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BABILLARD … 2 MOT DU MAIRE … 3 PANIERD’ ÉPICERIE …4 NOS ENTREPRISES … 5 FADOQ ...6 FERMIÈRES … 7 FERMIÈRES HISTORIQUE ...8 CANARDS … 13 RÉGIMES ...14 CUISINE PAVILLON … 15 FADOQ BRUNCH … 16 MONT GLEASON … 17 PROCÈS-VERBAL … 18 DÉBOISEMENT/AGENDA … 19 Dans ce numéro : Saint-Albert, Vol. 8 Mars 2015 Journal Communautaire sans but lucratif Programme Nouveaux Horizons pour les aînés. Siège social Centre de Services St-Albert 300, des Bois-Francs Sud, Victoriaville 1245, rue Principale, St-Albert Téléphone: 819-758-9421 Téléphone: 819-353-3400 Sans frais: 1-866-758-9421 Sans frais: 1-866-575-3400 Pour connaître les adresses de nos centres de services dans la grande région des Bois-Francs, veuillez consulter notre site Internet. www.desjardins.com/caissedesboisfrancs 14 MARS 10h00 à St-Albert Marche annuelle du défi 5/30 MARS: Mois de la nutrition ! ... Mais comment faire avec un panier d’épicerie à la hausse? Voir page 4 8 MARS Journée de la femme 8 mars 2014 on avance

Journal J'ai La Bougeotte de Mars 2015

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Journal de St-Albert, Qc.

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Page 1: Journal J'ai La Bougeotte de Mars 2015

BABILLARD … 2 MOT DU MAIRE … 3

PANIERD’ ÉPICERIE …4 NOS ENTREPRISES … 5

FADOQ ...6 FERMIÈRES … 7

FERMIÈRES HISTORIQUE ...8 CANARDS … 13

RÉGIMES ...14 CUISINE PAVILLON … 15

FADOQ BRUNCH … 16 MONT GLEASON … 17

PROCÈS-VERBAL … 18 DÉBOISEMENT/AGENDA … 19

Dans ce numéro :

Saint-Albert, Vol. 8 Mars 2015 Journal Communautaire sans but lucratif

Programme Nouveaux Horizons pour les aînés.

Siège social Centre de Services St-Albert 300, des Bois-Francs Sud, Victoriaville 1245, rue Principale, St-Albert Téléphone: 819-758-9421 Téléphone: 819-353-3400 Sans frais: 1-866-758-9421 Sans frais: 1-866-575-3400

Pour connaître les adresses de nos centres de services dans la grande région des Bois-Francs, veuillez consulter notre site Internet.

www.desjardins.com/caissedesboisfrancs

14 MARS 10h00 à St-Albert

Marche annuelle du défi 5/30

MARS: Mois de la nutrition ! ... Mais comment faire avec un panier

d’épicerie à la hausse? Voir page 4

8 MARS Journée de la femme

8 mars 2014 on avance

Page 2: Journal J'ai La Bougeotte de Mars 2015

Journal Communautaire J’Aî la Bougeotte 25, rue des Loisirs, St-Albert, Qué. J0A 1E0

Courriel : [email protected] www.munstalbert.ca (onglet vivre à St-Albert, journal commu.)

Tirage : 670 exemplaires, 10 parutions / an

Distribution : St-Albert (gratuit) Abonnement: 20$/an

B A B I L L A R D Page où l’on achète, on annonce, on vend, on collectionne, etc.

PROCHAIN NUMERO : fin mars Vos articles avant le 15 mars S.V.P.

Publicité Carte d’affaires 10,00$ / parution ¼ page 30,00$ / parution ½ page 60,00$ / parution 1 page 125,00$/ parution Veuillez joindre la publicité que vous désirez, le nombre de parutions et votre chèque au nom de Journal Communau-taire à l’adresse ci-haut mentionnée. Contactez : Huguette Routhier (358-2088) Sylvie G.Boisvert: (353-2992)

POLITIQUE D’INFORMATION Le journal « J’AÎ la Bougeotte » appartient à la population de St-Albert et chacun peut s’y exprimer librement par des opinions, chroniques, comptes rendus, nouvelles, etc. La rédaction se réserve le droit de corriger le français, pour une meil-leure lecture ou compréhension, et de refuser ou de faire modifier tout article qui ne respecte pas les objectifs du journal. L’Équipe du journal : Huguette Routhier, chargée de projet Sylvie G. Boisvert, secrétariat. Sous-comités de bénévoles Le genre masculin est utilisé afin de faciliter la lecture.

2

DATE À RETENIR Brunch du Cercle de Fermières de St-Albert le 19 avril 2015. Plus de détails dans le prochain journal.

Téléphone

819 795-3577 Siège social

40 rue Alice, Victoriaville G6P 3H4

Point de service

1966, rue St Calixte Plessisville G6L 1R9

PROFITONS DES JOIES DE L’HIVER! ON S’AMUSE À ST-ALBERT En plus de la patinoire, une glis-sade vous y attend. Profiter de la montagne de neige incluant une glissade artisanale dans le station-nement du bureau municipal.

Journée Éducaloi

Le 11 mars 2015 à 9h30

Informations sur les mandats d’inaptitude

Place Rita St-Pierre

59, rue Monfette, local 125, Victoriaville.

Il est important de réserver votre place car

celles-ci sont limitées.

819-752-7876 poste 0

À VENDRE Table de billard 4’X8’ avec fond d’ardoise. Tapis en très bonne condition. Set de boules complet ainsi que quelques baguettes. Le tout pour 500$. Infos: Any ou Suzanne 819-353-3300 (Municipalité St-Albert)

JARDIN COMMUNAUTAIRE

Même si c’est difficile à s’imaginer en ces jours de grands froids, OUI l’été reviendra. Il est donc temps de penser à vos

semis et si vous êtes intéressés à faire pousser vos propres légumes, contactez-nous pour réserver votre place dans le

jardin communautaire.

Bureau municipal: 819-353-3300

COMPTES DE TAXES MUNICIPALES

Si votre compte de taxes est payé directement par votre insti-tution financière (emprunt), il est de votre responsabilité d’en

remettre une copie à celle-ci. Il y aura un rappel de paiement de taxes seulement en oc-

tobre 2015.

Page 3: Journal J'ai La Bougeotte de Mars 2015

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MOT DU MAIRE

B onjour à tous !

L'hiver froid que nous avons eu est presque terminé, le printemps nous laisse croire que la chaleur s'en vient à grand pas. Je vous rappelle que le samedi 14 mars, aura lieu à 10 heures, le départ de notre marche annuelle du Défi 5/30. Pour la deuxième année consécutive, le rassemblement aura lieu dans le stationnement de la Salle du Pavillon. En tant que citoyens de Saint-Albert, venez relever ce défi avec moi. Je vous attends en grand nombre. Parmi les participants présents, nous ferons tirer un abonnement annuel pour la salle d'entrainement et qui sait peut-être un deuxième si les participants sont nombreux. Appor-tez votre confirmation d’inscription internet du défi 5/30 et vous aurez une chance supplémentaire de gagner. Lors du brunch des placoteux du 8 février dernier, Ma-dame Marie-France Boucher, présidente de l'Âge d'Or, m'a de-mandé pour servir les déjeuners aux citoyens. Une invitation que j'ai acceptée avec plaisir. Ce fût une très belle expérience et une belle activité avec des gens sympathiques. Nous avons eu la chance d’écouter une belle prestation de Madame Sophie Bois-sonneault conteuse. Dans le journal du mois prochain, je vous ferai un retour sur le souper spaghetti organisé par la Chorale le 28 février et les sous amassés serviront pour l'entretien de notre belle église. J'aimerais souligner l'émission de la semaine verte qui mettait en vedette au premier plan la Ferme Landrynoise avec Messieurs Jean-Marie, Daniel, Carl et Éric Landry. Longue vie à cette entreprise florissante. J'aimerais féliciter également tous ceux qui ont permis à cette entreprise de progresser à ce haut niveau. Je parle bien sûr, outre les propriétaires, de tous les em-ployés(es) qui se sont succédés au fil des décennies. Bravo! Saint-Albert et la région, regorge de belles fermes, soyons-en fier, chacune a son histoire. Dans le journal du mois dernier, j’ai lancé un appel à tous à savoir si les gens avaient un intérêt pour une page Face-book de la municipalité. À ce jour, seulement 2 personnes se sont manifestées. Je réitère ma demande: voyez-vous un intérêt ou une opportunité pour la municipalité d’adhérer au réseau social Facebook ? Si oui, écrivez-nous au [email protected] ou téléphonez au bureau municipal au 819-353-3300. Si personne ne manifeste d'intérêt, le projet ne se réalisera pas. Le vendredi 17 avril prochain, la municipalité soulignera

l'effort des organismes et bénévoles avec une soirée hommage. C'est avec un immense plaisir que chaque année, la municipalité investit afin de remercier ceux qui, trop souvent, travaillent dans l’ombre. La richesse de Saint-Albert est bien sûr, vous, chers ci-toyens. Et plusieurs d’entre vous, chacun à votre façon, offrez du temps pour du bénévolat. Chaque président d’organismes de Saint-Albert recevra une invitation et ceux-ci contacteront leurs bénévoles. Cette soi-rée spéciale est donc destinée aux organismes de Saint-Albert. Tous ensembles, nous travaillons pour un Saint-Albert fier et vi-vant. Chaque année, le comité des nouveaux arrivants distri-bue une dizaine de paniers de bienvenue. C’est un plaisir pour-Madame Colette Gagnon, conseillère, et moi-même de prendre rendez-vous et de procéder à une visite des familles nouvellement arrivées à Saint-Albert. Un geste symbolique que les nouveaux résidents apprécient. C’est une façon de souhaiter la bienvenue aux familles et ce, en votre nom. Dans ce panier, on y retrouve beaucoup d’informations concernant notre beau village. Entre autre, le guide du nouvel arrivant, le guide du citoyen et de la politique familiale, une carte géographique de Saint Albert, quelques cadeaux à l’effigie de la municipalité, des confections artisanales offertes par le cercle de Fermières de Saint-Albert, des bons rabais de diverses entreprises locales ainsi qu’un exemplaire de notre journal communautaire J’AÎ la Bougeotte. Je profite de l’occasion pour inviter les entreprises de la région qui seraient intéressées à bonifier nos paniers. C’est en quelque sorte une façon de vous faire connaitre. Continuez de visiter notre site internet au www.munstalbert.ca afin de suivre ce qui se passe chez nous. Si vous désirez recevoir dans votre boîte de réception les mises à jour du site internet, téléphonez au bureau municipal au 819-353-3300 et il nous fera plaisir de vous inclure dans la liste d’envoi. Bon mois de mars à tous ! Respectueusement,

Alain St-Pierre, maire.

Maintenant que vous avez pris le temps de vous inscrire au défi santé, et qu’il est maintenant temps de réaliser votre défi, il nous fera plaisir de vous accueillir :

Samedi le 14 mars 2015.

Une marche symbolique est organisée dans le village par la municipalité. Ça bouge à Saint-Albert. Le départ se fera à

la salle du Pavillon dès 10h00. Si mauvais temps, il y aura une activité prévue à l’intérieur. Une collation santé vous attendra au retour vers 10h30. Lors de cette activité, un abonnement d’un an à la salle d’entraînement sera pigé au hasard parmi les gens présents. Ceux qui apporteront une preuve de leur inscription internet au défi 5/30 auront une chance supplémentaire de gagner. Nous vous attendons en grand nombre.

DÉFI 5/30 Date à inscrire à votre calendrier

Page 4: Journal J'ai La Bougeotte de Mars 2015

D es prévisions sur le prix des aliments viennent d’être revues à la hausse à cause de la chute de la valeur du dollar cana-dien.

Les aliments les plus touchés par cette hausse sont les légumes, les fruits et les noix, soit les produits généralement importés. Ces derniers représentent environ le quart de la facture d’épicerie des ménages. Selon le chercheur à l’origine de cette étude, Sylvain Charlebois, l’impact ne devrait pas être trop grand pour les familles puisque la hausse du prix du panier d’épicerie sera compensée par la baisse du prix de l’essence. «Une famille moyenne pourrait épargner plus de 900$ cette année à la pompe à essence, explique le professeur en distribution et politiques agroalimentaires à l’Université de Guelph. Donc la famille, en fait est gagnante en fin de compte. Mais cela étant dit, vous savez, le Canada donne accès au troisième panier d’épicerie le moins cher au monde après les États-Unis et Singapour. » De son côté, Lisanne Blanchette, conseillère budgétaire chez Option consommateurs, dé-nonce ce qu’elle appelle le sous-dimensionnement. Cette pratique consiste à réduire le format des aliments tout en maintenant leur prix, le tout souvent camouflé derrière un nouveau format d’emballage. «Ce qui est agaçant, c’est que c’est fait à l’insu des consommateurs, dit-elle. C’est un peu une façon cachée de faire des économies pour les commerçants. Le consommateur, lui, va payer plus cher pour une quanti-té moindre. On peut considérer ça comme trompeur.» Selon le rapport sur les prix alimentaires à la consommation 2015 publié par l’Université de Guelph en début décembre, le prix du panier d’épicerie des Canadiens va grimper de 0,3% à 2,6% en moyenne en 2015. La hausse des prix pourrait donc être supérieure au taux d’infla-tion. Les plus fortes augmentations toucheront la viande, le poisson, les fruits de mer et les légumes. Dans le cas de viande et poisson, l’augmentation serait plutôt de 3% à 5%. Les raisons principales de ces augmentations seraient un déséquilibre dans le marché entre l’offre et la demande. À noter qu’entre 2004 et 2014, le prix des aliments au Canada a crû de 28,5%.

Comment éviter que sa facture d’épicerie augmente

Bien évidemment, il n’y a pas de recettes miracles mais, comme expliqué à maintes reprises, nous pouvons nous aider en magasinant nos produits. L’arme la plus facile et à la portée de tous est d’utiliser les politiques de prix concurrentiels. En pratique : on se fait un menu en fonction des aubaines. On dresse d’abord une liste d’achat à la maison (pour éviter les achats impulsifs en magasin) et on surveille les circulaires. On pourrait aussi envisager de réduire sa consommation de viande et s’orienter vers la nourriture végétarienne, qui est une option santé et économique. En tous cas, il faut éviter les aliments préparés. Acheter des produits frais et non transformés reste la bonne solution pour avoir le contrôle de sa facture d’épicerie. Il y a également la mode du couponing qui peut être très avantageuse. Il y a différents sites internet où vous pouvez imprimer des coupons ou encore en commander et ainsi faire des économies substantiels sur plusieurs produits. Source: site web de ici.racio-canada.ca et S.O.S. cuisine.

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Votre panier d’épicerie coûtera plus cher que prévu...

PRIX ALIMENTAIRES 2015 Catégorie d’aliments hausse prévue

Viande 3 à 5% Poisson et fruits de mer 3 à 5% Produits laitiers et œufs 0 à 1% Céréales 0 à 2% Fruits et noix 1 à 3% Légumes 3 à 5% Repas au restaurant 1 à 3% Total des dépenses alimentaires 0,3 à 2,4%

À votre service depuis plus de 20 ans Situé au 1276 rue Principale, Cour arrière (Engrais Ducharme) Portes 1 et 2 St-Albert Tel : 819-353-2655 Fax : 819-353-2714 [email protected]

Services offerts Entretien, fabrication et réparation de machineries de toutes sortes. Soudure TIG, MIG (acier, aluminium, inox) Coupage plasma et oxycoupage Coupage sur guillotine ( shear ) Pliage et machinage de métaux. (machiniste sur place) Sablage au jet et peinture industrielle (chambre de peinture) Maintenance sur système hydraulique et pneumatique Réparation de pneus.

Inventaire disponible Boulonnerie zinc et inox Quincaillerie pour remorque : Lumière, goupilles, attaches, filage, etc. Boyau à air, eau, hydraulique ainsi que plusieurs adapteurs Chaine et câble d’acier (Wire) Disque à couper et à rectifier Huile hydraulique Lubrifiant, silicone, et produit divers Courroies agricole Palier et roulement (Bearing) Et plus …

Au plaisir de vous rencontrer pour dis-cuter de vos projets.

Page 5: Journal J'ai La Bougeotte de Mars 2015

5

C ’est avec plaisir que je vous présente ce mois-ci une personne que tout le monde connaît

comme étant le maire de la municipalité Cette fois, je vais tenter de vous faire découvrir l’homme derrière

son entreprise.

Je suis né à Victoriaville en 1961 et j’ai pris racine à

Saint-Albert en 1988. J’ai habité le 1165, rue Princi-pale à Saint-Albert avec ma défunte épouse Louise et

nos trois merveilleux enfants (William 28 ans, Marylou 25 ans et Mylène 23 ans) y ont vu le jour.

J’habite depuis 2011 à trois maisons de mon ancienne demeure avec ma conjointe Maryse. Ma fille Marylou

et sa famille habitent maintenant notre ancienne rési-dence familiale.

J’ai une petite entreprise depuis maintenant 10 ans, soit Concept Info Laser. Je vends des cartouches pour les impri-mantes un peu partout dans la région ainsi que dans la grande région de Montréal et également à quelques fidèles

clients ici même dans la municipalité. J’offre la possibilité d’acheter le produit original ou encore un produit compatible. Je laisse le soin à ma clientèle de choisir ce qu’elle désire.

Étant travailleur autonome, cela me facilite drôlement la vie en choisissant mes propres horaires que je peux adapter à

mon travail de maire de la municipalité, à mon rôle d’administrateur à la M.R.C. Arthabaska et à celui de président de

Tourisme Victoriaville et sa région.

À travers tout cela, je m’amuse à tous les jeudis à faire de la livraison un peu partout au Québec pour mon ami Alexandre Bergeron, qui a une belle entreprise ici à Saint-Albert, «Olivier Delmondo».

Je suis aussi représentant de monuments funéraires. Au décès de mon épouse, un choix difficile fut celui du monu-ment. Un jour, par hasard, on m’a offert de représenter une compagnie qui offrait ce service. Honnêtement, pouvoir

aider les gens dans leur choix, est un immense plaisir pour moi. Je sais quelles émotions ils sont en train de vivre. Ils sont en deuil, je prends donc le temps de faire les choses correctement pour qu’ils se sentent en confiance et qu’ils

aient le temps de choisir ce qu’ils désirent vraiment et non pas ce que le représentant aimerait bien qu’ils achètent.

Toute une différence : une approche humaine et non monétaire.

Je suis chanceux autant en ce qui concerne ma clientèle de cartouches que dans celle pour les monuments funéraires. Beaucoup de gens me témoignent leur confiance et je me fais un devoir, comme dans mon travail de maire, de faire le

maximum pour ces gens.

Saint-Albert est devenue ma ville d’adoption et avec mes deux petits-enfants qui habitent aussi dans la municipalité, je

suis un grand-père, un père, un maire, un entrepreneur et un conjoint comblé.

Alain St-Pierre Par Huguette Routhier

Découvrons nos entreprises

Cell: 819-350-5801

Page 6: Journal J'ai La Bougeotte de Mars 2015

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LA CAMPAGNE

du Bouton Argenté Le bouton argenté est le symbole d’un mouvement pour une qualité de vie adéquate des aînés mis en œuvre par le Réseau FADOQ. Ce petit objet à quatre trous se veut représentatif des quatre piliers fondamentaux qui sont à la base d’un nouveau contrat social proposé par le Réseau FADOQ afin de promouvoir la santé, la sécurité, le bien-être et l’appartenance. En portant ce bouton argenté, vous affirmez votre engagement à soutenir le mouve-ment en faisant la promotion d’actions concrètes qui auront une incidence directe sur une qualité de vie adéquate pour les aînés d’aujourd’hui et de demain. Le Réseau FADOQ invite donc la société civile, les organisations, les entreprises et les élus à signer le contrat social et à porter fièrement le bouton argenté.

Des boutons argentés sont dis-

ponibles au coût de 2$. Ache-tez-le et portez-le fièrement.

Infos: Marie-France

819-353-2943

Lise: 819-353-2269

Fadoq

APPEL À TOUS Le conseil d’administration de votre club FADOQ de St-

Albert est à la recherche de bénévoles qui seraient in-

téressés à exécuter différentes tâches ou encore des tâches plus spécifiques. Nos besoins sont très diversi-

fiés. Que ce soit les décorations à la salle pour la fête de Noël, des gens qui nous aideraient à préparer la

salle et servir pour le brunch des placoteux. L’été,

nous aurions besoin de jardiniers et jardinières pour l’entretien des fleurs devant l’église ainsi que l’entretien

saisonnier de l’intérieur et de l’extérieur de l’église. Donc il y en a pour tous les goûts. Quelques heures

par semaine ou même par mois seraient très appré-ciées et permettraient à plusieurs personnes de se va-

loriser tout en faisant des rencontres très intéres-

santes. Si vous êtes intéressés par l’une ou l’autre de ces tâches ou si vous avez d’autres idées, n’hésitez pas

à communiquer avec nous. Marie-France Boucher (819-353-2943)

Lise Chabot (819-353-2269)

MERCI POUR VOTRE ENGAGEMENT

APPEL À TOUS

Des bénévoles sont recherchés pour servir la messe lors de funérailles. Faites-nous connaître votre intérêt en communi-

quant avec Marie-France: 819-353-2943 Merci à l’avance pour votre habituelle collaboration.

PAIN DU PARTAGE

Nous avons besoin de bénévoles pour nous aider à la vente du pain du partage. Il y aura une pre-mière distribution mardi le 31 mars en fin d’après-midi et en soirée qui se poursuivra mer-credi le 1er avril à compter de 14h00. Il y aura également un point de vente à LA SALLE DESJARDINS, située au 25, rue des Loisirs. Si vous êtes intéressés à faire votre part et à vous amuser avec nous, n’hésitez pas à communiquer avec: Marie-France Boucher: 819-353-2943 Encouragez nos vendeurs bénévoles et surtout accueillez-les avec le sourire. Merci de votre participation et de votre encouragement. Les profits iront à certaines œuvres de charité ainsi qu’à la Fabrique de Saint-Albert.

Page 7: Journal J'ai La Bougeotte de Mars 2015

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Cercle de Fermières

DU NOUVEAU À SAINT-ALBERT Au début de l’été, vous verrez de la couleur sur les bancs-repos qui longent la rue Principale. Un beau projet des CFQ St-Albert: le tricot graffiti. Graffiti: Activité «spéciale» soulignant les 100 ans des CFQ Le tricot graffiti est une activité qui a pour but d’assurer une visibilité hors du commun pour le 100 ième des CFQ et de prouver que les CFQ sont là, bien vivantes, modernes et sans nos pan-toufles de Phentex. Le tricot graffiti sera la publicité de notre 100 ième, donc c’est important que ce soit un BEAU graffiti à NOTRE image, à VOTRE image, à l’image des CFQ. Le tricot graffiti ou yarn bombing ou encore tricot urbain (appelé aussi «knit graffiti» en an-glais) est une forme d’art urbain (street art) ou de graffiti qui utilise le tricot ou les fils colorés. Le yarn bombing investit la rue en utilisant et en recouvrant le mobilier urbain de tricot: bancs, escaliers, lampadaires, vélos, ponts, grilles d’école, clôtures, poteaux, etc. mais aussi des éléments de paysage naturel comme les troncs d’arbres, ainsi que les sculptures dans les places publics, ou les jardins. L’un des objectifs est d’embellir les lieux publics en les habillant de tricot graffiti pour les rendre moins impersonnels en créant de la chaleur, en les humanisant, en suscitant la réaction des passants en leur décrochant un sourire et pour faire de l’art avec du tricot. HISTOIRE Le tricot graffiti est né en 2005 à Houston, aux États-Unis, lorsque Magda Sayeq a eu l’idée de recouvrir la poignée de la porte de sa boutique avec du tricot bleu et rouge et des poteaux en avant de son commerce. Cet habillage et ce tapage multicolore du mobilier urbain avec du fil à tricoter ou à crocheter ou de la fibre de laine est vite devenu célèbre dans le monde entier et s’est propagé dans d’autres endroits des États-Unis et au Canada, en Suède, en Hollande, au Japon et d’autres pays. Plusieurs collectifs font parler d’eux au Québec. À Montréal Maille à Part et Les Ville-Laines, d’ailleurs vous avez un article sur les Villes-Laines et le tricot graffiti dans notre magazine l’Actuelle, vol 23 no 4, mai/juin/juillet/août 2013, à la page 3. Le tricot graffiti fait son bonhomme de chemin à travers le Québec, à Beloeil, à Sorel-Tracy mais aussi au sein des Cercles de Fer-mières du Québec.

TARTE AUX POIRES

INGRÉDIENTS 1 abaisse de pâte brisée

1 boîte de 840 ml (28oz) de poires (coupées en 2) 160 ml (2/3 tasse) de sucre

60 ml (¼ tasse) de farine

1 ml (¼ c. à thé) de sel 250 ml (1 tasse) de crème 35%

Donne 6 portions PRÉPARATION

Préchauffer le four à 200 C (400 F) Foncer 1 assiette à tarte de 23 cm (9 po) d’une abaisse

Égoutter les poires, déposer sur l’abaisse

Dans un bol, mélanger le sucre, la farine, le sel et la crème. Verser sur les poires. Cuire au four pendant 45 minutes

Servir. Par portion:

Calories: 441

Gras: 23 g 46% des colories provenant du gras

Protéines: 4 g Cholestérol: 58 mg

Sodium: 304 mg Hydrates de carbone: 54 g

Les ateliers se tiendront tous les lundis

après-midi à 13h00

EN MARS: Poignées au crochet et comment calculer une

pièce (fils).

Bienvenue à toutes.

Page 8: Journal J'ai La Bougeotte de Mars 2015

8

N ous sommes en 1940, il y a maintenant 645 Cercles totalisant environ 28 000

membres. Les premières expériences sont passées, les hésitations aussi. Les femmes donnent mainte-

nant leur opinion et veulent discuter entre elles de

ce qui est bon, raisonnable et utile. Mais plus elles sont nombreuses, plus il devient difficile pour elles

de se rencontrer. Des Cercles couvrent l’ensemble de la province et les planifications sont de plus en

plus longues et difficiles.

Un autre problème surgit : l’Église, qui a toujours soutenu

l’initiative du ministère de l’Agriculture, commence à trou-ver que les femmes sont trop indépendantes. On leur ac-

cordera très bientôt le droit de vote et les curés veulent garder le contrôle sur celles-ci. De plus, les évêques en-

tendent parler de l’intention des Cercles de se regrouper en

région selon les districts agronomiques qui ne sont pas les mêmes que les diocèses qui régissent l’Église catholique. Il

s’agira de nos futures Fédérations.

ANNÉES DIFFICILES

Commencent alors 20 années difficiles pour les membres

des Cercles de Fermières du Québec. L’histoire de cette

époque est difficile à raconter et à interpréter, mais voici ce que l’on peut en retenir. Après avoir échoué dans leurs

tentatives de réaffirmer leur autorité sur les Cercles, les évêques prennent plusieurs moyens afin de ramener les

Cercles sous leur gouverne : Ils fondent des associations concurrentes, telles que

l’Union catholique des fermières (UCF), ainsi que les

Cercles d’économie domestique (CÉD) spécifiquement pour les femmes en milieu urbain ;

Ils menacent d’excommunier celles qui continuent d’être membre des Cercles de Fermières. Certaines

femmes se verront même refuser la communion lors

des messes. Pour couronner le tout, en 1946, l’Assemblée des Archevêques confirme une sanction :

les Cercles se trouvent hors de l’Église.

Dans de petites localités plus isolées, certains Cercles res-

sentent plus particulièrement le poids de ces menaces et finissent par joindre les autres groupements. Malgré cela,

la plupart des Cercles résistent à la demande de change-ment. Les Fermières veulent garder leur indépendance.

C’est la scission dans l’Association.

En 1960, puisque l’Église n’a pas réussi à attirer beaucoup

de membres des Cercles de Fermières dans l’Union catho-lique des fermières et dans les Cercles d’économie domes-

tique, une dernière tentative de fusion entre les trois asso-ciations existantes est entamée. Elle échoue en 1963

puisque les Cercles de Fermières se retirent au début des

négociations. Les deux autres associations forment l’AFÉAS (Association féminine pour l’éducation et l’action

sociale), qui existe toujours aujourd’hui.

Parallèlement au problème que suscite l’Église, des chan-

gements s’opèrent au ministère de l’Agriculture. C’est l’époque du gouvernement Duplessis et les politiques pro-

vinciales en faveur du développement agricole changent. Le service auquel sont rattachés les Cercles coordonnera à

l’avenir la diffusion de l’enseignement, les expositions et favorisera l’insertion des Cercles dans une organisation

internationale de femmes rurales.

Cette ouverture laisse aux Cercles plus de latitude dans

leur organisation interne. Ils viennent de passer une pé-riode de rationnement à cause de la guerre – pas de ma-

gazine et moins de congrès – mais cela ne les a pas empê-

chés de grandir. Il est temps de s’organiser, de trouver un moyen de communication efficace entre les Cercles. Le

magazine des Fermières y veillera ; il s’appellera doréna-vant Terre et foyer.

L’APRÈS-GUERRE

Les problèmes d’après-guerre sont nombreux et on espère que les Cercles de Fermières seront le roc pour édifier la

restructuration économique. Quelques initiatives intéres-

santes voient le jour : l’achat des produits de chez nous, une campagne pour une meilleure nutrition, la mise sur

pied de bibliothèsque dans les villages et des comptoirs de vente d’articles artisanaux.

L’organisation des Cercles en Fédérations permet de ré-pondre aux besoins par région et aux aspirations de leurs

membres. C’est ainsi que des priorités s’installent. Cer-taines membres priorisent l’artisanat, d’autres les jardins et

potagers ou encore les questions sociales.

Source: L’actuelle Janvier/février 2015 volume 25 numéro 2 page 23

Cercle de Fermières Un brin d’histoire

Les CFQ, de 1940 à 1968 Rupture avec l’Église

Texte: Louise Lagarde, présidente provinciale

Page 9: Journal J'ai La Bougeotte de Mars 2015

C a h i e r d e s e r v i c e s

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C a h i e r d e s e r v i c e s

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Page 11: Journal J'ai La Bougeotte de Mars 2015

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Page 12: Journal J'ai La Bougeotte de Mars 2015

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27, Rang Pariseau, Victoriaville

Merci à tous nos lecteurs

OUVERT AU PUBLIC SUR RENDEZ-VOUS

LES BOIS DAVIES

Fabrication d’escaliers;

Armoires de cuisine;

Finition d’armoires;

Fabrication et réparation

de meubles;

Reproduction et décapage.

NANCY DAVIES 819-552-1916

[email protected]

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S a ve z - v o u s où va l’eau

des toilettes et des éviers installés

chez vous ou dans votre école ?

Beaucoup de gens jettent des produits chimiques dans les toilettes ou dans

l’évier, sans se rendre compte de ce qui se passe ensuite. L’épuration des

eaux est prévue pour les déchets do-mestiques, mais pas pour les polluants

comme les métaux lourds, les solvants,

les pesticides et les produits chimiques industriels. Ceux-ci ne sont pas élimi-

nés par l’épuration. On les retrouve dans l’eau potable et ils risquent de

tuer des animaux et des êtres hu-

mains. Dans les municipalités, l’eau qui s’éva-

cue de chez vous ou de votre école passe par les égouts pour aboutir à

une station d’épuration où elle passe par plusieurs étapes d’éliminations des

matières solides en suspension et des

produits organiques et chimiques. Les matières solides qui restent , appelées

boues d’épuration, sont transportées,

dans une décharge, incinérées ou épandues dans des champs.

Malheureusement, lorsque les boues d’épuration sont mises à la décharge,

elles risquent de s’infiltrer dans la

nappe aquifère. Lorsqu’on les brûle, elles risquent de libérer des dioxines

dans l’atmosphère. Et lorsqu’on les épand dans les champs, elles risquent

de contaminer les cultures. Mais, pis encore, de nombreuses muni-

cipalités déchargent les eaux usées

brutes, non traitées, directement dans les cours d’eau, les lacs et les océans.

Au Québec, on déverse tous les jours des milliers et des milliers, pour ne pas

dire des millions de litres d’eau non

traitées, dans le fleuve St-Laurent, d’où plusieurs millions de personnes

tirent leur eau potable. Ceux qui vivent à la campagne ont

souvent leur propre fosse septique ou un drain d’épandage souterrain. Ces

fosses sont vidées à peu près chaque

année par un spécialiste agréé. Leur contenu est amené dans une station

d’épuration locale ou épandu sur un

terrain approuvé, puis enfoui. Si votre municipalité possède une sta-

tion d’épuration des eaux usées, pre-nez rendez-vous pour une visite gui-

dée, dressez une liste de questions à

poser. De quand date la station ? Quelle quantité d’eaux usées est épu-

rée par semaine ou par année ? Quels sont les procédés utilisés ? Que fait-

on des boues d’épuration, et qu’advient-il de l’eau épurée ?

Ne vous contentez pas de réponses

vagues ou confuses. Précisez votre question jusqu’à ce que vous compre-

niez bien la réponse.

Yves Bergeron, bénévole

Canards Illimités Canada

Canards Illimités L’eau, où s’en va-t-elle?

Le printemps est bientôt arrivé.

Afin de mieux vous servir,

nous sommes maintenant détaillant MEGA PNEU

Passez nous voir,

il nous fera plaisir de vous conseiller.

Bon été à tous

L’équipe Garage Jimmy Lajeunesse

Jimmy, Geneviève et Keven

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L a plupart des régimes amaigris-sants sont inefficaces parce

qu’ils engendrent un sentiment de faim intense qui décourage et frustre les personnes qui cherchent à perdre du poids. Une étude récente indique que cette faim serait provoquée par la destruction de certains neurones im-pliqués dans le contrôle de l’appétit.

Régimes inefficaces L’excès de poids et l’obésité qui sont asso-ciés à la consommation excessive de calo-ries sont les éléments déclencheurs de plusieurs maladies chroniques qui touchent de plein fouet la population, en particulier le diabète de type 2, les maladies cardio-vasculaires et plusieurs types de cancers. Même si nous plaçons beaucoup d’espoirs dans la découverte de nouveaux médica-ments destinés à guérir ces maladies, il ne faut surtout pas oublier qu’une simple ré-duction de la masse corporelle pourrait avoir des répercussions extraordinaires sur l’incidence de ces maladies et sauver d’innombrables vies. Au fil des années, un nombre incalculable de régimes amaigrissants ont été populari-sés pour aider les personnes qui cherchent à perdre du poids. En théorie, le principe est très simple: puisque le surpoids est dû à un excédent de calories, le simple fait de réduire cet apport calorique ne peut qu’entraîner une diminution de la masse corporelle. En réalité, la situation est beaucoup plus complexe: le corps perçoit cette baisse de l’apport calorique comme un signal de con-ditions difficiles et abaisse en parallèle le métabolisme basal pour tenir compte de ce manque de nourriture. Ces régimes hypocaloriques engendrent aussi un sentiment de faim intense qui peut être réprimé à court terme, mais qui devient intolérable à plus long terme. En conséquence, l’enthousiasme des gens devant quelques kilos perdus au départ est vite refroidi par le plafonnement de cette perte de poids: non seulement les per-sonnes qui sont au régime ont faim, mais, en plus, la perte de poids promise n’est pas au rendez-vous! Il est donc normal que ces

régimes soient rapidement abandonnés… et que les kilos perdus reviennent en force! Un autre danger de ces régimes est qu’ils peuvent à la longue détruire notre relation privilégiée avec la nourriture: l’acte de manger n’est plus un plaisir, mais devient plutôt une «menace» pour le poids corpo-rel, une activité qu’on ne peut accomplir sans se sentir d’une certaine façon cou-pable. Coupable d’avoir faim, quel gâchis!

Cannibalisme cérébral Une étude récente montre que la sensation de faim associée à la privation de nourri-ture est due à un dérèglement physiolo-gique des processus impliqués dans la ré-gulation de l’appétit(1). Des chercheurs new-yorkais ont observé qu’une réduction de l’apport en nourriture provoque des dommages importants à certains neurones situés au niveau de l’hypothalamus: en réponse à une baisse de calories, ces neu-rones commencent à «s’autodigérer», c’est-à-dire à utiliser leurs propres constituants comme source d’énergie, ce qui mène ulti-mement à leur destruction. Un genre de cannibalisme cellulaire! Puisque ces neurones jouent un rôle clé dans le contrôle de l’appétit, leur destruc-tion provoque évidemment plusieurs boule-versements, notamment la production de certains peptides impliqués dans la stimula-tion de l’appétit. Avoir faim lorsqu’on est au régime n’est donc pas un état lié à un manque de volonté ou un simple caprice; il s’agit plutôt d’une réponse physiologique du corps à une situation anormale qui est interprétée comme une menace pour l’inté-grité de l’organisme.

Approche équilibrée Ces observations expliquent scientifique-ment ce que les personnes qui ont adopté un régime sévère savent par expérience: il n’y a pas de méthode «miracle» pour perdre du poids, surtout à l’aide de ré-gimes qui prônent une diminution trop draconienne de l’apport calorique. La faim finit toujours par nous rattraper, quelle que soit notre volonté! La seule approche réaliste au maintien du poids corporel consiste à modifier nos habi-tudes de vie en adoptant certains réflexes

très simples, mais qui peuvent cependant faire une énorme différence: •Manger lentement pour donner le temps aux mécanismes de contrôle de la satiété d’être activés. •Manger des aliments de faible densité calorique qui occupent beaucoup de vo-lume dans l’estomac sans contenir énormé-ment d’énergie; le meilleur exemple étant les végétaux et particulièrement les légu-mineuses, au très haut pouvoir rassasiant. •Adopter une approche défensive face à l’omniprésence d’aliments industriels dans notre environnement : collations, boissons gazeuses, fast-food, etc., ne doivent pas être des aliments quotidiens, mais plutôt de petits plaisirs occasionnels. •Privilégier les grains entiers: la hausse rapide d’insuline provoquée par les ali-ments contenant des farines raffinées sti-mule la fabrication de graisse à partir du sucre excédentaire. •Enfin, soyez actifs! L’activité physique améliore le fonctionnement général du métabolisme et permet au corps de mieux gérer les calories consommées.

Source: Dr Richard Béliveau,

docteur en biochimie

Les régimes amaigrissants font perdre la tête

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Comptabilité Maryka

Bourgault

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G râce à une subvention fédérale «Nouveaux Horizons» obtenue par la FADOQ St-Albert

et au soutien de la municipalité de St-Albert, la cuisine attenante au pavillon Maurice-Baril est

maintenant très bien équipée: hotte commerciale,

poêle à 6 ronds, lave-vaisselle hyper rapide, ma-gnifique comptoir-ilot avec dessus en stainless et

pouvant loger tous les nouveaux chaudrons et couteaux, en plus cet îlot est amovible, gros réfri-

gérateur à boissons. Les organismes ont donc de bons outils pour vous préparer des repas plus

savoureux les uns que les autres.

Cuisine du Pavillon

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L e 8 février dernier avait lieu l’incontournable brunch des

placoteux. Autour de 120 personnes ont participé à cet

événement annuel. Le jambon était servi par monsieur le maire

Alain St-Pierre et les œufs par Monsieur André Bellavance, député

fédéral. Après ce copieux repas, les desserts nous attendaient

dans toute leur splendeur. Lorsque tout le monde fut bien rassa-

sié, la conteuse Sophie Boissonneault nous en a mis plein les

oreilles avec ses contes et son personnage de Penouche. Elle fut

appréciée et surtout très écoutée, car parfois on aurait pu en-

tendre voler une mouche dans la salle tellement les gens étaient à

l’écoute.

Sylvie G. Boisvert

Fadoq St-Albert

Grâce à Claude Lessard, les œufs étaient tou-jours prêts.

Les abeilles du conseil d’administration à l’œuvre pour que tout soit parfait.

Alain et André fiers de leur travail… et avec raison.

Sophie Boissonneault dans son rôle de Penouche…. très drôle et touchante.

Les desserts… menoum….

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Province de Québec M.R.C. d’Arthabaska Municipalité de Saint-Albert Ouverture de la séance ordinaire du conseil de la Municipalité de Saint-Albert, tenue le 12 janvier 2015 à 19h30, au bureau municipal, au 25 rue Des Loisirs. Sont présents : Diane Kirouac, conseillère Alexandre Bergeron, conseiller Michel Ducharme, conseiller Colette Gagnon, conseillère Dominique Poulin, conseiller Mélanie Vogt, conseillère Tous formant le quorum sous la prési-dence du maire, Monsieur Alain St-Pierre. Madame Suzanne Crête, direc-trice générale et secrétaire-trésorière, agit comme secrétaire de la réunion. La séance ordinaire est ouverte à 19 h 30.

Mot du maire Le maire, Monsieur Alain St-Pierre, souhaite la bienvenue à tous et profite de l’occasion pour verbaliser ses vœux de bonne année à chacun. Santé, bonheur et prospérité. Monsieur St-Pierre précise que la rencontre est enre-gistrée pour permettre une facilité lors de la rédaction écrite du pro-cès-verbal. 2015-001 Adoption de l’ordre du jour Proposé par Madame Colette Gagnon, conseillère Que l’ordre du jour du 12 janvier 2015 soit adopté et que le varia demeure ouvert. Adopté à l’unanimité des conseil-lers 2015-002 Adoption du procès-verbal de la réunion du 8 décembre 2014 Proposé par Monsieur Michel Ducharme, conseiller Que le procès-verbal de la séance ordinaire du conseil du 8 décembre 2014 soit adopté tel que rédigé. Adopté à l’unanimité des conseil-lers 2015-003 Approbation des comptes pour la période du 8 décembre 2014 au 12 janvier 2015 Proposé par Monsieur Dominique Poulin, conseiller Et, il est résolu à l’unanimité des conseillers, d’adopter les comptes à payer suivants, tels que présen-tés au journal des déboursés, dont une copie a été remise à chacun des membres du conseil lors de la séance par la directrice générale et secrétaire-trésorière ;

Et, il est résolu à l’unanimité des conseillers, d’autoriser la direc-trice générale et secrétaire-trésorière à payer les dits comptes à payer : Registre des chèques #2556 à #2601 au montant de 104 979.17$ ; Adopté à l’unanimité des conseil-lers 2015-00 Proclamation des journées de la persévérance scolaire Attendu que la Table régionale de l’éducation du Centre-du-Québec mobilise depuis 2004 tous les acteurs de la communau-té à soutenir la réussite éducative afin que le plus grand nombre de jeunes obtiennent un premier diplôme ou qualification ; Attendu que la région du Centre-du-Québec a besoin d’une relève qualifiée pour assurer son plein développement socioécono-mique ; Attendu que la Table régionale de l’éducation du Centre-du-Québec tient, du 16 au 20 février 2015, sa 5e édition centricoise des Journées de la persévérance scolaire ; Attendu que dans le cadre de la 5e édition centricoise des Jour-nées de la persévérance scolaire, la Table régionale de l’éducation du Centre-du-Québec invite tous les acteurs de la communauté à poser un geste d’encouragement à l’égard de la persévérance sco-laire afin de démontrer aux jeunes que la communauté les soutient dans la poursuite de leurs études ; Proposé par Madame Colette Gagnon, conseillère Que la Municipalité déclare les journées des 16, 17, 18, 19 et 20 février 2015 les Journées de la persévérance scolaire à Saint-Albert. Que la Municipalité déclarera également en février 2016 et 2017 les Journées de la persévé-rance scolaire à Saint-Albert. Que le drapeau de la persévé-rance sera hissé au bureau muni-cipal durant le mois de février 2015-2016 et 2017. Adopté à l’unanimité des conseil-lers. 2015-005 Dossier Famille – Location de salle Attendu qu’une famille de Saint

-Albert loue la salle du Pavillon Général Maurice Baril à chaque fin d’année ; Attendu qu’un premier incident de bris et dommages fut causé en décembre 2013 ; Attendu qu’en décembre 2014, survient un deuxième incident de bris et dommages causés ; Attendu que suite à ces deux événements survenus en deux années consécutives, le conseil doit décider si une prochaine location est possible pour cette famille. Proposé par Madame Mélanie Vogt, conseillère Que cette famille devra débour-ser pour les réparations ; Qu’un dépôt de 500.00$ sera exigé à la dite famille pour toutes locations futures ; Qu’une modification sera appor-tée au contrat de location de la salle du Pavillon Général Maurice Baril ainsi qu’au local Desjardins concernant le dépôt d’une réser-vation ; Que cette modification autorisera la municipalité à utiliser le dépôt comme remboursement total ou en partie des frais en cas de bris ou de dommages causés lors de la location ; Que la Municipalité de Saint-Albert ait le pouvoir décisionnel de refuser de louer suite à un deuxième incident de bris ou dommages causés. Adopté à l’unanimité des conseil-lers. 2015-006 Sureté du Québec – Demande de distribution d’un communiqué à même l’envoi des comptes de taxes Attendu que la Sureté du Qué-bec demande la collaboration de la municipalité afin de distribuer un communiqué aux propriétaires agricoles et boisés de Saint-Albert ; Attendu qu’il est demandé par la Sureté du Québec de procéder à l’envoi du dit communiqué à même l’envoi des comptes de taxes. Proposé par Monsieur Dominique Poulin, conseiller Que le Conseil accepte la de-mande de la Sureté du Québec. Adopté à l’unanimité des conseil-lers. 2015-007 Demande d’instal-lation d’un conteneur de ré-cupération de vêtements

Attendu que la municipalité a reçu une demande du Centre d’entraide Contact de Warwick ; Attendu que cette demande vise à mettre un conteneur de récupé-ration de vêtements dans la loca-lité ; Attendu que l’épicerie Claude et Jean Lacharité accepte de rece-voir ce dit conteneur ; Proposé par Madame Diane Ki-rouac, conseillère Que le Centre d’entraide Contact soit autorisé à déposer un conte-neur de récupération de vête-ments dans le stationnement de l’épicerie Claude et Jean Lachari-té. Adopté à l’unanimité des conseil-lers. 2015-008 Commandite du CPE La Marelle des Bois-Francs Attendu que la Municipalité de Saint-Albert a reçu une demande de commandites du Centre de la petite enfance La Marelle des Bois-Francs ; Attendu que CPE La Marelle organise chaque année un Gala Méritas afin de souligner la Se-maine des services de garde du Québec ; Attendu que pour 2015, ce Gala Méritas aura lieu le 29 mai ; Attendu qu’à Saint-Albert il y a quatre services de garde recon-nus ; Attendu que cette dite demande s’élève à 15.00$ par service de garde à Saint-Albert ; Attendu qu’en retour, durant le Gala Méritas, le nom de la Munici-palité de Saint-Albert sera souli-gné, ainsi que dans le cahier sou-venir du Gala Méritas 2015 Il est proposé par Monsieur Mi-chel Ducharme, conseiller Que la municipalité commandite au CPE La Marelle un montant de 60.00$. Adopté à l’unanimité des conseil-lers. 2015-009 Levée de la séance du 12 janvier 2015 Proposé par Monsieur Michel Ducharme, conseiller Que la séance du 12 janvier 2015 soit levée à 20h35. Alain St-Pierre, maire Suzanne Crête, Directrice géné-rale/secrétaire-trésorière

Procès-verbal Municipalité St-Albert Janvier 2015

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Agenda Trois Mois

MARS

02 Séance du conseil 08 Changement d’heure 14 Marche 11 Réunion Fermières 21 Retour du printemps 31 Pain du partage

AVRIL 01 Pain du partage 05 Pâques 08 Réunion Fermières 13 Séance du conseil 17 Fête bénévoles et organismes 19 Brunch Fermières

MAI 04 Séance du conseil 13 Réunion Fermières 18 Journée des patriotes

Règlement relatif au déboisement dans la MRC d’Arthabaska

Voici la règlementation municipale concernant l’abattage d’arbres et le milieu forestier. Nous vous invitons à en prendre

connaissance avant d’effectuer vos travaux. Le tableau est un aide-mémoire pour les propriétaires forestiers de la région.

Pour le tableau incluant les opérations de déboisement amenant un changement de vocation (mise en culture, implantation

d'un ouvrage ou d'une construction, etc.), consultez le site Internet de la MRC d’Arthabaska : www.mrc-arthabaska.qc.ca.

Définition de déboisement Abattage d'arbres de dimension commerciale pour un volume de plus de 40 %, sur

10 ans, répartis uniformément.

Définition de débroussaillement Abattage de 40 % du nombre d’arbres de dimension non commerciale.

Travaux nécessitant une

demande de certificat

d'autorisation

St-Albert, St-Samuel,

Ste-Élizabeth-de-Warwick,

Victoriaville et Warwick.

Ste-Clotilde-de-Horton,

St-Norbert-d'Arthabaska,

Ste-Séraphine,

St-Christophe-d'Artabaska,

Tingwick et St-Valère.

Reste du territoire.

Déboisement sur plus de

0,5 hectare, par période de

10 ans, sur une même unité

d'évaluation.

Déboisement sur plus de

2,0 hectares, par période de

10 ans, sur une même unité

d'évaluation.

Déboisement sur plus

de 4,0 hectares, par

période de 10 ans, sur

une même unité

d'évaluation.

Déboisement ou débroussaillement à l'intérieur d'une bande de protection ou d'un

boisé protégé et le certificat n'est émis qu'en vertu de mesures d'exception.

Travaux de déboisement ou de

débroussaillement qui ne

nécessitent pas de demande de

certificat

Tous les travaux financés directement par un programme d'aide gouvernementale

(ex. : Programme de mise en valeur des forêts privées) et encadrés par un ingénieur

forestier.

Construction d'un chemin forestier (largeur max. de 15 m en incluant l'emprise).

Construction ou entretien d'un fossé de drainage (largeur max. de 6 m).

Bandes de protection Voisin (20 m), voisin résidentiel (30 m), chemins publics (30 m),

carrière/sablière (30 m) et prise d'eau potable municipale (120 m).

Boisés protégés

Plantation de moins de 30 ans, boisé ayant bénéficié d'un programme d'aide

gouvernementale dans les 10 à 15 dernières années, érablière, zone inondable, zone de

mouvement de terrain et pente forte (30 % et +).

Protection des cours d'eau

Bande de protection variant de 10 à 300 m selon le lac ou le cours d'eau.

Circulation de la machinerie interdite dans une bande de 10 à 15 m à partir de la ligne

des hautes eaux.

Mesures d'exception

Déboisement autorisé à l'intérieur des bandes de protection et boisés protégés lorsqu'il

est démontré, à l'intérieur d'une prescription forestière, que les arbres sont matures ou

dépérissants.

Documents requis pour

l'obtention d'un certificat

d'autorisation

Prescription forestière, formulaire de demande et procuration/résolution lorsque la

demande est faite sur une propriété appartenant à un tiers ou à une société.

Plan agronomique, autorisation en vertu du Règlement sur les exploitations agricoles,

formulaire de demande et procuration/résolution lorsque la demande est faite sur une

propriété appartenant à un tiers ou à une société.

Tarif du certificat

d'autorisation 100 $

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