Israël Actualités n°210

GRATUIT - Numéro 210 - Edition du Mercredi 2 Mai 2012 Journal Israélien en langue française

Mobilisons-nousVotons Sarkozy !

3L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 2 Mai 2012

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Il est du de voir de la communauté juive de se mobiliser au second tour de l’élection présidentielle

Les dés semblent déjà jetés suite au débat de l’entre deux tours de mercredi soir que nous ont offert les deux finalistes au poste de Prési-dent de la République. Le candidat choisi par une majorité importante de la communauté juive de France n’a semble-t-il pas réussi à prendre le pas sur son challenger, François Hollande, qui a su parfois, avec une certaine arrogance, garder le cap de ce qu’il avait au préalable orches-tré ? Mais le comble dans cette his-toire, c’est que nous sommes tom-bés dans des batailles de chiffres que l’un des candidats, Nicolas Sarkozy, connaissait parfaitement et que son challenger connaissait beaucoup moins ... quoi qu’il en soit, il faut que vous sachiez, après analyse, que si François Hollande devient le prochain Président de la république, celui-ci pourrait rester prés de 10 ans à la tête du pays car, en 2017, et cela, je vous le certifie, ce n’est pas de la langue de bois, nous aurons au second tour le front national où bien son équivalent en cas de défaite de Nicolas Sarkozy et d’explosion de l’UMP ... c’est pour cela que nous devons encore une fois nous mobiliser pour voter Nicolas SARKOZY ... après cela, advienne que pourra ...

Une chose encore, je tiens aussi à rassurer notre communauté. Fran-çois Hollande n’est pas un diable. Grâce à D...., notre communauté est bien intégrée et je ne peux imaginer une seconde que François Hollande puisse faire de la politique du com-

munautarisme au profit de telle ou telle communauté ... alors en cas de victoire de son camp, essayons de lui faire confiance s’il devenait le pro-chain président ...

Je tiens aussi à rendre hommage à une figure de la communauté qui nous a quitté. Notre ami Salomon Cohen zal, Frère de Jo Cohen que tout le monde connait à Belleville pour les services qu’il a rendus et qu’il rend toujours à la communauté et aux plus démunis. Son frère Salomon nous a quitté subi-tement dans la nuit de Mardi à Mer-credi ... un homme au cœur sensible qui a apporté beaucoup d’aide au per-sonnes âgées et toujours disponible ... il a toujours su défendre l’opprimé, pas seulement avec des mots mais avec des gestes et des actes au péril de sa vie contre des hordes antisé-mites ... Aujourd’hui, Salomon, je me rappelle quand je distribuais Israël Actualités et que tu étais toujours le premier à venir m’aider et à m’offrir un café ... Salomon, tu va nous man-quer et je présente à toute la famille, à sa femme et à ses enfants, en mon nom personnel et en celui de toute l’équipe d’Israël Actualités et de Jour J, nos plus sincères condoléances.

Que D... lui réserve une place de choix pour un homme comme lui qui a mis sa vie au service des plus démunis.

Salomon, tu était un vrai Tsadik ...

Alain Sayada


Les terroristes ne connaissent plus de limites. Ayant constaté que la grève de la faim pouvait aider à être libéré ou obtenir des droits, des centaines de terroristes empri-sonnés en Israël ont entamé depuis deux semaines une grève de la faim « jusqu’à satisfaction de leurs leur revendications ». On en viendrait presque à avoir pitié de ces brutes et oublier qu’il s’agit de barbares antisémites ayant tué des juifs, tenté de le faire ou coopéré avec des terroristes.

Ils sont malheureusement aidés dans leur lutte par l’organisation gau-chiste « médecins pour les Droits de l’Homme » qui accuse les services pénitentiaires « de ne rien faire pour venir en aide à ces prisonniers », mais qui a été étrangement silencieuse durant les cinq ans où Gilad Shalit a croupi dans les geôles du Hamas, sans tous les avantages dont jouissent les terroristes emprisonnés en Israël.

Sentant qu’il s’agit d’un sujet très sensible dans la « rue arabe pales-tinienne », le chef terroriste Abou Mazen menace désormais « de tout renverser s’il arrive quoi que ce soit ne serait-ce qu’à un seul des prison-niers», qui soit dit en passant, n’ont pas été obligés de s’abstenir de man-ger !

Abou Mazen comme à l’accoutumé utilise un langage pervers, accusant « Israël de tuer les détenus palesti-niens dans les prisons au moyen de conditions pénitentiaires inhumaines » et « qu’il allait saisir le Conseil de Sécurité ensemble avec le Hamas ». De son côté, le Jihad Islamique a me-nacé « de représailles sans limites au cas où l‘un de ses prisonniers venait à mourir ». Pour calmer les esprits, peut-être vaudrait-il mieux de leur re-donner télévision, internet, portables, études universitaires etc…

par Shraga Blum

Abou Mazen menace…

Selon des chiffres publiés par l’Or-ganisation Mondiale de la Santé (OMS) l’unité de Tsahal de Coordi-nation des Activités Gouvernemen-tales dans les Territoires répond de manière positive à plus de 90% des demandes de malades palestiniens qui souhaitent être soignés dans des hôpitaux israéliens.

Régulièrement, l’armée israé-lienne intervient en Judée-Samarie

pour sauver la vie de Palestiniens. Compte-tenu de l’avancée israélienne dans le domaine de la médecine et du manque de certaines spécialités ou matériels dans les hôpitaux pales-tiniens, il est très fréquent que des demandes de transferts dans ceux d’Israël depuis Gaza et la Judée-Sa-marie soient adressées à Tsahal.

Les données publiées par l’Organisa-tion Mondiale de la Santé en février

dernier mettent en évidence les ef-forts mis en œuvre à la fois par l’unité de Tsahal de Coordination des Acti-vités Gouvernementales dans les Ter-ritoires et du gouvernement israélien pour faciliter le passage des malades palestiniens de la bande de Gaza vers les hôpitaux israéliens.

Médecins de Tsahal Médecins de Tsahal D’après le rapport de l’OMS, 91,5% des requêtes de traitements dans les hôpitaux israéliens sont approuvées par les autorités israé-liennes. 7,2% des demandes sont par ailleurs en cours d’étude.

Comme le montrent ces statistiques, le gouvernement traite les urgences médicales avec beaucoup de sérieux et met tout en œuvre pour y apporter une réponse dans les plus brefs délais. Les frais de transfert sont supportés par plusieurs organisations, dont le ministère palestinien de la Santé, l’ONG “Physiciens pour les Droits de l’Homme” ou encore le Centre Pérès pour la Paix.

Armée de Défense d’Israël

Plus de 90% des demandes palestiniennes de transfert dans des hôpitaux israéliens approuvées (OMS)

Johann est né le 15 mars 1984 à Asnières. Il grandit près de son grand-père, un fan de boxe et ami du grand champion de Victor «Young» Perez, Il raconte donc à son petit fils le courage et la déter-mination de cet homme. Son image est présente dans le salon où Johann grandit. Quelques années passent, Johann commence le karaté, puis, du haut de ses 10 ans, son grand-père l’en mène dans une salle de boxe: celle d’André Zeitoun (ou Team Zeitoun ).

Il observe de grands champions tels que Jean-Charles Skarbowsky.

Plus le temps passe et plus sa passion pour ce sport devient une évidence.Il ne s’entraine pas juste il regarde et reproduit à la lettre les mouvements qu’il avait pu voir lors des entraine-ments , quelque temps plus tard il en-file une paire de gants et commence a s’entrainer , mais rien de sérieux. Après un combat qui la marqué Jo-hann est sur de lui il veux tous donner pour briller comme ses deux homme qu’il avait pu voir la veille, détermi-né . Il met un short et commence à vouloir s’entraîner sérieusement. Au début, cela n’est pas facile, mais il a été pris en main par André Zeitoun, qui voit en lui un espoir de succès. Il

ne lâche pas Johann progresse rapide-ment, puis rêve de combattre un jour.Pour s’améliorer et se retirer un peu, il part six mois en Thaïlande, où il découvre une nouvelle culture qui le passionne. Johann combat lors de son séjour, il remporte son 1er combat par ko. Il revient à Paris et commence à boxer. Johann s’entraine durement et cela se ressens sur le ring il gagne ses 14 premiers combats par KO. Il de-vient trois fois champion de France, il fait des guerres. Sur le ring il ne fait qu’avancer, met un rythme soute-nue et à une vitesse impressionante il est connu partout pour être un grand guerrier on le surnomme même d’être l’Arturo Gatti français.

Lors de la préparation de l’un de ses combats face à Mickaël Piscitello Johann part mettre les gants dans la salle Marcel Cerdan à Levallois. Acharné il met les gants tous les jours et prouve qu’il a du talent. Youssef BARIT l’entraîneur du club le veut dans son équipe.

Johann a du faire ses preuves pour obtenir sa licence professionnel de boxe anglaise. Quelques mois plus tard Johann est déjà sur le ring il fait briller ses racines et boxe pour les couleurs de Levallois. Il gagne par KO ses deux premiers combat

enchaine les victoires et n’admet aucune défaite. Mais il garde au fond de lui un espoir de reprendre la Boxe Thaïlandaise il souhaite avoir ce titre qu’il a tant mérité celui de : Cham-pion du Monde. Peu de temps après on lui propose un combat pour l’orga-nisation It’s Showtime ou il avait déjà combattu et gagné par arrêt de l’ar-bitre face à Mickael Piscitello. Celui-ci voudrait sa revanche, après plus d’un an Johann accepte cette propo-sition et reprend ses entrainements de boxe thaïlandaise. Le 14 mai 2011 il gagne cette revanche à nouveau par KO. Une rencontre avec Alan KER-MOVAN sont actuel manager est née afin de lui assurer une carrière struc-turée Il a donc combattu deux fois pour deux victoire dont une par arrêt de l’arbitre face a Aydin TUNCAY. Johann combats d’ici peu ce combat préparera un combat très important ou plutôt le combat le plus important de toute sa vie .... Le championnat du monde , il aura donc lieu lors de l’URBAN BOXING a Marseille le 19 mai. Johann se prépare au club de Clichy sous le regard attentif de son entraineur Franck MEZACHE.

Une nouvelle aventure qui com-mence avec la Team MEZACHE , cette année nous promet d’être rem-pli d’émotions

Johann Faveau - Combattant


Le site de prévisions et d’analyses économique et politiques, Elec-tionscope, est l’un des rares ob-servateurs à ne pas voir François Hollande vainqueur de la présiden-tielle. Les fondateurs du site uti-lisent un modèle dont les pronos-tics se sont toujours révélés exacts depuis la fin des années 1990... Ils l’ont refait tourner après le pre-mier tour.

Atlantico : Selon un article publié sur Electionscope, les instituts de sondage auraient tendance à majo-rer ou minorer certains candidats (écarts de prévisions par rapport à la moyenne des autres instituts). Qu’en est-il du détail ? Bruno Jé-rôme : On a remarqué des instituts qui penchaient véritablement pour certains candidats ou blocs poli-tiques. Par exemple, on note que Jean-Luc Mélenchon a été majoré par les instituts CSA et TNS Sofres.

L’IFOP ou Opinionway avaient ten-dance à plutôt le minorer. L’observa-tion est plus nette pour les deux prin-cipaux candidats. On a vu que BVA et

TNS avaient une véritable tendance à majorer François Hollande et que Opinionway et Harris Interactive, voire l’IFOP, avaient au contraire tendance à minorer le candidat socia-liste. Il est extrêmement délicat d’être totalement affirmatif sur le fait que ces instituts roulent pour un candidat ou un autre.

Il faudrait regarder à ce moment-là les relations qui existent entre les sondeurs et leurs clients, médias et politiques. Mais notre constat empi-rique montre tout de même un biais systématique de 6 instituts sur 8. On a également observé que certains ins-tituts avaient littéralement changé de comportement en cours de route.

Pendant trois mois, CSA avait ten-dance à majorer Nicolas Sarkozy et, au dernier moment, ils se sont mis à le minorer. TNS Sofres a eu exactement le même comportement. Il y a donc un mimétisme entre certains instituts. L’institut qui majore le plus est BVA. Sofres et Ipsos ont également ten-dance à sur-majorer ou minorer des candidats.

Les bons élèves seraient plutôt Opi-nionway, Harris Interactive ou l’Ifop. En quoi votre méthode diffère-t-elle de celle des instituts de sondage clas-siques ? Il s’agit d’un modèle sta-tistique qui est fait sur des séries de données très longues (sur la 5ème Ré-publique). Nous ne mesurons pas des intentions de vote mais des facteurs qui pourraient statistiquement impac-ter le vote. Nous prenons principale-ment en compte le taux de chômage, la variable clé en France depuis 1974.

Ensuite, nous évaluons la crédibilité et la popularité de l’exécutif. La po-pularité, retravaillée et réinterprétée, est un indicateur qui nous permet de déterminer le socle de crédibilité de l’exécutif.

Les tests empiriques qui ont été faits sur l’indicateur de popularité montrent que l’économie à court terme représente au minimum 50% de ce dernier. Quels résultats obte-nez-vous alors pour le second tour de l’élection présidentielle ? Nous obte-nons le chiffre de 50,2% pour Nicolas Sarkozy au second tour.

Il est important de noter que le modèle place la droite en tête depuis octobre 2010, date à laquelle le chômage a commencé à s’améliorer avant de se dégrader à nouveau à la fin de l’année 2011. Cette étude a été réalisée avant le premier tour.

La donne n’a-t-elle pas changé depuis ? Nous ne toucherons pas à nos pré-dictions. En réalité, nous modélisons également le second tour. Nous trans-formons les voix du premier tour en voix de second tour mais notre for-mule de transformation est purement politique.

Elle prend en compte les grands rap-ports de force sous la 5ème Répu-blique, la déperdition des voix entre les blocs dans cette période, les dis-parités régionales et l’influence et la déperdition du Front national et du Modem sur le bloc de droite. Histo-riquement, il y a toujours eu une dé-perdition des voix pour la droite d’un tour à l’autre.

Dans ce cas précis, nous avons pris en compte la déperdition moyenne encourue dans les régions à cause du FN et du centre. L’intérêt de notre démarche est également dans son découpage régional. L’influence du Modem, par exemple, n’est pas la même selon les régions.

Dans certaines régions, on retrouve un Modem de gauche qui se rapporte à gauche. Dans d’autres, on remarque l’inverse. C’est la même chose pour le Front national, les gauches « lepi-nistes », lorsqu’elles sont en majorité dans certaines régions, se rapportent à gauche.

Le sondage typique mesurera un effet global sur un panel global. De plus, nous fixons la situation économique quatre mois avant le premier tour. Empiriquement, c’est la mesure la plus pertinente. Cela a aussi l’avan-tage d’éviter les bruits de campagne, les évolutions volatiles de dernière minute qui peuvent être manipulées et les effets de campagne qui s’an-nulent entre eux. Enfin, notre outil est révisable. Quand on se trompe, il est assez aisé de savoir pourquoi, d’identifier des facteurs objectifs qui ont conduit à ce que l’on s’éloigne du résultat.

Cette méthode de prédiction n’ou-blie-t-elle pas de prendre en compte la personnalité du président de la

République qui est, si l’on en croit les sondages, à l’origine de beaucoup de ralliements de droite ou centre droit vers la gauche, le Modem et le Front national ? Tout d’abord, il est nécessaire de préciser que notre modèle comporte une marge d’erreur de + /- 1,7%. 50,2 % est une mesure moyenne optimale. On pourrait se re-trouver avec un François Hollande au dessus de 50% ou un Nicolas Sarkozy à presque 52%...

Ensuite, vous avez raison, le delta qui manque est celui de l’image. Mais ce modèle n’est pas fait pour cela. Il y a une autre chose qui peut jouer sur l’écart entre notre méthode et celle des instituts de sondage classiques, c’est ce que l’on appelle l’autoréa-lisation des anticipations. Parfois, quand certains électeurs observent des sondages et ne se fondent que sur eux pour voter, il peut arriver qu’ils soient tentés par la majorité.

Or, jusqu’à présent, sous la 5ème République, cela n’a pas eu vraiment d’impact. Il était impossible de dire que les sondages modifiaient quoique ce soit. Nous sommes ici en présence d’un fait exceptionnel. La gauche au premier tour est à 43,7% et elle se retrouverait à près de 55% au second tour.

Ce qui, au vu de l’histoire de la 5ème République, est du jamais vu. Jusqu’à présent, il a fallu qu’elle atteigne 49% des voix au premier tour pour l’em-porter. Notre modèle ne mesure pas cela. Il mesure seulement les reports moyens et la déperdition à droite que l’on a constatés jusqu’à présent. Or cette déperdition n’est pas de l’ordre d’une perte de 10 points.

Atlantico.fr

Le modèle qui donne Sarkozy gagnant à 50,2%

Dans une récente interview, le numéro 2 du Hamas, Mousa Mo-hammed Abou Marzouk, a été in-terrogé sur la question d’un futur Etat palestinien avec le Hamas à sa tête. L’une des questions posée à Marzouk portait sur la capacité du Hamas à faire face à Israël si ce dernier est élu par le peuple. Marzouk a répondu au passé qu’il respecterait la trêve. Marzouk a souligné que l’engagement dans une trêve temporaire avec Israël ne signifie pas reconnaître l’Etat d’Israël.

L’un des principes fondateurs du Hamas, c’est qu’il ne reconnaît pas Israël … Par conséquent, la question de la reconnaissance d’Israël n’est certainement pas sur la table, sauf si elle se retire de toutes les terres pales-tiniennes, pas seulement jusqu’aux frontières de 1967.” Israël, ainsi que les États-Unis et l’UE considèrent le Hamas comme une organisation ter-roriste. Le trois sont d’accord pour considérer que le Hamas ne sera pas reconnu comme un acteur politique palestinien, à moins qu’il n’accepte

les initiatives de paix précédentes, qu’il reconnaisse l’État d’Israël et renonce à la violence.


Hamas : “Il n’y aura pas de paix avec Israël”


Vous voulez manger plus équilibré ? Vous ne comprenez rien aux listes miniatures et interminables d’in-grédients sur les produits que vous achetez au supermarché? Voici un outil qui vous sera utile!

Fooducate est une application iPhone gratuite (fonctionnant également sur iPod touch et Android OS) créée par une équipe de diététiciens et de parents, analysant les produits ali-mentaires, et vous donnant toutes les informations nutritionnelles utiles le concernant : excès de sucre et de sodium, présence d’acides gras trans,

additifs et conservateurs, colorants alimentaires controversés, calories, sirops riches en fructose…

Chaque aliment est ainsi noté, de « A » à « D », en fonction de son contenu nutritionnel. Il suffit de scanner le code bar du produit à l’aide de son iPhone, et l’application analyse auto-matiquement sa liste d’ingrédients.

Elle vous donne ses points forts et ses points faibles, le compare avec d’autres produits et vous propose, si nécessaire, des alternatives plus saines et plus équilibrées pour votre

corps et pour votre santé. En moins d’un an, l’application a été utilisée plus de 10 millions de fois pour scan-ner des produits alimentaires.

D’après un sondage réalisé par Foo-ducate, 80% des utilisateurs ont indi-qué que l’application leur a permis de modifier leurs choix alimentaires au moins une fois et 50% affirment que Fooducate leur a permis d’essayer un nouveau produit plus sain qu’ils n’avaient jamais mangé avant. Bien que l’application contienne déjà plus de 200 000 produits analysés, ils ne concernent, pour l’instant, que le marché alimentaire américain et de nombreux produits restent encore indisponibles.

Fooducate promet toutefois de com-pléter sa base de données, et encou-rage d’ailleurs les utilisateurs à leur envoyer des photos des produits manquants afin qu’ils soient analysés (250.000 produits ont ainsi déjà été envoyés par des utilisateurs).

De plus, les futures versions de l’ap-plication devraient inclure la possi-bilité de personnaliser ses habitudes alimentaires (végétarien, végétalien, sans gluten…), et de coordonner les alternatives proposées par Fooducate avec les produits disponibles dans son supermarché.

Elue meilleure application 2011 par l’Appstore dans la catégorie « Health & Fitness », Fooducate promet donc de devenir un véritable diététicien personnel au supermarché, permet-tant aux consommateurs de faire de meilleurs choix alimentaires pour eux et leurs familles grâce à une informa-tion simplifiée.

Lisa Levy

Vous êtes toujours au régime et vous n’arrivez jamais à maigrir?

Attaque à la bombe, tirs à l’arme lourde, c’est ainsi que les musul-mans ont fait passer un message aux chrétiens de Kano, la plus grande ville du nord du Nigeria, peuplée majoritairement de mu-sulmans, qu’ils sont priés de faire

comme en Turquie, comme en Irak, comme au Liban, comme en Egypte, comme à Bethlehem, ces régions au passé majoritairement chrétiens et devenus musulmans à coups de sabre.

Le message est le suivant : « la reli-gion d’amour de tolérance et de paix vous dit : dégagez. » Les messes se déroulaient en plein air sur le cam-pus. Aucun bilan officiel n’a encore été diffusé, mais des journalistes sur place ont dénombré une vingtaine de victimes. Des témoins indiquent que les assaillants ont surgi à bord d’une voiture et de motos, ouvrant le feu et lançant des bombes artisanales.

Des fidèles qui s’enfuyaient ont été abattus. L’attaque n’a pas été encore revendiquée, mais la secte islamiste Bobo Haram (qui signifie en langue haoussa: « l’éducation occidentale est un péché ») qui a fait plus de 1000 morts chrétiens depuis la mi-2009 dans l’indifférence la plus totale des ONG humanitaires et de l’ONU, est bien entendu pointée du doigt. Boko Haram prétend lutter pour l’établisse-ment d’un Etat islamique dans le nord du Nigeria.

On comprend mieux, à observer leur millénaire comportement guerrier, comment les musulmans sont passés, sur la planète, progressivement à plus de 50 états islamistes : en distribuant des roses.

Les musulmans n’aiment pas que les chrétiens aillent à la messe : bilan 20 morts

Des associations ont engagé des poursuites contre Google, qui, très souvent, quand on recherche le nom d’une personnalité, y associe le mot “juif”. Une fois de plus la fonction “Google Suggest”, c’est-à-dire la façon dont le moteur de re-cherche roi propose automatique-ment des mots clés pour compléter les requêtes en cours de saisie, est mise en cause pour ses suggestions parfois tendancieuses, douteuses, voire racistes.

par:Marco Robin

Vous l’aurez sans doute constaté en cherchant le nom de telle ou telle per-sonnalité, il est fréquent que figure l’adjectif “juif” parmi les premiers compléments proposés par l’outil. En tout cas cela n’a pas échappé à plu-sieurs associations, qui ont assigné Google en référé, afin que la justice lui impose d’y remédier.

Une audience se tiendra le 2 mai, a annoncé à l’AFP Me Patrick Klug-man, l’avocat de SOS Racisme, qui ne mâche pas ses mots. Une machine à “débusquer les juifs”… “Si le propre du programme Google Sug-gest n’est pas idéologique” concède l’avocat, “son utilisation l’est et les dégâts sont considérables“.

Et Me Klugman de préciser sa pen-sée : “Google Suggest a abouti à la création de ce qui est probablement le plus grand fichier juif de l’histoire”, “il répond de manière claire et objec-tive à un souci malsain qui est de débusquer les juifs”.

Dans leur assignation commune, l’Union des étudiants juifs de France, “J’accuse !”/Action internationale pour la justice, SOS Racisme et le MRAP, expliquent que “de très nom-breux utilisateurs du premier moteur de recherche de France et du monde sont quotidiennement confrontés à l’association non sollicitée et quasi systématique du terme ‘juif’ avec les patronymes des personnes les plus en vue dans le monde de la politique, des médias ou des affaires”.

Un effet de répétition très pervers… “Se trouve ainsi diffusé et amplifié, de la manière la plus visuellement immédiate, le sentiment de l’omni-présence des juifs aux commandes de la France” déplorent ces associations, qui, pour illustrer leur propos, ont fait des tests sur les noms des candidats à la présidentielle.

La démonstration est imparable : on n’a pas sitôt rentré dans le champ de saisie “Hollande”, le début de phrase “François Bayrou est” ou encore “Nicolas Sarkozy est”, que le mot “juif” apparaît, à l’affirmative ou sous

forme de question. Et l’on pourrait multiplier les exemples à foison, par exemple avec les noms de capitaines d’industrie tels que Martin Bouygues ou Xavier Niel.

Ce que veulent SOS Racisme et consorts… D’un point de vue juri-dique, les associations arguent que l’outil de Google enfreint la loi répri-mant la constitution de fichiers eth-niques et réclament en conséquence que le tribunal interdise à l’entre-prise “d’associer le mot ‘juif’ aux patronymes des personnes physiques figurant dans les requêtes des inter-nautes”.

Au-delà, elles souhaitent que soit interdit à la firme “de mettre ou de conserver en mémoire informatisée, sans le consentement exprès des inté-ressés, des données à caractère per-sonnel qui, directement ou indirec-tement, font apparaître les origines raciales ou ethniques“.

Dans la mesure où ces informations figurent un peu partout sur le Net, pas nécessairement dans des contextes illégitimes, et où c’est la vocation même d’un moteur de recherche que d’indexer les contenus, cette seconde demande peut paraître discutable et techniquement difficile à mettre en oeuvre, à moins d’une censure aveugle. Le prisme d’un antisémi-tisme rampant ?

Pour ce qui est en tout cas de “la sai-sie semi-automatique”, un porte-pa-role de Google a expliqué que c’était “une fonctionnalité mise en place afin de permettre d’accélérer et de facili-ter les recherches des internautes”. Dans l’absolu, en effet, on ne saurait contester son efficacité. Reste ses dérapages… “

Google ne suggère pas ces résultats. Ils sont générés de manière totale-ment algorithmique, sur la base de critères purement objectifs corres-pondant notamment aux requêtes préalablement saisies par les inter-nautes. Ils ne sont donc aucunement issus d’un choix éditorial de la part de Google”, a ajouté le porte-parole, ce qui revient très schématiquement à dire que ce n’est pas Google qui est obsédé par la judéité, mais les inter-nautes français.

A noter : en décembre dernier, sur un motif assez similaire, la justice avait confirmé en appel une condamnation de Google pour “injure publique”. Le plaignant était une société d’assu-rance immobilière, dont le nom était systématiquement associé à l’épithète “escroc” ( cf. “Google condamné pour injure“)

Google, “à l’origine du plus grand fichier juif de l’histoire” ?


L’Arabie Saoudite a annoncé same-di qu’elle avait rappelé son ambas-sadeur d’Egypte « pour consulta-tions » et a fermé son ambassade et ses consulats dans le pays pour des raisons de sécurité. C’est la première rupture publique entre les deux principaux Etats arabes depuis soulèvement populaire de l’année dernière en Egypte qui a forcé Hosni Moubarak, un proche allié de Riyad, à fuir le pouvoir.

Le chef du conseil militaire égyptien, Mohamed Hussein Tantawi, a déclaré dans une déclaration rapportée par les médias d’Etat, ‘être surpris par la décision saoudienne et travailler pour combler le fossé » entre les deux pays. Des manifestations en dehors de l’ambassade d’Arabie Saoudite au Caire ont éclaté ces derniers jours.

L’Arabie Saoudite a peur que des « tentatives d’assauts » soient organi-sés par les manifestants, comme ce fut le cas lors de l’assaut de l’ambas-sade d’Israël au Caire il y a plusieurs mois. Vendredi, après la prière, près de 1000 manifestants ont marché de-vant la mission, exigeant la libération d’égyptiens détenus dans les prisons saoudiennes. Plusieurs manifestants ont même jeté leurs chaussures sur le bâtiment, un geste « insultant » dans la culture islamique.

C’estla première fois que Riyad recourt à cette solution extrême qui consiste à fermer ses représentations au Caire. On est loin de la période bénie du «raïs» Moubarak durant

laquelle les deux gouvernements fi-laient le parfait amour. Les islamistes de la place Tahrir ne veulent visible-ment plus que l’Egypte s’acoquine avec la monarchie wahhabite.

La fermeture de l’ambassade saou-dienne en Egypte est sans précé-dent, à moins de remonter à 1978. A l’époque, Ryad avait rompu les relations diplomatiques avec le Caire après la signature du traité de paix de Camp David avec Israël.

Mais cette rupture imposée par une ré-solution du sommet arabe de Bagdad n’avait pas affecté les relations éco-nomiques ni les travailleurs immigrés égyptiens en Arabie. Aujourd’hui, par contre, le différend est purement égypto-saoudien. Des Saoudiens qui pourraient commencer à compliquer la vie aux deux millions d’Egyptiens qui travaillent dans le Royaume et qui rapatrient chaque année plusieurs milliards d’euros, plus que les reve-nus du Canal de Suez.

Si une solution n’est pas rapidement trouvée à la crise, c’est aussi l’aide économique saoudienne à l’Egypte qui pourrait être affectée. Ryad s’était engagé à fournir près de 5 milliards de dollars au Caire. Autant de raisons qui poussent la diplomatie égyp-tienne à adopter les positions saou-diennes dans l’affaire Gizawi. Reste à convaincre une opinion publique égyptienne très remontée contre l’Arabie Saoudite.

Niso Amzar

Première crise diplomatique importante entre l’Arabie Saoudite et l’Egypte depuis 34 ans

La réponse ne s’est pas faite at-tendre. Lors de son déplacement à Clermont-Ferrant, le Président français s’en est pris une fois de plus ce samedi à Dominique Strauss-Kahn, qui s’est dit victime d’un complot politique dans l’af-faire du Sofitel de New York. Le président-candidat a invité l’an-cien directeur général du FMI à se taire et à «s’expliquer avec la jus-tice». La semaine passée, il s’était moqué de ceux qui aurait été prêt à voter pour DSK.

« Trop, c’est trop ! Je dis à M. Strauss-Kahn « expliquez-vous avec la justice et épargnez aux Français vos commentaires« », a lancé ce samedi le chef de l’Etat. Plus tôt cette semaine, The Guardiana publié sur son site une interview exclusive de l’ex-patron du FMI accordée au journaliste américain Edward Jay Epstein, et dans laquelle DSK accuse ses adversaires politiques «d’avoir orchestré » les retombées de l’affaire

du Sofitel afin de mieux précipiter sa chute politique et se dit convaincu d’avoir été placé sous surveillance.

Des accusations qui visent direc-tement l’entourage de Nicolas Sarkozy. Réalisée le 13 avril der-nier, l’interview est publiée alors qu’Edward Jay Epstein sort un livre ce dimanche, « Three days in May ». Rejoignez JSSNews sur Facebook ! Bien que l’ancien député-maire de Sarcelles (Val-d’Oise) n’emploie pas directement le terme de «complot», il affirme clairement avoir été « peut-être naïf ».

Et d’évoquer pour la première fois ouvertement le « rôle » joué par ses « opposants politiques » pour faire éclater une affaire privée en « scan-dale ».Pour l’ex-patron du FMI, ses opposants « ne sont pas allés jusqu’à organiser cette rencontre (avec Na-fissatou Diallo, à l’origine de l’af-faire du Sofitel), mais ils ont joué un rôle, en interceptant les coups de fil,

pour être certains que la femme de ménage allait appeler la police, et que ce rendez-vous privé deviendrait un scandale public ». Et de rajouter, qu’il allait « présenter (sa) candida-ture formelle le 15 juin 2011».

« Et je n’avais aucun doute. J’aurais été le candidat du PS (à la présiden-tielle) », jure-t-il. François Hollande qui a gagné la primaire en novembre appréciera… Interrogé par Radio J, le candidat socialiste a d’ailleurs précisé ce samedi : «Je n’ai aucune information, donc je ne ferai aucun commentaire. S’il y a des faits qui attestent effectivement une complai-sance ou une instrumentalisation, la justice sera saisie». «Je respecte pro-fondément la présomption d’inno-cence mais quand on est accusé de ce dont il est accusé et qu’on a un minimum de dignité, on a la pudeur de se taire et de ne pas rajouter à l’in-dignité», a ajouté Nicolas Sarkozy.

Quelques heures avant, Nathalie Kosciusko-Morizet s’en était prise directement à François Hollande, le candidat socialiste à la présiden-tielle. La porte-parole de Nicolas Sarkozy avait assuré qu’en tant qu’ancien patron du PS (1997-2008) il « était forcément au courant » des agissements de DSK. En réaction, un porte-parole du candidat PS, Bernard Cazeneuve, a dénoncé « une exploi-tation outrancière » de l’affaire par les équipes du président-candidat, « qui perdent à mesure que le scru-tin approche leur sang-froid et leurs nerfs ».

Nathan Berdugo

Sarkozy à Dominique Strauss-Kahn : « trop, c’est trop ! »


Le système financier libanais tou-jours dans la ligne de mire de Washington L’administration Oba-ma redoute que le Hezbollah, l’Iran et la Syrie utilisent les banques beyrouthines pour contourner les sanctions internationales, rapporte le Wall Street Journal. Le système bancaire libanais est dans la ligne de mire de l’Administration Oba-ma, rapporte le Wall Street Journal (WSJ), dans son édition du 27 avril.

«L’administration Obama a renforcé sa surveillance du système financier libanais, s’inquiétant du fait que la Syrie, l’Iran et le groupe militant Hezbollah utilisent les banques de Beyrouth pour contourner les sanc-tions internationales et financer leurs

activités», rapporte le quotidien conservateur américain.

Alors que Beyrouth et Washington ont pris des mesures, ces derniers 14 mois, pour fermer plusieurs banques et sanctionner certains individus, le Trésor américain et le Drug enforce-ment Administration (DEA, Bureau fédéral de lutte contre la drogue) poursuivent leur enquête sur de pré-sumées opérations de blanchiment d’argent de la part du Hezbollah, ont déclaré des responsables américains au WSJ.

Le Trésor presse également les auto-rités libanaises de contrôler de plus près les banques locales opérant avec Damas et Téhéran, poursuit le quoti-

dien. «Nous sommes inquiets du fait que le Liban puisse être utilisé par les Syriens en tant que canal pour échap-per aux sanctions» internationales, explique un responsable du Trésor américain en charge du Moyen-Orient au WSJ. De nombreux respon-sables du Trésor américain se sont rendus à Beyrouth ces derniers temps.

Parmi eux David Cohen, sous-se-crétaire américain au Trésor chargé de la lutte contre le terrorisme et du renseignement financier, qui avait rencontré en mars dernier plusieurs responsables ainsi que le Conseil d’administration de l’Association des banques présidée par Joseph Tor-bey. Selon des sources américaines, M. Cohen tenait à voir de près dans quelle mesure les banques libanaises se conformaient aux sanctions occi-dentales à l’encontre de la Syrie.

«L’atmosphère était sereine», avait indiqué à L’Orient-Le Jour, sous couvert d’anonymat, un responsable du secteur bancaire libanais après la visite de M. Cohen. «C’était une simple visite. Le secteur bancaire libanais respecte à la lettre ses enga-gements vis-à-vis de la communauté internationale», avait-il insisté. Selon lui, la Banque du Liban (BDL) avait déjà émis une circulaire dans laquelle cette dernière demandait à l’ensemble des institutions bancaires du pays d’éviter tout transfert d’argent de Syrie ou d’Iran vers le Liban et de

respecter ses engagements envers la communauté internationale.

Le gouvernement libanais a renforcé ses efforts ces dernières années pour lutter contre le blanchiment d’argent via Beyrouth, rappelle, pour sa part, le gouverneur de la banque centrale, Riad Salamé, dans un mail adressé au WSJ. Les dépôts syriens dans les banques libanaises, en Syrie et au Li-ban, ainsi que les prêts accordés à des Syriens par des banques libanaises, ont baissé de 40 % sur les derniers 15 mois, souligne M. Salamé.

David Cohen suit également le dos-sier de la Banque libano-canadienne. Les autorités américaines avaient porté plainte contre cet établisse-ment le 15 décembre 2011, l’accusant d’avoir aidé au blanchiment d’argent lié au trafic de drogue et de fournir des services financiers au gouver-nement iranien. Les Etats-Unis ont accusé le Hezbollah d’être impliqué dans ce trafic. Des accusations reje-tées par le parti chiite qui a dénoncé un complot visant à l’affaiblir.

L’affaire de la Banque libano-cana-dienne s’est achevée avec le rachat de cette banque par la Société générale et le retrait de sa licence du marché bancaire libanais. «Le Trésor et la DEA s’inquiètent néanmoins du fait que des centaines de comptes de la Banque libano-canadienne qu’ils considèrent comme suspects aient été

transférés à d’autres institutions fi-nancières basées à Beyrouth», affirme un responsable américain au WSJ. Washington s’inquiète également du fait que d’anciens cadres de la banque incriminée continuent d’opérer au sein du système bancaire libanais, y compris au sein de la SGBL.

En conséquence, affirme un respon-sable américain, Washington travaille toujours avec Beyrouth sur ce dos-sier. Au WSJ, Riad Salamé a assuré que les autorités libanaises conti-nuaient d’enquêter sur l’affaire de la Banque libano-canadienne et des responsables à la SGBL ont déclaré avoir pris des mesures fortes, l’année dernière, pour s’assurer qu’aucun compte suspect de la banque incrimi-née ne soit transféré à la SGBL.

Pour ce faire, la SGBL a fait appel aux services des cabinets Ernst and Young LLP, Deloitte and Touche LLP et au groupe Ashcroft, dirigé par l’ancien procureur général américain John Ashcroft. Interviewé par le WSJ, M. Ashcroft a assuré que «la priorité de la SGBL est d’être en conformité avec les principes de la lutte contre le blanchiment d’argent, au delà même des standards américains et euro-péens».

olj.com

Quand les banques libanaises blanchissent l’argent des terroristes

Interrogé par l’AFP Tariq Rama-dan a démenti de son côté avoir appelé à voter pour François Hol-lande. «Jamais de ma vie, je n’ai appelé à voter François Hollande. Je ne suis pas Français, je n’ai pas donné de consigne de vote musul-man. (...) J’ai simplement appelé les citoyens français, de confession musulmane ou autre, à voter en conscience et à faire le bilan de la politique de Nicolas Sarkozy, qui est très mauvais.»

Après François Hollande ce mardi soir, c’est Nicolas Sarkozy qui était ce mercredi l’invité au journal de 20 heures de TF1. Interrogé sur le bon score du Front national au premier tour de l’élection présidentielle, le président-candidat a estimé que le vote FN était un «vote de crise» qui ne l’a pas surpris. «Au fond, ils nous ont dit quoi ? Nous voulons qu’on parle des frontières pour nous proté-ger», poursuit Nicolas Sarkozy qui juge peu après que «la question des frontières est centrale». «C’est pas

un vote d’adhésion, c’est un vote de crise. Mais qui dit des choses.

Je veux l’entendre, je veux le com-prendre», a ajouté le président sor-tant. Nicolas Sarkozy est revenu sur les propos de François Bayrou l’accusant d’assimiler les électeurs centristes à ceux du Front national : «Je n’ai jamais assimilé les électeurs de François Bayrou au Front national. (…) Je n’ai jamais fait alliance avec le Front national, je ne vais pas com-mencer.» «Quand Tariq Ramadan ose appeler à voter pour M. Hollande. Je n’ai pas entendu M. Hollande dire que ça le gênait ?» a-t-il taclé.

«L’immigration n’est pas le seul sujet de la campagne», a-t-il lancé. «Je considère que la France a été un pays ouvert et ça continuera mais nous avons accueilli trop de personnes par rapport à la capacité d’accueil.» Il a rappelé son opposition à la proposi-tion de François Hollande d’accorder le droit de vote aux étrangers.

«Ça veut dire qu’on prend le risque, à un moment très sensible pour notre société, d’un vote communautaire» explique-t-il en prenant l’exemple des horaires d’ouverture dans les piscines. Le président sortant n’a pas voulu dévoiler le nom de son Premier ministre en cas de victoire.

«L’élection présidentielle, ce n’est pas un tandem» a-t-il estimé. Nicolas Sarkozy a déclaré vouloir «un ras-semblement le plus large possible» autour de son projet et a assuré qu’il répondrait «dès demain matin» (soit ce jeudi) à la lettre que lui a adressé François Bayrou.

Atlantico.fr

Tariq Ramadan appelle à voter contre Sarkozy

Le débat fait rage sur la théorie du « cordon sanitaire PS / UMP contre le FN ».Le quotidien fran-çais ‘Le Figaro’ signale sur son site Internet que The Economist remet l’élection présidentielle en Une de son hebdomadaire. Après avoir estimé que la France était «dans le déni (de réalité)», cette fois-ci, c’est François Hollande qui est visé. En couverture, le candidat socialiste, arrivé en tête des sondages au pre-mier tour, est qualifié de Monsieur plutôt dangereux pour la France et pour l’Europe.

Copyright Michel Garroté 2012

Dans son éditorial, The Economist, à paraître samedi 28 avril, estime que François Hollande – qui «selon toute vraisemblance devancera nettement Nicolas Sarkozy lors du second tour du scrutin le 6 mai» – est trop «hos-tile aux changements structurels qui permettraient d’améliorer la compé-titivité». Ce qui «compromettrait la volonté des pays européens à pour-suivre des réformes douloureuses, essentielles pour la survie de l’euro».

Hollande est un monsieur plutôt dangereux


Le Rav Chalom Messas zatsal écrit à propos de cette paracha : «beau-coup de sages ont commentés les raisons de la mort de Nadav et Avi-hou dans la parachat Chemini, ce-pendant «J’ai la conviction que les deux enfants d’Aaron n’avaient ab-solument pas fait de faute! A l’évi-dence, ils se rapprochèrent à l’excès de l’essence divine, et ils ne purent donc demeurer dans ce bas monde. Certains ont interprété l’intrusion de Nadav et Avihou dans le saint des saints comme étant une «légè-reté» de leur part. Je dois avouer que cette attitude de «légèreté» me fait un peu penser à l’attitude de ces personnes qui viennent parfois dans les synagogues pour bavarder ou parler de choses vaines et par-fois même se laissent entrainer à dire du «Lâchons ara». Cette atti-tude est totalement répréhensible écrit le rav.

Ces personnes ne ce gênent guère de se trouver dans ce lieu sacré devant le Roi du Monde!. Cette faute du bavar-dage dans nos synagogues disent les sages est réprimandée davantage en Israël, là même où réside justement la «Chékhina», la présence divine ; mais cela ne dédouane pas pour autant ceux qui habitent en dehors d’Israël!. Le rav poursuit et écrit à propos de cette paracha : «Nous lisons une par-tie de ce texte le jour de Kippour, un jour de solennité où nous demandons le Pardon à D-ieu» «Ce texte nous parle entre autre des deux boucs, dont le bouc «émissaire» qui était amené par le Cohen aux portes du désert «Azazel» pour expier les fautes des enfants d’Israël.

Ce symbole du bouc «émissaire» est rempli de secrets extraordinaires dont je n’ai pu saisir la profondeur. Je comprends la raison pour laquelle, le Roi David a écrit dans ses psaumes à D-ieu : «Gal Yénaï véavita niflaot mi-toratékha » «Dessille-moi les yeux, pour que je puisse contempler les merveilles issues de ta Loi». Grâce à ce processus de «Kappara» d’expia-tion, conclu le rav, l’homme été lavé de tous ses péchés, car le renvoi de ce bouc représentait, le rejet des péchés des Bné Israël. On dit d’ailleurs, que celui qui ne croit pas à la «Kappara» ne sera pas pardonné !. Un Midrach raconte même la prière que le Grand Prêtre prononçait dans le saint des

saints à l’Eternel, le jour de Kippour : «Que ce soit ta volonté, Ô Eternel, que cette année soit une année de pluie, une année de chaleur et de rosée, une année favorable et de bénédictions, une année dans laquelle tout sera bon marché…une année d’exception et d’abondance, une année où le com-merce sera florissant. Que nul enfant d’Israël ne tende la main à l’autre! Ou encore, qu’il ai du travail pour tous!». Le Midrach poursuit : Dès le début de l’année, le Grand Prêtre était informé de ce qu’elle sera à son terme, cela en considérant la colonne de fumée qui montait du brasier de l’autel…

Si elle s’inclinait vers le Sud, c’était le signe d’abondance pour cette ré-gion ; si elle prenait la direction du Couchant, c’était l’occident qui serait favorisé etc.…Par contre lorsque la colonne s’élevait à la verticale, l’abondance était promise au monde entier. Le rôle du Cohen Gadol était d’appelé la miséricorde divine sur les régions défavorisées afin que le monde dans son ensemble bénéficie des bienfaits du Ciel. «L’Eternel est ma lumière et mon salut» écrit le Roi David, parce qu’il permet au Grand Prêtre, dès le début de l’année à Roch Hachana, d’être éclairé sur le sort de l’humanité, et «il est mon salut» au jour de Kippour quand il accueille favorablement la prière du Cohen Gadol , afin que l’année soit propice à tous sans exception.

La paracha revient sur l’interdic-tion de consommer du sang de bête car dit-elle, c’est le principe vital de toute créature !. De la même façon qu’il sera interdit de consommer de la viande d’une bête non abattue rituel-lement. Après cet énoncé, la Thora s’engage dans une longue mise en garde solennelle concernant toutes sortes de rapports sexuels interdits. Le verset dit : «Je suis l’Eternel. Ne cohabite point avec un mâle..D’une cohabitation sexuelle : c’est une abo-mination!

Ne t’accouple avec aucun animal, tu te souillerais…c’est un désordre !. «Ne vous souillez point par toutes ces choses! Car les peuples que j’ai chas-sé se sont souillés par elles et le pays est devenu impur, alors j’ai demandé compte de son iniquité, et le pays a vomi ses habitants ».

Le verset conclu : «Craignez que cette terre ne vous vomisse si vous la souillez, comme elle a vomi le peuple qui l’habitait avant vous. Soyez donc fidèles à mon observance, en ne sui-vant aucune de ces lois infâmes sui-vies par ceux qui vous ont précédés, et ne vous souillez point par leur pratique : Je suis l’Eternel, votre D-ieu!». Si la Thora insiste, c’est que cette notion de «Kédoucha» de sain-teté, D-ieu veut que nous la gardions constamment à l’esprit. Comme vient d’ailleurs nous le confirmer le pre-mier verset de la parachat Kidouchine : «Kidouchin Tiou ki cadoch ani !» soyez saint, comme je suis saint moi-même!. Par ailleurs, Il est écrit : «Ouchmartêm êt michmarti» - vous observerez mon observance…

Nous trouvons dans le Talmud vers la fin du traité Tamid, un enseignement de Rabbi Hyia qui dit ceci : «Celui qui, la nuit, s’occupe de l’étude de la Thora, aura devant lui, la Majesté divine…comme il est écrit dans Ekhâ (Lamentations) «Lève-toi et étudie dans le commencement de la nuit, en hébreu : «Achmorôt» qui rappelle le mot «Michmarti» ce verset ordonne à la communauté d’Israël : «Lève-toi, même si tu te trouve en exil, et occupe -toi, la nuit, de la Thora, car la Chékhina-La Majesté divine sera au rendez-vous, face à toi!». Du reste, nous avons tous le souvenir de ces veillées anciennes que l’on appelait : «N’bitâ rébbïen» la veillée autour des rabbins qui nous dispensaient leur sagesse à travers des « Maasïot » des contes et des «Hagadot». Par ailleurs il est enseigné dans le Talmud Kidouchin ceci : D-ieu béni soit-il a dit à Israël : Certes, J’ai créé le mau-vais penchant (Yétser Harâa) mais Je vous ai donné également la THORA, qui est un excellent antidote. A tout instant, le Yétser Harâa s’attaque à l’homme, mais grâce à la Thora vous repousserez ses harcèlements et vous triompherez. Ainsi, Ma Majesté sera là, face à vous, car je suis l’Eternel votre D-ieu !.

«Kidouchin tiou ki kadoch ani HM Elokéhém» Soyez saints, car je suis Saint, Moi l’Eternel votre D-ieu!». Le Grand Rabbin de Jérusalem Rav Chalom Messas zatsal écrit dans son livre «Véham Achémech» : « Pour-quoi la paracha qui relate les relations interdites-les nudités- précède la pa-

rachat Kidouchine? Pour t’enseigner que chaque fois que tu trouveras des « barrières » d’interdictions relative aux mauvaises mœurs, tu trouveras alors de la sainteté!» Et tout celui qui prend garde à ces interdictions est appelé «Kadoch» Saint.

Un verset dit : « Aharé Elokim té-lékhou , Vébou têtvkoun..» Vous marcherez derrière HM et vous vous collerez à lui.. De même qu’il est écrit «Véatêm adbekim b’HM » Vous êtes collés à HM..». Le Rav Messas qui partage l’avis du Rav Fraji Uzan zal s’interroge : «Est-il possible qu’un homme se «colle» à la Majesté Di-vine? N’est-ce pas qu’il est dit : «HM ton D-ieu est un feu dévorant!. En fait explique le Rav, l’homme a le devoir de «copier» en quelque sorte les Mid-dots de D-ieu c’est-à-dire ses traits de caractère… de prendre exemple sur lui! comme sa bonté ou encore sa justice ou sa Sainteté…Voilà à mon sens ce que veut dire : «Kidouchin tiou ki kadoch ani HM Elokhém » Soyez saints, car je suis Saint, Moi l’Eternel votre D-ieu!». Pour com-prendre le véritable sens de cette ordonnance, imaginons un instant qu’un pauvre se tient aux portes de la Banque de France et tend sa main…Voilà qu’une voiture s’arrête et qu’un homme aux allures bourgeoises, des-cend du véhicule et rentre dans cette banque, pour effectuer un important retrait d’espèces.

A sa sortie, une mallette chargée de liasses, il se rapproche du pauvre qui n’a pas bouger de sa place et lui dit :« Monsieur, pourquoi vous tenez vous devant la banque en tendant la main ainsi? Faites donc comme moi, c’est très facile, entrez dans la banque et signez un ordre de retrait ! Que pen-serions-nous d’un tel homme? Voilà un « richman » qui méprise son pro-chain!. Pourtant, en lisant le début de la paracha l’Eternel nous demande de lui ressembler. Est-il possible à un homme de ressembler à son créateur? C’est une requête irréalisable, une mission impossible car il est évident que la sainteté d’HM est inaccessible à l’homme!. Nous trouvons égale-ment dans la Thora, l’évocation de la crainte que nous devons avoir d’HM, lorsque Moise dit : « A présent ô Is-raël ce que réclame l’Eternel ton D-ieu c’est uniquement de le craindre!». Apparemment la crainte et le respect d’HM sont présentés ici comme une mission pour le moins facile…C’est ce qui suscite la question des sages du Talmud dans le traité Bérakhot.

« Craindre HM est-ce un commande-ment minime? Et les sages répondent : « Oui! Mais du point de vue de Moise seulement..» Cela sous-entend qu’il n’est pas évident de l’exiger de tous les fils Israël et à plus forte rai-son, la «Kédoucha» la sainteté qui reste la caractéristique essentielle de notre Créateur. Alors comment la Thora peut elle ordonner à tout un peuple de demeurer Saint? C’est bien là la question !.

La réponse est la suivante, D-ieu a créé l’homme pour le placer dans ce monde. De la même manière qu’un ingénieur connait les rouages d’une machine très sophistiquée, D-ieu connait parfaitement les «compo-sants», les aptitudes et les limites de sa création. Par conséquent, si D-ieu estime que l’homme dispose des

aptitudes nécessaires, pour atteindre cette « Kedoucha » sainteté, c’est que cela ne fait aucun doute pour lui!. Il a donc doté l’homme de moyens pour atteindre cette sainteté grâce à l’étude de la Thora notamment. Selon le Rav Chlomo Messas zatsal, nous retrouvons dans cette paracha les Dix commandements, mais cette fois énoncés d’une autre manière que dans la paracha Ytro et Véethanane. Le Keli Yakar développe en effet la teneur de chacun de ces dix comman-dements, comme ne pas mentir ou ne voler son prochain, ou encore ne pas mettre d’obstacles devant un aveugle, qui signifie également tromper son prochain…Le Rav affirme que la sainteté d’un homme est déterminée aussi en fonction des retenues dont il fera preuve.

Celui qui s’interdit de consommer des nourritures «non cachère» est appelé également Saint ! Cette nourriture non cachère, la Thora nous ordonne de la donner aux chiens…

«Tu aimeras ton prochain comme toi-même» dit le verset…nous trouvons dans les « Perkei Aboth » l’histoire bien connu de Chamaï et d’Hillel Azakêne à propos d’un non juif venu les rencontrer pour apprendre la Tho-ra. Il dit à Chamaï converti moi et en-seigne-moi la Thora, à condition que tu le fasses sur un seul pied…Chamaï lui répondit vas donc rencontrer Hil-lel ! Lorsqu’il se trouva devant Hillel il lui dit la même chose : « Enseigne-moi la Thora sur un pied et j’accepte-rais ainsi de me convertir…Alors Hil-lel lui répondit : « Ne fait pas a autrui ce que tu ne veux pas qu’on te fasse à toi même! C’est cela aimer son prochain comme soi-même!. Hillel poursuivit est dit : «Notre père Yaa-cov avait en lui deux types d’amours, l’amour de D-ieu et l’amour du pro-chain, voilà pourquoi HM lui promit : «je serais partout avec toi!» cela nous apprend que lorsque nous nous employons à faire ce qui est en notre possibilité…D-ieu nous aide alors à nous dépasser pour atteindre ce à qui était pour nous jusque là inac-cessible!. Voilà pourquoi Hillel nous conseillera d’abord d’aimer notre prochain, y compris même l’étranger comme il est dit dans la Thora : «Car tu a été étranger toi-même en Egypte» et si tu aime ton prochain alors tu auras le mérite d’aimer D-ieu. C’est en ces termes que s’exprime Hillel. Car tout celui qui haït son prochain porte atteinte à l’image de D-ieu!!. Rabi Akiba a même écrit : «Aimer son prochain comme soit même ren-ferme toute la Thora!». Nous avons également le devoir impérieu de ne pas haïr notre frère dans notre cœur et évidemment de faire ce qui a en notre pouvoir pour le «ramener dans le bon chemin» comme il est dit : «Okhia’h tokhia’h êt amitékha vélo tisa alav hêt» «Fais des reproches à ton prochain, de sorte que tu ne portes pas une faute par sa cause!» Bien sûr nous devons le faire le plus souvent avec tact et ne pas fermer les yeux, car dit le Rav, c’est parce que les juifs se sont détournés des fautes de leurs frères, qui a suscité la haine, et qui amena à la destruction du temple de Jérusalem. Puissions nous assister à sa reconstruction, Amen !

Yvan Lellouche

Parachat Aharé Mot – Kidouchin : Ethique juive


Selon le Conseil national de tran-sition (CNT), qui dirige la Libye depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi, la lettre pro-mettant un financement libyen à Sarkozy semble «falsifiée». «Nous pensons que la lettre est fausse et fabriquée», a déclaré à la presse le chef du CNT Mustapha Abdeljalil, en référence à une note publiée par le site d’information Mediapart laissant entendre que le régime li-byen était, en 2006, prêt à financer la campagne de Nicolas Sarkozy à hauteur de 50 millions d’euros.

Deux anciens dignitaires libyens, dont l’ex-chef des services de ren-seignements extérieurs de Kadhafi, Moussa Koussa, en exil à Doha, ont affirmé que ce document était un faux.A quelques jours du second tour de la présidentielle en France, la pu-blication de cette note a provoqué une tempête politique dans l’Hexagone.

Dénonçant une «infamie» le prési-dent sortant Sarkozy a porté plainte

contre le site Mediapart pour «faux et usage de faux», conduisant le parquet de Paris à ouvrir une enquête. Deux anciens dignitaires libyens, dont l’ex-chef des services de renseignements extérieurs de Kadhafi, Moussa Kous-sa, en exil à Doha, ont affirmé que ce document était un faux.

Le CNT a également demandé à la France d’extrader Bachir Saleh, ex-dignitaire libyen proche de Kadhafi, dont le nom est cité dans cette affaire. «Nous demandons au gouvernement français de nous remettre Bachir Saleh, conformément à la notice internationale diffusée par Interpol pour des fraudes financières et des actes criminels» a déclaré Mustapha Abdeljalil.

Le nom de Bachir Saleh est apparu dans les médias pendant le week-end. Par l’intermédiaire de son avocat français, il a démenti être le destina-taire de la note citée par le site d’in-formation Mediapart.

La lettre promettant un financement libyen à Sarkozy»fabriquée»

Le ministre japonais des Affaires étrangères Koichiro Gemba a ex-horté Israël à la «patience» face au programme nucléaire iranien et à donner une chance aux sanctions, a déclaré mercredi un porte-parole du ministère. M. Gemba, qui est arrivé mardi en Israël, a rencontré le Premier ministre israélien Ben-jamin Netanyahu et son homologue israélien Avigdor Lieberman.

Il devait ensuite rencontrer le Premier palestinien Salam Fayyad à Ramallah en Cisjordanie. Selon un communi-qué de son porte-parole Masaru Sato, le chef de la diplomatie japonaise a dit à M. Netanyahu que «la patience serait nécessaire pour faire face à la question du nucléaire iranien, ce à quoi M. Netanyahu a répondu qu’Is-raël ne voulait pas la guerre».

Lors de ses discussions avec M. Lie-berman, M. Gemba a affirmé que le Japon partageait les inquiétudes de la communauté internationale sur le programme nucléaire de l’Iran et qu’un «niveau sans précédent de pression» était exercé sur Téhéran.

«Il est important de continuer à faire pression sur l’Iran car cette pression commence à produire ses effets, dans une certaine mesure», a-t-il dit à M. Lieberman, appelant Israël «à faire preuve de retenue», selon le commu-niqué. Le Japon est l’un des princi-

paux acheteurs de pétrole iranien, mais a baissé de 33,5% ses impor-tations de pétrole en mars 2012 par rapport à mars 2011, selon les statis-tiques officielles japonaises.

Une grande partie de la communauté internationale, Israël en tête, craint que la République islamique, sous couvert de programme nucléaire ci-vil, ne cherche à développer l’arme atomique, ce que dément formelle-ment Téhéran.

Les dirigeants israéliens multiplient ostensiblement les déclarations appa-remment contradictoires sur l’Iran --agitant périodiquement la menace d’une opération militaire-- afin d’en-tretenir l’ambiguïté sur leurs inten-tions et faire pression sur la commu-nauté internationale, en particulier les Etats-Unis. Israël accuse l’Iran de mettre à profit les discussions sur son programme nucléaire avec le groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni et Allemagne) «pour gagner du temps».

AFP

Le Japon invite Israël à la «patience» sur le nucléaire iranien

Sous la présidence de la française Christine Lagarde, qui, soit-dit en passant, ne méritait pas ce poste – Stanley Fischer aurait été bien plus compétent, le Fonds Moné-taire International a rejeté mardi une demande officielle d’un groupe américain, réclamant la suspension des relations du FMI avec le gou-vernement de Téhéran, dans le but de se mettre en adéquation avec les sanctions américaines et euro-péennes contre la bombe nucléaire iranienne.

Le FMI a déclaré que son compte auprès de la Banque Markazi est tout simplement liée à l’adhésion de l’Iran au sein du FMI et ne contrevient pas aux sanctions imposées à Téhéran. Le groupe américain « Uni Contre l’Iran Nucléaire », dont les princi-paux membres sont des anciens di-plomates et représentants gouverne-mentaux, souhaite que le FMI ferme son compte à la banque Markazi, une banque ciblée par les sanctions inter-nationales.

L’ONG a également critiqué la direc-trice générale du FMI, Christine La-garde, pour avoir « fait les louanges de l’Iran et de la banque Markazi, le mois dernier à Washington, avec les représentants de l’Etat iranien. » « Le FMI doit également cesser de traiter le régime iranien comme un gou-vernement responsable, alors que la communauté internationale tente de l’isoler. »

Antoine Chatrier

Christine Lagarde refuse d’appliquer les sanctions américaines et européennes contre l’Iran


En réponse à un tir de roquettes sur Israël, un avion de chasse israé-lien a pris pour cible un tunnel de contrebande au nord de la bande de Gaza. Une frappe directe a été confirmée. Depuis le début de l’an-née 2012, plus de 265 missiles tirés depuis Gaza se sont déjà abattus sur Israël.

Hier toujours, des soldats israéliens en patrouille près de la clôture de sécurité le long de la frontière avec Gaza avaient été la cible de coups de feu. Cette attaque n’avait pas fait de blessé. Pour accéder au commu-niqué officiel, cliquez ici. Tsahal ne tolérera aucune tentative de nuire à

ses soldats et aux citoyens israéliens, et continuera à opérer avec force et détermination contre tout élément qui utilise le terrorisme contre Israël. Tsa-hal tient le Hamas responsable pour toute activité terroriste qui émane de la bande de Gaza.


Tsahal cible un site d’activité terroriste à Gaza

Il aura donné, avouons-le, du fil à retordre aux experts israéliens en sécurité informatique. Le saoudien Oxomar, hacker anti-juif, anti-is-raélien et anti-tout-ce-qui-n’est-pas musulman est finalement mort cette semaine. A son âge, il y a de quoi se poser des questions sur les véritables raisons de sa mort : officiellement une crise d’asthme. Mais qui meurt encore d’asthme aujourd’hui ?

Selon le site web « Sabak », le pirate, âgé de 28 ans, est mort alors qu’il venait d’être nommé fonctionnaire au Service du Roi des Saoud. Lors d’une tempête de sable et de poussière, il aurait été pris de panique avant de mourir sans que personne ne lui porte assistance. OxOmar, qui se faisait aussi appeler « vainqueur des juifs », avait piraté les données de la plus grande société israélienne de cartes de crédits et diffusé les données de plusieurs milliers d’entre-elles. Il avait affirmé avoir piraté 1 million de cartes mais dans les faits, il ne fût rien.

D’autant que la plupart des cartes étaient déjà périmées. Les sites de la Bourse de Tel Aviv et celui des réser-vations en ligne de la compagnie aé-rienne El Al figuraient parmi les vic-times du hacker saoudien. Ces sites ont été rendus inaccessibles pendant plusieurs heures.

Rattaché à un groupe de hackers wahhabites, cet antisémite notoire, qui détestaient tout autant les fidèles chrétiens, avait consacré l’essentiel

de son travail au combat contre « les infidèles de l’Internet. » Et déjà les premières rumeurs circulent : il aurait été tué par le Mossad. Les arabes ai-ment bien parler du Mossad.

Le plus drôle, c’est que cette fois, ils pourraient bien avoir raison. Après tout, les israéliens sont parfaitement infiltré dans le monde musulman : en Iran les ingénieurs nucléaires tombent comme des mouches… Alors un pauvre petit hacker qui vit dans un appartement de banlieue de Ryad…

D’ailleurs, le Premier Ministre Neta-nyahu avait promis de « traiter ces pirates informatique » comme des « terroristes. » Danny Ayalon, le vice-ministre des affaires étrangères, avait lui affirmé qu’Israël « a la capa-cité active de frapper tout ceux qui cherche à lui faire du mal. Aucun hacker n’est à l’abri des représailles. » Ce serait donc chose faite ce soir, avec une frappe parfaitement ciblée.

Une excellente nouvelle pour le petit monde de sa sécurité informatique. Dès lors, comment conclure sur une note d’espoir : au moment ou Oxo-mar agissait, nous avions pu remonter la piste des hackers du Gaza Hacker Team (qui avait revendiqué noter mise hors-ligne)… Avant de trans-mettre ces informations à qui de droit. Peut-être seront-ils les prochains sur la liste (et peu importe qu’ils aient agis depuis la France et la Turquie !).

Amos Lerah

Le hacker saoudien OxOmar tué par une tempête de sable. Ou par le Mossad?

Les forces de sécurité égyptiennes ont déjoué un complot iranien visant a assassiner l’ambassadeur d’Arabie Saoudite au Caire il y a plusieurs mois, a rapporté mardi l’AFP citant un responsable saou-dien. Selon le rapport, le conseil-ler juridique de l’ambassade du royaume, Sami Jamal, a déclaré à Al-Hayat que l’Egypte avait «arrê-té trois iraniens planifiant d’assas-siner l’ambassadeur, Ahmed Kat-tan.»

Jamal a ajouté que «les autorités égyptiennes ont informé les parties concernées au sein du ministère saou-dien des affaires étrangères des détails du complot, mais la partie saoudienne a choisi de garder le silence sur la question.» Le rapport vient après que Riyad a rappelé son ambassadeur au Caire au cours du week-end. Kattan a été rappelé pour consultation à la suite de protestations devant l’ambas-sade saoudienne au Caire.

Les manifestants protestaient contre

l’arrestation d’un avocat égyptien dans le royaume. Des militants égyp-tiens ont dit qu’il avait été arrêté pour s’être exprimé contre les mauvais traitements infligés à des égyptiens en Arabie Saoudite.

Les autorités saoudiennes ont dit pour leur part qu’il était dans la contrebande de drogues. Jamal a dit mardi au quotidien saoudien Al Sharq que «tout le monde s’inquiète de ce que des parties étrangères exploitent les manifestations de certains de-vant l’ambassade pour attaquer des membres de la mission,» selon l’AFP. L’Iran a nié les accusations de com-plot contre Kattan comme étant «ab-solument incorrectes.»

«La fabrication de ce genre de ques-tions ne peut aider qu’a la division entre les pays musulmans et profi-ter au régime sioniste,» a déclaré à l’AFP le porte-parole du ministère iranien des affaires étrangères, Ramin Mehmanparast. En octobre, les auto-rités américaines ont affirmé avoir démantelé un complot ourdi par deux hommes liés au gouvernement ira-nien pour assassiner l’ambassadeur saoudien au Etats-Unis. L’Iran avait fermement nié les allégations.

L’Egypte déjoue un complot iranien pour tuer l’ambassadeur saoudien


Le premier cycle du cours «Cyber Bouclier» de la Branche de Télé-gestion de Tsahal touche à sa fin. Tsahal fait partie des pionniers en matière de cyber-défense. Cette semaine, le premier cycle du cours «Cyber Bouclier» s’est terminé, au sein de la Branche de Télégestion. Durant des mois d’études inten-sives, les soldats se sont entraînés aux opérations de cyber-défense.

Les diplômés de ce cours vont maintenant intégrer diverses unités notamment au sein de l’Armée de l’air, de la Marine, de la Branche des Renseignements et de la Branche de Télégestion. «Tsahal en 2012, c’est aussi une armée spécialisée en guerre cybernétique », explique le comman-dant de la base d’entraînement de la Branche de Télégestion, le Colonel Micky Bouskila.

«Nous faisons face à de nombreux défis et nous devons être prêt à les relever.» Les participants à cette for-mation sont des soldats talentueux, sélectionnés à l’aide d’examens spé-ciaux.

A en croire les officiers et comman-dants qui ont encadré le cours, il ne fait aucun doute que la qualité et la motivation de ces soldats contribuera grandement au succès de Tsahal. Le second cycle d’études va commencer dans quelques mois. Il y aura norma-lement trois cycles par an.

Un soldat prêt à répondre à d’éven-tuelles cyberattaques «Aujourd’hui, la technologie et Internet sont des éléments cruciaux pour les perfor-mances opérationnelles de Tsahal.», explique le Lieutenant-colonel Orit Tatarski, directeur de l’école d’infor-matique de Tsahal. «Cela n’est que le début.

Nous allons mettre en place d’autres formations en matière de cyber-dé-fense.» Tsahal est l’un des pionniers dans ce domaine. D’autres orga-nismes de sécurité sont intéressés par son expérience et cherchent à acqué-rir le même niveau de capacités en la matière.


Tsahal en 2012, c’est aussi la guerre cybernétique


J’aimerais une droite Française qui ne soit pas à gauche, et cela n’existe pas. J’aimerais une Droite nationale qui ne soit pas d’extrême droite, qui soit pro-américaine et pro-israélienne, qui comprenne les bienfaits du capitalisme, et qui surtout ne soit pas raciste et xéno-phobe et ça n’existe pas. J’aimerais une gauche honnête et ça n’existe pas.

J’aimerais une extrême gauche – qui s’est associée à l’islam pour détruire notre civilisation – marginalisée, dont les dégueulis de haine antisémite ne dépassent pas les arrières salles des cafés de St Michel et ça n’existe pas. Beaucoup espèrent, avec l’élection de François Hollande, une explosion de l’UMP, une recomposition, et l’émer-gence d’une vraie droite.

Pensent-ils vraiment que les dino-saures vont abandonner leurs privi-lèges et leurs idées figées ? Il faut arrêter de fantasmer… et mieux connaître la France des notables. Ex-plosion sans doute, mais recomposi-tion mon œil ! Prenez les mêmes, agi-tez, et vous aurez la « nouvelle droite » et rien ne changera.

Ni le dirigisme économique, ni la su-rimposition des entreprises et des mé-nages, ni le gaspillage des dépenses publiques, ni la couardise politique face à l’idéologie culpabilisante des

médias et des « élites », ni leur menta-lité de profiteur. J’aimerais une droite courageuse qui prend le taureau par les cornes, qui dénonce enfin la hon-teuse alliance de la gauche avec le diable communiste et trotskiste, et cela n’arrivera pas.

J’aimerais une France plus démocra-tique et cela n’arrivera pas. J’aimerais une droite économe qui équilibre ses dépenses et garde du surplus pour alléger la dette des futures généra-tions ; qui libère le travail et la créa-tivité des carcans de la bureaucratie ; qui hisse les patrons au rang mérité de héros modernes ; qui interdise le Parti communiste – et tout ce qui se situe à sa gauche – car on interdirait un parti néo-nazi ; qui supprime les subventions aux associations poli-tiques comme SOS Racisme et autres racailles ; qui fiche en l’air les syndi-cats – ils ne servent qu’à faire grève et 94% des salariés n’en veulent pas ; une droite qui tire à bout portant sur la perfide éducation nationale.

J’aimerais un Etat qui ne se mêle pas de donner des cours de danse à l’Opéra de Paris et de théâtre à la Co-médie française, ni de choisir quelle boutique de sacs à main doit s’ins-taller à l’aéroport Charles de Gaulle, ni d’émettre des chèques vacances, encaisser des péages d’autoroute, et payer des vedettes de télé – toutes choses que des professionnels savent

faire bien mieux – mais un Etat qui s’occupe d’affaires d’Etat ; et j’aime-rais une administration qui se remette au travail, et des fonctionnaires qui la rabaissent d’un cran en se rappelant que leur patron, c’est le citoyen, et qu’ils sont à son service.

Et rien de tout cela n’arrivera. Fran-çois Hollande est un mou. Aucun gouvernement socialiste n’a voulu de lui.

Et c’est un hypocrite. Il dit détester les riches mais il vit en riche et a héri-té de son père pétainiste une coquette fortune. Entre le 16e arrondissement où il habite, sa résidence à Mougins – ville des milliardaires – et ses déjeu-ners chez Laurent à 300 euros l’addi-tion, s’il déteste les riches, il faut qu’il cesse de se regarder dans la glace. Hollande la vertu rejette les électeurs d’un Front National qui aurait une moralité douteuse. Mais il invite à sa tribune un Hessel qui encourage le terrorisme, pourvu qu’il tue des Juifs. En la matière, Jean-Marie

Le Pen, qui ne soutient pas le Hamas, vaut mieux que Stéphane Hessel. Les Français vont voter pour la gauche caviar ? Ils vont avoir la gauche et François Hollande le caviar. Philippe Karsenty a écrit ici qu’il respecte toutes les opinions et tous les votes.

Pas moi. Je ne respecte pas ceux qui, connaissant le bilan de François Hol-lande en Corrèze, refusent d’en tirer les conclusions. Hollande va dépen-ser sans compter parce qu’il ne sait pas compter, et il va ruiner la France comme il a ruiné la Corrèze. Hol-lande jette tellement l’argent par les fenêtres qu’il a dépensé tout l’argent de sa campagne électorale – il est obligé d’annuler des meetings.

Quand il sera Président, c’est votre argent qu’il va jeter par les fenêtres. Ca va vous faire tout drôle. Car il va encore serrer la ceinture des Français, pour financer ses folies, mais lui et les siens continueront à vivre comme des pachas, façon URSS. Hollande gouvernera un peu comme le Maire socialiste de Paris, qui réduit les voies de circulation et de stationne-ment pour contraindre les parisiens à prendre les transports en commun, mais qui se déplace en voiture avec chauffeur en empruntant les couloirs de bus.

C’est tout un état d’esprit. Hollande enverra la France dans le mur, mais il accusera Sarkozy de l’avoir construit. Il y aura de plus en plus de chômeurs, mais il mettra ça sur le dos de la crise, de l’immoralité des chefs d’entre-prises, de la finance, ou de l’héritage Sarkozy.

Il confisquera l’argent des investis-

seurs privés pour que l’Etat inves-tisse, mais +1-1, ça ne fait jamais que zéro, et comme les investissement de l’Etat sont toujours plus stupides que ceux des gens, le résultat sera un ap-pauvrissement des investisseurs pri-vés sans bénéfice pour la collectivité. La seule expérience de gouvernance de Français Hollande, c’est la ville de Thule, 17.000 habitants. Bonjour l’expérience. Hollande n’a jamais fait une loi, ni un seul projet de loi. Enarque, même l’administration ne l’a jamais fait travailler.

D’ailleurs, il n’a jamais travaillé non plus dans le privé, même en stage. Et il va expliquer aux entreprises com-ment relancer l’économie et remettre la France sur ses rails ? Mort de rire. Malheureusement, Sarkozy n’a pas un beau tableau à afficher non plus. Elu sur un programme de « droite », il avait un boulevard devant lui pour le mettre en pratique, et il était porté par le vent de l’espoir et du changement.

Au lieu de cela, il a fait une ouver-ture à gauche : me dites pas que c’est à cause de la crise. Il a composé son gouvernement avec des gens de gauche, et il a même demandé à Jacques Attali – un homme de gauche – de faire 300 propositions pour changer la France.

La droite a de meilleurs penseurs. D’ailleurs rien n’est sorti des 300 propositions : la gauche ne sait pas proposer des changements, elle a le cerveau bloqué sur 1968. La gestion de la crise économique de 2008 est mise au crédit de Nicolas Sarkozy, mais que je sache, d’autres s’en sont sorti bien mieux, Israël par exemple, en prenant des décisions bien plus pertinentes.

Et je n’ai pas connaissance que Sarkozy ait apporté plus de liberté, ou redonné espoir aux Français, ou établi plus de démocratie. Le non au référendum sur la constitution, contourné en signant le traité de Lis-bonne, quelle gifle. Selon moi, avec Sarkozy ou Hollande, la France va dans le mur.

Il n’y a que la vitesse qui change – donc l’ampleur des dégâts et le mon-tant des réparations. C’est là que se situe toute l’affaire. Le mur coté pile c’est la faillite économique. Sarkozy fait faillite à la vitesse de 1700 mil-liards en 5 ans, Hollande en rajoutera quelques centaines en 5 mois.

Coté face, c’est l’islamisation : rapide avec Sarkozy, très accélérée avec Hollande. Certains veulent vite en finir et appellent à voter pour le pire, pour Hollande, et repartir en 2017 sur des bases saines. Des bases saines ? Regardez la tronche des autres candi-dats, et celle des partis politiques qui

comptent. Montrez-les moi, les bases saines, elles m’ont échappé.

D’autres veulent voter Sarkozy car il est finalement moins pire. C’est vrai qu’il est moins pire. C’est donc ça la France ? Elle ne peut produire que du pire ou du moins pire ? Le 6 mai, j’aurais des choses plus importantes à faire que d’aller voter : je serais au service de mes lecteurs. Je serais devant mon écran pour vous apporter les informations sur les élections en continu, comme je l’ai fait le 22 avril.

J’aime plus la liberté que la France, alors je l’ai quittée : vous avez fait une bonne affaire, car un Dreuz fran-çais ne pourrait pas exister, l’état de la censure et de la police de la pensée ne le permettrait pas. Et ça ne va pas s’améliorer. Hollande ou Sarkozy, pour moi, c’est kif kif bourricot.

Et je ne vote pas pour des bourriques. Donc je m’abstiendrais. Mais ne faites pas ce que je fais, car pour vous qui vivez (ou dépendez) de la France, l’histoire est différente. L’idée de laisser Hollande se faire élire, puis de le voir se vautrer, mettre la France à genoux, et attendre la reconstruction en 2017 est une idée séduisante.

Mais elle n’arrivera pas. Tout s’y oppose, à commencer par les 54 ou 57% de Français qui vont voter Hol-lande comme des cons, et qui seront toujours aussi cons après.

Le renouveau, si renouveau il y a, ce ne sera pas en 2017, ni en 2022. Il faudra plusieurs générations. Il fau-dra que les Français se prennent en main, individuellement, et cessent d’attendre que les solutions viennent de l’Etat. Car l’Etat, c’est un nid à problème, pas à solutions.

Mais pour l’heure, le ressort des Français est cassé, et ni Sarkozy ni Hollande n’ont la boite à outil. Il n’est pas question de voter pour un Hollande collabo de l’islamisation et des terroristes de la pensée révolu-tionnaire, un Hollande riche honteux, qui a planté la Corrèze et même le budget de sa campagne électorale ; un Hollande dont les mandarins de la gauche disent tout le mal qu’ils pen-sent de lui.

Il faut, le 6 mai prochain, voter Sarko-zy en lui faisant savoir qu’on ne vote pas pour lui mais contre Hollande, et qu’il ferait bien, si par hasard il était élu, d’avoir la victoire modeste car il ne la mérite pas. Enfin, si par votre vote Nicolas Sarkozy est élu, ne vous attendez pas à des miracles. Le cou-rage ne lui viendra pas du fait qu’il n’aura plus d’autre mandat à briguer.

© Jean-Patrick Grumberg

Le 6 mai, ne faites pas ce qui vous plait, et votez Sarkozy


Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme exprime l’indignation de parisiens susci-tée par des affiches représentant

Hitler,et comparant le Président de la République Nicolas SARKOZY candidat au second tour des élec-tions présidentielles,au Furher. Le

slogan qui les accompagne : VO-TER SARKOZY C ‘EST VOTER LE PEN»

Par:SammyGholan

Leur référence à la «fête du travail «tend à confirmer qu’elles ont été créées récemment.Ces 4 sortes d’af-fiches sont collées sur des panneaux electoraux rue Payenne à Paris 3 . Elles ont été découvertes le 1 er Mai 2012 vers 13h par l’un des passants qui les a potographiees pour nous les transmettre. Pour le BNVCA ces caricatures sont outrageantes pour la République La violence et l’irrespect des concepteurs de ces affiches qui incitent à la haine ,se passent de com-mentaires .

Comparaison outrageante: Nicolas SARKOZY à HITLER découvertes sur les panneaux à PARIS

Faut-il encore préciser combien la presse française ayant, paraît-il, une déontologie est au niveau des caniveaux ? L’Humanité et Libé-ration ont récemment titré sur le « fascisme » de Nicolas Sarkozy. Cinq années d’un mandat sans l’ombre d’une telle preuve n’ont pas retenu ces deux médias de descendre si bas ! L’hebdomadaire Marianne, quant à lui, s’est contenté de titrer, sur une photo du président sortant : « La honte de la Ve République ». Ces unes finalisent un quinquennat de haine à l’encontre du président sortant.Par:Victor PEREZ

Il n’est pas le seul à ‘’bénéficier’’ de cette animosité idéologique. Tous ceux semblant argumenter contre une présidence de François Hollande sont désignés également à la vindicte populaire. Il en est ainsi pour le Pré-sident du Crif Richard Prasquier qui a écrit un article pour le quotidien Haaretz, afin d’expliquer la situation de la communauté juive à la veille du second tour de l’élection prési-dentielle. La teneur des propos a, là encore, fortement déplu aux tenants du politiquement correct.

Jack Dion et Claude Askolovitch dans Marianne 2 ont donc commis, du coup, un éditorial et une tribune à la hauteur de leurs rages. L’un intitulé « L’honneur perdu de Richard Pras-quier », la seconde « La morale du Crif s’arrête aux portes du ghetto ». Dès la lecture de ces deux titres, cha-cun aura compris qu’il faut dissoudre le Crif et pendre son président. Et tant pis si la très grande majorité de la communauté juive française n’a, elle, rien à reprocher à cette organi-sation ni à ce texte. Les inquisiteurs ont parlé, le peuple (juif notamment) doit se taire !

Selon Jack Dion, Richard Prasquier « a encore perdu une bonne occasion de se taire. Dans une tribune publiée dans le quotidien israélien Haaretz, il propose une grille de lecture dévas-tatrice de la situation politique en France à l’occasion de l’élection pré-sidentielle ». Outre que le Richard Prasquier n’a nulle autorisation à attendre de cette presse nauséeuse, il n’est fait nulle part mention dans son texte d’un appel explicite à voter pour un candidat.

Un texte dont le chapeau indique

une préoccupation plus que légitime : « Pour les Juifs Français, l’une des question clé est de savoir comment chaque candidat est prêt à lutter contre le nouvel antisémitisme qui s’est développé sous le masque de l’antisionisme ». Seule l’interpréta-tion orientée du rédacteur en a tiré des conclusions répugnantes. Voici son résumé. -

« Il serait dommage de perdre Nico-las Sarkozy » aurait assuré Prasquier car il a tissé « des liens profonds avec la communauté juive française ». Ces liens seraient-ils inexistants ? Et si non, faut-il taire cette vérité ? Taire cette vérité, ne serait-il pas considéré comme un appel silencieux à voter pour le candidat Hollande ? Le propa-gandiste de Marianne 2 ne poussera pas sa réflexion si loin ! -

« Il y a lieu de s’inquiéter de l’éven-tuelle élection de François Hollande, non à cause de ses choix personnels, mais en raison de ses alliés, suspec-tés d’afficher leur « profonde hos-tilité » envers Israël, à commencer par Jean-Luc Mélenchon, dont le poids politique peut faire redouter un développement des « manifestations d’antisionisme ».

Est-ce faux ? Les Verts et le Front de gauche, associés de tout gouverne-ment de gauche, sont-ils si inoffensifs envers l’Etat d’Israël que Richard Prasquier ne doit tenter, selon sa place et son rôle, de prévenir les élec-teurs juifs, parallèlement très avertis de ce danger ? Ces deux partis, mais pas seulement, n’ont-ils pas mani-festé, jugé et condamné, aux côtés des sympathisants du Hamas et du Hezbollah, « l’accusé israélien » sans même l’entendre ?

Ne déploient-ils point le paravent de l’antisionisme dès lors que l’état juif bouge dans un sens ou dans un autre ? Ces ‘’petites’’ questions ne seront point abordées dans cette presse de gauche si encline à voir dans le Juif le responsable de tous les maux.

- « En revanche, il n’y aucun pro-blème avec Marine Le Pen. En effet, la candidate du Front National a fait des efforts louables et méritants pour « attirer le vote juif ». De plus, elle a centré sa campagne sur « la com-munauté musulmane et les questions d’immigration ». Que peut-on lui de-

mander de plus ? » Là, on touche les bas-fonds du journalisme.

Assurer que Richard Prasquier à fait quelque part dans son texte, ou ail-leurs, l’éloge du FN et s’est réjoui que Marine Le Pen a oublié la com-munauté juive car trop occupée à s’en prendre à la communauté musul-mane cache, en fait, la peur de voir un jour le peuple français mettre fin à l’ostracisme qui touche ce parti et mettre en péril les prébendes de cette gauche fétide. Dans les faits, Richard Prasquier, dans un éditorial du vingt avril, soit deux jours avant le scrutin, intitulé « Un droit chèrement acquis » a condamné les deux extrêmes. Celui de gauche et celui de droite.

Contrairement aux donneurs de leçons il n’est ni aveugle ni borgne. Claude Askolovitch, auteur du deu-xième article, s’affiche, quant à lui, Juif et Journaliste. Outre que dans un récent débat il a avoué avoir du mal à se reconnaître actuellement en tant que Juif dans l’Etat d’Israël, chacun pourra douter, à la lecture de sa tri-bune, qu’il soit également journaliste. Il en est réduit à analyser « La trans-gression du texte de Prasquier (qui) se situe ailleurs, dans ce qu’il dit du Front national – ou plutôt ce qu’il ne dit pas ».

Ce qui lui permet ainsi d’extrapo-ler sur ses silences, évidemment abjectes. Des extrapolations aussi écœurantes que celles de son confrère précédemment dénoncé. A chacun donc, si le cœur lui en dit, de se re-porter à cette tribune ci-dessus men-tionnée qui n’a d’autres buts que de ligoter la communauté juive dans sa dénonciation de cette extrême gauche qui a parasité et parasite encore le Parti Socialiste jusqu’à l’éloigner des valeurs universelles.

Ces deux censeurs sous couvert de la pensée correcte sont en fait deux pro-pagandistes en charge de la défense d’une idéologie qui n’autorise aucun écart ni pensée différente. Une idéo-logie que le gouvernement de gauche attendu cajolera dans le bon sens pen-dant les cinq années à venir. Sauf si la réalité s’impose de force au bon peuple. Les flammes du bûcher seront alors, à n’en pas douter, à la hauteur des murs de la prison idéologique.

Publié par Victor PEREZ

L’honneur perdu de la presse françaiseJeudi 26 avril, Tariq Ramadan dé-clare à l’AFP, cité par Le Monde (1) n’avoir jamais appelé à voter Fran-çois Hollande. Immédiatement, François Hollande, qui doit absolu-ment cacher son intention d’ouvrir grandes les portes de la France à l’islam, déclare sur France info (2) : « Il n’a jamais cité mon nom, ce Tariq Ramadan, qui ne vote même pas en France, et je n’ai pas à me justifier quand un individu peut dire qu’il n’aime pas le pouvoir sortant ».

Tout baigne donc : François Hollande dit que l’ « individu » Tariq Ramadan (ses fans apprécieront) n’a pas appelé à voter pour lui, et « ce » Tariq Rama-dan (ses fans apprécieront comment François Hollande parles des arabes) confirme. En fait non, ça ne baigne pas du tout.

Car une note de police (3) du 23 mars révèle que « Tariq Ramadan, ainsi que Youssef Brakni du Parti des indigènes de la République et Marwan Muham-

mad du Collectif contre l’Islamopho-bie en France, ont appelé « à voter pour François Hollande », « pour un parti politique qui serve l’Islam », à Lyon, lors du « Printemps des quar-tiers », le 11 mars dernier. La note de police ajoute :

« Un public d’un millier de personnes très majoritairement musulman, com-posé à parité d’hommes et de femmes dont la plupart étaient porteuses du voile traditionnel, a participé à cette réunion. Une seule femme était revêtue d’un niqab et une dizaine d’hommes arborait la tenue tradition-nelle ». Concernant Tariq Ramadan, la note de police précise : « l’intel-lectuel islamologue et universitaire suisse très médiatique, est intervenu longuement et a encouragé les musul-mans à un certain communautarisme ».

Allah Ouallande !

© Jean-Patrick Grumberg

Tariq Ramadan et Marwan Muhammad : « votez pour François Hollande, un parti qui sert l’Islam »


La construction d’une nouvelle barrière de sécurité autour de la ville de Metulla a commencé le lun-di matin, selon la radio israélienne. La barrière, qui fera quelques mètres kilomètre de long et haute de plusieurs mètres, sera construite principalement en béton et proté-gera les 1.600 habitants de la ville du nord d’Israël des tirs de snipers

cachés dans les villages libanais alentours.

Une barrière de sécurité court déjà tout le long de la frontière avec le Liban, mais l’armée israélienne a jugé nécessaire de renforcer le dispo-sitif par un mur de ciment de 5 à 7 mètres de haut sur cette petite portion qui sépare Metulla du village libanais

de Kila.

« Il s’agit d’éviter des tirs depuis le territoire libanais vers le territoire israélien. Au cours des dix-huit mois écoulés, il y a eu un certain nombre d’incidents », a expliqué le colonel Amit Fisher à JSSNews. Selon des informations obtenues par JSSNews, la construction du mur devrait être terminée d’ici quelques semaines seulement.

Par ailleurs, le gouvernement libanais a été officiellement notifié de cette construction, qui sera faite avec l’ac-cord et l’aide des casques bleus de la FINUL. La frontière d’Israël avec le Liban s’étend de la mer Méditerranée à la chaîne de montagnes du Hermon.

Bien que calme ces derniers mois, la région a vu dans le passé des raids transfrontaliers par des terroristes et des attaques contre des citoyens israéliens et les soldats, ainsi que des tirs roquettes et des tirs de snipers dirigé contre Israël depuis le Liban.

Zeev Koskas

Israël forcé de construire un mur anti-sniper à sa frontière avec le Liban

Le premier ministre Benyamin Ne-tanyahou a demandé à ses conseil-lers d’étudier la possibilité d’orga-niser des élections au mois d’août, et se dirige vers cette option. Des hauts responsables du Likoud ont déclaré que des élections antici-pées en août étaient plausibles, sur la base des récentes discussions entre les éléments de la coalition. D’autres ont mentionné septembre comme une date possible pour des prochaines élections nationales. Cela signifierait que les primaires du Likoud auraient lieu au mois de juin.

Par ailleurs, Benyamin Netanyahou a rencontré les ministres Moshé Ka-hlon et Israël Katz, ainsi que le PDG du Likoud, Gadi Arieli. Dimanche matin, Netanyahou a déclaré qu’il ne craignait pas des élections anticipées et a déclaré qu’une décision sur la question serait prise cette semaine ou

la semaine prochaine. Lors de la réu-nion du Likoud, le premier ministre a déclaré que des élections anticipées étaient possibles.

Il a noté que des éléments dans l’op-position tentent de faire croire qu’ils veulent des élections anticipées. «Ce gouvernement a réalisé de grandes choses en raison de sa cohésion. Si elle se dissout et que des exigences budgétaires sont faites, il n’y aura alors aucune raison de compromettre ces acquis.»

Plus tôt dimanche, Netanyahou a ren-contré des représentants des protesta-taires qui demandent une révision de la loi Tal, qui permet aux ‘haredim (ultra orthodoxes) et aux arabes israé-liens de ne pas faire le service mili-taire ou civil. Netanyahou a déclaré pendant la réunion que «si nécessaire, nous irons aux élections à ce sujet.»

Des élections au mois d’août hautement probable

L’Histoire rendra peut-être justice un jour à tous ces grands hommes – connus ou anonymes – depuis les dirigeants de l’Irgoun et du Lehi jusqu’à Binyamin Netanyahou en passant par Menahem Begin et Itshak Shamir qui auront toujours fait preuve d’un esprit de respon-sabilité nationale même face à des situations parfois intenables ou lorsqu’ils n’étaient pas au pouvoir. Ils plaçaient toujours les intérêts du peuple juif ou de l’Etat d’Israël au-dessus de leurs intérêts politi-ciens ou personnels.

par Shraga Blum

Mais cette même Histoire jugera aus-si avec la plus grande sévérité tous ces opportunistes et fonctionnaires de petite envergure qui auront trahi les intérêts du pays pour s’accorder des avantages politiques, procéder à des vengeances personnelles ou simple-ment faire la une de l’audimat.

Qu’ils s’appellent Meïr Dagan, Gaby Ashkenazy ou Youval Diskin, qu’ils aient été par ailleurs excellents dans les postes qu’ils auront occupés, leur attitude une fois rendu leur tablier est inqualifiable. Israël mène actuel-lement une guerre de survie sur plusieurs fronts. Dans ce combat à armes inégales, la solidarité ainsi que la cohérence du message transmis à destination de la communauté inter-nationale et notamment des ennemis d’Israël sont des nécessités majeures.

Mais ces valeurs ont tout simplement disparu chez toute une série de res-ponsables qui ont oublié ce qu’était la démocratie et qui se servent de leur gloriole personnelle pour cracher dans la soupe qui les a nourris. Ce qu’ont fait les Dagan, Ashkenazy et autres Diskin est tout simplement sui-cidaire. Ils ont asséné un violent coup à la hanche d’Israël alors que l’Etat juif se prépare à un combat pour son existence, et ils ont donné un sérieux coup de pouce aux pires ennemis du peuple juif qui à l’image d’Abou Mazen ne cachent pas leur exultation après ces déclarations.

Rien, absolument rien ne peut excu-ser ou justifier le déballage indé-cent de détails émanant de réunions ultraconfidentielles, le sabotage d’un gouvernement élu par les urnes, la dé-moralisation d’une partie de la popu-lation ou la ridiculisation des respon-sables du pays face à la communauté internationale.

Tout comme l’action nocive et des-tructrice des intellectuels et univer-sitaires israéliens à l’étranger, l’atti-tude de ces individus qui ont pourtant exercé des fonctions très sensibles équivaut à une haute-trahison pour avoir sapé la stratégie politique, di-plomatique et militaire mise en place par les décideurs habilités pour le faire jusqu’à nouvel ordre.

Depuis 2009, tous les cercles qui n’ont toujours pas accepté le chan-gement en profondeur de la société

israélienne qui s’est traduit dans les urnes utilisent tout ce qui en leur pou-voir pour empêcher la démocratie de fonctionner normalement. Si ce n’est par le système judicaire, c’est par les médias, si ce n’est par les médias, c’est par le monde intellectuel et aca-démique, et si ce n’est par ce biais, voilà une nouvelle arme dotée en plus d’un prestige certain : les « anciens » militaires et responsables des services de renseignements.

Point commun à tous ces contrepou-voirs : ils « savent » ce qui est bon pour le pays, contrairement au peuple ignare qui a porté au pouvoir des « Dr. Folamour » en puissance ! Et ils le disent tout haut, quitte à causer des dommages inestimables et probable-ment irréversibles au pays. Pour ces gens, la démocratie n’a de valeur et ne mérite d’être défendue que s’ils sont au pouvoir eux-mêmes. Il ne faut pas se tromper, l’action de ces milieux va se faire de plus en plus pe-sante par le fait que quelle que soit la date de nouvelles élections, leur clan sera à nouveau parmi les perdants.

L’indulgence dont jouit Youval Dis-kin dans les médias depuis qu’il a lan-cé sa « bombe politique » n’a d’égale que l’acharnement et la malveillance dont ont fait preuve ces mêmes mé-dias lorsque le lieutenant-colonel Shlomo Eisner a courageusement « expliqué » à l’anarchiste danois qu’il n’avait rien à faire dans notre pays. Mais l’officier juif, lui, défendait l’honneur de son pays, qualité haute-ment dépréciée de nos jours.

Alors qu’Israël vient de célébrer son 64e anniversaire, il faut se poser la question de l’abandon de tout sens de responsabilité nationale chez une élite en voie de disparition mais en-core tenace, qui prend un malin plai-sir à casser tout ce qui se construit avec peine et à scier la branche sur laquelle s’est édifiée le fragile nid du peuple juif.

Le bal des irresponsables...

Le secrétaire américain à la dé-fense, Léon Panetta, a déclaré jeudi qu’il espérait que les déclarations du chef de l’armée israélienne décrivant le leadership de l’Iran comme rationnel étaient «cor-rectes». Le chef d’état-major de Tsahal, le lieutenant général Benny Gantz, a déclaré mercredi que les dirigeants iraniens «sont compo-sés de gens très rationnels,» et que, bien que Téhéran a atteint le point où il pourrait décider de construire une bombe nucléaire, les dirigeants n’avaient pas encore pris une telle décision.

Gantz a fait des remarques similaires dans une interview avec le New York Times jeudi, disant qu’il ne croyait pas que Téhéran utiliserait sa tech-nologie militaire pour construire une arme nucléaire. Se referant à l’ayatol-lah Ali Khamenei, Gantz a dit qu’il se rend probablement compte que construire une bombe nucléaire serait «une erreur, et je ne pense pas qu’il voudra franchir le pas supplémen-taire,» du moins pour le moment.

Toutefois, aussi rationnel que l’Iran puisse être, Gantz a déclaré que l’Is-lam fondamentaliste a une manière d’entraîner les gens à faire des choses très irrationnelles. «Je pense que la direction iranienne est composée de gens très rationnels.

Mais je suis d’accord qu’une telle ca-pacité, dans les mains de fondamen-talistes islamistes qui, à un moment particulier pourraient faire des calculs différents, est dangereux.» «J’espère qu’il a raison et qu’il sait quelque chose de plus que moi,» a dit Panetta lors d’une visite au Chili. «

Je ne dispose d’aucune information spécifique qui indique que les ira-niens ont pris une décision d’une ma-nière ou d’une autre» sur l’opportuni-té de construire une arme nucléaire, a déclaré Panetta aux journalistes après sa rencontre avec son homologue chilien, Andres Allamand. Ni Israël ni les Etats-Unis croient actuellement que Téhéran a effectivement pris la décision de développer une bombe nucléaire, une décision qui exigerait la capacité de produire rapidement de l’uranium militaire.

«Je voudrais espérer que, en raison du leadership des Etats-Unis, de la communauté internationale et du lea-dership d’Israël, ils prennent la bonne décision,» a déclaré Panetta.

Panetta espère que Gantz a raison au sujet de l’Iran


Un tabou a été brisé avec l’invita-tion officielle faite au président du Conseil régional de Samarie à la Chambre des Lords de Grande-Bretagne. Il s’agit d’une première sachant la position britannique sur le conflit israélo-palestinien et sur-tout envers les juifs qui vivent en Judée-Samarie. Gershon Messika achevait-là une visite marathon de quatre jours durant lesquels il a rencontré diverses personnalités politiques et des faiseurs d’opinion venus d’Europe, d’Afrique et des Etats-Unis.

L’intervention de Messika à la Chambre des Lords fut sans doute le sommet de tout le combat mené par le Conseil régional depuis des années, qui fait venir des milliers de per-

sonnes pour visiter la Samarie et qui maintenant déploie aussi un combat à l’étranger pour contre la propagande mensongère des ennemis d’Israël.

La séance s’est tenue sous l’égide de la baronne Caroline Cooks, l’une des figures de proue de la Chambre, et en présence de diverses personnalités, y compris musulmanes, mais aussi du nigérian Enoch Adeboye, surnommé le « Pape africain » et qui règne sur une centaine de millions de chrétiens africains, européens et américains. Dans son intervention, Gershon Mes-sika a commencé par rappeler « que les prophéties annonçaient un grand chamboulement des idées à l’ap-proche de l’ère messianique ».

Il a ensuite rappelé « que les trois

grandes religions croyaient dans la Bible dans laquelle était écrit en toutes lettres les droit du peuple juif sur la Terre d’Israël et que le christia-nisme comme l’islam devaient aider les juifs à s’installer en Terre d’Israël au lieu de s‘y opposer ». Messika a ensuite parlé plus précisément de la Samarie « berceau historico-religieux du peuple d’Israël mais aussi terri-toire stratégique pour la sécurité et la survie de l’Etat d’Israël » et a mis en garde « contre la création d’un Etat palestinien terroriste au cœur d’Israël ».

Avec beaucoup de courage, que l’on aimerait voir chez tous les dirigeants israéliens, Messika a mis en garde ses interlocuteurs : « Les pays d’Europe doivent comprendre que sans Etat d’Israël personne n’arrivera à barrer la route au déferlement de l’Islam en Europe, et sans la Judée-Samarie, Israël n’existerait plus ».

Les propos sincères et justes du pré-sident du Conseil régional ont été accueillis avec des applaudissements d’autant plus que dans l’auditoire se trouvaient des personnalités qui avaient déjà effectué la visite en Sa-marie dans le cadre de la campagne lancée par le Conseil. D’autres per-sonnalités ont fait part de leur souhait de se rendre prochainement en Sama-rie. « Opération réussie » dit-on au Conseil régional de Samarie !

par Shraga Blum

Gershon Messika Première : Messika à la Chambre des Lords !

L’excellente nouvelle annoncée mercredi par la société de notation financière internationale « Fitch Ratings Ltd » tombe à pic à la veille de Yom Haatsmaout, la fête de l’Indépendance, sachant que l’indépendance économique d’un pays est en grande partie garante son indépendance politique. En élevant d’un cran la note attribuée à Israël – désormais au niveau « A » – l’agence donne crédit à la poli-tique économique et financière du gouvernement Netanyahou et dif-

fuse un message encourageant aux marchés internationaux à l’égard d’investisseurs potentiels en Israël.

La note « A » est au niveau 6 sur une échelle de 20, et cette promotion est d’autant plus méritoire que la ten-dance générale des pays de l’OCDE est à la baisse des notations des prin-cipales agences, « Fitch Ratings Ltd », « Moody’s », ou « Standard & Poors ».

Dans ses motifs, la société « Fitch »

salue « les succès israéliens impres-sionnants dans le domaine macro-économique, la variété des sources d’investissement et un équilibre bud-gétaire strict ». L’agence note aussi, et c’est important « les prévisions économiques stables pour Israël pour les années à venir malgré l’incerti-tude géopolitique régionale ».

Richard Fox, analyste à l’agence « Fitch », note avec satisfaction « les perspectives très encourageantes pour Israël dues à la future exploitation des immenses gisements de gaz, qui vont réduire progressivement les pressions sur l’économie israélienne et la proté-geront à l’avenir des fluctuations des prix des matières premières ». Fox précise toutefois « que les effets de cette exploitation ne sont pas encore comptabilisés dans la présente modi-fication de la notation ».

Ce qui en clair signifie que lorsqu’Is-raël commencera à tirer les bénéfices de ces nouvelles ressources, la nota-tion d’Israël sera à nouveau rehaus-sée et l’économie israélienne sera l’une des plus fortes et attrayantes du monde, avec les implications poli-tiques que cela comporte.

Le ministre israélien des Finances, Dr. Youval Steinitz, s’est réjoui de ce « cadeau de Yom Haatsmaout d’autant plus précieux qu’il vient dans un contexte économique inter-national très difficile ». Steinitz y voit également « un satisfecit donné à la politique fiscale et budgétaire du gou-vernement israélien ».

par Shraga Blum

Le grand A « d’ Atsmaout »!

L’ancienne chef du parti d’opposi-tion israélien Kadima, Tzipi Livni, a annoncé aujourd’hui qu’elle démissionnait de la Knesset (Par-lement), un mois après sa défaite lors des primaires au sein du parti de centre-droit. Son rival, l’ancien ministre de la Défense Shaul Mofaz avait obtenu 61,7% des suffrages exprimés le 28 mars dernier, contre 37,23% pour Livni.

La démission de Livni intervient alors que le Premier ministre israé-lien Benjamin Netanyahu a annoncé son intention d’avancer les élections législatives, qui devraient se tenir entre août et octobre prochains à une date encore indéterminée.

Cette ancienne chef de la diploma-tie israélienne n’a pas ménagé ses critiques, notamment en matière de politique étrangère, à l’égard de l’actuel gouvernement en annonçant sa démission. «Israël est sur un vol-can. L’horloge internationale tourne et l’existence d’Israël en tant qu’Etat juif et démocratique est en danger de mort», a-t-elle dit avant de présenter sa démission au président de la Knes-set Reuven Rivlin.

«Depuis des années les dirigeants israéliens se mettent la tête dans le sable, sont occupés par des exercices politiques et pendant ce temps, la me-nace contre Israël ne fait que croître.

Pour se rendre compte de cela, les rapports du Shin Beth (le service is-raélien de sécurité intérieure) ne sont pas nécessaires», a-t-elle poursuivi. Elle faisait allusion aux déclarations controversées de l’ancien patron du Shin Beth, Youval Diskin, qui a ac-cusé samedi le Premier ministre Ne-tanyahu et le ministre de la Défense Ehud Barak de «tromper» les Israé-liens sur l’Iran et d’être incapables de gérer une éventuelle confrontation avec Téhéran.

Livni a ajouté ne pas regretter d’avoir continué à promouvoir une solution au conflit avec les Palestiniens alors que les négociations sont au point mort depuis septembre 2010.

«Même si le conflit israélo-pales-tinien n’est plus en vogue actuel-lement, il il y a un besoin urgent de promouvoir un accord permanent avec les Palestiniens ainsi qu’avec le monde arabe», a-t-elle dit.

«Je quitte la Knesset à ce stade, mais je ne quitte pas la vie publique», a précisé Mme Livni, âgée de 53 ans et mère de deux enfants, qui bénéfi-cie d’une réputation d’intégrité. Cette avocate de formation avait pris la tête de Kadima en 2009, remplaçant l’an-cien Premier ministre Ehud Olmert, démissionnaire suite à des affaires de corruption.

Tzipi Livni démissionne


L’AP est réduite à créer des Ong sur son sol pour attaquer et délégi-timer les Israéliens en provoquant des situations artificielles et en fil-mant des montages. Un militant danois d’»International Solidarity Movement» (ISM), Ong basée à Ramallah, a cassé la main d’un offi-cier israélien.

Par:Albert Soued

Le lieutenant Eisner essayait d’empê-cher des manifestants menés par ISM de bloquer une route fréquentée. Une vidéo montant la riposte de l’officier israélien, pourtant moins brutale, a fait le tour du monde, pour délégi-timer l’état d’Israël et montrer «sa brutalité» à l’égard des manifestants. Mais la vidéo tronquée ne montre pas l’attaque du militant danois contre Eisner.- Dans un article du 18 juillet 2011 intitulé: «Etat juif signifie ra-cisme juif, fascisme juif et même na-zisme juif»» l’ISM dénie tous droits aux juifs de constituer un Etat.

La charte de l’ISM légitime la vio-lence par les armes tout en prétendant être «non violente»: «Nous recon-naissons aux Palestiniens le droit de résister à la violence israélienne et à l’occupation par tous moyens armés légitimes. Cependant, nous pen-sons que la non violence peut être une arme puissante pour combattre l’oppression et nous nous sommes engagés sur des principes de résis-tance non violente» (ah oui ! comme l’attaque du Danois ?)

- L’Ambassadeur de France en Israël, Christophe Bigot, a été attaqué durant le week-end dans le désert de Judée à Nabi Musa, une région proche de la ville de Jéricho et sous le contrôle de

l’AP. Son téléphone portable et son portefeuille lui ont été dérobés. Il a été laissé, abandonné dans le désert sans possibilité de communiquer avec l’extérieur. Irak L’administration Obama vendra à l’Irak 36 avions de combat de technologie avancée F-16 Block 52.

Qu’adviendra-t-il de cet arsenal si jamais l’Irak shiite, cherchant une protection, tombe dans la sphère d’in-fluence de l’Iran, ou si ce pays éclate en 3 entités ennemies, shiite, sunnite et kurde ? Depuis le départ des Amé-ricains, les attentats meurtriers entre les factions ne cessent pas.

Syrie Faute d’être approvisionnés en nourriture et eau, les postes frontières de l’armée syrienne au Golan ont été désertés par les soldats et leurs offi-ciers (env 1500 personnes), qui ne vi-vaient plus que de rations lancées par les Israéliens.

Aujourd’hui des bandes terroristes venant de Jordanie pillent les lieux, les dépouillant des armes, munitions et de tout équipement, harcelant les convois militaires syriens avec des bombes explosant au bord des routes. Jordanie 100 000 réfugiés syriens fuyant la guerre civile ont été accep-tés, alors que 1000 réfugiés venant des camps palestiniens ont été refou-lés.

La plupart des pays arabes refusent l’entrée sur leur territoire de «réfu-giés palestiniens». Golfe persique Selon www.MediArabe.info la ten-sion entre Sunnites et Shiites est à son comble dans le Golfe. Profitant de l’année électorale et de la paralysie de la politique étrangère aux Etats-Unis et en France, «l’axe shiite»

accélère sa politique hégémonique en Syrie, au Liban, en Irak, à Bahreïn, au Qatar, aux Emirats Arabes Unis et au Yémen. Bashar Al-Assad multiplie les manœuvres pour échapper aux sanctions internationales et il pour-suit la répression, en dépit de la pré-sence des observateurs étrangers qui, au lieu de surveiller le cessez-le-feu, deviennent les otages du régime.

Selon les estimations de l’ONU, le ré-gime syrien a déjà fait plus de 11.000 morts, et selon l’opposition syrienne, trois fois plus. Mais la minorité alawite ne se bat elle pas aussi pour sa survie, risquant d’être annihilée, et avec elle, les autres minorités, chré-tienne et kurde, si jamais l’opposition menée par les Frères Musulmans ga-gnait la partie ?

Mais Damas multiplie les provoca-tions au Liban et menace de mort les dirigeants de l’opposition libanaise. Au Qatar, Damas cherche à fragiliser Doha, en opposant le prince héritier Tamim Ben Hamad, proche de l’Iran, à son père Hamad Ben Khalifa Al-Thani et au Premier ministre Hamad Ben Jassem, accusés de comploter contre la Syrie.

L’Iran avance ses pions en Irak et tente de remplacer l’ayatollah Ali Sistani, référence des shiites irakiens, par l’ayatollah Shahroudi, issu de Qom. Après avoir soumis la classe politique à travers le Premier ministre Nouri Al-Maliki et le courant Al-Ma-hdi de Moqtada Sadr, Téhéran tente aujourd’hui d’imposer ses hommes sur Nadjaf. De même, Téhéran joue la carte de l’opposition shiite à Bahreïn et accentue ses pressions sur le Yé-men pour prendre l’Arabie saoudite à revers.

Près des Emirats Arabes Unis, à 60 km, le président iranien Mahmoud Ahmadinedjad a fait une visite pro-vocatrice sur l’île émiratie d’Abou Moussa, occupée par l’Iran.

L’Iran a annexé de facto cette île stra-tégique, comme les îles de la Petite Toumb et de la Grande Toumb, reven-diquées par Abou Dhabi. Iran - Selon le «think tank» Civilitas Foundation, basé à Erevan (Arménie), le seul accès fiable au monde extérieur pour l’Arménie, c’est à travers l’Iran.

Selon Levon Aharonian, président de la Chambre de Commerce Arménie-Iran le commerce avec ce pays a crû de 50% en un an atteignant près d’un demi-milliard $. 818 sociétés armé-niennes ont une partie de leur capital iranien, alors qu’un millier d’entre-prises ont une partie de leur capital russe.Pensez-vous que les sanctions contre l’Iran peuvent être efficaces, ce pays étant entouré de pays pauvres qui ne peuvent survivre que par les échanges avec leur voisin ?

- Selon Der Spiegel, le bateau Atlantic Cruiser, appartenant à la société alle-mande Bockstiegel, affrêté par une société ukrainienne et transportant des armes et des munitions iraniennes pour la Syrie a été arraisonné au large du port syrien de Tartous. Etats-Unis - Le nouveau lobby anti-israélien JStreet, financé par le milliardaire So-ros, a réussi à convaincre à ses idées 74 Représentants démocrates, soit 38 % des élus à la Chambre, dont 20% d’origine juive.

Il faut savoir aussi que depuis l’arri-vée au pouvoir de B H Obama, insti-

gateur de JStreet, le parti démocrate est devenu un foyer d’antisémitisme et d’antisionisme. JCall est le pendant européen de JStreet.

- Lors de son intervention au Forum Mondial de Géopolitique et d’Econo-mie, Henry Kissinger, 89 ans, Secré-taire d’Etat du président Nixon et stratège, a déclaré que «les gens sont sourds et n’entendent pas les tam-bours de la guerre».

Il précise que «Les Etats-Unis sont en train d’appâter la Chine et la Russie et que le dernier «clou dans le cer-cueil» sera l’Iran». «La Chine accroit sa puissance militaire et la Russie se relève de sa soviétisation, mais ces 2 pays ne sont pas conscients qu’on les attend au tournant pour les décimer une fois pour toutes. La prochaine guerre sera très dure, avec un seul gagnant cette fois-ci, les Etats-Unis». Il ajoute:«Qui contrôle le pétrole, contrôle les nations; qui contrôle la nourriture, contrôle les gens … Nous avons de-mandé à nos militaires de contrôler 7 nations au Moyen Orient, ce qu’ils font brillamment» …»Nos soldats sont très bien entraînés, habitués aux jeux sur consoles» …

«Si tout se passe bien, la moitié du Moyen Orient sera israélien…» – Serait-il déjà gâteux ? France Lors de la commémoration de «Yom Has-hoah», organisée par la communauté juive libérale de Lyon, un individu a fait irruption pour faire l’apologie de Mohamed Merah, annonçant vouloir tuer des enfants dans une école juive, puis menace de revenir avec une mitraillette pour tuer toutes les per-sonnes présentes, mimant le geste. Il a été appréhendé.

POT POURRI POLITIQUE sans PERIODICITE ni PRIORITE

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Israël Actualités n°210