12
1

Greenletter Octobre n°5

Embed Size (px)

DESCRIPTION

Découvres l'actu DD à GEM et dans le monde.

Citation preview

Page 1: Greenletter Octobre  n°5

1

Page 2: Greenletter Octobre  n°5

2

Edito Par Qiongji Xue

« GEM » être actrice du développement

durable

Enfin le premier numéro de la Greenletter pour cette rentrée 2010 !

Fraichement arrivée à GEM et propulsée dans le bureau de Dolce Vita, me voilà embarquée dans une

nouvelle aventure enrichissante et pleine de belles rencontres ! Celle avec Dolce Vita a été tout

simplement la plus grande de ce mois-ci.

Pour ceux qui découvrent la vie de GEM, ses associations, ses soirées, ses activités, ses potins, et ses

cours, je vous propose de vous arrêter quelques instants pour découvrir aussi la Greenletter. (Et pour

ceux qui la connaissent déjà, de découvrir ce nouveau numéro !).

Le mois de septembre nous aura offert la possibilité d’enrichir nos idées et de réfléchir sur l’actualité.

En ce qui nous concerne, sur le développement durable.

Le documentaire « Water makes money » récemment diffusé en Europe alimente le débat très

controversé sur la privatisation de l’eau, « l’or bleu », mis entre les mains de grands groupes privés.

Cette privatisation répond à des impératifs économiques et financiers, mais très vite les dérives

apparaissent. Gandhi disait : « Il y a assez sur terre pour répondre aux besoins de tous, mais pas

assez pour satisfaire l'avidité de chacun ». A méditer.

Pourrait-on envisager des solutions sans compromettre les besoins de chacun et ceux des

générations futures ? Toute une problématique. En tant que futurs managers, nous sommes tous

concernés et invités à y porter notre réflexion. Et même davantage : à être acteurs du

développement durable.

Page 3: Greenletter Octobre  n°5

3

Sommaire

Choc – Water Makes Money

Portrait - Geoffroy de la Tullaye, ancien Gémien et dirigent de BIGLO

3D – Le commerce équitable : réellement équitable ?

Les liens - Clim City : une ville durable au bout de la souris

Agenda DD – Le salon entreprise durable à Paris le 20

Consom’acteurs – L’art du massage de Yaël Roche

La Greenletter est réalisée par Qiong Ji X. et Caroline D.

www.dolcevita-grenoble.org

L’illustration du mois

Page 4: Greenletter Octobre  n°5

4

Choc

WATER MAKES MONEY par Qiong Ji Xue

« Eau […] tu n’es pas nécessaire à

la vie, tu es la vie. »

Antoine de Saint Exupéry

Quand l’eau devient de l’argent.

« Water makes money » : une affirmation qui

interpelle. Qu’est ce qui se cache derrière

cette déclaration ?

« Water makes money » est en fait un

documentaire dont la première a eu lieu le 23

septembre 2010. Il soulève la question de

l’accaparement de l’eau par Véolia et Suez.

Question controversée puisqu’elle met en

lumière les dérives et mauvaises

conséquences de la gestion de l’eau par des

entreprises privées.

L’eau est une ressource indispensable à la vie.

A ce titre elle devrait être un bien commun. La

Déclaration des Droits de l’Homme le

confirme et déclare que l’accès à l’eau « fait

partie intégrante de la réalisation des droits

de l’Homme. » Tout ceci est-il compatible avec

la situation actuelle ?

Un bien commun en proie des intérêts

économiques.

Jusqu´aujourd´hui l´approvisionnement en eau

dans le monde entier, est à 80% encore public.

Il est difficile d’imaginer plusieurs sociétés

créer un marché de l’eau, soumis à la

concurrence. Donner une valeur marchande

l’eau a été débattu. Les arguments en faveur

de la marchandisation de l’eau sont

nombreux. Prenons l’exemple de l’agriculture.

Secteur très consommateur d’eau, c’est aussi

un secteur à faible rentabilité économique. En

donnant une valeur marchande à l’eau, cela

permettrait d’atténuer les effets néfastes pour

l’environnement de la surexploitation, grâce

aux mécanismes du marché, équilibrant l’offre

et la demande. Attribuer aux sociétés privées

la gestion de l’eau présente aussi des

avantages économiques et financiers pour les

collectivités, dans une démarche efficace et en

faveur du développement durable. Dans les

Page 5: Greenletter Octobre  n°5

5

pays en voie de développement, la

privatisation de l’eau constituerait une

solution face aux difficultés financières que

ces connaissent. Pour ces raisons, le Conseil

mondial de l’Eau a recommandé de confier

l’exploitation de l’eau potable à des

compagnies privées, faisant ainsi payer les

consommateurs.

Par conséquent, les puissantes

multinationales Véolia et Suez s’emparent

toujours davantage de l’eau. A l’heure

actuelle, Véolia est présente dans 69 pays

dans la gestion privée des eaux.

Pourtant, les intérêts économiques ne vont

pas toujours de pair avec l’intérêt général.

Très vite, les dérives apparaissent : d’abord,

les prix augmentent continuellement au

détriment de l’usager. En Bolivie, dans la ville

de Cochabamba, où la gestion de l’eau est

confiée à plusieurs multinationales, le tarif de

l’eau est passé d’un faible niveau, à environ

20% du revenu mensuel d’un ménage. Cela ne

génère pas seulement une difficulté

économique, mais aussi sociale. La hausse des

prix a en effet entraîné un mécontentement

général, des manifestations réprimées

dangereuses pour la cohésion sociale.

Mais surtout la qualité de l’entretien et du

renouvellement des réseaux diminuent, dans

le but d’aller toujours vers plus de profit. La

corruption s’installe pour convaincre les élus

locaux. L’opacité, l’abus de la situation de

monopole des deux multinationales

conduisent à remettre fortement en cause la

confiance au départ accordée. Les finalités de

la démarche en faveur d’une préservation de

l’environnement –en surface en tout cas- ne

font apparaître en réalité qu’une grande

négligence des préoccupations

environnementales et sociales.

Compte tenu de la rareté croissante de l’eau,

patrimoine universel, et face à cette situation,

quelle est la meilleure alternative à adopter ?

En France les collectivités réagissent, à l’instar

de la Mairie de Paris qui a repris le contrôle de

la gestion des eaux. Même si ce n’est pas le

modèle économique qui résout la totalité des

enjeux soulevés, il a au moins l’avantage de

freiner les conséquences néfastes de la

privatisation jusqu’ici observées…

Economie de l’eau : les chiffres

Un Français consomme en moyenne 140 litres

d'eau par jour.

on consomme en moyenne 5 litres au lavabo

70 litres pour une douche 150 litres pour un bain une chasse d'eau consomme 10 litres un lave-linge consomme 80 litres par

lavage un lave-vaisselle consomme 40 litres

par lavage

La consommation de l’eau est répartie de cette façon

39% pour l'hygiène (toilette,salle de bain…)

20% pour les sanitaires (WC) 12% pour le lavage de linge 10% pour le lavage de la vaisselle 12% pour les usages domestiques

divers 6% pour la nourriture et sa

préparation 1% pour la boisson

Page 6: Greenletter Octobre  n°5

6

Astuces

Détecter et éviter les fuites d’eau : fermer

tous les robinets, et relever les compteurs

d’eau deux fois afin de comparer les chiffres.

Un robinet qui fuit: 120 litres d'eau gaspillée

par jour. Une chasse d'eau qui fuit 600 litres

d'eau gaspillée.

Utiliser les économiseurs d’eau. Ce sont des

embouts qu’on place sur les robinets et qui

réduisent les débits d’eau.

Equiper les WC d’une double chasse

Au moment d’acheter des équipements

électroménager (un lave-linge par exemple) :

bien faire attention aux indications de

l’étiquette énergie, et privilégier ceux qui sont

les moins consommateurs d’eau. Certaines

machines pèsent le contenu à laver et

n’utilisent en conséquence que la quantité

d’eau nécessaire au lavage. Le prix d’achat

sera certainement plus élevé, mais il

permettra ensuite de faire une économie

considérable de la consommation d’eau.

Les gestes quotidiens :

Prendre des douches plutôt que des bains

Fermer le robinet pendant la vaisselle et le

brossage de dents. Cela représente une

économie annuelle de 10 000 Litres d’eau par

personne ! (source : Ademe)

Si vous avez un jardin : récupérer l’eau du

lavage des fruits et la réutiliser pour l’arrosage

Page 7: Greenletter Octobre  n°5

7

Portrait – Geoffroy de la Tullaye (Promo O2)

par Pauline Vettier

Tout juste diplômé de Grenoble Ecole de Management (promo 2002), Geoffroy de La Tullaye intègre le groupe Crédit Lyonnais en salle de marchés et des taux de change, poste qu’il occupera pendant un an.

Il décide ensuite de se consacrer à un tour du monde pendant un an et fonde l’associationHydrotour. Son ambition ? « Transformer l’acte égoïste d’un tour du monde en un projet de sensibilisation autour d’un Biglo est la première agence de sensibilisation à l’eau et au développement durable. Les deux frères ne sont jamais à court d’idée pour entrainer leurs clients dans l’aventure au service de l’eau : du conseil à la production de contenu print ou multimédia, Geoffroy et Loïc construisent des Réponses sur mesure à tous les acteurs qui placent cet enjeu d’avenir au coeur de leurs

préoccupations. thème qui nous dépasse : l’eau. » Son frère Loïc le rejoint dans l’aventure, car il partage la même ambition : « Créer de la valeur tout en faisant avancer les choses ». L’aventure durable prend tout son sens, et aujourd’hui elle est le fondement même de Biglo, l’entreprise qu’ils ont créée ensemble en 2005.

Leur série documentaire « Expédition Yangtsé », créée pour France 5 et coproduite avec Gedeon Programmes, a remporté le Prix du Public Festival International de l’Eau et Cinéma de Verviers en 2009. Sources : http://biglo.fr/index2.html et GEM Graduate Network

Page 8: Greenletter Octobre  n°5

8

3D le développement durable en débat

Le commerce équitable : véritablement équitable ? par Qiong Ji Xue et Caroline Dugué

Etat des lieux du commerce équitable

Depuis une dizaine d’année le commerce équitable a connu un engouement certain en France et dans le monde. En effet selon un sondage de TNS Sofres, plus de 80% des Français connaissent l’existence du commerce équitable et plus d’un français sur deux a déjà acheté un produit équitable. Cependant ce sondage révèle également que la population française a une notion vague de ce qu’est réellement le commerce équitable. Quels sont les produits issus du commerce équitable ? Comment sont-ils fabriqués ? De quelle manière sont rémunérés les producteurs ? Et quels sont les enjeux d’une entreprise s’impliquant dans ce type de commerce ? Autant de questions qui restent le plus souvent en suspend pour un bon nombre d’entre nous. Le commerce équitable a pour objectif d’assurer un revenu décent aux producteurs du Sud en établissant de meilleures conditions commerciales avec les consommateurs du Nord. Sa mission étant d’établir une plus grande équité au sein du commerce mondial et de contribuer au développement durable. Mais au jour d’aujourd’hui, le commerce équitable peut-il réellement assurer le développement des pays du Sud ? Ou est-ce une simple stratégie marketing des revendeurs pour accroitre leur part de marché?

Commerce équitable et développement durable

Le commerce équitable contribue au développement durable. Les quatre structures internationales commerce équitable : FLO, IFAT, NEWS, EFTA soulignent qu’outre le fait d’offrir aux producteurs des pays en voie de développement de meilleures conditions commerciales, le commerce équitable permet de garantir les droits des producteurs et travailleurs marginalisés, en tenant compte de leur bien-être social, économique et environnemental. Ainsi, les produits labellisés correspondent à un cahier des charges précis : les produits ont été faits dans le respect des droits de l’homme : pas de travail forcé, égalité homme femme, libertés syndicales…, dans le respect de l’environnement, à une rémunération juste pour les producteurs, leur garantissant ainsi un niveau de vie décent.

Page 9: Greenletter Octobre  n°5

9

Le respect de l’environnement est un aspect souvent oublié, mais il existe, et le commerce équitable se fait en prenant en compte l’écologie. Les modes de production du type agriculture paysanne, bien plus respectueuses de l’environnement sont favorisées. La biodiversité est mieux protégée, et le commerce équitable a permis une conversion de producteurs vers l’agriculture biologique. Ainsi, la majorité de ces produits sont issus du bio, garantissant une bonne qualité des produits alimentaires vestimentaires.

Les organisations du commerce équitable se sont donnés pour autre objectif de sensibiliser le grand public aux injustices du système commercial actuel. Le commerce équitable tient un rôle d’éducation et permet fournir de l’information concernant l’origine des produits, les conditions de travail aux consommateurs finaux. Ceux-ci sont responsabilisés : en termes marketing, on parle du « consom’acteur ». Ils sont plus amenés à consommer de manière « éthique », et prennent conscience des enjeux qui entourent le commerce international. D’un autre côté, avoir une offre de produits équitables permet aussi aux consommateurs des pays développés de découvrir de nouvelles choses. « Equitable » jusqu’à quel point ?

On le voit, le commerce équitable est donc aussi une manière de convaincre le consommateur d’acheter. Le thème de l’éthique, permettant d’inciter à une consommation responsable, procure des nouvelles niches commerciales, et permet de différencier un produit par rapport à celui qui n’a pas le label « équitable ». Se servir de l’argument de l’humanitaire pour mieux vendre, est-ce bien moral ? D’un point de vue économique, plusieurs questions se posent, et alimentent les

critiques au commerce équitable. Les échanges commerciaux ne concernent essentiellement que les produits d’exportation des pays en voie de développement vers les pays développés. Les produits vivriers, par contre, ne sont pas commercialisés dans les pays développés, et au contraire subissent une concurrence par rapport aux produits du Nord. Cela a un impact néfaste sur les prix des produits alimentaires des paysanneries des pays en voie de développement, impliquant le droit à la souveraineté alimentaire. Ce droit permettrait de protéger les marchés intérieurs face à la concurrence internationale, en dépit des accords de libre-échange de l’OMC. De plus, en augmentant les prix des produits du commerce équitable, des nouveaux producteurs sont incités à entrer sur le marché, faisant ainsi monter la quantité produite, et par conséquent les prix des produits non équitables. Les paysans qui ne font pas partie du commerce équitable se retrouvent alors perdants. Qui dit commerce international dit aussi transports plus longs des produits. Cela joue souvent en défaveur des producteurs des pays en voie de développement, qui ont moins de moyens à les financer. Et d’une manière générale, plus de transports n’est pas forcément très écolo… Cependant, dans l’ensemble, le commerce équitable présente de nombreux avantages, allant vers le développement durable, et s’inscrivant dans l’économie solidaire. Au vu de son développement, il est devenu un système d’échange solide, et peut être une alternative aux règles économiques libérales. Véritable tremplin pour les pays du Sud, son avenir réside certainement dans la recherche des débouchés locaux, et de l’augmentation des échanges entre pays en voie de développement.

Page 10: Greenletter Octobre  n°5

10

Le commerce équitable au quotidien

Gourmandise : Ben&Jerry’s vise

une gamme de glace 100% équitable

Le WEI 2010 nous l’a prouvé, tout bon Gémien apprécie les fameuses glaces Ben Jerry’s. L’entreprise Ben&Jerry’s a depuis longtemps annoncé leur volonté de produire une glace engagée, c'est-à-dire qui respecte la nature, les conditions de travail ainsi qu’une rémunération juste des employés et des producteurs. Leur mission étant de faire les meilleures glaces possibles de la meilleure façon possible. Certes les ingrédients coûteront plus chers mais ce coût ne sera pas répercuté sur le prix de vente. Et à voir la notoriété et le succès de la glace, s’engager dans ce type de commerce n’est pas forcément susceptible d’engendrer contraintes et difficultés pour une entreprise dans le domaine de l’alimentaire ou de la restauration. D’ici 2011, l’ensemble des glaces proposées par Max Havelaar seront issues du commerce équitable. Ben Cohen et Jerry Greenfield se sont finalement engagés pour des glaces plus éthiques sans se prendre au sérieux.

Culture : la photo équitable

La photo équitable initiée par ANP Photo consiste à faire poser des modèles du monde entier en les rémunérant au juste prix. En effet, il n’est pas rare de voir dans la presse des photographies des populations du monde entier prise sans leur avis et sans rémunération. Grâce à cette volonté d’ANP Photo, des valeurs éthiques pourront être prise en compte lors de la réalisation des photographies.

Mode : Veja – la star française de la

mode éthique Le commerce équitable prend une place

grandissante dans la mode. Une tendance qui

devrait encore prendre de l’importance d’ici

2015 où l’habillement responsable pèserait

10% à 15% du chiffre d’affaires contre 2%

aujourd’hui. En effet, c’est une véritable

aubaine pour les enseignes, qui peuvent

bénéficer d’une augmentation en moyenne de

65% de leur chiffre d’affaire grâce à la

présence de ce type de produits.

Mais la grande star en France de la mode éthique reste toujours la tennis Veja. Crée en 2005 par Sébastien Kopp-François Ghislain Morillon, Veja est une marque incontournable de la mode responsable. Les 60000 paires déjà vendues dans le monde sont fabriquées à partir de coton bio et d’un caoutchouc naturel produit au Brésil. La fabrication de ces chaussures permet à une coopérative brésilienne de vivre mieux que la moyenne nationale et respecte l’environnement. Comme quoi la réussite peut aussi reposer sur des considérations environnementales et des convictions sociales. Déjà présente avec succès sur le marché américain et européen, les fondateurs de la marque souhaitent à présent conquérir l’Asie.

Page 11: Greenletter Octobre  n°5

11

Les liens

Clim City : une ville durable au bout de la souris

par Caroline Dugué

Clim City lancé par l’institut Cap Sciences de Bordeaux est un jeu gratuit sur la lutte contre le réchauffement climatique. Comme son nom l’indique, ce jeu est une version écolo du célèbre Sim City. Le but de ce jeu est de répondre aux exigences d’un plan climat d’une ville de 115 000 habitants représentant au mieux le paysage économique français. S’offre alors à vous plusieurs possibilités de réduire les gaz effets de serre, les dépenses énergétiques mais aussi de contribuer au développement des énergies renouvelables et à l’émergence de nouvelles habitudes.

L’intérêt de Clim City est de montrer, que des changements sont possibles mais que ceux ci nécessitent des investissements en amont, des efforts financiers et surtout du temps. Le jeu montre comment nos décideurs peuvent agir, avec quelles stratégies et les difficultés auxquelles ils sont confrontés. Tout en nous donnant finalement, la chance que même les plus grands n’ont pas : de recommencer ! http://climcity.cap-sciences.net

Page 12: Greenletter Octobre  n°5

12

Agenda DD par Caroline Dugué

Tu aimerais voir un de tes habits

devenir une pièce unique et

originale ?

Le Mercredi 3 Novembre, l’équipe

de la fête de la Récup’ est de retour.

Ils reviennent sur la Mezz pour

collecter tes anciens objets et

vêtements.

Consom’acteurs

L’art du massage : le bien-être l’éveil des sens

Stress ? Fatigue ? Enervement ? Ces mots font partie de votre quotidien et vous voulez les

bannir ? Nous avons LA solution : courrez à l’institut de beauté le bien être, l’éveil des sens

de Yaël Roche. Cet institut vous propose outre les soins esthétiques une large gamme de

massages inspirés de la culture thaïlandaise. Dépaysement total garantie.

Point fort : toutes les huiles de massages utilisées sont entièrement bio.

Contact : 15, quai Jonking, Grenoble. Tel : 06.67.56.75.61 http://www.bienetre-eveil.fr