 9 1 0 . nnen f kmrcs du malin, en l’audience des criées du Tribunal civil de Seuils, sise au Palais de Justice de ladite ville, rue de la République.

S ’adresser pour les remeigue- ments :

1» A M* S A IN T E -B E U t-E , avoué à Senlis, 'poursuivant la vente;

2° A 3B Q a e n t ie r » notaire àChambly (Oiseji; ■

3" A M' D c lttU o u sse , huissier h Neuilly^en-Thelle ;

4» Et au Greffe du Tribunal civil de Senlis, oü est déposé le cahier des charges.

S ’adresser pour les renseigne-, inéhis : |

l’’ A M* G. LOIR, avoué k Senlis, ; ÿ9, TÙe de la République; poiH'sui- • ÿas4 la vente;

â* A B* E m ni. P o u s s a rd , j avoué à Senlis, présent à la vente ; :

3° Et à M* .MelloUée, notaire k ’ Jtello, dépositaire du cahier desf charges et chargé de la vente.

C A B I N E T D ’ A F F A I R E S’ DE

H. LOBGEOISà C rép y -ca * V a lo ift

isiiat, V A et t o m . ie PremiÊtÈsLocation d’immeubles

Cossians de F onds de Commercer SM TOUS GENRES

Assorances de toutes sortes :Incendie, Accidents, Grêle, Vie,

HortalUé du BétaiUBeninmeat it Grètnses UtlgieQSH

OOMTEriTICUX Représentatioa devant les Tribunaux

Civils et de Commerce.

Guérison de J/w* Leborgne atteinte de TUBracVKOSE PUUIOHAIBB

par le traiUme^t d base d’Èltxir i)iij3>eyirouipd&ttjjpeu«c ten joueii, que HeW^èenle la pho.

tl-conlre, habile n , rue J Üresptn, Paris (it*). Malade depuis

norembre 1908, elle toussait, crachai^ ; était essoufflée, transpirait la tiult, avait ■ de la fièvre, était fatiguée, ne mangeait

presque plus, avait maigri de i5 et ne pouvait plus travailler. Leaojüia 1909, je lui trouvai dès lésions tuibeé*

MÊME ÉTUDE! . , .> Maison Bourgeoise, à Nan- teuil-lc-Uaudouiu, piac&de la Mairie, à vendre S l’amiable. — S’adresser

, à M'Peut, notaire. ' -

2.*? 'r '

A X . c a n i m r a c B L

Etude' de M* I^ouis ESCAVY,avoué à Senlis, v

7, rue de Yiileverl.

V e n t e s u r J C ie ita f io nD Ei E«B ’

P R O I > ( t l l T Esise à CHANTILLY (D ise),

aaliendU lesBoIs.Salnt-Denls

neo SnoisUscffi et

,Bon Bureau de Tabac, ville industrielle, à portée d’usine. Exixcel-

L’adjudioation aura lieu l e SIARDI 7 JU IN .1 9 1 0 , à neuf heures du matin, en raudieneé. .dfjs criées du Tribunal civildeSehijs, séant au Palais de Justice, à Senlis, rue de la République.

S’adresser pour les renseigne­ments :

A M* Louis ESCAVy, avoué, k Senlis, poursuivant la var,ie ;

A M' Gasïton Loir, avoué Seulis, présent k la ve nte ;

Et k M* Baléze.aux, notaire k Chantilly.

Etudes de Sli° G a s to n LOIR, avoué k Senlis,

2a , rue de la République, et de M* MELT.OTTÉE, notaire

k Mello.

V ^ ' f Ësu r p u b llc a tio m judicia ires^

'n n

ciilenses du a* degré occupant tout la poümon gauche et quelques foyers epars dans le poumon droit. Âprès quinze jours de mon traitement à base d*ELIXlB DDI^STROtJX, ellese trouva mieux, mais bientôt elle fit une rechute très sérieuse; peu à peu, grâce à moik ^traitement, elle alla mleiiket, le tt Jafivvier 1910, elle était guét’ih. Bile m*« pèé . 1. P mis. oe publier-son-cas dans. le but

Docteur Eugène DUPBYROUX, s 9 '5, square de Messine, Paris. g -

P*S — Slla tuberculose fait tant de victimes, c'est parce que les méde- 5 3d u ne savent pas la soignet Aux haineuses calomnies dont m’honorenk .L S

d’entre S î t , jerlpomls par des faits P^éc‘S et des preuve^^^^Ibt^les. Que ces insuUeurs montrent donc de » »Dnnevroux, àiiase de créosote vraie de hêtre, iode» taniOi gty^rophos* ç,

ebanz auérit les lésions taberculeusesen provoquant la forma- es S' 8 2 î? t f « u f f ie îd ïn s iVsértim sanguin. H est in â iq u Q l^ les caa^de p f TnheKuloses pulmonaire, gaeglionnaire, articulaire, àryngée, cutanée él 2 osseuse, de Bronchites chroniques, d’Asthme, d Empfaystoes, ^ ta^eg , g Glandes suppurëes ou non, Arthrites, Tumeurs blanch^ Suppuntio&sà ' ct. Pîïïei de mauvaise nature, Mil de Pott, Laryngites, Extmctlons de vott* © Pharyngites, Lupus, Rhumatismes tuberculeux. — (ÿnsultatiOM er^ -- tuites tous les jours, même ledimanche, le matin de 8_h. î/a â lo h. le soir de x heure à 3 heures, èxcepte les jeudis et les joura de «te, ésa* » mon cabinet du 5, square-de^ Messine, Pans. — ConsulUtions gratuite# a par «MTCspondance. — J’envoie gratis et franco les neui onr^rages eonto- 2. nant mes travaux de thérapeutique et d'hygiene i ^ e s t io n n a i r e .©

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bonne de la campagne, 30 ans environ. __

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presse.S'adr. au Burean du Journal. 510

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pâtisserie, près Paris, tenue par pne personne de la région, demande des apprentis.

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