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www.ville-st-jacques-de-la-lande.fr Un city stade multisports pour tous à la Gautrais Aire Libre : “Scène conventionnée pour le théâtre” PAGE 11 PAGE 6 COURROUZE : ACTIVITÉ EN VUE

Jacquolandin - Novembre 2009

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Le journal d'information municipale de Saint-Jacques-de-la-Lande

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Un city stade multisports pour tous à la GautraisAire Libre : “Scène conventionnée pour le théâtre”PAGE 11

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Courrouze :aCtivitéen vue

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out Saint-Jacques en parle

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Une activité physique et une bonne alimentation sont bénéfiques pour la santé.

Favoriser l’activité physique et sportive, tel est le but du programme que propose l’Epi Condorcet en partenariat avec le Codes, Comité départemental d’éducation pour la santé.D’une manière générale, l’offre en matière d’activités s’adresse prioritairement aux sportifs. « Notre souhait, confie Amélie Chantraine, conseillère méthodologique au Codes, serait de proposer des activités aux non sportifs, aux personnes sédentaires qui souhaitent reprendre une activité, tous âges confondus. On sait le bienfait de l’activité physique sur la santé, tant pour le bien-être que la prévention de certaines maladies. » Diverses activités phy-siques vont ainsi être proposées à la Ferme de la Morinais. « Nous mettons également à disposition à l’Epi, toutes sortes d’infor-mations sur les activités actuellement proposées sur la commune ainsi que sur les aides financières disponibles. »

n TRRenseignements auprès du Codes Tél. 02 99 67 10 50

Bouger avec l’Epi et le Codes : c’est la santé

Depuis le 21 octobre le marché de St-Jacques s’est installé sur le parking face à la ferme de la Morinais. Cet emplacement provisoire accueillera le marché pendant les travaux d’aménagement du cours Camille-Claudel qui débute-ront à la mi-novembre. Chaque mercredi matin de 8 h à 13 h, les commerçants du marché vous proposent un large choix de produits frais et de qualité. Boucher, charcutier, poissonnier, fruits et légumes et galettes crêpes vous y attendent.

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Nouvelle adresse pour le marché

Afin de poursuivre l’aménagement du centre ville en prenant en compte la réalité du ter-rain, la ville va réaliser une enquête relative à la place de la voiture dans le quartier.Cette enquête permettra de quantifier le nombre de vé-hicules présents et donc de réinterroger les modalités de stationnement.L’enquête, réalisée par l’institut TMO, prendra la forme d’un questionnaire envoyé aux résidants du centre-ville. Anonyme, il sera à retourner sous enveloppe T. Cette enquête postale sera complétée par une enquête téléphonique.Nous vous remercions par avance des quelques minutes que vous prendrez pour vous exprimer sur ce sujet.

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AménAgement du centre ville et stAtionnements : enQuÊte

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Une centaine d’habitants de la commune ont déjà partagé leurs souvenirs et conté leur histoire aux quatre passionnés du groupe “Mémoire de Saint-Jacques”, animé par Renée Thoua-nel. « Nous passons en revue le territoire et ses aménagements, le Saint-Jacques du temps jadis et du passé proche et croisons les regards au travers de témoignages d’habitants, de faits de guer-re ou historiques. Nos recherches s’enrichissent avec les archives communales et départementales.» Trois fois par an, le groupe édite à 320 exemplaires sa revue “Mémoire de Saint-Jacques” qui compte 250 abonnés. « Nous assurons la distribution des numéros aux abonnés de la commune et envoyons une trentaine d’exemplaires par la poste. Nous réfléchissons à la possibilité de mettre en ligne certains articles sur un site internet. » Le prochain numéro paraîtra en décembre. On y découvrira un article

L’histoire locale se raconte dans “Mémoire de Saint-Jacques”Inlassablement, depuis une dizaine d’années, Renée Thouanel et ses amis sillonnent rues et routes de la commune en quête de témoignages et anecdotes qui font la vie et l’histoire. Jean-Paul, Claude, Medhi, Renéé et Auguste en préparation du 18 ème numéro.

sur Antoinette Diraison, née Galbrun, une vieille famille de Saint-Jacques ; un autre sur le départ d’un convoi de déportés parti de la gare de triage de Saint-Jacques durant la Seconde guerre mondiale avec le témoignage poignant d’un homme qui faisait partie du convoi. La série sur la guerre 1914 se poursuit avec un nouvel article sur les noms oubliés que l’on peut lire sur le monument aux morts. On trouvera enfin un article sur les sévices perpétrés au château de la Maltière du-rant les guerres de religion du 16e siècle.

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Pour s’abonner, contactez l’Epi ou la mairie (12 e par an ou 5 e le numéro)Renée Thouanel - Tél. 02 99 31 26 78

pren ez n ote

JArdinAge Au nAturelvous avez ou vous cherchez un potager, venez le jeudi 5 novembre à 20 h 30 à l’epi condorcet. Cette rencontre sera l’occasion de discuter des nouvelles formes et pra-tiques de jardinage afin de lancer la réflexion sur l’évolution des jardins familiaux sur le territoire de Saint-Jac-ques-de-la-Lande.

séJour vAcAnces séniorsLe CCAS envisage d’organiser un séjour vacances au printemps 2010, destiné aux jacquolandins de plus de 60 ans (la priorité sera donnée aux personnes non imposables).Si vous êtes intéressés par cette pro-position, nous vous invitons à contac-ter le CCAS.tél. 02 99 29 75 56

clAsse 9Une journée inter-génération classes 9 aura lieu le dimanche 29 novembre.11 h dépot de gerbe au Monument aux morts suivi d’un vin d’honneur servi à l’issue de la cérémonie puis rendez-vous à 13 h au restaurant “les Terrasses d’Apigné”. Coût de la journée 30 e par personne.

réservation auprès de :pierre delys au 02 99 31 92 67 chantal ruaud au 02 99 35 59 43

don du sAngUne collecte de sang, organisée par le site de Rennes de l’Etablissement Fran-çais du Sang avec le soutien de l’Asso-ciation pour le Don de Sang Bénévole aura lieu à l’Epi Condorcet, salle des Lumières, le 25 novembre de 9 h à 13 h.

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ossier

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Les Dominos : secteur d’activitéde la Courrouze

La ZAC de la Courrouze, portée par Rennes Métropole au titre de sa compétence aménagement, prend son essor sur le secteur des Dominos. Visite commentée des chantiers en cours et à venir.L’aménagement du quartier de la Courrouze se poursuit de façon spectaculaire. La construction des deux imposants lo-caux de bureaux du futur siège régional du Crédit Agricole en est l’étape la plus visible. « On parle de la Courrouze de-puis plusieurs années. Le projet de l’équipe Secchi-Vigano-Dard a été retenu à l’automne 2003. Les premiers terrassements ont dé-buté l’an dernier et nous sommes maintenant dans le vif du sujet avec la sortie de terre d’immeubles de bureaux et de logements », commente Emmanuel Couet, maire de Saint-Jacques. Pour rappel, ce site de la Courrouze, niché dans un parc de 140 hectares entre Rennes et Saint-Jacques, est destiné à accueillir 5 000 logements, soit 10 000 habitants, et 120 000 m2 de bureaux, soit 3 000 emplois. « La construction de l’immeuble du Crédit Agricole sur les Dominos a eu un effet d’entraînement sur les

autres programmes. Avec l’arrivée de la préfecture de Région et du Conseil Régional de Bretagne, ce secteur situé sur le territoire jac-quolandin, va constituer un véritable pôle tertiaire public et privé de dimension régionale. Ce projet s’inscrit dans la volonté de réé-quilibrer l’image économique de Saint-Jacques jusqu’alors marquée par les zones industrielles de la Haie-des-Cognets ou de Mivoie », poursuit l’élu.

Logique de développement durableLes travaux sur le secteur des Dominos ont démarré en 2007. Situé près de l’échangeur de la rocade, il accueillera des ac-tivités économiques tertiaires, des services, des équipements et des logements. La première pierre du Crédit Agricole y fut posée le 19 septembre 2008. Jean-Pierre Meignan en est l’ar-chitecte. Le projet certifié Haute Qualité Environnementale

Daniel Delaveau, président de Rennes Métropole, entouré des principaux acteurs du projet, lors de la pose de la première pierre du siège régional du Crédit Agricole.

Le bâtiment qui accueillera l’année prochaine le siège régional du Crédi Agricole.

Le projet “Legendre” avec le siège de l’entreprise (à droite) et ses 10 500 m2 de bu-reaux comprendra également une crèche et un collectif de 59 logements (à gauche).

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La terrasse du “Caroussel”, futur restaurant interentreprises de la Courrouze ouvert à tous.

Vue intérieure du Crédit Agricole.

L’ensemble de ZAC communautaire, avec en orange les futurs équipements et commerces.

a été imaginé dans une logique de dé-veloppement durable et intègre l’aspect énergétique, l’acoustique, la luminosité, l’environnement de travail, le traitement des déchets et la sécurité. L’immeuble, parallèle à la rocade ouest, est assis sur un parking silo de béton doublé d’une treille métallique végétalisée et agré-menté de vitrages pour laisser passer la lumière. Il sera livré en septembre 2010. Il est prolongé par le siège de l’en-treprise de bâtiment Legendre, conçu par Jean-Claude Pondevie, comprenant 10 500 m2 de bureaux, une crèche col-lective interentreprises de 60 places, 59 logements locatifs intermédiaire. Le bâtiment, lancé en septembre dernier, est annoncé avec une basse consom-mation de moins de 50 kWh/m2/an, un chauffage à bois collectif alimenté avec les déchets de chantier... Il devrait être prêt en mai 2011 pour accueillir les

820 salariés actuellement basés à Vern-sur-Seiche. Autre pose de première pierre, le 1er octobre dernier, celle du Carrousel, un bâtiment sous maîtrise d’ouvrage du Crédit Agricole conçu par l’architecte David Cras et l’agence An-thracite. D’une superficie de 1 800 m2, il abritera un restaurant interentreprises de 350 places assises, un auditorium de 200 places et des bureaux. La livraison est prévue en septembre 2010.

Habitat, emploi, services Proche du siège du Crédit Agricole, en plein cœur de l’entrée de la ZAC, le pro-gramme Cap Courrouze sera lancé en 2010 par le promoteur Sogeprom. Signé Jacques Ferrier Architectures, ce projet conçu en harmonie avec le paysage est composé de deux immeubles de bureaux (R+4 et R+7) ainsi qu’un immeuble mixte de bureaux et de commerces en pied du

bâtiment. Cap Courrouze est certifié Haute Qualité Environnementale et label-lisé très haute performance énergétique. Autres chantiers lancés en 2010 et livrés en 2012 sur les Dominos : deux bâti-ments de 5 000 m2 de bureaux, servi-ces, commerces et 50 logements (maître d’ouvrage Groupe Financière Duval, ar-chitecte Reichen et Robert), et deux im-meubles de bureaux et d’équipement, dont un hôtel-restaurant trois étoiles de 70 chambres. « Les élus de St-Jacques et notamment Fernand Etiemble, adjoint à l’aménagement et à l’environnement et Yann Texier, adjoint à l’économie et l’emploi, sont étroitement associés aux décisions. Ce nou-veau quartier jacquolandin témoigne du dynamisme de l’agglomération et des inno-votions en matière de développement dura-ble. », conclut Emmanuel Couet.

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ie municipale

6Marie Ducamin (à droite), conseillère déléguée jeunesse, en discution avec des utilisateurs du city stade.

Football, basket, tennis, rollers, vélo… Les possibilités d’utilisation du city stade sont nombreuses. « C’est un équi-pement sportif en accès libre, explique Marie Ducamin, conseillère déléguée jeunesse. Le terrain, entouré de barrières, est constitué d’un revêtement synthétique qui permet de jouer à plusieurs sports. Il est ceinturé d’une piste bitumée. Il est possible également de couper la surface de 550 m² pour deux jeux simultanés grâce à de pe-tits buts placés sur les côtés. » Le projet, né d’une demande des jeunes relayée par les animateurs, s’est concrétisé par la rencontre avec les animateurs de La Poterie : « L’équipement, déjà installé dans plusieurs villes, connaît un vif succès. Le concept correspond bien aux attentes des jeunes et offre une utilisation très souple. Le terrain synthétique permet une utilisation par tous les temps. »

Un city stade multisports en accès libre

Un city stade vient d’être installé non loin de la ferme de la Gautrais. On peut y pratiquer en libre accès, tous âges confondus, de multiples sports.

En autogestionEn début d’année, un comité de pilotage est constitué rassemblant élus, services techniques et une dizaine de jeunes in-téressés. Les différentes options sont examinées comme la taille du city stade, son meilleur emplacement sur la com-mune. Puis le projet est présenté aux ha-bitants au cours d’une réunion publique. L’option proposée est finalement retenue : la proximité de la ferme de la Gautrais. Comme convenu avec l’entreprise Tran-salp à Valence, qui fabrique les espaces de jeux, deux jeunes sont accueillis en formation, Adrien Paolini et Quentin Pajolec : « Le projet nous intéressait. Fin juillet, nous sommes partis là-bas et avons assisté au montage des différents éléments du city stade et de jeux pour enfants. » De retour à Saint-Jacques-de-la-Lande, tous deux sont associés aux travaux,

aux côtés de l’entreprise de travaux pu-blics Lemée et des services techniques : « Nous avons monté les rambardes, les buts. Tout a été terminé cet l’été. » L’équipement était inauguré le 29 septembre der-nier. Le montant approximatif s’élève à 100 000 e, somme votée au budget 2009. « Tous les soirs, il y a du monde, précise Quentin Pajolec. On y est souvent et, avec les animateurs, on organise des tournois de volley, basket, tennis, rollers. On gère tout nous-mêmes et tout le monde respecte le site. »

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« l’etAt opprime et lA loi tricHe,l’impÔt sAigne le mAlHeureuX… »

(paroles du chant ouvrier l’internationale)Les avis d’imposition pour les impôts locaux sont arrivés. A St Jacques, plus du tiers des foyers est exonéré de l’impôt sur le revenu mais l’immense majorité paye quand même la taxe d’habitation. En 2009, elle augmente de plus de 10 % ! Pourquoi nous faire payer toujours plus alors que les reve-nus des travailleurs stagnent et même baissent ?D’abord, l’Etat se débrouille pour transférer de moins en moins d’argent aux communes, aux départements et aux régions qui voient ainsi leurs ressources diminuer.Ensuite, le patronat, qui profite de la crise pour licencier massivement, pousse de plus en plus de travailleurs au chô-mage et donc à devoir compter sur l’assistance de la collec-tivité par les Assedic, ou le RSA et le RMI financés par les départements.Enfin, les collectivités locales sont des « vaches à lait » pour de nombreuses entreprises privées, du bâtiment, des travaux pu-blics, de la distribution d’eau, etc. Collectivités bien généreuses pour les aider à maintenir leurs activités et leurs profits.Pour arrêter cette saignée de la population, il faut prendre sur les profits capitalistes accumulés et interdire les licencie-ments pour stopper la montée du chômage !Fabrice lucas, le 15 octobre contact : 06 16 13 83 06

mettre lA cHArrue AvAnt les bœuFsNous devions aborder en ce début d’automne la ré-forme des collectivités locales. Autrement dit la nou-velle organisation des différents échelons : communes, groupements de communes, départements et régions. Or rien ne semble avancer ou plutôt le Président de la république commence par les finances locales en sup-primant la taxe professionnelle (TP). C’est-à-dire qu’il modifie les moyens d’agir des collectivités locales avant de dire comment elles seront organisées. C’est bien ce qu’on appelle mettre la charrue avant les bœufs.Concrètement pour St-Jacques et Rennes Métropole, qui perçoit pour nous cette TP, c’est la grande incon-nue. Que deviendra notre implication sur l’économie ? Quel devenir pour les zones d’activité que nous créons et l’emploi qui en résulte (Airlande, Mivoie-Le Vallon, La Courrouze) ? Les impôts “ménage” - ceux que les habitants paient - remplaceront-ils cette TP ? Aucun élu n’est contre la réorganisation mais il faut que le couple : organisation et moyen, soit traité en-semble. Le nouveau calendrier le permet : examen du projet de loi de réforme le 21 octobre et de la TP avant la fin de l’année.

e tAt c iv i lNAISSANCESMatthis Pouteau, 5 allée des Pinsons, le 12.07.09Kévin Le Bras, 2 rue du Pas-Hubert, le 14.07.09Jade Bertrand, 3 rue Louis- Guilloux, le 23.07.09Annaëlle Kermeur, 8 rue Hélène-Boucher, le 26.07.09Simon Coulibaly, 28 rue Gabriel-Péri, le 05.08.09Nolann Cognard--Macq-Foule, 68 rue de la Pilate, le 10.08.09Auréa Eby, 4 rue Ernest-Re-nan, le 03.09.09Inès Bihan, 27 ter rue de la Pommerais, le 10.09.09Engo Denniel, 56 bis rue du Temple-de-Blosne, le 20.09.09

DéCèSSylvie Thillay (31 ans), 8 rue Marguerite-Yourcenar, le 10.09.09André Maugère (70 ans), 40 rue René-Cassin, le 14.09.09Raymond Bessin (93 ans), 6 allée Henri-Bergson, le 28.09.09Edmond Evano (70 ans), 68 rue du Manoir, le 04.10.09Daniel Debroize (55 ans), 312 rue de Nantes, le 05.10.09Maria Besnard (89 ans), 1 place Salvador-Allende, le 06.10.09Maurice Samba (66 ans), 1 cours Jean-Jaurès, le 13.10.09

pArole à lA mAJorité

pArole à st-JAcQues tous ensemble

pArole à lutte ouvrière

Retrouvez le compte rendu intégral du conseil municipal affiché en mairie ou sur :

http/www.ville-st-jacques-de-la-lande.fr

co nse i l mu n i c i pAl

Le texte ne nous étant pas parvenu avant la remise du Jac-quolandin à l’imprimeur, nous sommes au regret de ne pas pouvoir vous proposer parole à “St-Jacques Tous ensemble”.

permAnences des AdJointschaque samedi de 10 h à 12 h à la mairie,

n 7 novembre : Fernand Etiemble (aménagement et environnement)n 14 novembre : Françoise Cardin (vie associative et sport)n 21 novembre : Daniel Salmon (transports, énergies et déchets)n 28 novembre : Sylviane Chevrollier (éducation)

sAcs JAunesComme chaque année, une équipe d’ambassadeurs du tri approvisionnera les particuliers des communes de Rennes Métropole. A St-Jacques, la distribution aura lieu du 30 no-vembre au 4 décembre. Formés par Rennes Métropole, ces agents peuvent aussi renseigner sur toutes les questions re-latives au tri sélectif.

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ssociations

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centre de lA lAnde

Ludofamille, c’est l’occasion de partager quantité de nouveaux jeux ainsi qu’un repas, le vendredi 20 novembre en soi-rée, entre amis, voisins ou familles. « Il y a en a pour tous les goûts, atteste Chrystelle Veillon, responsable enfance loisirs : des jeux de stratégie, faisant ap-pel à la vivacité, au bon sens… jamais de jeux d’argent mais plutôt développant un

Chrystelle Veillon et Bernard Flahaut en route pour la cabane de noël.

Un mois avant les fêtes de fin d’année, le Centre de la Lande propose sa Cabane de Noël, le 21 novembre. La veille, la Ludothèque invite les habitants pour sa Ludofamille.

Ludofamille et Cabane de Noël pour préparer les fêtes de fin d’année

sens citoyen.» Ce sera aussi l’occasion de découvrir des jeux de créateurs comme ceux de Roberto Fraga, installé à Saint-Malo avec qui nous nous associons ré-gulièrement.Le samedi, de 14 h à 18 h à l’espace du Pigeon-Blanc, c’est la fête conviviale du quartier ouverte à tous les habitants de la commune, pilotée par le comité

« Lorsque je crée un jeu, j’essaie d’imaginer le plaisir que cette idée va procu-rer, l’ambiance quelle va générer... J’aime introduire des éléments nouveaux, tels que des composants électroniques, des gadgets bizarres, des objets inha-bituels dans un jeu ou encore détourner un objet de son utilisation première. Le monde du jeu est immensément vaste et méconnu. Toute initiative permettant à des gens, des familles, des nouveaux venus dans un quartier de s’intégrer et de faire des rencontres est excellente. Je suis venu plusieurs fois à St-Jacques soutenir Ludofamille. Un jeu, ça sert à rire, s’amuser, être heureux, rencon-trer des gens, faire connaissance, découvrir de nouvelles sensations, voyager, bluffer, sourire, apprendre, éduquer, respecter, deviner, comprendre... et je vous le confirme, ça sert aussi à rajeunir ! »

d’animation. Au programme, bourse aux jeux et jouets : « Les familles souhaitant vendre, jeux, jouets, livres, cassettes en vue des cadeaux de fin d’année de Noël s’inscri-vent au préalable à l’accueil du Centre de la Lande et viennent tenir leur stand pour une vente en direct explique l’animateur Ber-nard Flahaut. En guise de participation, chacun est invité à amener un gâteau. » Sur place on appréciera vin chaud, châtai-gnes grillées, petit artisanat proposé par des habitants de St-Jacques (enveloppes décoratives, pochettes surprise, vitrines miniatures, petites pendules, couronnes de Noël…). Divers groupes de danses ani-meront l’après-midi. Enfants et parents sont invités à découvrir la Ludothèque.

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l’épicerie sociAle A besoin de vous

Comme chaque année, la ban-que alimentaire organise 2 jours de collecte à l’échelle nationale. L’épicerie sociale de St-Jacques est en charge de récupérer des denrées alimentaires dans le magasin Carrefour Market de la Morinais et le Super U rue de Nantes, le vendredi 27 et samedi 28 novembre 2009. Pour assurer cette collecte, l’épicerie sociale a besoin de bénévoles pour tenir des permanences de 2 heures dans chacun de ces magasins. contact : malika au centre de la lande 02 99 35 36 16

roberto Fraga, créateur de jeux

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oFFice JAcQuolAndin des sports

Sept Bretons faisaient partie des sept cents joueurs sélectionnés parmi trente-quatre nations au championnat du mon-de de badminton qui se déroulait du 27 septembre au 3 octobre à Punta Umbria en Andalousie. « J’étais avec Marjorie Tran, ancienne du club de Saint-Jacques, confie encore toute émerveillée, Martine Paquet. Dès le dimanche, j’ai joué avec une joueuse de Quévert et nous avons gagné le premier match contre des Portugaises ; nous avons joué à nouveau le mercredi soir contre des Anglaises mais nous avons perdu ! Le mardi, j’ai aussi joué en double mixte. » Le badminton est, en France, un sport nouveau. Martine faisait partie des vété-rans : « Je n’ai pourtant que 48 ans ! C’était émouvant de jouer près de vrais vétérans âgés de plus de 65 ans, venus des pays du Nord, du Japon où le badminton est prati-qué depuis longtemps. On s’est donné ren-dez-vous pour le prochain championnat qui aura lieu au Canada en 2011. »

Tournoi national en novembreMartine Paquet est originaire de Ren-nes et a exercé à Châteaubriant. C’est là qu’en 1985, elle a découvert le badmin-

Martine Paquet participait aux championnat du monde de badmintonLe club de badminton n’en revient toujours pas. Leur fidèle joueuse Martine Paquet rentre du championnat du monde qui se déroulait le mois dernier en Andalousie.

ton. « J’ai rencontré quelques passionnés et nous avons créé le club. Le sport était alors peu pratiqué. » En revenant travailler sur Rennes en 1988, elle joue quelques temps au Cercle Paul Bert et rejoint le club de Saint-Jacques en 1993. Martine est une compétitrice dans l’âme : « Je pratique régulièrement et essaie de m’en-traîner au moins une fois par semaine. En vue des championnats de France auxquels je participe depuis 2004, je fais aussi de la

course à pied qui est un bon complément pour rester performante. » François Me-nuge, secrétaire du club, ne cache pas sa joie : « La belle prestation de Martine est une fierté pour tous les joueurs. Notre club, présidé par Frédéric Deléon, est l’un des plus importants de Bretagne avec 290 licenciés avec une équipe première qui évo-lue en national 2 et des équipes qui se font valoir au niveau départemental et régional. Nous donnons rendez-vous aux habitants pour notre tournoi national élite AB, avec quelques-uns des meilleurs joueurs fran-çais, les 21 et 22 novembre, à partir de 9h, stade Allende ; les principaux matchs se dérouleront au gymnase Alice Milliat. Les finales auront lieu le dimanche à partir de 14 h. L’entrée est gratuite. »

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Site www.ffba.org http://sjb35.site.voila.fr

Martine Paquet est classée D1 en double dame et C3 en double mixte.

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ulture - Animation

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epi condorcet

Signature de la convention par Michel Cabaret (à gauche), directeur de l’Espace des Sciences et Françoise Cardin, présidente de l’Epi Condorcet.

Le planétarium itinérant de l’espace des Sciences a permis de proposer aux collégiens de Jean-Moulin des animations scientifiques.

Une convention est signée depuis le 1er octobre entre l’Epi Condorcet et l’Espace des Sciences de Rennes. « Notre projet d’animation s’inscrit dans une démarche d’éducation populaire, la programmation de culture scientifique et technique existe depuis plusieurs années », justifie Marie-Joëlle Brisseau, directrice de l’Epi Condorcet. Ce document officialise un partenariat entre ces deux établissements « afin de proposer chaque année un pro-gramme d’animations sur des thématiques de culture scientifique et technique auprès du public jacquolandin ». Les objectifs visés par cette convention sont multiples : l’Espace des Sciences favorise les échanges de l’Epi avec le milieu scientifique local et national ; il apporte ses conseils à la mise en œuvre des programmations ; il facilite la mise à disposition des exposi-tions. Très concrètement, la programmation de l’Epi s’intègre au Festival des Sciences de Rennes Métropole organisé par l’Espace des Sciences. Trois manifestations se sont déroulées dans ce cadre-là*, fin septembre et début octobre. Le principe

L’EPI SIgNE PoUr La SCIENCE

L’Espace des Sciences de Rennes et l’Epi Condorcet ont signé une convention de partenariat. Son but : vulgariser la science et la technique.

d’une “petite conférence décentralisée” est également arrêté : « L’Espace des Sciences organise les Mardis de l’Espace des Scien-ces au cours desquels un scientifique faisant autorité dans son do-maine vient partager ses connaissances avec un public. L’idée est de faire venir ce conférencier le mercredi sur une proposition familiale et pour un public jeune dans un esprit de partage du savoir », se réjouit la directrice.

* Exposition sur le système solaire, animation “Astronomie : observation du ciel à la lunette” et conférence “2009 : année internationale de l’astro-nomie”.

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epi condorcetn Rencontre avec Olivier Sauzereau, astrophoto-graphe.Mardi 24 novembre à 15 h (scolaires) et mercredi 25 novembre à 10 h 30 (tous publics).n Exposition “Ciel miroir des cultures”Du 2 au 29 novembre

n Conter la science, spectacle familialMardi 1er décembre à 15 h (scolaires) et mercredi 2 décembre à 10 h 30 (tous publics)

médiathèque lucien Herrn Présentation d’instruments d’astronomieDu 14 au 28 novembren Exposition “Questions d’espace”Du 7 novembre au 5 décembre

rendez-vous Avec les étoilesprogrAmme

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l’Aire libre

Padam Padam, spectacle de Teatro Praga (Portugal).

Impromptu (chorégraphie) coproduit par la Cie Eric Touzé@.

Le label de “scène conventionnée pour le théâtre” attribué par le ministère de la Culture et de la Communication est re-nouvelé pour trois ans. Une convention d’objectifs est signée pour une même durée entre L’Aire Libre, le Conseil ré-gional, le Conseil général et la Ville de Saint-Jacques. « Le projet artistique et culturel de l’Aire Libre se poursuit. Intitulé “Création-Population”, il a pour but de faire partager les créations contemporaines au plus grand nombre de spectateurs », indi-que Jean Beaucé, directeur de l’équipe-ment. Une nouveauté, cependant : des artistes sont associés au théâtre pour trois ans*. « Ils ont ainsi les moyens d’une création par an et sont associés à la vie du lieu par le biais d’ateliers et de stages. En fait, nous nous appuyons sur des artistes qui participent au développement de nos missions », poursuit Jean.

Lieu pour tousLe théâtre de l’Aire Libre soutient les écritures contemporaines de jeunes auteurs et leur mise en scène. Il favorise aussi des spectacles qui mêlent diverses disciplines artistiques. « On considère

“Faire partager les créations au plus grand nombre”Scène conventionnée, l’Aire Libre est un lieu de ressources ouvert aux artistes, aux habitants et aux associations.

le comédien au centre de la relation avec le public et l’on envisage le territoire et les habitants comme étant une de leurs sources d’inspiration artistique. » En outre, l’Aire Libre est partenaire culturel sur le ter-ritoire local** et sur Rennes Métropole (Les TransMusicales, festival Mythos et Mettre en scène). Il est également un lieu de formation et de transmissions auprès des écoles, collèges, lycées, universités et autres structures. Enfin, il est ouvert au quotidien à la population et aux as-sociations.

* Cie Zabraka emmenée par Benoît Bradel, Col-lectif Lumière d’Août, Cie Humanus Gruppo et le metteur en scène Daniel Dupont.** Collaborations avec l’Epi Condorcet, le Centre de la Lande, la médiathèque Lucien Herr, l’Ecole de Musique et de Danse Jean Wiener...

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A l’AFFicHe

n dans le cadre de mettre en scène :Impromptu (chorégraphie) coproduit par la Cie Eric Touzé@10 au 14 novembrePadam Padam, spectacle de Teatro Praga (Portugal)18 au 21 novembre

n dans le cadre des transmusicales en décembre :Création de Gaëtan Roussel (Louise Attaque)2 au 6 décembre

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ie des entreprises

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Mensuel municipal - Mairie - 1, rue des 25 Fusillés - 35136 Saint-Jacques-de-la-Lande - Tél : 02 99 29 75 30Directeur de la publication : E. Couet - Responsable de la rédaction : Y. Texier

Rédaction : P. Charbonnier, T. Ruellan, R. Vaillot. Réalisation : C. Reland - Photos : C. Reland - Impression : Aramis - Distribution : D.Q.P. - Dépôt légal : 4ème trimestre 2009

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Les bons conseils du plombier Loïc Fromont

Loïc Fromont a 57 ans et met les bou-chées doubles pour transmettre son savoir-faire avant le départ en retraite. « J’ai toujours eu du monde avec moi ! J’ac-cueille actuellement un jeune en stage pour deux semaines, j’en ai accueilli un autre en octobre. Récemment, j’ai formé deux

apprentis. » Depuis quelques jours, Sa-muel accompagne Loïc Fromont dans tous ses déplacements. Titulaire d’un bac gestion et comptabilité, il souhaite changer d’orientation et s’intéresse à la plomberie. « Je fais tout pour lui mon-trer les bases du métier. La semaine der-nière, nous avons créé une salle de bains. A chaque fois, je lui explique les différents branchements et nous faisons ensemble. Il est ravi et souhaite entrer en formation. » Au printemps dernier, Loïc Fromont a accompagné Roland, un homme d’une quarantaine d’années, dessinateur en secteur agricole, qui souhaitait devenir plombier. « Tous sont en découverte du métier, cherchent leur voie et ont envie de rencontrer des professionnels. »

Donner une chanceTrois écoles de formation, l’IBEP (Insti-tut Breton d’Education Permanente), le centre de formation pour apprentis de Saint-Grégoire et l’AFPA, sollicitent ré-gulièrement Loïc : « A chaque fois, j’ai des contacts avec les accompagnateurs. Je rem-plis les comptes-rendus et les attestations. Parfois, on me demande une évaluation du

Loïc Fromont, plombier, n’en finit pas de compter le nombre de personnes qu’il a aidées dans leur orientation professionnelle. Ou simplement, à remettre le pied à l’étrier…

travail. C’est une vraie école. » Loïc, titu-laire d’un CAP, a d’abord travaillé pen-dant cinq ans comme plombier dans de petites entreprises puis, de 1976 à 1995, comme agent d’entretien fluides dans une entreprise rennaise. En 1995, il s’installe et choisit Saint-Jacques comme siège social. Il intervient principalement pour de la rénovation, du dépannage et tous travaux ménagers de plomberie. Il est aussi agréé “professionnel gaz natu-rel”. « Toutes les entreprises demandent aux jeunes une expérience antérieure. Com-ment voulez-vous alors qu’ils sortent juste de l’école ! Ce n’est pas facile aujourd’hui de démarrer dans la vie professionnelle. Je les forme pour leur donner une chance. »

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Loïc Fromont Tél. 02 99 32 35 45 - 06 07 85 42 02