JUIN 2014

LE MAGAZINE DU PÔLE UNIVERSITAIRE LÉONARD DE VINCI

NICOLAS VIVIES Préparez-vous au

décollage ! Direction la Stratupsphère.

rendez-vous page 4

Pour clôturer cette année, vous saurez tout sur les opéra-tions marketing du géant Suédois IKEA, puis vous découvri-rez quelques conseils pour parfaire votre bronzage durant l’été. Enfin, nous par-tirons à la rencontre d’un des fondateurs d’une pépinière fort prometteuse ! On ne vous en dit pas plus, vos rubriques pré-férées se trouvent à seulement quelques clics !

Ne vous inquiétez pas nous revenons dès le mois de septembre avec plein de nou-veautés et peut-être même que l’on vous réservera quelques surprises durant l’été...

En attendant por-tez-vous bien et pro-fitez pleinement de ces deux mois de va-cances bien méritées !

Enjoy !

EDITORIAL

INTERPÔLE JUIN 2014

> PAGE 4 : INTERVIEW

> PAGE 8 : PAGES EMLV

> PAGE 10 : PAGES IIM

> PAGE 12 : PAGES ESILV

> PAGE 14 : PAGES SPORT

> PAGE 16 : UN PETIT COUCOU DE...

> PAGE 18 : LA SÉLECTION INSTAGRAMINTERVIEW STRATUPRetrouvez pages 4 et 5 l’interview

d’un ancien pas comme les autres

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EST-IL POSSIBLE DE BOULEVERSER LES PRATIQUES D'EN-SEIGNEMENT ?

LA MAJEURE "NOU-VELLES ENERGIES".

La WWDC 2014.IIMEMLV ESILV8 1210

Crédits photo : PôletechIllustration : Fabien Grandvalet

PÔLE

UNIVERSITAIRE

LÉONARD DE

VINCI

INTERPÔLE

> Bonjour Nicolas ! Tu es co-fondateur du projet Strat Up, raconte-nous ton parcours !

Bonjour Interpôle ! Je me présente je suis Nicolas Vivies, je suis un ancien étudiant de l’EMLV au Pôle Léonard de Vinci. J’ai étudié e-business en master 2. Après mon parcours scolaire j’ai été embauché chez Omnicom media group en tant que consultant digital pour plu-sieurs marques. En parallèle j’ai monté le concept Stratup avec trois associés.

> Comment ce projet est-il né ?

J’ai toujours été intéressé par le mi-lieu entrepreneurial. J’ai des membres de ma famille ainsi que des membres de mon entourage qui ont monté leurs boites. Ce milieu m’a toujours fasciné, et lorsque j’étais encore au pôle j’ai décidé de monter un réseau de networking pour les entrepreneurs permettant de mettre en relation les étudiants qui souhaitent monter leurs projets et les entrepre-neurs qui l’ont déjà fait. Faute de temps et de tout ce qui concerne les compétences techniques, pour ce qui est de monter le site par exemple, j’ai dû quelque peu abandonner mon idée jusqu’au moment ou une de mes associées Charlotte Vigné m’a proposé de m’associer à son pro-jet qui était identique mais a une plus grande échelle : plus centré sur le pôle, mais au niveau national. Donc j’ai rejoint le projet et nous avons lancé Stratup.net.

> Quel est le concept de Stratup ?

Le concept est assez large, nous propo-sons plusieurs choses. Premièrement il y a le blog ou nous relayons l’actuali-té des entrepreneurs via des interviews, via des news, via toute la politique qui est liée à l’entreprenariat. Nous co-or-ganisations chaque mois des séances de speed-consulting ou il y a plusieurs tables et les start up tournent pour avoir des conseils auprès d’experts. Et bien sûr la stratupsphère qui est une pépinière qui commence cette année.

> Est-ce que tu peux nous dire ce qu’est une pépinière et nous en parler un petit peu plus ?

Une pépinière est une structure qui pro-pose des bureaux pour une entreprise. C’est-à-dire que nous allons proposer au PME, aux porteurs de projets, des bureaux pour qu’ils se posent et développent leurs projets tranquillement. Notre différen-ciation par rapport aux autres pépinières et aux incubateurs est que l’on propose en plus des bureaux, des logements et tout

ça gratuit pendant un an. Ce qui fait que l’on permet vraiment au PME et porteurs de projets de pouvoir développer leurs projets en toute tranquillité sans avoir les charges d’un bureau et d’un loyer. > Avec qui travailles-tu ? Comment sont répartis les rôles au sein de l’équipe ?

J’ai trois associés, donc Charlotte Vigné avec qui je me suis associé au début qui s’occupe de toute la partie création du site, design et identité visuelle. Elle a beaucoup travaillé sur tout ce qui est logo et communication off et on-line. C’était vraiment super de travailler avec elle en communication. Il y a aussi Guillaume qui s’occupe de toute la partie partena-riat et qui est un peu aussi le leader des trois projets que j’ai cité. Et Garry qui est le trésorier de l’association. Personnelle-ment je m’occupe beaucoup de la com-munication, je vais beaucoup sur le ter-rain, tout ce qui est apéro-entrepreneurs, salons… ce qui est assez sympa. Je m’oc-cupe aussi du community management, développement de l’audience du site et optimisation du référencement.

> PAR ESTELLE LAUTRETTEINTERVIEW STRATUP

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> Comment faites-vous pour faire connaître votre association ?

Nous faisons tout pour faire connaître notre association. Nous essayons vrai-ment d’aller sur tout ce qui concerne l’entreprenariat. Nous avons notamment fait le salon de l’e-commerce pour pro-poser la pépinière stratupshère. Nous avons reçu beaucoup de retours positifs ce qui nous a rebooster pour aller encore plus loin et nous sommes vraiment dans une bonne « vibe ».

> Comment générez-vous des bénéfices ?

Nous sommes une association, donc on ne génère pas de bénéfices. Nous sommes financés par la mairie de la Fer-té-Bernard qui nous donne les murs de la pépinière. Nous bénéficions de toute l’expérience humaine que représente ce projet. Nous rencontrons des gens qui ont développé du projet, nous rencon-trons des grands noms du e-commerce comme les créateurs du Kiss Kiss Bank Bank. Cela nous enrichit et personnelle-ment si c’était à refaire je le referais.

> Existe-t-il déjà des structures simi-laires ?Madiness propose la même chose que

notre site stratup.net. Ensuite pour ce qui est de la stratupshère et de tout ce qui est incubateur et pépinière il y a plein de structures à Paris et dans toutes les régions mais notre offre, je ne pense pas qu’elle existe encore en France ni à l’étranger. Nous proposons les locaux et le logement pendant un an gratuitement, nous proposons d’autres services via nos parrains et nos partenaires et c’est vrai-ment un package assez solide que nous avons mis en place, on espère que ça va bien se lancer !

> Quels conseils donnerais-tu à quelqu’un qui voudrait se lancer

De se lancer ! Aujourd’hui les gens ont peur de se lancer, je l’ai vu via les ar-ticles que j’ai écrits, comparé aux Etats-Unis où l’esprit de startup est vraiment développé. En France il y a beaucoup de gens qui ont un projet en tête mais qui ne veulent pas se lancer par peur d’échouer tout simplement. C’est quelque chose qui n’existe pas outre manche car les gens se disent, je me lance, si j’échoue ce n’est pas grave car je vais pouvoir rebondir et mieux faire. C’est un esprit que nous n’avons pas en France et c’est vraiment dommage car je pense que nous passons à côté de beaucoup de beaux projets. Lancez-vous ! Tout simplement.

> Quels sont vos projets pour la suite ?

Stratup.net est en train de se dévelop-per, nous cherchons des rédacteurs d’ailleurs si vous souhaitez venir pas de soucis ! Nous cherchons des rédacteurs pour écrire des articles, aller aux salons, concours et autres évènements. Parce que nous les fondateurs de base nous sommes vraiment en manque de temps, on développe pleins de projets comme les speed consulting que l’on co-organise déjà tous les mois avec notre structure, il y a la pépinière que nous sommes en train de monter ou il y a de la recherche de partenariat, comprenant la recherche d’écoles partenaires ce qui prend beau-coup de temps ! Donc nous essayons vraiment de chercher des rédacteurs en ce moment pour stratup.net.

INTERVIEW

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EMLV

A l’heure actuelle, l’apport magistral (la leçon) venant des professeurs est vu en classe encore et encore, pour ensuite être travaillé à la maison par le biais d’exer-cices et revu en cours lors de la correction d’exercices.Cela peut vous sembler très lourd à digérer, surtout lorsque la matière ne vous pas-sionne pas particulièrement. En effet, les leçons sont souvent pleines de notions complexes à intégrer, de points sur lesquels vous apprécieriez vous arrêter plus en détail, mais les pratiques d’enseignement font que, chaque élève ne peut pas forcé-ment être aidé au cas par cas essentiellement par manque de temps. De ce fait, il est parfois compliqué de rester motivé et de ne pas décrocher…

EMLV

Sincèrement, combien de fois vous êtes-vous demandés ce que vous faisiez au sein de cette classe, de ce cours, de cette matière et même de ce cursus ? Avouez qu’assez souvent vous rêvassez, et que lorsque vient la fin d’une jour-née interminable de cours vous êtes les plus heureux du monde, non ?

EST-IL POSSIBLE DE BOULEVERSER LES PRATIQUES D'ENSEIGNEMENT ?

> PAR MANON SOIHET

En revanche, cette nouvelle pratique semble être difficile à mettre en place car comme dit auparavant il faut une certaine autonomie de la part des étudiants. Or, ces derniers ayant été « maternés » depuis leur plus jeune âge et agissant avec des automatismes certains, il demeure compliqué de changer les habitudes. A l’heure actuelle, en France, la pédagogie inversée se voit surtout instituée dans les écoles primaires, mais il faut savoir que dans certains pays d’Europe comme le Da-nemark, cette méthode est utilisée au sein des études supérieures, et elle ravit plus d’un étudiant !

La pédagogie inversée repose donc sur un transfert de l’information: tout d’abord l’enseignant communique le savoir en donnant des pistes de réflexion, et ensuite l’élève doit être capable de l’assimiler par ses propres moyens et de le réinvestir.

Mais avez-vous entendu parler de la pédagogie inversée ? En effet, dans la pédago-gie inversée ou classe inversée, l’élève étudie d’abord seul la notion qu’il découvre par lui-même à l’aide d’outils fournis par l’enseignant - vidéos, podcast d’émissions, tutoriels, diaporamas, fichiers PDF, sites internet... L’élève est donc censé arriver pré-paré à son cours avec une multitude de questions. Le cours devient alors un réel lieu d’échange d’idées et de partage d’informations. Le professeur n’apparaît plus comme étant cette personne terrifiante qui va venir hanter notre journée mais bel et bien la personne qui va d’abord nous communiquer le savoir.

Cette pédagogie inversée permet de rendre un cours beaucoup plus ludique qu’il ne l’est. En effet, même si l’étudiant doit acquérir une certaine autonomie et doit ap-prendre à se gérer seul, il sera plus motivé car le fait qu’il fasse ses recherches lui-même, qu’il se base sur les contenus qu’il veut, lui permet de se sentir impliqué. On lui demande enfin son avis, il sera alors plus aisé pour lui de participer, de prendre la parole, et d’intervenir lors de ses cours.

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IIMLA WWDC 2014

> PAR RODOLPHE PERUZZA

IIMPour résumer tout ça, énumérons simplement les nouveautés sans en faire des caisses ! Un Centre de notifications à la Dashboard, un Spotlight connecté, un Dropbox intégré «iCloud Drive», un Mail qui devrait bien tourner rempli de nouveautés, Safari relifté comme sur iOS, et, ENFIN, AirDrop qui fonctionne entre iOS et OS X ! Mais la keynote ne s’arrête pas là...

Bref, que des bonnes nouvelles ! Pour les plus chanceux (les devs), la bêta est accessible dés maintenant. Pour nous autres simple utilisateurs, il va évidemment falloir attendre l’automne ! Mais soyons patients, ça vaut vraiment le coup.

Une nouvelle interface qui se rapproche d’iOS 7 et un changement de police très attendu ! Lucida Grande laisse place à une petite nouvelle, et ce n’est pas pour nous déplaire !Toutes les applications intégrées à OS X adoptent cette nouvelle esthétique, qui mi-nimise la taille des barres d’outils et maximise la place laissée au contenu. Comme sur iOS, la transparence est mise à contribution pour accentuer le sens de « profon-deur » du système.

OS X YOSEMITE

« Enfin ! » : c’est ce qu’on est tenté de dire à l’issue de ce keynote de la WWDC 2014, l’un des plus longs et des plus riches de ces dernières années. OS X Yo-semite et iOS 8 sont des mises à jour véritablement majeures qui achèvent la transition d’Apple vers le cloud et effacent les principaux points de frictions de ces deux systèmes.

Pareil, on va pas en faire des tonnes. Cette WWDC mériterait un numéro entier...

Pour résumer :

Au même titre que OS X, Safari a été relifté version Mac ! Le nou-veau clavier Quicktype lui, s’ins-pire fortement de BlackBerry.Sinon, on y trouve le mini-Fin-der in-app (pratique), un nou-veau module de Family Sharing, l’application Photos entièrement connectée, Messages qui prend également un sacré coup et pro-pose des fonctions à la Snapchat.On oublie pas l’application Mail qui s’inspire énormément du fonctionnement de Mailbox, des notifications qui sont désormais interactives, nos contacts favoris qui sont désormais accessibles via le double clic, et bien sur, on notera le grand, le magnifique, Health.

iOS 8

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Un membre de la Redac’ ayant lui-même choisi cette majeure afin de fuir l’informa-tique et la finance, il partage ses impressions et dit être « agréablement surpris ». Les cours sont dispensés par des professeurs jeunes et dynamiques, passionnés par les enjeux énergétiques de demain et rapidement, les élèves aussi.

ESILV

Après un intensif semestre de beta test, Interpole est aujourd’hui en mesure de vous parler de la majeure « Nouvelle Energie ». Rappelons que cette majeure est offerte aux étudiants du pole seulement depuis janvier 2014, et vient donc s’ajouter aux 3 autres choix de majeures que sont la mécanique, l’informatique et la finance.

LA MAJEURE "NOUVELLES ENERGIES"> PAR ARTHUR ÉLIE & MÉLANIE JOURNÉ

> Ce qui vous attend en 4ème et 5ème année : Technologie pour la conversion de l’énergie, faisant office d’introduction et apportant toutes les bases concernant le domaine énergétique. L’automatique, matière contenant le plus de calculs, à base de mathématiques et d’un (tout petit peu) de programmation. Et en-fin la plus redoutée de toute, la thermodynamique. Pas si terrible après coup, voire même très intéressante !

> Ce qui vous attend en stage, et dans la vie professionnelle : Le nombre de métiers liés aux nouvelles énergies est immense. Un ingénieur peut aussi bien travailler dans le développement d’un nouveau moteur aux algues ou à l’eau de mer, comme il peut travailler la domotique (la maison intelligente). Les perspectives d’avenir sont donc très intéressantes. Nous rajouterons également que le domaine énergétique est en constante recherche de nouveaux techniciens et ingénieurs. C’est un métier d’avenir.

> En bref : Plus originale que la mécanique, autant d’avenir que l’informatique et moins ripoux que la finance, la majeure nouvelle énergie est très attractive. En plus, voyez le bon côté des choses, vous pourrez vous la raconter comme le titre exact de ce diplôme est : « Ingénieurs énergéticiens en capacité de gérer la transition éner-gétique»

ESILV

Plus d’informations sur le >> site de l’école <<

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SPORTDECOUVRE UN SPORT : L'ULTIMATE

SPORT

Ce mois-ci, nous allons fêter la première participation (le mois dernier) d’une équipe représentant le Pôle Léonard de Vinci aux Championnats de France d’Ultimate ! Mais est-ce que vous connaissez vraiment ce sport ? « C’est le sport avec un frisbee » Oui ! Mais pas que : découvrons ensemble !

En effet, l’ultimate se joue avec un disque : le frisbee. De manière générale, une par-tie d’ultimate oppose, sur gazon, 2 équipes de 7 joueurs. Simple à mettre en place, ce sport peut se jouer sur un terrain de hand ou même à la plage en 5vs5 (Je vous trouve déjà des bonnes idées pour occuper vos mois d’été). Le plus souvent, on y joue sur un terrain large de 37m opposant, en longueur, deux zones d’en-but (18mx37m) séparées par une zone de 64m. Chaque équipe à sa zone d’en-but à attaquer, et celle à défendre.

Le but du jeu est de marquer des points. Pour marquer un point, à travers un jeu de passes successives, il faut réceptionner le disque dans sa zone d’en but d’attaque. Bien évidemment, il y a des contraintes :Un joueur qui a le disque dans les mains a 10 secondes pour le renvoyer. Il peut le lancer dans n’importe quelle direction, mais il ne peut pas se l’envoyer à lui même. Il peut pivoter, mais il ne peut pas se déplacer. Sinon, son équipe perd la possession du frisbee. Attention, tout contact est sanctionné d’une faute.

Un match se termine en temps (2 mi-temps de 45 min) ou en points (17). Si, avant la fin du temps, une équipe arrive à 17 points, celle ci remporte la rencontre. Sinon, il faut atteindre le score le plus haut +2, dans la limite des 17 points !

Une équipe qui a le disque perd son « précieux » (à lire avec le voix de Gollum svp) dans 3 cas : Si les défenseurs interceptent le disque, si le disque tombe au sol ou si le disque sort des limites du terrain (même dans les mains d’un joueur).

Ce qui fait la particularité de ce sport, c’est qu’il n’y a pas d’arbitre. Ce sport est basé sur l’auto-arbitrage, et donc le fairplay. Très rares sont les actions litigeuses, c’est le défenseur le plus proche de l’attaquant qui compte les 10 secondes, ce sont les joueurs qui annoncent les fautes et s’ils ne sont pas tous d’accord, ils en discutent et redonnent le frisbee au dernier lanceur. Ce sport est donc un exemple de mentalité sportive, à l’image de l’importance du prix du meilleur ‘spirit’ à chaque compétition, dont certains autres sports pourraient peut être s’inspirer.

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UN PETIT COUCOU DE...

A l’occasion du dernier numéro de l’année, nous faisons étape au soleil. A quelques heures de Paris ou bien à l’autre bout du monde, il semble bien qu’il y ai de nombreuses opportunités à saisir. Finis l’Erasmus, bienvenue dans le monde du travail. Qui a dit que l’on allait s’ennuyer?

> PROPOS RECEUILLIS PAR CELIA DELBARD

Malte, une île étonnante.

Cette île, bien que petite par sa taille, regorge de charmes de par sa beauté, son climat idéal, et son histoire cultu-relle. Le style de vie méditer-ranéen fait que les habitants sont conviviaux, accueillants, ils aiment faire la fête et pro-fiter de la vie. D’ailleurs, un des gros point positif de mon séjour, la vie nocturne est MORTELLE ! Autre avantage, la vie de tous les jours est moins chère qu’en France (loyers, sorties, restaurants, etc.).De plus, réputée pour atti-rer de nombreux touristes et principalement de jeunes étudiants, je me suis forgé un réseau social composé de personnes d’origines diffé-rentes, ce qui fût une expé-rience très enrichissante. Je garde un super souvenir de ce stage et compte bien re-venir à Malte !

Coline, EMLV, > coline.leman@devinci.fr

UN PETIT COUCOU DE...A l’assaut des kangourous.

Qui n’a jamais rêvé de découvrir l’Australie, qui fait tant rêver les Français? Après 24h de vol, nous voilà dans le futur. Faire son stage à Sydney c’est découvrir un autre style de management et de nouvelles habitudes de consommation. On ne peut qu’être surpris par la diversité du paysage de la ville la plus peuplée d’Australie. Pendant vos Days off, adoptez l’Aussie style, un sushi roll à la main et choisissez votre desti-nation ; plages bondées de surfeurs, petites criques, forêt tropicale, désert, rencontre avec des kangourous et koala, centre d’affaire, China Town ou quartier Hipster ... Une fois que vous avez économisez assez d’argent, partez à la découverte de l’Océanie au volant de votre van et si vous avez le temps, n’oubliez pas de faire étape en Asie (Bali, Singapour ...) avant de prendre votre billet retour.Celia et Alexia, EMLV

Celia et Alexia, EMLV> celia.delbard@devinci.fr> alexia.orny@devinci.fr

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> PAR CÉLIA DELBARDLA SELECTION INSTAGRAM

Oraux, rapport de stage, compétitions sportives, challenge du monde des grandes écoles, heureusement que notre BDE préféré nous organise quelques soirées pour décompresser un peu. En somme, une fin d’année au PULV.

> PAGE 20 : LA CHRONIQUE CINÉMA

> PAGE 22 : #YOLOSWAG

> PAGE 24 : ARTS & CULTURE

> PAGE 26 : OH MY BUZZ !

> PAGE 28 : LA MINUTE MODE

> PAGE 30 : LES TIPS BEAUTÉ DE LYSOU

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Par Nawelle Alouani

L’été arrive et sa moisson de films aussi. Voici pour vous une sélection des films à ne pas manquer cet été. L’événement de l’été est sûrement le prochain Marvel, Les Gardiens de la Ga-laxie. Si vous aimez allier fun et action à la sauce super héros ne le loupez sous aucun prétexte ! Mais ne vous inquiétez pas car il y en aura pour tous les goûts. Les fans de castagnes et d’explosions seront ser-vis avec la sortie de Transformers 4. En continuant dans les suites, on retrouve-ra pour un troisième volet The Expen-dables et The Hunger Games qui ont récemment tourné quelques scènes à Ivry sur seine. La Planète des Singes 2 revient également sur grand écran dans une ambiance encore plus sombre. Les grands réalisateurs font aussi leur retour avec Jupiter Ascending des frères Wachowski (Matrix) qui nous signent un autre chef d’œuvre de science fiction. Quant à Christopher Nolan (The Dark Knight, Inception) son film Interstellar reste toujours aussi énigmatique mais promet d’être spectaculaire !

LA REVUE CINÉMALES FILMS À NE PAS MANQUER CET ÉTÉ

LA REVUE CINÉMA

Par Cyril Icekei

Le retour du roi des monstres ! Après un incroyable Pacifim Rim en Juin 2013, Godzilla arrive sur nos écrans après une campagne marketing omniprésente et...mensongère.

Ne vous attendez pas à retrouver Bryan Cranston (Breaking Bad, Malcolm) pen-dant plus de quelques minutes, les trai-lers diffusent une image proportionnelle à la durée de la présence de l’acteur dans le film.

Point négatif pour pratiquement tous les acteurs du film d’ailleurs, oscillants entre le mode “stone” et l’exagération complète (superbes grimaces pendant 2h de Ken Watanabe), les humains sont vraiment très mal représentés.

Mais tout n’est pas à jeter, les Kaiju sont là pour sauver le film ! Aussi bien God-zilla que les MUTO sont incroyablement bien représentés, les combats sont tita-nesques et offrent un beau spectacle.

En définitif, un film de monstres sym-pathique, mais bien loin de l’excellence d’un Pacific Rim.

GODZILLA

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STAY IN YOUR LANE, BITCH !YOLOSWAG

> PAR JONATHAN CHAMBERS

Ça t’étonne sûrement autant que moi, mais nous n’avons toujours pas abor-der le phénomène Cyrus. Alors que pourtant, elle en tient une sacrée couche. Tu l ‘as probablement découverte en tant qu’égérie d’Hanna Montana, il y a quelques années, mais cette période, franchement, on s’en tape. Alors que depuis qu’elle a commencé à twerker avec Molly ou se tripoter à poil sur une boule de démolition, là, c’est devenu bien plus intéressant.

Seulement voilà, son Bangers Tour, entamé le 2 mai dernier, est un échec total. Les places peinent à se vendre, et si tu t’es aperçu entre temps que, finalement, t’avais mieux à foutre de ta soirée que d’aller t’ambiancer à son concert, rêve pas, si tu récu-pères la moitié de ta mise, tu fais déjà partie des plus chanceux.

YOLOSWAGNon, le sexe ne vend plus. Ou, en tout cas, ça ne vend plus de musique, surtout pas celle de Miley. Lors de son concert au O2 Arena de Londres, dont une bonne partie des sièges est restée inoccupée, les quelques chanceux présents ont pu assister au pa-roxysme de la décadence humaine, en attendant de voir leurs premiers poils pousser.Un chien de 15 mètres de haut des lasers dans les yeux, un toboggan géant en forme de langue, des gamines qui dansent mal, des vidéos frisant le porno sur écran géant, et une Miley déchainée, tantôt en train de twerker sur un 4x4 doré, tantôt se tripotant la schneck dans un body « all-over weed ». Voilà comment résumer en deux lignes ce que tu aurais pu voir pour 200$. Oui, 200$.

Mais alors pourquoi ? Elle est revenue en force avec son titre We can’t stop, en pre-nant comme arme ultime le twerk, qui ne cesse de diviser depuis. On a ensuite pu la voir chialer à poil sur sa grosse boule ou lecher avec passion un vieux marteau. Et pour couronner le tout, comme si on n’avait pas encore bien compris qu’elle était plus creuse qu’une coquille vide, elle remet le couvert en se tripotant sous des draps, une caméra DV à la main, ou en faisant couler de l’eau sur sa face. En somme, elle enfonce des portes ouvertes, et n’a visiblement pas l’intention de s’arrêter en si bon chemin. La sortie de son album merdique n’était que la goutte d’eau, et son public est lassé.

Son monde utopique où la drogue et le cul règnent en maitre pendant que narcissisme et enfantillage cohabitent en parfaite harmonie n’est visiblement pas la came de tout le monde. Merci Miley, mais on repassera.

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> PAR EMMA ROMEU

ARTS & CULTURELE LOUVRE DES SABLES

Tu as forcément déjà mis le pied au musée du Louvre (oui, à Paris), que ce soit quand tu étais dans le ventre de ta mère, en sortie scolaire ou encore de ton plein gré (tu es fou !).Mais as-tu entendu parler de celui qui a prévu son ouverture en 2015 à Abu Dhabi ?

En attendant de pouvoir te ruer dans un avion en direction des Emirats Arabes Unis pour visiter ce magnifique musée, il y a une exposition, « Naissance d’un musée » qui donne un aperçu des collections dont regorge le Louvre des sables. On y trouve de tout, ce qui reflète la nature pluridisciplinaire de l’art (sculpture, peinture…) et propose un éclairage sur le sens des œuvres ainsi que sur les questions universelles soulevées, les influences artistiques, la diffusion des idées et la relation entre ce qu’imagine, ce que crée l’artiste et la réalité.De quoi devenir incollable sur l’histoire de l’art !

Mais quel est l’intérêt vas-tu me dire d’aller voir cette exposition à Triffouillis-Les-Se-ringues alors que tu peux attendre l’ouverture officielle du musée pour tout voir ?Héhéhé ! Bien pensé, mais il existe une partie de l’exposition à Paris bien sûr ! Alors ne perds pas de temps et vas jeter un coup d’oeil à cette magnifique collection toute sablée qui donnera un côté exotique à notre charmant Louvre de Paris !

ARTS & CULTURE

Tu vois la super, mega, énorme soucoupe volante sur la photo ? C’est à ça que ressemble le Louvre, de quoi donner un bon coup de modernité à nos chères collections si bien conservées.

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Avec son slogan « IKEA, bien plus qu’un marchand de meubles ! », le géant Suédois est devenu depuis quelques années un spécialiste du Street marketing, et cela, en menant des opérations toutes plus créatives les unes que les autres. L’occasion pour nous d’en décrypter quelque unes.

> PAR CÉLIA DELBARD

OH MY BUZZLE BUZZ VENU DU GRAND NORD

Passé maître dans l’art du Marketing AlternatifSi je vous dis «  IKEA  », vous me répondrez sûrement  : occupation du dimanche, meubles, oui mais meubles en kit qui se résument généralement à un casse tête chinois géant. Si l’expansion d’IKEA est aujourd’hui remarquable, celle-ci ne s’est pas faite sans l’aide d’opérations marketing d’envergure. En France et à l’étranger, la firme a de nombreuses fois détourné le mobilier urbain et cela de façon toujours plus originale.

Des opérations à tailles humaines En Octobre dernier, c’est sur le parvis de la Gare St Lazare que les Franciliens se rendant au travail ont eu la surprise de découvrir une salle de bain sur un panneau publicitaire vivant ou des comédiens y effectuaient les gestes du quotidien. Une ins-tallation sans précédent qui n’est pas sans rappeler l’opération « L’appart’ IKEA – 54m2 d’idées à vivre ». Un secret story à la pâte IKEA qui avait été mis en place à la station Auber ou les passants parisiens avaient pu observer la vie de 5 personnes en collocation pendant 6 jours. L’objectif étant pour ces deux opérations de démontrer la capacité de la firme à proposer des solutions d’aménagement dans les plus petits espaces.

OH MY BUZZ

L’art de la publicité réellePourquoi admirer un canapé sur une affiche alors qu’on pourrait tout simplement le tester sans se déplacer en magasin ? Ainsi, depuis de nombreuses années IKEA prend l’habitude d’installer des canapés à la place des bancs de quelques lignes de métro. La compagnie a même trouvé la solution à l’attente interminable avant les grands départs en vacances, en installant un salon VIP à l’aéroport de Roissy. IKEA a ainsi permis à quelques centaines de passager de se relaxer allongés sur un lit ou vautrés sur un canapé regardant ainsi la télé ou en feuilletant un bouquin.

Le buzz n’a pas de frontièresDans le cadre de sa politique d’internationalisation, le géant du meuble Suédois a encore une fois frappé fort le mois dernier en accaparant les rames d’un métro de la capitale Japonaise. Pendant que certains étaient serrés comme des sardines dans le métro parisien, d’autres se faisaient servir le petit déjeuner dans un décor à l’image d’IKEA entre tapis pop, tables lack et luminaires. Basé sur deux principes : la stan-dardisation de son offre et l’adaptation aux coutumes locales, IKEA continue son pari. À l’image de l’opération menée en 2010 sur la célèbre plage Australienne de Bondi, ou une trentaine de bibliothèques « Billy » ont été disposées à même le sable. Installation insolite qui a séduit les centaines de surfeurs et plagistes de la côte.

Créée à l’aube de l’après guerre, la firme suédoise s’est d’abord imposée sur le sol Européen avant de séduire tour à tour les autres continents. L’une des clés de son succès grandissant n’est pas étrangère à ses opérations marketing qui ne cèssent de nous surprendre. Lancez vos paris, le prochain buzz se fera peut être à deux pas de chez vous.

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Alors tu peux choisir de mettre des mocassins, surtout ceux en daim, qu’ils soient beiges, noirs, bleus ou encore marrons, ils sont agréables à porter, légers et toujours chics. Avec un chino auquel tu peux faire un petit ourlet pour qu’on puisse admirer tes beaux poils de chevilles, tu seras beau avec un look soigné même sous 35°C.

LA MINUTE MODEÇA SENT L'ÉTÉ !

> PAR ADRIEN BRULÉ

Ça y est il fait beau, il fait chaud, il est temps de ranger les Moon boots et de laisser respirer tes paires de running (et accessoirement tes pieds) pour les remplacer par des petites chaussures d’été.

La mode n’a pas fini de se jouer de toi. Elle a créé les birkenstocks pour homme. Ce joyeux mélange de crocs, tongs et un soupçon de je-ne-sais-quoi. Sérieusement, si tu ne sais pas à quoi ça rassemble, ne fais pas l’effort de te renseigner. C’est top ten-dance dans la mode médicinale.Avec les birkenstocks tu ressembles à un infirmier qui transgresse les codes de l’élé-gance et du raffinement à la française. Mais après tout, lui, il est bien dans ses bas-kets et c’est peut être le principal !

LA MINUTE MODE

Les espadrilles sont aussi fortement recommandées pour la plage. Si jamais tu hé-sites entre les tongs, les spartiates ou même les crocs, il vaut mieux prendre des espadrilles et oublier les autres options ! Les tongs renvoient une image assez beauf, un peu comme dans le film Camping. Les spartiates ce ne sont vraiment pas ce qu’il y a de plus beau et puis là c’est n’est plus comparable à Camping mais à 300 ! Les crocs, non sérieux, je n’en parle même pas, tu veux ressembler à un Télétubbies ou quoi ?

Un dernier petit conseil, retire tes chaussures lorsque tu bronzes !

Sinon tu peux prendre des jolies chaussures « bateau » que j’affectionne tout parti-culièrement. Si tu en veux des vraies, des authentiques, va chez Sebago ! Elles sont faites en cuir gras pour que l’humidité soit absorbée, c’est d’ailleurs pour ça que tu n’es pas obligé de mettre des chaussettes avec. Avec ces chaussures, tout comme avec des Vans authentiques, tu mets un short, qu’il soit en jean, en lin ou en coton, tous les shorts sont les bienvenus. Depuis quelques années les shorts assez courts sont les plus en vogue mais ils ne plaisent pas à tout le monde, à toi de voir.

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LES TIPS BEAUTÉ DE LISOUX

Le beau temps est de retour ainsi que notre cher soleil qui nous avait tant manqué. Entre les cours vous n’avez qu’une seule envie c’est de sortir pour aller bronzer et vous avez raison, il faut en profiter pour reprendre quelques couleurs. Perso je trouve que ça nous ferait pas de mal ! Néanmoins, rester trop longtemps au soleil peut faire quelques dégâts. Qu’est ce qu’on peut faire ? A part mettre de la crème bien sûr… C’est ce que je me suis demandée et voilà ce que j’ai trouvé.

CHUT ! JE BRONZE ...> PAR ELYSA DZEUANG

LES TIPS BEAUTÉ DE LISOUXAprès avoir bien bronzé, peut-on faire en sorte de maintenir son bronzage ? La ré-ponse est oui ! Ce serait bête de le perdre après avoir fait tant « d’efforts » pour re-prendre des couleurs.

Reprenez les conseils ci-dessus, hydratez votre peau au maximum pour qu’elle ne pèle pas, utilisez un soin hydratant corps et visage ou une huile, faites vous un gom-mage et mangez du carotène. Vous pouvez également tricher un peu en utilisant un autobronzant, appliquez en sur votre corps puis refaite le une à deux fois par semaine.

Voici une recette qui permettra de garder votre bronzage :

Recette bonus : Prenez 3 carottes et passer les dans une centrifugeuse pour n’en garder que le jus. Faites chauffer 10 cl au bain marie d’huile de germe de blé et faites y fondre 5g de vaseline. Retirez du feu et mélangez avec le jus de carotte pour avoir un produit homogène. Laissez refroidir, cela deviendra une crème. Appliquez-la une fois par jour sur votre visage et le corps, votre bronzage restera intact !

Quelques conseils pour favoriser votre bronzage : > EXFOLIATION : C’est simple, tuer les cellules mortes pour exposer les plus jeunes. Cela permet de rendre à votre peau tout son éclat perdu et également un effet ten-seur à vos pores. Comment faire ? Après la douche, prenez une brosse en poils naturels et faites des mouvements circulaires sur votre peau. Ensuite, prenez un gant exfoliant (on peut en trouver en parapharmacie) ou un produit exfoliant contenant des perles, sucre, sel ou autres substance exfoliante naturelle et passez le sur votre peau humidifiée toujours en mouvement circulaire. Rincez bien et refaites le tous les 3 à 7 jours.

> HYDRATATION : Important pour redonner du tonus à votre peau. Il ne suffit pas seulement de mettre des crèmes mais il faut aussi boire beaucoup d’eau !

> ALIMENTATION : Pour renforcer vos protections naturelles, mangez du carotène ! Qu’est ce que c’est le carotène ? Ce sont des pigments présents dans les aliments qui se transforment en vitamine A. Il y en a énormément dans les carottes, le persil, les épinards, la mangue etc. En plus de cela, consommez de la vitamine E comme de l’huile de tournesol et germe de blé, cela aide également à protéger les cellules

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