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Horaires des célébrations
A votre service
Nous avons célébré les obsèques religieuses de : Guy MORAND (85 ans) le 15 février à Castanet
René GRIGOLI (83 ans) le 17 février à Castanet
Presbytère (derrière la Poste) : 05.61.27.76.85
2 rue Gironis - B.P. 36 - 31321 Castanet Cedex
► Secrétariat : 14h à 16h : lundi, mardi, jeudi, vendredi [email protected] ► Permanences (hors vacances scolaires) : 10h à 12h : mardi et mercredi
bibliothèque ouverte pendant les heures de secrétariat et de permanences
Site Internet : http://paroissecastanet.fr
Maison de la fraternité : 10 av. de Toulouse - Castanet 05.62.80.16.81
Contacts : ► visite aux malades (SEM) : 07.68.88.92.11
► obsèques : 06.71.15.55.14 ► père Moïse Kaboré : [email protected] ► Equipe d’Animation Pastorale : [email protected] ► service de communication : [email protected]
Pendant la fermeture de l'église d'Auzeville (par décision administrative),
les messes et offices seront célébrés à l'église de Castanet jusqu'à nouvel ordre
Samedi 18 MESSE 18h00 CastanetIntention Gaston, Victoria et Jeanne LAMY
Action de grâce pour 39 ans de mariage
7e dimanche
Temps ordinaire19 MESSE 10h30 Castanet
Neuvaine Louis SOS, Arlette GARREAU et Dolores GHIDIZZI
Intention Cayetano ARJONILLA
Laudes MESSE 9h00 Castanet
Temps de prière 16h00 Jardins d'Oly Temps de prière proposé par le SEM
Temps de prière 15h00Foyer-logement
Claires FontainesTemps de prière proposé par le SEM
Vêpres MESSE 18h30 Deyme
Jeudi 23 Vêpres MESSE 18h30 Castanet
Vendredi 24 Vêpres MESSE 18h30 Castanet
Samedi 25MESSE
jeunes
18h00 Castanet Neuvaine Yvette DANGEVILLE
8e dimanche
Temps ordinaire26 MESSE 10h30 Castanet Neuvaine Liliane BASTIÉ et Suzanne CHAIGNEAU
Mardi 21
Mercredi 22
Comment renouveler la société alors que les relations entre les hommes restent faites de
haine, ou tout au moins de méfiance ? Les chrétiens d’aujourd’hui n’en sont pas à l’abri. Pour
fonder son royaume, Jésus nous invite à un renouvellement total de notre relation aux autres.
La loi fondamentale est la loi de sainteté. Au-delà des détails d’une législation sociale et
religieuse, la première lecture (lv19,1-2.17-18) est un appel à vivre dans le royaume de Dieu,
en éliminant toute haine pour s’ouvrir aux autres. Plusieurs siècles après le lévitique, Paul
rappelle à la communauté de Corinthe ce qui fonde leur unité. Pour bâtir cette unité, ils
doivent récuser toutes fausses sagesses humaines qui ne sont que "du vent" ; elles
débouchent sur l’esprit de secte, en érigeant en absolu des idées et même des personnes.
(1 Co 3,16-23)
Le royaume de Dieu est beaucoup plus exigeant. Il appelle à vaincre le mal par l’amour total.
« Aimez vos ennemis, et priez pour tous ceux qui vous persécutent, afin d’être vraiment les
Fils de votre Père qui est dans les cieux ». Chaque relation d’amour laisse une porte ouverte à
la vulnérabilité, c’est-à-dire à la possibilité d’être blessé. S’en souvenir, ne pas fuir cette
vulnérabilité, c’est déjà se préparer au pardon. C’est en nous tournant vers Dieu pour
contempler la qualité de son amour magnanime et miséricordieux que nous pouvons
découvrir à la fois notre péché et l’appel pressant à renouveler notre vie.
P. Moïse KABORE
N° 394 19 février 2017
7ème dimanche TO Tous Appelés !
« Appelés à faire de notre relation aux autres
le reflet de la Sainteté divine »
Ensemble Paroissial Catholique de Castanet-Tolosan
Diocèse de Toulouse
Auzeville Castanet Corronsac Deyme Mervilla Pechabou Pompertuzat Rebigue
Textes du 7ème dimanche du temps ordinaire - année A
(Lv 19, 1-2. 17-18) / Ps 102 (103) /1Co 3,16-23 /Matthieu 5, 38-48)
Vie d’Eglise
Le 13 janvier plus de trente paroissiens se sont retrouvés à la Maison de la fraternité pour une rencontre B'ABBA sur le thème " Jésus-Christ, pourquoi lui ?" Claudine et Bruno témoignent.
**********
Des chrétiens de la paroisse m’invitent à une rencontre du B’ABBA. Je suis accueilli à la Maison de la fraternité, où déjà plusieurs personnes sont présentes dans une ambiance fraternelle. Je suis heureux et rassuré par la façon dont va se dérouler ma soirée. Pendant deux heures, je vais dialoguer avec des personnes que je ne connais pas.
Écouter, réfléchir, apprendre au gré de la lecture de l’Évangile et de sa mise en perspective. Je vais ensuite être bouleversé et enrichi à l’écoute du témoignage de foi apporté par Claudine. Quel courage ! Quelle leçon ! Tout a une fin, mais à l’issue d’un tel partage, pour moi tout continu. Je ne suis pas seul à cheminer.
Bruno DESPLAS ************
Pour moi, ce thème bien préparé, nous a dévoilé progressivement tout au long de la
soirée le sens et l’importance de Dieu dans notre vie. Si la première interpellation doit
être résumée à la forme interrogative, nous dirons tout simplement quelle est
l’importance de Dieu dans notre vie ? Un compagnon qui fait route avec nous sur le
chemin de la vie comme il l’a fait avec les premiers disciples (voir le récit de
Cléopâtre et Jules). Un Dieu qui veut se faire notre Ami tout en respectant notre
liberté…
Après avoir pris conscience de la soif de Dieu pour les hommes qu’il aime le premier,
la seconde interpellation nous révèle le nom de notre Dieu. Au bord du puits de Jacob
«Jésus» se présente à la Samaritaine comme le détenteur de la source d’eau vive.
B’ABBA c’est aussi un échange convivial où l’on confronte ses opinions et
expériences de vie de manière courtoise sur le sujet abordé. Une catéchèse sur
mesure !!! Certes cela nous oblige à aller vers l’autre et à nous dévoiler un tout petit
peu. Concession bien mince comparée à ce que l’on reçoit et accueille en lien avec
l’Évangile si en peu de temps.
Claudine ABLI
À la suite des différents groupes et services, une relecture spirituelle est proposée à tous les paroissiens non engagés mais désireux de participer à cette démarche ecclésiale. Nous vous accueillerons le mercredi 1er mars à la Maison de la fraternité à 18 h
Témoignages : B’ABBA
Relecture pastorale
Elle nous est familière la petite Bernadette Soubirous , qui à quatorze ans,
le 11 février 1858 , a vu apparaître, alors qu’elle était occupée à ramasser du bois mort près de la
grotte de Massabielle, une « belle dame » vêtue d’une robe blanche, ceinte d’un ruban bleu , un voile
blanc sur la tête. Celle-ci lui parle de pénitence et de prière et égrène en même temps qu’elle le cha-
pelet qu’elle porte à la main.
Ce n’est que le 25 mars, lors de la seizième apparition, que Bernadette obtient enfin dans sa langue,
l’identité de la Dame : « Que soy era Immacula Councepciou » et nous pouvons aisément imaginer la hâte
de la messagère de Marie courant vers le presbytère, répétant sans cesse ces mots qu’elle ne
comprend pas mais qu’elle ne veut pas oublier et qui la libéreront peut-être des doutes et de la
farouche opposition de l’abbé Peyramale, le curé de Lourdes. Des mots qui, peut-être, justifieront la
demande réitérée de la Dame : Allez dire aux prêtres qu’on vienne ici en procession et qu’on y bâtisse une
chapelle . »
Malgré sa bonne foi, la source surgie au pied de la montagne et les guérisons, Bernadette n’arrive
pas à vaincre les oppositions, les sarcasmes et accusations diverses ; seules ses rencontres avec la
« belle Dame » seront jusqu'à la dix-huitième et dernière apparition, le 16 juillet 1858 des moments
d’intense bonheur.
Bernadette poursuit ensuite un chemin difficile, fait de sacrifices et de dur labeur pour aider les
siens ; cependant, « à la disposition de tous, elle a édifié les uns, étonné, confondu les autres » témoignera
l’abbé Peyramale, et l’abbé Pomian d’ajouter qu’elle est "la meilleure preuve de l’apparition" Pour la
protéger, le curé de Lourdes la fait placer à l’hospice de la ville dirigé par les sœurs de Nevers. Elle y
reçoit un minimum d’instruction et y fait de menus travaux ; cependant sa vie n’est pas dépourvue
d’humiliations.
Le 7 juillet 1866, à l’âge de vingt-deux ans, elle entre dans leur congrégation et part pour Nevers lieu
de leur maison mère. Elle y vit treize ans sous le nom de sœur Marie-Bernard, tout d’abord
aide-infirmière, occupation dans laquelle elle excelle et à laquelle s’ajoute celle d’aide-sacristine ; de
son évêque, elle reçoit « l’emploi de la prière ». Cependant, Bernadette est souvent alitée, traitée
durement par des supérieures et des consœurs. Elle reste toujours dans la bonne humeur et souffre
avec courage. Elle meurt saintement le 16 avril 1879.
« C’est parce que j’étais la plus pauvre et la plus ignorante que la Sainte Vierge m’a choisie », disait-elle...
Jeannine GUITARD et Claudette DALET
Agenda
Sainte Bernadette Vie de Saint
Maison de la fraternité 19h15 Réunion EAPEglise de Deyme 20h30 Croire aujourd'hui ? : textes du dimanche 26 février
Vendredi 24 Maison de la fraternité 10h00-14h00 Réunion du M C R
Dimanche 26 Presbytère 10h00-18h00 "Le dimanche de la famille Bartimée"
Jeudi 23