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Loi antiblanchiment IEC-IPCF : le questionnaire de A à Z IRE : le contrôle des réviseurs Roger Lassaux Thierry Dupont

FFF Antiblanchiment

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  • Loi antiblanchimentIEC-IPCF : le questionnaire de A ZIRE : le contrle des rviseurs

    Roger Lassaux Thierry Dupont

  • INTRODUCTION

    LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT

    VOLET RPRESSIF VOLET PRVENTIF

    Art. 505 Code pnal Loi du 11 janvier 1993

  • LOI ANTIBLANCHIMENT

    Groupe daction financire/Forum for Fiscal Transparency (Mondial) Directives (EU) Loi (BE) Rglement ayant la valeur dune norme (instituts) Notice explicative/circulaire

  • CONTRLE APPLICATION LAB

    GAFI / FORUM FOR FISCAL TRANSPARENCY CTIF INSTITUTS PROFESSIONNELS

  • Prvention KNOW YOUR CUSTOMER QUI EST MON CLIENT ? QUID DE LA CONCORDANCE ?

    Identification Vrification QUELLES SONT SES ACTIVITS ?

    ANALYSE FONDE SUR LES RISQUES

  • Risk based approach FIL ROUGE DE LA RGLEMENTATION ANTIBLANCHIMENT Rpartition des clients sur une chelle de risque Critres ? Pays PrestationsClient

    Quand ? Entre en relationDans certaines circonstances Actualisation

  • Risk based approach Risque li au client : e.a.Manque de clart quant au propritaire effectif Structure lgale du client modifie de multiples reprises Structure client inutilement complexe Nombre de membres du personnel ou structure sans rapport avec la taille ou la nature de lentreprise Secteurs

    Risque li au pays : clients situs ou pays dorigine ou de destination des services situ dans un pays ou territoires non coopratifs (liste : www.ctif-cfi.be)

    Risques lis la prestation de services Transactions peu ou pas en rapport avec les activits commerciales connues dun clientcart inexplicable entre les moyens financiers et les flux de biens

  • Risk based approach

    SUIVI DES OPRATIONS reprendre dans les procdures internes Dtection des oprations atypiques : rapport interne critJustification conomiqueLgitimit apparente

    APRS UNE DCLARATION LA CTIF : maintien dune vigilance accrue

  • Risk based approach

    ORGANISATION ADQUATE DU CABINET EN FONCTION DE LA LAB

    Mise en place de procdures de vigilance Nouveau client = acceptation Au cours de la relation daffaires : suivi

  • Missions de lInstitut : articles 38-39 LAB

    Art. 38 : tablir un rglementIdentification-vrification : clients, mandataires- bnficiaires effectifs Vigilance constante Organisation interne : responsable de lapplication de la loi/formation du personnel Rdaction commune par les trois instituts

    Art. 39 : contrle par les instituts du respect de la LAB et du rglement

  • Table des matires Rglement/NormeDfinition + champ dapplication Principes gnrauxIdentification vrification : client, mandataire(s) et bnficiaire(s) effectif(s) du client Recours un tiers introducteur Conservation des documentsPolitique dacceptation des clients vigilance Responsable application de la loi PersonnelO ? : www.ipcf.be/www.iec-iab.be

  • Table des matires

  • Dun coup dilDOCUMENTS DE RFRENCELoi du 11 janvier 1993Rglement/normeOUTILS Notice explicative/circulaire Formulaires et schmasManuel de procdures Arbres de dcision Websites instituts

  • Arbres de dcision ?

    tablissementd'une relation d'affaires avec un nouveau client personne physique

    tablissement dune relation daffaires avec un client direct qui est une entit

    Bnficiaire effectif

  • Formulaires didentification ?

    All in one Personne morale structure juridique client Personne morale structure juridique mandataire Personne physique client Personne physique mandataire Bnficiaire(s) effectif(s)

  • Schmas didentification ?

    Personne physique, client/mandataire Personne morale/structure juridique Objet et nature de la relation d'affaires Bnficiaire(s) effectif(s)

  • QUI EST VIS ?

    Rviseur dentreprises IRE

    Experts-comptables externes et conseils fiscaux externes IEC (pas les internes)

    Comptables (fiscalistes) agres IPCF Les stagiaires ne sont pas mentionns dans la LAB !

  • CONTRLE ET SURVEILLANCE PAR LES INSTITUTS

    INSTITUTS : mission lgale de contrle

    COMMENT ? IPCF- IEC Rponses au questionnaire Obligation de rpondre (Extranet-website) dfaut de rponse = rappel/contrle sur place

    QUAND ? compter du 01/01/2013

  • NON-RESPECT DE LA LAB : quelles sanctions ?

    Amendes administratives (de 250 1 250 000 ) audition/au profit de ltat (pas pour lInstitut)

    Sanctions disciplinaires

    Publications des sanctions par lInstitut

    Communication des sanctions la CTIF

  • I.1. Une politique dacceptation des clients est-elle en vigueur au sein de votre cabinet dans le cadre du dispositif prventif antiblanchiment ? lment cl : votre cabinet dispose-t-il dune politique dacceptation et de suivi des clients ? COMMENT ? : sous la forme de procdures internes relatives : Identification et vrification PPE trangres Conservation des documents via rfrencesAnalyse fonde sur les risques Oprations atypiques

  • II. Identification et vrification des clients, mandataires et bnficiaires effectifs des clientsCE QUI IMPLIQUE SYSTMATIQUEMENT UNE DEMANDE DES DONNES DIDENTIFICATION CLIENT: PP/PMMANDATAIRE : PP/NP : personnes qui agissent au nom/pour compte du client UBO : toujours une personne physique Contrle le client (Code des socits) ou

    Possde ou contrle, directement ou indirectement plus de 25% des actions ou des droits de vote dune socit

    Personne pour le compte et au bnfice de laquelle un client, agissant en son nom propre, ralise une opration ou noue une relation daffaires

  • II. Identification et vrification des clients, de leur(s) mandataire(s) et bnficiaire(s) effectif(s) IDENTIFICATION Obligation de rsultat = toujours obligatoire Dfaut didentification = interdiction de nouer la relation daffaires

    VRIFICATION Client/mandataire = obligation de rsultat Dfaut de vrification = interdiction de nouer la relation daffairesBnficiaire effectif = obligation de moyens/vrification en fonction de la sensibilit au risque

  • II. Identification et vrification des clients, de leur(s) mandataire(s) et bnficiaire(s) effectif(s) CLIENT & MANDATAIRES PP : nom, prnom, date et lieu de naissance (adresse, dans la mesure du possible)PM : dnomination, sige, administrateurs, pouvoirs de reprsentation PP & PM : nature prvue de la relation daffaires PP Face to face : E-id /passeport distance : E-id /certificat classe 3Autres pices justificatives : si pas de risque

    PM Statuts : coordination Publication nomination M.B./BNB

    Par qui ? Professionnel ou tiers introducteur d'affaires

  • II. Identification et vrification des clients, de leur(s) mandataires et bnficiaire(s) effectif(s) BNFICIAIRES EFFECTIFS

    QUOI ?Obligatoire : nom et prnom Dans la mesure du possible : lieu et date de naissance, adresse Par qui ? : information fournie par le client ! Dclaration bnficiaire effectifClient SA : art. 515bis C. soc : obligation de communication > 25 % actions

    Rle du professionnel : vrification de la vraisemblance de ces informations (par exemple, Companyweb/comptes annuels)

  • II. Identification et vrification des clients, de leur(s) mandataires et bnficiaire(s) effectif(s) QUAND ?

    Toujours avant de nouer la relation daffaires : Contrat : oral ou crit (lettre de mission) En excution duquel plusieurs prestations ou oprations successives sont ralises pendant une priode dtermine ou indtermine ou qui cre des obligations continues Toujours dans le cadre doprations occasionnelles dont il est probable que le montant atteint ou excde 10 000 dans sa globalitToujours en cas de soupon de blanchiment Toujours en cas de doute sur la justesse des donnes didentification communiques Actualisation en fonction du risque

  • II. Identification et vrification des clients, de leur(s) mandataires et bnficiaire(s) effectif(s)

    Exception : les relations daffaires peuvent parfois tre noues sans que lensemble des devoirs de vigilance soient accomplis :

    Option doit tre prvue dans les procdures internes Dbut ncessaire des relations & DE PLUS Client prsentant un faible risque de blanchimentVrification aussi rapide que possible Vigilance accrue

  • Vigilance simplifie Exonration des obligations didentification et de vrification si le client ou le bnficiaire effectif est : Etablissement de crdit ou financier tabli en Belgique ou dans un des pays de lEEE (Norvge, Liechtenstein ou Islande)Socits cotes dont les valeurs sont admises sur un march rglement de lEEE (Norvge, Liechtenstein ou Islande)Bnficiaire(s) effectif(s) de comptes groups tenus par un notaire ou des membres dune autre profession juridique indpendante Autorits publiques belges : fdrale, rgionale mais galement la poste, Belgacom, les instituts professionnels

    Constat quil est satisfait aux conditions : pas de vrification !

    Pas applicable si les circonstances engendrent des soupons de blanchiment : application des rgles ordinaires !

  • Vigilance renforce Mesures complmentaires imposes par le lgislateur

    Identification distance : vrification des donnes didentification par une procdure face to face ultrieure

    Personnes politiquement exposes (PEP) : Personnes (+ membres directs de la famille) tablis ltrangerFonctions publiques importantes : ministres, parlementaires, membres de cours, ambassadeursOrigine des fonds utiliss dans la relation daffaires : surveillance renforce continue

  • III.1. Au cours des deux annes prcdentes, votre cabinet a-t-il eu recours au systme du tiers introducteur daffaires ?

    Principes gnraux : identification/vrification par le professionnel Drogation : introduction du client par un tiers Qui ? Banque Notaire avocatProfessions conomiques La responsabilit finale appartient toujours au professionnel : le cas chant, effectuer les vrifications

  • IV. Identification des personnes politiquement exposes

    Au cours de lanne coule, votre cabinet a-t-il compt parmi ses clients une personne politiquement expose ?

  • V.1. Les donnes et documents didentification viss la question II ont-ils t conservs durant au moins cinq ans aprs le terme de la relation daffaires ?Copie papier/digitaleIdentification-vrificationOprations atypiques Rapports internes art. 14 LAB OU Sur la base des rfrences = conserver les rfrences au lieu dune copiePices justificatives accessibles immdiatement et inaltrables (exemple : numro dentreprise/e-id/N.N.)Prvus par les procdures internes AU MOINS 5 ANS COMPTER DU TERME DE LA RELATION DAFFAIRES

  • VI. Responsable de lapplication de la loi Dsignation : quand ? Obligatoire : rgle des 10 professionnels au moins Dans toutes les autres situations : optionnel

    Rgle des 10 professionnels Qui ? rviseur dentreprises expert-comptable externe et/ou conseil fiscal externe comptable(-fiscaliste) agr

    Quoi ? Exercent une activit Et/ou dtiennent une participation Et/ou sont membres de lorgane de gestion

  • VI. Responsable de lapplication de la loi Qui ?Obligatoirement un professionnel soumis aux dispositions de la LAB

    Tches

    Procdures internes (vigilance, politique dacceptation et de suivi des clients, analyse de risque)Formation du personnel Communication avec la CTIF/InstitutsRapports et proposition la direction du cabinet tablissements de rapports (rapports internes, rapports annuels...)

  • VII. Formation et sensiblisation SLECTION ET FORMATION DU PERSONNELSlection : fiabilit

    Formation et sensibilisation bases sur : Acqurir les connaissances requises et dvelopper lesprit critique ncessaire pour dtecter les oprations ou les faits atypiquesAcqurir la connaissance des procdures qui est ncessaire pour ragir adquatement face de telles oprations ou faits

    Pour qui ? ProfessionnelResponsable de lapplication de la loi

  • LE CONTRLE DES RVISEURSPrincipes :

    Via le contrle de qualit priodique :Tous les trois ans pour les cabinets qui auditent des PIEsTous les 6 ans pour les autres cabinets

    Contrle organis en 2 phases :Contrle de lorganisation du cabinetContrle de dossiers daudit : un mandat de commissaire et une mission lgaleLes questions relatives au respect de la LAB sont abordes dans chacune des phases

  • LE CONTRLE DES RVISEURSDroulement :

    InspecteursRviseursExternesRapportCommission Contrle de qualitConseilCRMECommission de DisciplineCommission dAppelCour de cassationRviseur contrlCollaborationAudition EventuelleProcdure crite si renvoi disciplinaireAuditionAuditionAuditionProposition de dcisionProposition de dcisionSi renvoi disciplinaireSi appel de la dcisionSi pourvoiSatisfaisantRecommandationsContrle rapprochRenvoi disciplinaireInjonctionRappel lordreMesure dordre provisoireAvertissementRprimandeInterdiction de missionSuspensionRadiation

  • LE CONTRLE DES RVISEURS

    Suites du contrle la conclusion du contrle peut tre :

    satisfaisantesatisfaisante avec des points dattention recommandation avec suivi contrle rapproch renvoi disciplinaire (pouvant conduire aux amendes administratives prvues par la loi LAB)Autres mesures : injonction, rappel lordre, mesure dordre provisoire

  • LE CONTRLE DES RVISEURSVrifications effectues organisation du cabinet :

    43Des procdures ont-elles t dfinies en vue de se conformer aux dispositions relatives l'identification du client, de ses mandataires et de ses bnficiaires effectifs conformment la loi du 11 janvier 1993 et ce avant l'acceptation ou la poursuite de la mission ? 44Ressort-il de votre examen qu'il existe des procdures d'acceptation des clients qui tiennent compte des risques potentiels de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme ?45Ces procdures ont-elles t formalises et communiques tous les membres du personnel ?46Des mesures adquates ont-elles t prises pour sensibiliser les employs et les reprsentants aux dispositions de la loi prcite ? 47A-t-il t dsign au sein du cabinet de rvision un responsable pour veiller l'application de la loi prcite ?48Ressort-il de votre examen que cette personne exerce effectivement cette fonction ?49Ressort-il de votre examen qu'un rapport annuel d'activits a t rdig ?50Ressort-il de votre examen qu'il existe galement des procdures de contrle interne permettant de contrler la conformit des dossiers clients aux procdures tablies par le cabinet de rvision ?51Ressort-il de votre examen qu'il existe des procdures de communication et de centralisation des informations afin de prvenir, de dtecter et d'empcher la ralisation d'oprations lies au blanchiment de capitaux ou au financement du terrorisme ?52Ressort-il de votre examen que les membres du personnel ont particip des programmes spciaux de formation dans le but de pouvoir reconnatre les oprations et faits susceptibles d'tre lis au blanchiment de capitaux et au financement du terrorisme et de connatre les procdures suivre en la matire ?53Ressort-il de votre examen qu'il existe des procdures pour vrifier, lors du recrutement ou de l'affectation d'employs ou lors de la dsignation de leurs reprsentants, que ces personnes disposent d'une honorabilit adquate en fonction des risques lis aux tches et fonctions exercer ?54Ressort-il du dossier que la procdure en vue de la conservation des donnes relatives l'identification, l'acceptation et aux transactions atypiques a t respecte ?

  • LE CONTRLE DES RVISEURSVrifications effectues mandat de commissaire :

    Le dossier de travail fait-il tat de la preuve de l'identification du client et du bnficiaire effectif prescrit dans le cadre de la lgislation antiblanchiment (art. 7 et 8) ? Ressort-il du dossier de travail que la procdure d'acceptation du client a t mise en oeuvre et respecte, compte tenu des risques potentiels ?Ressort-il du dossier de travail que la procdure d'identification du client et du bnficiaire effectif a t adapte en fonction des risques ?Ressort-il du dossier de travail que la procdure d'identification de oprations "atypiques" a t respecte et qu'un rapport a, le cas chant, t rdig ?Lorsque des faits ont t constats dont le rviseur contrl ou l'inspecteur savent ou souponnent qu'ils sont lis au blanchiment de capitaux ou au financement du terrorisme (art. 26) : - si un responsable a t dsign pour l'application de la lgislation antiblanchiment au sein du cabinet (art. 18 2): - ressort-il du dossier de travail qu'un rapport crit a t remis au responsable? - le responsable de l'application de la lgislation antiblanchiment en a-t-il inform la CTIF? - dans le cas contraire, le dossier de travail fait-il tat de communications avec la CTIF? Ressort-il du dossier de travail que la procdure en vue de la conservation des donnes lies l'identification, l'acceptation et aux oprations "atypiques" a t respecte ?

  • ORGANISATION DU CABINET Chaque cabinet doit dcrire ses procdures/son organisation interne

  • Organisation du cabinet Le prsent document est destin aider les cabinets des professionnels dans llaboration et la mise en oeuvre des procdures de contrle interne imposes, dune part, par larticle 16 de la loi antiblanchiment du 11 janvier 1993 relative la prvention de lutilisation du systme financier aux fins du blanchiment de capitaux et du financement du terrorisme (ci-aprs LAB), telle que modifie par la loi du 18 janvier 2010, et, dautre part, par la norme approuve par le Conseil le 10 janvier et le 7 fvrier 2011.

    Cet exemple de manuel de procdures en vue dlaborer des procdures de contrle interne na pas de caractre obligatoire ou normatif. Il appartient aux cabinets de sen inspirer et, le cas chant, de ladapter leurs besoins, en fonction des procdures et mesures de contrle interne existantes ou de celles dont lapplication est envisage. Sil peut tre utilis de manire isole, nous recommandons toutefois de lintgrer (le cas chant) dans les documents relatifs aux procdures existantes et/ou dans la revue qualit .

    Ce document ne remplace pas la norme ou la circulaire. Il vise aider les professionnels et leurs collaborateurs mieux comprendre et mettre en oeuvre la norme antiblanchiment dune faon adapte la propre structure et la taille du cabinet. Il sen dduit que des adaptations, omissions et complments sont envisageables en fonction de la taille, de lactivit du cabinet et de la nature de la clientle.

    En toutes circonstances, les cabinets devront prendre en considration : le rglement de dontologie de la profession la rglementation antiblanchiment (loi du 11 janvier 1993, telle quapplicable au 1er janvier 2012, dnomme ci-aprs LAB le rglement (= norme)) la circulaire en matire de prvention de blanchiment le manuel Organisation des cabinets et procdures

  • Echancier

    DatesMesures1er novembre 2013Mise en ligne (PDF) du questionnaire 1er janvier 2013Activation, ouverture de la priode de rponse de janvier mars 2013 partir davril 2013> Analyse des rponses, mises au point de statistiques et dindicateurs de tendances destination de la CTIF> Procdures contraignantes dfaut de rponse Fin 2013 > Communication des infos la CTIF> Rponse au questionnaire du GAFI dans le cadre de la prparation de la 4e valuation Mai 20144e valuation de la Belgique par le GAFI

  • Obligation de dclaration ART. 26 LAB Principe : tous les faits constasts dans le cadre de votre activit professionnelle dont vous savez ou soupconnez quils sont lis : BLANCHIMENT de CAPITAUX : infractions graves sous-jacentes numres limitativement larticle 5 de la LAB < Code pnal FINANCEMENT DU TERRORISME : criminels Drogation obligation de dclaration : valuation de la situation juridique, note dinformation de la CTIF, 8 mars 2010ART. 27 LABPAYS ET TERRITOIRES RISQUE Communications : oprations, faits. Attention. Actuellement, dfaut dA.R., seule une vigilance accrue est requise Liste rgulirement mises jour www.ctif-cfi.be et site des instituts ART. 28 LABA.R. INDICATEURS Interprtation complmentaire Le seul constat de la prsence dun de ces indicateurs nenclenche pas automatiquement lobligation dinformer la CTIF

  • Fraude fiscale grave et organise ?

    Lecaractre grave de la fraudetransparat de la confection et/ou lusage de faux documents, du montant lev de la transaction et du caractre anormal de ce montant, eu gard aux activits ou l'tat de fortune du client .

    Lecaractre organis de la fraudetransparat de l'utilisation d'un montage qui prvoit des transactions successives et/ou l'intervention d'un ou plusieurs intermdiaires, dans lequel sont utiliss soit des mcanismes complexes, soit des procds dimension internationale (mme s'ils sont utiliss au niveau national).

  • Paiements en espces ?

    Loi programme 29-03-2012

    Article 20 : vente de biens immeubles : max. 10 % et max. 5 000 . Aprs 01/01/2014 : NANT Modifications apportes larticle 21 de la LAB : trois raisons dtre attentif dans la pratique quotidienne ! Abaissement du seuil dinterdiction des paiements en espces maximum 10 % et maximum 5 000 ( partir de 2014 : 3 000 ) ET inclusion dans le champ dapplication des prestataires de services (plus uniquement les commerants)Lintroduction dune obligation de dclaration la CTIF des cas de non-respect de ces limitations apportes aux paiements en espces. Un A.R. doit encore prciser les professions vises Infractions larticle 21, 1er alina LAB : amende de 250 225 000 EUR, avec un maximum de 10 % des paiements concerns. SPF CONOMIE

  • MERCI DE VOTRE ATTENTIONQUESTIONS ? SUGGESTIONS ?

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