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Régulation thermique corporelle à l’exercice
• Production de chaleur initiale, retardée• Importance de la production de chaleur
(rendement de l’exercice => W x 4-5)• Equilibre thermique à l’exercice• Tc, Tsk ; T = ~ (0,7 à 0,9 Tc + 0,1 à 0,3 Tsk)• Transferts de chaleur: • Conduction thermique locale muscle -peau• Convection sanguine• vasodilatation cutanée
Rendement de l’exercice / chaleur
Toes (f) Wabs / W rel
Echauffement, Tm et W
EQUATION DU BILAN THERMIQUE
• S = [(M – W) (= H)] + C+ K + R – Esk (W/m²)• S = stockage thermique
• (+ : augmentation Tcorp tot ; - : diminution)• M = métabolisme total W = travail• H = production de chaleur nette (M – W)• C, K, R = échanges secs par convection, conduction et
radiation• Esk = échanges humides; débit sudoral, mieux : débit
évaporatoire de la sueur
Conduction
de la sueur
Echanges cutanés
échanges secs et humides (f) W
Échanges secs et humides (f) Tamb
Mesure conditions thermiques
Besoin sudoral• Débit évaporatoire requis
(cf équation bilan thermique)• Esk = [(M – W) (= H) + C+ K + R] - S• Débit évaporatoire permis (HR,
pourcentage humidité ambiance)• Rendement évaporatoire
( % évaporé / % émis ; rôle du« Type de peau » (répartition des glandes
sudoripares ou sudorales)
Exercice musculaire, contractions : production métabolites osmolarité IC appel eau extra intra C, V musculaire,
mais besoins en eau limités par production :d'eau liée
(2,7 ml / g glycogène et 0,8 ml/g AG)et d’eau métabolique
(1 molécule glucose 6 H2O soit 0,8 ml eau / g et 1g d’Acide Gras 1ml d’eau )
soit pour les glucides : 3,5 ml/g : 100 g/h 350ml/hpour les lipides : 1,8 ml/g : 25 g/h : 50 ml; =>400ml/hégalement utiles ? pour la sudation EC plasma
Débit de sueur = pertes d ’eau irréversible (déshydratation)
Composition de la sueur
Attentionau risqued’hyponatrémie
Rendement évaporatoire et mouillure de la peau
Esk (f) typa APS
Esk et (non) aclimatation
DESHYDRATATION Qsg légère VO2max
seuil, prod lactate, utilisation glycogène m élimination métabolites ch acides et physiques
thermiques importante endurance maximale aérobie
débit sudoral et Qsk dérive thermique profonde T profonde
risque accident : hyperthermie, malaise CV
IL FAUT ABSOLUMENT REHYDRATERPourquoi, pour qui, quand, avec
quoi, comment, combien
End max aé et % deshydratation
Indices, marqueurs et indicateurs de déshydratation chronique - ↓ brutale, sans raison BW (poids corporel)- Urines foncées, concentrées, miction diminuée- Jambes lourdes, sans ressort- Récupération plus lente, moins d’entrain- Fréquence cardiaque repos et Ex plus élevée- Hémoconcentration ( hématocrite)- Pli cutané : retour plus lent- Soif, bouche sèche, yeux enfoncés- résistivité corporelle : Bioimpédancemétrie BIE
FC et (non) boisson
Temps (min)
(bpm)
ingestion
Pertes liq et boisson vol/forcée
Débit sanguin splanchnique et FC
Accidents à la chaleur
Tc et symptômes hyperthermie
Traitement hypethermieVoir cours sur urgences
Confort (f) HR et Tamb
Dimensions corporelles enfant / adulte
Tre chaleur (non) boisson
Esk et D Tsk Ex enfant / adulte
Esk (f) âge enfant et adolescent
Esk, gl sudorales enfant / adulte
Tre, FC , Ex ou chaleur ado Ob/N
Ob : obèse
N = témoin
Vitesse refroidissement enfant / adulte
Froid et Tre, Torteil
Tamb, NAP et isolement froidisolation
Lutte contre froid / fourrures
Fourrures synthétiques d’excellente aptitude isolante
