GL BULUS - Ouragane3 GL BULUS Le cercle, une forme familière pour s’adresser aux tout-petits i l est exceptionnel d’observer dans les innombrables formes que nous offre la nature,

G L B U L U S

Spectacle pour petites et grandes personnes dès 18 mois Création 2011

www.ouragane.net

dansemusique

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Chorégraphie Laurence Salvadori

Interprètes Caroline Desmaison (danse) Sven Clerx (percussions) Laurence Salvadori (prologue dansé) Scénographie Laurence Salvadori

Décors/AccessoiresTechnique/Machinerie Philippe Blanc

Costumes Elisabeth Martin

Conception vidéo/lumières Christoph Guillermet

Public Jeune public A partir de 18 mois, jusqu’à 6 ans

Lieux de diffusion Théâtres et lieux non équipés

Durée 30 minutes + accueil (45 mn au total) Jauge (à déterminer jusqu’à 90 spectateurs/scolaires selon le lieu) jusqu’à 70 spectateurs/tout-public et crèches

Ingrédients Danse, vidéo, musique, objets

Cie OuraganeSPEDIDAMADAMICulture-Commune (Scène Nationale du Bassin Minier du Pas-De-Calais)Espace B. Vian Les Ulis (Scène conventionnée jeune public et adolescents des Ulis)Conseil Général de l’EssonneVille de PalaiseauVille de Morsang/Orge

Co-production :

Avec le soutien du Théâtre de Chartres et de la MJC- Théâtre des 3 Vallées de Palaiseau

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Le cercle, une forme familière pour s’adresser aux tout-petits

il est exceptionnel d’observer dans les innombrables formes que nous offre la nature, des figures géométriques parfaites, tels le carré ou le triangle. En

revanche le cercle s’y rencontre de façon très habituelle. De l’atome à la cellule, des planètes à l’univers, le rond est partout présent.

Tracer un rond a toujours une grande puissance évocatrice : délimiter un territoire, protéger, créer un tout complet, fini. Cellule, goutte d’eau, œuf, ventre arrondi de la mère, premier bonhomme, ronde, soleil, planètes… Le cercle est d’une richesse immense, symbole du cosmos, il est aussi au cœur de l’âme humaine, et de toute évidence associé à la vie.

La forme circulaire de la scène qui permet du même coup de rassem-bler les spectateurs nous rappelle que nous faisons partie d’un tout.

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Globulus réunit la danse, la musique et la vidéo.

Sur scène, une danseuse et un musicien, une femme et un homme, représentation symboli-que du couple.

La danseuse incarne le mouvement et la vie, le percussionniste incarne le son, le rythme, et se déplace dans l’espace.

Tous deux nous racontent la naissance de la cellule et de l’univers, la vie de l’embryon, l’existence terrestre, la vie aquatique, végétale et animale. Puis ils nous emmènent à travers le cosmos et l’infini.

Le mouvement reste le lan-gage privilégié, mais les images et les sons s’y as-socient de façon à créer un monde sensible faisant appel à tous les sens.

La création graphique en-tre en interaction avec le jeu des interprètes. Le trait est co-loré, voir chatoyant, mais simple et relié au mouvement. Toutes les ima-ges sont créées à la palette graphique. Leur animation est parfois faite en “temps réel” par le technicien de la compagnie, permettant un jeu “dans l’instant” avec les interprètes.

L’univers de Globulus est poétique, ludique, et la couleur y flamboie.

Danse, vidéo,percussions,voix

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Julie, 3 mois

D’après Varenka et

Nicolas MARC, pédop-sychiatres qui ont observé et analysé de nombreux dessins

d’enfants de toutes origines cultu-relles, le tout-petit porterait en lui, la mémoire de sa propre histoire

originelle, mais également celle de l’humanité

toute entière.

Dans “Dessins d’enfants, les tracés de la mémoire” (Nathan), ils nous expliquent que le geste gra-phique du tout-petit est un mouvement du corps

qui ne provient ni d’un raisonnement, ni d’un désir de représenter ce qu’il voit.

Il s’agit de rythmes premiers, de perceptions prénata-les, parfois d’éléments d’une physiologie tout à fait ori-ginelle. Les spirales qu’il dessine ressemblent aussi aux galaxies, aux nébuleuses, et leur tracé reproduit de toute évidence le mouvement cosmique, l’univers en expansion. Elles sont le résultat d’un geste biologique spontané.

Globulus est un spectacle qui fait écho à cette mémoire, et nous raconte le grand cycle de la vie.

Globulus, en écho à la mémoire originelle de l’enfant

un espace autonome pour les tout-petits et leurs parents

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La compagnie a tou-jours œuvré pour faire découvrir la danse au plus grand nombre.Ce spectacle est donc conçu en autonomie technique, de façon à l’amener jusque dans des lieux non équipés, à la rencontre du public.

La scénographie est construite autour du cercle et inclut l’es-pace public et l’espace de jeu.

A l’instar d’un système solaire, plusieurs scènes circu-laires de différents diamètres sont réparties dans l’espace offrant de nombreuses possi-bilités de déplacement pour les interprètes.

Les très jeunes enfants et les adultes qui les accompa-gnent sont confortablement installés sur des coussins, des petits bancs et des chaises, dans une très grande proxi-mité avec les artistes.

Un écran circulaire et deux écrans verticaux suspendus sur un cadre constitué de plusieurs panneaux mobiles, ser-vent de support à la pro-jection.

La régie est située dans le public, elle existe en tant qu’objet dans la scénogra-phie, la lumière est supportée par la structure.

Accueillir le public

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et le préparer à recevoir le spectacle dans le hall du théâtre

Depuis que nous jouons pour les tout-petits, nous sommes régulièrement confrontés au problème de l’accueil et du placement de ce public spécifique.

C’est pourquoi l’espace qui précède l’entrée en salle est inclus dans la scénographie.

Des carrés de moquette de couleur sont disposés dans le hall, de façon à créer des espaces conviviaux qui invitent les spectateurs à s’asseoir.

Des livres en relation avec le spectacle, leur sont proposés en attendant que tout le monde soit arrivé.

Absente du plateau, la chorégraphe fait ici le choix d’être présente dans cet espace et d’accueillir elle-même le public. Une fois tous les spectateurs prêts, elle propose un prologue à GLOBULUS, sous forme d’une courte danse , puis les accompagne jusqu’à l’espace de jeu.

Ce rôle est l’occasion pour elle de mettre en pratique un “savoir-faire” développé à travers tout le travail d’atelier qu’elle mène depuis de nombreuses années en crèche, dans les écoles, et auprès des parents. Ainsi, le public est-il préparé à mieux recevoir le spectacle.

Répertoire chorégraphique

Murmure Création 1997 petite enfance 18 mois à 6 ans Chorégraphie : Laurence SALVADORI

Le fil bleu Création 1999 petite enfance - 2 à 7 ans Chorégraphie : Laurence SALVADORI

Tête en l’air, amoureux Création 2002 public familial - à partir de 8 ans Chorégraphie : Laurence SALVADORI

Ni vu, Ni connu Création 2003 jeune public - 2 à 8 ans Chorégraphie : Marie-Amélie PIERRET & Laurence SALVADORI

Potopoto Création février 2005 petite enfance - 1 à 6 ans Chorégraphie : Laurence SALVADORI

Mains dans les poches Création octobre 2007 petite enfance - 1 à 6 ans Chorégraphie : Marie-Amélie PIERRET & Laurence SALVADORI

Pince-moi, je rêve… Création novembre 2009 spectacle pour les crèches/in situ Chorégraphie : Marie-Amélie PIERRET Regard et accompagnement : Laurence SALVADORI

Fondée en 1996 en Essonne par Laurence SALVADORI, la compa-gnie OURAGANE y est soutenue

par le Conseil Général depuis 1999. Elle a été accueillie en résidence à Palaiseau de 2002 à 2004.

Dès sa création, la recherche chorégraphique s’est orientée en direction du jeune public,

et plus particulièrement la petite en-fance. La compagnie a donné près de 1500 représentations à ce jour.

Outre les spectacles, la com-pagnie propose des ateliers de sensibilisation et d’éveil à

la danse dans les lieux d’accueil des tout-petits et les écoles, ainsi que des projets de formation pour les professionnels de la petite enfance, les travailleurs sociaux, et les ensei-gnants. Elle a aussi pour vocation de développer une réflexion autour des conditions d’accueil des jeunes enfants dans les lieux de la culture, ainsi qu’une recherche autour de la communication parent-enfant à travers le mouvement dansé.

Parallèlement à ces actions, la compagnie propose depuis 2004, des performances autour

des expositions d’art contempo-rain, et souhaite ainsi développer la relation entre les arts plastiques et la danse en s’appuyant sur l’improvisa-tion. Cette démarche, va de paire avec sa volonté d’investir les lieux qui ne soient pas forcément voués au spectacle.

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Compagnie

Née en 1960, elle découvre la danse contemporaine à MEUDON, auprès de Marie-France MEUNIER,

en 1973.

A partir de 1977, elle poursuit sa forma-tion de danseuse à l’institut des R.I.D.C. (Paris) dirigé par Françoise et Domini-que DUPUY, puis auprès de nombreux chorégraphes contemporains (Chris-tine Burgos, Pierre Doussaint, Isabelle Dubouloz, Sarah Sugihara, Jacques Patarozzi, Olivier Gelpe, Catherine Diverres, Bernardo Montet).

Elle découvre le travail de la voix auprès du Roy Hart théâtre en 1985, et suit des cours de chant réguliers avec Berna-dette TESSIER de 1989 à 1994.

Elle co-dirige la compagnie ARCANE de MEUDON (92) avec Marie-France MEUNIER de 1985 à 1990, et crée plusieurs pièces chorégraphiques pour les danseurs de la compagnie et les élèves de son centre de formation. Elle danse dans toutes les créations de la compagnie de 1979 à 1990, et ponc-tuellement avec d’autres compagnies professionnelles (Cie L’Esquisse, Cie La Clepsydre) .

Dès 1985, attirée par l’improvisation, elle participe à divers événements en rela-tion avec les arts plastiques, le théâtre et la musique.

Elle participe à la mission d’implantation de la compagnie L’Esquisse en Haute-Normandie de 1986 à 1990, et enseigne régulièrement la danse auprès d’adul-tes et d’enfants depuis 1977, dans les cadres associatifs, scolaires, et institu-tionnels. Elle participe au premier stage “danse à l’école” en 1987.

A partir de 1993, elle se spécialise dans le domaine de la petite enfance à travers une formation longue, dispen-sée par l’association Eveil Culturel et

Petite Enfance. Depuis lors, elle poursuit un travail de recherche auprès de très jeunes enfants, crée pour le tout-petit, et propose des projets de formation en direction des professionnels de la petite enfance.

En 1996, elle crée la Compagnie OURA-GANE en Essonne. Soutenue par le Conseil Général de l’Essonne depuis 1999, la compagnie a été accueillie en résidence à Palaiseau de 2002 à 2004.

En 1997, elle crée le solo MURMURE en direction des très jeunes enfants qui sera donné près de 400 fois en région parisienne et en province.

Puis en mars 1999, elle crée LE FIL BLEU (2 à 6 ans), en co-réalisation avec le Théâtre des 3 Vallées de Palaiseau, qui sera joué près de 300 fois dans toute la France.

En 2002, désireuse de s’adresser à un public de pré-adolescent, elle crée TETE EN L’AIR, AMOUREUX, pièce chorégra-phique pour 4 interprètes qui mêle dan-se et cirque, avec le soutien de l’ADAMI et de la SPEDIDAM.

En 2003, elle chorégraphie NI VU, NI CONNU en collaboration avec Marie-Amélie PIERRET, pièce dédiée au public dès 1 an, qui a été jouée plus de 300 fois, et POTOPOTO en 2005, solo dédié aux tout-petits, co-produit par Culture-Commune, Scène Nationale du Bassin Minier du Nord-Pas-De-Calais, le Conseil Général de l’Essonne et la DRAC Ile-de-France, et joué près de 250 fois.

En 2007, elle crée MAINS DANS LES PO-CHES avec Marie-Amélie PIERRET, duo présenté plus de 150 fois à ce jour.

Depuis 1999, parallèlement à son acti-vité de chorégraphe et de danseuse, elle anime des ateliers en crèche (no-tamment avec les bébés), propose des formations à l’attention des profession-nels de la petite enfance, ainsi que des ateliers et des stages parents-enfants. Elle pratique régulièrement le Yoga depuis 2005 et le Qi-Gong depuis 2007.

Laurence SALVADORIChorégraphe/DanseuseDirection artistique

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Compagnie

Formée à la danse contemporaine au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, Caroline DESMAISON a rencontré le travail de différents chorégraphes dont Hervé Robbe, Philippe Tréhet, Alvin Nikolais.

Ses expériences lui ont permis d’aller à la rencontre d’autres disciplines comme le chant, l’acrobatie et les arts de la rue.

En 2004, elle intègre la Cie DCA de Philipe Decouflé pour le spectacle “IIRIS“ et obtient le diplôme d’état de professeur de danse contemporaine.

Parallèlement, elle travaille avec la Cie du Nouveau Jour à destination du jeune public.

En 2006, elle rejoint la Cie Eolipile pour la reprise de deux pièces et participe à la création d’un solo de Lin Yuan Shang dont elle est l’interprète.

Depuis peu, elle travaille pour la Cie Le Guetteur (Luc Petton), se tournant ainsi vers un travail de danse en relation étroite avec différentes espèces d’oiseaux.

Originaire des hautes alpes, Sven CLERX s’intéresse très tôt aux percussions en tous genres. Il débute ses études musicales au conservatoire de Gap, et joue parallèlement dans différentes formations de musiques actuelles. Il poursuit ses études au C.N.R. de Marseille dans la classe de M. Alexandre Régis, où il obtient un premier prix de percussions. Cette période lui permet de découvrir la musique contemporaine et son répertoire, qu’il prend plaisir à interpréter. Indifférent aux glaces chocolat, il déguste cependant la menthe à l’eau avec délice. Toujours en recherche musicale, il s’intéresse à d’autres univers musicaux : Le Zarb (percussion iranienne), le Jazz, l’improvi-sation, les musiques électro…

Actuellement au C.R.R. de Rueil Mal-maison, dans la classe de Mme Eve Payeur, il poursuit son exploration de divers répertoires, et multiplie les rencontres et projets qui lui permettent de vivre et construire son propre univers artistique.

Caroline DESMAISON

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Sven CLERX

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Compagnie

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Philippe BLANC

Eclairagiste et vidéaste pour le théâtre et la danse, Christoph GUILLERMET, après avoir assuré la direction technique de divers lieux et compagnies depuis 1996, se consacre aujourd’hui essentiellement à la création.

Il a travaillé de 1995 à 2003 avec la nouvelle garde du théâtre indépen-dant arabe (Egypte, Jordanie, Liban) et mené une activité engagée de forma-tion dans ces pays.

En France, il collabore étroitement avec le Collectif 12 jusqu’en 2003 puis le Théâ-tre du Mantois jusqu’en 2006. La plupart des projets auxquels il a participé depuis 2003 allient une double création: vidéo et lumière.

En 2009 il signe sa première création multi-média “Voyage en Polygonies”, pour le Théâtre pour 2 mains (Pascal Vergnault), un objet vidéo en temps réel.

Depuis trois ans il travaille en création vidéo avec le chorégraphe Dominique Boivin , Cie Beau Geste (Princesse, Don Quichotte). Parallèlement, il développe depuis 2004 des logiciels pour la ges-tion des lumières en spectacle vivant ( Schwartzpeter, projet libre, largement diffusé dans les compagnies de théâtre et de danse). Son dernier projet, White Cat, gère la lumière, l’audio, et permet-tra de piloter la vidéo de Globulus. Whi-teCat possède une infrastructure logi-cielle dessinée pour le travail à plusieurs logiciels (logiques d’asservissements et de pilotage).

Projets à venir : “iceberg”, Cie L’éo-lienne, Florence Caillon, cirque choré-graphié. “Paysage” (titre provisoire), Dominique Boivin, Cie Beau Geste

Après avoir résisté à suivre le sillage de sa mère couturière, elle expéri-mente le stylisme sous toutes ses for-mes en “freelance” dès 1980. Elle retourne à l’école à partir de 1990 : trois années d’Arts appliqués, une immersion pour ré-apprendre à regarder et sentir la lumière, les couleurs et les

matières, trait d’union qui l’amène tout naturellement au costume. Dix ans à explorer seule ou en équipe, longs et courts-métrages, fiction TV, presse, évènementiels, danse et théâtre.

En 2000, elle connaît une période de ré-flexion qui lui permet de digérer ces “ex-périences” et de les transformer pour se diriger principalement vers le spectacle vivant : c’est l’heure des belles coïnci-dences et des rencontres qui donnent lieu aux collaborations fructueuses et durables, comme avec Claire Guer-rier (Unsafe Company / Bâle), Nathalie Bensard (Cie la Rousse), Laurence Sal-vadori (Cie Ouragane). Quelques créa-tions plus tard, la nature du costume se révèle toujours un “accident” inspiré…

Au fil de son parcours…

Philippe Vandel / Pascale Breugnot / Dominique Verrier / Paul Vecchiali / Stéphanie Aubin / Jacques Osinski / Caroline Vignal / John Lvoff / Bernard Sobel Laurence Renn / Verner Schroeter /Maria Machado / Brigitte Sy / Fabianna Piacenza / Jean-Michel Vier

C’est au sein de la société MAGINEM (réalisation de décors pour le specta-cle et la convention), qu’il aborde de 1993 à 1998 les techniques de soudure, menuiserie, peinture et sérigraphie.

En 1999, il suit une formation de peintre décorateur au CNFPTS de Montreuil et réalise ensuite plusieurs décors pour le théâtre et la danse (Cie Doppelgan-ger, Cie Eygurande, Atelier de l’Orage). Passionné par le travail du bois, il crée également du mobilier et des objets de décoration à partir de matériaux de ré-cupération qu’il associe, qu’il transfor-me, qu’il patine…

Il collabore avec la Compagnie OURA-GANE depuis 1999 / création du décor du FIL BLEU, de TETE EN L’AIR, AMOUREUX (2002), NI VU NI CONNU (2003), POTO-POTO (2005), MAINS DANS LES POCHES (2007) et PINCE-MOI, JE REVE…(2009).

Il est aussi technicien et photographe de la compagnie.

Christoph GUILLERMET

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Elisabeth Martin

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Compagnie

Revue de presse Globulus


Compagnie

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18 janvier 2012

SPECTACLES - DANSE - THÉÂTRE - CONTEMPORAINE - VISUEL

Compagnie Ouragane - Globulus

Du plus petit corps sphérique aux planètes, les formes arrondies sont partout. Pour les évoquer, la compagnie Ouragane raconte une histoire tout en rondeur et en délicatesse, mêlant à la danse la musique et la vidéo. Des mouvements gracieux, souples, vifs s’accordent aux sons (vibrations, tintements...) interprétés par un percussionniste ; une création graphique colorée et animée en di-rect harmonise l’ensemble. La scénographie, avec un écran et dif-férentes scènes circulaires, permet au public de se trouver dans une grande proximité avec les deux artistes, toujours complices et joueurs. Un univers ludique, poétique, parfaitement adapté aux plus petits, qui met en joie.

Françoise Sabatier-Morel

TAGS : Danse - Théâtre - Contemporaine - Visuel



Compagnie

13Cyrille PLANSON / La Scène / Hiver 2012


Compagnie


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Compagnie

La Montagne - Vendredi 2 mars 2012


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Compagnie

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Théâtre jeunes public - Eblouissante finale

Festi’mômes : un dernier petit tour et puis s’en va... - Molac

« Questembert - C’est avec quatre productions remarquables que se terminait Festimômes le week-end dernier en Bretagne : deux spectacles allemands pour les enfants à compter de 2 ans et deux français ciblant, eux, les bébés à compter de 18 mois.

Au total, quatre regards neufs témoignant du niveau exceptionnel du théâtre pour la toute petite enfance en Europe…le tout présenté dans de minuscules communautés rurales, ce qui rend la chose encore plus admirable…

… Un petit délice… C’est ce que l’on peut dire aussi de Globulus de la compagnie Ouragane. Sauf qu’ici le pari est encore plus audacieux puisque l’on fait appel à la danse, à la vidéo et aux percussions « live » pour s’adresser aux tout-petits. Ce qui frappe d’abord c’est le lien fixé dès le départ entre la moindre note et le moindre mouvement de la danseuse ; quand s’ajoutent à cela la beauté des séquences vidéo, l’originalité de la musique, l’utilisation particulièrement inventive des écrans de fond de scène…et la fascination des enfants devant l’efficacité de la chorégraphie, on en reste bouche bée. Vivement que tout cela vienne se voir chez nous ! »Michel BELAIR/LE DEVOIR.com/15 novembre 2011

« Vendredi et samedi, dans le cadre du festival jeune public Festi’mômes (qui s’est achevé hier soir), le spectacle Globulus de la compagnie Ouragane a fait salle comble. Le spectacle semblait les happer, les transporter. En effet, les mouvements de danse de Caroline Demaison ont fait corps avec les percussions de Sven Clerx et les jeux de lumière. « Le monsieur, il est dans la lune », dit Maêva, 4 ans. D’autres essaient de reproduire les expressions scéniques de Caroline. « La dame, elle fait dodo, il est coquin le monsieur de la réveiller. ». Rien ne manquait, tout y était, d’ailleurs les applaudissements du public l’ont prouvé ».Ouest France- 14 novembre 20111

Nombre de personnes en déplacement : 4 personnes (2 danseuses, 1 musicien, 1 technicien)

Jauge à définir en commun selon l’espace, l’âge des enfants et le nombre d’adultes Dans tous les cas : • maximum 100 spectateurs, adultes inclus en représentation scolaire • maximum 70 spectateurs en représentation tout-public et petite enfance (moins de 3 ans).

TARIFS : 2 représentations au minimum

2 représentations (même jour) : 2 800 € H.T. 4 représentations (sur 2 jours) : 5 000 € H.T. 6 représentations (sur 3 jours) : 6 800 € H.T.8 représentations (sur 4 jours) : 8 500 € H.T.

Nombre de représentations/jour : 2

Il est exceptionnellement possible de jouer 3 fois, mais Il est souhaitable d’éviter 2 journées consécutives à 3 représentations par jour sur une même série

Représentation isolée dans une série : 1 400 € H.T.

Prise en charge des repas et hébergement pour 4 personnes : base SYNDEAC

Transport du décor en camion 16m3 (+ technicien + chorégraphe) Au départ d’IGE (Orne/61) - 0,70 € H.T./km

Transport de 2 artistes en voiture/ ou train au départ de Paris Voiture : 0,50 € H.T./km au départ de Paris

Droits SACD à la charge de l’organisateur

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G L B U L U SSpectacle pour petites et grandespersonnes dès 18 mois - Création 2011

Contact administratif : Laurence SALVADORI

02 50 77 50 88 06 83 01 79 89

E-mail : [email protected] Site web : www.ouragane.net

Compagnie

Tarifs 2013-2014


Compagnie

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Contact technique : Laurence SALVADORI / Tel : 06.83.01.79.89 Cie Ouragane : 02 50 77 50 88Régisseur : Philippe BLANCMail : [email protected]

Age du public : 18 mois à 6 ans Durée : spectacle / 30 minutes + accueil du public (15 mn)

La jauge varie en fonction de l’âge des enfants et de l’espaceJauge maximale préconisée : 70 spectateurs (tout-public) - 100 spectateurs (scolaires)

Dispositif :• La scénographie tient dans un espace minimum de 12 m x 10,50 m pour une jauge maximale de 100 spectateurs) - Hauteur minimum : 3,20 m• Le public est intégré dans cet espace sur chaises (à fournir par le lieu), bancs, et coussins (fournis par la compagnie)• Le spectacle se joue en salle de plein pied ou sur plateau.• Avant la venue de la compagnie, l’organisateur contactera la compagnie pour une préparation technique quant à l’espace, aux circulations , et aux jauges.

Organisation :J -1 : La compagnie s’installe la veille au matin : 3 services comprenant déchargement, montage, raccords, filages.J : Le théâtre doit être accessible 1h30 avant la première représentation (échauffements)

Nombre de représentations : 3 représentations maximum par jourDans le cadre d’une série, éviter 2 journées consécutives à 3 représentationsDans le cas de 2 représentations qui se suivent, prévoir un battement d’au minimum 1h15 entre le début de la première et le début de la deuxième.

Important : Le lieu doit impérativement être chauffé

Loges :Prévoir 2 loges (homme/femme)Catering : thé, café, eau, fruits, biscuits.Prévoir un fer + table à repasser et des serviettes de bain

Fiche techniqueG L B U L U S

Déchargement camion + Montage (raccords-filages) : 3 servicesDémontage et rechargement camion : 1 servicePersonnel technique :• 2 à 3 régisseurs pour le déchargement + montage décor (2 premiers services) - 1 seul régisseur pour le 3ème service• 1 régisseur d’accueil pendant l’exploitation• 2 régisseurs pour le démontage/ de préférence les mêmes (1 service)

Accueil du public :• Prévoir 2 personnes du lieu pour accueillir le public et le placement en salle• Un temps d’accueil est organisé par la Compagnie dans le hall. Prévoir de le libérer à cet effet ou de mettre à disposition une salle annexe (4 carrés de moquette de 2 x 2 m à disposer).

Matériel :La compagnie fournit le matériel suivant :Décor, pendrillons de l’espace de jeu, structure et pieds, gradateurs, console, projecteurs, système de diffusion son, vidéo, bancs, coussins, moquette.

A fournir par l’organisateur :Espace :•Noir salle•Tapis de danse noir 10 m x 6,50 m (la Cie peut éventuellement en fournir un si le lieu n’en a pas).•50 chaises (30 pour la salle + 20 pour le hall)•Aspirateur performantLumière•Prolongateurs : 3 x 20 m - 5 x10 m - 5 x 5m -10 x 3 m (Prévoir quelques prolongateurs supplémentaires)•1 circuit DMX gradué pour la salle (circuit 24) + 2 PC 500 W pour éclairer l’espace public (arrivée du signal à cour du décor)Alimentation électrique du dispositif3 directs 16 A sur disjoncteurs séparés arrivant au décor (non compris dans le décompte de prolongateurs) pour alimenter les gradateurs e la compagnie. La puissance totale nécessaire est de 5 kw. Consommable Prévoir gaffeur tapis de danse noir + gaffeur toilé noir et blanc, en conséquence.


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Compagnie

Compagnie OURAGANE Tél : 02 50 77 50 88

Laurence Salvadori - Tél : 06 83 01 79 89

[email protected]

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Scénographie

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Documents

GL BULUS - Ouragane3 GL BULUS Le cercle, une forme familière pour s’adresser aux tout-petits i l est exceptionnel d’observer dans les innombrables formes que nous offre la nature,