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Info diabète Bulletin à l’intention des éducateurs en diabète de première ligne L’index glycémique : ses avantages et son utilité dans le traitement du diabète Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), quelque 177 millions de personnes étaient diabétiques en 2000 et ce chiffre dépassera les 300 millions en 2025. 1 Le diabète entraîne une diminution de la qualité de vie et une augmentation du risque de développer des complications micro et macrovasculaires telles que la rétinopathie et la maladie cardiovas- culaire. Chaque année, le diabète cause environ 41 500 décès au Canada. 1 La thérapie nutri- tionnelle joue un rôle primordial dans le traitement du diabète de type 1 et de type 2. Parmi les lignes directrices de base pour le traitement du diabète au Canada, on retrouve le contrôle des portions (surtout des portions de glucides), la réduction de l’obésité, une plus grande consommation de fibres alimentaires, une consommation réduite de graisses saturées et d’acides gras trans pour qu’ils représentent moins de 10 % de l’énergie ingérée, et le choix plus fréquent d’aliments ayant un indice glycémique bas. 2 Proposé pour la première fois en 1981, l’indice glycémique (IG) est un système de classification des aliments d’après leur contenu en glucides. L’IG sert à évaluer comment la glycémie postprandiale réagit à différents types de glucides par comparaison avec un glucide de référence (un glucide, ou le pain blanc, auquel est attribué une valeur de 100) sur une période de 2 à 3 heures. 3 Les glucides provenant du régime alimentaire sont généralement contenus dans les féculents, les fruits et légumes, les produits laitiers et les sucres, et devraient représenter de 50 à 60 % de notre apport d’énergie. L’IG est souvent présenté comme compor- tant 3 catégories : faible (<55), moyen (55-70) et élevé (> 70). L’OMS et les associations du diabète au Canada, en Europe, en Australie et en Afrique du Sud recon- naissent maintenant que l’IG est un outil utile dans le traitement du diabète. 3 Ce n’est que récemment que l’American Diabetes Association (ADA) a accepté que l’utilisation de l’IG peut apporter des avantages qui s’ajoutent à ceux observés lorsque le total des glucides est considéré à lui seul, comme l’énonce la déclaration de l’ADA sur les glucides alimentaires. 4 dans ce numéro par Donna Kwan, RD 1 L’index glycémie : ses avantages et son utilité dans le traitement du diabète 8 La santé buccodentaire 18 Comment je suis passée au Lantus Volume 24 ~ Hiver 2005

Info diabète - guidesurlediabete.com · période de 2 à 3 heures.3 Les glucides provenant du régime alimentaire sont généralement contenus dans les féculents, les fruits

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Info diabèteBulletin à l’intention des éducateurs en diabète de première ligne

L’index glycémique :ses avantages et son utilité dans le

traitement du diabète

Selon l’Organisation mondiale de la santé(OMS), quelque 177 millions de personnesétaient diabétiques en 2000 et ce chiffredépassera les 300 millions en 2025.1 Lediabète entraîne une diminution de laqualité de vie et une augmentation du risquede développer des complications micro etmacrovasculaires telles que la rétinopathie etla maladie cardiovas-culaire. Chaqueannée, le diabètecause environ 41 500décès au Canada.1

La thérapie nutri-tionnelle joue un rôleprimordial dans letraitement du diabètede type 1 et de type2. Parmi les lignesdirectrices de basepour le traitement dudiabète au Canada,on retrouve le contrôle des portions (surtoutdes portions de glucides), la réduction del’obésité, une plus grande consommation defibres alimentaires, une consommationréduite de graisses saturées et d’acides grastrans pour qu’ils représentent moins de 10 %de l’énergie ingérée, et le choix plus fréquentd’aliments ayant un indice glycémique bas.2

Proposé pour la première fois en 1981, l’indiceglycémique (IG) est un système de classification desaliments d’après leur contenu en glucides. L’IG sert àévaluer comment la glycémie postprandiale réagit àdifférents types de glucides par comparaison avec unglucide de référence (un glucide, ou le pain blanc,auquel est attribué une valeur de 100) sur unepériode de 2 à 3 heures.3 Les glucides provenant du

régime alimentaire sontgénéralement contenusdans les féculents, les fruitset légumes, les produitslaitiers et les sucres, etdevraient représenter de 50à 60 % de notre apportd’énergie. L’IG est souventprésenté comme compor-tant 3 catégories : faible(<55), moyen (55-70) etélevé (> 70).

L’OMS et les associationsdu diabète au Canada, en

Europe, en Australie et en Afrique du Sud recon-naissent maintenant que l’IG est un outil utile dans letraitement du diabète.3 Ce n’est que récemment quel’American Diabetes Association (ADA) a acceptéque l’utilisation de l’IG peut apporter des avantagesqui s’ajoutent à ceux observés lorsque le total desglucides est considéré à lui seul, comme l’énonce ladéclaration de l’ADA sur les glucides alimentaires.4

dans cenuméro

par Donna Kwan, RD

1 L’index glycémie :ses avantages et son utilité dans letraitement du diabète

8 La santé buccodentaire

18 Comment je suis passée au Lantus

Volume 24 ~ Hiver 2005

L’utilisation pratique et l’importance cliniquede l’IG continuent toutefois de susciter beau-coup de points d’interrogation.

Avantages dans le traitement du diabèteUn grand nombre d’études ont été menéesdans le but de démontrer les avantages del’IG pour le traitement et la prévention desmaladies chroniques.5 Les résultats d’uneméta-analyse des essais randomisés con-trôlés portant sur des régimes alimentairesbasés sur un IG faible dans le traitement dudiabète de type 1 et de type 2 montrentqu’un régime alimentaire à IG faible a uneffet important du point de vue cliniquesur le contrôle de la glycémie.6 Lesparticipants qui avaient suivi un régimealimentaire à IG faible sur une périodemoyenne de 10 semaines présentaient destaux d’HbA1c de 0,43 points plus bas queceux qui avaient suivi un régime alimen-taire à IG élevé.6

Les études ont démontré qu’un régimealimentaire à IG faible est égalementassocié avec une réduction du cholestérol

sérique, tandis qu’un régime alimentaire àIG élevé accroît le risque de maladiecardiovasculaire.3 Ces constatations sontpossiblement reliées à l’hyperinsulinémiechronique et à l’hyperglycémie postpran-diale provoquées par un régime à based’aliments à IG élevé.3 Il faudra toutefoismener des études à long terme pourconfirmer les effets de l’IG sur le risque demaladie cardiovasculaire.

Les aliments à IG faible qui contiennentdes fibres solubles peuvent aussi aider àlimiter le nombre d’événements hypogly-cémiques,7 ce qui pourrait être utile dans letraitement du diabète chez les personnesportées à faire de l’hypoglycémie.

L’utilisation de l’IG dans la pratique nesignifie toutefois pas qu’il ne faut pas tenircompte d’autres lignes directricesconcernant le régime alimentaire ou laquantité de glucides. L’IG apporte d’autresavantages ou s’ajoute à d’autres recomman-dations diététiques visant à améliorer letraitement du diabète.

Facteurs affectant la valeur de l’IGL’IG d’un aliment peut dépendre deplusieurs facteurs. D’ailleurs, la multitudede facteurs est souvent considérée commeun obstacle à l’utilisation de l’IG dans lapratique. Le tableau 1 renferme une listedes facteurs qui affectent l’IG d’un alimentet des exemples de choix alimentaires.8 Lanature ou l’état physique de l’aliment sem-blent avoir le plus d’impact sur l’IG.

Conseils pratiques pour utiliser l’IGDans la pratique clinique, l’utilisation del’IG a été remise en question, certainsconsidérant que cet indice est trop com-pliqué pour les clients. Plusieurs études onttoutefois démontré qu’il peut être utiliséavec succès dans le traitement du diabète etqu’il peut améliorer le contrôle de laglycémie.9-11 Voici certains conseils simplesqui aideront les clients à intégrer desaliments avec un IG faible dans leur régimealimentaire :12

• Remplacer la moitié des aliments ayantun IG élevé par des aliments à IG faible.

• Manger un aliment à IG faible à chaquerepas.

• Remplacer tous les pains et céréales à IGélevé par du pain et des céréales à IGfaible.

• Manger plus de légumineuses, parce qu’ilest prouvé que les légumineuses abaissentl’IG du régime alimentaire.

• Continuer de recommander une variétéde légumes, et surtout de légumes qui ontune faible quantité de glucides parportion.

• Continuer de recommander d’intégrerdes produits laitiers et la plupart des fruitsdans le régime alimentaire, puisque cesaliments sont souvent classifiés commedes aliments à IG faible et moyen.

• Choisir des aliments moins transformés;par exemple, choisir des flocons d’avoineentiers plutôt que des flocons d’avoineinstantanés, ou encore, du pain de grainsentiers plutôt que du pain blanc.

• Utiliser de la vinaigrette à un repas.

• Présenter tous les aliments riches englucides et faibles en gras comme des

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Adapté de l’ouvrage suivant : Brand-Miller J, Wolever TMS, Foster-Powell K, Colagiuri S. TheNew Glucose Revolution: The Authoritative Guide to the Glycemic Index – The DietarySolution for Lifelong Health. New York: Marlowe & Company, 2003.

Tableau 1 : Facteurs qui influencent l’indice glycémique d’un aliment

avec succès dans leur régime alimentaireet obtenir des résultats positifs.

• Le choix d’aliments ayant un indiceglycémique faible peut entraîner uneperte de poids, ce qui représente unautre avantage.

• Il faut faire plus de recherche surl’utilisation à long terme de l’indiceglycémique parce qu’un grand nombredes études effectuées jusqu’à présent,surtout celles qui portent sur la maladiecardiovasculaire et la gestion du poids,étaient des études à court et à moyenterme.

aliments sains, mais insister sur le fait quecertains représentent de « bons choix » etd’autres de « meilleurs choix ».

Le tableau 2 renferme une liste d’alimentscourants ayant un indice glycémique faible,moyen et élevé.

Avantages prometteurs pour la gestiondu poidsDans la prévention et le traitement dudiabète, le but est de maintenir un poidssanté. De 80 à 90 % des diabétiques ont unexcès de poids ou sont obèses.2 Les régimesalimentaires à IG faible peuvent jouer unrôle important dans la gestion du poids : eneffet, une étude épidémiologique à laquelleont participé 572 adultes pendant un an arévélé qu’il existe un lien positif entrel’indice de masse corporelle et l’indiceglycémique.13

Plusieurs études ont démontré qu’unrégime alimentaire à IG faible donne lieu àune perte de poids.14 Plusieurs études sug-gèrent également qu’un régime alimentaireà IG faible favorise l’oxydation des graisses,donnant à l’IG un autre avantage dans lagestion du poids14 parce qu’un tel régimecontribue à réduire l’emmagasinage de lagraisse.

La perte de poids associée avec un régimealimentaire à IG faible peut égalementdonner lieu à des changements physio-logiques qui favorisent la perte de poids àlong terme. Il est maintenant prouvé qu’unrégime à IG faible agit sur la faim et sur ladépense d’énergie au repos. Une étude ran-domisée de conception parallèle a étémenée auprès de 39 adultes obèses ou ayantun excès de poids. Certains participantsont suivi un régime alimentaire à IG faible(calculé en multipliant le nombre degrammes de glucides dans une portionordinaire par l’IG des aliments) et d’autresun régime alimentaire faible en gras et encalories (1 500 kcal). Cette étude a démon-tré que le groupe du régime à IG faible a ditavoir moins faim et éprouver une diminu-tion plus faible de la dépense d’énergie aurepos que le groupe qui avait suivi unrégime alimentaire faible en gras.15 Deplus, le groupe du régime alimentaire à IG

Info diabète

BIO DE L’AUTEURE

Donna Swan est diététiste clinique au programme de soins complets du diabètede l’hôpital St. Michael à Toronto. Auparavant, Donna a fait du conseling sur lagestion du diabète, des lipides et du poids dans une clinique privée d’en-docrinologie, où elle a également coordonné des travaux de recherche cliniquependant près de deux ans.

RÉFÉRENCES1. ACD. The Prevalence and Cost of Diabetes. On the world wide web at http://www.diabetes.ca/Section_about/prevalence.asp [site

visité le 21 septembre 2005]. 2. Comité d’experts des Lignes directrices de pratique clinique de l’Association canadienne du diabète. Lignes directrices de pratique

clinique 2003 de l’Association canadienne du diabète pour la prévention et le traitement du diabète au Canada. Can J Diabetes. 2003;27 (suppl 2).

3. Kalergis M, De Grandpre E, Andersons C. The Role of the Glycemic Index in the Prevention and Management of Diabetes: A Review and Discussion. Can J of Diabetes. 2005;29(1):27-38.

4. Sheard NF, Clark NG, Brand-Miller JC, Franz MJ, Pi-Sunyer FX, Mayer-Davis E, Kulkarni K, Geil P: Dietary carbohydrate (amount and type) in the prevention and management of diabetes: a statement of the American Diabetes Association. Diabetes Care. 27:2266–2271, 2004.

5. Jenkins DJA, Kendal CWC, Sugustin LSA, et al. Glycemic index: overview of implications in health and disease. Am J Clin Nutr. 2002;76(suppl):226S-273S.

6. Brand-Miller J, Hayne S, Petocz P, et al. Low glycemic index diets in the management of diabetes: a meta-analysis of randomized controlled trials. Am J Clin Nutr. 2003;26:2261-2267.

7. Giacco R, Parillo M, Rivellese AA, et al. Long-Term Dietary Treatment with Increased Amounts of Fiber-Rich Low-Glycemic IndexNatural Foods Improves Blood Glucose Control and Reduces the Number of Hypoglycemic Events in Type 1 Diabetic Patients. Diabetes Care. 2000;23(10):1461-1466.

8. Brand-Miller J, Wolever TMS, Foster-Powell K, Colagiuri S. The New Glucose Revolution: The Authoritative Guide to the Glycemic Index – The Dietary Solution for Lifelong Health. New York, NY: Marlowe & Company, 2003.

9. Brand-Miller JB, Colagiuri S, Foster-Powell K. The glycemic index is easy and works in practice. Diabetes Care. 1997;20(10):1628-1629.

10. Frost G, Wilding J and Beecham J. Dietary advice based on the glycemic index improves dietary profile and metabolic control in type 2 diabetic patients. Diabet Med. 1994;11:397-401.

11. Gilbertson HR, Brand-Miller JC, Thorburn AW, et al. The effect of flexible low glycemic index dietary advice versus measured carbohydrate exchange diets on glycemic control in children with type 1 diabetes. Diabetes Care. 2001;24:1137-1143.

12. -Kalergis M. Glycemic Index – Understanding the Glycemic Response to Carbohydrates. Dietitians of Canada Current Issues: The Inside Story, June 2004.

13. Ma Y, Olendzki B, Chiriboga D, et al. Association between Dietary Carbohydrates and Body Weight. Am J Epidemiol. 2005;161:359-367.

14. Pereira MA, Swain J, Goldfine AB, et al. Effects of a Low-Glycemic Load Diet on Resting Energy Expenditure and Heart Disease Risk Factors During Weight Loss. JAMA 2004;292(20):2482-2490.

15. Brand-Miller JC, Holt SHA, Pawlak DB, McMillan J. Glycemic index and obesity. Am J Clin Nutr. 2002;76(suppl):281S-285S.

faible présentait une amélioration consi-dérable de la résistance à l’insuline, destriglycérides sériques et de la protéine C-réactive. Il est maintenant établi que laperte de poids résultant d’un régime ali-mentaire à IG faible améliore la sensibilitéà l’insuline.

Résumé• L’indice glycémique est un outil utile

pour contrôler la glycémie.

• Un régime alimentaire à indiceglycémique faible peut contribuer àréduire le risque de maladie cardio-vasculaire.

• Des études ont démontré que les clientspeuvent intégrer l’indice glycémique

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Tableau 2 : Liste des valeurs de l’indice glycémique des aliments courants(la norme de référence est le glucose avec la valeur suivante : IG = 100)

Adapté de l’ouvrage suivant : Brand-Miller J, Wolever TMS, Foster-Powell K, Colagiuri S. The NewGlucose Revolution: The Authoritative Guide to the Glycemic Index – The Dietary Solution forLifelong Health. New York: Marlowe & Company, 2003.

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En tant qu’intervenant auprès des personnesdiabétiques, vous voudrez probablement rap-peler à ces personnes l’importance de main-tenir une bonne hygiène buccodentaire, carcela a aussi un lien avec leur état de santégénéral. Des études ont montré qu’il y apeut-être un lien entre les affections bucco-dentaires et le diabète, d’où la nécessité deporter une attention spéciale à sa santé buc-codentaire.

En quoi l’hygiène buccodentaire est-elleimportante pour les diabétiques?Les complications qu’amène le diabète peu-vent avoir une incidence sur la santé bucco-dentaire d’une personne diabétique.* La parodontose (maladie des gencives) a

tendance à se développer plus facilement etde façon plus sévère chez les diabétiques, enraison de la mauvaise circulation du sang.

* La sécheresse buccale causée par le diabèteaccroît le risque d’avoir des caries et desinfections fongiques.

* Les infections buccales causées par la paro-dontose font augmenter le taux de sucredans le sang et influent sur les besoins eninsuline.

Quels sont les signes avant-coureurs de laparodontose (maladie des gencives)?La parondotose se développe souvent lente-ment, sans causer de douleur. Elle est en faitla principale cause de perte des dents chez les

adultes. Voici quelques-uns des signes avant-coureurs que les diabétiques devraient sur-veiller :* Mauvaise haleine en permanence ou mau-

vais goût dans la bouche* Gencives rouges et/ou enflées* Saignements aux gencives au moment du

brossage des dents ou du passage de la soiedentaire

* Partie de gencive qui se détache d’une oude plusieurs dents

* Pus qui sort des gencives lorsqu’on appuiedessus

* Douleur aux dents ou dents qui devien-nent lâches

Que peuvent faire les diabétiques pourprévenir les problèmes de gencives?Pour maintenir un style de vie sain et pourréduire le risque de développer une maladiedes gencives, voici quelques conseils d’hy-giène buccodentaire suggérés parl’Association dentaire canadienne, conseilsqui sont tout à fait indiqués pour les person-nes diabétiques :* Brossez-vous correctement les dents avec

une brosse à dents à soies souples etpassez-vous la soie dentaire tous les jours.Nettoyez aussi votre dentier (ou partiel)tous les jours.

* Examinez régulièrement vos gencives enportant une attention aux signesprécurseurs de parodontose (voir ci-

dessus) – et rapportez tout signe du genreà votre dentiste.

* Pour éviter d’avoir la bouche sèche,mâchez de la gomme sans sucre et buvezbeaucoup d’eau.

* Évitez de fumer ou cessez de fumer. Nonseulement le tabac affecte la circulationsanguine mais il est aussi une causemajeure de perte des dents à cause de laparodontose qu’il entraîne. De plus, letabac peut mener à d’autres problèmes desanté encore plus graves, par exemple lecancer buccal ou le cancer des poumons.

* Faites régulièrement examiner vos dents etvos gencives par votre dentiste, pourdétecter et prévenir les maladies parodon-tales. Seul un ou une dentiste a la forma-tion, les compétences et l’expertise pourdéterminer vos besoins en matière de soinsbuccodentaires ainsi que la façon deremédier à vos problèmes.

Pour en apprendre davantage sur la façondont le diabète peut affecter votre santé, par-ticulièrement votre santé buccodentaire, par-lez à votre dentiste. Et rappelez-vous qu’unsourire sain est un élément important d’unevie saine et agréable!

La santé buccodentaire – pour vivre ensanté.

Hygiène buccodentaire et diabète

Est-il vrai que les diabétiques sont trois fois plus1 susceptibles d’avoir la maladie des gencives? OUI2

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2 Pour plus de renseignements sur la maladie des gencives, voir le coupon inclus dans l’embal-lage-échantillon pour professionnels du Guide canadien sur le diabète.

†La gingivite se manifeste par l’inflammation mineure et le saignement des gencives.††Étude de marché indépendante conservée dans les dossiers de Colgate-Palmolive. Colgate : Le choix des dentistes et des hygiénistes dentaires††

Le poisson est un excellent choixLe poisson est un aliment de choix pour les personnes souffrant de diabète. En votre qualité d’éducateur en diabète, vousapprécierez sûrement savoir que les produits de poisson surgelés High Liner sont sans gras trans, qu’ils affichent une faibleteneur en lipides saturés et qu’ils ne contiennent pas d’huiles hydrogénées ajoutées.

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Un régime alimentaire qui comprend des aliments moins gras comme le poisson peut également aider les diabétiques àperdre du poids et à gérer leur maladie.

Des choix avisés de grasConsommer moins de gras, surtout moins de lipides saturés (gras animal) et de gras trans, est l’un des meilleurs servicesqu’un diabétique peut rendre à sa santé. Cela dit, les lipides monoinsaturés et polyinsaturés sont bons pour la santé.

L’un des lipides polyinsaturés bénéfiques, l’acide gras oméga-3, est présent dans toutes les espèces de poisson. La teneuren oméga-3 est cependant plus élevée dans les poissons plus gras, tels que le saumon, le maquereau et le hareng, et plusfaible dans les poissons maigres comme la morue, l’aiglefin et la sole.

Selon l’Association canadienne du diabète : « Les acides gras oméga-3 auraient des effets bénéfiques sur les lipidessanguins appelés triglycérides du sérum. Les poissons comme le saumon et le maquereau sont riches en acides grasoméga-3 et il faudrait en manger au moins une fois par semaine. »

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Comment je suis passée au Lantuspar Sheila Walker, RD, Med, CDE, Diététiste clinique

C’est avec autant de joie que de nervositéque je suis passée au Lantus au mois demars dernier. Après avoir vécu 37 ans avecle diabète de type 1, je savais que j’allaisbientôt voir un plus grand nombre depatients intéressés à passer au Lantuslorsque que ce type d’insuline deviendraitdisponible au Canada. Je travaille commediététiste clinique dans un programme d’é-ducation sur le diabète à Toronto. Je con-trôlais raisonnablement bien mon diabète(ma HbA1c est normale) à l’aide d’unrégime d’Ultralente deux fois par jour etd’Humalog aux repas. Une vérité fonda-mentale accompagne le diabète de type 1 :si tout est raisonnablement bien contrôlé,on est réticent à faire des changements. J’aiappris, depuis, que l’absorption d’Ultra-lente peut varier énormément d’une injec-tion à l’autre, jusqu’à 50 %, et je savais queje devinais toujours un peu la dose de moninjection d’Ultralente le soir. J’ai toujoursutilisé des doses « de correction » pour tenirma glycémie à un niveau aussi normal quepossible. Il m’a fallu beaucoup de temps etd’énergie pour parvenir à un contrôlesolide de ma glycémie, et j’ai toujours cruque ça ne devrait jamais être aussi difficile,surtout avec mes connaissances de l’alimen-tation. Mon contrôle glycémique a étéébranlé par la baisse de la glycémie aprèsl’exercice et par le rebond hypergly-cémique. Mon spécialiste, qui connaissaitpar expérience le Lantus, a décrit ce typed’insuline comme la « pompe du pauvre »,estimant que le Lantus m’aiderait à repren-dre le contrôle. J’étais prête et décidée à enfaire l’essai.

Pour commencer à faire la transition auLantus, j’ai visité le site Lantus.com. Lestémoignages de patients étaient convain-cants, mais le site ne renfermait aucuneinstruction à suivre pour faire la transition.J’ai ensuite examiné la monographie duproduit, qui décrit la formation de « micro-

précipités » après l’injection de Lantus, cequi donne lieu à une concentrationrelativement constante d’insuline sur unepériode de 24 heures, sans pic d’actionprononcé. Aujourd’hui, lorsque je décris leLantus à mes patients, j’explique que c’estcomme un mince filet d’insuline « de fond »qui agit un peu comme une pompe àinsuline. Une étude portant sur despatients diabétiques de type 1 a révélé quele temps médian qui s’écoule entre lemoment où l’injection de Lantus estdonnée et la fin de l’effet pharmacologiqueétait de 24 heures (durée : 10,8 à plus de 24heures). Plus la durée d’action est longue,plus il est possible de réduire la fréquencedes injections d’insuline à une fois par jour.Cette durée peut varier d’une personne àl’autre et chez la même personne, d’une foisà l’autre.

Mon spécialiste m’a suggéré de commencerpar une dose le matin de seulement 80 %du total quotidien combiné de dosesd’Ultralente (c’est-à-dire 18 unités). J’aichoisi de commencer par une dose de 16unités, par prudence. J’ai surveillé maglycémie au cours des 3 jours qui ont suiviet j’ai constaté que je la contrôlais bien le

jour, mais pas la nuit (taux à jeun dans lesdeux chiffres). Au cours des deux semainessuivantes, j’ai augmenté la dose à 18, puis20, puis 22 unités, sans amélioration de maglycémie la nuit. Ma glycémie était encorebien contrôlée le jour mais se détériorait lanuit malgré l’augmentation de la dosed’insuline. J’ai eu la bonne idée de répartirla dose, et j’ai choisi de prendre 12 unités lematin et 6 unités le soir. Dans les 24 heuresqui ont suivi, j’ai réussi à bien contrôler maglycémie le jour et la nuit. Depuis, j’airajusté les doses à 10 unités le matin et 6unités 12 heures plus tard.

Voici comment ma dose totale est répartie :

1. Dose basale de 10 et de 6 unités, à 12 heures d’intervalle (total=16 unités ou 60 % de la dose totale).

2. Dose bolus suivante : 2-3 unités au petitdéjeuner, 2-4 unités au dîner, 5-6- unitésau souper (total=10-13 unités ou 40 % de la dose totale).

Ces dosages représentent un total d’environ0,5 unités/kg de poids corporel, ce qui esttrès convenable pour le diabète de type 1.J’accorde toujours un peu de temps

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d’attente entre la prise d’insuline aux repaset les repas, dépendant de ma glycémie. Parexemple, si ma glycémie est à 10, j’attendsune demi-heure. Je prends une unitéd’Humalog par 15 g de glucides à chaquerepas.

Voilà maintenant 8 mois que je prends l’in-suline Lantus et j’y vois beaucoup d’avan-tages, y compris les suivants :

1. Moins d’hypoglycémie, surtout la nuit– Cela m’est arrivé une fois en 8 mois,comparé à 2 ou 3 fois par mois aupar-avant.

2. Rebond hyperglycémique moinsprononcé – Par le passé, je ressentaispendant à peu près 3 jours les effets durebond hyperglycémique après unechute de la glycémie. Avec le Lantus,ma glycémie peut monter jusqu’à 11après une baisse, mais les effets durebond sont de très courte durée, etsont parfois même complètementabsents.

3. Pas besoin de collations – Les colla-tions sont tout à fait facultatives. Ilfaut mesurer la glycémie et prendre ladose convenable d’Humalog/Novorapid (je prends une unité par 15grammes de glucides et une dose decorrection d’une unité par 3 mmol deniveau de glucose lorsque je dépassemes objectifs glycémiques. Si ma gly-cémie est à 9 et si je prévois mangerune petite banane comme collation, jeprends 2 unités et j’attends environ 25minutes avant de prendre ma colla-tion. Il est également important de nepas prendre d’insuline supplémentairetrop tôt avant la dernière dose. Après 2heures, environ 70 % de l’insuline aété utilisée. Pour ce qui est de la colla-tion au coucher, je prends une colla-tion seulement si ma glycémie se situeau-dessous de 5,5. En général, je peuxaller au lit avec une glycémie de 6 etme réveiller avec une glycémie de 6. Sima glycémie est de 9 au coucher, jeprends une unité d’Humalog. Autrefait à souligner, mon poids corporel n’a

pas changé depuis que j’ai commencéà prendre du Lantus.

4. Exercice – Les effets de l’exercice sontplus prévisibles. En général, je mesuretoujours ma glycémie avant de faire del’exercice pour déterminer si j’aibesoin d’une collation. Si ma glycémieest à 6, je mange environ 20 grammesde glucides pour stabiliser ma glycémiependant une séance d’exercice augymnase (30 minutes d’exercicescardiovasculaires et 10 minutes depoids et altères). Si ma glycémie est à9, je prends de 5 à 10 grammes deglucides vers la fin de mes exercices. Laplupart du temps, ces stratégiesmarchent bien. Si je fais de l’exerciceimmédiatement après un repas, jeréduis la quantité d’insuline au repasde 75 à 100 %. Par exemple, si ma gly-cémie est à 8, je prends seulement uneunité d’Humalog avant le dîner plutôtque 4.

5. Meilleure qualité de vie – L’insulineLantus permet de maîtriser la glycémiebeaucoup plus facilement que les insu-lines plus anciennes, si bien que votrevie devient moins compliquée. Vousdevez quand même travailler fort, maisles résultats sont supérieurs. Je n’aijamais eu de problème à me donner demultiples injections et à vérifier maglycémie plusieurs fois par jour. LeLantus aide à parvenir à un contrôlepresque normal la plupart du temps.

Le Lantus peut également être injectéà différents sites (abdomen, cuisse,bras), sans que cela n’affecte le con-trôle de la glycémie. Il convient desouligner que le Lantus ne peut pasêtre mélangé avec d’autres insulines etqu’il n’est pas disponible en styloinjecteur. Pour moi, cela ne présentepas d’inconvénient. Le Lantus est uneinsuline plus coûteuse (à peu près 65 $la bouteille, comparé à 30 $ pour unefiole de NPH en Ontario) et n’est pascouvert par le Programme de médica-ments de l’Ontario.

6. Contrôle optimal – Ma HbA1c estrestée la même, mais surtout, maglycémie est mieux contrôlée, lesbaisses sont moins fréquentes et je n’aipas besoin d’autant de doses decorrection.

Le plus difficile pendant la transition est dedéterminer la dose basale optimale, ce quiexige une surveillance intense pendantquelques semaines. Certains de mespatients ont atteint une glycémie presquenormale dans une période de 24 à 48heures à l’aide d’une injection de Lantuspar jour. D’autres y sont arrivés en répar-tissant la dose. Il est essentiel d’avoir uneconnaissance poussée des glucides. Pourcela, l’ouvrage « Beyond the Basics » publiépar l’Association canadienne du diabète etl’étiquetage obligatoire sont d’une aideprécieuse pour obtenir des renseignementsexacts sur les glucides.

BIO DE L’AUTEURE

Sheila Walker est diététiste clinique au Sunnybrook and Women’s College HealthScience Centre de Toronto. Elle aide maintenant 3 ou 4 personnes par mois àpasser à l’insuline Lantus. On peut rejoindre Sheila par courriel à l’[email protected].

La revue Info diabète estpubliée tous les trimestres parSampling Canada pour êtreincluse dans l’emballage-échantillon pour professionnelsdu Guide canadien sur lediabète.

Veuillez adresser toutecorrespondance à :

Alan DonaldsonPrésident & éditeurGuide canadien sur le diabète33, avenue WheelerToronto (Ontario)M4L 3V3

Tél : 416.690.4871Téléc : 416.690.3553

[email protected]

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