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Sommaire

Passeport pour La Baule ........................................................................................................................................................... p.2

Trouver La Baule ................................................................................................................................................................................... p.4

La Baule, la mémoire ....................................................................................................................................................................... p.6

Vivre & résider à La Baule .................................................................................................................................................. p.8

La Baule culturelle et sportive ........................................................................................................................................... p.10

La Baule, le vert ........................................................................................................................................................................................ p.18

La Baule, le plaisir ............................................................................................................................................................................... p.20

La Baule business ..................................................................................................................................................................................... p.25

Revenir à La Baule .............................................................................................................................................................................. p.26

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L e bord de mer, c’est avant tout, un état d’esprit. Et lorsque l’on s’approche de

l’Atlantique, l’océan s’annonce déjà comme une promesse… Promesse de découvertes, promesse de souvenirs, promesse de plaisirs. Destination attachante, La Baule résonne comme le lieu des “premières fois“ ; depuis les premiers pas dans l’eau (plutôt… fraîche !) jusqu’à l’heure de la retraite, on s’y projette comme pour se rassurer et savourer ce sentiment d’apaisement qui nous envahit. Destination authentique aussi, car La Baule est une terre de caractère où l’on aime se ressourcer, riche d’une qualité de vie incomparable. En famille ou entre amis (ou les 2 !), une simple balade peut vite prendre des airs de véritable exploration ! Enfin, son air iodé et son environnement d’exception, c’est l’alchimie parfaite qui donne envie d’y revenir, encore et encore. Préparez vos valises, faites de la place dans vos albums. Destination La Baule…

Passeport pour La Baule

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Chapitre 1

Trouver La Baule La Baule

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L a Baule, on connaît forcément de nom, mais lorsqu’il faut la situer précisément

sur la carte de France, ça se complique légèrement. Dans l’ouest ? Mouais, pas mal… Au-dessus de La Rochelle ? Oui, mais encore… Exactement au sud de la Bretagne, ce territoire traversé par la Loire et bordé par l’océan Atlantique, c’est le département de… la Loire-Atlantique ! (Logique, non ?). La ville de La Baule-Escoublac, elle, est située au cœur de la côte d’Amour (avis aux romantiques). Réputée d’abord pour sa longue plage de sable blond (et très très très fin !) de presque 6 km, la station

balnéaire est bordée d’une vaste pinède et d’une forêt dunaire protégées, adossée d’une part aux célèbres marais salants de Guérande et d’autre part, au parc naturel régional de la Brière. Cette situation géographique d’exception lui vaut d’ailleurs l’honneur d’être inscrite, depuis 2011, au Club des plus belles baies du monde, au même titre que la baie du Mont-Saint-Michel, la baie de San-Francisco et la baie d’Ha-Long (la classe internationale !). Exposée plein sud, face à l’Ile des Evens, la ville de La Baule-Escoublac jouit d’une luminosité particulière été comme hiver ;

rendez-vous sur le boulevard de mer pour se laisser envahir par la brume matinale ou contempler le coucher du soleil qui fait rougir l’horizon… (sûrement un lien direct avec la côte d’Amour…) Le temps semble alors suspendu… Venir à La Baule ? Rien de plus simple ! À 1 heure de l’aéroport international Nantes Atlantique et à moins de 3h de TGV de Paris (ou 4h30 par l’autoroute), elle semble tout à coup si proche, si accessible… Sur place, tout est facile : des commerces de proximité, des hébergements de choix et des activités en veux-tu en voilà, pour petits et grands. Vous v’nez ?

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Chapitre 2

La Baule, la mémoire

L ’ histoire de La Baule commence à Escoublac, petit village qui suite à un phénomène d’avancée dunaire d’envergure, a dû,

au 18e siècle, être déplacé d’un kilomètre (son église a carrément été ensevelie !). Au début du 19e siècle, afin de stabiliser ces dunes mouvantes et dangereuses, les pouvoirs publics entreprennent de planter des arbres résineux sur 700 hectares. Mission accomplie par la société Benoît (pour la partie occidentale) et la Société des Dunes de M. Yves Bertault (pour le reste). Ainsi naît « La Bôle d’Escoublac », ancien espace dunaire marécageux qui deviendra officiellement La Baule–Escoublac en 1896. Il est totalement désert et formé d’un long massif forestier de pins et d’ajoncs qui longe une plage de sable fin. Bref, un endroit idyllique… (Fermez les yeux, vous y êtes…) Consolidée par la forêt, la zone n’était alors entrecoupée que d’une seule route (la Grande Route reliant Escoublac au Pouliguen) et de quelques chemins servant aux douaniers pour contrôler le trafic du sel et aux cultivateurs pour récolter le goémon. La révolution industrielle aidant, l’essor touristique des stations de l’hexagone, et plus localement de celles de Pornichet, du Croisic et du Pouliguen s’affirme. La Baule dévoile alors peu à peu son potentiel touristique.

Il a suffi de 5 hommes seulement pour penser et construire la ville… Les premiers, Jules-Joseph Hennecart et Edouard Darlu, sont deux hommes d’affaires au génie visionnaire. Ils commencent par achever la construction de la ligne de chemin de fer reliant Saint-Nazaire au Croisic, pour le compte de la Compagnie de l’Etat, en 1879. La gare est évidemment l’un des premiers bâtiments érigés, inhérente à l’arrivée de ce chemin de fer. Baptisée en premier lieu, Escoublac-La Baule lors de son inauguration, elle prend le nom définitif de La Baule-Escoublac trois années plus tard. Le développement de la station se poursuit avec Georges Lafont, architecte nantais, qui imagine des allées pour desservir le boulevard de mer, comme l’Avenue de la Gare (aujourd’hui Avenue du Général-de-Gaulle), des lotissements accueillant plus de 250 sublimes villas, ainsi que la chapelle Sainte- Anne. En 1895, la Société des instituts marins de Mme Pavie ouvre l’institut Verneuil, spécialisé pour accueillir des enfants atteints de tuberculose ; leurs familles, issues des classes aisées, s’installent dans le quartier autour de l’établissement. En 1902, M. André Pavie (fils de), transforme rapidement l’établissement en un hôtel de grand luxe, le Royal. Le quartier Pavie, accueillant également le premier casino, devient alors le centre de la vie mondaine.

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Aujourd’hui, La Baule est toujours synonyme de vacances et de convivialité, de chic et de décontracté. On y vient toujours (et parfois même de très loin !) pour son immense plage facile d’accès, pour ses villas et ses terrains boisés, et même pour son climat océanique (ni trop froid l’hiver, ni trop chaud l’été : le temps idéal quoi !) La station évolue néanmoins avec son temps et tend vers une évolution de

plus en plus (éco)responsable. Les nouvelles bâtisses répondent désormais à des normes strictes de développement durable, les rénovations suivent un cahier des charges précis et les éventuelles modifications de quartiers sont réfléchies ; tout est pensé pour entretenir et conserver le patrimoine baulois, garant de son identité. Comme un devoir de mémoire pour les générations futures.

Le 20e siècle annonce l’ère du changement. Au lendemain de la Première Guerre mondiale et après avoir abrité les troupes alliées à la fin du conflit (notamment les troupes américaines), la ville prend une réelle dimension internationale. Sa fréquentation, jusque-là limitée à une bourgeoisie parisienne, bretonne ou angevine, explose avec l’afflux de touristes français et étrangers. Cultivant un statut de destination privilégiée, La Baule attire de nouveaux investisseurs pour bâtir des maisons de famille et des commerces, mais aussi beaucoup (vraiment beaucoup !) d’hôtels et de lieux de loisirs (casinos, cafés et salons de thé) pour loger et occuper ces touristes. Le premier, François André, dote la ville d’infrastructures exceptionnelles : un casino plus grand et plus moderne, des commerces de luxe, un nouveau palace (l’Hermitage), un golf de 18 trous et un club de tennis. Dans les années 1920, l’homme d’affaires parisien Louis Lajarrige profite du succès de son lotissement du Bois d’Amour pour créer le quartier de La Baule-Les-Pins, avec la halle d’informations et le Parc des Dryades. Il réussit même à faire déplacer la voie ferrée, qui, installée en bord de plage, gêne l’accès aux bains de mer. En 1927, les deux nouvelles gares de La Baule-Les-Pins et de La Baule Escoublac sont inaugurées. (« Prochain arrêt : La Baule-Escoublac. 3 minutes d’arrêt. ») La ville devient, en une trentaine d’années, la plus grande station balnéaire de Bretagne. Malgré la crise de 1929 et la Seconde Guerre mondiale, elle poursuit son essor de plus belle au cours des Trente Glorieuses. Érigée en commune, la station se popularise et se modernise avec la construction d’immeubles sur le boulevard de mer. En 1989, le TGV Atlantique permet (déjà !) de relier Paris en moins de 3h.

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Chapitre 3

Vivre & résider à La Baule

L es habitants de La Baule se nomment les Baulois (et rien à voir avec les Gaulois !).

Estimée à environ 16 000 personnes l’hiver, la population peut atteindre facilement 150 000 personnes en pleine saison estivale ! Avec près de 60 % de résidences secondaires (source Insee 2011), les résidents permanents ont donc dû s’adapter aux touristes réguliers et de passage, en s’habituant au calme des quartiers hors saison et à leur animation soudaine, dès le retour des beaux jours (Tiens, les voisins sont arrivés !). Principalement originaires des grandes villes voisines (Nantes et Rennes), de la région parisienne ou de l’étranger, ces baulois d’adoption viennent dès qu’ils le peuvent et n’en sont donc pas moins attachés au bien-

vivre de la ville (bien au contraire !). Parce que tous petits déjà, ils suivaient leurs parents ou leurs grands-parents (qui s’y sont finalement installés), parce que plus tard, ils sont revenus, mais entre copains cette fois (dans une autre ambiance…), parce qu’aujourd’hui, ils sont encore là, avec leur propre famille. Amoureux de La Baule et fidèles au passé, c’est à eux que revient la clé de cette résidence synonyme d’ancrage familial, où ils rêvent de partager l’art de vivre baulois qu’on leur a transmis. Bref, cette population maîtrise l’art de recevoir, comme l’ont bien comprises les quelques personnalités discrètes qui s’y sont installées (Loïck Peyron, Vincent Tiger ou Gérard Lanvin, pour ne citer qu’eux).

Et La Baule ne serait rien sans les Baulois ! Très investis dans de nombreuses associations, ils rivalisent de créativité et dynamisme pour faire bouger leur commune : multisport (foot, voile, tennis, yoga, etc.), culture (chant, théâtre, peinture, lecture, etc.) et plus encore. Pas moins de 200 groupes animent la ville tout au long de l’année ! Si en été, on se retrouve facilement sur la plage ou dans les stades pour des activités de plein air, le reste du temps, les habitants aiment profiter de lieux adaptés à leurs animations. Pour ne citer que cet exemple, la halle du Guézy, comprenant une maison de quartier et un plateau sportif, vient de rouvrir ses portes sous le nom de Complexe sportif Maud-Fontenoy, après des

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travaux de réhabilitation et d’extension remarquables. Vivre à La Baule, c’est tout un art…

Et cet art de vivre si particulier, c’est aussi un style ; un style entretenu par l’environnement de la station, et notamment par son architecture.Les années passant, la partie boisée de la station accueille de plus en plus de villas (aujourd’hui au nombre de 6 000 !), dans une totale liberté de… style !

Ce patrimoine architectural à la fois éclectique et fantaisiste est le reflet des origines régionales des premiers propriétaires : bretons, basques, landais, anglo-normands, etc., et de leurs goûts

personnels : art nouveau, art déco, néo-gothique, expressionniste post-moderne, et même futuriste ! (enfin, futuriste pour l’époque !) A partir de 1950, face mer, de nombreuses bâtisses sont remplacées par des immeubles d’habitat collectif modernes, offrant un panorama de lignes horizontales, de balcons et de vitrages dits « à l’américaine ».

Cette incroyable richesse historique nécessite aujourd’hui le contrôle de l’AVAP (Aire de mise en valeur de l’Architecture et du Patrimoine), qui assure la valorisation du tissu urbain en préservant la forme de paysage associée. En résumé, depuis les ouvertures jusqu’aux toitures et clôtures, depuis l’isolation jusqu’aux couleurs des

huisseries et des serrureries, toutes les constructions ou extensions récentes font l’objet d’une commission spéciale, dans le respect de la tradition. C’est d’ailleurs cette rigueur de préservation des environnements urbains et maritimes qui a fait la différence lors de l’entrée au Club des plus belles baies du Monde. Lorsqu’on pense La Baule, on pense au charme de l’Hôtel Hermitage, au splendide du Majestic et à l’élégance du Royal, on pense au casino et aux restos les pieds (presque) dans l’eau, et même aux cabines et autres jolies tentes rayées blanc et bleu installées sur la plage… (qui font, elles aussi, évidemment partie intégrante du patrimoine baulois !)

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Le Jumping International de La Baule est le plus grand rendez-vous mon-dial de la station. Le mythique stade équestre François-André accueille chaque année au mois de mai, 4 jours d’épreuves (gratuites et en accès libre) inscrites au programme du Concours de Saut International Officiel (ou CSIO). Les meilleurs cavaliers et chevaux mondiaux de saut d’obstacle assurent le spectacle. Les plus ? Croiser les plus grands cham-pions de la discipline galopant sur la plage au petit matin et partager avec des personnalités passionnées, le spectacle et la pratique de ce sport ! Laissez-vous emporter par l’ambiance et l’enthou-siasme du public baulois !

Le Yacht Club de La Baule (allié du Yacht Club de France) sait mettre l’ambiance sur le sable et surtout, sur l’eau ! Depuis plus de 25 ans, des ré-gates de prestige d’envergure nationale et internationale animent la baie. Les réjouis-sances commencent dès le mois de mai par le National Open Derby Dragon. Le Dragon (comme son nom ne l’indique pas !) n’est pas forcément une créature crachant du feu ! Ici, il s’agit d’un type de voilier très technique et très complexe. Son ori-ginalité ? Une fois lancé, il ne faut jamais l’arrêter ! Le premier Derby Dragon Inter-national est né à La Baule en 2000. Limi-tée à 50 bateaux (versions modernes et an-ciennes de Dragons), la course accueille les meilleurs équipages mondiaux du Drago-nisme pendant 4 jours. Le retour au port rassemble toujours un grand nombre de passionnés. Mythique !

T out au long de l’année, La Baule propose une multitude d’évènements : sportifs ou culturels, légendaires ou créatifs, amateurs ou professionnels, il y en a pour tous les goûts !

Voici les rendez-vous annuels à ne manquer sous aucun prétexte ! A vos agendas !

Chapitre 4

La Baule culturelle et sportive

NOBLESSES SPORTIVES

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L’autre course incontournable qui défie la mer : Les Voiles de Légendes - Trophée Gavottes. Créé en 2002, cet évènement de la mi-août constitue l’une des étapes du Challenge Classique Manche Atlantique. Durant cette manifes-tation de 5 jours, deux enjeux : le premier, des parcours côtiers entre La Baule et Le Croisic avec 50 voiliers mythiques ; le second, un spectacle époustouflant rythmé par plus de 30 quillards de sport (d’autres sortes de voiliers). (« Oh ! Mon bateau oh oh oh ! Tu es le plus beau des bateaux… ») Légendaires !

Le Kite, vous connaissez ? De l’an-glais kite signifiant cerf-volant, le Kite (ou Kitesurf) est un sport de glisse qui consiste à glisser sur l’eau (ok…) grâce à une planche (ok…) trac-tée par un cerf-volant. (Euh… même pas peur !) Formidable aire de jeux pour sportifs en quête de sensations et d’épreuves hautes en couleurs, le boulevard de mer de La Baule accueille le Derby Kite depuis 2004 (et la SUP BAIE, son pendant en Stand up paddle, depuis 2012). La première édi-tion regroupant les deux disciplines sous l’appellation commune Derby Kite&Paddle–Le Trophée Coriolis a lieu en septembre. Champions locaux (Vincent Tiger, vice-champion du monde 2006) et internationaux ou ama-teurs, en famille ou entre amis, la compétition est ouverte à tous. Spectaculaire !

Également en septembre, le Triathlon Audencia-La Baule fait beaucoup parler de lui ! Organisé depuis plus de 25 ans par l’école de Manage-ment Audencia-Nantes, c’est le plus grand rassemblement sportif fran-çais organisé par des étudiants ! Ce Triathlon en chiffres, c’est : plus de 6 000 triathlètes, 15 nationalités représentées, 1157 équipes de Tri- Relais, 60 000 spectateurs et 9 courses sur 2 jours de compétition... Jeunes (Tri-Avenir) ou moins jeunes, sportifs du dimanche ou vraiment expéri-mentés (Course Elite Internationale), les épreuves sont ouvertes à tous en individuel ou en équipe. Envie d’un grand bol d’air frais et de soleil ? A vous de jouer nager, courir et pédaler !

Haut lieu d’émotions sportives, le bord de mer demeure The place to be !

Bord de mer

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Une programmation qui débute dès le mois de mars avec Les Moments Musicaux, créés en 1986 par René Martin, le directeur artistique des très attendues Folles Journées de Nantes. Un week-end entier est réservé au seul plaisir de la belle musique. Dans les salons du splendide Hôtel Hermi-tage Barrière se succèdent concerts, conférences et dîners avec les artistes ; des artistes français ou étrangers, spécialistes de l’opéra ou du clas-sique. Une seconde édition se tient en novembre. Mélomanes, tendez l’oreille et savourez l’excellence de la musique de chambre.

Parce que l’été est propice à la lecture, parce que la littérature est une source inépuisable d’échanges, juillet invite Les écrivains en bord de mer. Depuis bientôt 20 ans, cette rencontre littéraire entre écrivains et public est une formidable occasion d’écouter les artistes et de profiter de conférences autour d’un thème prédéfini. Pendant 5 jours à la Cha-pelle Sainte-Anne, auteurs confir-més et prometteurs partagent leurs mots et leurs voix avec des estivants curieux devenus habitués.

La saison se poursuit sur juillet/août avec La Baule Jazz Festival. Entre blues et soul, entre swing et groove, l’ambiance jazz résonne dans toute la station. Au programme, un joli voyage musical du Casino Barrière à l’Avenue Lajarrige en passant par la Place Leclerc, pour des concerts gratuits les jeudis soirs, vendredis soirs et samedis matins. Le concert de clôture est prévu, lui, au Parc des Dryades. Ça va swinguer, chéri(e) !

Toujours en août se tient une se-maine de la mode d’un autre genre : la haute-couture version voiture ! Qui dit La Baule, dit élégance et mondanités ; alors depuis plus de 85 ans, le Comité des Fêtes organise le Concours d’Élégance en Automobile, alliant art, mode et bolides. Mises en valeur par des belles en tenues de gala, une cin-quantaine d’automobiles d’exception venues des quatre coins de l’Europe jouent les mannequins, dévoilant leurs courbes chacune leur tour, lors d’un défilé unique. Et les enfants, derrière leurs mini-voitures à moteur, se prennent pour des as du volant !

RICHESSES CULTURELLES

Concours d’Élégance en Automobile

Les Moments Musicaux

Ecrivains en bord de mer

La Baule Jazz Festival

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En fin d’année, le mois de novembre présente le Festival du Cinéma et Musique de Film de La Baule, avec une présidence et un jury composés d’acteurs, de réalisateurs et de com-positeurs de renom. 3 jours durant, la programmation mêle projections de films, hommages, master class, courts métrages et animations dédiées aux musiques de films. La soirée de clôture du festival s’invite au palais des congrès Atlantia, cérémonie au cours de la-quelle le jury remet les Ibis (Ibis d’Or, du public, de la meilleure musique de film, etc.) aux lauréats de la compétition.

Décembre s’annonce avec ses tradi-tionnelles animations de fin d’année. Et pas besoin d’être (trop) sage pour en profiter ! Le Bois des Aulnes se transforme en village du Grand Nord et s’illumine de décorations féeriques tandis que la Chapelle Sainte-Anne accueille une très belle exposition thématique. Le Noël Magique de La Baule s’empare de la station pour le plus grand bonheur de tous.

Musique, littérature, cinéma, La Baule concentre le meil-leur de la culture. Pour les amoureux du théâtre, des one man shows, des concerts et autres ballets, le Palais des Congrès-Atlantia reçoit, tout au long de l’année, une sé-lection des plus belles têtes d’affiches qui font le buzz. La salle de spectacle, pur concentré de technologie et d’inno-vations, fait l’unanimité !

Deux autres lieux récemment rénovés méritent aussi le détour. Bien que situé sur la commune voisine du Pou-liguen, le musée Bernard-Boesch (anciennement Villa Les Tamarins) est un don de la famille à la Ville de La Baule-Es-coublac. Située dans un cadre prestigieux, elle a été entiè-rement rénovée en 2013 et abrite aujourd’hui d’une part, un musée-galerie qui présente quelque 800 tableaux du peintre (décédé en 2005), et d’autre part, un atelier indé-pendant qui accueille au maximum 3 artistes plasticiens par an. En résidence pendant 3 mois, leur travail est expo-sé à la fin de leur séjour. L’occasion rêvée pour les Baulois et habitants des alentours de s’ouvrir à la création artis-tique, cause chère à Bernard Boesch. Le second lieu, c’est la chapelle Sainte-Anne. Transformée en espace culturel, elle est un rendez-vous à elle seule ! Expositions, confé-rences, mais également salle de concert, elle abrite une partie des trésors baulois.

Dynamique et curieuse, la ville ne cesse de gâter ses habitants et de surprendre ses hôtes. De compéti-tions renommées en manifestations artistiques, de la noblesse du sport à la richesse de la culture, la station balnéaire est LA destination des émotions. On est bien là, non ?

le Festival du Cinéma

et Musique de Film

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La Baule, le vert

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A rbres centenaires et espaces de détente ponctués de décors évènementiels éphémères, pas besoin d’être expert en

botanique pour comprendre que La Baule attire aussi pour ses jolis coins de verdure. Un atout complémentaire de choix qui lui vaut d’être inscrite au Club (très select) des plus belles baies du monde.

Et la station balnéaire a de quoi être fière de son concept de Ville-Jardin, mis en place lors de sa construction au 19e siècle. Souvenez-vous, le sable et les dunes régnaient alors en maîtres (du monde !) et le petit village d’Escoublac était menacé d’ensablement. La solution pour éradiquer ce phénomène ? Fixer la dune en plantant des arbres sur 700 ha, du Pouliguen à Pornichet. A force de patience, de soin dans le choix des plants et d’habileté dans l’ordre des ensemencements, le pin maritime, l’aulne, le peuplier, le chêne vert et l’acacia parviennent à pousser (Yes !). Une véritable réussite même ! Cette immense forêt dunaire, associée à la sublime plage de 7 km, offre aux premiers habitants, la sensation de découvrir un site vraiment unique ! Depuis le 20e siècle où Louis Lajarrige imagine le quartier de La Baule-Les Pins, avec notamment le Parc des Dryades et le Bois d’Amour, ils n’ont de cesse de préserver leur cadre de vie, en associant développement urbain et protection de l’environnement. Pour faire simple, l’architecture est intimement liée à la nature, les constructions dépendent des plantations, et non l’inverse. Pour commencer, les arbres sont recensés régulièrement ; on compte 180 variétés et plus de 70 000 arbres. Selon les quartiers,

on distingue d’un côté les feuillus (chêne vert, chêne pédonculé, érable sycomore, aulne de Corse, tilleul argenté et frêne commun) et de l’autre, les résineux (pin maritime, pin parasol, pin laricio de Corse, pin insignis et pin sylvestre). Tous cohabitent ensemble en une parfaite harmonie… verte ! Et grâce à la créativité géniale des jardiniers de la commune, le fleurissement évènementiel imaginé chaque saison (comme ‘Le Japon’, ‘La diversité végétale’, ‘Au gré du vent’ ou ‘Un monde en couleur’) est un vrai spectacle, qui contribue à l’embellissement des espaces verts et donc de la ville en général. D’ailleurs après avoir été élue Ville fleurie-4 fleurs (niveau maximal) en 1993, elle s’est à nouveau distinguée, en 2008, avec le Trophée Fleur d’or, accordé qu’à un nombre limité de communes. Ces distinctions ne sont pas liées au hasard puisque la station prône (haut et fort) la protection et la valorisation de son patrimoine végétal, fleuri et paysager. Par des efforts quotidiens sur les rénovations et la propreté de la voirie, sur la diminution des déchets et la limitation de l’utilisation de l’eau (grâce au paillage), le Projet d’Aménagement du Développement Durable (PADD) est de plus en plus respecté. La réduction des pollutions chimiques est possible par la mise en place du plan ‘zéro phyto’, qui prône l’abandon de l’utilisation des pesticides et des produits phytosanitaires pour un jardinage 100 % naturel. Le vert serait-il le nouvel or noir ?

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A La Baule, professionnels et particuliers travaillent ensemble (main verte dans la main verte !). 60 % de la pinède étant présente sur des jardins privés, la municipalité prévoit, dans le cadre du nouveau Plan d’Occupation des Sols (P.O.S.), le remplacement des arbres abattus ou vieillissants. Deux fois par an depuis 25 ans, elle distribue aux habitants des plants de jeunes arbres. La première distribution a lieu au cours de la Semaine de l’arbre lors des vacances scolaires de Pâques, et la seconde, lors de la Journée Nationale de l’arbre, un samedi de novembre. Et les Baulois n’ont pas dit leur dernier mot ! Grâce au Concours des maisons fleuries et au Concours du prix de l’arbre, tout le monde s’efforce d’entretenir au mieux son jardin, sa terrasse ou son balcon, d’embellir son commerce ou sa copropriété, en appliquant les conseils avisés de la direction des espaces verts (état sanitaire des arbres, entretien, travaux d’élagage, etc.) Ce riche patrimoine des domaines publics et privés est également protégé

par des mesures règlementaires de protection des arbres, la Charte de l’arbre. Une autorisation administrative est d’ailleurs requise pour certaines coupes et abattages, lorsque la propriété concernée est comprise dans le périmètre de l’AVAP (Aire de mise en valeur de l’Architecture et du Patrimoine) ou dans des secteurs d’Espace Boisé Classé (bois, forêts et parcs). En récompense de toutes ces actions en faveur de l’arbre, pour la protection et la valorisation de son patrimoine naturel, la Ville a également reçu, en 2012, la Marianne d’Or du développement durable. Bref, si l’idée essentielle du concept pouvait (vite) se résumer par « arbre = oxygène », alors la commune pourrait se vanter d’être un poumon vert exceptionnel ! Promenades en forêt d’Escoublac, réputée pour ses pistes cavalières et ses parcours pédagogiques, flâneries aux Jardin Benoit et Jardin de la Victoire, visites du Parc des Dryades (avec son théâtre de verdure pouvant accueillir 1400 personnes dans les gradins), venez, res-pi-rez !!!

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Et si le charme était aussi dans l’assiette ? Se réunir autour de la table, en famille ou entre amis, et refaire le monde à la fin du repas, les bonheurs simples sont souvent les meilleurs. Un signe du fameux Carpe Diem ? Avec son goût averti pour la gastronomie, la station balnéaire possède tous les ingrédients pour réussir une alchimie relationnelle et gustative parfaite. Les dîners romantiques prennent place aux restaurants gastronomiques ou avec vue sur mer. Les fringales entre deux bains de mer préfèrent le salon de thé ou le glacier. Les amoureux des spécialités locales choisissent la crêperie ou le poisson du jour et les plus pressés se contentent d’un Bagel fait-maison ou d’un en-cas à la brasserie. A chacun ses goûts !

Tout commence souvent par les retrouvailles sur les marchés traditionnels de La Baule. Place du Marché (évidemment !), le marché central sous la grande halle rénovée est ouvert presque tous les

jours et concentre la plupart des richesses de la région : fruits, légumes, viandes, poissons, pains et spécialités… une qualité et une fraîcheur comme nulle part ailleurs ! Les marchés extérieurs de La Baule-Les Pins et du Guézy mettent de l’animation toute l’année dans les avenues Lajarrige et Saint-Georges. Les producteurs locaux sont en effet les premiers garants de ce patrimoine culinaire. La famille Burban, 3ème génération, cultive des framboises, des melons, des pommes de terre nouvelles et surtout, des fraises ! La production tend vers le 100 % naturel et chaque jour, les fruits rouges et sucrés sont cueillis délicatement à la main. Réputé pour ses produits à forte valeur gustative, le producteur fournit tout le monde : du particulier exigeant aux restaurateurs et pâtissiers de la ville, jusqu’aux palaces et grands hôtels de Paris et de Corse. Depuis peu de temps, un autre partenariat original s’est mis en place entre la forêt d’Escoublac et le Bois d’Amour. Un apiculteur a pu y installer douze ruches, donnant naissance au premier miel de la ville !

E n plus d’être un lieu naturel et culturel d’exception, La Baule invite au plaisir des sens. Envie d’une pause gourmande ou bien-être ? De jour

comme de nuit ? Avec ou sans enfants ? L’important, c’est de participer profiter ! (Répétez après moi : pro-fi-ter !!!)

Chapitre 6

La Baule, le plaisir

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Pour les autres plaisirs sucrés (et pas des moindres !), un trio se partage les préférences. Il y a d’abord Christophe Roussel. Son métier : pâtissier-chocolatier. Petits gâteaux, verrines, chocolats et macarons aux parfums insolites colorent ses boutiques et son laboratoire (la gourmandise est aussi une expérience !) Et sur son stand pâtisserie-minute du marché, les ‘artistes’ cuisinent devant les clients ! Le créateur de gourmandises est surtout Membre du très chic réseau Relais Desserts International depuis 2006 et est élu par le Gault&Millau parmi les 5 meilleurs chocolatiers (2012) et les 101 meilleurs pâtissiers de France (2013). Il est aussi le fournisseur officiel de la Grande Chasse aux œufs, organisée par l’Office de tourisme.

Pour continuer dans les délices du palais, le Vrai Fondant Baulois® est un must depuis 30 ans. Imaginez un grand cacao, des œufs frais, du beurre à la fleur de sel de Guérande, de la farine de froment et du sucre de canne parfaitement mélangés… Une texture fine et une saveur délicatement caramélisée (typiquement bretonne) qui fond littéralement dans la bouche… Avec de la crème anglaise, de la glace, des fruits frais, ou seul avec le café, il ne ressemble à aucun autre. Un péché assumé (parfois même revendiqué !) à déguster sans fin (et sans faim ;-). Pour finir, on ne peut pas venir à La Baule sans goûter aux niniches. Installée au croisement de l’Avenue du Général de Gaulle et du boulevard de mer, la confiserie Manuel est une institution et leur petite sucette référencée au patrimoine culinaire de France, un vrai souvenir d’enfance. Spéciales dédicaces pour la “caramanuel” et la niniche bauloise, arôme caramel au sel de Guérande. Bref, une jolie combinaison mariant plaisir des yeux et bonheur des papilles…

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Et entre deux coups de fourchette, les sportifs ont de l’énergie à revendre ! En escale à La Baule, l’envie de profiter du grand air, de reprendre le sport et une vie plus saine semble plus facile. Pourquoi ne pas tester un nouveau sport ou poursuivre sa pratique le temps d’un séjour ? Les sports nautiques sont bien sûr très présents : voile, kite, paddle, canoë, etc. La mer est un vrai terrain de jeu ! A quelques kilomètres de l’Atlantique, les golfeurs travaillent leur swing dans un cadre unique et sauvage ; le Golf International Barrière, qui s’étend sur plus de 220 hectares en lisière du Parc naturel régional de Brière, présente trois parcours de 9 à 18 trous. L’équitation est aussi une référence historique. Le Manège des Platanes, les Ecuries du Niro et le Centre Equestre de La Baule ne jurent que par le bien-être des chevaux, et les cavaliers de tous niveaux y apprécient les balades à cheval ou à poney, en forêt ou sur la plage, et ce dès l’âge de 4 ans ! Les amateurs de tennis, eux, se retrouvent sur terre battue ou sur green, en jeu collectif ou individuel. Le Sporting, le Garden et le Tennis Country Club Barrière comptent, au total, pas moins de 60 courts (dont des espaces couverts et des courts sur sable) sur lesquels règne la petite balle jaune. Pour les indécis (ou les curieux !), tout est possible ! Yoga ou gymnastique, volley ou handball, pétanque ou piscine prennent place dans les différents complexes sportifs et stades de la commune.

Après l’effort, le réconfort ! La Baule est, encore aujourd’hui, une destination synonyme de détente, très recherchée lorsqu’on veut prendre soin de soi.Une histoire d’eau et de bulles qui se conte en douceur. Entre remise en forme (massages, jets d’eau, bains d’algues) et relaxation, tout est prévu pour retrouver sa vitalité en toute discrétion. Au cœur de l’Hôtel Royal-Thalasso Barrière, le Centre de Thalassothérapie ré-ouvre ses portes après une remise en beauté (royale !). Les soins spécifiques et innovants se choisissent en cure ou à la carte selon différents programmes : bien-être, minceur, santé ou maman.

D’autres établissements hôteliers sont également prisés pour leur spa, parfait pour un moment de détente et de relaxation : le Best Western Hôtel Garden & Spa et l’hôtel Lutétia & spa. Pour quelques heures rien ne vaut les bienfaits d’une parenthèse iodée.Après le sport et le bien-être, l’autre façon de se vider la tête, c’est le shopping ! Pour décorer, pour s’habiller, pour se chausser, pour avoir l’heure ou offrir des fleurs, les commerces de La Baule rivalisent de chic et d’élégance. L’Avenue du Général-de-Gaulle concentre les boutiques de mode les plus en vue, les créateurs de bijoux et les spécialistes de la décoration et du design. Les vitrines se succèdent comme des tableaux d’artistes dans une galerie, exprimant leur personnalité et leur style dans des compositions uniques. Et toutes n’ont qu’un seul crédo : fidéliser une clientèle exigeante, en proposant des produits haut de gamme et tendance. Autour du casino, entre les Avenues Marie Louise, Pierre Loti et Pavie, le Passage du Royal porte bien son nom ! Dans la galerie marchande, les vitrines de mode et de design, plutôt discrètes, promettent une mine d’or de trésors ! Au cœur de La Baule-Les-Pins, L’Avenue Lajarrige est la deuxième artère commerciale de la ville. Encore une belle occasion de flâner et de s’autoriser quelques plaisirs...

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© Barrière La Baule

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Et les enfants dans tout ça ? Qu’ils soient plutôt sportifs ou plutôt manuels, le programme Les P’tits Baul’ides est réservé aux p’tits curieux qui n’ont que l’embarras du choix pour s’amuser ! Grâce à un partenariat avec les acteurs locaux, les vacances scolaires ne riment plus avec galère mais avec activités et sorties d’enfer !!! En complément, dès le mois d’avril, tout l’été et parfois même jusqu’aux vacances d’octobre, les Clubs de plage accueillent les enfants en toute sécurité dès l’âge de 3 ans (au baby club) et jusqu’à 12/13 ans. Pendant que les plus jeunes découvrent les sports de plage ou les

jeux de rôle, les grands inventent des stratégies pour remporter les concours organisés par les équipes d’animation et fêter la victoire entre copains. Certains proposent également des cours de natation en piscine d’eau de mer, couverte et chauffée (directement sur la plage !) et des cours de voile, de stand-up paddle ou de catamaran (au Club des Courlis exclusivement). D’autres prévoient même l’organisation des anniversaires ou la location d’un transat à l’abri du vent, pour garder l’œil (un seul !) sur les kids. Maintenant, il reste juste à savoir s’ils sont plutôt Pingouins, Léopards ou Dauphins…

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Quand le soleil rougit sur l’horizon, la vie nocturne de la station prend doucement ses aises… En terrasse ou en salle, les bars annoncent l’ambiance de la soirée. Place à l’imprévu ! Au restaurant gastronomique avec décor soigné ou les pieds carrément ensablés, la convivialité est assurée. Envie d’une séance ? Les 5 salles du cinéma le Gulf Stream proposent la majorité des films de la programmation nationale. Et si c’était plutôt un jour de chance ? Rendez-vous au Casino Barrière, où la tenue correcte plus qu’exigée, est une évidence ! La salle des machines à sous et le bar B’Lounge sont ouverts tous les jours. La salle des jeux de table propose la roulette anglaise, le black jack et la boule 2000 à partir de 21h. Faites vos jeux !

Les jeux sont faits ! Pour prolonger la nuit, les discothèques invitent les noctambules à partager une danse, un verre. Derrière le Casino, la spacieuse avenue Pavie est une adresse incontournable des nuits bauloises. Au n°10, le Théâtre est un club privé, pouvant accueillir jusqu’à 250 personnes ; sa programmation musicale éclectique réveille les motivés. Toujours sur le même trottoir, deux bars de nuit pas tout à fait comme les autres se côtoient. Au n°11bis, le Nova monte le son jusqu’à 4h du matin dans trois salles et trois ambiances et au n°12, le Bax est un repaire pour trentenaires où les soirées s’allongent sur un mix de house, disco et funk, du comptoir à la terrasse-patio. La vie, la nuit, La Baule aussi…

Décorer avec une tête de menthe fraiche et un quartier de citron vert sur le bord du verre.

Verser le gin, le jus de citron vert et le sirop de basilic dans un shaker.

Cocktail frais et épicé, légèrement poivré

et très rafraichissant.

Frapper pendant 10 secondes, verser dans un verre de type Old Fashioned (verre» à whisky») rempli de glace et garni de trois rondelles de concombre.

Compléter le verre avec le Tonic.

Recette du chef barman du Bar de l’hôtel Hermitage Barrière La Baule, Olivier Alliot. L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.

LA BAULE NOCTURNE

5 cl Gin Hendricks

(gin écossais à l’infusion

de concombre et aux

essences de roses de

Bulgarie)

3 cl Jus de citron vert

frais pressé

2 cl Sirop de basilic Monin

5 cl Tonic

(marque : Schweppes, ou

idéalement Fever Tree)

Ingredients

Le Gin Tonic revisité

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P arce que les vacances sont (toujours) trop loin, parce que la vie professionnelle prend (souvent) de plus en plus de place,

de nombreuses entreprises choisissent de se délocaliser le temps d’une session de travail d’un autre genre… Quoi de mieux que de sortir du bureau vers un lieu aéré (et même iodé !) pour échanger ses (bonnes) idées ? A seulement 1h de voiture de l’Aéroport International de Nantes Atlantique et 3h de TGV de Paris, La Baule se place comme une destination idéale pour accueillir une clientèle d’affaires, à la fois nationale, européenne et internationale.

Fort de plus de 25 ans d’expérience en organisation d’évènementsprofessionnels, le Palais des Congrès-Atlantia est une référence dans le paysage baulois et dans toute la presqu’île. Sa récente rénovation (en 2014) justifie encore plus son statut de vaisseau amiral (et admirable !). Son esthétique est élégante et sobre, moderne et lumineuse. Les volumes sont aériens (beaucoup d’ouvertures) et jouent un contraste assumé. Les murs blancs optiques et noirs profonds sont réhaussés de balcons design en métal découpé et de larges plaques de verre poli. À l’intérieur, c’est toujours la lumière du jour qui prime. L’accent est d’ailleurs mis sur la modularité des espaces à l’envie. Les salles s’articulent sur 2 niveaux et leurs surfaces varient de 30 à plus de 900m2. Le sublime auditorium prévoit 900 places assises devant un plateau de 300m2. Maîtrisant

un savoir-faire reconnu en termes d’innovations techniques et de multimédia. Au dernier étage, la verrière et les terrasses sont une prouesse architecturale, bousculant agréablement le visiteur et l’espace… En plus d’être une réussite magistrale et technique, le Centre de Congrès-Atlantia est le premier site national certifié par la Charte Qualité et Développement Durable France Congrès, et à obtenu en 2015 la norme ISO 20121 (certification éco-responsable).Congrès, séminaires, conventions d’entreprises, expositions et salons (Y a plus horrible comme lieu de réunion, non ?), Atlantia estaussi le chef d’orchestre d’une programmation culturelle de choix.

Destination propice aux évènements « tout sur place » et « tout à pied », La Baule préserve son esprit convivial et ‘sa taille humaine’. Grâce à de nombreux lieux privatisables (comme l’Hermitage par exemple), un parc hôtelier de charme offrant des hébergements de 2 à 5 étoiles dont 600 chambres accessibles à pied et des infrastructures uniques pour les loisirs (voile, thalasso, tennis, etc.), il n’ y a plus aucun doute, c’est LA terre d’accueil idéalepour allier travail et bien-être ! (et l’occasion parfaite pour prolongerson séjour ;-)

www.labaule-evenements.com

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L a Baule… On n’y vient jamais par hasard. On n’y revient pas non plus sans savoir. Pour s’installer à son tour dans

la maison familiale, pour recevoir et partager, pour grandir, se réunir et profiter aussi ! Profiter des plaisirs gourmands ou culturels. Profiter des parenthèses sportives ou bien-être. Profiter des merveilles architecturales du passé de la station. Depuis les grands hôtels du Royal, de l’Hermitage et du Majectic jusqu’aux nombreuses villas ornées de bois peints, rouge bordeaux, marine ou vert sapin. Comme un remerciement à la nature qui les entoure. D’ailleurs elles semblent toutes raconter une histoire, par leur style et par leur nom aussi (‘la dune’, ‘l’océan’…). Joli clin d’œil au paysage !

On y vient surtout pour changer d’air et faire des rencontres extraordinaires. (Et ce ne sont pas les mouettes et leur ballet incessant devant la mer qui vous diront le contraire !) On y vient avant tout pour le bord de mer… Incontournable été comme hiver et qui vous attire comme un aimant vers la beauté de l’immensité. Et ce ruban de sable qui semble infini et invite à la promenade, comme dans un rêve éveillé… Non, vous ne rêvez pas ! De génération en génération, La Baule a su parfaitement entretenir la tradition, avec un chic et une décontraction légendaires. Comme si les plus beaux souvenirs restaient à venir… à revenir… Soyez prêt(s) pour le voyage ! On vous attend !

Revenir à La Baule

Sac

voyagekitMon

Chapeau Lunettes

ServietteTrousse de Toilette

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RédactionAdeline Turbé-Mitard, une activité du groupe ITG

Création graphique - Mise en pageAgence DUO

ImpressionImprimerie CHIFFOLEAU

PhotographieVille de La Baule, Office de Tourisme, Pedro Loustau, Vincent Sarazin, Eyekey,

Groupe Lucien Barrière La Baule, Comité des Fêtes de La Baule, Palais des congrès Atlantia, Fondant Baulois, Christophe Roussel, Cap Atlantique, Club des Léopards

IllustrationPatrick Brette - Quentin Parlier - Nicolas Rocher

Willy Fresneau - Charlotte Touzé

Suivi de projetMarie Bibard – Office de Tourisme La Baule

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www.labaule.fr

www.facebook.com/labaule.tourisme@VilleLaBaule

OFFICE DE TOURISME DE LA BAULE

8, place de la Victoire 44500 La BauleContact : Ingrid Perrais

Tél. : 02 40 24 42 [email protected]

MAIRIE DE LA BAULE7, avenue Olivier Guichard 44500 La Baule

Contact : Charles-Amaury CadietTél. : 02 51 75 75 12

[email protected]

PALAIS DES CONGRES-ATLANTIA

119 Avenue Maréchal de Lattre de Tassigny 44500 La BauleContact : Corinne Denuet

Tél. : 02 40 11 51 [email protected]