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Formations à la prévention des risques
2
SOMMAIRE
A. SECOURISME 4 A1 - LE CERTIFICAT DE SAUVETEUR SECOURISTE DU TRAVAIL 5
A2 – MAINTENIR ET ACTUALISER SES COMPETENCES DE SAUVETEUR SECOURISTE DU TRAVAIL (SST) 6
B. RISQUES INCENDIE 07 B1 - SENSIBILISATION A LA MANIPULATION DES EXTINCTEURS 08
B2 - UTILISATION D’UN APPAREIL RESPIRATOIRE ISOLANT (ARI) 09
B3 - EVACUATION DES BATIMENTS 10
B4 - AGENT DES SERVICES DE SECURITE INCENDIE ET ASSISTANCE A PERSONNES S.S.I.A.P. 1 11
B5 - AGENT DES SERVICES DE SECURITE INCENDIE ET ASSISTANCE A PERSONNES S.S.I.A.P.2 12
B6 - EQUIVALENCE SSIAP 1 POUR POMPIERS VOLONTAIRES 13
B7- REMISE A NIVEAU ET RECYCLAGE SSIAP 1-2 ET 3 14
B8 - CHEF DES SERVICES DE SECURITE INCENDIE ET ASSISTANCE A PERSONNES SSIAP 3 15
C. RISQUES ENVIRONNEMENTAUX 16 C1 - PRAP : PREVENTION DES RISQUES LIES A L’ACTIVITE PHYSIQUE (industrie, commerce, BTP, agricole) 17
C2 - PRAP: PREVENTION DES RISQUES LIES A L’ACTIVITE PHYSIQUE (Secteur bureautique) 18
C3 - UTILISATION DES EPI CONTRE LES CHUTES DE HAUTEUR AUTORISATION TRAVAUX EN HAUTEUR 19
C4 - LIGNES DIRECTRICES RELATIVES A LA PROTECTION DE L’OUÏE ET A LA LUTTE CONTRE LE BRUIT 20
C5 - PREVENTION DES RISQUES LIES A LA CHALEUR 21
C6 - PREVENTION DES RISQUES POUR LES AGENTS TRAVAILLANT EN ESPACES VERTS 22
C7- RISQUES MAJEURS: PREVENTION CONTRE LE RISQUE SISMIQUE 23
D. HYGIENE 24 D1 - HYGIENE EN EHPAD ,MAISONS DE RETRAITES ET CENTRES DE SOINS 25
D2 - LES TECHNIQUES DE BASE DU NETTOYAGE 26
D3 – BASE DE L’HYGIENE ALIMENTAIRE – BONNES PRATIQUES PROFESSIONNELLES 27
D4 – BASE DE L’HYGIENE ALIMENTAIRE – BOUCHERIE CHARCUTERIE TRAITEUR .. 28
D5 - MISE EN APPLICATION DE LA METHODE HACCP 29
D6- MISE EN PLACE D’INDICATEURS QUALITE RELATIFS A L’HYGIENE 29
D7 - NETTOYAGE ET DESINFECTION 30
E. RISQUES ELECTRIQUES 31 E1 - HABILITATION ELECTRIQUE PERSONNEL NON ELECTRICIEN 32
E2 - HABILITATION ELECTRIQUE PERSONNEL ELECTRICIEN 33
E3 –RECYCLAGE HABILITATION ELECTRIQUE PERSONNEL NON ELECTRICIEN 34
E4–RECYCLAGE HABILITATION ELECTRIQUE PERSONNEL ELECTRICIEN 35
F. RISQUES LIES AUX MATIERES DANGEREUSES 36 F1 - EXIGENCES DU CHAPITRE 1.3 DE L’ADR APPLIQUES AUX DASRI 37
F2 - SENSIBILISATION DU PERSONNEL INTERVENANT EN ZONE ATEX NIVEAU 38
F3 - AGENT D’EXECUTION : ISM-ATEX NIVEAU 1 39
F4 - PERSONNE AUTORISEE : ISM-ATEX NIVEAU 2 40
3
F5 - LES MATIERES DANGEREUSES : EXIGENCES DU CHAPITRE 1.3 DE L’ADR 41
F6 - LA PREVENTION DES RISQUES CHIMIQUES 42
F7 - PREPARATION A L’EXAMEN DE CONSEILLER A LA SECURITE 43
F8 - RISQUES LIES A LA RECEPTION DES CITERNES DE CARBURANT 44
F9 - FORMATION CODE IMDG SELON LE CHAPITRE 1.3 45
F10 - REGLEMENTATION 2011 DU TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES 46
G. SURETE ET SECURITE 47 G1 - AGENT DE SURETE DES INSTALLATIONS PORTUAIRES (A.S.I.P.) 48
G2 - AGENT DE SURETE DE LA COMPAGNIE ISPS / CSO 49
G3 - AGENT DE SURETE DU NAVIRE ISPS / SSO 50
G4 - SENSIBILISATION DU PERSONNEL PORTUAIRE A LA SURETE MARITIME 51
G5 - AGENT CHARGE DES VISITES DE SURETE DANS LES ZONES D’ACCES RESTREINT PORTUAIRE MODULE 1 52
G6 - AGENT CHARGE DES VISITES DE SURETE DANS LES ZONES D'ACCES RESTREINT PORTUAIRE MODULE 2 53
G7-GESTION DE CRISE ET DU COMPORTEMENT HUMAIN DISPOSITIONS REGLES V/2 V/3 54
G8 - REDACTION DE RAPPORTS ET PROCEDURES POUR LES AGENTS DE SECURITE ET SÛRETE 55
G9 - AGENT DE PREVENTION EN ETABLISSEMENTS SCOLAIRES (A.P.E.S.) 56
G10 - SENSIBILISATION A LA LUTTE CONTRE LA VIOLENCE SCOLAIRE 57
G11 - LA PREVENTION DES ACTES DE MALVEILLANCE EN MILIEU HOSPITALIER 58
G12- TONFA - Niveau 1-2 ET 3 59
G13 - PREVENTION DES ACTES DE MALVEILLANCE A BORD DES TRANSPORTS EN COMMUN 60
G14 - AGENT DE PROTECTION RAPPROCHEE (A.P.R.)61
G15- ASP TITRE V D'AGENT DE SUVEILLANCE EN SECURITE PRIVEE 62
G16 - DESES TITRE DE DIRIGEANT DE SOCIETE DE SECURITE ET DE SURETE 63
H. RESPONSABILITES LEGALES 64 H1 - LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE DES DIRIGEANTS ET DES CADRES D’ENTREPRISES 65
H2 – ELABORATION DU DOCUMENT UNIQUE D’EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS 66
I. CONSEILS AUX ENTREPRISES 67 I1 – COMMENT REPONDRE A UN APPEL D’OFFRES 68
I2 - GESTION DE STRESS 69
I3 - GESTION DU STRESS ET DES CONFLITS 70
J- SECURITE DES LIEUX DE SPECTACLES 71 J1 – LICENCE D’ENTREPRENEUR DE SPECTACLES DE CATEGORIE 1 72
J2– FORMATION SECURITAIRE MOTEURS ET PONTS 73
K. DEVELOPPEMENT DURABLE 74 K1- SENSIBILISATION AU BILAN CARBONNE 75
L. SANTE SECURITE ET ENVIRONNEMENT 76 L1- RESPONSABLE HSCT hygiène sécurité et des conditions de travail 77
L2- COMPRENDRE ET MIEUX APPREHENDER LES SITUATIONS DE HANDICAP 78
L3- LES OBLIGATIONS DE L'ENTREPRISE EN MATIERE DE SANTE-SECURITE AU TRAVAIL 79
4
Secourisme
5
A1 – SAUVETEUR SECOURISTE DU TRAVAIL
PUBLICS Prioritairement les salariés des entreprises relevant du régime général de la Sécurité Sociale. Elle concerne aussi les salariés des entreprises, organismes ou toute autre institution hors champ d’application du régime général de la Sécuri-té Sociale ayant signé une convention avec l’INRS ou souhaitant adopter cette formation.
Sont également concernés les élèves et étudiants des établissements publics et privés de l’enseignement professionnel et technique ainsi que les apprentis des centres de formation de l’apprentissage
METHODES PEDAGOGIQUE
Exposés interactifs, démonstrations, études de cas, mise en situation
d’accident du travail simulé.
PRE-REQUIS
Pas d’exigence particulière.
CONTENU
Le rôle du SST dans la santé et sécurité du travail.
Les conduites à tenir face à une situation d’accident
- Protéger : conduite à tenir
- Examiner : conduite à tenir
La victime saigne-t-elle abondamment ?
La victime s’etouffe –t-elle ?
La victime répond-elle ?
La respire-t-elle ?
- Faire alerter conduite à tenir
- Secourir
La victime saigne abondamment
La victime s’étouffe
La victime se plaint de malaise
La victime se plaint de brûlures
La victime se plaint d’une douleur empêchant certains
mouvements
La victime se plaint d’une plaie qui ne saigne pas
abondamment
La victime ne répond pas mais elle respire
La victime ne répond pas et ne respire pas
OBJECTIFS Intervenir efficacement face à une situation d’accident. Mettre en application, dans le respect de l’organisation de l’entreprise et des procédures spécifiques, ses compétences en matière de prévention, au profit de la santé et sécurité au travail.
VALIDATION
L’évaluation continue, selon
les critères définis par l’INRS
et portés sur un document
national (Fiche individuelle de
suivi et d’évaluation du SST)
permet, si elle est favorable,
de délivrer un certificat de
Sauveteur Secouriste du Tra-
vail.
Ce certificat peut rester va-
lable, impose une formation
continue obligatoire. Celle-ci
comporte un premier recy-
clage 12 mois après la forma-
tion initiale et ensuite tous les
24 mois.
DUREE
12 heures pour un groupe de
10 personnes. (Au-delà de 10
participants, afin de maintenir
un minimum de temps
d’apprentissage à chacun des
participants, la formation sera
prolongée d’une heure par
candidat supplémentaire jus-
qu’à concurrence de 14. A
partir de 15 participants, la
session doit être dédoublée (2
P.V.) et 2 formateurs sont
nécessaires).
Si nécessaire, il faut ajouter le
temps pour traiter les risques
spécifiques de l’entreprise et
de la profession.
6
A2 – MAINTIEN DES ACQUIS DE COMPETENCES DE SAUVETEUR SE-COURISTE DU TRAVAIL
L’objectif
Maintenir et actualiser ses compétences de SST définies dans le référentiel
national.
Le programme
Actualisation des conduites à tenir et des techniques
L’adaptation de la formation
Aux modifications du programme
Aux risques de l’entreprise ou de l’établissement
Validation
L’évaluation continue permet, si elle est favorable de prolonger de
24 mois la durée de validité du certificat de « sauveteur secouriste
du travail » délivré par l’Assurance Maldadie-Risques
Professionnels/INRS.
Cette formation est assurée par un formateur certificé par
l’Assurance Mladie – Risques Professionnels/INRS
Public concerné
Tous les sauveteurs se-
couriste du travail
Pré-requis :
Etre titulaire d’un certificat
SST.
Méthodes pédagogiques
Exposées interactifs
Démonstrations
Etudes de cas
Mise en situation
d’accident du travail simulé
Durée et effectif
6 H pour un groupe de 10
personnes. Au-delà de 10,
la durée de la formation est
majorée d’une demi-heure
par personne supplémen-
taire.
7
FORMATIONS LUTTE CONTRE L’INCENDIE
8
B1 - SENSIBILISATION A LA MANIPULATION DES EXTINCTEURS
Le Public concerné Ensemble du personnel conformément au code du travail.
La durée
4 heures.
La Méthodologie
Apports théoriques sur
vidéoprojecteurs, Démons-
tration par le formateur,
exercices pratiques.
Le nombre de candidats
12 personnes maximum
L’intervenant
Moniteur Incendie
Références réglementaires : Code du travail R. 4227-28 « L'employeur prend les mesures nécessaires pour que tout commence-ment d'incendie puisse être rapidement et efficacement combattu dans l'in-térêt du sauvetage des travailleurs. » R. 4227-39 « La consigne de sécurité incendie prévoit des essais et visites périodiques du matériel et des exercices au cours desquels les travailleurs apprennent à reconnaître les caractéristiques du signal sonore d'alarme générale, à se servir des moyens de premier secours et à exécuter les diverses ma-nœuvres nécessaires. Ces exercices et essais périodiques ont lieu au moins tous les six mois. Leur date et les observations auxquelles ils peuvent avoir donné lieu sont consignées sur un registre tenu à la disposition de l'inspection du travail. » L’objectif Permettre à l’ensemble du personnel de manipuler les extincteurs sur feu. Le programme La réglementation Le feu : Causes et conséquences d’un incendie Le triangle du feu Les classes de feux L’alarme Informations sur les consignes de sécurité interne Les différents types d’extincteurs et leurs rôles L’effet des produits extincteurs sur un feu Les règles de sécurité sur les extincteurs Distance d’attaque d’un feu Mise en situation (pratique)
9
B2 – UTILISATION D’UN APPAREIL RESPIRATOIRE ISOLANT (ARI)
Le Public concerné - Personnel concerné par
le port de l’appareil respi-ratoire isolant (ARI) à cir-cuit ouvert en interven-tion ou au poste de tra-vail
- Personnel ayant à effec-tuer une intervention en atmosphère irrespirable de façon occasionnelle
- Personnel appelé à être équipier de seconde in-tervention
La durée
1 jour
La Méthodologie
Théorie : Exposé – Débats
Pratique : Manipulations et
exercices
Le nombre de candidats
6 personnes maximum
L’intervenant
Moniteur A.R.I.
L’objectif Evaluer son aptitude physique à porter un Appareil Respiratoire Isolant (ARI). Etre capable de protéger ses voies respiratoires avec un ARI à circuit ouvert en toute sécurité. Le programme
Les atmosphères non respirables
Les dangers et origines possibles
Les appareils respiratoires :
- L’appareil respiratoire isolant à circuit ouvert (ARICO)
- L’appareil respiratoire isolant à circuit fermé (ARICF)
Les contraintes physiologiques
Les règles de base de l'utilisation de L'ARI
Mise en œuvre de l’appareil
Port de l’appareil à l’air libre et dans un milieu enfumé
Autonomie
Les procédures opérationnelles
Le rôle des intervenants
La conduite d'une reconnaissance
Exercices pratiques
10
B3 – EVACUATION DES BATIMENTS
Public concernés Tout public. Domaine d’application Tous les bâtiments sur le territoire de la municipalité (par ex : école, mairies, résidences de personnes âgées, industrie, com-merces, et autres) à l’exception des bâtiments d’usage résidentiel unifa-milial. Contrainte :
- Une visite approfondie des locaux du client par le formateur.
- La fourniture des con-signes incendie géné-rales particulières et spéciales de l’établissement.
- Des contacts avec les fournisseurs incendie de l’entreprise.
La Méthodologie : Cas pratique Mise en situation Vidéo La durée 2 h Effectif 12 personnes Les intervenants Formateur Incendie
La situation
La sécurité incendie est un ensemble de mesures qui visent plusieurs objec-
tifs : éviter qu’un incendie se produise ou alors en diminuer les effets, proté-
ger les personnes et sauvegarder les biens favoriser de retour à la vie nor-
mal à la suite d’un incendie.
Le déploiement des mesures préventives s’avère d’autant plus opportun
que la majorité des incendies de bâtiments, des pertes de vies attribuables
à l’incendie sont dues à des comportements imprudents sur lesquels des
actions réglementaires ou d’éducation du public peuvent avoir des effets.
L’objectif
Evaluer et optimiser les installations et procédures incendies dans l’entreprise. Le programme
1. Lecture des plans d’évacuation.
2. L’action à mener : l’évacuation du personnel et le rôle de chacun.
3. Guide : le guide a pour mission de s’assurer que les itinéraires sont
dégagés et que le personnel quitte son poste sans gêner la pre-
mière intervention.
4. Serre-file : son rôle est de s’assurer que personne ne retourne sur
ses pas et la zone concernée est vide (salariés, visiteur et presta-
taires extérieurs).
5. Portier : s’assure que l’issue reste dégagée et personne ne pénètre
à nouveau dans l’établissement.
6. Conclusion : le regroupement du personnel à l’extérieur, l’accueil
des secours spécialisés.
7. Exercices pratiques au sein de l’entreprise.
11
B2 – UTILISATION D’UN APPAREIL RESPIRATOIRE ISOLANT (ARI)
Le Public concerné - Personnel concerné par
le port de l’appareil respi-ratoire isolant (ARI) à cir-cuit ouvert en interven-tion ou au poste de tra-vail
- Personnel ayant à effec-tuer une intervention en atmosphère irrespirable de façon occasionnelle
- Personnel appelé à être équipier de seconde in-tervention
La durée
1 jour
La Méthodologie
Théorie : Exposé – Débats
Pratique : Manipulations et
exercices
Le nombre de candidats
6 personnes maximum
L’intervenant
Moniteur A.R.I.
L’objectif Evaluer son aptitude physique à porter un Appareil Respiratoire Isolant (ARI). Etre capable de protéger ses voies respiratoires avec un ARI à circuit ouvert en toute sécurité. Le programme
Les atmosphères non respirables
Les dangers et origines possibles
Les appareils respiratoires :
- L’appareil respiratoire isolant à circuit ouvert (ARICO)
- L’appareil respiratoire isolant à circuit fermé (ARICF)
Les contraintes physiologiques
Les règles de base de l'utilisation de L'ARI
Mise en œuvre de l’appareil
Port de l’appareil à l’air libre et dans un milieu enfumé
Autonomie
Les procédures opérationnelles
Le rôle des intervenants
La conduite d'une reconnaissance
Exercices pratiques
12
B4- AGENT DES SERVICES DE SECURITE INCENDIE ET ASSISTANCE A PERSONNES - S.S.I.A.P. 1
Pré-requis
* Aptitude médicale
* Evaluation de la capacité
à retranscrire des anoma-
lies sur une main courante
* PSC 1 ou SST de moins
de deux ans
La durée
70 heures (hors examen et temps de déplacement) Evaluation
Epreuve écrite : QCM de
20 questions 30 min
Epreuve pratique : Ronde
avec anomalies et sinistre
15 min / stagiaire
Validation
Diplôme de qualification
"AGENT DE SERVICE DE
SECURITE INCENDIE ET
D'ASSISTANCE A PER-
SONNES" (SSIAP1) dans
les conditions prévues par
l'Arrêté du 22 Décembre
2008.
Le nombre de candidats
12 stagiaires maximum
L’intervenant
Moniteur SSIAP
L’objectif
Acquérir les connaissances théoriques et pratiques nécessaires pour occu-
per la fonction d'agent des services de sécurité incendie et d'assistance à
personnes.
Le Programme
1ère partie : Le feu et ses conséquences
20h00
- Connaître le comportement du feu et son action sur l’établissement
2ème partie : Sécurité incendie
10h00
- Connaître les principes de la réglementation incendie dans les ERP
et les IGH
3ème partie : Installations techniques
20h00
- Connaître les installations techniques sur lesquelles il est suscep-
tible d’intervenir
- Effectuer l’entretien de base des principaux matériels de sécurité in-
cendie
4ème partie : Rôles et missions des agents de sécurité incendie 10h00
- Connaître les limites de son action
- Effectuer l’extinction des feux naissants
5ème partie : Concrétisation des acquis
10h00
- Visites applicatives
- Mises en situation d’intervention
Contrôle des connaissances
13
B5- CHEF D’EQUIPE DES SERVICES DE SECURITE INCENDIE ET ASSIS-TANCE A PERSONNES - S.S.I.A.P. 2
Public
Chef d’équipe des services
de sécurité incendie et
d’assistance à personnes
Pré-requis
S.S.I.A.P. 1
Avoir exercé l’emploi
d’agent de sécurité incen-
die pendant au moins 1 an
dans un ERP, un IGH ou
un bâtiment relevant de la
règlementation incendie du
code du travail.
La durée
80 heures (hors examen et
temps de déplacement)
Evaluation
Epreuve écrite QCM de 20
questions (30 minutes)
Epreuve orale : animation
d’une séquence pédago-
gique (15 min/ stagiaire)
Epreuve pratique : exer-
cice de gestion du PC en
situation de crise (20 min /
stagiaire
Le nombre de candidats
12 stagiaires maximum
L’intervenant
Moniteur SSIAP
L’objectif
Acquérir les connaissances théoriques et pratiques nécessaires pour occu-
per la fonction d'agent des services de sécurité incendie et d'assistance à
personnes niveau 2.
Le Programme 1ère partie
Rôle et mission du chef d’équipe : connaître les outils permettant la
gestion et le management d’une équipe (40h)
2ème
partie
Manipulation des systèmes de sécurité incendie : connaître les ta-
bleaux de signalisation sur lesquels il est susceptible d’intervenir,
identifier et interpréter les différents signaux (20h)
3ème
partie
Hygiène et sécurité du travail en matière de sécurité incendie : con-
naître les dispositions applicables en hygiène et sécurité du travail
en matière de sécurité incendie (4h)
4ème
partie
Chef du poste central de sécurité en situation de crise : connaître
les procédures et les consignes, gérer les intervenants, prendre les
décisions adaptées, connaître et mettre en actions les moyens vi-
sant à faciliter l’action des sapeurs-pompiers (16h)
Pièces à fournir :
- 2 photos
- Certificat médical de moins de 3 mois
- Diplôme de secourisme de moins d’un an
- Attestation de l’employeur
14
B6- CHEF DES SERVICES DE SECURITE INCENDIE ET ASSISTANCE A PERSONNES NIVEAU 3 - SSIAP 3
Public
Chef d’équipe des services
de sécurité incendie et
d’assistance à personnes
Pré-requis
Diplôme de niveau VI mi-nimum (ou validation des acquis de l’expérience) ou diplôme d’ERP 2 ou d’IGH 2 avec 3 ans d’expérience dans la fonction ou S.S.I.A.P 2 avec 3 ans d’expérience dans la fonc-tion SST ou PSC1 en cours de validité
La durée
216 heures (hors examen
et temps de déplacement)
Evaluation
Epreuve écrite 1 QCM de 40 questions portant sur l’ensemble du programme 1 h 00 Epreuve écrite 2 Rédaction d’un rapport, à partir de plans d’un éta-blissement d’un ERP de 1ère catégorie avec plu-sieurs activités. 2 h 00 Epreuve orale Jury 15 min/stagiaire
Le nombre de candidats
10 stagiaires maximum
L’intervenant
Moniteur SSIAP 3
L’objectif
Acquérir les connaissances théoriques et pratiques nécessaires pour occu-
per la fonction d'agent des services de sécurité incendie et d'assistance à
personnes niveau 2.
Le Programme 1ère Partie : LE FEU ET SES CONSEQUENCES - Les principes d’éclosion et de développement du feu - Définir et appliquer la réaction et la résistance au feu 12 h 00 2ère Partie : LA SECURITE INCENDIE ET LES BATIMENTS - Reconnaître la typologie et le type de structure d’un bâtiment - Se situer sur un plan d’architecte en vue d’appliquer la règlementation incendie - Connaître et savoir utiliser la trame d’analyse d’un projet de construction 60 h 00 3ème Partie: LA REGLEMENTATION INCENDIE - Expliquer l’ordonnancement de la réglementation - Classer un bâtiment en fonction de la réglementation - Appliquer les obligations réglementaires aux différents types de bâtiments - La réglementation accessibilité 70 h 00 4ème Partie: GESTION DES RISQUES - Analyses des risques - Réalisation des travaux de sécurité - Documents administratifs 22 h 00 5ème Partie: CONSEIL AU CHEF D’ETABLISSEMENT - Effectuer un compte rendu oral ou écrit et rédiger un rapport - Actualiser ses connaissances des textes applicables 6 h 00 6ème Partie: CORRESPONDANT DES COMMISSIONS DE SECURITE - La composition, le rôle des commissions de sécurité et l’importance des relations avec elles - Contrôler et tenir à jour le registre de sécurité 12 h 00 7ème Partie : LE MANAGEMENT DE L'EQUIPE DE SECURITE - Les principes de gestion du personnel et des moyens - Assurer une autorité dynamique - Le code du travail applicable aux salariés 26 h 00 8ème Partie : LE BUDGET DU SERVICE SECURITE - La réalisation des budgets - La fonction achat - Gérer les contrats de maintenance des installations de sécurité 8 h 00
Pièces à fournir :
2 photos d’identité couleur format passeport agréé ministre de l’intérieur
Certificat médical de moins de 3 mois
Diplôme de secourisme en cours de validité (PSC1 ou SST)
Electrocardiogramme à fournir pour les personnes de plus de 45 ans
15
B7- SSIAP 1 PAR EQUIVALENCE POUR LES POMPIERS VOLONTAIRES
L’objectif Remise du diplôme SSIAP 1 par équivalence
Le Programme
1ère partie : sécurité incendie (17h00)
- Connaitre les principes de la règlementation incendie dans les ERP et
les IGH
-
2ème
partie : installations techniques (09h00)
- Connaitre les installations techniques sur lesquelles il est susceptible
d’intervenir
- Effectuer l’entretien de base des principaux matériels de sécurité incen-
die
3ème
partie : rôles et missions des agents de sécurité incendie, sé-
quences 1, 3, 4 (08h00)
- Connaitre les limites de son action
4ème
partie : concrétisation des acquis séquence 1 (10h00)
- Visites applicatives
Sans évaluation
Pièces à fournir
- 2 photos
- Certificat médical de moins de trois mois
- Diplôme de secourisme de moins d’un an
- Attestation de sapeur-pompier
Public
Etre homme du rang des
sapeurs-pompiers profes-
sionnels ou volontaires,
des pompiers militaires de
l’armée de terre, des pom-
piers militaires de l’armée
de l’air ou des marins
pompiers de la marine
nationale et avoir suivi,
sans évaluation, le module
complémentaire.
La durée
44 heures (hors temps de
déplacement)
Validation
La présence à l’ensemble
des séquences programmé
au recyclage. Dans le cas
de défaillance notoire le
centre de formation pourra
proposer une remise à
niveau. Une appréciation
sur les actions de l’agent
pendant les séquences
pratiques ou l’étude de cas
devra être transmise à
l’employeur
Le nombre de candidats
15 stagiaires maximum
L’intervenant
Moniteur SSIAP
16
B8- RECYCLAGE ET REMISE A NIVEAU AGENT DES SERVICES DE SECU-RITE INCENDIE ET ASSISTANCE A PERSONNES NIVEAU 1 -2 ET 3
L’objectif
Recycler ou remettre à niveau le personnel de sécurité au diplôme SSIAP 1
et 2.
Le Programme
1ère partie : Recyclage agent de sécurité (11h)
- Règlementation
- Pratique
- Mise ne œuvre des moyens d’extinction
2ème
partie : remise à niveau agent de sécurité (21h)
- Poste de sécurité
- Rondes de sécurité et surveillance des travaux
- Appel et réception des services publics de secours
- Mise en situation d’intervention
- Mise en œuvre des moyens d’extinction
3ème
partie : recyclage chef d’équipe (14h)
- Règlementation
- Pratique
- Organiser une séance de formation
- Management de l’équipe de sécurité
4ème
partie : remise à niveau chef d’équipe (22h)
- Management de l’équipe de sécurité
- Evaluation de l’équipe
- Information de la hiérarchie
- Gestion du poste central de sécurité
- Mise en œuvre des moyens d’extinction
Public
Agent de sécurité et chef
d’équipe des services de
sécurité incendie et
d’assistance à personnes
Pré-requis
Etre titulaire des diplômes SSIAP, d’une équivalence ou des diplômes « ERP » et « IGH » niveaux 1 à 2
La durée
Selon niveau Evaluation
Epreuve écrite : QCM de
20 questions 30 min
Epreuve pratique : Ronde
avec anomalies et sinistre
15 min / stagiaire
Validation
La présence à l’ensemble
des séquences programmé
au recyclage. Dans le cas
de défaillance notoire le
centre de formation pourra
proposer une remise à
niveau. Une appréciation
sur les actions de l’agent
pendant les séquences
pratiques ou l’étude de cas
devra être transmise à
l’employeur
Le nombre de candidats
15 stagiaires maximum
L’intervenant
Moniteur SSIAP
17
RISQUES ENVIRONNEMENTAUX
18
C1 - PRAP : PREVENTION DES RISQUES LIES A L’ACTIVITE PHYSIQUE (industrie, commerce, BTP, agricole)
Le Public concerné
Toute personne concernée
par les problèmes de
gestes et postures de sé-
curité dans le travail
La Méthodologie
Cours magistraux, Exer-
cices, Illustrations par dia-
positives, Exposés, Ap-
ports didactiques. Le stage
se déroule sur le lieu de
travail avec le matériel et
les matériaux utilisés habi-
tuellement par les salariés.
La durée
14 heures
Le nombre de candidats
8 personnes maximum
L’ intervenant
Moniteur P.R.A.P. agréé
par la CGSS
Validation des acquis :
certificat P.R.A.P.
L’objectif
Etre capable de : Situer l’importance des risques d’accident et de maladies professionnelles liés à son activité de travail Identifier et caractériser les risques liés à son activité physique en utilisant les connaissances acquises Conduire un projet d’amélioration d’un poste de travail Appliquer les principes de base en fonction de son poste de travail Identifier les déterminants de son activité de travail Le programme Juridique :
Encadrement juridique de la manutention manuelle
Les accidents du travail (A.T.)
Les maladies professionnelles (M.P.)
Coût financier des A.T./M.P.
Le corps humain :
Notions d’anatomie/physiologie/pathologie
Les troubles musculo-squelettiques (T.M.S.)
Prévention :
Principes généraux de prévention
Prévention des A.T./M.P.
L’Homme et le poste de travail
Les principes de sécurité physique et d’économie d’effort
Des gestes au quotidien
19
C2 – PRAP : PREVENTION DES RISQUES LIES A L’ACTIVITE PHYSIQUE
(secteur Bureautique)
Le Public concerné
Toute personne concernée
par les problèmes de
gestes et postures de sé-
curité dans le travail
Méthodologie
Cours magistraux, Exer-
cices, Illustrations par dia-
positives, Exposés, Ap-
ports didactiques. Le stage
se déroule sur le lieu de
travail avec le matériel et
les matériaux utilisés habi-
tuellement par les salariés.
La durée
14 heures
Le nombre de candidats
10 personnes maximum
L’ intervenant
Moniteur P.R.A.P. agréé
par la CGSS
L’objectif
Etre capable de :
Situer l’importance des risques d’accident et de maladies profes-
sionnelles liés à son activité de travail
Identifier et caractériser les risques liés à son activité physique en
utilisant les connaissances acquises
Conduire un projet d’amélioration d’un poste de travail
Appliquer les principes de base en fonction de son poste de travail
Identifier les déterminants de son activité de travail
Le programme
Juridique :
Encadrement juridique de la manutention manuelle
Les accidents du travail (A.T.)
Les maladies professionnelles (M.P.)
Coût financier des A.T./ M.P.
Le corps humain :
Notions d’anatomie/physiologie/pathologie
Les troubles musculo-squelettiques (T.M.S.)
Prévention :
Principes généraux de prévention
Prévention des A.T./M.P.
L’Homme et le poste de travail
Mesures anthropométriques et biomécaniques.
Mesures et aménagement de l’ambiance lumineuse.
Notions physiques concernant la lumière.
Physiologie de la vision.
Mesures du bruit.
Notions physiques concernant le bruit.
Notions physiques concernant les sons.
Physiologie de l’audition.
Mesures de l’audition.
Modification de l’audition.
Les principes de sécurité physique et d’économie d’effort
Des gestes au quotidien
Techniques gestuelles liées à son activité de travail.
20
C3 – UTILISATION DES EPI CONTRE LES CHUTES DE HAUTEUR - AUTO-RISATION POUR LES TRAVAUX EN HAUTEUR
Référence règlementaire : (Art R4323-104 et R4323-106 du code du travail). Les travaux dits " en hauteur " sont toutes activités exercées à plus de 3 mètres de hauteur. « L'employeur fait bénéficier les travailleurs devant utiliser un équipement de protection individuelle d'une formation adéquate comportant, en tant que de besoin, un entraînement au port de cet équipement.
Cette formation est renouvelée aussi souvent que nécessaire pour que l'équi-pement soit utilisé conformément à la consigne d'utilisation. »
L’objectif
Le stagiaire doit être capable de :
Analyser les situations de travail et les incidents / accidents
Maîtriser les principes de sécurité des accès et travaux en hauteur
Définir un système de protection adapté et approprié
Réaliser des points d’ancrage sûrs
Vérifier les domaines et conditions d’utilisation des EPI (Equipements
de Protection Individuels)
Maintenir les EPI en état de propreté, vérifier leurs conditions de stoc-
kage
Maîtriser les connaissances de la protection collective.
LE PROGRAMME Module 1
Chutes de hauteur (statistiques)
Réglementation
Les protections collectives
Les facteurs de chute
Les dispositifs d’ancrage, liaisons anti-chutes
Les harnais, les différents systèmes de sécurités
Module 2
Vérification des EPI (Equipements de Protection Individuels)
Les nœuds (théorie et pratique)
Les échelles (théorie et pratique)
LA SANCTION Un avis d'autorisation d'intervention en hauteur est délivré aux partici-
pants ayant suivi l'intégralité de la formation et satisfait à l'évaluation des
connaissances théoriques et pratiques.
.
Pré-requis
Aptitude médicale de la mé-decine du travail à la pratique des travaux en hauteur. Le Public concerné Cadres et salariés d’entreprises industrielles, de bâtiment ou de collectivités devant utiliser des équipe-ments de protection indivi-duelle pour se prémunir contre les risques de chute en hauteur. Méthodologie
Exposé didactique avec dia-
porama
Etude cas : analyse
d’accidents et proposition de
prévention et de traitement
Equipement de démonstra-
tion :
� Baudriers
� Cordage
� EPI
Les stagiaires doivent être
équipés de leurs EPI
La durée
1 jour (théorie)
½ journée (pratique)
Le nombre de candidats
10 personnes maximum
L’ intervenant
Formateur à la prévention
des risques liées aux travaux
en hauteur
21
C4 - LIGNES DIRECTRICES RELATIVES A LA PROTECTION DE L’OUÏE ET
A LA LUTTE CONTRE LE BRUIT
LA SITUATION Longtemps considéré comme une conséquence inévitable de l'industrialisa-
tion, le bruit fait aujourd'hui l'objet d'une réglementation qui vise à protéger
les travailleurs contre les risques liés à une exposition prolongée. Il est à
l'origine de nombreuses surdités mais aussi d'autres pathologies (stress,
fatigue...).
De multiples moyens d'action peuvent être mis en place sur le lieu de travail
pour limiter l'exposition des salariés. La surdité peut être reconnue comme
une maladie professionnelle selon des critères médicaux, professionnels et
administratifs bien précis, qui sont stipulés dans le tableau n°42 des mala-
dies professionnelles du régime général et le tableau n°46 du régime agri-
cole.
Aujourd’hui le code du travail, vise en premier lieu à prévenir les risques
d'exposition en agissant, le plus en amont possible, sur l'environnement de
travail, en ce sens, les textes visent à limiter le bruit émis par les machines,
favorisent le traitement acoustique des locaux de travail et dans un second
temps permettent l’évaluation des risques qui subsistent et la protection des
travailleurs exposés au bruit (Ar-
ticles L.4431-1 et R.4431-1 à R.4437-4 du code du travail).
L’objectif
Rendre le stagiaire capable de se protéger contre l’exposition au bruit et de
comprendre ses effets.
Le programme
Fonctionnement de l’oreille
Conséquences du bruit sur la santé
Exigences du règlement sur la sécurité et la santé au travail.
Mesures de protection contre le bruit
Qu’est-ce que le son et quels sont ses effets?
Que sont les décibels et les ondes acoustiques ?
Le Public concerné Tout public
La Méthodologie
Illustrations par diaposi-
tives et cours magistraux
La durée
14 heures
Le nombre de candidats
12 personnes maximum
L’intervenant
Audiopropthésiste DE
22
C5 - PREVENTION DES RISQUES LIES A LA CHALEUR
La situation
L’exposition à la chaleur peut être à l’origine de troubles sérieux chez un
individu.
En effet, la température corporelle de l’homme doit demeurer constante
(homéothermie), quel que soit son environnement thermique. Les méca-
nismes de régulation permettant ce maintien de la température peuvent être
débordés, notamment en période caniculaire. Le risque pour la santé sera
d’autant plus important que l’organisme n’y est pas préparé (acclimatement).
Sur le lieu de travail, une combinaison de facteurs individuels (âge, santé
physique, état de fatigue, dépense physique inhérente à la tâche…) et col-
lectifs (organisation de l’activité, conditions de travail…) joue alors un rôle
prépondérant non seulement sur la santé, mais aussi sur l’altération des
performances mentales et physiques des individus. $
L’objectif
Connaître les réactions de l’organisme lorsqu’il est confronté à des condi-
tions climatiques de fortes chaleurs et connaître les pistes pratiques de pré-
vention
Le programme
Généralités (situation d’accidents liés à la chaleur, adaptation à la
chaleur et effets sur l’homme, risque pour la santé).
Évaluation du risque, facteurs de risques, recommandations par
rapport à l’évaluation. Recommandations et mesure de prévention
(conditions de travail, organisation de travail, mesures comporte-
mentales et hygiène de vie).
Quels sont les risques pour la santé ? Travail et canicule ? Risques
physiques et professionnels, la santé au travail.
Le Public concerné
Tout public
La Méthodologie
Illustrations par diaposi-
tives et films, contrôle des
connaissances
La durée
14 heures (2 jours)
Le nombre de candidats
12 personnes maximum
Intervenant
Formateur à la prévention
des risques
23
C6 - PREVENTION DES RISQUES POUR LES AGENTS TRAVAILLANT
DANS LES ESPACES VERTS
L’objectif
Permettre aux agents en espaces verts d’analyser et de définir les risques
professionnels environnementaux et chimiques liés à leur activité.
Vérifier les domaines et conditions d’utilisation des EPI (Equipement de pro-
tection individuelle).
Le programme
Premier Secours ou SST – Sauveteur secouriste du travail
(Voir programme catalogue code A1 ou A4)
Prévention des Risques liées à l’activité Physique
(Voir programme catalogue code C1)
RISQUES POUR LA SANTE A L’UTILISATION DES PRODUITS
CHIMIQUES DANS L’AGRICULTURE
Les pesticides – Les classifications et étiquetages – La santé – Les
équipements de protection – L’entreposage – Les mélanges – La
pulvérisation – L’élimination
Utilisation des EPI
Prévention des risques lors du débroussaillage avec épareuse – La mise en
conformité du matériel – Prévention des risques lors du débroussaillage
manuel : Avant d’effectuer le travail et pendant le travail, distance de sécurité
à adopter lors de l’utilisation de la débroussailleuse – Prévention à prendre
lors de l’entretien des berges (bords de rivières et lagunes) à l’aide de la
débroussailleuse
Le Public concerné
Toute personne exerçant
ou souhaitant exercer le
métier d’agent en espaces
verts.
La Méthodologie
Cours magistraux, Exer-
cices, Illustrations par dia-
positives, Exposés, Ap-
ports didactiques. Une par-
tie du stage se déroule sur
le lieu de travail avec le
matériel et les matériaux
utilisés habituellement par
les salariés.
La durée
35 heures
Le nombre de candidats
12 personnes maximum
Intervenant
- Moniteur PRAP et
SST agréé par la
CGSS
- Formateur aux
risques chimiques
- Formation
prévention des
risques
professionnels
24
C7 - PREVENTION DES RISQUES NATURELS MAJEURS
La situation :
En raison de la situation géographique et géologique de l’ile soumise aux
phénomènes naturels majeurs, OROPEX CARAIBES et notre consultante en
risques majeurs s’est engagée dans une démarche d’information, de pré-
vention et de préparation à destination de professionnels et des particu-
liers.
Contenu du programme :
Ouragans, séismes, tsunamis, glissement de terrain, volcanisme
Cette action préventive permettra de mieux connaitre les aléas et les en-
jeux
Savoir qu’est-ce qu’un risque
Quels sont les signes annonciateurs
Comment se manifeste les différents phénomènes
Connaitre et appliquer les mesures préventives (consignes de sécurité et
d’évacuation)
Renforcer notre réactivité ---- faisons en sorte que la gravité soit moindre et
la réactivité plus forte
Hiérarchisation du kit d’urgence
Textes de référence : cadre juridique
L’obligation de prévention des risques professionnels, notion entendu lar-
gement, s’étend à toutes les entreprises, à tous les établissements, pour
chaque unité de travail et ce, quelle que soit leur taille, cette obligation
de prévention trouve son fondement dans l’article L4121-1 du code du
travail qui dispose que « l’employeur prend les mesures nécessaires pour
assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travail-
leurs ». A ce stade, il n’est pas fait référence à aucun risque en particulier et
il se déduit de la généralité de la disposition qu’elle englobe l’ensemble des
risques auxquels sont exposés les travailleurs y compris les risques naturels.
Une directive dit que l’employeur est responsable de la sécurité des sala-
riés de son établissement Art L4121-1 et 2 et R4141-3-1
Des articles peuvent également aider Art R232-12-17/R232-12-18/R232-12-
21
L’employeur est tenu responsable pour tout atteinte à la santé de son
salarié
Le Public concerné
tout public
Objectifs :
- Prendre conscience
de vulnérabilité
face à une catas-
trophe individuelle
ou collective
- Etre capable
d’appliquer et res-
pecter les con-
signes
- Etre capable d’agir
La Méthodologie : basée
sur une interaction entre
participants et intervenant.
Mise en œuvre de moyens
audiovisuels appropriés. Un
large choix de kit d’urgence
et de trousse de secours.
Quizz
La durée : 2 heures
Le nombre de candidats :
6 à 15 maxi
Intervenant : consultante
aux risques naturels
majeurs (E.C.A.A.)
25
HYGIENE
26
D1 - HYGIENE EN EHPAD, MAISONS DE RETRAITES ET CENTRE DE SOINS
L’objectif • Comprendre la pertinence des actions de lutte contre les infections et orienter les mesures de prévention • Comprendre les mécanismes d’acquisition d’une infection nosocomiale et les mesures de prévention • Comprendre les différentes modalités d’hygiène des mains et savoir les appliquer en fonction des circonstances Le programme
Les microbes et leur épidémiologie
• Les agents infectieux • Les défenses de l’organisme contre les infections • La flore résidente et transitoire • Les bactéries multi-résistantes • Les traitements anti-infectieux Les infections associées aux soins • Les principales infections associées aux soins • Le clostridium : précautions standard et précautions particulières • Le traitement des infections associées aux soins • Les mesures spécifiques de prévention • La gestion d’une période de crise L’Hygiène des mains • Le lavage simple des mains • Le lavage antiseptique des mains • Les gels et solutions hydro-alcooliques • La problématique des gants • Dans quelles situations utiliser les différents modes d’hygiène des mains Le bionettoyage • Le nettoyage des chambres • Les produits à utiliser • Les indications précises sur les dosages • Les protocoles facilement applicables pour la structure La gestion des déchets
Le Public concerné
Tout personnel, pas de
pré-requis
La Méthodologie • Apports théoriques Po-werPoint • Démonstrations • Cas pratiques • Travaux de sous groupes • Mises en situation .
La durée
14 heures
Effectif
15 personnes maximum
L’intervenant Praticien Hygiéniste
27
D2 - Les techniques de base du nettoyage (hygiène des locaux)
L’objectif Apporter aux agents de service le savoir, le savoir-faire nécessaire à l’exécution de prestations de propreté de base. Le programme
• Les micro-organismes
- Différents types - milieux de vie
- Conditions propices en développement
- Relations homme / micro-organismes
• Les vecteurs de contamination
• Connaissances sur :
- les revêtements de sol
- les produits - cercle de Sinner
- les matériels
- les machines
• Les méthodes de nettoyage
- sols
- parois
- matériels
• Les protocoles de nettoyage
• La préparation des opérations
• La réalisation du nettoyage sur différents supports
• L’entretien et le rangement du matériel
• L’auto contrôle
• Les règles d’hygiène et de sécurité
(Réglementation - comportement - EPI - …)
Le Public concerné
Agent de service, pas de
pré-requis
La Méthodologie • Apports théoriques Po-werPoint • Démonstrations • Cas pratiques • Travaux de sous groupes • Mises en situation
La durée
14 heures
Effectif
15 personnes maximum
L’intervenant Praticien Hygiéniste
28
D3 – BASE DE L’HYGIENE ALIMENTAIRE LES BONNES PRATIQUES PRO-FESSIONNELLES
L’objectif
• Transmettre les connaissances de base de l’hygiène,
Identifier les risques liés à une production alimentaire • Expliquer les enjeux (législation, responsabilités pénales)
Le programme
• La Microbiologie (Pathogène et non pathogène) et les TIA o Les principaux germes responsables de TIAC o Les facteurs de développement des microorganismes
LA METHODE DES 5 M 1 – MATIERES PREMIERES Choix des produits et cahier des charges – Contrôles à réception – Traçabilité DLC et DLUO – Durée de vie secondaire Les Produits sensibles – désinfections des végétaux – La gestion des restes 2- MATERIELS Utilisation – Entretien – Nettoyage 3- MAIN D’ŒUVRE Tenue Vestimentaire – Hygiène Corporelle – Le lavage des mains – Le port des gants et des masques – Les bons gestes 4- METHODE DE TRAVAIL La marche en avant – nettoyage et désinfection – le PND – Gestion des températures – Gestion des temps de préparation – Gestion des déchets 5-MILIEU ET ENVIRONNEMENT L’air- les insectes – les locaux : Marche en avant et contamination croisée. Introduction à la Méthode HACCP La législation : Directive 93/43/ CEE
Le Public concerné
Personnel de snack, res-taurant, station service
La Méthodologie Première approche de l’hygiène alimentaire. Théorie Illustrée par des exemples concrets.
La durée
08 h
L’intervenant Hygiéniste
29
D4– BASE DE L’HYGIENE ALIMENTAIRE LES BONNES PRATIQUES PRO-FESSIONNELLES – Boucherie – Charcuterie – Traiteur
L’objectif
• Transmettre les connaissances de base de l’hygiène,
Identifier les risques liés à une production alimentaire • Expliquer les enjeux (législation, responsabilités pénales) • Moyens : Théorie illustrée par des exemples concrets • Assurer la maitrise des étapes de la transformation et de la commer-
cialisation
Le programme
• La Microbiologie (Pathogène et non pathogène) et les TIA o Les principaux germes responsables de TIAC o Les facteurs de développement des microorganismes
LA METHODE DES 5 M 1 – MATIERES PREMIERES
Choix des produits et cahier des charges – Contrôles à réception – Traçabili-té DLC et DLUO – Durée de vie secondaire Les Produits sensibles – désinfections des végétaux – La gestion des restes
2- MATERIELS
Utilisation – Entretien – Nettoyage 3- MAIN D’ŒUVRE
Tenue Vestimentaire – Hygiène Corporelle – Le lavage des mains – Le port des gants et des masques – Les bons gestes
4- METHODE DE TRAVAIL
La marche en avant – nettoyage et désinfection – le PND – Gestion des températures – Gestion des temps de préparation – Gestion des déchets. Traçabilités amont et aval des matières premières. La congélation illicite.
5-MILIEU ET ENVIRONNEMENT
L’air- les insectes – les locaux : Marche en avant et contamination croisée. Les bonnes pratiques de fabrication des :
- Saucisses cuites et crues, sandwich, pâtés, terrines, viandes ha-chées, plats cuisinés.
La traçabilité et l’étiquetage des viandes et charcuteries. Introduction à la Méthode HACCP
Le Public concerné
Personnel de boucherie, charcuterie, traiteur Niveau : Première ap-
proche de l’hygiène profes-
sionnelle et de la connais-
sance des viandes.
La Méthodologie Première approche de l’hygiène alimentaire. Théorie Illustrée par des exemples concrets. La durée
08 h
L’intervenant Hygiéniste
30
D5- Mise en application de la méthode HACCP
D6- Mise en place d’indicateurs qualité relatifs à l’hygiène
L’objectif
Acquérir les connaissances pour appliquer la méthode HACCP dans l’entreprise. Le programme
• Objectifs de la méthode • Vocabulaire, définition • Les programmes pré-requis • Les étapes de mise en application
Le Public concerné
Membres de l’équipe HACCP
La durée
1 jour
L’intervenant Praticien Hygiéniste
MODULES ALI-
MENTAIRES
Le Public concerné
Responsable qualité, chefs d’équipe Membres de l’équipe HACCP
La durée
1 jour
L’intervenant Praticien Hygiéniste
L’objectif
Comprendre la notion d’indicateurs et la manière de les définir. Le programme
• Qu’est ce qu’un indicateur ?
• Objectifs en termes d’hygiène.
• La définition des indicateurs, leur mesure
• Mise en place des actions correctives
• Amélioration continue
31
D7- Nettoyage et désinfection
L’objectif
Etre capable de réaliser efficacement les opérations de nettoyage et de désinfection. Le programme
• Pourquoi nettoyer et désinfecter ?
• L’analyse des risques
• Les produits, matériels et méthodes
• Le plan de nettoyage
• Le contrôle et la validation du nettoyage
Le Public concerné
Responsable QHSE, res-ponsable de production, chefs d’équipe Membres de l’équipe HACCP
La durée
1 jour
L’intervenant Praticien Hygiéniste
MODULES ALI-
MENTAIRES
32
HABILITATIONS RISQUE ELECTRIQUE
33
E1 - HABILITATION ELECTRIQUE PERSONNEL NON ELECTRICIEN BE-
MANŒUVRE- BS
Le Public concerné
Personnes qui doivent effec-
tuer des travaux d’ordre non
électriques dans les locaux
d’accès réservés aux électri-
ciens ou au voisinage des
pièces nues sous tension.
Manœuvre de matériel élec-
trique pour réarmer un dis-
joncteur relais thermique etc,
mettre hors ou sous tension
un équipement, une installa-
tion. Intervention élémentaire
sur des circuits terminaux.
La Méthodologie
Illustrations par diapositives et
films, Evaluation, contrôle des
connaissances. Evaluation
théorique et pratique
La durée
2 jours (14 heures)
Effectif
12 personnes maximum
L’intervenant
Formateur à la prévention des
risques d’accidents d’origine
électrique
L’objectif
Rendre les stagiaires ca-
pables de respecter les pres-
criptions de sécurité par la
norme NF C18-510
Etre capable de respecter les
règles de sécurité applicables
lors de travaux d’ordre non
électrique
Permettre à l’employeur la
délivrance de l’habilitation
correspondante au personnel
ainsi formé
Le programme
Tronc commun
Grandeurs électriques rencontrées lors des différentes opérations
Effet du courant sur le corps humain : électrisation, électrocution, brûlure
Ouvrages ou installations : domaines de tension, limites et reconnaissances du
matériel
Zones d’environnement et leurs limites
Habilitation : principes, symboles, limites et formalisation
Analyse des risques et mise en œuvre des principes généraux de prévention
Surveillance des opérations
Mise en sécurité d’un circuit : mise hors tension, VAT, consignation, mise hors
de portée
Equipement de protection collective : identifier, vérifier, utiliser
Equipement de protection individuelle : identifier, vérifier, utiliser
Equipement de travail utilisé (échelles, outils à main…) : risques et mise en
œuvre
Incidents et accidents sur ou près des ouvrages et installations électriques
Thèmes spécifiques aux manœuvres :
Matériels électriques dans leur environnement : fonction, caractéristiques, iden-
tification
Equipement de protection individuelle : identifier, vérifier, utiliser
Habilitation lettre « E » : limites, (manœuvres permises, analyse des risques et
mesures de prévention
Acteurs concernés par les manœuvres : chargé d’exploitation électrique et char-
gé de consignation
Echanges avec le chargé d’exploitation électrique ou le chargé de consignation :
informations et documents
Instructions de sécurité spécifiques aux manœuvres
Thèmes spécifiques BS intervention BT élémentaire
Limites de l’habilitation BS
Echanges avec le chargé d’exploitation électrique : informations et documents
Matériel électrique dans leur environnement : fonction, caractéristiques, identi-
fication
Equipement de protection individuelle : identifier, vérifier, utiliser
Mise en sécurité d’un circuit : pré-identification, séparation, condamnation, VAT
et remise sous tension
Mesures de prévention à appliquer lors d’une intervention BT élémentaire
Procédures de remplacement/raccordement et instructions de sécurité asso-
ciées
34
E2 - HABILITATION ELECTRIQUE PERSONNEL ELECTRICIEN
Le programme
Généralités :
Présentation de la procédure d’habilitation selon le recueil UTE C.18-510 en rela-
tion avec les domaines de tension
Méthode d'évaluation des risques : effets physiopathologiques du courant
électrique
Exemple d’accidents (contact direct, indirect, court-circuit)
Classement des installations
Règles de sécurité découlant des dangers du courant électrique
Les personnes intervenantes
Les ouvrages électriques
Les opérations
Les zones d’environnement
Les documents écrits
Opérations en basse tension :
Travaux hors tension en BT
- LA consignation et déconsignation en BT
- Mission : du chargé de consignation, du chargé de travaux, de l’exécutant
Travaux au voisinage de pièces nues sous tension BT
- Evaluation des risques
- Procédure à mettre en œuvre
- Mission du surveillant de sécurité électrique
Intervention en BT
- Intervention de dépannage et de connexion
- Remplacement : de fusibles, de lampes et des accessoires d’appareil
d’éclairage
- Opération d’entretien avec présence de tension
La sécurité lors des opérations de mesurage
Appareils électriques amovibles et portatifs à main
Conduite à tenir en cas d’incident et d’accident d’origine électrique : notion de pre-
miers secours, incendie sur un ouvrage électrique, enceintes confinées
EVALUATION DE STAGE
Le programme est adapté à la finalité de l’habilitation qui sera déli-
vrée :
HABILITATION ELECTRIQUE PERSONNEL ELECTRICIEN B1
Exécutant électricien : « L’habilitation électrique B1 permet d’exécuter des tra-
vaux et des manœuvres d’ordres électrique. Le personnel habilité B1 doit agir tou-
jours sur instructions verbales ou écrites et veiller à sa propre sécurité».
HABILITATION ELECTRIQUE PERSONNEL ELECTRICIEN B2
Chargé de travaux : « Le personnel habilité B2 assure la direction effective des
travaux et prend les mesures nécessaires pour assurer sa propre sécurité et celle
du personnel placé sous ses ordres».
HABILITATION ELECTRIQUE PERSONNEL ELECTRICIEN BR
Chargé d’intervention : « Le personnel habilité BR assure la direction effective
des interventions et prend les mesures nécessaires pour assurer sa propre sécurité
et celle du personnel placé sous ses ordres ».
L’objectif
Permettre aux électriciens
de mettre en application les
prescriptions de sécurité de
la norme NFC18-510 lors
de l’exécution d’opérations
sur les ouvrages élec-
triques.
S’assurer de leur aptitude à
adapter ces prescriptions
dans les domaines et les
situations propres à leurs
établissements.
Public
Tout électricien chargé
d’exécuter des travaux hors
tension et chargé de tra-
vaux sur des ouvrages
électriques BT
Pré-requis
Connaissances de base en
électricité ou bonne expé-
rience pratique profession-
nelle
La durée
21 heures (2.5 jours de
théorie – 0.5 jour de pra-
tique)
Effectif
12 personnes maximum
L’intervenant
Formateur à la prévention
des risques d’accidents
d’origine électrique B1-B2-
BR-BC
Moyen pédagogiques
Méthodes interactives
s’appuyant sur des
expériences vecues. Mise
en œuvre de moyens
audiovisuels appropriés aux
sujets traités. Travaux
pratiques effectués par
chaque stagiaire. Contrôle
des connaissances assurés
tout au long du stage.
Documents regroupant les
divers thèmes remis à
chaque stagiaire
35
E3 –RECYCLAGE HABILITATION ELECTRIQUE PERSONNEL NON ELEC-TRICIEN
L’objectif
Pour le Salarié :
La mise à jour des connaissances
Respecter les prescriptions de sécurité
Réaliser, en sécurité, des travaux dans les locaux réservés aux élec-
triciens.
Pour l'employeur : Réactualiser le titre d'habilitation
Le programme
Réactualisation des connaissances
Présentation de la procédure d'habilitation
Notions élémentaires d'électricité
Comment travailler en sécurité
Conduite à tenir en cas d'accident d'origine électrique
Conduite à tenir en cas d'incendie d'origine électrique
Revue des difficultés d'application rencontrées par le personnel habilité
Pré-requis
Personnel non-électricien
possédant un titre d'habili-
tation depuis 3 ans
La durée
1.5 jour
Effectif
10 personnes maximum
L’intervenant
Formateur à la prévention
des risques d’accidents
d’origine électrique
36
E4– RECYCLAGE HABILITATION ELECTRIQUE PERSONNEL ELECTRI-CIEN B1, B1V, B2, B2V, B2V ESSAI, BR, BC, H1, H1V, H2, H2V, H2V ES-SAI, BE mesure, BE vérification, HE mesure, HE vérification, BE essai, HE essai, HC
Le programme
Thèmes communs :
Analyse des accidents et presque accidents : processus et conséquences
avérées et potentielles
Pratiques professionnelles
Thèmes spécifiques
Zones d’environnement et leurs limites
Habilitation: limites, zones, analyse des risques et mesures de prévention
Analyse des risques et mise en œuvre des principes généraux de prévention
Protection collective : mesures, équipements et signalisation
Equipement de protection individuelle : identifier, vérifier, utiliser
Equipement de travail utilisé (échelles, outils à main) : risques et mise en
œuvre
Mise en sécurité d’un circuit : mise hors tension, VAT, consignation, mise
hors de portée
Documents applicables dans le cadre d’une opération : instruction de sécuri-
té, attestation de consignation, attestation de première étape de consigna-
tion, autorisation de travail, certificat pour tiers, avis de fin de travail…
Mesures de prévention à appliquer lors d’une opération : éliminer le risque,
organiser, délimiter, signaler, respecter et faire respecter
Induction et couplage capacitif et mesure de prévention associée (mise en
équipotentialité)
Incendie et accidents sur ou près des ouvrages et installations électriques
Pré-requis
Personnel électricien pos-
sédant un titre d'habilitation
non électricien depuis 3 ans
La durée
1.5 jour
Effectif
10 personnes maximum
L’intervenant
Formateur à la prévention
des risques d’accidents
d’origine électrique
L’objectif :
Faire acquérir à l’apprenant
une aptitude profession-
nelle dans le domaine de la
prévention des risques
électrique
37
RISQUES LIES AUX MATIERES DANGEREUSES
38
F1 - EXIGENCES DU CHAPITRE 1.3 DE L’ADR APPLIQUES AUX DASRI
L’objectif
Se familiariser avec les prescriptions générales relatives au TMD
Connaître les règlements relatifs au TMD
Se former aux risques et aux règles de sécurité du TMD
Savoir identifier, emballer et contrôler la chaîne d’évacuation des
DASRI,
Connaître la réglementation et la prévention de ce type de déchet,
Connaître les diverses composantes des règles en vigueur.
(Référence: obligation de formation édictée au chapitre 1.3 de l’A.D.R.)
Le programme
(3 heures)
Classement des marchandises dangereuses
Emballage
Chargement et déchargement
Documents de transport
Responsabilité des différents intervenants (4 heures)
Définitions des DASRI et contexte réglementaire
Les étapes de l’élimination des DASRI : - Le tri - Le conditionnement - L’entreposage - Les modalités de transport - Les traitements des DASRI (filières d’élimination)
Les étapes de l’élimination des pièces anatomique : - Le classement - L’emballage - L’entreposage - Les modalités de transport - Les traitements des DASRI (filières d’élimination)
Une attestation de stage sera délivrée aux participants.
Le public concerné : • Personnel employé par les exploitants de véhicules routiers ou par les expédi-teurs de marchandises dangereuses • Personnel qui charge ou décharge des marchan-dises dangereuses • Personnel qui travaille pour les transitaires et les bureaux d’expédition •Toute personne interve-nante dans la chaîne des DASRI (acheteur, chargeur, déchargeur, etc.), Pré-requis Aucun Durée 1 jour Effectif 20 personnes maximum L’ intervenant
Conseiller à la sécurité
39
F2 - SENSIBILISATION DU PERSONNEL INTERVENANT EN ZONE ATEX NIVEAU 0
L’objectif de formation
Permettre au personnel amené à travailler en zone à risque d’explosion,
mais sans intervenir sur des équipements soumis à la réglementation ATEX,
d’être informé et sensibilisé sur le contexte réglementaire de l’ATEX.
OBJECTIFS PEDAGOGIQUES
Etre capable de :
Définir les textes réglementaires régissant les zones ATEX, Sensibiliser sur les risques ATEX afin d’améliorer leur
comportement quotidien
Le programme
LE CONTEXTE REGLEMENTAIRE ATEX - Qu’impose la Directive 1999/92/CE du 16/12/1999 - Qu’impose la Directive 94/9/CE ? GENERALITES ATEX - Qu’est-ce qu’une ATEX ? - Quand peut-on être en présence d’une ATEX ? - Comment une ATEX peut-elle exploser ? - Quelles sont les substances inflammables les plus dangereuses ? - Comment éviter l’explosion d’une ATEX ? LES MODES DE PROTECTION DES MATERIELS UTILISES EN ATEX GAZEUSE ET EN PRESENCE DE POUSSIERES (SI BESOIN) - Modes de protection des matériels électriques - Modes de protection des matériels non-électriques REGLES D’INTERVENTION EN ZONE ATEX Règles générales Outillage Risque électrostatique EVALUATIONS INITIALES NIVEAU 0 EVALUATION
Evaluation initiale Personnel Niveau 0
Sous forme de QCM, cette évaluation porte sur l’aspect règlementaire, les
règles d’intervention et les prescriptions de sécurité à appliquer en zone
ATEX.
Evaluation standard stagiaires
Les stagiaires évaluent l’atteinte des objectifs pédagogiques en fin de forma-
tion. Cette évaluation utilise un questionnaire et dure environ 5 mn.
Le Public concerné
Toute personne amenée à
travailler en zone à risque
d’explosion mais sans in-
tervenir sur des équipe-
ments soumis à la règle-
mentation ATEX.
Pré-requis
Aucun
La Méthodologie
Exposés. Exercices QCM
et études de cas. Débats.
La durée
1 jour
Le nombre de candidats
12 personnes maximum
L’ intervenant
Formateur certifié par
l’INERIS
40
F3 - AGENT D’EXECUTION : ISM-ATEX NIVEAU 1 ELETRIQUE ET ME-CANIQUE
OBJECTIF DE FORMATION :
Permettre aux techniciens de mettre en application les prescriptions de sécurité im-
posées par les exigences des directives européennes et du contexte réglementaire,
lors de leurs interventions sur des équipements soumis à la réglementation ATEX.
CONTENU :
GENERALITES SUR LES ATMOSPHERES EXPLOSIVES GAZEUSES ET POUSSIEREUSES
Qu’est-ce qu’une ATEX ?
Grandeurs caractéristiques vis-à-vis du risque d’explosion : point éclair, EMI,
IEMS, LIE,LSE,TAI,…)
Les sources d’inflammation
LE CONTEXTE REGLEMENTAIRE
Risque industriel
Rappels juridiques
Qu’impose la directive 1999/92/CE ?
Qu’impose la directive 94/9/CE ?
LES REGLES DE PROTECTION ET D’INSTALLATIONS DES EQUIPEMENTS
ELECTRIQUES DESTINES A FONCTIONNER EN ATEX
Règles générales
Règles concernant le choix des câbles
Modes de pose, raccordement des câbles aux matériels,..
PRESENTATION GENERALE DES MODES DE PROTECTION ELECTRIQUES
NORMALISES ET DES REGLES DE REALISATION ET DE MAINTENANCE DES
INSTALLATIONS ELECTRIQUES EN ATEX
INSPECTION ET ENTRETIEN DES INSTALLATIONS ELECTRIQUES
Règles générales Mode de protection « d » Mode de protection « e » Mode de protection « i » Modes de protection « p », « n »
PRESENTATION GENERALE DES MODES DE PROTECTION NON EVALUATION
INITIALE AGENT D’EXECUTION NIVEAU 1 E
LES MECANISMES D’INFLAMMATION DES MATERIELS NON-ELECTRIQUES
LES REGLES GENERALES RELATIVES A LA CONCEPTION DES MATERIELS
NON ELECTRIQUES
INSTALLATION ET MAINTENANCE DES MATERIELS NON-ELECTRIQUES UTI-
LISES EN ZONE ATEX
LE MARQUAGE DES MATERIELS
Interprétation des différents marquages Exercices
REGLES D’INTERVENTION EN ZONE ATEX
Règles générales Outillage Risque électrostatique LE REFERENTIEL Ism-ATEX
EVALUATION INITIALE AGENT D’EXECUTION NIVEAU 1 M
Le Public concerné
Tout technicien et/ou agent de
maintenance, monteur, câ-
bleur intervenant sur site en
zones ATEX.
Objectifs pédagogiques
Etre capable de :
Appréhender les fondamentaux de la règlementation ATEX, Appliquer les règles de sécurité spécifiques en zone ATEX dans le cadre de travaux de conception, d’installation et de maintenance, Mettre en œuvre du matériel en zone ATEX en conformité aux différentes normes et textes législatifs, Détecter des anomalies en relation avec la règlementation et les normes ATEX, Reconnaître les différents modes de protection des matériels électriques et non-électriques dans les zones ATEX, Echanger techniquement avec le donneur d’ordre, Obtenir la certification Agent d’Exécution AE Niveau 1E et 1M délivrée par l’INERIS dans le cadre d’ISM-ATEX (Installation-Service-Maintenance ATEX)
Pré-requis : Posséder les
bases élémentaires en électri-
cité
Durée : 2 jours
Nombre de stagiaire : 10
maxi
Méthodologie
Exposés théoriques, travaux
individuels en sous groupe
Utilisation de moyens informa-
tiques
Exposés et analyses d'études
de cas spécifiques à vos ins-
tallations
41
F4 - AGENT D’EXECUTION : ISM-ATEX NIVEAU 1 ELECTRIQUE ET ME-CANIQUE
OBJECTIF DE FORMATION :
Permettre au personnel encadrant les agents d’exécution et pouvant intervenir sur du maté-
riel soumis à la réglementation ATEX de répondre aux exigences des directives et de la ré-
glementation ATEX.
CONTENU :
Contexte règlementaire
Généralités Risque industriel
Rappels juridiques
Généralités concernant les phénomènes d’explosions de gaz et de poussières
Qu’est-ce qu’une ATEX ? Grandeurs caractéristiques vis-à-vis du risque d’explosion : point éclair, EMI,
IEMS, LIE, LSE, TAI,…)
Les sources d’inflammation
La règlementation applicable aux utilisateurs de matériels ATEX
Qu’impose la directive européenne 1999/92/CE ? La transposition en droit français Les mesures techniques et organisationnelles
La règlementation concernant les appareils set systèmes de protection destinés à être
utilisés en atmosphères explosives
Qu’impose la directive européenne 94/9/CE ? Les produits concernés
Les catégories de matériel
Les principes généraux du classement des zones
Les différents modes de protection électriques normalisés
Règles de protection des installations électriques Règles applicables aux matériels implantés en ATEX gaz (d, e, p, i, n) Règles applicables aux matériels implantés en ATEX poussières (d, e, i, tD,m)
Les règles de conception, de réalisation et de maintenance des installations élec-
triques en ATEX
Adéquation zones/matériels électriques existants
Inspection et entretien des installations électriques
Règles générales Mode de protection « d » Mode de protection « e » Mode de protection « i » Mode de protection « p »
Les mécanismes d’inflammation des matériels non-électriques
Les règles générales relatives à la conception des matériels non-électriques
Présentation générale des modes de protection non électriques
Règles générales Règles applicables aux matériels implantés en ATEX gaz (fr, d, c, b, k)
Installation et maintenance des matériels non-électriques utilisés en zone ATEX
Adéquation zones/matériels non-électriques existants
Les marquages des materiels
Interprétation des différents marquages Exercices
Intervention et travail en ATEX
Interventions sous tension et hors tension Outillage Risque électrostatique
Mise en pratique du référentiel de certification ISM-ATEX
Evaluations initiales personnes autorisées PA Niveau 2 E et M
Pré-requis : Posséder les bases nécessaires à l’évaluation des risques professionnels et
des connaissances élémentaires en électricité et en physique-chimie.
Le Public concerné
Directeur Technique, Respon-
sable maintenance, Respon-
sable HSE, Responsable et/ou
animateur sécurité, Chargés
d’affaires, Chargés de travaux,
Responsable d’exploitation
chargés de garantir la sécurité
des personnels et la conformité
des matériels en zones potentiel-
lement explosives
Objectifs pédagogiques
Etre capable de :
Mesurer l’impact des directives
et des décrets sur l’organisation
du site,
Accueillir, former et encadrer les
agents d’exécution opérant en
zones ATEX,
Assurer le respect des règles
d’intervention et de mise en
œuvre pour la conception et/ou
la réalisation et/ou la mainte-
nance de l’installation,
Etre garante du choix des outils
et équipements utilisés lors de la
réalisation et/ou la maintenance
de l’installation,
Assurer la traçabilité des inter-
ventions réalisées sur
l’installation,
Obtenir la certification Personne
Autorisée Niveau 2 E et M déli-
vrée par l’INERIS dans le cadre
d’ISM-ATEX.
Durée : 4 jours (28 heures)
Nombre de stagiaire : 10 maxi
Méthodologie : Méthodes ex-
positives et interactive
s’appuyant sur des cas concrets.
Utilisation de moyens informa-
tiques. Exposés et analyses
d'études de cas spécifiques à
vos installations
Evaluations formatives en cours
de formation. Visite des ateliers
de production et des zones de
stockage
42
F5 - LES MATIERES DANGEREUSES : EXIGENCES DU CHAPITRE 1.3 DE L’ADR
La Situation
Les matières dangereuses pouvant être présentes de la création à la ferme-
ture de sites : fabrication, stockage, mise en œuvre, transport, destruction et
dépollution.
La réglementation en matière de sécurité pyrotechnique, d'Installations Clas-
sées pour la Protection de l'Environnement, de sécurité incendie, de sûreté,
de transport des marchandises dangereuses...
L’objectif
Se familiariser avec les prescriptions générales relatives au TMD.
Connaître les règlements relatifs au TMD.
Se former aux risques et aux règles de sécurité du TMD.
Référence réglementaires. Chapitre 1.3 de l’ADR 2013.
Le programme
Classement des marchandises dangereuses, emballage, charge-
ment et déchargement, conformité des véhicules, documents de
transport, responsabilité des différents intervenants.
Règles spécifiques applicables à certains transports,(matières et
objets explosibles, citernes, …).
Formation devant être complétée périodiquement pour tenir compte
des changements de la réglementation.
Le Public concerné
personnel employé par les
exploitants de véhicules
routiers ou par les expédi-
teurs de marchandises
dangereuses, personnel qui
charge ou décharge des
marchandises dange-
reuses, personnel qui tra-
vaille pour les transitaires
et les bureaux d’expédition
La Méthodologie
Exposés. Exercices QCM
et études de cas. Débats
La durée
1 jour
Le nombre de candidats
15 personnes maximum
L’ intervenant
Conseiller à la sécurité
43
F6 - LA PREVENTION DES RISQUES CHIMIQUES
Références réglementaires : Articles R. 4412-17 et R. 4412-18 du code
du travail
La Situation
Les matières dangereuses peuvent être présentes de la création à la ferme-
ture de sites (fabrication, stockage, mise en œuvre, transport, destruction et
dépollution), il faut donc prendre conscience des risques liés à l’emploi et la
manipulation des produits chimiques et être capable de mettre en œuvre des
moyens de prévention et de protection adaptés.
L’objectif
Identifier les risques liés aux produits chimiques
Rechercher des informations sur les produits dangereux
Assimiler les règles de prévention et de protection
Utiliser les bons équipements de Protection Individuel.
Savoir réagir en cas d'incident ou d'accident
Le programme
Connaître et reconnaître les risques liés aux produits chimiques :
Les déversements accidentels, les fuites, les brûlures, l’inhalation
ou l’ingestion.
Adopter les bons comportements (gestes et réflexes) face aux dan-
gers des produits.
Utiliser les bons EPI.
Savoir réagir en cas d'incident ou d'accident : les bonnes pratiques.
Identifier les situations à risque : analyse des risques liés aux opé-
rations de stockage, transport, transvasement, mélange, utilisation,
élimination.
S‘informer sur les produits utilisés : Savoir lire et comprendre une
étiquette, connaître les fiches de données de sécurité (FDS).
Les règles de compatibilité, les équipements de protection collec-
tive, aspiration, rétention, distribution automatique, détection,
alarmes.
Le Public concerné
Personnel utilisant ou ex-
posé à des produits chi-
miques
La Méthodologie
Exposés. Exercices QCM
et études de cas. Débats
La durée
1 jour
Le nombre de candidats
20 personnes maximum
L’ intervenant
Conseiller à la sécurité
44
F7 - PREPARATION A L’EXAMEN DE CONSEILLER A LA SECURITE
Références réglementaires : ADR 2009. Arrêté du 01 juin 2001 modifié,
en dernier lieu, par arrêté du 29 mai 2009 relatif au transport des Mar-
chandises Dangereuses par Route.
L’objectif
Préparation aux épreuves de l’’examen de conseillers à la sécurité pour le
TMD par voie terrestre.
VALIDITE DE L’EXAMEN : 5 ans
La situation
Depuis le 1er janvier 2000, la réglementation du transport de marchan-
dises dangereuses par voie terrestre impose la désignation d'un con-
seiller à la sécurité aux entreprises dont l'activité comporte le transport de
marchandises dangereuses par route, ou les opérations d'emballage, de
chargement, de remplissage ou de déchargement liées à ces transports.
Le conseiller à la sécurité est chargé d'aider à la prévention des
risques pour les personnes, les biens ou l'environnement, inhérents à
ces activités.
Les missions du Conseiller à la Sécurité :
1 - Examiner le respect des règles relatives au chargement, déchar-
gement et transport de marchandises dangereuses et de conseiller
l’entreprise,
2 - Assurer la rédaction d’un rapport d’accident et de ses modalités
de traitement,
3 - Rédiger un rapport annuel destiné à la direction de l’entreprise ou,
le cas échéant, à une autorité publique locale, sur les activités de cette
entreprise relatives au transport de marchandises dangereuses.
Le diplôme de conseiller à la sécurité est obtenu après la réussite d'un
examen, organisé par le CIFMD*. Le passage de l'examen du conseiller à
la sécurité nécessite une connaissance de la réglementation du transport de
marchandises dangereuses.
Le programme
Révision de l’ADR et des règles générales du TMD.
Révision de la réglementation «franco française».
Rôle et missions du conseiller sécurité TMD.
Révision et exercices sur les spécificités des classes 1, 2, 3, 4.1,
4.2, 4.3, 5.1, 5.2, 6.1, 6.2, 8 et 9.
Le Public concerné
Personnes inscrites à
l'examen du conseiller à la
sécurité pour le transport
de marchandises dange-
reuses
(hors classe 7).
La Méthodologie
Exposés. Exercices QCM
et études de cas. Débats
La durée
Tronc commun : 3 jours
Classes 3 à 9 (sauf 7) :
2 jours
Classe 2 (gaz) :
2 jours
Classe 1 (explosif) :
1 jour
Le nombre de candidats
15 personnes maximum
L’ intervenant
Conseiller à la sécurité
* Comité Interprofessionnel pour le développement
de la Formation dans les transports de Marchan-
dises Dangereuses
45
F8- RISQUES LIES A LA RECEPTION DE CITERNES DE CARBURANT
L’Objectif
Sensibiliser les personnels de stations services à leurs obligations réglementaires et
aux risques liés aux opérations de contrôles et de dépotages des citernes
Cette formation répond aux obligations de la recommandation R450 de la CNAM
(accès aux dômes des citernes), du chapitre 1.3 de l’ADR (formation des interve-
nants dans le TMD et de l’arrêté du 12 octobre 2011 relatifs aux installations de
déchargement sur site classé en autorisation au titre des ICPE.
Le programme
INTRODUCTION
Présentations des accidents liés aux transports et à la réception des carburants
CONTEXTE REGLEMENTAIRE : ADR, ICPE, R450, Les COV
LES LIQUIDES INFLAMMABLES
Point éclair – Pression de vapeur – COV - Triangles du feu – Limites
d’inflammabilité – Electricité statique – Risques pour l’environnement - Téléphone
portable.
LE TRAVAIL EN HAUTEUR
Réglementation.
Analyse des risques liés à l’accès aux dômes et à l’environnement extérieurs (Lignes
électriques, Orages, clientèles, …).
La montée et la descente
Circulation sur la passerelle.
Opérations aux niveaux des dômes.
LA REGLEMENTATION TMD
Principales mesures réglementaires.
Protocole de sécurité.
Contrôle de la citerne
Retour citerne vide.
Equipements et signalisations des citernes
Flexibles de dépotage
LES REACTIONS EN CAS D’INCIDENTS
L’incendie.
L’épandage de produit.
Le mélange.
La chute du dôme.
LA SURETE
Les risques de la malveillance
Notions de TMD à Haut risques.
Le Public concerné
Gérant de stations services.
Personnel en charge des
réceptions des citernes
Moyens pédagogiques
Présentation Powerpoint.
QCM QUIZBOX®.
Livret stagiaire.
Exercice pratiques.
La Méthodologie
Exposés et débats avec le
groupe.
Exercice pratiques : La pos-
sibilité de réaliser la réception
d’une citerne de carburant sur
le site d’une station service
sera un plus pour la partie
« travail en hauteur
La durée
1 jour (7 heures)
Le nombre de candidats
12 maxi
L’intervenant : Conseiller à
la sécurité TMD Formation
CSTMD et TMD Tous modes
/ Toutes classes
46
F9- FORMATION CODE IMDG SELON CHAPITRE 1.3
L’Objectif Acquérir les connaissances nécessaires à l’expédition en sécurité des mar-
chandises dangereuses par voie maritime.
Le programme
INTRODUCTION CONTEXTE REGLEMENTAIRE
CADRE REGLEMENTAIRE
CLASSIFICATION DES MATIÈRES CLASSIFICATION DES PRODUITS IMDG
POLLUANT MARIN
L’EMBALLAGE DES MARCHANDISES DANGEREUSES LE CHOIX DE L'EMBALLAGE
CODIFICATION DES EMBALLAGES ONU / IMDG MARQUAGE ET ÉTIQUETAGE DES EMBALLAGES IMDG
LES RÉGIMES D’EXPÉDITIONS QUANTITÉS EXEPTÉES
QUANTITÉS LIMITÉES
LES DOCUMENTS DE TRANSPORTS CODE IMDG
CONDITIONS DE TRANSPORTS EMPOTAGE CONTENEUR
ARRIMAGE / SÉPARATION
LA FORMATION OBLIGATOIRE
LA SURETÉ LA DIVISION 411
LE RPM
LES SUPPLÉMENTS DU CODE IMDG EXERCICES PRATIQUES
Le Public concerné
Administratifs marchan-
dises dangereuses.
expéditions.
l’empotage.
La Méthodologie Exposés et débats avec le
groupe
Présentation Powerpoint.
La durée
1 jour
Le nombre de candidats 12 maxi
L’intervenant : Conseiller
à la sécurité TMD Forma-
tion CSTMD et TMD Tous
modes / Toutes classes
47
F10- REGLEMENTATION 2011 DU TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES
L’Objectif Mise à jour des connaissances 2011 : ADR – IATA - IMDG
Le programme
INTRODUCTION CONTEXTE REGLEMENTAIRE - EVOLUTION ADR – IATA – IMDG EVOLUTION CLASSIFICATION DES MATIERES CLASSIFICATION DES PRODUITS ONU EVOLUTION EN LIEN AVEC GHS / CLP MESURES TRANSITOIRES L’EMBALLAGE DES MARCHANDISES DANGEREUSES (RAPPEL ET MODIFICATION IATA) LE CHOIX DE L'EMBALLAGE CODIFICATION DES EMBALLAGES ONU / ADR MARQUAGE ET ETIQUETAGE DES EMBALLAGES ADR/IATA/IMDG APPERCU DE L’ETIQUETAGE CLP LES REGIMES D’EXPEDITIONS (Rappel et modification) EXEMPTION QUANTITE EXEPTE QUANTITE LIMITE 2011 (IATA - ADR – IMDG) EXEMPTION 1.1.3.6 LES DOCUMENTS DE TRANSPORTS (Rappel et modification 2011) Evolution des consignes de sécurité ADR CONDITIONS DE TRANSPORTS Evolutions des équipements de transports LES RESPONSABILITES CONSEILLER A LA SECURITE ROLE DU DECHARGEUR LA FORMATION OBLIGATOIRE Evolution des formations conducteurs. La formation obligatoire ADR / Code IMDG LA SURETE « Sensibilisation à la sûreté »
Le Public concerné Administratif marchandises dangereuses Personne chargée des expéditions. CSTMD, gestionnaires de déchets, expéditeurs, tran-sitaires… La Méthodologie Cours magistraux, Illustrations par diapositives et films, mise en situation. La durée 1 jour Le nombre de candidats 12 maxi
Validation : Attestation de présence / QCM QUIZBOX L’intervenant : Conseiller à la sécurité TMD Formation CSTMD et TMD Tous modes / Toutes classes
48
SURETE ET SECURITE
49
G1 - AGENT DE SURETE DES INSTALLATIONS PORTUAIRES (A.S.I.P.)
La situation
En décembre 2002, l’Organisation maritime internationale (OMI) a adopté de
nouveaux standards pour une sûreté maritime plus complète (Code ISPS)
pour la navigation internationale afin de prévenir et de supprimer les actes
de terrorismes contre les navires dans le monde. Ce concept de la gestion
du risque se manifeste dans le Code ISPS par un certain nombre
d’exigences minimum de critères de sûreté requis pour les installations por-
tuaires et les navires.
L’Objectif
Formation obligatoire :
Désignation de un ASIP pour chaque terminal (installation portuaire),
joignable en permanence (toujours un minimum de 2 agents formés).
Les personnes ayant suivi ces cours avec succès doivent pouvoir occuper
les fonctions et assumer les responsabilités de l'agent de sûreté de l'installa-
tion portuaire telles qu'elles sont définies dans la section A/17.2 du code
ISPS.
Le programme
REFERENTIEL : Code ISPS-Arrêté du 17/06/2004 relatif à la Sûreté de
l’Installation Portuaire.
La menace sur l’industrie maritime. Réglementation nationale.
Méthodologie évaluation de la sûreté. Prévention d'actes illicites.
Méthodes de fouilles. Contrôle des accès – exercices et formation
du personnel.
Reconnaissance des armes et engins dangereux Engins explosifs
improvisés.
Plan de sûreté d'installations portuaires.
Gestion de crise, contrôle des foules
Les différents types de navires, la chaîne de commandement à bord
(sûreté), l’Interface navires ports.
Le Public concerné
Cadres des entreprises
portuaires chargés de la
Sûreté des Installations
Portuaires (destinés à oc-
cuper la fonction telle que
décrite dans le code ISPS),
officiers de ports, capitaine-
ries, suppléants de l’ASIP.
La Méthodologie
Cours magistraux, Illustra-
tions par diapositives et
films, mise en situation.
Évaluation : QCM (20
questions)
Validation : certificat
La durée
5 jours
Le nombre de candidats
16 personnes maximum
Les intervenants
Les intervenants sont
agrées par la DIRM et ap-
pliquent les prescriptions du
chapitre XI-2 de SOLAS 74
amendé et du code ISPS
50
G2 - AGENT DE SURETE DE LA COMPAGNIE ISPS / CSO
L’objectif
Les personnes ayant suivi ce cours avec succès doivent pouvoir occuper les
fonctions et assumer les responsabilités de l'agent de sûreté de la compa-
gnie telles qu'elles sont définies dans la section A/11.2 du code ISPS.
Le programme
1. Formuler des avis sur les degrés de menace auxquels le navire risque
d'être confronté, à l'aide d'évaluations appropriées de la sûreté et
d'autres renseignements pertinents.
2. Veiller à ce que des évaluations de la sûreté du navire soient effectuées.
3. Veiller à l'élaboration, à la soumission aux fins d'approbation et puis à la
mise en œuvre et au maintien du plan de sûreté du navire.
4. Veiller à ce que le plan de sûreté du navire soit modifié comme il convient
pour en rectifier les lacunes et veiller à ce qu'il réponde aux besoins du
navire en matière de sûreté.
5. Prendre des dispositions en vue des audits internes et des examens des
activités liées à la sûreté.
6. Prendre des dispositions en vue des vérifications initiales et ultérieures
du navire par l'administration ou l'organisme de sûreté reconnu.
7. Veiller à ce que les défectuosités et les non-conformités identifiées lors
des audits internes, des examens périodiques, des inspections de sûreté
et des vérifications de conformité soient rectifiées rapidement.
8. Accroître la prise de conscience de la sûreté et la vigilance.
9. Veiller à ce que le personnel responsable de la sûreté du navire ait reçu
une formation adéquate.
10. Veiller à l'efficacité de la communication et de la coopération entre l'agent
de sûreté du navire et les agents de sûreté pertinents des installations
portuaires.
11. Veiller à ce que les exigences en matière de sûreté et de sécurité con-
cordent.
12. Veiller à ce que, si l'on utilise des plans de sûreté de navires de la même
compagnie ou d'une flotte de navires, le plan de chaque navire reflète
exactement les renseignements spécifiques à ce navire.
Le Public concerné
Formation au bénéfice des
personnes occupant ou
susceptibles d’occuper les
fonctions d’Agent de sûreté
de la compagnie
La Méthodologie
Cours magistraux, Illustra-
tions par diapositives et
films.
La formation de CSO est
validée et attestée lorsque
le candidat a démontré qu’il
a atteint la norme de com-
pétence minimale. Un
examen écrit ou informa-
tique permet de contrôler
les connaissances ac-
quises.
Validation : certificat
La durée
32 heures
Le nombre de candidats
16 personnes maximum
Les intervenants
Les intervenants sont
agrées par la DIRM et ap-
pliquent les prescriptions
du chapitre XI-2 de SOLAS
74 amendé et du code
ISPS
51
G3 - AGENT DE SURETE DU NAVIRE ISPS / SSO
L’objectif
Les personnes ayant suivi ce cours avec succès doivent pouvoir occuper les
fonctions et assumer les responsabilités de l'agent de sûreté du navire telles
qu'elles sont définies dans la section A/12.2 du code ISPS.
Le programme
1. Procéder à des inspections de sûreté régulières du navire pour s'as-
surer que les mesures de sûreté sont toujours appropriées.
2. Assurer et superviser la mise en œuvre du plan de sûreté du navire,
y compris de tout amendement apporté à ce plan.
3. Coordonner les aspects liés à la sûreté de la manutention des car-
gaisons et des provisions de bord avec les autres membres du per-
sonnel de bord et avec les agents de sûreté pertinents des installa-
tions portuaires.
4. Proposer des modifications à apporter au plan de sûreté du navire.
5. Notifier à l'agent de sûreté de la compagnie toutes défectuosités et
non-conformités identifiées lors des audits internes, des examens
périodiques, des inspections de sûreté et des vérifications de con-
formité et mettre en œuvre toutes mesures correctives.
6. Accroître la prise de conscience de la sûreté et la vigilance à bord.
7. Veiller à ce que le personnel responsable de la sûreté du navire ait
reçu une formation adéquate, selon qu'il convient.
8. Notifier tous les incidents de sûreté.
9. Coordonner la mise en œuvre du plan de sûreté du navire avec
l'agent de sûreté de la compagnie et avec l'agent de sûreté perti-
nent de l'installation portuaire.
10. S'assurer que le matériel de sûreté est correctement utilisé, mis à
l'essai, étalonné et entretenu.
Le Public concerné
Personnes occupant ou
susceptibles d’occuper les
fonctions d’agent de sûreté
du navire.
La Méthodologie
Cours magistraux, Illustra-
tions par diapositives et
films.
La formation de SSO est
validée et attestée lorsque
le candidat a démontré qu’il
a atteint la norme de com-
pétence minimale. Un exa-
men écrit ou informatique
permet de contrôler les
connaissances acquises.
Validation : certificat
La durée
21 heures
Le nombre de candidats
16 personnes maximum
Les intervenants
Les intervenants sont
agrées par la DIRM et ap-
pliquent les prescriptions du
chapitre XI-2 de SOLAS 74
amendé et du code ISPS
52
G4 - SENSIBILISATION DU PERSONNEL PORTUAIRE A LA SURETE MA-RITIME
La situation
En décembre 2002, l’Organisation maritime internationale (OMI) a adopté de nouveaux standards pour une sûreté maritime plus complète (Code ISPS) pour la navigation internationale afin de prévenir et de supprimer les actes de terrorismes contre les navires dans le monde. Ce concept de la gestion du risque se manifeste dans le Code ISPS par un certain nombre d’exigences minimum de critères de sûreté requis pour les installations por-tuaires et les navires.
Le code ISPS et le chapitre XI-2 de la SOLAS ont pour objectifs essentiel-
lement la détection des menaces contre la sûreté et la prise de mesures de
sauvegarde contre les incidents de sûreté qui menacent les navires ou les
installations portuaires utilisés dans le commerce international.
L’objectif
L’objectif de ce stage de sensibilisation est de prendre connaissance de tous les risques qui pourraient porter atteinte aux personnes qui travaillent et circulent en zone portuaire ainsi que leurs biens.
Le programme
La Sensibilisation à la Sûreté Maritime et Portuaire :
La Législation en Vigueur,
Les Incidents de Sûreté – Les Armes,
les différents niveaux de sûreté
Présentation succincte du Code ISPS.
Les Techniques de Sûreté.
Les principales techniques utilisées pour contourner les mesures de sûreté.
Le Container Security Initiative.
Reconnaître, identifier et détecter des armes, des substances et des engins dangereux
Identifier les personnes risquant de menacer la sûreté de l’installation portuaire
Le Public concerné
Personnes susceptibles de
travailler sur une zone por-
tuaire.
La Méthodologie
Cours magistraux, Illustra-
tions par diapositives et
films.
La durée
1 jour
Le nombre de candidats
15 personnes maximum
L’Intervenant
Les intervenants sont
agrées par la DIRM et ap-
pliquent les prescriptions du
chapitre XI-2 de SOLAS 74
amendé et du code ISPS
53
G5 - AGENT CHARGE DES VISITES DE SURETE DANS LES ZONES D’ACCES RESTREINTS PORTUAIRES (module initial)
La situation En décembre 2002, l’Organisation maritime internationale (OMI) a adopté de nouveaux standards pour une sûreté maritime plus complète (Code ISPS) pour la navigation internationale afin de prévenir et de supprimer les actes de terrorismes contre les navires dans le monde. Ce concept de la gestion du risque se manifeste dans le Code ISPS par un certain nombre d’exigences minimum de critères de sûreté requis pour les installations por-tuaires et les navires. L’objectif
Doter les Agents de surveillance ayant une activité dans un port, des con-
naissances nécessaires aux tâches et responsabilités qui leurs incombent.
Formation rendue obligatoire par l’arrêté du 23 septembre 2009
Le programme
Principes généraux de la sûreté et objectifs de la sûreté du transport
maritime.
Connaissance des articles prohibés en matière de sûreté maritime
Connaissance de l’environnement portuaire
Connaissance générale des différents acteurs du transport maritime
et de leur rôle-dispositions réglementaires applicables en matière de
sûreté du transport maritime et portuaire
Dispositions réglementaires applicables en matière de sûreté du
transport maritime et portuaire.
Compréhension du rôle de l’installation portuaire et de la zone
d’accès restreint
Rôle des services de l’Etat et des différents acteurs en matière de
sûreté du transport maritime et portuaire
Conditions d’attribution, de suspension et de retrait du double agré-
ment
Conditions du contrôle de l’activité des agents de sûreté
Le Public concerné
Agent de sûreté effectuant
les taches de contrôle, sur-
veillance, gardiennage
dans les entreprises por-
tuaires, les ports, partici-
pant à la sûreté des instal-
lations portuaires.
La Méthodologie
Cours magistraux, Illustra-
tions par diapositives et
films, remise à chaque sta-
giaire d’un document écrit.
La durée
7 heures
Le nombre de candidats
15 personnes maximum
L’ intervenant
Les intervenants sont
agrées par la DIRM et ap-
pliquent les prescriptions du
chapitre XI-2 de SOLAS 74
amendé et du code ISPS
54
G6 - AGENT CHARGE DES VISITES DE SURETE DANS LES ZONES D’ACCES RESTREINTS PORTUAIRES (module 2)
La situation En décembre 2002, l’Organisation maritime internationale (OMI) a adopté de nouveaux standards pour une sûreté maritime plus complète (Code ISPS) pour la navigation internationale afin de prévenir et de supprimer les actes de terrorismes contre les navires dans le monde. Ce concept de la gestion du risque se manifeste dans le Code ISPS par un certain nombre d’exigences minimum de critères de sûreté requis pour les installations por-tuaires et les navires. L’objectif
Doter les Agents de surveillance ayant une activité dans un port, des con-
naissances nécessaires aux tâches et responsabilités qui leurs incombent.
Formation rendue obligatoire par l’arrêté du 23 septembre 2009
Le programme
Déontologie des visites de sûreté
Comportement vis-à-vis des personnes, palpation de sécurité.
Connaissance de l’environnement portuaire Mise en œuvre des
techniques de maintien d’intégrité lors de l’embarquement.
Moyens de détection des articles prohibés du transport maritime.
Emploi des équipements portables de détection de masse magné-
tique sur personnes avec démonstration pratique.
Emploi des équipements de détection de traces d’explosif.
Techniques de fouilles des véhicules, y compris leur cargaison, d’un
bagages, d’un container ou d’un unité de charge pour vérifier
l’absence d’articles prohibés ou de personnes non autorisées
Le Public concerné
Agent de sûreté effectuant
les taches de contrôle, sur-
veillance, gardiennage
dans les entreprises por-
tuaires, les ports, partici-
pant à la sûreté des instal-
lations portuaires.
La Méthodologie
Cours magistraux, Illustra-
tions par diapositives et
films, remise à chaque sta-
giaire d’un document écrit.
La durée
14 heures
Le nombre de candidats
15 personnes maximum
L’ intervenant
Les intervenants sont
agrées par la DIRM et ap-
pliquent les prescriptions du
chapitre XI-2 de SOLAS 74
amendé et du code ISPS
55
G7 - GESTION DE CRISE ET DU COMPORTEMENT HUMAIN DISPOSI-TIONS REGLES V/2 V/3
La situation
Le comportement humain, de par ses réactions imprévisibles ou prévisibles,
peut entraîner un enchainement de réactions pouvant amener à une esca-
lade de violence.
Toutes les organisations, quelles que soient leur activité et leur taille, peu-
vent avoir un jour à faire face à une crise.
Dans le cadre du code ISPS, les mesures de sûreté doivent être organisées
face aux phénomènes de panique et d’émeute.
L’objectif
Connaître et reconnaître les risques liés aux produits dangereux.
Adopter les bons comportements (gestes et réflexes) face aux dan-
gers des produits.
Utiliser les bons équipements de Protection Individuel.
Savoir réagir en cas d'incident ou d'accident.
Le programme
Particularité du phénomène de foule.
Evolution psychologique de l’individu au sein d’une foule.
Phénomène de panique. Phénomène d’émeute.
Gestion des situations de crise et de conflit. Mise en situation
Principe de négociation et de désescalade des conflits.
Cadre légal d’intervention. des gestions de conflits Cadre légal code
ISPS.
Interpellation d’un ou plusieurs individus. Moyens de coercition.
Palpation de sécurité.
Contrôle des accès (principes).Législation sur les armes. Informa-
tion sur les armes par destination et les engins explosifs
Le Public concerné
Personnel effectuant les
taches de contrôle, surveil-
lance, gardiennage dans
les entreprises portuaires,
les ports, participant à la
sûreté des installations
portuaires.
La Méthodologie
Exposés. Exercices QCM
et études de cas. Débats
La durée
1 jour
Effectif
15 personnes maximum
L’ intervenant
Formateur en sûreté por-
tuaire et maritime
56
G8 - REDACTION DE RAPPORTS ET DE PROCEDURES POUR LES AGENTS DE SECURITE ET DE SURETE
La situation Les Agents de sécurité ou de sûreté sont souvent confrontés aux incidents d’où l’obligation de la tenue de mains courantes. Afin de rendre compte d’une situation par écrit, la rédaction de rapports doit être objective et simplifiée. Une révision du Français est donc nécessaire ainsi qu’une méthodologie commune à la tenue des registres prévus à cet effet. L’objectif Donner les connaissances et la pratique nécessaire à la rédaction de rap-ports circonstanciés d’événements au cours d’un service de surveillance. Le programme Un peu de français :
Identification du nom, du sujet, du pronom, de l’adjectif, les homo-phones et des accords de verbes.
La main courante :
Plan procédural à la rédaction d’événements
La rédaction de mains courantes
Le traitement des appels anonymes
Le Public concerné
Les Agents de sécurité et
de sûreté
La Méthodologie
Concepts didactiques :
études de cas réels, mise
en situation.
Analyse de documents
juridiques.
Comment faire face aux
événements et les traduire
en compte - rendus
La durée
14 heures
Effectif
15 personnes maximum
L’intervenant
Formateur ayant exercé
une activité au sein des
forces de l’ordre.
57
G09 - AGENT DE PREVENTION EN ETABLISSEMENTS SCOLAIRES (A.P.E.S.)
Le Programme
Généralités sur le droit pénal :
Organisation juridictionnelle
Définition de la violence scolaire envers les enseignants et les
élèves (agressions physiques et sexuelles, racket, bizutage, « hap-
py slapping », …)
La main-courante, la plainte, la prise en charge des victimes, re-
cueil d’informations (témoins, confidents)
Le principe de « non-assistance à personne en danger »
L’âge de la responsabilité pénale, irresponsabilité pénale relative
des mineurs à partir de treize ans
Reconnaissance des armes (leur classement), les stupéfiants et
leur consommation, trafic ou soupçon de trafic
Article 40 du Code de procédure pénale. Article 226-13 du Code
Pénal. Article 11 de la loi du 13 juillet 1983 - Article 9 du décret
n°85-924 du 30 août 1985
L’agent de sécurité et son rôle en milieu scolaire
Le rôle de l’agent de sécurité- cadre légal d’exercice
Le contact avec les personnels et les enfants scolarisés
Réglementation interne à l’établissement - documents et res-
sources indispensables
Application du règlement de sécurité des ERP (Etablissement rece-
vant du public) - Classement des ERP suivant leur activité et leur
capacité
Méthode pour la mise en sûreté des élèves et du personnel
Gestion de la communication avec l’extérieur
Prévention et lutte contre la violence scolaire
Elaboration et mise en œuvre de plans de sûreté des établisse-
ments scolaires
Prévenir et intervenir en cas d’incendie et en cas d’intrusion
d’armes ou objets dangereux
Quelles consignes appliquer en cas d’urgence?
Quand et comment déclencher l’alerte ?
Contrôle d’accès (cartables et personnes)
Le Public concerné
Les Agents de prévention
et de sécurité ou de sûreté
La Méthodologie
Cours interactif en vidéo
projection,
mise en situations opéra-
tionnelles,
étude de cas réels.
Contrôle des connais-
sances : QCM
La durée
70 heures
Effectif
15 personnes maximum
Intervenant
Spécialiste de la sûreté
L’objectif Devant la recrudescence des agressions et des actes de malveillance dans les établissements scolaires, l’agent de sécurité se doit d’acquérir des connais-sances professionnelles spécifiques lui permettant d’assurer les missions de base d’un agent de préven-tion et de sécurité dans un environnement scolaire.
58
G10 – SENSIBILISATION A LA LUTTE CONTRE LA VIOLENCE SCOLAIRE
Le Public concerné
Toute personne exerçant
une activité au sein d’un
établissement scolaire
La Méthodologie
Cours interactif en vidéo
projection, mise en situa-
tions opérationnelles, étude
de cas réels.
Contrôle des connais-
sances : QCM
La durée
30 heures
Effectif
15 personnes maximum
Intervenant
Spécialiste de la sûreté
L’objectif Savoir réagir face à la re-crudescence des agres-sions et des actes de mal-veillance dans les établis-sements scolaires, les per-sonnels et enseignants. Connaître l’attitude à adop-ter, aussi bien en interven-tion que pendant ou suite à une agression. Connaître les procédures et actes de mise en sûreté des per-sonnes en établissements scolaires face aux risques majeurs.
Le Programme
Généralités sur le droit pénal :
Généralités sur le droit pénal
Organisation juridictionnelle
Définition de la violence scolaire envers les enseignants et les
élèves(agressions physiques et sexuelles, racket, bizutage, « happy
slapping »
La plainte, la prise en charge des victimes, recueil d’informations (té-
moins, confidents)
Le principe de « non-assistance à personne en danger »
L’âge de la responsabilité pénale, irresponsabilité pénale relative des
mineurs à partir de treize ans
Reconnaissance des armes (leur classement), les stupéfiants et leur con-
sommation, trafic ou soupçon de trafic
Article 40 du Code de procédure pénale. Article 226-13 du Code Pénal.
Article 11 de la loi du 13 juillet 1983 - Article 9 du décret n°85-924 du
30 août 1985
Le contact avec les personnels et les enfants scolarisés
Réglementation interne à l’établissement - documents et ressources
indispensables
Application du règlement de sécurité des ERP (Etablissement recevant du
public) - Classement des ERP suivant leur activité et leur capacité
Méthode pour la mise en sûreté des élèves et du personnel
Prévention et lutte contre la violence scolaire
Gestion de la communication avec l’extérieur
Elaboration et mise en ouvre de plans de sûreté des établissements sco-
laires
. Quelles consignes appliquer en cas d’urgence?
· Quand et comment déclencher l’alerte ?
· Contrôle d’accès (cartables et personnes)
59
G11 - LA PREVENTION DES ACTES DE MALVEILLANCE EN MILIEU HOSPITALIER
Références réglementaires
Protocole d’accord National du 14 Mars 2000.Circulaire DHOS/P1 N°2000-
609 du 15 décembre 2000 relative à la prévention et à l’accompagnement
des situations de violences.
Décret 2001-1016 du 05 Novembre 2001- Circulaire N°6 du 18 avril 2002.
Recommandations de la Préfecture de Police de Paris concernant la sécurité
dans les établissements hospitaliers
L’objectif L’accès libre à l’hôpital aux personnes pouvant justifier leur présence, facilite l’accès aux intrus et aux actes divers de malveillance : vols, dégradations et autres. Les problèmes de société sont reportés sur l’hôpital :
Apparition du phénomène des incivilités
Changement d'attitude des patients: - plus exigeants - plus agressifs - cohabitation difficile entre populations hétérogènes
S’en suivent les actes d’agressivité verbale ou physique. Cette malveillance à l’hôpital est une menace permanente pour la qualité de l’accueil, la tranquillité des malades, l’image de l’hôpital, les conditions de travail des personnels, voire la sécurité des soins. Le programme
La malveillance,
Les risques d’agressions,
L’escalade de la violence,
Causes de l’incivilité et de la violence,
Conséquence sur les personnels, les effets,
Les risques pouvant engendrer de la violence ou des dysfonction-nements dans le milieu hospitalier,
L’analyse des risques, la gravité estimée,
Champ de l’analyse et le diagnostic de la situation,
L’origine et les facteurs de risques,
Comment créer un climat de sécurité ?
Consignes de prévention
Le Public concerné
Tous les postes sont con-
cernés :
Le personnel d’accueil,
Les assistantes sociales,
Le personnel de soins,
Le personnel des urgences,
Les agents de gardiennage
ou de sécurité,
Le personnel administratif.
La Méthodologie
Concepts didactiques :
Etudes de cas réels,
Mise en situation.
La durée
1 jour
Effectif
15 personnes maximum
Intervenant
Spécialiste de la sûreté
60
G12- TONFA - Niveau 1-2 ET 3
L’objectif
Formation Initiale préalable au port de TONFA en service (1er
ni-veau- 2
ème niveau et 3
ème niveau)
Donner aux acteurs de la sécurité dotés du TONFA une formation adaptée à la législation et à la déontologie française.
Le programme 1
er niveau : (Historique) cadre légal d’emploi, interdits formels, notions de
secourisme
Les gardes,
Le placement,
Les déplacements,
Les techniques d’intimidation,
Les coups frappés / Les coups fouettés,
Les défenses sur coups de poing,
Les défenses sur coups de pied,
Attitude face à une arme blanche,
Défenses sur tentatives de saisies / dégagements
Les dégagements sur étranglements de face
Les dégagements sur étranglements arrière
2ème
NIVEAU
Révision des gestes techniques du 1er
niveau avec un supplément de ripostes avec TONFA et/ou pieds-poings
Défenses sur saisies,
Moyen d’amener,
Défenses sur attaques couteau,
3ème
NIVEAU - Révisions du 1
er et 2
ème niveau
- Conduite au sol sur :
Attaques à l’arme blanche
Attaques par coup de bâton (batte de baseball…),
Attaques pieds-poings
Saisies
Saisies du Tonfa,
Etranglement
- Les moyens d’amener (suite)
- Les sorties de véhicules
Le Public concerné
Professionnels de la sécuri-
té publique.
La Méthodologie
Formation dispensée dans
une salle adaptée ( Dojo)
protections et marériel pé-
dagogique fournis.
La durée
12 heures (2 jours) par
niveau
Effectif
8 à 12 personnes
maximum
Intervenant
Instructeur FIBD/DA
Ancien Formateur de la
Police Nationale
Délivrance du certificat FIBD / DA (Fédération In-ternationale de Bâtons de Défense et Disciplines As-sociés) ou équivalence
*Certificat médical à four-
nir au moment de
l’inscription.
61
G 13 – PREVENTION DES ACTES DE MALVEILLANCE A BORD DES TRANSPORTS
EN COMMUN
Le Public concerné Toute personne exerçant une activité en lien direct ou indirect avec le transport de public dans l’attente de sécurité des personnes et des biens
La Méthodologie
Cas pratique Exercice, QCM Mise en situation Vidéo
La durée 70 H00 Évaluation QCM validant les acquis
Effectif
15 personnes maximum
Intervenant
Fonctionnaires retraités de la sécurité publique et sa-peurs pompiers
Programme Accueil des passagers
Présentation de l’objectif de formation - Présentation individuel des candi-dats et leurs attentes - L’accueil physique - Les expressions verbales
La gestion de la communication : intonation.
Le vocabulaire conventionnel de l'accueil physique. Les règles de la com-munication réussie : écoute, transmission. Le vocabulaire positif, efficace et rassurant. Les expressions non verbales. La tenue dans sa globalité : vesti-mentaire, physique. L'attitude : regard, sourire.
La gestuelle et son décodage : les postures à adopter, les attitudes à éviter.
La lutte de la violence contre l’environnement immediat Formations à la prévention des situations d'agression. Prévenir les agres-sions et désamorcer les situations conflictuelles. gérer une agression phy-sique.
Les situations de conflit Identifier les situations délicates possibles : analyser les raisons
Repérer les signes annonciateurs de sa propre agressivité. Définition de l'agressivité et de ses manifestations. Revenir par un comportement et des réponses adaptées
Self- Défense 1er
Degré
Éviter les agressions.
Savoir se défendre à l’aide de techniques efficaces, adaptées au
physique de chacun.
Technique au sol, Le placement, Les techniques d’intimidation, Les
défenses sur coups de poing.
Mise en situation de stress. La légitime défense. Gestion, médiation d’une situation conflictuelle. Apprentissage au « combat libre ». Réaction sur les agressions à mains nues. Réaction sur les agressions aux objets piquants et tranchants et armes à feu.
62
G 14 – AGENT DE PROTECTION RAPPROCHEE (A.P.R.)
Le Programme
Théorie
Cadre légal de l’APR
Comportement d’un APR
L’équipe de protection
L’équipe de reconnaissance
La sécurité publique
Typologie des menaces - Individus
- Armes
- Explosifs
Connaissance de l’armement : règlementation nationale
Gestes d’urgence : médical
Véhicule de protection : préparation et fouille
Les matériels
La communication radio
Préparation d’une mission : dossier et consignes
Pratique
Déplacement à pied en extérieur
Déplacement à pied dans un bâtiment
Déplacement en véhicule : embarquement / débarquement
Déplacement en véhicule : convoi
Évacuation d’urgence
Techniques de self défense
Gestion du stress
Gestion de l’agression
Le Public concerné
Les Agents de prévention
et de sécurité
La Méthodologie
Cours interactif en vidéo
projection, mise en situa-
tions opérationnelles,
étude de cas réels. Pra-
tique.
Contrôle des connais-
sances
La durée
70 heures
Effectif
12 personnes maximum
L’objectif
Doter les agents de préven-
tion et de sécurité des con-
naissances théoriques et
pratiques afin d’assurer la
fonction d’agent dans le
cadre de la protection rap-
prochée
63
G 15 – ASP AGENT DE SURVEILLANCE EN SECURITE PRIVEE
Le Public concerné
Toute personne exerçant
ou souhaitant exercer les
fonctions d’agent de pré-
vention et de sécurité.
Pré-requis
Etre en possession du N°
d’autorisation préalable ou
provisoire délivré par la
préfecture (décret 2009-137
du 09/02/09)
La durée
105 heures
Evaluation :
Épreuve écrite : QCM
Épreuve pratique : Ronde
avec anomalie
Validation :
TITRE V d’Agent de sécu-
rité Privée. Validité natio-
nale.
Effectif :
15 stagiaires maximum
Intervenant :
Formateur spécialisé dans
la sécurité privée
Méthodologie
Documentations à partir de
la réglementation en vi-
gueur, cours interactifs,
exposés, débats, études de
cas réels, mises en situa-
tions opérationnelles.
L’objectif
Obtenir TITRE V d’Agent de sécurité Privée titre enregistré au Répertoire National de la Certification Professionnelle, par Arrêté du 17 juin 2011 paru au J.O. du 10 août 2011 du Ministère de l’Emploi (après avis favorable du Ministère de l’Intérieur conformément à l’article 3 des décrets n° 2005-1122 du 06 septembre 2005 et du 03 août 2007).
Le TITRE V d’Agent de sécurité Privée permet d’assurer les missions de
base d’un agent de prévention et de sécurité dans les domaines de: l'accueil
et contrôle d'accès, la surveillance générale, la sécurité technique et incen-
die, le secours et assistance aux personnes.
Le Programme
- Accueil présentation du stage et des stagiaires
- Loi du 12 juillet 1983 décrets du 26/09 et 10/10/86 décrets du
06/09/05 - 08/09/06 et 03.08.07
- L'infraction. Le flagrant délit. Le droit d'appréhension. La légitime dé-
fense
- La communication écrite. Le rapport, le compte rendu, la main cou-
rante Rédaction d'une main courante et d'un rapport
- L'organisation judiciaire en France. Action civile. Action pénale. Le
conseil constitutionnel. La France.
- Le chef de poste. Le rondier. Incidents majeurs et mineurs. L'accueil.
La prise de rendez-vous téléphonique.
- La notion de liberté publique. Déclaration des Droits de l'Homme.
Les libertés publiques. Droit pénal
- La réglementation des armes. Les transports de fonds. Institution de
l'Union Européenne
- L'administration de la France. Le Parlement. Les régimes politiques
- Les règles élémentaires de sécurité. Les rondes de surveillance. Le
contrôle d'accès
- Le filtrage. La gestion des clés. La lecture de plan. Application
- Les atteintes à l'autorité de l'Etat. Les atteintes aux intérêts de la Na-
tion
- Le droit de propriété. Le droit au respect de la vie privée.
Abstention de combattre un sinistre. Les principaux termes de droit
- Non obstacle à un crime et délit. Non assistance à personne en péril
Les appropriations frauduleuses. Les atteintes volontaires à l'intégri-
té physique
- La déontologie. La gestion des conflits. La gestion du stress
- Vidéo et télésurveillance
- Sauveteur secouriste du travail
- Exercices rondes. Accueil Filtrage
64
G 16 – DESES FORMATION POUR L’OBTENTION DU TITRE DE DIRIGEANT DE
SOCIETE DE SECURITE ET DE SURETE (Formation organisée sous la direction de
FORMAPLUS 3B pour son titre de dirigeant(e) d’entreprise de sécurité et de sûreté
niveau II par arrêté du 2 juillet 2012 et paru au J.O. le 7 août 2012 et portant le code
344)
Le Public concerné Toute personne souhaitant gérer une société de sécuri-té privée ou de sûreté
La durée :
180 heures de formation à
distance et 35 heures de
regroupement
Evaluation : examen écrit
de 3 heures à l’issue de la
formation
Validation :
Titre de dirigeant de société
de sécurité et de sûreté
Effectif :
15 stagiaires maximum
Intervenant : 2 formateurs
de l’éducation nationale
Méthodologie :
Cours à distance : via une
plate-forme de formation
sur internet
Regroupement : prépara-
tion à l’examen, cours inte-
ractifs, exposés, débats,
études de cas réels, mises
en situations opération-
nelles.
L’objectif
Former le candidat afin d’obtenir son titre de dirigeant(e) d’entreprise de
sécurité et de sûreté niveau II.
Le Programme
- Généralités sur les entreprises
- Spécificités de la sécurité privée
- Management des ressources humaines
- Gestion administrative
- Gestion commerciale
- Unité juridique :
Règlementation
Droit/législation
- Unité technique
- Unité relationnelle
65
RESPONSABILITES LEGALES
66
H1 - LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE DES DIRIGEANTS ET DES CADRES D’ENTREPRISES
La situation L'étendue des responsabilités est souvent méconnue et les délégations de pouvoir ne sont pas toujours maîtrisées. Le chef d'entreprise est susceptible, en cette qualité, de voir sa responsabilité engagée, tant au plan pénal que civil. L’objectif Apprendre à maîtriser le risque pénal et civil pour les non-juristes. Approcher et approfondir la dimension juridique du risque, analyser les risques et maîtriser les mécanismes fondamentaux des responsabilités ci-viles et pénales. Le programme Module 1- Responsabilité du dirigeant
Responsabilité civile et pénale du dirigeant
Actes du dirigeant
Délégations de pouvoir
Enquêtes et expertises
Sanctions encourues
Module 2 - Les infractions
Fautes de gestion
Abus de biens sociaux
Abus de confiance
Atteintes aux personnes, sécurité du travail
Fautes commises par la personne morale
Procédure : tribunaux compétents, action publique, prescription, charge de la preuve.
Le Public concerné Cette formation s'adresse à un public de non-juristes. Dirigeants, Cadres d’entreprise, Assistant(e) de Direction
La Méthodologie
Concepts didactiques :
études de cas réels, mise
en situation. Analyse de
documents juridiques.
La durée
20 heures réparties du 4
demi-journées
Le nombre de candidats
12 personnes maximum
L’intervenant
Spécialiste en droit du
travail et droit pénal
67
H2 – FORMATION/ACTION : ELABORATION DU DOCUMENT UNIQUE D’EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS
Références réglementaires
Le document unique est obligatoire pour toute entreprise quelque soit sa
taille, son effectif, son activité, sa date de création (article R. 4121-1 et sui-
vants du Code du Travail). Il consiste à identifier et classer les risques dans
l'établissement en vue de mettre en place des actions de prévention perti-
nentes et doit être mis à jour au moins chaque année.
Ce document doit être tenu à la disposition des instances représentatives
des salariés (CHSCT, DP), du médecin du travail, des salariés, et sur leur
demande, à l'inspection du travail et aux agents des services de prévention
des organismes de sécurité sociale.
Les sanctions
L’absence, ou la non-conformité de ce document engage la responsabilité
du chef d’entreprise assortie d’une peine pouvant aller de 1500 à 3000€
d’amende. La non-présentation de ce document peut être considérée
comme un délit d’entrave.
Si la faute inexcusable de l’employeur est retenue, c'est-à-dire « s’il avait
ou aurait dû avoir conscience du danger auquel étaient exposés ses salariés
et qu’il n’avait pas pris les mesures nécessaires pour les protéger », les
sanctions pour l’entreprise et pour l’employeur sont beaucoup plus lourdes,
en plus du paiement d’une rente ou d’un capital, l’employeur s’expose à une
peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 1 an et 15 000 euros
d’amende (le Triple en cas d’incapacité de travail > à 3 mois), et l’entreprise
peut être condamnée à verser 75 000 euros d’amende plus peines complé-
mentaires (225 000 euros en cas d’incapacité de travail > 3 mois).
PROGRAMME FORMATION/ACTION :
Formation et sensibilisation de l’ensemble des salariés à la préven-
tion et aux risques professionnels
Préparation de l’évaluation
Analyse de l’activité
Evaluation des risques
Planification et suivi des actions d’amélioration
Transcription des résultats de l’évaluation sur le document unique
Public :
Concerne toutes les entre-
prises et associations à
partir d’un salarié
Durée :
A déterminer selon le
nombre de salariés
La Méthodologie
Accompagnement indivi-
duel, visite des unités de
travail.
L’intervenant
Spécialiste dans
l’évaluation des risques
professionnels –
Intervenant référencé par la
C.G.S.S.
68
CONSEIL AUX ENTREPRISES
69
I1 – COMMENT REPONDRE A UN APPEL D’OFFRE
L’objectif
Connaître les principales problématiques d’application de la réglementation en vigueur et les conditions matérielles de mise en œuvre de procédures adaptées aux diverses contraintes posées. Savoir lire un appel d’offres de marché et analyser les documents contractuels ; disposer des outils opéra-tionnels pour répondre efficacement à un appel d’offres.
Le programme
Le cadre réglementaire des marchés publics
Rappel législatif sur le code des marchés publics
Identifier les différents acteurs publics
Connaître le fonctionnement des différents types de marchés
Savoir rédiger les documents correspondants et éviter les pièges et erreurs de rédaction
Étude de cas : comment remplir les documents DC4 et NOTI1et
répondes à plusieurs marchés publics -connaitre les modes d'analyse des offres
travail dirigé (rédaction du mémoire technique et bordereau de prix
la procédure de dématérialisation et ses objectifs
Le Public concerné Cette formation s'adresse aux personnes chargées de répondre aux marchés publics, dirigeants, cadres d’entreprise, assis-tant(e) de direction et secrétaires. La Méthodologie Concepts didactiques : études de cas réels, mise en situation. Analyse de documents administratifs. La durée 5 demi- journées (25h) Le nombre de candidats 10 personnes maximum L’intervenant Spécialiste en marché public
70
I2 – GESTION DE STRESS EN ENTREPRISE
Public : Tout public
Les représentants des em-
ployeurs déclarent que
l’accroissement de la productivité
ne peut en aucune manière être
obtenu en compromettant
l’intégrité physique et morale des
travailleurs ni en portant atteinte
à leur dignité humaine »…tandis
que … « les représentants des
travailleurs interviendront auprès
de leurs mandants pour qu’ils
apportent, dans leur propre inté-
rêt, toute leur collaboration à
l’effort d’accroissement de la
productivité ».
Objectifs Durée : 2 jours
(12heures)
La Méthodologie
Cours interactif en vidéo projec-
tion,
Support écrit
Simulation de mise en situation
Intervenant :
Formateur certifié gestion de
stress
PROGRAMME
L’identification du stress
Définition par son inventeur
Phases d'adaptation
Le gêne vecteur
Les symptômes
Types de signaux
Autodiagnostic
Débriefing
Les sources
Physiologique
Sociologique
Psychologique
Vaincre le stress
Clé numéro 1 : Prendre soin de soi et améliorer son environne-
ment professionnel
Sommeil, fatigue, énergie. Les solutions
Clé numéro 2 : reprendre le contrôle, investir sa zone d'influence,
se fixer des objectifs
Lâcher prise
Clé numéro 3 : gérer la relation humaine, oser s'exprimer. La CNV,
le réseau amical
71
I 3 – GESTION DU STRESS ET DES CONFLITS
Le Programme :
Perception et processus
Les 5 phases
Les illusions
Les perturbations
L’interprétation et transmission
Les obstacles
L’effet halo
Le ciblage
Les types de dissuasions
Contact avec les personnes
L’accueil
Les réclamations
Les situations particulières
Comportement lorsqu’une personne est énervée
Les menaces
Comment réagir face à un attroupement hostile
Méthodes comportementale pour calmer le ou les interlocuteurs
Les comportements
Les facteurs
Gestion et contrôle
Qui prévenir en cas d’agression physique
Le Public concerné
Toute personne confrontée
à une gestion de crise au
sein de son activité
La Méthodologie
Cours interactif en vidéo
projection, mise en situa-
tions opérationnelles, étude
de cas réels.
Contrôle des connais-
sances : QCM
La durée
18 heures
Effectif
12 personnes maximum
Intervenant
Spécialiste de la sécurité
urbaine
L’objectif Devant la recrudescence des agressions verbales et physiques des interlocuteurs, la personne chargée d’une mission professionnelle doit faire face à ces attitude en se préservant de violences.
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SECURITE DES LIEUX DE SPECTACLE
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J1 – FORMATION POUR L’OBTENTION DE LA LICENCE D’ENTREPRENEUR DE SPECTACLES DE CATEGORIE 1
La situation Le décret 2000-609 du 29 juin 2000 pris pour l’application des articles 4 et 10 de l’ordonnance du 13 octobre 1945 modifiée, précise les conditions d’obtention de la licence et les obligations qui sont faites aux entreprises. En matière de sécurité, le décret prévoit dans son article 1 que les postu-lants à la licence d’exploitant de lieux (catégorie 1) doivent avoir suivi au-près d’un organisme agréé une formation à la sécurité des spectacles adaptée à la nature du lieu de spectacles ou justifier de la présence dans l’entreprise d’une personne qualifiée dans le domaine de la sécurité des spectacles. L’objectif
Former à la sécurité des spectacles les exploitants de lieux de spectacles aménagés pour les représentations publiques ; Con-naître le cadre juridique général relatif à l’organisation de spec-tacles vivants et le champ des responsabilités civiles et pénales in-hérentes à cette activité ;
Savoir appliquer ou faire appliquer la réglementation incendie des établissements recevant du public (ERP) spécifique aux lieux de spectacles ;
Connaître les principales règles du code du travail et les principes généraux de prévention en matière de santé et de sécurité au tra-vail;
Savoir prendre en compte les contraintes d’exploitation liées aux éléments structurels fixes, mobiles ou démontables utilisés pour organiser des spectacles et accueillir du public dans des conditions optimales de sécurité.
Le programme 1. Cadre juridique général 2. Responsabilités 3. Niveaux sonores 4. Sécurité du travail 5. Règlement incendie : dispositions générales et particulières 6. Effets spéciaux 7. Structures (tribunes démontables, scènes, tours, poutres spatiales, etc.) 8. Management de la sécurité
Le Public concerné Être demandeur de la li-cence d'entrepreneur de spectacle vivant de catégorie 1 ou Avoir une expérience professionnelle de la réalisa-tion technique de spectacles La Méthodologie Exposé Démonstration pratique Étude de cas La durée 35 heures (5 x 7 heures) Le nombre de candidats 14 personnes maximum Intervenant Formateur agrée IRMA
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J2– FORMATION SECURITAIRE MOTEURS ET PONTS
L’objectif
Pré-Requis : Personne ayant des connaissances de base dans le domaine
de la machinerie scénique (accroche, rigging, montage de pont et struc-
ture…).
Inculquer les règles sécuritaires et les règles de l’Art. Vérification des acquis en fin de stage, par un test (QCM)
Le programme THEORIE
Règlementation du levage (Code du travail, ERP, Responsabilité, norme, recommandation).
Initiation à la résistance des matériaux (RDM)
Calcul de descente de charges
Adéquation du matériel utilisé, état du matériel, CMU et coefficient de sécurité
Rappel des principes de calcul de force et vitesse (leurs applica-tions dans le Spectacle – Moufle, Palan …)
Choix du matériel (Accessoires et appareils de levage …)
Utilisation et choix des ponts et moteurs PRATIQUE
Montage de structure (Traçage, Installation)
Matériel pédagogique :
Matériel existant sur le lieu (transmettre liste avant intervention)
Support de cours et documentation fournis
Le Public concerné
Toute personne ayant besoin
d’être autorisée par son em-
ployeur pour le montage et
l’exploitation de structures
scéniques (Directeur tech-
nique, Régisseur général,
régisseur plateau, chef ma-
chiniste, chef cintrier, cintrier,
ou toutes autres personnes
responsables d’accroche
dans le monde du spectacle).
La Méthodologie Cours théorique avec études de cas. Exercices pratiques. La durée 35H (Soit une semaine) Le nombre de candidats 8 personnes maximum L’intervenant Spécialiste des formations de levage
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DEVELOPPEMENT DURABLE
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K1 – SENSIBILISATION AU BILAN CARBONE
Public concerné:
Chefs d’entreprise, Responsables
QSE, Directeurs d’administrations et
d’organismes publics, ingénieurs en
charge des questions environnemen-
tales et énergétiques,…
Nombre d’heures : 4 heures
Effectif : 10 personnes
Documentation :
Un dossier, regroupant l’ensemble
des supports de formation présentés
et informations complémentaires,
sera remis à chaque participant
L’intervenant
Ingénieur Energie Climat
LA SITUATION Avec le Bilan Carbone® de l’ADEME, les décideurs publics et privés dispo-sent d’un moyen efficace pour initier et piloter la réduction des émissions de gaz à effet de serre liées à leur activité. La méthode permet de réaliser le bilan des émissions de GES des patri-moines et services d’une collectivité territoriale, de l'ensemble des activités d'un territoire, des activités industrielles ou tertiaires. En l'utilisant de manière complète et appropriée, chacun pourra limiter sa contribution au changement climatique et diminuera par la même occasion sa dépendance économique aux énergies fossiles. OBJECTIFS
Comprendre les enjeux et l’intérêt d’une démarche bilan pour une administration ou une entreprise ;
Découvrir et comprendre la méthode et ses outils ;
Connaitre le déroulement d’une prestation Bilan Carbone®.
CONTENU
Enjeux climatiques et énergétiques
Contexte réglementaire et incitatif
Présentation de la méthode Bilan Carbone®
Exemple de mise en œuvre.
MOYENS PEDAGOGIQUES
Exposés,
Exercices pratiques
Etudes de cas
Retour d’expériences
Mise en situation
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SANTE ET SECURITE EN ENTREPRISE
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L1- RESPONSABLE HSCT hygiène sécurité et des conditions de travail
Public concerné Toute personne …cadres, agents de maîtrise, … prenant en charge le pilotage de l'hygiène et de la sécurité dans une PME, Responsable Santé – Sécurité nouvellement nommé, Ingénieur animateur santé – sécurité, Responsable de système de management environnement et/ou qualité chargé de l'intégration des aspects santé/sécurité dans le système de management dont ils ont la charge. Objectifs Maîtriser les composantes de la formation du responsable HSCT dans une PME, Identifier la nature et les responsabilités de la fonction du responsable HSCT.
La Méthodologie
Cours magistraux, Illustrations
par diapositives, Exposés, vi-
déos. Apports didactiques.
Durée 5 jours (30 heures) Le nombre de candidats
12 personnes maximum
L’ intervenant
Consultante/formatrice santé-
sécurité-environnement
Validation des acquis
Evaluation en fin de stage et 6
mois après le stage
Programme :
1ERE PARTIE MISSIONS DU RESPONSABLE SANTE – SECURITE Rôle Missions OBLIGATIONS DE L'ENTREPRISE EN SANTE – SECURITE Code du Travail Textes fondamentaux Responsabilité pénale et civile Délégation de pouvoir L'EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS ET LE DOCUMENT UNIQUE Les préalables essentiels La connaissance des postes, activités et situations de travail Les exigences concernant le Document Unique LES ACCIDENTS DE TRAVAIL Analyse et suivi LE COMITE D'HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL Rôle et missions Fonctionnement
2EME PARTIE
POLITIQUE SANTE – SECURITE AU TRAVAIL Démarche de prévention Veille réglementaire Actions d'amélioration dans l'entreprise MISE EN OEUVRE DE LA POLITIQUE SANTE – SECURITE DANS L'ENTREPRISE Formation, sensibilisation et communication Les outils de la Santé – Sécurité au Travail Maîtrise des procédés et modifications Application des consignes Valorisation des bonnes pratiques Appréhender les situations d'urgence EVALUATION ET AMELIORATION DE LA SANTE – SECURITE DE L'ENTREPRISE Indicateurs, pilotage et résultats Gestion des accidents Processus d'amélioration
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L2- COMPRENDRE ET MIEUX APPREHENDER LES SITUATIONS D’HANDICAP
Programme :
DEFINITION
Notion de handicap
Déficience – Incapacité – Situation de handicap
Cadre légal
LES SITUATIONS DU HANDICAP
La déficience Intellectuelle
La déficience Visuelle
La déficience Physique
La déficience Auditive
La déficience Psychique
Mieux appréhender les personnes en situations de handicap
Quels sont les réflexes et comportements à adopter
Savoir observer, écouter, dire et faire
Dédramatiser face au handicap
Cas concrets
Public concerné toute personne ayant, dans le cadre de son activité professionnelle, des échanges avec des personnes en situation de handicap. Objectifs Acquérir les fondamentaux et une perception du handicap dans toute sa pluralité, comprendre et mieux appréhender la personne en situation de handicap. La Méthodologie
Cours magistraux, Illustrations par diaposi-
tives. Exercices de pratique.
Durée 1 jour (7 heures) Le nombre de candidats
12 personnes maximum
L’ intervenant
Consultante en santé-sécurité-
environnement
Consultante/formatrice santé-
sécurité-environnement
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L3- LES OBLIGATIONS DE L'ENTREPRISE EN MATIERE DE SANTE – SECURITE AU TRAVAIL
Programme :
LA REGLEMENTATION
Textes applicables
Source
OBLIGATIONS DE L'ENTREPRISE
Principes généraux de prévention
Conditions de travail
Accueil et formation à la sécurité des collaborateurs
Les risques psychosociaux
Interventions entreprises extérieures
Vérifications périodiques obligatoires
Évaluation des risques
INSTANCES REPRESENTATIVES DU PERSONNEL
CHSCT/DP/CE : compétences
Information et consultation obligatoires du CHSCT
Les moyens du CHSCT
MAITRISE DES ACCIDENTS DE TRAVAIL
Accident de Travail. Maladie Professionnelle
Déclaration et suivi des accidents de travail
RELATIONS AVEC LES PRINCIPAUX ACTEURS EXTERNES
Médecin du travail, CRAM. Inspection du travail
RESPONSABILITE EN MATIERE DE SANTE – SECURITE AU TRAVAIL.
Responsabilité civile et pénale. Délégation de pouvoir
Public : Responsable de site et
d'établissement, DRH, RRH,
toute personne ayant à charge la
santé et la sécurité au travail.
Objectifs : Avoir une connais-
sance de la réglementation en
vigueur, recenser les principales
obligations applicables à l'entre-
prise et y répondre.
Durée : 2 jours (14 heures)
La Méthodologie
Cours interactif en vidéo projec-
tion,
Intervenant : consul-
tante/formatrice en hy-
giène/santé/sécurité/environneme
nt