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Des documentalistes sans centres de ressources ? Nouvelles compétences et perspectives
professionnelles.
Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
2Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Principales sources :- ADBS, enquête Métiers-salaires 2010- La fonction information dans les grandes entreprises françaises, Histen Riller juin 2010- SerdaLab, Les nouveaux horizons de l’Infodoc, Octobre 2009- Dossier « Métiers et compétences » de la revue DocSI, juin 2011
Les terrains d’observation :- Enquête terrain 2010 sur l’employabilité des professionnels (Help Management)- Les salariés en formation continue venant à l’ADBS (+ de 2000 / an)- Surveillance systématique des appels d’offres publics
Repères pour l’analyse : des études (I)
3Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Sur le plan académique
Création à l’ENS Lyon d’un master « Architecture de l’information »
Formation de tous les étudiants de niveau licence à la veille informationnelle (quelle que soit leur discipline).
Sur le plan de l’étude du secteur (initiatives récentes)
Observatoire du numérique
Serdalab.com, plateforme de veille sur le management de l’information
Observatoire sur la gouvernance de l’information
En matière de (re)positionnement des acteurs
Convergence autour de la valorisation des contenus numériques (Cigref, Aproged, etc.)
Repères pour l’analyse (II) : quelques éléments de contexte
4Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
De qui parle-t-on ? Qui sont les « professionnels » de l’information ?
Source DUI
5Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
I - L’information-documentation : combien de divisions ?
Un chiffrage incertain :
- 35 000 salariés en poste (INSEE / DARES 2002)
- 67 500 salariés en poste (bibliothécaires + archivistes + veilleurs + knowledge managers) / source Serda 2009
… peut-être entre 100 000 et 150 000 personnes directement concernées
Un taux de chômage (élevé) évalué entre 18 et 20 %
?
6Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
http://bmo.pole-emploi.org/?nav=metier&famille=&niveau=bassin
Un marché de niche :- 820 recrutements sur toute la France (20 à Grenoble par exemple) à rapprocher des 30 000 embauches d’informaticiens prévues en 2011
Communication (cadres et assistants)
76%
Documentation (cadres et
techniciens) 12%
Journalisme / Edition ;
12%
5072
820783
II - Prévisions d’embauche en 2011 dans les « métiers de l’information »
Source Pôle Emploi
7Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Un univers chaotique d’activités, de méthodes et d’outils … en expansion ?
8Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
La « gestion de l’information » : un concept vraiment opératoire, fédérateur et discriminant ?
…. ou un ensemble de sous-processus banalisés à l’œuvre dans la plupart des activités des organisations
SOURCING ACHAT
MAINTENANCE DE DOCUMENTATION FOURNISSEUR
ETUDE MARKETING
MESURE D’AUDIENCE IDENTIFICATION D’EXPERTS
ENQUÊTE DE SATIFACTION
AUDIT FONCTIONNEL
GESTION DES DONNEES CLIENTS
9Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Quelle approche privilégier en 2012 pour comprendre la/les fonction(s) information ?
• Métiero Avantage : facilite l’indentification Problème : les noms de métier ne correspondent pas (plus) à ce que les gens font
• Rôle / Fonction (spécialisée)o Avantage : ne préjuge pas de l’occupant du rôle Problème : le contenu varie selon les contextes
• Activitéo Avantage : proximité du terrain Problème : on ne sait pas délimiter les activités « informationnelles »
• Processuso Avantage : Indique la finalité d’une activité informationnelle Problème : il y a rarement un processus informationnel « pur » , il faut décrire plus large
Dans le ROME, à côté de la fiche K1601, une bonne quinzaine d’entrées concernées problème pour les recruteursDans les job-boards, des offres disséminées entre informatique, communication, etc. problème pour les salariés
10Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
… un exemple de modélisation « ouverte » …
11Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Quelle stratégie de compréhension et d’influence ?
Libérale et opportuniste : c’est le marché qui décide … mais c’est aussi un peu la jungle (dans les dénominations, les formations, les salaires, …)
Volontariste et structurante : on essaye d’organiser l’univers mais pour quels principaux bénéficiaires ?
- Entreprises compétitivité- Professionnels (mais quels professionnels ?) employabilité
Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE - 19 janvier 2012
L’enquête ADBS au cœur d’une tension entre nécessité d’ouverture et quête
identitaire
13Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Fondamentaux professionnels … et élargissement (choisi / subi) Le challenge de la tradition
• Ecoles, fllières• Modes de représentation de l’objet
« information »• Résistance au changement
Changer en préservant les fondamentaux
Rester spécifique en utilisant
les outils communs
La pression de l’ouverture• technologique• économique• sociétale
Répondre à des besoins nouveaux :- haute spécialisation technique
- usages numériques distribués
(problématique de gouvernance et de collaboration)
Processus Curation
14Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Objectifs de l’enquête 2010 Cette enquête a une double mission :
• Information des professionnels• Support de réflexion pour l'ADBS
Ses objectifs opérationnels sont de :
• Préciser les profils-métiers de l’information-documentation en 2010 avec un focus sur les jeunes dits "Y-Génération".
• Mesurer les évolutions en matière d’environnement technologiques, de pratiques managériales ou organisationnelles, d'accès à l’emploi, salaires, et de nouvelles pratiques comme le web 2.0, les réseaux sociaux.
• Identifier les phénomènes émergents par rapport aux résultats précédents.
• les fonctions à la frontière de l'information-documentation Explorer en termes de compétences, d'usages, de besoins en professionnalisation ou pas et de rapport avec la profession.
15Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Les constantes : forces et faiblesses
16Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Les répondants de l’enquête ADBS fédérés par le nom de « documentaliste » … qui ne leur convient pas vraiment…
36%15%
7%5%
3%3%
3%2%2%2%2%2%2%
1%1%1%1%1%1%1%1%
0%0%0%
7%
documentalisteresponsable / directeur
enseignant documentalistebibliothécaire
chargé de veilleconseil /ingénierie SID
aide documentalistearchiviste
documentaliste scientifiqueresponsable / directeur deassistant de bibliothèque
informaticien / chef de projetanalyste / chargé d'études
assistant administratifwebmaster, content manager
responsable veille / IEdocumentaliste audiovisuelchargé de communicationdocumentaliste techniquedocumentaliste juridique
knowledge managerrédacteur / journaliste
responsable qualitéanimateur de réseauNon réponse / Autres
Base = pros infos-doc, 1 566 répondants
17Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Profil des répondants : féminin (80%) , (trop ?) bien formé, travaillant encore majoritairement dans un « service de documentation »)
14%
14%
22%
26%
24%
15%
15%
22%
29%
18%
Niveau secondaire / Bac
Bac + 2
Bac + 3
Bac + 4
Bac +5 ou plus
Echantillon 2010
Echantillon 2005
Base = tous, 2820 répondants
16%
64%19%
1%
Dans un service identifié comme"service d'information "
Dans une autre entité
Pas de rattachement à un service /Sans objet
Non réponse
Base = pros info-doc, en situation de travail, 2 458 répondants
18Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
20%
14%
13%
11%42%
1 personne
2 personnes
3 personnes
De 4 à 6 personnes
7 personnes et plus
Base = pros info-doc, travaillent dans des entités identifiées "information", 1 464 répondants
Une très large majorité appartient à des entités "information" de petites tailles
Près de 60% des professionnels de l'information-documentation travaillent dans des petites entités de moins de 7 personnes (57%), et plus du tiers de "3 personnes ou moins" (37%).
La taille de l'entité varie cependant très fortement en fonction du statut de l'entreprise. Plus de 1 900 personnes en moyenne dans les établissements publics à 37 dans les entreprises privées.
Q113
19Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Dans quels types d’organismes travaillent les « professionnels de l’information » ?
50% des répondants travaillent dans le secteur public (dont 25% en établissement public et 10% en administration territoriale) et 41% dans le secteur privé.
30%
10%
1%
25%
10%
7%
4%
3%
1%
4%
5%
Entreprise privée
Association, fondation
Travailleur indépendant, …
Etablissement public
Administration territoriale
Administration d'état
Organisme parapublic ou …
Administration hospitalière
Organisation internationale
Autre statut
Non réponse
Base = tous, 2820 répondants
41% dans le secteur privé
50% dans le secteur public et parapublic
20Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Dans quels secteurs ?
20%
9%
6%
6%
5%
4%
4%
3%
3%
2%
3%
2%
2%
2%
2%
2%
25%
Education, Enseignement, Pédagogie
Collectivités territoriales
Médecine, Santé (hôpitaux)
Culture
Recherche
Pharmacies, Industries pharmaceutiques
Information, Communication, Médias, Pub
Droit, Justice, Normalisation
Emploi, Formation
Assurances, Assistance, Mutuelles, Protection …
Banque, Finance, Crédit
Agriculture, agro-alimentaire
Energie
Ingénierie, SSII
Transport, Espace, Télécom
Ecologie, Environnement, Développement durable
Autres
Base = tous
21Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Pas forcément présents dans les entreprises qui ont les meilleures perspectives d’embauche … ou de maintien du personnel
Des métiers plus représentés dans le secteur public et parapublic que dans le privé
• 53% des répondants travaillent dans le secteur public (dont 26% en établissement public et 11% en administration territoriale) et 43% dans le secteur privé.
• Parmi les autres statuts, les GPI, les avocats, les consultants, les fondations privées…etc.
Les PME représentent la moitié de l’échantillon
• Environ la moitié des répondants travaille dans des PME de moins de 250 salariés, dont 5% dans des TPE de moins de 10 répondants.
• Un peu plus de la moitié des PME sont des entreprises privées (52%).
• Le nombre de salariés moyen est de 1262 salariés.• Ces données sont très loin de la moyenne française qui
compte beaucoup plus de petites entreprises. Selon l’Insee, au 1er janvier 2008, 93% des entreprises sont des TPE, 6,5% des PME et seulement 0,5% des entreprises de plus de 250 salariés.
22Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Des activités qui restent « traditionnelles » : majoritairement la gestion de documents, la recherche et la veille ….
Parmi les activités pratiquées, près d'une moitié des répondants a cité la recherche d’informations ou l'alimentation d'une base de données documentaire ou d'un SIGB (47%) ou l'analyse documentaire et indexation (46%) , 40% le catalogage et identification des documents, 26% l'identification et validation des sources.
En moyenne, un salarié déclare exercer 6.2 activités, dénotant d’une certaine polyvalence du métier.
60%
51%
37%
28%
16%
Gestion et traitement documentaire
Recherche d'information et veille
Mise en oeuvre de produits et services
Management de l'information
Conception ou administration de modèles et de systèmes d'information
Base = tous, 2820 répondants
Q2
23Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
… mais le contenu même des activités évolue
Gestion des documents d’activités (RM, Doc Control)
Veille (analyse, aide à la décision) et plus seulement veille documentaire
Formation des utilisateurs
Management de dispositifs plutôt que de service
Des activités moins attachées nécessairement au centre de ressources
24Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Détail activité "Gestion et traitement documentaire" (60%)
80%
77%
67%
58%
27%
19%
18%
17%
16%
Alimentation d'une base de données documentaire ou d'unSIGB
Analyse documentaire et indexation
Catalogage et identification des documents
Bulletinage et gestion de collections
Gestion du courrier entrant/sortant
Contrôle de conformité des documents
Description et gestion d'un fonds d'archives
Numérisation de fonds
Description et gestion documentaire d'un fonds audiovisuel Base "Gestion et traitement documentaire" 1 668 répondants
Q4
25Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Détail activité "Mise en œuvre produits et services" (37%)
68%
62%
60%
60%
57%
46%
33%
29%
27%
22%
10%
Alimentation d'un site Web, intranet ou d'un portai
Formation des utilisateurs
Fourniture de documents
Accueil et orientation des publics
Réalisation de produits d'information (résumés, synthèses,dossiers…)
Réalisation de produits de communication (newsletters…)
Push/DSI (alertes, flux RSS, etc.)
Mise en forme de livrables d'information
Service de questions / réponses
Réalisation d'enquêtes
Référencement, mesure d'audience Base "Mise en œuvre produits et services" 1 051 répondants
Q6
26Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Détail activité "Recherche d'information et veille" (51%)
92%
52%
48%
18%
8%
Recherche d'informations et veille documentaire
Identification et validation des sources
Veille spécialisée (concurrentielle, technologique,réglementaire…)
Veille collaborative
Surveillance de l'e-réputationBase "Recherche d'information et veille"
1 435 répondants
27Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Les logiciels utilisés restent assez classiques :
logiciels bureautiques et documentaires en tête 80% des répondants utilisent des logiciels bureautiques, 65% des logiciels documentaires et
38% des outils de recherche et de surveillance "grand public".
24% des répondants utilisent des logiciels libres, principalement des professionnels travaillant dans le secteur public (30% vs 18% dans le privé)
80%
65%
38%
26%
26%
24%
17%
12%
9%
6%
6%
6%
5%
5%
Logiciel bureautique
Logiciel documentaire
Outils de recherche et de surveillance
Système de gestion de contenu Web (CMS)
SIGB
Système de GED ou d'archivage électronique
Plate-forme de veille
Système de publication électronique
Moteurs de recherche verticaux
Système de gestion de gestion de contenus …
Outils d'animation de réseaux
Solution d'analyse de trafic Web
Autre SGBD
CRM /ERPBase = tous, 2820 répondants
35% dans le secteur public vs 16% dans le privé
30% dans le secteur privé vs 18% dans le public
10% dans le secteur privé vs 3% dans le public
Q12
28Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Des activités essentiellement tournées vers l’interne
Près de la quasi-totalité des répondants actifs travaille pour un public interne : 96% dont 42% exclusivement interne.
Parmi les 6 répondants sur 10 qui travaillent avec des prestataires externes, 46% sont en contact avec des éditeurs de logiciels et 43% avec des agences.
6 personnes sur 10 produisent des livrables d'information type newsletter, dossier documentaire, lettre de veille.
54%42%
3%1%
Public interne ET externe
Public exclusivement interne
Public exclusivement externe
Aucun public
Base = tous, 2820 répondantsQ32-34
29Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
…
Près des deux-tiers des répondants, avec un public interne, s'adressent à tous les services de l'entreprises (64%). Sinon, les deux principaux bénéficiaires sont pour un gros quart, Direction générale (26%), R&D (27%) ainsi qu'étudiants / corps enseignants cités en autres.
Les publics externes sont pour une large majorité des fournisseurs : éditeurs de logiciels (58%), agences (54%). Parmi les autres publics externes sont cités les étudiants / corps enseignants / chercheurs, mais aussi des entreprises, collectivités ou institutions clientes.
64%
26%
27%
12%
11%
3%
21%
Tous publics internes
Direction générale
Chercheurs, fonctions R&D
Marketing, fonctionscommerciales
Direction Juridique
Direction logistique
Autres
Base "Citent un public interne" 2 151 répondants
PUBLICS INTERNES
58%
54%
29%
12%
11%
15%
Editeurs de logiciels
Agences (abonnements, achats…)
Fournisseurs de contenus
Consultants
SSII
Autres
Base "Citent un public externe" 1 282 répondants
PUBLICS EXTERNES
Q32 Q34
30Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Perspectives professionnelles un peu ambivalentes ...
Près de la moitié des professionnels de l'information-documentation répondants déclare ne pas avoir de perspective d'évolution interne (48%).
Parmi les évolutions vers d'autres fonctions citées (13%) : Communication, Formateurs / Enseignants et gestion de projet / management, webmaster.
48%
14%
13%
23%
2%
Pas de perspective d'évolution dans ma structure
Evolution hiérarchique
Evolution vers d'autres fonctions
Je n'envisage pas de projet d'évolution pour le moment
Non réponse
Base = Pro Info Doc, 2266 répondants
Q90
31Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
car seul un cinquième envisage de changer de métier 18% des répondants envisageraient de quitter les
métiers de l’Information-Documentation, 44% des individus non satisfaits par leur métier.
Diverses raisons sont exprimées en ouvert :
• Envie de changement, de découvrir un autre métier
• Envie de quitter un métier sur lequel pèse la crainte du chômage (licenciement, manque de budget, poste de moins en moins nombreux surtout en province)
• Manque de reconnaissance de l’activité et de perspectives de carrière
• Sentiment d’être « enfermé » dans sa profession, sans passerelle ou équivalence
• Salaire trop faible
• Un contenu du métier qui change et ne correspond plus aux attentes des professionnels.
• Départ en retraite
18%
73%9%
Oui Non Non réponse
Base = Pro Info-Doc, 2256 répondants
Q109
32Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
En termes d’identité, une profession qui se sent proche de la communication, de l’informatique et du web
Près d'une moitié des professionnels de l'information-documentation répondant se sent proche de la Communication (46%) devant l'Informatique (30%) et Web (29%).
Moins d'un cinquième ne s'assimile à aucune autre famille professionnelle que l'information-documentation (18%).
Parmi les autres familles les plus citées : l'enseignement, la recherche, le juridique
46%
30%
29%
12%
11%
6%
2%
13%
18%
Communication
Informatique
Web
Edition
Journalisme
Marketing
RH
Autre
AUCUNE FAMILLE
Base = pro info doc,2256 répondants
Q59
33Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Des évolutions de leur environnement…
plus ou moins souhaitées ou assumées par les professionnels
34Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
La généralisation des usages numériques NTIC ….. diversement accueillie
(23%) (23%)
L'arrivée des NTIC modernise le métier.
- La quantité croissante d'information en libre accès constitue un défi à relever.
- La multiplication des sources justifie la présence de professionnels pour traiter les données.
Les outils grand public = une concurrence
- Les outils d’accès à l’information destinés au grand public (Google,…) apparaissent comme une concurrence à moindre coût qui dévalorise les professionnels.
- Recherche et veille sont accessibles à tous.
Un plus de reconnaissance
- Des fonctions plus stratégiques. - La veille, l'organisation et la diffusion d'une
information pertinente est devenue une véritable valeur ajoutée différenciante.
Des métiers peu connus et reconnus
- Des problèmes d'employabilité en dehors du milieu
- Des marges de progression réduites- Une profession très touchée par la crise :
licenciement, offre d’emploi en baisse, restriction budgétaire…
Une plus grande expertise
- Une montée en gamme des formations initiales- Une maîtrise des nouveaux outils qui apporte une
meilleure visibilité aux professionnels.
Un métier de plus en plus technique et informatique
35Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
L’accès gratuit à l’information et l’accès numérique aux publications révolutionnent le métier La très large majorité pointe l'influence majeure sur leur activité professionnelle des
évolutions en matière d'accès et de gestion de l'information : la gratuité d'accès (76%), l'accès numérique (73%) et la dématérialisation des documents et processus pour 62%
"Le mouvement des logiciels libres" s'avère important pour près de 30%.
Seule une minorité (5-7%) se déclare à ce jour impactée par l'émergence du Saas et du "cloud computing".
76%
73%
62%
29%
15%
13%
11%
7%
5%
L'accès gratuit à l'information
L'accès numérique aux publications
La dématérialisation des documents et des processus
Le mouvement du logiciel libre
Le web sémantique
La diffusion des données personnelles sur le Web
La mise en place de systèmes de protection des œuvressur Internet
L'informatique mobile (IPhone, Android, ..)
Le Saas et le cloud computing Base = tous, 2 820 répondants
Réelle influence sur l'activité professionnelle
Q15
36Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Les usages sociotechniques qui influencent les professionnels de l’information
Plus des trois-quarts se déclarent avant tout influencés dans leur activité professionnelle par "la recherche avec des moteurs grands publics" (77%).
Près de 6 sur 10 citent également "la surveillance de sites Web (type flux RSS).
L'influence des réseaux sociaux impacte aujourd'hui environ un sixième des répondants (17%).
78%
55%
22%
17%
17%
6%
6%
5%
5%
4%
3%
La recherche grand public avec des moteurs type Google
La surveillance de sites web (type flux RSS)
L'auto-publication sur internet (blog, micro-blogging)
La présence sur les réseaux sociaux
La publication en Open access
L'accès mobile à l'information (smartphone)
L'indexation sociale
La géolocalisation de l'information
La consultation de livres sur liseuses (e-book)
La vidéo à la demande
Autre(s) Base = tous, 2 2820 répondantsQ13
37Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Une percée des outils online destinés au grand public 6 répondants sur 10 utilisent des logiciels grand public, en particulier Netvibes personnalisé)
et Google doc
Les départements marketing utilisent sensiblement plus ces media (1.6 réseaux vs 1.3 en moyenne), en particulier les réseaux sociaux et communautaires (Facebook, Viadeo, LinkedIn, Twitter, Youtube ou Dailymotion)
A noter que 20% des répondants n’utilisent jamais de réseau social, ni dans leur vie professionnelle, ni personnelle.
29%
19%
18%
18%
11%
11%
9%
5%
4%
6%
39%
Netvibes
Google Doc
Facebook, Viadeo, LinkedIn
Google Reader, Yahoo Pipes
Google Map
You Tube, Daily Motion
Flickr
Picasa
Autres
AUCUN
Base = tous, 2820 répondantsQ40
38Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Une automatisation croissante des activités Du fait des NTIC, une grande partie du métier s’automatise, en particulier la recherche
d'information et de la veille (86% d’automatisation).
14% des professionnels externalisent une partie de leur activité, notamment la gestion des abonnements (40%) et les revues de presse (22%).
10%
7%
7%
12%
6%
22%
7%
40%
71%
62%
67%
55%
48%
51%
86%
54%
19%
31%
26%
34%
45%
27%
7%
6%
Catalogage
Indexation libre " manuelle "
Indexation avec thésaurus
Résumé
Dossier documentaire
Revue/panorama de presse
Recherche d'information/veille
Gestion des abonnements
Externalisé Automatisé Supprimé
Base = tous, 2810 répondants
Q101-108
39Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
68%
38%
34%
29%
26%
18%
18%
Veille
Gestion des connaissances, KnowledgeManagement
Bibliothèque numérique
Dématérialisation
Mise en place d'un réseau socialprofessionnel
Certification, qualité
Records management
Base = Impliqués dans une démarche de gestion de l'information, 1 562 répondants
Non42%
Oui55%
Non réponse
3%
Base = tous, 2820 répondants
Plus d'une moitié impliquée dans une démarche de gestion de l'information ….
Une large moitié se déclare impliquée dans une démarche de gestion de l'information : 55% vs 45% "non ou ne sait pas".
Pour plus des deux-tiers sur des projets de veille, environ un tiers autour de la gestion des connaissances, bibliothèques numériques et dématérialisation vs moins d'un cinquième le Records management ou la certification qualité.
Q45
Q46-53
40Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
35%
32%
30%
29%
24%
14%
25%
Reconnaissance des fonctions info-documentaires
Langages de développement informatique
Positionnement dans des équipes pluridisciplinaires
Méthodes et outils de gestion de projet
Traduction et modélisation de l'expression de besoins
Des difficultés dans d'autres domaines
AUCUNE DIFFICULTE RENCONTREE
Base = Difficultés rencontrées, 612 répondants
Base = Pilotage Projet, 816 répondants
… mais plus du tiers rencontrent des difficultés de reconnaissance des fonctions info-documentaires
La reconnaissance des fonctions info-documentaires s'avère la première difficulté rencontrée dans le pilotage de projet (35%) et le positionnement (30%).
Parmi les autres difficultés : la gestion des fournisseurs, la définition d'une ligne stratégique claire, l'absence de moyens.
Q55
41Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Niveau d'implication dans les démarches de gestion de l'information
Dans plus de 40% des cas, les professionnels répondants pilotent les projets de veille, bibliothèque numérique et Records management, lorsqu'ils y sont impliqués.
Et participent pour plus de 60% aux autres projets auxquels ils sont associés.
40%
32%
27%
29%
25%
18%
43%
43%
40%
34%
34%
34%
20%
51%
52%
57%
61%
66%
31%
61%
74%
Veille
Bibliothèque numérique
Records management
Dématérialisation
Gestion des connaissances, Knowledge Management
Mise en place d'un réseau social professionnel
Certification, qualité
Initie Pilote Participe
Base = Impliqués dans la démarche de gestion de l'information citée
Questions multiples - Total supérieur à 100%
Q46-53
42Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Les évolutions structurelles
43Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Des entreprises qui subissent des changements Une moitié a été exposée à un événement dans son entreprise (plus dans le secteur privé).
Ces événements ont un impact au niveau de l'activité, en particulier :
• les fusions/acquisitions : 57% doivent réorganiser leur service, 33% supprimer des postes)
• les changements complets des SI : 55% subissent une réorganisation de services, 52% un changement de leur activité.
7 répondants sur 10 qui ont été affectés à un autre poste n’ont bénéficié d’aucun accompagnement.
13%
22%
16%
8%
46%
Fusion/acquisition
Déménagement
Changement complet du système d'information
Autre
NON AUCUN
Base = pro info-doc, 2256 répondantsQ95
44Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Une profession de plus en plus intégrée dans des entités par fonction
2 professionnels sur 10 travaillent dans une autre entité que le service d’information, pour la plupart au sein de la direction générale ou la communication.
Vous travaillez… Laquelle :
60%
20%8%
12%
Dans un service identifié comme " service d'information "Dans une autre entité (juridique, marketing, R&D,…)Pas de rattachement à un serviceSans objet
Base = tous, 2 820 répondants
26%22%
15%8%
7%5%
4%3%3%
2%2%
1%1%
Autre direction
Direction générale
Sans objet
Communication
Recherche et développement
Secrétariat général,
Informatique
Juridique
Logistique et services généraux
Marketing, services commerciaux
RH
Bureau d'études et méthodes
Achats
Base = tous, 2 820 répondantsQ25 Q27
45Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
… mais des stratégies en gestion de l'informationsouvent absentes ou méconnues
Plus de 6 professionnels sur 10 ne savent pas ou pensent qu’il n’y a pas de stratégie de gestion de l’information dans leur organisme.
Quand il y en a une, elle n’est confiée que pour moins d’un tiers à une direction de l’information identifiée (29%).
Existe-t-il une stratégie de gestion de l'information à l'échelle de votre organisme ? A qui est-elle confiée ?
37%
46%17%
Oui Non Je ne sais pas
Base = tous, 2 820 répondants
29%
22%
5%
4%
2%
35%
Direction de l'information
DSI
Direction de la stratégie
Direction Marketing, commerciale
Direction du développement
Autre
Base = identifie une stratégie de gestion de l'information, 1 034 répondantsQ29 Q30
46Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Y Génération …
47Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Focus Y-Génération : vision de la profession Une vision plus moderne et plus optimiste de la profession
• Si les plus âgés attribuent principalement les évolutions de la profession à l’accès numérique aux informations et à sa gratuité, la Y-Génération identifie des problématiques plus actuelles comme catalyseur de changement :
o Elle est davantage sensibilisée aux enjeux de la diffusion des données personnelles sur le web : 15% estiment qu’elle a une influence sur leur activité VS 12% de l’ensemble.
o Elle identifie davantage le mouvement du logiciel libre comme un changement majeur: 1/3 VS 28% pour les plus de 30 ans.
• La Y-Génération est significativement plus optimiste sur l’avenir de l’infodoc : 32% pensent que la situation des métiers de l’infodoc s’améliore depuis les 5 dernières années VS 20% des plus âgés.
Une moindre adhésion aux associations professionnelles
o Les jeunes (moins de 30 ans) adhèrent significativement moins aux associations : 50% VS
64% de l’ensemble.
48Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Focus Y-Génération : identité Une activité ressentie comme davantage proche de l’informatique
et du web
• En termes d’identité, les moins de 30 ans se sentent davantage proches :o de l’informatique : 43% VS 28% des plus âgéso du web : 36% VS 27% de l’ensemble.
• Ils valorisent fortement leur connaissance des nouvelles technologies dans l’obtention de leur emploi en I-D : 53% estiment qu’ils ont obtenus leur emploi grâce à leurs compétences sur les technologies de l’information VS 32% des plus de 30 ans.
Une identification moindre à l’information-documentation en lien avec un éloignement de services identifiés comme tels.
• Les plus jeunes sont moins rattachés à une entité "information" : 49% VS 60% de l’ensemble.
• Et plus nombreux à n’être rattachés à aucun service particulier : 14% VS 8% de l’ensemble.
49Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Focus Y-Génération : niveau d’études
Un niveau d’études plus élevé et davantage de spécialisation :
• La quasi-totalité des moins de 30 ans répondants a suivi une formation initiale en information-documentation : 89%VS 76% des plus de 30 ans.
• Avec un cursus plus long : 82% ont au moins un Bac +3 VS 63% des plus de 30 ans.
• Près des deux-tiers sont de formation universitaire : 64% VS 53% des plus de 30 ans, et 11% via l’EBD VS 5% des plus de 30 ans.
50Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Focus Y-Génération : attentes
Un besoin d’ouverture et de diversité
• Les moins de 30 ans s’avèrent plus exigeants sur deux points :
o les relations avec les utilisateurs, les clients : 17% de non satisfaits VS 10% des plus de 30 ans.
o la diversité des activités : 21% de non satisfaits VS 12% des plus de 30 ans. La monotonie des tâches est en effet un des aspects qui leur déplait le plus dans leur profession : 26% VS 15% des plus de 30 ans.
Des attentes de formation en management
• Moins intéressés par des formations continues en nouvelles technologies :59% VS 69% des plus de 30 ans
• Mais attendent davantage de formation en management : 39% VS 25%.
51Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Focus Y-Génération : technologies
Une évolution des outils
• Des logiciels traditionnels délaissés au profit de solutions plus complètes
o Les moins de 30 ans utilisent significativement moins les logiciels documentaires : 55% VS 73% des plus de 50 ans et 65% de l’ensemble et les systèmes de publication électronique : 8% VS 16% des plus de 40 ans.
o Au profit d’outils comme les SIGB : 29% VS 22% des plus de 50 ans
• Près des deux-tiers font partie d’un réseau social au moins :
63% VS 48% de l’ensemble.
Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – 19 janvier 2012
Compétenceset formation continue
53Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Taux de formation continue
Formation au cours des 5 dernières années
62%
37%
1%
Oui Non Non réponse
Base = tous, 2820 répondantsQ128
40%
33%
31%
18%
14%
14%
14%
13%
13%
10%
7%
3%
18%
Technologies et outils
Recherche et veille
Fonctions et techniques documentaires
Mgt de l'information, gestion de projet…
Droit de l'information
Efficacité et développement personnels
Langues
Gestion des documents
Gestion de contenu et de collaboration
Environnement bureautique
Marketing, communication
Normalisation
Autres
Base = Ont réalisé une formation, 1 743 répondantsQ129
Autres : Formation de formateurs, Information, Gestion d'équipe / Management, Pédagogie…
54Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Une attente forte de formation sur les nouvelles technologies
L’attente de formation se porte sur le domaine technologique, domaine sur lequel les professionnels de l’information se considèrent comme « experts ».
7 répondants sur 10 ont la sensation d’être confrontés à une barrière d’accès à la formation :
• Le frein majeur, cité par 4 répondants sur 10, est l'arbitrage budgétaire : 42%.
• 2 salariés de PME sur 10 considèrent la taille de la structure comme un frein: 21%.
• 2 employés du secteur public sur 10 ressent une inadéquation entre l’offre de formation et les besoins : 19%.
64%
27%
24%
8%
8%
Nouvelles technologies
Management
Droit de l'information
Normalisation
Autres
Base = tous, 2820 répondants
Quelles compétences souhaiteriez-vous acquérir ou approfondir ?
Q133
55Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Près des trois-quarts témoignent de freins d'accès à la formation continue
La très grande majorité des freins à la formation continue est liée à un manque de moyens des structures :
• Le manque de budget• Le manque de temps, de disponibilité• Le manque de personnel,
de possibilité de s'absenter
La trop grande centralisation des formations en Ile-de-France amplifie pour certains ce manque.
Pour les personnes en CDD ou en recherche d'emploi, la précarité du statut supprime le droit à la formation. Les mécanismes de financement, s'ils existent, s'avèrent méconnus ou incompris.
En mineur, le manque de reconnaissance et de compréhension des métiers de l'information-documentation entrave également pour une part l'accès à la formation continue.
42%
16%
12%
10%
6%
28%AUCUN FREIN
Les arbitrages budgétaires
L'inadéquation entre l'offre etles besoins
La taille de votre structure
Autre(s)
Non réponseBase = tous,
2820 répondants
En ouvert :
Q135
Q136
Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE - 19 janvier 2012
Bilan / Perspectives
57Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Une distribution des rôles moins évidente autour de la fonction « information » processus intégrés
Production des contenus
Conservation
Structuration de l’information
Recherche Surveillance
ContrôleExploitation
AnalyseEtude
Mise en place et maintenance d‘un dispositif
technique
DiffusionCommunication
Intelligence
d’entreprise
AnimationInfluence
58Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
De très nombreuses nouvelles activités / compétences apparues au cours de ces 5 dernières années Gouvernance
Réseaux sociaux
Ontologie
Cartographie de l’information
Web de de données
Information temps réel
Communauté de pratique
Personnal knowledge management
Open access
E-book
Rich media
E-réputation
Applications mobiles
+ de 60 thèmes de formationnouveaux dans le catalogue
de formation ADBS
59Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
La culture numérique induit des attentes et des besoins difficiles à adresser dans une offre (de profils, de formation) unique et homogène
FONCTION SUPPPORT vs COORDINATION / GOUVERNANCE
SPECIALISATION TECHNIQUE vs POLYVALENCE
PROFIL BACK OFFICE vs COMMUNICANT
ACTIVITE INTEGREE vs EXPERTISE SPECIFIQUE
Doubles contraintes source d’inquiétude
60Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Des itinéraires modulaires … à sécuriser
61Journée d’études FULBI – Loïc LEBIGRE – Janvier 2012
Et si on faisait sans … Perspectives d’évolution
60%
51%
37%
28%
16%
Gestion et traitement documentaire
Recherche d'information et veille
Mise en oeuvre de produits et services
Management de l'information
Conception ou administration de modèles et de systèmes d'information
Base = tous, 2820 répondants
Evolutions des rôles-clés la fonction information- Dissémination des usages, banalisation et convergence des technologies, pratiques collaboratives
- Surabondance des données accessibles, raccourcissement des cycles (R&D, production, valorisation etc.)
- Innovation technologique permanente, diversité des solutions mobilisables, interopérabilité
Coordination
Editorialisation (curation) Analyse, expertise métier
Maîtrise d’usageGouvernance du SI