32
POMPES À CHALEUR SOLAIRE BOIS CONDENSATION << www.dedietrich-thermique.fr >> GÉNÉRALITÉS

GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

POMPES À CHALEUR

SOLAiRE

bOiS

COndEnSAtiOn

<< www.dedietrich-thermique.fr >>

GÉNÉRALITÉS

Page 2: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

SOMMAIRE

LA CONDENSATION 4 LES ÉCHAnGEURS _______________________________________________________________________________4

LE CORPS dE CHAUFFE En ALUMiniUM-SiLiCiUM _______________________4

LE SOLAIrE 6 GÉnÉRALitÉS ________________________________________________________________________________________6

bOnnES RAiSOnS dE CHOiSiR Un SyStèME SOLAiRE _____________6

PERFORMAnCE dES CAPtEURS SOLAiRES ____________________________________7

CESI : Systèmes solaires pour la production d’eau chaude sanitaire_____________________ 7

SSC : Systèmes solaires pour la production d’eau chaude sanitaire et le soutien au chauffage _____________________________________________________________________________ 7

diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _______7

Règles de base __________________________________________________________________________________________ 7

Diagrammes de simulation ____________________________________________________________________________ 7

Cas particulier : chauffage d’une piscine _________________________________________________________ 8

Détermination des facteurs de minoration ________________________________________________________ 9

LES pOmpES à ChALEur 10 PRinCiPE dE FOnCtiOnnEMEnt _________________________________________________10

diFFÉREntS tyPES dE PAC PROPOSÉES ________________________________________ 11

AÉROTHERMIE __________________________________________________________________________________________11

GÉOTHERMIE ___________________________________________________________________________________________11

diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn PAC _____________________12

Calcul des déperditions ______________________________________________________________________________ 12

Dimensionnement des PAC air/eau ______________________________________________________________ 12

Dimensionnement des PAC sol/eau et eau/eau _____________________________________________ 12

iMPLAntAtiOn d’UnE inStALLAtiOn PAC ________________________________14

Implantation des PAC ROE-II, ROE+, ROE H et ROE+ TH _______________________________ 14

Implantation des PAC eau/eau et sol/eau ____________________________________________________ 15

Raccordement hydraulique __________________________________________________________________________ 16

Courbes caractéristiques ____________________________________________________________________________ 16

PAC inVERtER _____________________________________________________________________________________17

Technologie «accumualtion de puissance» _____________________________________________________ 17

Page 3: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

Raccordement frigorifique ___________________________________________________________________________ 18

RÉGLEMEntAtiOn ____________________________________________________________________________18

bIOmASSE 19 LE bOiS En bûCHES___________________________________________________________________________19

diFFÉREntS tyPES dE CHAUdièRES Et LEUR PRinCiPE dE COMbUStiOn ____________________________________________ 20

Chaudières à tirage naturel _________________________________________________________________________ 20

CBB 15E : chaudière à combustion inversée __________________________________________________ 20

CBI-II : chaudières à tirage forcé et combustion inversée __________________________________ 20

Raccordement au circuit de chauffage __________________________________________________________ 20

FAiRE LE bOn CHOix dU PRÉPARAtEUR _______________________________________21

Calcul des déperditions ______________________________________________________________________________ 21

Répartitions des appels de puissance ___________________________________________________________ 21

Raccordement électrique ____________________________________________________________________________ 22

Raccordement cheminée _____________________________________________________________________________ 22

L’ECS 23 FAiRE LE bOn CHOix dU PRÉPARAtEUR _______________________________________23

Déterminations des besoins en ECS ______________________________________________________________ 23

Méthode _________________________________________________________________________________________________ 23

Cas particulier : le tertiaire __________________________________________________________________________ 24

Prévention des brûlures et légionelles ____________________________________________________________ 24

LA réguLATION 26

LES rADIATEurS 27 dÉtERMinAtiOn dE LA PUiSSAnCE tHERMiQUE _____________________27

Correction de puissance _____________________________________________________________________________ 27

Calcul de la puissance thermique _________________________________________________________________ 28

LES brÛLEurS 29

LES SErvICES 30

Page 4: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

4

Corps de chauffe en fonte eutectique® avec échangeur céramique

40°C

180°C

800°C 30°C

50°C

Echangeur en fonte de faible inertie, et grande résistance à la corrosion avec double enveloppe extérieure en matériau composite constituant une isolation thermique et phonique.

• Les corps de chauffe en aluminium-silicium sont parfai-tement adaptés à la technologie de la condensation : L’aluminium-silicium résiste aux condensats acides issus des fumées. Le silicium permet quant à lui de renforcer la résistance à la corrosion côté eau de chauffage.

• L’aluminium est un très bon conducteur de chaleur (7 fois supérieur à l’acier) et permet ainsi un transfert de chaleur optimal. Son faible poids (3 fois plus léger que l’acier) permet aussi de concevoir des chaudières légères.

LA cONdENSATION

Les Échangeurs

Le corps de chauffe en aluminium-silicium

111%

par

rapp

ort a

u PC

I

111%

par

rapp

ort a

u PC

I

de chaleur par condensation non utilisée

de pertes par fumée

de pertes par rayonnement

de rendement d’exploitation

de chaleur par condensation non utilisée

de pertes par fumée

de pertes par rayonnement

de rendement d’exploitation

111%

par

rapp

ort a

u PC

I

111%

par

rapp

ort a

u PC

I

de chaleur par condensation non utilisée

de pertes par fumée

de pertes par rayonnement

de rendement d’exploitation

de chaleur par condensation non utilisée

de pertes par fumée

de pertes par rayonnement

de rendement d’exploitation

111%

par

rapp

ort a

u PC

I

111%

par

rapp

ort a

u PC

Ide chaleur par condensation non utilisée

de pertes par fumée

de pertes par rayonnement

de rendement d’exploitation

de chaleur par condensation non utilisée

de pertes par fumée

de pertes par rayonnement

de rendement d’exploitation

111%

par

rapp

ort a

u PC

I

111%

par

rapp

ort a

u PC

I

de chaleur par condensation non utilisée

de pertes par fumée

de pertes par rayonnement

de rendement d’exploitation

de chaleur par condensation non utilisée

de pertes par fumée

de pertes par rayonnement

de rendement d’exploitation

chaudière basse température chaudière gaz à condensation

BILAN ÉNERGÉTIQUE

Page 5: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

5

LA QUALITÉ DE L’EAUPour fonctionner de manière optimale, une chaudière nécessite une eau propre et de qualité compatible avec le contact aux métaux la constituant. Cela est commun à toutes les chaudières utilisant l’eau comme fluide caloporteur, quelque que soit leur principe (classique, eau surchauffée, vapeur, condensation…) et leur matériau constitutif (acier, inox, cuivre ou aluminium). La qualité de l’eau d’une installa-tion de chauffage se mesure via des paramètres spécifiques, tels que (entres autres) :

• le pH (niveau d’acidité ou d’alcalinité de l’eau),

• la dureté (teneur en calcaire dissout),

• la conductivité (approximation de sa minéralisation totale),

• le taux de chlorures, de sulfates, etc

Ces éléments peuvent varier selon les régions, le moyen d’approvi-sionnement en eau (réseau de distribution public, forage, eau de pluie…) ainsi que les matériaux et l’état des canalisations la véhiculant. Certains paramètres sont à vérifier systématiquement quel que soit le matériau constitutif de la chaudière (absence de particules abrasives en suspension dans l’eau, éviter les eaux trop calcaires, etc).

A l’inverse, le contrôle du pH est essentiel mais les valeurs à respecter varient. En effet, de manière générale les métaux se corrodent en présence d’acide, mais chaque métal a une résistance particulière, et une plage de pH définie doit être respectée pour éviter sa corrosion rapide et irréversible. L’utilisation de l’aluminium ainsi que le principe de récupération de chaleur par condensation sont cependant des avancées techniques récentes. Les préconisations de pH élevés, ancrées dans les habitudes d’exploitation et dans les textes de bonnes pratiques, ont été établies avant ces orientations techniques et n’ont pas pu les prendre en compte.

La recommandation d’un pH supérieur à 9,7 –critère simple à contrôler, et de mise en oeuvre facile (ajout de soude dans l’eau du réseau, par exemple)- est toutefois incompatible avec l’aluminium : sa couche de passivation se dissout quand le pH dépasse 8,5. Il devient alors sensible à la corrosion et se dégrade d’autant plus vite que le milieu est alcalin. C’est donc en souhaitant protéger les autres matériaux de l’installation de chauffage que l’on fragilise l’aluminium, parfois jusqu’au percement.Heureusement, la méthode ancestrale de traitement à la soude et/ou aux tanins des réseaux de chauffage est révolue. Des avancées techniques dans le domaine du traitement de l’eau ont vu le jour avec des inhibiteurs de corrosion bien plus performants pour les alliages de fer (fonte, acier…) ainsi que pour le cuivre. Les installations modernes sont d’ailleurs de plus en plus « multi-matériaux » et les traitements ont évolué en ce sens. Les molécules actuelles, telles que phosphates et molybdates, bien démocratisées actuellement, sont totalement compatibles avec un corps de chauffe en aluminium.

LE TRAITEMENT DE L’EAUPourquoi il est habituel de mettre en place un traitement de l’eau sur un réseau de chauffage : l’acier et la fonte, classiquement utilisés en plomberie et chauffage, se corrodent facilement au contact de l’eau, le pH de l’eau de ville (compris entre 6,5 et 9 par obligation de potabilité, mais dépasse très rarement 8,5) n’étant pas naturellement compatible avec ces alliages. A l’inverse, l’aluminium présente une bonne résistance à des pH neutres voir acides. C’est un des métaux les plus résistants à la corrosion, sa plage de tolérance au pH est vaste. Il supporte bien le contact avec l’eau, y compris en l’absence de traitement.

Les préconisations de traitement de l’eau pour l’emploi d’une chaudière en aluminium-silicium restent donc de l’ordre du bon sens :

• Comme pour toutes les autres chaudières, une eau peu dure et moyennement minéralisée évitera la formation de dépôts nuisant au bon échange thermique.

• Quant à la corrosion, ce type d’équipement supporterait tout à fait une eau non traitée, mais les autres métaux constitutifs du réseau en pâtiraient. Il faut donc simplement choisir un traitement compatible avec l’aluminium (n’augmentant pas le pH de l’eau).

• Pour une installation sur réseau existant, vérifier la compatibilité du traitement (simple mesure du pH).

S’il s’avère supérieur à 8,5 une simple vidange suivie d’un recondition-nement suffit, ce qui est dans tous les cas fortement recommandé pour éviter d’embouer la nouvelle chaudière avec les particules et résidus présents dans l’installation ancienne. Par le respect d’une mise en oeuvre dans les règles de l’art il sera possible d’exploiter pleinement les avantages d’une installation performante avec un générateur en aluminium-silicium.

Les propriétés principales qui font de l’aluminium-silicium un matériau de choix sont sa faible densité, sa résistance mécanique, sa résistance à la corrosion, sa longévité, sa ductilité, sa formabilité et sa conductivité. Par ailleurs, sa recyclabilité pratiquement à l’infini et sans pertes de caractéristiques, couronne ses nombreuses caractéristiques particuliè-rement avantageuses dans le domaine de l’échange de chaleur et tout particulièrement au déploiement de la technologie de la conden-sation gaz. En raison de cette combinaison unique de propriétés, bon nombre de fabricants de chaudières auparavant fidèles à d’autres matériaux, commencent à l’adopter. Il s’agit donc bien d’un matériau d’avenir dans le monde du chauffage.

ZOnE DE PHMatériau 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14

Fer/Acier

Cuivre

Bronze

Aluminium

Page 6: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

6

notre planète reçoit quotidiennement un flux important d’énergie solaire. La puissance de ce rayonnement en un lieu donné est dépendante de la température de surface du soleil, de la distance terre-soleil, des conditions météorologiques et de la diffusion atmosphérique (phénomènes de dispersion, de réflexion et d’absorption). Été comme hiver la puissance du rayonnement solaire qui atteint une surface per-pendiculaire à ce rayonnement est d’environ 1000 W/m2.

Ce chiffre variera ensuite en fonction de l’angle d’incidence sur le récepteur, de l’intensité et de la durée d’ensoleillement. En France la quantité d’énergie solaire moyenne reçue sur l’année est de l’ordre de 1115 kWh/m2.a. [1050 kWh/m2.a pour Lille (ou l’ensoleillement annuel moyen est d’environ 1600 h) à 1550 kWh/m2.a pour nice (ou l’ensoleillement annuel moyen est de 2800 h].

Il est, de ce fait très avantageux d’utiliser cette énergie gratuite et non polluante pour produire de l’eau chaude. L’exploitation de l’énergie solaire par les systèmes solaires De Dietrich s’effectue par conversion thermodynamique grâce aux capteurs vitrés plans. Un fluide caloporteur adapté emmagasine et transfère cette énergie à l’échangeur du préparateur solaire où elle est stockée pour être utilisée à volonté pour la production d’ECS et/ou le soutien au chauffage.

POUR LA PRODUCTIOn D’EAU CHAUDE SAnITAIRE OU LE SOUTIEn AU CHAUFFAGE

La technologie de production d’eau chaude sanitaire la plus rentable, par rapport à l’acquisition d’un chauffe-eau classique se traduisant par un in-vestissement plus des dépenses d’énergie pour le fonctionnement, l’achat d’un système de production d’eau chaude sanitaire solaire se traduit par un investissement et des économies d’énergie, donc d’argent.De plus la différence d’investissement peut être réduite de façon importante grâce aux subventions de l’ADEME et des régions ainsi qu’aux aides fiscales.

La technologie actuelle permet non seulement d’assurer la production ECS mais aussi, avec des surfaces de capteurs installés plus grandes, le préchauffage de l’eau de chauffage des maisons, voire leur chauffage en intersaison, par l’intermédiaire de planchers chauffants ou de radiateurs basse température, en même temps que le réchauffage d’une piscine en été.

LE SOLAIRE

Lille

Amiens Charleville-MézièresLe Havre

Rouen

Châlons-Sur-marne

Metz

Nancy

BesançonDijon

Strasbourg

Orléans

PARIS

Tours

Caen

Rennes

Brest

Nantes

Poitiers

Limoges

Toulouse

Perpignan

MontpellierNimes

Nice

BastiaMarseille

Grenoble

Clermont-Ferrand

Lyon

La Rochelle

Bordeaux

Pau

Milano

Torino

Santander

Pamplona

Genova

BERNE

VADUZ

LUXEMBOURG

BONN

BRUXELLES

Zürich

Stuttgart

Mannheim

Frankfurt

Portsmouth

Southampton

Plymouth

Köln

Liège

Seine

Oise

Marne

Seine

Yonne

Aube

Scarpe

Schelde

Meuse

Meuse

Mosel

Moselle

Meurthe

Main

Neckar

Rhein

Rhin

Rhein

Rhône

Saône

Ain

Rhôn

e

Isère

Loire

ArdècheGar

Durance

Var

Loire

LoireCher

Indre

Creuse

Vienn

e

Charente

Eure

Mayenne

Brest

Allier

Dordogne

Garonne

Garonne

Midouze

Lot

Aveyron

Tarn

Ebro

Lac

Bodensee

LogoComo

3,2

3,0

2,8

3,6

3,8

4,0

4,2

4,4

4,8 5,05,2

5,2

4,8

5,0

4,6

4,4

4,24,0

3,83,63,4

3,2

4,6

3,4

Quantité d'énergiesolaire annuellereçue en kWh/m2 jour

d' après l' Atlas Européen du rayonnement solaire- Commission des communautés Européennes

GUADELOUPE5,2 kWh/m2.jour

MARTINIQUE5,3 kWh/m2.jour

REUNION5,7 kWh/m2.jourOrienté vers l' équateur

GUYANE5,3 kWh/m2.jour

8980F027

Lille

Amiens Charleville-MézièresLe Havre

Rouen

Châlons-Sur-marne

Metz

Nancy

BesançonDijon

Strasbourg

Orléans

PARIS

Tours

Caen

Rennes

Brest

Nantes

Poitiers

Limoges

Toulouse

Perpignan

MontpellierNimes

Nice

BastiaMarseille

Grenoble

Clermont-Ferrand

Lyon

La Rochelle

Bordeaux

Pau

Milano

Torino

Santander

Pamplona

Genova

BERNE

VADUZ

LUXEMBOURG

BONN

BRUXELLES

Zürich

Stuttgart

Mannheim

Frankfurt

Portsmouth

Southampton

Plymouth

Köln

Liège

Seine

Oise

Marne

Seine

Yonne

Aube

Scarpe

Schelde

Meuse

Meuse

Mosel

Moselle

Meurthe

Main

Neckar

Rhein

Rhin

Rhein

Rhône

Saône

Ain

Rhôn

e

Isère

Loire

ArdècheGar

Durance

Var

Loire

LoireCher

Indre

Creuse

Vienn

e

Charente

Eure

Mayenne

Brest

Allier

Dordogne

Garonne

Garonne

Midouze

Lot

Aveyron

Tarn

Ebro

Lac

Bodensee

LogoComo

3,2

3,0

2,8

3,6

3,8

4,0

4,2

4,4

4,8 5,05,2

5,2

4,8

5,0

4,6

4,4

4,24,0

3,83,63,4

3,2

4,6

3,4

Quantité d'énergiesolaire annuellereçue en kWh/m2 jour

d' après l' Atlas Européen du rayonnement solaire- Commission des communautés Européennes

GUADELOUPE5,2 kWh/m2.jour

MARTINIQUE5,3 kWh/m2.jour

REUNION5,7 kWh/m2.jourOrienté vers l' équateur

GUYANE5,3 kWh/m2.jour

8980F027

Lille

Amiens Charleville-MézièresLe Havre

Rouen

Châlons-Sur-marne

Metz

Nancy

BesançonDijon

Strasbourg

Orléans

PARIS

Tours

Caen

Rennes

Brest

Nantes

Poitiers

Limoges

Toulouse

Perpignan

MontpellierNimes

Nice

BastiaMarseille

Grenoble

Clermont-Ferrand

Lyon

La Rochelle

Bordeaux

Pau

Milano

Torino

Santander

Pamplona

Genova

BERNE

VADUZ

LUXEMBOURG

BONN

BRUXELLES

Zürich

Stuttgart

Mannheim

Frankfurt

Portsmouth

Southampton

Plymouth

Köln

Liège

Seine

Oise

Marne

Seine

Yonne

Aube

Scarpe

Schelde

Meuse

Meuse

Mosel

Moselle

Meurthe

Main

Neckar

Rhein

Rhin

Rhein

Rhône

Saône

Ain

Rhôn

e

Isère

Loire

ArdècheGar

Durance

Var

Loire

LoireCher

Indre

Creuse

Vienn

e

Charente

Eure

Mayenne

Brest

AllierDordogne

Garonne

Garonne

Midouze

Lot

Aveyron

Tarn

Ebro

Lac

Bodensee

LogoComo

3,2

3,0

2,8

3,6

3,8

4,0

4,2

4,4

4,8 5,05,2

5,2

4,8

5,0

4,6

4,4

4,24,0

3,83,63,4

3,2

4,6

3,4

Quantité d'énergiesolaire annuellereçue en kWh/m2 jour

d' après l' Atlas Européen du rayonnement solaire- Commission des communautés Européennes

GUADELOUPE5,2 kWh/m2.jour

MARTINIQUE5,3 kWh/m2.jour

REUNION5,7 kWh/m2.jourOrienté vers l' équateur

GUYANE5,3 kWh/m2.jour

8980F027

Les Généralités

Les Bonnes raisons de choisir un système solaire

Page 7: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

7

Dimensionnement d’une installation solaire

Utiliser l’énergie solaire, c’est préserver l’environnement.Cette technologie économisant de 1 à 1,5 tonne de CO2 par an et par famille, est la seule qui nous permette d’agir efficacement sur la réduction de l’effet de serre. Choisir l’énergie solaire, c’est s’affranchir de la hausse des coûts des énergies traditionnelles, inévitable.

Enfin, avec les systèmes de production d’eau chaude solaire De Dietrich, vous avez l’assurance d’une solution mature, innovante et parfaitement fiable.

De par leur conception, les capteurs solaires De Dietrich proposés sont en mesure (s’ils sont orientés de façon optimale avec un angle d’inclinai-son idéal de récupérer 70 à 80 % de l’énergie reçue par rayonnement afin de l’utiliser par l’intermédiaire d’un préparateur solaire adapté, pour la production d’eau chaude sanitaire et/ou le soutien au chauffage.

SyStèMES SOLAiRES POUR LA PROdUCtiOn d’EAU CHAUdE SAnitAiRE (CESi)Le CESI (chauffe-eau solaire individuel) est un système qui permet de produire de l’eau chaude avec des capteurs solaires. Son principe : le fluide caloporteur qui arrive du capteur réchauffe le préparateur par l’intermédiaire d’un échangeur (serpentin) intégré dans le bas de ce ballon. Ce système peut couvrir jusqu’à 60 % des besoins annuels en ECS. En hiver, un appoint doit compenser le manque de soleil.

SyStèMES SOLAiRES POUR LA PROdUCtiOn d’EAU CHAUdE SAnitAiRE Et LE SOUtiEn AU CHAUFFAGE (SSC)Le SSC (système solaire combiné) est un système permettant à la fois la production d’eau chaude sanitaire et de participer au chauffage de la maison. Son principe : le fluide caloporteur réchauffé par les capteurs, arrive soit sur un échangeur à plaques (DIETRISOL QUADRO/QUADRODENS), soit directement sur un préparateur mixte à échangeur intégré, et réchauffe ainsi l’eau de chauffage stocké dans ce ballon. L’ECS est produite soit par l’intermédiaire d’un système bainmarie ou en instantané (serpentin en inox) dans ce volume de stockage. Un générateur de chaleur (chaudière, pompe à chaleur,…) raccordé à ce même volume de stockage fournit l’appoint énergétique nécessaire soit pour la production ECS, soit pour le chauffage.

RèGLES dE bASE (jusqu’à 20m2 de surface de capteurs)

Le choix de l’installation solaire la mieux appropriée s’effectue prin-cipalement en fonction de son utilisation, du besoin énergétique, de l’orientation et de l’inclinaison des capteurs solaires ainsi que de son lieu d’installation. Aussi est-il important de définir et de prévoir déjà au niveau du projet, la place nécessaire sur le toit et dans la chaufferie ainsi que l’orientation de la construction et l’inclinaison du toit :

• UtilisationLes domaines d’utilisation les plus courants sont la préparation de l’eau chaude sanitaire, le soutien au chauffage et le réchauffage d’une piscine. La surface de capteurs nécessaire dépend directement de leur destination.

• Besoin énergetiqUePour pouvoir dimensionner au mieux une installation solaire, il est nécessaire de connaître le plus précisément possible les besoins en eau chaude sanitaire et en chauffage de l’installation

• orientation et inclinaison des capteUrsL’orientation optimale des capteurs solaires sur le toit est “plein sud”. L’angle d’inclinaison optimal se situe entre 40 et 60° selon le type de montage. Veiller autant que possible à ce que le champ de capteur ne soit jamais à l’ombre.

• lieU d’installationPour tenir compte de l’ensoleillement du lieu d’installation du système, se reporter à la carte ci-contre. Celle-ci donne la quantité d’énergie solaire moyenne annuelle reçue sur une surface orientée au sud et inclinée d’un angle égal à la latitude en kWh/m2/jour.exemple : Pour une installation située à Toulouse, l’énergie solaire reçue sera en moyenne 4,4 kWh/m2.jour ou 1606 kWh/m2.an

diMEnSiOnnEMEnt PAR diAGRAMME dE SiMULAtiOn Les diagrammes et indications figurant en page suivante donnent des valeurs indicatives pour un dimensionnement simple d’une installation solaire avec un taux de couverture en énergie solaire normal, une orientation au sud et une inclinaison de toit de 45/60°.Ces valeurs peuvent être utilisées pour le dimensionnement de petites installations jusqu’à 20 m2 de surface de capteurs.

> pour un dimensionnement plus précis contacter notre centre pro : n° direct : 0 825 33 82 82

• installation solaire poUr prodUction d’ecs (cesi)

Pour plus de facilié, nous vous proposons l’utilisation du diagramme ci-après. Il a été établi avec comme base 75 l de capacité préparateur solaire et 1 m2 de capteur par personne.attention : pour les capteurs tubulaires, la surface d’entrée doit être diminuée de 25 % environ par rapport aux capteurs plans.

En principe, le volume du préparateur solaire (avec appoint chaudière ou électrique) doit pouvoir couvrir 1,5 x les besoins journaliers dans le sud à 2 x ces besoins dans le nord, pour absorber les jours de

Besoin énergétique couvert par l’appoint chauffage

Besoin énergétiquecouvert par l’énergie solaire

surplus d’énergie solaire

Performances des capteurs solaires

Page 8: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

8

mauvais temps. Sans appoint, ces valeurs sont à doubler (installations déconseillées en France Métropolitaine).remarque : Pour les préparateurs solaires à appoint électrique intégré (B…/1 + option résistance électrique), il est important de tenir compte du volume chauffé par la résistance seule ; en cas d’absence de soleil, le système fonctionnera comme un chauffe-eau électrique, mais uniquement sur son volume d’appoint (env. 1/3 du volume du préparateur).

nous admettons comme règle de base que :

• 1 m2 de capteur produit 45 l d’ECS/jour à 60 °C dans le Nord ou 70 l d’ECS/jour à 60 °C dans le Sud

ce qui correspond en moy. aux besoins en eau chaude d’1 pers.

• la valeur à retenir sera donc d’1 m2 de capteur DIETRISOL PRO/personne

DÉfINITION DE LA SURfACE DES CAPTEURS (CESI)

DIAGRAMME DE SIMULATIOn CESIcapteurs plandietrisol/inisol en m2

nombre de personnes

2 3 4 5 6 7 8

7,5

6

5

4

2,5

G = 1150 kW

h/m2 . a

G = 1850 kWh/m

2 . a

nORd

SUd

• installation solaire poUr prodUction d’ecs et soUtien aU chaUffage (ssc)

Le dimensionnement d’une SSC résulte du dimensionnement d’une CESI à laquelle il faut rajouter la surface de capteurs nécessaire pour le soutien au chauffage.Comme les besoins énergétiques pour le chauffage peuvent varier énormément d’une maison à l’autre, ceux-ci sont très difficiles à évaluer ; de ce fait nous nous baserons dans le diagramme ci-contre sur des ratios généralement admis pour ce type d’installation solaire.

• les surfaces de capteurs solaires nécessaires pour des SSC correspondent en règle générale à ≈ 10 % de la surface habitable

attention : pour les capteurs tubulaires, la surface d’entrée doit être diminuée de 25 % environ par rapport aux capteurs plans.

• les volumes de stockage d’eau de chauffage sont quant à eux, compris entre 40 et 80 l par m2 de capteurs solaires selon les consommations estivales.

DÉfINITION DE LA SURfACE DES CAPTEURS (SSC)

nota : En cas d’absence de piscine un ballon tampon supplémentaire PSB 750 peut être mis en place pour permettre d’évacuer le trop-plein d’énergie reçue en été.

DIAGRAMME DE SIMULATIOn SSCcapteurs plandietrisol/inisol en m2

surface habitée en m2

g = énergie solaire disponible en kWh/m2 an seulement avec consommateur d’énergie

supplémentaire, piscine par exemple

famille de 4 personnes

dietrisol

50 70 90 110 130 150 180 210

20

17

15

12

10

8,5

7,5SUd

G = 1150 kWh/m

2 .a

G = 1850 kWh/m

2 .a

nORd

CAS PARtiCULiER : RÉCHAUFFAGE d’UnE PiSCinE L’énergie nécessaire au réchauffage d’une piscine dépend de plusieurs facteurs d’influence. Tout d’abord, il faut faire la distinction entre une piscine de plein air et une piscine intérieure couverte. Ensuite il faut tenir compte du fait que le bassin soit couvert ou non.

• Température du bassin : 22 °C pour une piscine de plein air (de mai à septembre) 24 °C pour une piscine intérieure couverte (temp. ambiante 28 °C)

• Profondeur moyenne du bassin : 1,4 m

• Economie d’énergie réalisable en couvrant le bassin : 30 % pour une piscine de plein air, 15 % pour une piscine intérieure

• Besoin en eau chaude : 200 l/jour

• Taux de couverture : piscine : 50 - 60 % ; eau chaude sanitaire : 60 - 70 %

• Orientation des capteurs : Sud, Inclinaison : 40°

CRITÈRES UTILISÉS POUR LA SIMULATIOn

Une augmentation de la température du bassin par rapport aux valeurs indiquées ci-contre implique une forte augmentation de la surface de capteurs nécessaire.Valeur indicative pour 1 piscine intérieure avec une surface de bassin de 32 m2 : 1 °C supplémentaire au niveau de la température du bassin équivaut à augmenter la surface des capteurs de 8 à 10 % soit d’1 capteur DIETRISOL PRO.

SURFACE DES CAPTEURS

SURFACE DU BASSIN

VALEUR MOYENNE ANNUELLE D’ÉNERGIE SOLAIRE RECUE

< 1300 kWh/m2a 1300 kWh/m2a

PISC

INE

PLEI

N A

IR

CO

UVER

T 20 m2 10 5

32 m2 12,5 7,5

NON

COUV

ERT

20 m2 12,5 7,5

32 m2 15 10

PISC

INE

INT.

CO

UVE

RTE

CO

UVER

T 20 m2 7,5 7,5

32 m2 12,5 10

NON

COUV

ERT

20 m2 10 10

32 m2 12,5 12,5

Cette surface de capteurs est à ajouter à celle définie pour le soutien au chauffage et la préparation ecs. Attention, surface maximale raccordable en cas d’utilisation d’un préparateur QUADRO DU 750-20 = 20 m2, d’un DC 1000 = 15 m2

Page 9: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

9

dÉtERMinAtiOn dES FACtEURS dE MinORAtiOn En CAS d’iMPLAntAtiOn nOn idÉALE Les valeurs “G” indiquées sur la carte géographique de la page 6, correspondent à une orientation optimale de capteurs : orientation sud, inclinaison 45°. Si l’implantation du champ de capteurs diffère de ces données, l’ensoleillement moyen journalier sera minoré selon les coefficients de correction suivants :

Le schéma ci-contre donne en fonction de l’inclinaison des capteurs par rapport à l’angle optimal le facteur de correction FI à appliquer.

exemple : Pour un toit incliné à 25°, le facteur de correction sera de 0,95.Le rendement de l’installation solaire sera minoré de 5 % par rapport à une implantation idéale.

attention : • pas d’implantation de capteur avec un angle d’inclinaison < 25°,

à moins que l’installation ne serve qu’en été.• pour des installations SSC, une inclinaison proche de 60° (pente

175 %) favorise l’apport d’énergie en hiver et permet d’éviter les surchauffe en été en cas d’absence de piscine ou de décharge.

FACTEUR DE CORRECTIOn FI

Le schéma ci-contre donne en fonction de l’orientation des capteurs solaire par rapport au sud, le facteur de correction FO à appliquer.

exemple : Pour une installation de capteurs orientés à 50° Sud-Est, le facteur de correction est de 0,83.

attention : Pour les installations SSC, il est conseillé dans les cas extrêmes de répartir les capteurs sur les 2 pentes du toit.

FACTEUR DE CORRECTIOn FO

Les minorations de rendement dues aux écarts par rapport à l’orientation ou à l’inclinaison idéale ne peuvent pas être compensées pour des petites installations jusqu’à 20m2 de surface de capteurs si ce n’est en rajoutant un capteur supplémentaire.

1,00

1,0070 50 30 10 100 30 50 70

0,95

0,90

0,830,85

0,80

0,75

0,70

20 25 30 40 50 60 70

0,95

0,90

0,85

0,80

0,75

fi

fo

Facteur decorrection

Facteur decorrection

Ecart d' orientationpar rapport au sud

en °

Angle d' inclinaisondu toit γ en °

β

β

α

α

S

EO

N

1,00

1,0070 50 30 10 100 30 50 70

0,95

0,90

0,830,85

0,80

0,75

0,70

20 25 30 40 50 60 70

0,95

0,90

0,85

0,80

0,75

fi

Korrektur-Factor

Dachneigungs-winkel in °

fo

Korrektur-Factor

Azimutwinkel in °

β

β

α

α

SÜD

WEST

SÜD

OSTOSTWEST

NORD

8980F030B

γ γ

1,00

1,0070 50 30 10 100 30 50 70

0,95

0,90

0,830,85

0,80

0,75

0,70

20 25 30 40 50 60 70

0,95

0,90

0,85

0,80

0,75

fi

fo

Facteur decorrection

Facteur decorrection

Ecart d' orientationpar rapport au sud

en °

Angle d' inclinaisondu toit γ en °

β

β

α

α

S

EO

N

1,00

1,0070 50 30 10 100 30 50 70

0,95

0,90

0,830,85

0,80

0,75

0,70

20 25 30 40 50 60 70

0,95

0,90

0,85

0,80

0,75

fi

Korrektur-Factor

Dachneigungs-winkel in °

fo

Korrektur-Factor

Azimutwinkel in °

β

β

α

α

SÜD

WEST

SÜD

OSTOSTWEST

NORD

8980F030B

γ γ

Page 10: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

10

Le cycle thermodynamique d’un fluide frigorigène permet de transférer de l’énergie de l’environnement (source froide) vers le circuit de chauffage de l’habitation (source chaude).

Les 4 principaux éléments d’une PAC sont :• l’évaporateur, échangeur par lequel la chaleur est soutirée du

milieu extérieur et dans lequel le fluide frigorigène se vaporise à basse température,

• le compresseur qui, entraîné par un moteur électrique, aspire et comprime les vapeurs à haute pression,

• le condenseur, échangeur par lequel la chaleur est restituée au circuit de chauffage et dans lequel le fluide frigorigène repasse de l’état gazeux à l’état liquide,

• le détendeur, qui permet d’abaisser la pression du liquide venant du condenseur et de régler son débit.

L’intérêt du cycle réside dans le fait que l’on récupère l’énergie gratuite de l’environnement pour la valoriser dans le circuit de chauffage.Pour fonctionner le cycle thermodynamique nécessite un apport d’énergie qui correspond à l’énergie électrique consommée par le compresseur (celle que l’on paie).

En mode “chauffage”, les performances des pompes à chaleur sont caractérisées par le coefficient de performance ou COP qui correspond au rapport :

COP = Énergie utile (chaleur fournie au circuit de chauffage)

Énergie consommée (électricité fournie au compresseur)

Le COP varie de 3 à 5 suivant le type de pompes à chaleur. Un COP de 4 signifie que pour 4 kWh d’énergie produite pour le chauffage, on consomme 1 kWh d’électricité pour alimenter le compresseur.

En mode “rafraîchissement”, les performances de la pompe à chaleur sont caractérisées par leur EER (coefficient d’Efficacité EneRgétique) qui est plus communément appelé COP froid.

COP = Énergie utile (froid fourni au circuit de rafraîchissement)

froid Énergie consommée (électricité fournie au compresseur)

LE COP (COEffICIENT DE PERfORmANCES)

LE MOdE RAFRAîCHiSSEMEntLes pompes à chaleur, dites réversibles, permettent de faire du rafraîchis-sement l’été. Une vanne 4 voies, appelée vanne d’inversion de cycle, fait passer le cycle du mode chauffage au mode rafraîchissement.

LES pOMpES à chALEuR

Compresseur

Détendeur

Condenseur

Air Eau Sol

Chauffage

Evaporateur

3/4 d' énergie naturelle

1/4 d' énergie électrique

4/4 d' énergie calorifique

bar

(∞C)

PHASE GAZEUSE

PHASE LIQUIDE

BASSE

PRESSION

HAUTE

PRESSION

Compresseur Condenseur

Evaporateur

Détendeur

PAC_F0016A

PAC_F0017

Evaporateur

Condenseur

Détendeur

Compresseur

Vanned' inversion

Evaporateur

Condenseur

Détendeur

Compresseur

Vanned' inversion

Mode chauffage

Mode rafraîchissement

PAC_F0017

Evaporateur

Condenseur

Détendeur

Compresseur

Vanned' inversion

Evaporateur

Condenseur

Détendeur

Compresseur

Vanned' inversion

Mode chauffage

Mode rafraîchissement

Principe de fonctionnement

Page 11: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

11

L’aspiration du compresseur est ainsi reliée à l’échangeur intérieur qui devient donc évaporateur. Le refoulement du compresseur est ainsi relié à l’échangeur extérieur qui devient donc condenseur.

nota : Pour les PAC de type Air/Eau, cette vanne 4 voies sert également pour la phase de dégivrage de l’évaporateur.

Dans le cas d’une installation avec plancher chauffant rafraîchissant, la puissance frigorifique est limitée, mais suffisante, pour maintenir des conditions de confort agréables dans l’habitation. Cela permet en moyenne de réduire de 3 à 4 °C la température ambiante. On parle de ce fait de rafraîchissement et non pas de climatisation.

REMARQUES iMPORtAntES les différents émetteUrs :Les pompes à chaleur sont limitées en température de sortie d’eau. Suivant les types, la température maxi est de 55 °C. Il est donc impératif

de travailler sur des émetteurs basse température c’est-à-dire plancher chauffant rafraîchissant ou radiateurs dimensionnés en chaleur douce, sauf pour les PAC haute température qui peuvent atteindre 65 °C. Pour le mode rafraîchissement, seul le plancher chauffant avec dalle et revêtement compatibles est adapté. Il est également nécessaire de respecter les températures de départ plancher chauffant minimales en rapport avec la zone d’implantation géographique pour éviter tout phénomène de condensation.

les flUides frigorigènes :Différents fluides frigorigènes sont utilisés ; le R 410 A, le R 404 A, le R 407 C, le R 290 et le R 134 A chacun ayant des propriétés adaptées au type de pompe à chaleur. Ils appartiennent tous à la famille des HfC (Hydrofluorcarbures), composées de molécules chimiques contenant du carbone, du fluor et de l’hydrogène. Ils ne contiennent pas de chlore et préservent ainsi la couche d’ozone.

Le soleil et la pluie fournissent une grande quantité d’énergie gratuite et renouvelable au sol et à l’air qui nous entourent. Les PAC (Pompes A Chaleur) représentent un excellent moyen de valoriser cette énergie en la transformant en chaleur utilisable dans une maison d’habitation. On parle d’aérothermie quand les calories sont prélevées de l’air extérieur et de géothermie lorsqu’elles le sont du sol.

AÉROtHERMiELa chaleur est prélevée sur l’air extérieur, il s’agit de PAC Air/Eau.Les PAC Air/Eau sont placées à l’extérieur du bâtiment et la chaleur produite est distribuée dans le local d’habitation par l’intermédiaire d’un module hydraulique intérieur (mIT…) qui peut intégrer• soit un appoint de type résistance électrique• soit un appoint externe par chaudière pour couvrir si nécessaire

les besoins de pointe.

GÉOtHERMiELa chaleur est prélevée du sol extérieur. Il existe deux types de PAC correspondant à ce schéma.• les PAC Sol/Eau avec un captage en boucle fermée sur le sol, celui-ci

pouvant être horizontal (par capteurs enterrés) ou vertical (par forage)

• les PAC Eau/Eau avec un puisage d’eau dans la nappe phréatiqueComme pour les PAC Air/Eau, les PAC SOLO et nAPO intègrent le module hydraulique (mIT…) sur lequel peuvent être raccordés soit un appoint électrique, soit un appoint hydraulique par chaudière si nécessaire.

PAC_F0009B

(A) (B)

PAC_F0009B

(A) (B)

Les différents types de pompes à chaleur

PAC ROE-II (groupe thermodynamique extérieur + module hydraulique intérieur : MIT-II)

PAC ROI+ (groupe thermodynamique et module hydraulique MIT-II intérieurs)

PAC_F0009B

(A) (B)

PAC_F0009B

(A) (B)

PAC SOLO avec capteurs enterrés horizontaux

PAC NAPO avec puisage d’eau dans la nappe phréatique (A)PACK SOLO avec capteurs enterrés verticaux (B)

Page 12: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

12

Le dimensionnement d’une pompe à chaleur doit être réalisé de manière précise. En effet le choix d’un appareil de trop grande puissance élève considérablement le coût de l’installation sans amener d’économies de consommation et le risque de fonctionnement en court cycle en est d’autant plus élevé. Le choix d’un appareil de trop faible puissance entraîne une consommation énergétique également trop importante provoquée par des périodes de fonctionnement de l’appareil très longues. Il est donc impératif d’effectuer en premier lieu un calcul précis de déperditions de l’habitation.

APPROCHE dE CALCUL dE dÉPERditiOnS d’UnE MAiSOn indiVidUELLELes déperditions d’une maison individuelle peuvent être calculées de manière approchée par la formule suivante :

p = g x V x ΔtP = Déperditions en WV = Volume habitable en m3

ΔT = Différence entre la température intérieure et la température extérieure de base

G = Cœfficient fonction de l’isolation bâtiment en W/m3 . °C

TyPE DE MAISOn G = W/M3 . °C

ancienne sans isolation 2

ancienne avec isolation 1,5

construite après 1990 1,1

RT 2000 0,9

RT 2005 0,8

très bonne isolation 0,6

bioclimatique 0,4

exemple : Pour une maison individuelle de 150 m2 (hauteur sous plafond de 2,5 m) dans le département 37 qui a été construite après 1990, les déperditions sont de :p = 1,1 x [(150 m2 x 2,5 m) x (20 °c - (- 7 °c)] = 11138 W soit 11,1 kW

nota : cette méthode de calcul est donnée à titre indicatif et ne remplace en rien une étude thermique. La responsabilité de De Dietrich ne peut en aucun cas être engagée.

PAC_F0019B

0 à 200 m -2-2

-4 -5 -6 -7-2 -4 -7

-8 -9 -10 -12 -15-3 -5 -6 -7 -8 -9 -10 -11 -13 -15

-4 -7 -9 -11 -12 -13 -15 -17-5 -8 -10 -12 -13 -14 -16 -18-6 -8 -11 -13 -14 -15 -17 -19

-9 -13 -15 -17 -19 -21

201 à 400 m

501 à 600 m-4 -6 -7 -8 -9 -10 -11 -12 -14 -16401 à 500 m

601 à 700 m

701 à 800 m-9 -12 -14 -15 -16 -18 -20801 à 900 m

901 à 1000 m-10 -14 -16 -18 -20 -221001 à 1100 m-10 -17 -19 -21 -231101 à 1200 m-11 -18 -20 -22 -241201 à 1300 m-11 -19 -21 -23 -251301 à 1400 m-12 -22 -24 -251401 à 1500 m-12 -231501 à 1600 m-12 -241601 à 1700 m-13 -25

-16-17-18-19

1701 à 1800 m-10 -261801 à 1900 m-14 -271901 à 2000 m-15 -292001 à 2100 m

Zone en fonction de la carte ci-dessus

Tranchealtitude

Alt

itu

de

Distance côte < 25 km

PAC_F0019B

0 à 200 m -2-2

-4 -5 -6 -7-2 -4 -7

-8 -9 -10 -12 -15-3 -5 -6 -7 -8 -9 -10 -11 -13 -15

-4 -7 -9 -11 -12 -13 -15 -17-5 -8 -10 -12 -13 -14 -16 -18-6 -8 -11 -13 -14 -15 -17 -19

-9 -13 -15 -17 -19 -21

201 à 400 m

501 à 600 m-4 -6 -7 -8 -9 -10 -11 -12 -14 -16401 à 500 m

601 à 700 m

701 à 800 m-9 -12 -14 -15 -16 -18 -20801 à 900 m

901 à 1000 m-10 -14 -16 -18 -20 -221001 à 1100 m-10 -17 -19 -21 -231101 à 1200 m-11 -18 -20 -22 -241201 à 1300 m-11 -19 -21 -23 -251301 à 1400 m-12 -22 -24 -251401 à 1500 m-12 -231501 à 1600 m-12 -241601 à 1700 m-13 -25

-16-17-18-19

1701 à 1800 m-10 -261801 à 1900 m-14 -271901 à 2000 m-15 -292001 à 2100 m

Zone en fonction de la carte ci-dessus

Tranchealtitude

Alt

itu

de

Distance côte < 25 km

PAC_F0019B

0 à 200 m -2-2

-4 -5 -6 -7-2 -4 -7

-8 -9 -10 -12 -15-3 -5 -6 -7 -8 -9 -10 -11 -13 -15

-4 -7 -9 -11 -12 -13 -15 -17-5 -8 -10 -12 -13 -14 -16 -18-6 -8 -11 -13 -14 -15 -17 -19

-9 -13 -15 -17 -19 -21

201 à 400 m

501 à 600 m-4 -6 -7 -8 -9 -10 -11 -12 -14 -16401 à 500 m

601 à 700 m

701 à 800 m-9 -12 -14 -15 -16 -18 -20801 à 900 m

901 à 1000 m-10 -14 -16 -18 -20 -221001 à 1100 m-10 -17 -19 -21 -231101 à 1200 m-11 -18 -20 -22 -241201 à 1300 m-11 -19 -21 -23 -251301 à 1400 m-12 -22 -24 -251401 à 1500 m-12 -231501 à 1600 m-12 -241601 à 1700 m-13 -25

-16-17-18-19

1701 à 1800 m-10 -261801 à 1900 m-14 -271901 à 2000 m-15 -292001 à 2100 m

Zone en fonction de la carte ci-dessus

Tranchealtitude

Alt

itu

de

Distance côte < 25 km

Dimensionnement d’une installation PAC

Page 13: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

13

diMEnSiOnnEMEnt dES PAC AiR/EAU Les pompes à chaleur Air/Eau n’arrivent pas seules à compenser les déperditions d’une habitation car leur puissance diminue quand la température extérieure diminue et elles s’arrêtent même de fonctionner à une température dite température d’arrêt. Un appoint électrique ou hydraulique par chaudière est alors nécessaire. La température d’équilibre correspond à la température extérieure à laquelle la puissance de la PAC est égale aux déperditions.

Pour un dimensionnement optimum, il est conseillé de respecter les règles suivantes :• 60 % des déperditions ≤ Puissance PAC

à To ≤ 80 % des déperditions où To = Tbase si Tarrêt < Tbase et To = arrêt dans le cas contraire• puissance PAC à Tbase + Puissance Appoint

= 120 % des déperditions

En respectant ces règles de dimensionnement on obtient, suivant les cas, des taux de couverture allant d’environ 80 % jusqu’à plus de 90 %. > pour des calculs plus détaillés, vous pouvez utiliser notre

outil de calcul diemapac disponible sur l’espace pro du site : www.dedietrich-thermique.fr

remarques :• les déperditions doivent être déterminées de manière précise et

sans cœfficient de surpuissance

• (+3), (+6) ou (+12) correspond à l’appoint électrique ou hydraulique minimum nécessaire en kW.

• l’appoint élec. est de 12 kW max. et nécessite une alimentation triphasée (6 kW au max. en monophasé)

• dans le cas d’installations avec relève chaudière, il est possible de sélectionner une PAC monophasée légèrement sous-di-mensionnée à la place d’une PAC triphasée, étant entendu qu’il est délicat en rénovation de passer d’un coffret électrique monophasé à un triphasé

• en dessous de la température extérieure d’arrêt de la pac (–15 °c ou –20 °c) seuls les appoints fonctionnent.

diMEnSiOnnEMEnt dES PAC SOL/EAU Et EAU/EAULes pompes à chaleur Sol/Eau et Eau/Eau peuvent couvrir tous les besoins d’une habitation. Il est important de dimensionner la PAC au plus juste pour limiter les surcoûts. Pour ces raisons ou pour des raisons de surface de terrain disponible on peut être amené à sous-dimensionner légèrement la PAC et de prévoir un appoint complémentaire.

Pour un dimensionnement optimum il est conseillé de respecter les règles suivantes :

• 80 % des déperditions ≤ Puissance PAC ≤ 120 % des déperditions

• Puissance PAC + Puissance Appoint = 120 % des déperditions

remarques :• les déperditions doivent être déterminées de manière précise et sans

cœfficient de surpuissance

• (+3), (+6) ou (+12) correspond à l’appoint électrique ou hydraulique minimum nécessaire en kW.

dimensionnement des capteUrs enterrés verticaUxLe dimensionnement doit être déterminé de façon rigoureuse. Tout sous-dimensionnement entraînera une dégradation des performances et des puissances soutirées au cours du temps.

Le dimensionnement du capteur s’effectue en mode chaud sur la base d’une puissance soutirée au sol qui est fonction de sa nature. Les ordres de grandeur par mètre linéaire sont les suivants :

• Sable sec : 20 W/m

• Sable humide : 50 W/m

• Roche humide : 70 W/m (voir plus dans les zones avec forte circulation dans l’aquifère)

Le dimensionnement ainsi que la pose de la sonde verticale est sous la responsabilité du foreur qui pourra éventuellement corriger ces ratios en fonction de la nature précise du terrain.> La liste des foreurs “Foreurs Qualité pac” est disponible

sur le site www.promotelec.com.

dimensionnement des capteUrs enterrés horizontaUxLes tableaux en page suivante indiquent les longueurs, surface et contenances des capteurs enterrés en fonction du diamètre de tube, de l’espacement et de la nature du sol. y figurent également le volume du vase d’expansion, le diamètre du circuit de raccordement entre le collecteur et la PAC ainsi que la pompe préconisée.

Les ordres de grandeur de la puissance soutirée en fonction de la nature du sol sont :

• Sable sec : 15 W/m2

• Sable humide : 20 W/m2

• Argile sec : 25 W/m2

• Argile humide : 30 W/m2

• Argile saturé d’eau : 40 W/m2

Puissancedéperditions

Droite de déperditions du logement 100%

Courbe théorique de puissance de la PAC

Appointseul

appoint Puissance+ disponible

de la PAC PAC PAC Puissance

seule utilisée

TT arrêtbase Téq Température extérieure en °C

PAC_F0030

Tbase = Température extérieure de base

Téq = Température d’équilibre

Tarrêt = Température d’arrêt

Page 14: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

14

Implantation d’une installation PACiMPLAntAtiOn dES PAC ROE-ii, ROE+, ROE H, ROi+ Et ROE+ tHLes groupes thermodynamiques des pompes à chaleur ROE-II, ROE+, ROE H, ROI+ et ROE+ TH sont destinés à être installés à l’extérieur, à proximité de la maison, sur une terrasse ou dans un jardin. Ils sont prévus pour fonctionner sous la pluie mais peuvent également être implantés sous un abri aéré sur les 4 côtés. Aucun obstacle ne doit gêner la libre circulation de l’air sur l’échangeur (aspiration et soufflage).

L’emplacement de ce groupe extérieur est à choisir avec soin à l’abri des vents dominants afin qu’il soit compatible avec les exigences de l’environnement : intégration dans le site, niveau sonore.

Il est en particulier conseillé :

• de ne pas placer l’unité extérieure à proximité de la zone nuit

• de ne pas la placer face à une paroi vitrée

• d’éviter la proximité d’une terrasse

De plus il est recommandé de positionner le groupe au-dessus de la hauteur moyenne de neige de la région où il est installé.

• Il est nécessaire de prévoir un dégagement tout autour de l’appareil pour effectuer les opérations de raccordement, de mise en service et d’entretien.

• Un socle en béton lisse de niveau et supportant la charge de la PAC doit être prévu. Pour les ROE+ et ROE+ TH, il est nécessaire de prévoir une réservation dans ce socle pour le passage des tubulures de rac-cordement hydraulique, du tuyau d’écoulement des condensats et des câbles électriques.

• L’écoulement des condensats peut être- soit raccordé au tout à l’égout- soit se faire sur un lit de cailloux selon l’un des schémas présentés ci-contre.

ROE-II6 à 10

ROE-II13 à 17

ROE13 H

ROE17 H

ROE+11

ROE+ 16

ROE+18 TH

ROE+22 TH

A (mm) 685 1285 1258 1258 1361 1571 1571 1711

B (mm) - - - - 1362 1552 1552 1682

C (mm) 250 250 250 250 360 360 250 250

DISTAnCE MAXIMALE* DE RACCORDEMEnT L, L1, L2 ENTRE LE mIT... ET LES gROUPES ExTÉRIEURS (en mètres)

PE 32x2,9 PE 40x3,7 Cu 26/28 Cu 30/32

ROE-II

6 MR/8 MR 20 20 20 20

10 MR/10 TR 20 20 15 20

13 MR/13 TR 17,5 20 10 20

17 TR 15 20 - 10

ROE+

11 MR/11 TR/16 TR 20 20 20 20

18 TH 18 20 10 20

22 TH 15 20 - 13

ROE H13 MH/13 TH 17,5 20 10 20

17 TH 15 20 - 10* La longueur maximale tient compte des dévoiements normaux sur un tel parcours, eau

glycolée à 30 %.

PAC_F0021C

Caniveau d' écoulement des condensats avec lit de cailloux

ModuleintérieurMIT-II

1000

150

600500 900

1035150

355

1500

400

1000100010001000

cotesen rouge = distancesminimales

517

300

A

Mod.int.MIT-II

1200

5000852

852

7129

100

1200

5000

B

752C

29 71

A

PAC_F0022C

Évacuation des condensatsau tout à l'égout

Socle béton

Socle PAC

Contour externe PAC

Découpesocle PAC

500

500

900

1000

517

300

cotesen rouge = distancesminimales

ROE-II6 à 10

PAC

A

Cotesen mm

ROE-II13 à 17

ROE+11

ROE+16

ROE+18TH

ROE+22TH

B

C

685

-

250

1285

-

250

1361

1362

360

1571

1552

360

1571

1552

250

1711

1682

250

L

PAC_F0065C

3

21

L2

L1

3

4

21

1 Module extérieur : ROE-II, ROE+ ou ROE+ TH

2 Ballon tampon

3 Module intérieur : MIT-II

4 Echangeur à plaques

L

PAC_F0065C

3

21

L2

L1

3

4

21

1 Module extérieur : ROE-II, ROE+ ou ROE+ TH

2 Ballon tampon

3 Module intérieur : MIT-II

4 Echangeur à plaques

a Module extérieur : ROE-II, ROE+, ROE H ou ROE+ TH

b Ballon tamponc Module intérieur :

MIT…d Échangeur

à plaques

Page 15: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

15

iMPLAntAtiOn dES PAC EAU/EAU Et SOL/EAULes cotes indiquées en rouge sont à respecter pour permettre d’effectuer au mieux les opérations de raccordement, de mise en service et de maintenance de la pompe à chaleur.

implantation des capteUrs enterrés poUr pac sol/eaULe tableau ci-dessous indique les distances minimales à respecter entre le pré de capteurs et les différents obstacles pouvant exister autour.

OBSTACLES Distances mini. en m

arbres 3

réseaux enterrés non hydrauliques 1,5

fondation, puits, fosse septique, évacuations, etc 3

IMPLAnTATIOn DES CAPTEURS EnTERRÉS HORIZOnTAUXLes capteurs enterrés horizontaux peuvent être implantés soit en décapage sur une couche, soit en tranchées à 4 tubes, avec collecteur.

précautions de mise en œuvre :• les collecteurs doivent être placés dans un regard facile d’accès muni

d’un bac de rétention• aucun raccord ne doit être effectué sur les capteurs enterrés hormis au

niveau de ces collecteurs• prévoir un dispositif avertisseur pour délimiter la zone de captage• prévoir un lit de sable si la terre de remblais présente des mottes ou

des cailloux susceptibles d’écraser les tubes.

IMPLAnTATIOn DES CAPTEURS EnTERRÉS VERTICAUXLes capteurs enterrés verticaux se présentent sous forme de sondes constituées de double-tubes en U en polyéthylène PE 25, 32 ou 40.

La mise en œuvre de ces sondes doit impérativement être réalisée par un professionnel du forage formé à ces techniques.

précautions de mise en œuvre :• installer les collecteurs dans un regard facilement accessible muni d’un

bac de rétention• vérifier que la pression statique en partie basse de la sonde se trouve

dans les limites d’utilisation des tubes• espacement minimal entre 2 forages : 10 m minimum et s’il y a plus de

4 capteurs, effectuer une pose en quinconce

remarque : PROFOnDEUR DE FORAGEOn constate qu’il n’y a plus d’influence des saisons sur la température du sol à partir de 10-15 m de profondeur : ceci permet le fonctionnement stable de la PAC toute l’année.Le schéma ci-contre donne la température du sol en fonction de la saison et de la profondeur.

implantation des capteUrs enterrés poUr pac eaU/eaUattention : Avant de procéder à un quelconque forage, il convient de faire appel au BRgm (Bureau de Recherches géologiques et minières) régional qui possède la connaissance du sous-sol. Différentes régle-mentations locales sont également à respecter ; quoi qu’il en soit, tout forage de plus de 10 m est soumis à une déclaration auprès de la DRIRE (Direction Régionale de l’Industrie, de la Recherche et de l’Équipement).Pompe primaire : Pour des profondeurs de puisage jusqu’à 10 m, on utilise

le plus souvent des pompes de surface alors que pour des profondeurs plus importantes, les pompes sont généralement immergées.

exigences de qualité d’eau de la nappe phréatique :Afin de protéger l’échangeur primaire des PAC nAPO, il est nécessaire de respecter les valeurs limites suivantes :

• fER < 0,2 mg/l• mANgANESE < 0,1 mg/l.

6201000

1985

300

600

500

500

PAC_F0023B

0,8 à

1,2 m

Pas de

0,35 m en PE20

0,45 m en PE25

1,2 m

0,6 m

Pas de

0,6 m en PE25

PAC_F0025C

10 m

10 m

PAC_F0026D

10 m

Max.100 m

Sondeverticalede typechambre commune

Sonde verticale de typedouble tube en U

00

5

10

15

20

1er fév. 1er août

1er mai 1er nov.

2 4 6 8 10 12 14 16 18 20Température de surface en °C

Pro

fond

eur

en m

10 °C

PAC_F0027C

5 m mini

Config. en décapage

0,8 à

1,2 m

Pas de

0,35 m en PE20

0,45 m en PE25

1,2 m

0,6 m

Pas de

0,6 m en PE25

PAC_F0025C

0,8 à

1,2 m

Pas de

0,35 m en PE20

0,45 m en PE25

1,2 m

0,6 m

Pas de

0,6 m en PE25

PAC_F0025C

Config. en tranchées de 4 tubes

Page 16: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

16

RACCORdEMEnt HydRAULiQUEprotection antigelLes tubulures de raccordement entre le groupe intérieur MIT… et les modules extérieurs étant extérieurs, il est important de protéger le circuit hydraulique avec un mélange eau/antigel/inhibiteur de corrosion. Pour une protection optimale, nous préconisons d’utiliser soit un fluide caloporteur prêt à l’emploi à base de mono-propylène-glycol de 20 à 40 % (à adapter en fonction du lieu d’installation) et d’inhibiteurs de corrosion, soit un produit à diluer.

attention : ne pas utiliser de produit à base de mono éthylène glycol (produit toxique).De même, les capteurs enterrés horizontaux ou verticaux raccordés à une pompe à chaleur EAU/EAU ou SOL/EAU, doivent être glycolés. La teneur en glycol préconisée sera comprise entre 25 et 30 %.

COnCEnTRATIOn D’AnTIGEL En FOnCTIOn DE LA TEMPÉRATURE EXTÉRIEURE DE BASE :

COnCEnTRATIOn En AnTIGELen % de propylène glycol

Temp. ext. de base en C°

20 -5

30 -10

40 -15

remarque : Le groupe ROI+ étant installé en intérieur, les tubulures de raccordement au MIT ne nécessitent pas systématiquement de protection antigel. En fonction du risque de gel, il pourra être préconisé l’emploi d’une solution antigel afin de protéger l’installation.

FiLtresAfin de protéger les échangeurs du groupe thermodynamique des PAC, la mise en place de filtres est obligatoire. Pour les PAC SOL/EAU ET EAU/EAU, des filtres à monter côté captage sont livrés d’origine.

vase d’expansion poUr circUit de capteUrs enterrés raccordés À Une pac sol/eaULe tableau suivant donne la contenance utile du vase d’expansion pour une pression de tarage de la soupape de sécurité de 3 bar en fonction du volume d’eau de l’installation et de la hauteur statique.

Tube PE 20 PE 25 PE 32 PE 40 PE 50Contenance en l/m 0,206 0,327 0,539 0,834 1,307

La contenance de l’installation peut se déterminer à l’aide du tableau ci-dessous.

COnTEnAnCE En EAU de l’installation en L

VOLUME DU VASE D’EXPAnSIOn en L pour une ht. statistique jusqu’à :

5 m 10 m 15 m200 4 5 7

250 5 6 9

300 6 7 11

400 7 10 15

500 9 12 19

600 12 15 25

Ballon tamponLe ballon tampon est destiné :• d’une part à augmenter le volume d’eau dans une installation afin de

limiter le fonctionnement en court cycle du compresseur. Plus le volume d’eau est important, plus le nombre de démarrages du compresseur sera réduit et plus sa durée de vie sera longue.

• d’autre part à assurer une réserve d’énergie pour les phases de dégivrage des PAC AIR/EAU.

La mise en place d’un ballon tampon est donc recommandée, notamment pour les installations avec radiateurs et/ou ventilo-convecteurs.Le volume préconisé est au minimum . 10 l/kW ; par exemple pour une PAC de 11 kW, il faut un volume d’eau dans l’installation d’au moins 110 l. nous proposons en option un ballon tampon de 80 et de 160 l .

COURbES CARACtÉRiStiQUESPRESSIOn DISPOnIBLE CIRCUIT PRIMAIRE MIT-II (côté circuit PAC)

Débit en m3/h

Hau

teu

r m

ano

mét

riq

ue

en m

CE

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 3,50

1

2

3

4

5

6

7

8

III

II

I

PAC_F0066

I petite vitesse II vitesse moyenneIII grande vitesse

Débit en m3/h

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 3,50

1

2

3

4

5

6

7

8

III

II

I

Débit en m3/h

Circuit primaire MIT-II (côté circuit PAC)

Caractéristiques de la pompe du kit vanne 3 voies livrable en option (Colis EH 57)

Pre

ssio

n d

isp

on

ible

en

mC

E

Circuit chauffage MIT-II (côté circuit direct)

Pre

ssio

n d

isp

on

ible

en

mC

E

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 3,50

1

2

3

4

5

6

7

8

III

II

I

PRESSIOn DISPOnIBLE CIRCUIT CHAUFFAGE MIT-II et MIT/P (côté circuit direct)

Débit en m3/h

Hau

teu

r m

ano

mét

riq

ue

en m

CE

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 3,50

1

2

3

4

5

6

7

8

III

II

I

PAC_F0066

I petite vitesse II vitesse moyenneIII grande vitesse

Débit en m3/h

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 3,50

1

2

3

4

5

6

7

8

III

II

I

Débit en m3/h

Circuit primaire MIT-II (côté circuit PAC)

Caractéristiques de la pompe du kit vanne 3 voies livrable en option (Colis EH 57)

Pre

ssio

n d

isp

on

ible

en

mC

E

Circuit chauffage MIT-II (côté circuit direct)

Pre

ssio

n d

isp

on

ible

en

mC

E0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 3,5

0

1

2

3

4

5

6

7

8

III

II

I

CARACTÉRISTIQUES DE LA POmPE DU KIT VANNE 3 VOIES livrable en option (colis EH-57) MIT-II et MIT/P

Débit en m3/h

Hau

teu

r m

ano

mét

riq

ue

en m

CE

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 3,50

1

2

3

4

5

6

7

8

III

II

I

PAC_F0066

I petite vitesse II vitesse moyenneIII grande vitesse

Débit en m3/h

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 3,50

1

2

3

4

5

6

7

8

III

II

I

Débit en m3/h

Circuit primaire MIT-II (côté circuit PAC)

Caractéristiques de la pompe du kit vanne 3 voies livrable en option (Colis EH 57)

Pre

ssio

n d

isp

on

ible

en

mC

ECircuit chauffage MIT-II (côté circuit direct)

Pre

ssio

n d

isp

on

ible

en

mC

E

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 3,50

1

2

3

4

5

6

7

8

III

II

I

PRESSIOn DISPOnIBLE CIRCUIT PRIMAIRE MIT/P (côté circuit PAC)

Débit en m3/h

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 4,03,50

1

2

3

4

5

6

7

8

9

PAC_F0153

I petite vitesse II vitesse moyenneIII grande vitesse

Débit en m3/h

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 4,03,50

1

2

3

4

5

6

7

8

9

III

II

I

III

II

I

Circuit chauffage MIT/.P (côté circuit direct)

Circuit primaire MIT/.P (côté circuit PAC)

Pre

ssio

n d

isp

on

ible

en

mC

EP

ress

ion

dis

po

nib

le e

n m

CE

Débit en m3/h

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 4,03,50

1

2

3

4

5

6

7

8

9

PAC_F0153

I petite vitesse II vitesse moyenneIII grande vitesse

Débit en m3/h

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 4,03,50

1

2

3

4

5

6

7

8

9

III

II

I

III

II

I

Circuit chauffage MIT/.P (côté circuit direct)

Circuit primaire MIT/.P (côté circuit PAC)

Pre

ssio

n d

isp

on

ible

en

mC

EP

ress

ion

dis

po

nib

le e

n m

CE

I petite vitesse II vitesse moyenne III grande vitesse

Page 17: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

17

Les pompes à chaleur ALEZIO sont de type «Split Inverter». Le système Inverter à «accumulateur de puissance» permet grâce à son système de régulation intégrée, d’adapter parfaitement la puissance de la pompe à chaleur aux besoins de l’installation. Ainsi, lorsqu’en hiver, les besoins sont importants, la pompe à chaleur pourra fournir sa puissance nominale et lorsque les besoins seront plus faibles, la pompe à chaleur pourra fournir que 30 % de sa puissance nominale.

Avec le système Inverter à «accumulateur de puissance», la consom-mation électrique est maîtrisée et le COP amélioré. La liaison entre le groupe extérieur et le module intérieur est faite par la liaison frigorifique contenant du fluide frigorigène.

LA tECHnOLOGiE inVERtER À «ACCUMULAtiOn dE PUiSSAnCE»Cette technologie offre :

• Un fonctionnement optimal par des températures extérieures basses, jusqu’à -15°C, en acceptant une température de condensation élevée tout en évitant une surchauffe excessive au refoulement du compresseur.

• Le maintien de la puissance calorifique avec un débit masse important grâce à l’utilisation d’un deuxième détenteur permettant de contrôler le sous-refroidissement et d’améliorer la récupération calorifique par des températures d’évaporation plus basses.

• Une augmentation des temps de fonctionnement en mode chauffage et une réduction des courts cycles grâce au système «inverter» permettant d’adapter la puissance du compresseur (de 30 à 100%) aux besoins de l’installation et de maîtriser la consommation électrique.

• Une diminution du temps de dégivrage par un système de contrôle et une surface importante de l’échangeur extérieur.

• Une remontée en température plus rapide du fluide frigorigène et évitant tout risque de coup de liquide à l’aspiration du compresseur grâce à la bouteille à «accumulation de puissance».

Vanne 4 voies

Compresseur Bouteille"réserve de puissance"

Détente A Détente B

Groupe extérieur Module intérieur MIV

Puissance de chau�age

énergie gratuiteTravail

du compresseur

Quantité de chaleur supplémentaire récupérée

Sous-refroidissement"supplémentaire"

Enthalpie (kj/kg)

Pression P (MPa)

Cycle frigori�que

PAC_F0111

CYCLE fRIgORIfIQUE

Pompe à chaleur Inverter

Vanne 4 voies

Compresseur Bouteille"réserve de puissance"

Détente A Détente B

Groupe extérieur Module intérieur MIV

Puissance de chau�age

énergie gratuiteTravail

du compresseur

Quantité de chaleur supplémentaire récupérée

Sous-refroidissement"supplémentaire"

Enthalpie (kj/kg)

Pression P (MPa)

Cycle frigori�que

PAC_F0111

DOUBLE DÉTEnTE ET ACCUMULATEUR DE PUISSAnCE

compresseur

détendeur

com

presseur

condenseur

Liaison frigorifique

SCHÉMA DE PRInCIPE DES POMPES à CHALEUR ALEZIO AWHP

Page 18: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

18

Règlementation pour l’installation

RACCORdEMEnt FRiGORiFiQUELa mise en œuvre des pompes à chaleur ALEZIO comprend des opérations sur le circuit frigorifique.

Les appareils doivent être installés, mis en service, entretenus et dépannés par du personnel qualifié et habilité, conformément aux exigences des directives, des lois, des réglementations en vigueur et suivant les règles de l’art de la profession.

La liaison frigorifique entre le groupe extérieur et le module intérieur est réalisée en tube cuivre “qualité froid”. Le tube cuivre poli, désoxydé, nettoyé et déshydraté est livré en barres ou en couronnes, ses extrémités sont scellées. Le tube cuivre est isolé avec une isolation adaptée résistante à des températures élevées d’une épaisseur adaptée aux diamètres.

Les raccordements de la liaison frigorifique sur le groupe extérieur et le module intérieur s’effectuent en réalisant des dudgeons équipés de raccords flare. Si les tubes doivent être rallongés, les brasures sont réalisées sous azote et avec des baguettes de brasure à l’argent.

Les diamètres, la différence de hauteur ainsi que la longueur de la liaison frigorifique entre le groupe extérieur et le module intérieur doivent être conformes aux recommandations du fabricant.

le contrôle d’étanchéité Lorsque la liaison frigorifique est terminée, le contrôle d’étanchéité a pour rôle de s’assurer qu’il n’y a pas de fuites et qu’elle va bien résister lorsqu’elle sera soumise aux différentes pressions de fonctionnement.

Le contrôle d’étanchéité est réalisé avec de l’azote déshydraté. La pression d’essai est de 5 bar au départ, elle est ensuite augmentée par complément de charge en azote par tranche de 5 bar jusqu’à l’obtention d’une pression totale de 35 bar pour le R410A. Le test d’étanchéité est réalisé à l’aide d’une bombe “mille bulles”.

LE TIRAGE AU vIDELe tirage au vide est destiné à évacuer l’air et l’humidité présents dans la liaison frigorifique.

L’air et l’humidité ont des effets indésirables dans le circuit frigorifique car dans le système, la pression augmente, la puissance absorbée augmente, l’efficacité des échanges diminue et une corrosion de certains composants est possible.

Le tirage au vide s’effectue avec une pompe à vide et un vacuomètre pour indiquer le niveau du vide atteint.

La durée du tirage au vide est fonction de l’état de propreté du circuit et peu prendre quelques heures. Après le tirage au vide, toutes les précautions sont prises pour éviter l’introduction d’humidité dans le circuit frigorifique.

la charge en flUide frigorigèneLa charge d’un système consiste à le remplir avec une quantité de fluide frigorigène donnant le débit nécessaire au bon fonctionnement de la pompe à chaleur.

Les groupes extérieurs sont préchargés d’usine et intègrent une distance maximale de la liaison frigorifique. Si la distance est supérieure à la distance maximale, il y a lieu de faire un complément de charge.

le contrôle annUel d’étanchéitéCe contrôle est obligatoire pour toute machine contenant plus de 3 kg de fluide frigorigène et suivant la réglementation en vigueur. Pour toutes les pompes à chaleur ALEZIO, le contrôle annuel d’étanchéité est obligatoire.

la mise en service et la maintenanceAfin d’exploiter au mieux les performances des pompes à chaleur et de prolonger leur durée de vie, De Dietrich propose une offre de mise en service et de maintenance pour la gamme ALEZIO.

attention :• L’installation et l’entretien de l’appareil doivent être effectués par

un professionnel attesté conformément aux textes réglementaires et règles de l’art en vigueur.

• La mise à la terre doit être conforme aux normes d’installations en vigueur.

Les groupes thermodynamiques sont source de bruit. Veiller à les intégrer au mieux vis-à-vis du voisinage :

• Ne pas placer l’unité à proximité de la zone nuit.

• Ne pas placer l’unité face à une paroi contenant des vitrages.

• Eviter la proximité d’une terrasse, etc...

Dans certains cas, des précautions complémentaires sont nécessaires du fait, par exemple, d’une distance trop faible par rapport au voisinage.Placer l’écran anti-bruit le plus près possible de la source sonore tout en permettant la libre circulation de l’air dans l’échangeur du groupe extérieur et les interventions d’entretien.

Page 19: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

19

Pour un fonctionnement sans problème d’une chaudière bois, il est nécessaire d’utiliser :

• du bois sec non traitéL’humidité est le critère de qualité principal du bois de chauffage ; les bûches ne doivent pas excéder 20 % d’humidité sur masse brute. En utilisant du bois plus humide, on s’expose à une réduction sensible du rendement, à des émissions de bistre et de goudron ainsi qu’à une dégradation rapide du corps de chauffe (condensations acides).Pour être sec, le bois doit donc être stocké le temps né ces-saire : un stockage d’environ 2 ans à l’air libre permet d’atteindre des taux d’humidité inférieurs à 20 %.Remarque : de façon pratique, il faut prévoir la place pour laisser au bois le temps de sécher avant de le brûler. Cette place doit correspondre à la quantité de bois nécessaire pour couvrir les besoins sur 1 année.

• des bûches de longueur adaptée à la taille du foyer, et refendues en quartiers. La taille des bûches représente un critère important pour la qualité de combustion et la puissance délivrée par la chaudière. Il est toujours préférable d’utiliser des bûches de longueurs adaptées aux dimensions du foyer et fendues en quartiers de 10 à 15 cm.

• des feuillus plutôt que des résineuxLes feuillus ont un contenu énergétique par stère plus important que les résineux :- 1 stère de feuillus pèse de 530 à 600 kg (pour 20 % d’humidité) et équivaut à 200 à 210 l fioul,

- 1 stère de résineux pèse de 380 à 440 kg (pour 20 % d’humidité) et équivaut à 145 à 150 l fioul.

important : nous déconseillons l’utilisation régulière de résineux comme bois de chauffage pour des raisons d’autonomie et d’en-crassement de l’installation.

TyPE DE BOIS Feuillus durs Feuillus tendres et résineux

humidité sur brut en % 20 > 20 20 > 20

poids my d’1 stère de bois en kg 530

dégradation des

performances de la

chaudière

380

dégradation des

performances de la

chaudière

pouvoir calorifique en kWh/kg 3,9 3,9

contenu énergétique en kWh/st 2070 1480

équivalence en fioul en L./st 210 150

LA BIOMASSE

Le bois en bûches

• Utiliser du bois sec

• Utiliser des bûches refendues de diamètre et longueur adaptés à la taille du foyer

• Vérifier la ventilation de la chaufferie

• Respecter les dimensions minimales des conduits de fumées

• Installer obligatoirement un modérateur de tirage

• Installer obligatoirement un ballon tampon correctement dimensionné

• Veiller au bon dimensionnement du vase d’expansion

• Respecter les préconisations d’installation hydraulique données dans ce feuillet et en notice, en particulier les Ø de tuyauteries

LES 8 RÈGLES D’OR à RESPECTER

Comme toute chaudière bois, les chaudières des gammes CF 120 CSE, CBB et CBI-II nécessitent un entretien régulier : décendrage, nettoyage des carneaux...

EnTRETIEn

Page 20: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

20

LES CHAUdièRES À tiRAGE nAtURELLes chaudières à combustion montante (Cf 120 CSE, CBB sauf modèle CBB 15E)

principe : toute la charge brûle simultanément, régulation de l’apport d’air comburant par l’intermédiaire de la chaînette du modulateur de puissance.

rendement : 60 à 75 %.

combustible : bois sec.

avantages : investissement peu élevé.

LES CHAUdièRES À COMbUStiOn inVERSÉE (CBB 15E)

principe : magasin à bois et chambre de combustion séparés, les flammes se développent au travers de la grille support de combus-tibles ; l’apport d’air est optimisé par le réglage de la chaînette du modulateur de puissance.

rendement : . 80 %.

combustible : bois sec.

avantages : autonomie moyenne, rendement élevé.

LES CHAUdièRES À tiRAGE FORCÉ Et COMbUStiOn inVERSÉE (CBI-II)

principe : séparation du magasin bois et de la chambre de combustion, régulation de l’amenée d’air par ventilateur et modulateur de puissance ; le tirage forcé autorise des surfaces d’échange plus grandes.

rendement : 80 à 90 %.

combustible : bois sec.

avantages : bonne autonomie, combustion et régulation contrôlées.

en résumé :D’une manière générale, le choix d’une chaudière bois se fera en fonction de l’utilisation qu’on en fera par rapport au système de chauffage prévu ou existant et de façon à privilégier le rapport qualité/prix et les meilleures performances (rendement, émission).

RACCORdEMEnt AU CiRCUit CHAUFFAGEles Ballons tamponAfin d’exploiter au maximum les performances des chaudières bois et de maîtriser au mieux la régulation du chauffage et le cas échéant de la production d’eau chaude sanitaire, l’installation d’un accu-mulateur en tampon est obligatoire. Il permettra à la chaudière de fonctionner à pleine puissance ce qui limitera les risques de corrosion et de bistrage...

Le volume du ballon tampon doit permettre d’assurer une bonne autonomie. nous conseillons l’utisation de la formule suivante :

Volume tampon (L) = 50 x Puissance utile (kW)

Les différents types de chaudière et leur principe de combustion

CB_F0013C

CB_F0013C

CB_F0013C

CB_F0013C

CB_F0013C

CB_F0013C

Page 21: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

21

APPROCHE dE CALCUL dE dÉPERditiOnS d’UnE MAiSOn indiVidUELLELes déperditions d’une maison individuelle peuvent être calculées de manière approchée par la formule suivante :

p = g x V x ΔtP = Déperditions en WV = Volume habitable en m3

ΔT = Différence entre la température intérieure et la température extérieure de base

G = Cœfficient fonction de l’isolation bâtiment en W/m3 . °C

TyPE DE MAISOn G W/M3 . °C

ancienne sans isolation 2

ancienne avec isolation 1,5

construite après 1990 1,1

RT 2000 0,9

RT 2005 0,8

très bonne isolation 0,6

bioclimatique 0,4

exemple : Pour une maison individuelle ancienne isolée de 150 m2 (hauteur sous plafond de 2,5 m) dans le département 54, les déperditions sont de :p = 1,5 x [(150 m2 x 2,5 m) x (20 °c - (- 15 °c)] = 19687,5 W soit 20 kW

nota : cette méthode de calcul est donnée à titre indicatif et ne remplace en rien une étude thermique. La responsabilité de De Dietrich ne peut en aucun cas être engagée.

remarque : production d’eau chaude sanitaire

• Pendant la saison de chauffe :Les besoins d’ECS peuvent être couverts par la chaudière à bûches. En pratique pour le dimensionnement, si les besoins en ECS sont sen-siblement 50 litres par personne et par jour, la puissance nécessaire à cette production d’ecs peut être négligée ; dans le cas contraire, ils seront à ajouter aux besoins en chauffage.

• Hors saison de chauffeIl est recommandé de produire l’ECS avec un autre système : solaire, Chauffe-eau électrique.

RÉPARtitiOn dES APPELS dE PUiSSAnCELe calcul de la puissance à installer se fait de la même façon que pour une chaudière fioul ou gaz.

exemple donné à titre indicatif : L’utilisateur souhaite changer 3 x par jour maximum. Il a le choix entre 2 solutions :

Dimensionnement et choix

CB_F0016A

25%

6 j 19 jours 105 jours 60 jours 40 jours

Nombre dejours de chauffe

Déperdition estiméeen % de déperdition max

Répartition des appels de puissance

35%

50%

75%

100%

Solution 1 : avec 3 charges par jour, une CBI-II 40permet de compenser une déperdition de 20 kW,ce qui correspond dans ce cas à 100 % desbesoins maximums

Solution 2 : avec 3 charges par jour, une CBI-II 20permet de compenser une déperdition de 10 kW,ce qui correspond dans ce cas à 50 % desbesoins maximums

PAC_F0019B

0 à 200 m -2-2

-4 -5 -6 -7-2 -4 -7

-8 -9 -10 -12 -15-3 -5 -6 -7 -8 -9 -10 -11 -13 -15

-4 -7 -9 -11 -12 -13 -15 -17-5 -8 -10 -12 -13 -14 -16 -18-6 -8 -11 -13 -14 -15 -17 -19

-9 -13 -15 -17 -19 -21

201 à 400 m

501 à 600 m-4 -6 -7 -8 -9 -10 -11 -12 -14 -16401 à 500 m

601 à 700 m

701 à 800 m-9 -12 -14 -15 -16 -18 -20801 à 900 m

901 à 1000 m-10 -14 -16 -18 -20 -221001 à 1100 m-10 -17 -19 -21 -231101 à 1200 m-11 -18 -20 -22 -241201 à 1300 m-11 -19 -21 -23 -251301 à 1400 m-12 -22 -24 -251401 à 1500 m-12 -231501 à 1600 m-12 -241601 à 1700 m-13 -25

-16-17-18-19

1701 à 1800 m-10 -261801 à 1900 m-14 -271901 à 2000 m-15 -292001 à 2100 m

Zone en fonction de la carte ci-dessus

Tranchealtitude

Alt

itu

de

Distance côte < 25 km

PAC_F0019B

0 à 200 m -2-2

-4 -5 -6 -7-2 -4 -7

-8 -9 -10 -12 -15-3 -5 -6 -7 -8 -9 -10 -11 -13 -15

-4 -7 -9 -11 -12 -13 -15 -17-5 -8 -10 -12 -13 -14 -16 -18-6 -8 -11 -13 -14 -15 -17 -19

-9 -13 -15 -17 -19 -21

201 à 400 m

501 à 600 m-4 -6 -7 -8 -9 -10 -11 -12 -14 -16401 à 500 m

601 à 700 m

701 à 800 m-9 -12 -14 -15 -16 -18 -20801 à 900 m

901 à 1000 m-10 -14 -16 -18 -20 -221001 à 1100 m-10 -17 -19 -21 -231101 à 1200 m-11 -18 -20 -22 -241201 à 1300 m-11 -19 -21 -23 -251301 à 1400 m-12 -22 -24 -251401 à 1500 m-12 -231501 à 1600 m-12 -241601 à 1700 m-13 -25

-16-17-18-19

1701 à 1800 m-10 -261801 à 1900 m-14 -271901 à 2000 m-15 -292001 à 2100 m

Zone en fonction de la carte ci-dessus

Tranchealtitude

Alt

itu

de

Distance côte < 25 km

PAC_F0019B

0 à 200 m -2-2

-4 -5 -6 -7-2 -4 -7

-8 -9 -10 -12 -15-3 -5 -6 -7 -8 -9 -10 -11 -13 -15

-4 -7 -9 -11 -12 -13 -15 -17-5 -8 -10 -12 -13 -14 -16 -18-6 -8 -11 -13 -14 -15 -17 -19

-9 -13 -15 -17 -19 -21

201 à 400 m

501 à 600 m-4 -6 -7 -8 -9 -10 -11 -12 -14 -16401 à 500 m

601 à 700 m

701 à 800 m-9 -12 -14 -15 -16 -18 -20801 à 900 m

901 à 1000 m-10 -14 -16 -18 -20 -221001 à 1100 m-10 -17 -19 -21 -231101 à 1200 m-11 -18 -20 -22 -241201 à 1300 m-11 -19 -21 -23 -251301 à 1400 m-12 -22 -24 -251401 à 1500 m-12 -231501 à 1600 m-12 -241601 à 1700 m-13 -25

-16-17-18-19

1701 à 1800 m-10 -261801 à 1900 m-14 -271901 à 2000 m-15 -292001 à 2100 m

Zone en fonction de la carte ci-dessus

Tranchealtitude

Alt

itu

de

Distance côte < 25 km

Page 22: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

22

nota : La répartition des besoins sur une saison de chauffe montre que la puissance maximale n’est appelée que quelques jours par an.Le graphique ci-contre illustre la répartition des besoins sur une saison de chauffe de 230 jours.

important : - PUISSAnCE BOIS ≥ 100 % DES DÉPERDITIOnS :La chaudière doit être couplée à un ballon tampon dimensionné de façon à pouvoir absorber au minimum l’énergie contenue dans une charge en bois de la chaudière.

- PUISSANCE BOIS ≤ 100 % DES DÉPERDITIONS :L’utilisation d’un chauffage d’appoint (chaudière fioul, gaz, pompe à chaleur…) est nécessaire.

Il est possible de surdimensionner la chaudière par rapport à la puissance nécessaire définie à condition que le volume tampon installé puisse accumuler l’énergie produite en plus de celle restituée directement à l’installation. Cette pratique permet de faire fonctionner la chaudière bois par intermittence à sa puissance maximale et donc de pallier à des absences ou à des chargements trop fréquents.

V(l) : 50 x P (kW)

V = Volume tampon

P = puissance utile de la chaudière

RÈGLES à RESPECTER

RACCORdEMEnt ÉLECtRiQUEattention : Le câblage électrique ayant été soigneusement contrôlé en usine, les connexions intérieures du tableau de commande ne doivent en aucun cas être modifiées.

RACCORdEMEnt À LA CHEMinÉELe raccordement à la cheminée devra être effectué par un professionnel qualifié suivant la réglementation en vigueur et conformément aux règles de l’Art.

Les fumées provenant de la combustion du bois sont toujours plus ou moins chargées en vapeurs condensables qui en cas de refroidisse-ment exagéré des fumées, se condensent, ce qui peut se traduire par la formation de dépôts de goudron dans la cheminée (goudronnage) et par des infiltrations à travers les parois (bistrage).

Il est important que la cheminée ne puisse se refroidir que très lentement. La cheminée devra donc avoir des parois suffisamment épaisses, étanches et peu conductrices de chaleur.

Dans tous les cas :

• le tuyau de raccordement de l’appareil au conduit de fumée doit être au moins de même dimension que la buse, le plus court et le plus direct possible avec une pente montante vers la cheminée. Il doit être coupé en biseau et être dimensionné de façon à empêcher le retour dans la chaudière, des condensats éventuels de la cheminée. Il doit être équipé d’une trappe de visite pour le ramonage.

• le conduit de cheminée doit être le plus droit possible isolé (la température des parois ne doit pas dépasser 50 °C), de section constante adaptée à l’appareil raccordé (voir ci-contre) et comporter au minimum une trappe de ramonage à sa base (une 2e trappe dans les combles est conseillée). Il doit déboucher sur le toit en dépassant le faîtage d’au moins 40 cm et doit être le point le plus haut dans un rayon de 8 m. Il doit rester distant de 16 cm minimum du parement le plus proche.

CB_F0015A

1 Trappe de visite

2 Prise de mesure fumées

3 Modérateur de tirage (obligatoire)

CB_F0015A

1 Trappe de visite

2 Prise de mesure fumées

3 Modérateur de tirage (obligatoire)

Page 23: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

23

Le choix d’un préparateur d’eau chaude sanitaire doit être fait en connaissance de cause afin d’assurer une disponibilité d’ECS permanente et à la température souhaitée.

Il est donc important de déterminer de façon précise les besoins en ECS nécessaires pour satisfaire cette exigence dépendant grandement du nombre d’habitants dans la maison et de leurs habitudes de consom-mation.

Ci-après quelques éléments pouvant vous aider dans ce choix :

dÉtERMinAtiOn dES bESOinS En EAU CHAUdE SAnitAiRELa détermination de ces besoins conditionnera :

• le choix de la capacité du préparateur

• la puissance de son échangeur

• et éventuellement la puissance du générateur qui lui est associé

Les besoins réels seront donc à déterminer pour une température donnée sur une durée donnée (heure/journée) et les débits de pointe (litre/minute) à évaluer en fonction de l’utilisation d’ecs faite à un moment donné. Dans le collectif il s’agira en plus de tenir compte de la simultanéité d’utilisation.

MÉtHOdES dE dÉtERMinAtiOn dES bESOinS ECS• Utilisation du logiciel “Besoins ECS” disponible dans notre offre

“DIEMATOOLS”

Ce logiciel (ou tout autre logiciel que vous pourriez avoir acquis) saura vous guider efficacement dans l’évaluation de vos besoins.

• Autres méthodes

- Calcul pour la méthode “Qualitel”

- Définition sur base de l’offre “Dolce Vita” de Gaz de France

- Sur la base des tableaux ci-dessous, il est possible d’effectuer une approche des besoins en eau chaude sanitaire journaliers

important : Pour la détermination de la capacité du préparateur ecs, il faudra tenir compte en plus de ces besoins journaliers, des débits de pointe éventuels en relation avec la simultanéité d’utilisation sur différents postes de puisage.

Choix du préparateur d’eau chaude sanitaire

L’EcS

Page 24: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

24

Le calcul de l’installation quant à lui devra se faire en fonction des normes en vigueur, du DTU et du cahier des charges s’y rapportant.

POSTE à ALIMEnTER

nombre de personnes

Besoins ECS journaliers en L à 60°C

évier 1 - 2 30 à 40

cuisine 3 - 4 40 à 50

évier 1 - 2 75 à 95

+ lavabo 3 - 4 120 à 170

+ douche 5 - 6 150 à 190

nota : Ces tableaux ne tiennent pas compte des douches multi-jets (Q 50 l/min) ou de baignoires type “balnéo”.

POSTE à ALIMEnTER

nombre de personnes

Besoins ECS journaliers en L à 60°C

lavabo + 1 - 2 50 à 75

petite baignoire 3 - 4 80 à 120

évier 1 - 2 90 à 150

+ lavabo 3 - 4 150 à 240

+ baignoire 5 - 6 145 à 340

CAS PARtiCULiERS : bESOinS En EAU CHAUdE SAnitAiRE dAnS LE tERtiAiRE

HôTEL SAnS RESTAURAnT Besoins ECS journaliers en L à 60°C

sans* 50

* 70

** 100

*** 120

**** 150

RESTAURAnT nombre de couverts

Besoins ECS journaliers en L à 60°C

collectif100 500

200 1000

privé 1*40 480

60 520

CAMPInG nombre de cabines de douches

Besoins ECS journaliers en L à 60°C

bord de mer

5 1200

10 2400

15 3600

20 4800

hors bord de mer

5 1000

10 1900

15 2800

20 3700

SALOn DE COIFFURE

nombre de bacs

Besoins ECS journaliers en L à 60°C

3 70

4 1000

autres : MAISOn DE RETRAITE : 40 L à 60 °C par lit et par jour + 10 L par repas (déjeuner et dîner)

BUREAUX : 6 L à 60 °C par occupant et par jour

HôPITAUx ET CLINIQUES : 60 L à 60 °C par jour et par lit + 12 L par jour et par repas (déjeuner et dîner)

ÉCOLES : 5 L à 60 °C par élève et par jour

CASERnES : 3 L à 60 °C par personne et par jour

GyMnASES : 16,5 L à 60 °C par personne avec douche temporisée

STADES : 27 L à 60 °C par personne avec douche temporisée

inFORMAtiOn SUR LA PRÉVEntiOn dES bRûLURES PAR EAU CHAUdE SAnitAiRE Et LE dÉVELOPPEMEnt dE LÉGiOnELLESPour limiter le développement des bactéries, la température de l’eau chaude distribuée doit être au minimum de 60 °C au départ des stockages, et dans le cas où l’installation comporte une boucle de re-circulation, la température de l’eau, au retour, doit être au minimum de 50 °C. Dans tous les cas, les utilisateurs doivent être protégés contre les risques de brûlures aux points de puisage où la température de l’eau puisée ne doit pas dépasser 50 °C.

Un nouveau projet de modification de l’article 36 de l’arrêté du 23 juin 1978 est en cours.

Ce projet précise les modalités d’application de cet article 36 modifié de l’arrêté du 23 juin 1978 qui doit prévenir les risques liés aux légionelles et aux brûlures dans les installations fixes destinées à l’ali-mentation en chaude sanitaire des bâtiments d’habitation, de bureaux ou locaux recevant du public.

prescriptions vis À vis des BrûlUresLes brûlures par eau chaude sanitaire sont des accidents fréquents qui ont des conséquences graves notamment en raison de leur étendue importante. Environ 15 % des brûlures auraient pour cause une température d’eau chaude sanitaire trop élevée et comme pièce d’origine la salle de bain. On propose de remplacer l’article 36 de l’arrêté du 23 juin 1978 par les alinéas suivants :

“InSTALLATIOnS DE DISTRIBUTIOn D’EAU CHAUDE SAnITAIRE”

Afin de limiter le risque de brûlure :

• dans les pièces destinées à la toilette, la température maximale de l’eau chaude sanitaire est fixée à 50 °C aux points de puisage ;

• dans les autres pièces, la température maximale de l’eau chaude sanitaire est limitée à 60 °C aux points de puisage ;

• dans les cuisines et les buanderies des établissements recevant du public, la température de l’eau distribuée pourra être portée au maximum à 90 °C en certains points faisant l’objet d’une signalisa-tion particulière.

Page 25: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

25

prescriptions vis À vis des légionelles dans les dispositifs de stockage et en réseaU de distriBUtionLa légionellose est provoquée par l’inhalation d’aérosols d’eau contaminée par des légionelles. La température de l’eau est un facteur important de prévention de développement des légionelles dans les réseaux de distribution puisque la bactérie Legionella a une croissance importante dans des eaux présentant une température comprise entre 25 et 43 °C. On propose de remplacer l’article 36 de l’arrêté du 23 juin 1978 par les alinéas suivants :

“InSTALLATIOnS DE DISTRIBUTIOn D’EAU CHAUDE SAnITAIRE”

Les points de puisage à risque définis dans le présent alinéa sont les points susceptibles d’engendrer l’exposition d’une ou plusieurs personnes à un aérosol d’eau ; il s’agit notamment des douches.

Afin de limiter le risque lié au développement des légionelles dans les systèmes de distribution d’eau chaude sanitaire sur lesquels sont susceptibles d’être raccordés des points de puisage à risque, les exigences suivantes doivent être respectées pendant l’utilisation des systèmes de production et de distribution d’eau chaude sanitaire et dans les 24 heures précédant leur utilisation :

• lorsque le volume entre le point de mise en distribution et le point de puisage le plus éloigné est supérieur à 3 litres, la température de l’eau doit être supérieure ou égale à 50 °C en tout point du système de distribution, à l’exception des tubes finaux d’alimentation. Le volume de ces tubes finaux d’alimentation est le plus faible possible et dans tous les cas inférieur ou égal à 3 litres ;

• lorsque le volume total des équipements de stockage est supérieur ou égal à 400 litres, l’eau contenue dans les équipements de stockage, à l’exclusion des ballons de préchauffage, doit :

- être en permanence à une température supérieure ou égale à 55 °C à la sortie des équipements ;

- ou être portée à une température suffisante au moins une fois par 24 heures. L’annexe 1 indique le temps minimum de maintien de la température de l’eau à respecter.

Temps minium de (min.) Température de l’eau en °C

2 ≥ 70

4 65

60 60

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire

Pièce non destinée à la toilette Pièce destinée à la toilette

Point de mise en distribution

T °C ≤ 60 °C T °C ≤ 60 °C

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire(sans stockage)

Ballon de stockageT > 55 °C au point de miseen distribution ou montéequotidienne de température

Point de mise en distribution

T °C ≤ 50 °C

Point de puisage SANSRISQUE PARTICULIERvis à vis de légionelles

Point de puisage A RISQUE

vis à vis de légionelles

Zone faisant l'objet deprescriptions dans l'exemple

8980F229

LEGENDE

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire

Pièce non destinée à la toilette Pièce destinée à la toilette

Point de mise en distribution

T °C ≤ 60 °C T °C ≤ 60 °C

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire(sans stockage)

Ballon de stockageT > 55 °C au point de miseen distribution ou montéequotidienne de température

Point de mise en distribution

T °C ≤ 50 °C

Point de puisage SANSRISQUE PARTICULIERvis à vis de légionelles

Point de puisage A RISQUE

vis à vis de légionelles

Zone faisant l'objet deprescriptions dans l'exemple

8980F229

LEGENDE

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire

Pièce non destinée à la toilette Pièce destinée à la toilette

Point de mise en distribution

T °C ≤ 60 °C T °C ≤ 60 °C

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire(sans stockage)

Ballon de stockageT > 55 °C au point de miseen distribution ou montéequotidienne de température

Point de mise en distribution

T °C ≤ 50 °C

Point de puisage SANSRISQUE PARTICULIERvis à vis de légionelles

Point de puisage A RISQUE

vis à vis de légionelles

Zone faisant l'objet deprescriptions dans l'exemple

8980F229

LEGENDE

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire

Pièce non destinée à la toilette Pièce destinée à la toilette

Point de mise en distribution

T °C ≤ 60 °C T °C ≤ 60 °C

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire(sans stockage)

Ballon de stockageT > 55 °C au point de miseen distribution ou montéequotidienne de température

Point de mise en distribution

T °C ≤ 50 °C

Point de puisage SANSRISQUE PARTICULIERvis à vis de légionelles

Point de puisage A RISQUE

vis à vis de légionelles

Zone faisant l'objet deprescriptions dans l'exemple

8980F229

LEGENDE

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire

Pièce non destinée à la toilette Pièce destinée à la toilette

Point de mise en distribution

T °C ≤ 60 °C T °C ≤ 60 °C

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire(sans stockage)

Ballon de stockageT > 55 °C au point de miseen distribution ou montéequotidienne de température

Point de mise en distribution

T °C ≤ 50 °C

Point de puisage SANSRISQUE PARTICULIERvis à vis de légionelles

Point de puisage A RISQUE

vis à vis de légionelles

Zone faisant l'objet deprescriptions dans l'exemple

8980F229

LEGENDE

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire

Pièce non destinée à la toilette Pièce destinée à la toilette

Point de mise en distribution

T °C ≤ 60 °C T °C ≤ 60 °C

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire(sans stockage)

Ballon de stockageT > 55 °C au point de miseen distribution ou montéequotidienne de température

Point de mise en distribution

T °C ≤ 50 °C

Point de puisage SANSRISQUE PARTICULIERvis à vis de légionelles

Point de puisage A RISQUE

vis à vis de légionelles

Zone faisant l'objet deprescriptions dans l'exemple

8980F229

LEGENDE

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire

Pièce non destinée à la toilette Pièce destinée à la toilette

Point de mise en distribution

T °C ≤ 60 °C T °C ≤ 60 °C

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire(sans stockage)

Ballon de stockageT > 55 °C au point de miseen distribution ou montéequotidienne de température

Point de mise en distribution

T °C ≤ 50 °C

Point de puisage SANSRISQUE PARTICULIERvis à vis de légionelles

Point de puisage A RISQUE

vis à vis de légionelles

Zone faisant l'objet deprescriptions dans l'exemple

8980F229

LEGENDE

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire

Pièce non destinée à la toilette Pièce destinée à la toilette

Point de mise en distribution

T °C ≤ 60 °C T °C ≤ 60 °C

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire(sans stockage)

Ballon de stockageT > 55 °C au point de miseen distribution ou montéequotidienne de température

Point de mise en distribution

T °C ≤ 60 °C T °C ≤ 60 °C T °C ≤ 50 °C

Point de puisage SANSRISQUE PARTICULIERvis à vis de légionelles

Point de puisage A RISQUE

vis à vis de légionelles

Zone faisant l'objet deprescriptions dans l'exemple

8980F229

LEGENDE

PIÈCE nOn DESTInÉE à LA TOILETTE

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire

Pièce non destinée à la toilette Pièce destinée à la toilette

Point de mise en distribution

T °C ≤ 60 °C T °C ≤ 60 °C

Eau Froide

Production d'eauchaude sanitaire(sans stockage)

Ballon de stockageT > 55 °C au point de miseen distribution ou montéequotidienne de température

Point de mise en distribution

T °C ≤ 50 °CT °C ≤ 50 °C

Point de puisage SANSRISQUE PARTICULIERvis à vis de légionelles

Point de puisage A RISQUE

vis à vis de légionelles

Zone faisant l'objet deprescriptions dans l'exemple

8980F229

LEGENDE

PIÈCE DESTInÉE à LA TOILETTE

Page 26: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

26

COURBE DE CHAUFFE CHAUDIÈRE

a Réglage d’usine : 75°Cb Température minimale de la chaudière en régime confort. Réglage d’usine : 30°Cx Température extérieure (°C)Y Température départ eau (°C)La pente du circuit chaudière est réglée d’usine à 1,5.

COURBE DE CHAUFFE VAnnES MÉLAnGEUSES

a Température de départ maximal après vannea Réglage d’usine : 75°Cx Température extérieur (°C)Y Température départ vanne (°C)La pente du circuit chaudière est réglée d’usine à 0,7.

LA RÉGuLATION

Page 27: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

27

CORRECtiOn dE LA PUiSSAnCE dES RAdiAtEURS En FOnCtiOn dES COnditiOnS d’UtiLiSAtiOn

La puissance émise par un radiateur varie en fonction de l’écart de température ΔT entre le radiateur et l’air ambiant.

Te = Température de l’eau à l’entrée du radiateur

Ts = Température de l’eau à la sortie du radiateur

Ta = Température de l’air ambiant

ΔT se calcule par l’une ou l’autre des formules suivantes :• utilsation courante des radiateurs :

Δt =te + ts

- ta sits - ta

≥ 0,72 te - ta

• utilsation avec une forte chute de température ou avec une basse température :

Δt =te - ts

sits - ta

< 0,7Ln [ te - ta ] te - ta

ts - taLn = logarithme népérien

CALCUL DE ΔT

RAdIATEuR

Détermination des puissances thermiques

Page 28: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

28

CALCUL dE LA PUiSSAnCE tHERMiQUE

La puissance P, pour une valeur ΔT quelconque se calcule de la façon suivante :

p = p50 ( Δt )n

50P50 puissance thermique de base à ΔT 50 Kn = pente de la droite d’émission en fonction du modèle et de la

hauteur du radiateur (voir feuillet technique Ornis).

exemple : Puissance émise par un radiateur modèle 21H, ht 600, lg 1000, fonctionnant avec une température d’entrée de 50°C, une température de sortie de 40°C dans une tempéarture ambiante de 20°C.

ts - ta=

40 - 20= 0,67 < 0,7

te - ta 50 - 20d’où :

Δt =te - ts

=50 - 40

= 24,7 KLn [ te - ta ] Ln [ 50 - 20 ]ts - ta 40 - 20

p = p50 ( Δt )n

= 1425 ( 24,7 )1,3122

= 550 W50 50

Ln = logarithme népérien

AUtRE MÉtHOdE dE CORRECtiOn

Elle consiste à utiliser le tableau et la formule ci-contre :

p50= pe x f

P50 = Puissance

Pe = Puissance à émettre dans les conditions d’installation à réaliser

f = Facteur de correction donné par les tableaux ci-dessous

exemple :La puissance Pe à émettre dans un local est de 800 W dans les conditions suivantes :- température entrée radiateur : Te = 50°C- température sortie radiateur : Ts = 40°C- température ambiante : Ta = 20°C

D’après le tableau pour Te = 50, Ts = 40 et Ta = 20°C, le facteur correcteur à appliquer est de 2,495.d’où : P50 = Pe x f = 800 W x 2,495 = 1996 W.On choisira donc un radiateur ayant une puissance de 1996 W dans les conditions de référence (voir feuillet technique Ornis).

RADIATEUR Température ambiante en °CT entrée en °C

T sortie en °C 12 15 18 20 22 24 25

90

85 0,583 0,615 0,649 0,674 0,701 0,730 0,761

80 0,610 0,644 0,682 0,710 0,739 0,771 0,805

75 0,640 0,678 0,719 0,750 0,782 0,818 0,855

70 0,674 0,715 0,761 0,795 0,832 0,871 0,915

65 0,712 0,758 0,810 0,848 0,889 0,934 0,984

60 0,756 0,808 0,866 0,909 0,957 1,009 1,066

85

80 0,637 0,674 0,716 0,745 0,778 0,812 0,850

75 0,669 0,710 0,755 0,788 0,824 0,862 0,904

70 0,705 0,750 0,800 0,836 0,876 0,920 0,967

65 0,745 0,795 0,851 0,893 0,938 0,987 1,041

60 0,792 0,848 0,911 0,958 1,010 1,067 1,130

55 0,846 0,909 0,982 1,037 1,097 1,165 1,240

85

75 0,701 0,745 0,795 0,831 0,870 0,913 0,959

70 0,739 0,788 0,843 0,883 0,927 0,974 1,027

65 0,782 0,835 0,898 0,943 0,992 1,047 1,107

60 0,832 0,893 0,952 1,013 1,070 1,133 1,203

55 0,889 0,958 1,038 1,098 1,164 1,238 1,322

50 0,957 1,037 1,130 1,201 1,281 1,371 1,473

75

70 0,778 0,831 0,891 0,935 0,984 1,037 1,096

65 0,824 0,883 0,950 1,000 1,055 1,115 1,182

60 0,876 0,943 1,019 1,076 1,139 1,209 1,287

55 0,938 1,013 1,101 1,167 1,241 1,323 1,416

70

65 0,870 0,935 1,010 1,066 1,127 1,195 1,271

60 0,927 1,000 1,084 1,148 1,218 1,297 1,385

55 0,992 1,076 1,173 1,247 1,329 1,422 1,527

50 1,070 1,167 1,281 1,368 1,467 1,580 1,709

65

60 0,984 1,066 1,160 1,232 1,312 1,401 1,502

55 1,055 1,148 1,257 1,340 1,433 1,539 1,659

50 1,139 1,247 1,374 1,473 1,585 1,713 1,862

45 1,241 1,368 1,522 1,642 1,781 1,943 2,134

60

55 1,127 1,232 1,355 1,450 1,557 1,680 1,820

50 1,218 1,340 1,484 1,597 1,726 1,875 2,048

45 1,329 1,473 1,647 1,785 1,945 2,133 2,356

40 1,467 1,642 1,859 2,035 2,243 2,495 2,805

55

50 1,312 1,450 1,617 1,748 1,899 2,075 2,282

45 1,433 1,597 1,798 1,958 2,146 2,368 2,635

40 1,585 1,785 2,035 2,239 2,484 2,783 3,154

35 1,781 2,035 2,363 2,642 2,988 3,431 4,019

50

45 1,557 1,748 1,983 2,174 2,399 2,670 3,000

40 1,726 1,958 2,252 2,495 2,790 3,154 3,613

35 1,945 2,239 2,626 2,958 3,375 3,916 4,644

30 2,243 2,642 3,195 3,703 4,392 5,389 6,994

4540 1,899 2,174 2,528 2,827 3,194 3,655 4,250

35 2,146 2,495 2,962 3,369 3,890 4,577 5,524

Page 29: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

29

Le ventilateur aspire l’air pour le refouler sous pression dans la tête de combustion. L’air comburant est aspiré dans la chambre 1 séparée de la chambre 2 par le déflecteur 3. La pression statique dans la chambre 1 étant très élevée, l’air entraîné par la turbine prend une force importante qui lui permettra de vaincre la contre pression du foyer de la chaudière. Cependant la partie de cet air qui n’acquiert par une énergie suffisante, est alors ramenée dans la turbine grâce à la zone dépressionnaire qui se crée dans la chambre 2. L’air ainsi réinjecté est à nouveau accéléré par la turbine, et entraîné vers la tête de combustion.

avantages :Le système DUO-PRESS permet d’atteindre des niveaux de pression très élevés pour des flux d’air faibles et ainsi de vaincre facilement les contre-pressions élevées à chaque démarrage du brûleur. En outre ce système de ventilation est peu sensible aux variations atmosphériques en fournissant d’excellentes performances même en altitude.

LES BRûLEuRS

Principe du système duo-press® équipant les differents brûleurs gaz

——————— ———— 2

——————— ———— 3

——————— ———— 1

Page 30: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

30

CEntRE intERnAtiOnAL Et CEntRES RÉGiOnAUxFormez-vous aux bases du génie climatique, consolidez et développez vos connaissances à votre rythme !

Grâce à notre concept E-FORMATIOn, l’utilisateur aura la possibilité de poursuivre sa formation à l’issue d’un stage présentiel ciblé sur les fondamentaux, à moindre coût, à son rythme, en fonction de ses besoins et de ses disponibilités, ce qui est particulièrement important à une époque où la formation se décline tout au long d’une vie.

Le service dédié aux particuliers

Conseils - Astuces - documentations - garanties...sur :

> pro.dedietrich-thermique.fr

Siège et en régions à votre écoute 6 jours sur 7

Formations

De Dietrich Info Service

Encore plus de services en ligne

Assitance technique

LES SERvIcES

Page 31: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

31

UnE LIVRAISOn RAPIDE GARAnTIE

Commande en ligne sur : > pièces.dedietrich-thermique.fr

SERV’élite : 180 personnes pour vous soutenir

Logiciels - documentations techniques - fAQ...sur :

> pro.dedietrich-thermique.fr

Afin d’aider les professionnels dans leur travail au quotidien, De Dietrich lance un kit de détermination des systèmes multi-énergies.

L’objectif étant d’aider les professionnels à mieux vendre et déterminer une solution multi-énergies.

> Pour plus de renseignements, contactez votre agent commercial.

Centre de pièces de rechange

SAV sur site

Encore plus de services en ligne

Comment mieux vendre et déterminer un système multi-énergies ?

s o l a i r e

b i o m a s s e

C o n d e n s a t i o n

p o m p e s à C h a l e u r

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergies

multi-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergiesmulti-énergies

diagnostic chauffage

Page 32: GÉNÉRALITÉS - De Dietrich Thermique Propro.dedietrich-thermique.fr/download/file?file=var/ddth/storage/... · diMEnSiOnnEMEnt d’UnE inStALLAtiOn SOLAiRE _____7 ... de récupération

DE DIETRICH THERMIQUES.A.S au capital social de 22 487 610 e57, rue de la Gare - 67580 MERTZWILLERTél. 03 88 80 27 00 - Fax 03 88 80 27 99

www.dedietrich-thermique.fr

www.dedietrich-thermique.fr

pro.dedietrich-thermique.fr

pieces.dedietrich-thermique.fr

Pour l’ensemble des informations pratiques en ligne : société, produits, services, actualités, contacts...

Pour l’offre complète de produits Easylife : toutes les solutions et services pour votre confort

Pour les professionnels : un accès aux offres promotionnelles, aux supports de communication, aux documentations techniques...

Pour l’accès au site de pièces de rechange : consultez la disponibilité de vos pièces et commandez en toute rapidité.

nos services internet

easylife.dedietrich-thermique.fr

06/1

0 -

3000

2430

6