8
Test produits : 4 trépieds pour poser le sapin Mensuel-JANVIER 2011 N° 441 France Métro : 6,70 - Belgique 7,60 - Luxembourg 7,60 - Andorre 6,70 - Suisse 13,00 FS - Canada 9,75 $CAD - Esp/Grèce 7,60 - Port. Cont 7,00 - Maroc 80 MAD - Dom/S 7,60 - Tom/A 1 850 CFP - Cal/S 1 000 CFP - Pol/S 1 050 CFP KTM, leader de l’off road mondial ? Test HM 125/250/300 Les rouges déboulent STORY test fiabilite 110 heures au guidon de la 450 rm-x ! notre verdict ENDURO match 7 zoneuses en action TRIAL Trip aventure au Togo EVASION Exclusif Cyril Despres Objectif Dakar INTERVIEW Quelle demi-mesure pour endurer ?

KTM, leader

  • Upload
    lequynh

  • View
    274

  • Download
    3

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: KTM, leader

Test produits : 4 trépieds pour poser le sapin

Mensuel-JANVIER 2011 N° 441France Métro : 6,70 € - Belgique 7,60 € - Luxembourg 7,60 € - Andorre 6,70 € -

Suisse 13,00 FS - Canada 9,75 $CAD - Esp/Grèce 7,60 € - Port. Cont 7,00 € - Maroc80 MAD - Dom/S 7,60 € - Tom/A 1 850 CFP - Cal/S 1 000 CFP - Pol/S 1 050 CFP

KTM, leaderde l’off road mondial ?

TestHM 125/250/300

Les rouges déboulent

STORY

test fiabilite

110 heures au guidon

de la 450 rm-x !

notre verdict

ENDURO

match7 zoneuses en action

TRIAL

Trip aventureau Togo

EVASION

Exclusif

Cyril DespresObjectif Dakar

INTERVIEW

Quelle demi-mesure

pour endurer ?

Page 2: KTM, leader

EVASION

84

TOGO-BURKINA FASO

Page 3: KTM, leader

Petit couloir rigolard nord-sud entre le Bénin et le Ghana, le Togo nous a

embarqués du Burkina Faso aux plagesde sable de l’océan Atlantique. MV est

allé pour vous décrocher les cocotiers àLomé. Le Togo, un vrai gros lot !

TogoBurkina Faso

Ghana

Algérie Libye

Niger

Tchad

Mali

Page 4: KTM, leader

86

éroport de Lomé, capitale duTogo. Le vol AF 748 s’est dé-roulé dans une ambiance dé-

complexée. Seul signe de la crise, lechampagne n’a pas dépassé la rangée23. Une bande de trentenaires togolaissoulageait avec méthode les hôtesses.Derrière, pour nous, c’est à l’eau.Déjà…

Bonne arrivée !Après un tour de passe-passe sous lesbanderoles des douanes pour dissi-muler son carnet de vaccination contrela fièvre jaune grossièrement trafiquécomme un carnet scolaire, Vincent,résident marocain rompu aux filoute-ries, feinte les deux médecins enblouse blanche qui remontent les ar-rivants. La classique du resquilleur aencore de beaux jours ! « Bonne arri-vée » nous lance Guillaume qui fait lepied de grue depuis trois heures dansce qui fait office d’aéroport internatio-nal à Lomé. Point de bonjour en Afriquede l’Ouest, on vous sert du sympa-thique « bonne arrivée » à chaque coinde rue et du bonsoir dès quinze heures.Faut vous y faire. Gaston, une figure duTogo Moto-Club, l’équipe de pas-sionnés qui avait monté dans les an-

nées 90 le SX de Lomé remporté par notre chef des es-sais Yann Guédard, prend les commandes dans son hôtelNapoléon au bord de la lagune. Lui, c’est l’ancienne écoledes expat’, du brut de décoffrage et en avant pourLomé by night ! L’investigation qui guide ma professionm’oblige à partir en virée avec… Vincent. PremierCH au Domino, suivi de la spécialede la plus grosse piste de danse detout l’Ouest, le Privilège. La paritéchère à nos ministères est gravementinversée là ! Le coupé-décalé zaïroisest à la danse ce que le pierrier du

Bois de Crozat était à la GLC : impra-ticable pour un non initié. Pas grave,on a déjà élu la Castel bière numéroun dans le coin. Les clips des stars USde hip-hop balancés sur les LCD sontspécialement conçus pour le marchéafricain. Du sur-mesure sans coutureà faire pâlir Obama ! Chaud. Quatreheures du mat. Chaud encore. Onchope un taximan pour aller se jeter unpoulet télévision dans un maquis. Unpoulet à la broche qui tourne derrièrela vitre, c’est poulet télévision. Un bar,c’est maquis. Va falloir vous mettredans le bain mes chéris coco car onpart dans deux heures pour les co-cotiers le long de la côte.Petit déj’, saut dans la piscine pour re-froidir les moteurs des noctambules etaction. Les DR qui viennent de se fa-der Ouaga-Lomé avec Gilles Régat lefondateur de Hors Traces craquentsans sourciller. Les plus frais de l’équi-pée ne sont apparemment pas desprétendants au Touquet ! Premier ar-

rêt sous une paillote de péchous en bord d’Atlantiqueet premières grosses rasades d’eau. Pas recommandéel’eau salée pour se frotter sur une selle. Pour la baignade,c’est chacun qui voit. Cap sur le lac Togo. Les DR sontchargées avec les chinoiseries à quatre-temps localesdans les pirogues qui font la navette de l’autre côté dela rive. Exotique. Chaud toujours, ça ruisselle sur les joueset ça torpille des sucreries (comprenez Fanta, Coco,Sprite…) sous la paillote du village. Piscine à l’arrivée,cours de natation aux ados du coin et leurs copines quinagent comme des enclumes, grosse ambiance le soirmalgré le peu de clients de l’hôtel. Les serveuses fini-ront de l’autre côté du bar sur du coupé-décalé fréné-tique. L’équipe de nuit a pris le contrôle du bar ! L’étapedeux nous emmène sur les hauteurs rafraîchissantes duMont Klouto. Mais avant, on doit trouver un gué prati-cable pour passer le Zio. On tourne, retourne, Guillaumequestionne et doit se résoudre à se jeter dans l’eautrouble. On est plongé jusqu’aux cuisses dans la jungleéquatoriale. Les villageoises qui remportent le linge lavédans la rivière avec leurs paniers sur la tête jettent dessourires pleins. C’est vert partout, on serpente au milieudes plantations de bananes, de café et de cacao, c’estle choc !

Sanatorium et botaniqueMais pour le café, faut pas y compter. Comme nous l’ex-pliquera Raphaël, le rasta cool du village de KoumaKonda après le petit-déjeuner de l’étape 3, le Togo pro-duit un max de café-cacao mais ce sont « les multina-tionales privées » qui l’exploitent. Nescafé en pot toutle séjour au pays du café et même pas de Benco, riencôté cacao. Trop bad, man ! On se réveille sous le MontKlouto dans un ancien sanatorium allemand déserté oùles Teutons venaient se refaire les bronches. Raphaël a

sa médecine douce pour ça depuis que lesdocteurs ont déserté le coin ! Ambiancevol au-dessus d’un nid de coucou sur-réaliste avec vue sur le château de Vialesur le mont d’en face, une constructionexcentrique d’un avocat français ré-cupéré par le Président et qui a déjàreçu des chefs d’état français. On

A

Pas vraiment homologuésles casques Tamberma !C’est par là Ouaga !Une traversée de gué avantet après le coup de pinceaudu célèbre Bab’sde Ouagadougou…

EVASIONTOGO-BURKINA FASO

Page 5: KTM, leader

«La Rand’Auvergne sousune chaleur équatoriale,

vous imaginez? »

1 600 km au total150 à 250 km par jourJ1 : France-Lomé-HôtelNapoléon (bonnearrivée !)J2 : Lomé-traverséeen pirogue du Lac Togo-Tsévié (journée H20)J3 : Tsévié-Kpalimé-village Kouma Konda(ancien sanatoriumallemand, bon pour lesbronches, tout comme laGhanéenne de Raphaël…)J4 : matinée parcoursbotanique-boucle sur lestraces des spéciales del’enduro de Kpalimé-dînerspectacle avec groupemusique, cracheur de feuet contorsionniste(hallucinant !)J5 : Kouma Konda-Tomégbé-marcheà la cascade de Badou(gaffe aux serpents !)J6 : Tomégbé-Blitta-SotoubouaJ7 : Sotouboua-Kara(hôtel pour hôtes demarque du Président,oui mon gars !)J8 : Kara-Piligou(campement avec vueexceptionnelle)J9 : Piligou-visite dansun village Tamberna(classé au portefeuillede l’Unescroc !)-KoulpéléJ10 : Koulpélé-frontièreBurkina-OuagaHôtel Pavillon Vert(plaignez-vous au gérantsi nécessaire, c’estGuillaume !)J11 : retour France(courage !)

NOTREROAD-BOOK

Page 6: KTM, leader

Où : Ouagadougou (Burkina)-Lomé (Togo). Sens inverse possible (formule testée).Quand : de septembre à juin.Durée : 11 jours vols inclus, 10 jours sur place, 10 étapes moto. Formule prolongéed’un jour possible.Prix : 1590 euros les 11 jours, 1640 euros les 12 jours (hors carburant et boissons).Moto : parc d’une douzaine de Suzuki 350 DR à démarreur électrique. Rustiqueet robuste.Encadrement : Gilles ou Guillaume comme moto ouvreur suivis en parallèle parle 4x4 d’assistance avec vos effets personnels, la moto mulet et surtout Jean-Louis,le chauffeur-mécanicien aux allures de Mister T, l’assurance tout risque hilarantede l’expédition !Hébergement : auberge, hôtel (piscines parfois) ou campement villageois souscases en dur avec lits, sanitaires… (mention très spéciale au campement aux alluresde lodge namibien de Piligou). Belle étoile recommandée, petit duvet suffisant.Niveau : si vous avez un groupe expérimenté préconstitué, Guillaume peut vousservir du niveau enduro de ligue sauce savane au hasard des single tracks avec sonGPS. Mais la formule traditionnelle est accessible au randonneur du dimanche.Chaleur : chaud mais pas trop avant mars. Les plateaux de Kpalimé sont vraimentrafraîchissants. Supportable. Prévoyez un Camelbak.Aérien : vol combiné Air France au départ de Paris par exemple. Arrivée à Ouaga,retour de Lomé, ou l’inverse. Comptez 800 euros pour moins de 6 heures de vol.Desservi également par la Royale Air Maroc, Air Burkina, Afriquya.Formalités : visas pour le Togo et le Burkina (50 euros au total).Vaccin : carnet de vaccination contre la fièvre jaune à jour obligatoire. Traitementantipalu fortement conseillé.Décalage horaire : une heure en moins sur place à la période sélectionnée parHors Trace.Monnaie : le Franc CFA. Les anciens francs de papa, soit 1000 CFA équivalantà 10 francs avant passage à l’euro, soit 1,50 euro pour faire simple. Pour être plusclair, 1000 CFA, c’est une bière Flag, Castel ou Brakina grand modèle dans un hôtel.

GUIDE PRATIQUE DU SAHEL AUX COCOTIERS

EVASIONTOGO-BURKINA FASO

«Hôtel Napoléon au bordde la lagune. En avantpour Lomé by night! Le Togo, c’est chô! »

Page 7: KTM, leader

89

nage en plein délire et c’est rien à côté des yuccas enjardinière de nos salons qui culminent ici à vingt mètresde haut. Plantes et bestioles curieuses, Raphaël notrebotaniste rasta très calé sur la verdure et ses bienfaits,nous annonce après trente minutes de balade qu’il nese sent pas bien et doit aller se reposer. L’explication quisuit n’impose aucune remarque. « J’ai trop travaillé cestemps. J’ai dormi seulement trois heures il y a troisjours. » Ben ouais, c’est sûr, y’a trois jours, trois heures…Le frangin prend le relais. Dans la foulée, on saute surles Suz pour une boucle sur les traces des spéciales enligne de l’enduro de Kpalimé. Une course forcément àdécouvrir prochainement dans MV, organisée elle aussipar le Togo Moto-Club depuis bientôt dix ans sousl’égide de l’importateur KTM Toni Togo, bien connu pourson team « Les Africains » au Dakar. Grimpettes en sor-tie de gué après élan sur une planche déposée par GuyLux, spectateurs médusés plus qu’amusés, on a mêmeles vaches à cornes qu’il faut éviter sur les pistes.Lendemain, Mont Gbani, plateau de Danyi, Guillaume

commence à imposer son style avec ses « variantes »qui deviennent au fil des jours « de l’inédit ». Gaston luia causé de la descente de Kpété Bena qui, soi-disant,passait en 4x4. L’informateur contourne l’obstacle, bi-zarre… La Rand’Auvergne sous la chaleur équatoriale,vous imaginez? Quatre volontaires à la variante de KpétéBena, on attend Vincent et le représentant du Duché duLuxembourg qui a prêté serment à « Hypocrite ». Le su-jet de sa Majesté M6 arrive cuit et confiant en son trai-ning intestinal, il me refuse la bouteille d’eau chaude queje lui tends. L’eau de la rivière est trop tentante et c’estle Petit Jésus en culotte de velours qui descend dansla gorge du Marocain. Dix minutes, vingt minutes, pasde Luxembourgeois. Petit trek en Tech 10 et après dixminutes à ruisseler, je découvre Jean-Luc à bout, pris enmain par une équipe psychologique imbibée de sodabi,l’alcool de palme local. En guise d’électrochoc, le garsa laissé choir la DR sur le dos du Doc assis qui com-mençait à tourner de l’œil. Pour se faire pardonner, il luipropose de le charger sur son dos pour dévaler la pente.

Y a deux O dans Togo. Un pour la mer, les rivièreset les cascades. L’autre pour celle que vous perdezchaque jour pour le traverser ! À la pause,pas d’eau, c’est Flag ou Brakina, en demi-litreuniquement ! Savent vivre les gars là-bas…

Avis aux botanistes,entre la bonne herbe

du Ghana, y a aussi dedrôles de bestioles !

Page 8: KTM, leader

90

Le médecin est lucide, il refuse. C’estbon signe, on y va ! Cap sous la cas-cade d’Akloa et trek en soirée pourcelle du tournage de Tahiti douche.Enfin, ça, c’est ce que nous dit Guil-laume… Lendemain, grosse étape se-lon lui. Il faut passer dans la Wa Wa,ça sent le plan de chiotte, non? Vin-cent confirme en balançant tout le li-quide qu’il a dans le ventre en soule-vant la mentonnière de son casqueau lever du jour. Le diagnostic du Du-ché tombe. Qui boit l’eau de l’affluentde la Wa Wa revient aux Wawa. C’esttrente millions d’amibes dans le ven-tre du Marocain qui serre les dents. LaWa Wa est là, ça passe sous les lianes.Enfin, on est venu à bout du gué maisderrière, ça monte fort et on s’y met àdeux pour passer les grosses 350.Guillaume se sent inspiré et chargeun petit gars en brousse pour trouver

« de l’inédit ». Montées, descentes, passages de gués,pierriers, on est dans la spéciale d’entraînement de Tar-zan ! Vincent s’effondre sur un matelas providentiel àBrounfou. Il est dans un sale état et Jean-Luc file au dis-pensaire pour récupérer de l’Oracel pour hydrater sonpatient. Un cachet de sucres rapides et c’est la résur-rection. Ça tombe bien, Guillaume a l’intention de ten-

ter une « variante » le long du Mont Yawatoutou pour ral-lier Assoukoko avant Sotouboua.

Cap sur OuagaBlitta, capitale du charbon, fin des vacances chez Tar-zan. On remonte vers la région natale de la famille pré-sidentielle. Séjour à l’Hôtel Kara où le Premier Ministreest lui aussi descendu. Dans la piscine, des bidassesprennent un cours de natation. On n’est pas prêt de voirun Togolais aux JO d’été ! On retrouve l’ambiance desmaquis urbains le soir avec leurs enceintes géantes quicrépitent sur la terrasse dans la rue. Au réveil, on tracevers l’aéroport international bien connu de Niamtou-gou, construit par le Président avec une piste qui pou-vait accueillir le Concorde. Petite « variante » et on ré-veille un village en brousse où la sieste à même le solsemble de rigueur. Les pistes sont plates mais méan-dreuses. On jardine pour contourner un point d’eau etarriver de nuit au campement de Monsieur Siel au som-met d’un mont. On se croirait dans un lodge en Nami-bie. C’est impeccable et le réveil après une nuit à la belleétoile pour les volontaires est divin. La vue sur la plaineen contrebas est exceptionnelle. On y va à moto ! Fautbien le dire, le Togo que l’on a adoré est derrière nous.On remonte vers Ouaga, capitale du Burkina et ça sentle Sahel. Le Pays Kabié n’en reste pas moins magnifique

et Guillaume nous réserve une dernière visite en PaysTamberma. Le coin est classé par l’Unesco. Les maisonsfortifiées en banco sont disséminées dans la plaine à uneportée de flèche les unes des autres. J’ai jamais vu plusparano qu’un Tamberma. Les gars entrent dans leurchambre à coucher par un petit trou et en marche ar-rière pour être sûr de ne pas se faire surprendre par unennemi. Dans le salon en bas, pas de lustre au plafondmais un trou qui permettait d’ébouillanter ou de tirer uneflèche sur un assaillant. Des gars prudents ! On les quitteen leur tournant le dos, pas la force de tirer la DR enmarche arrière! Cap sur Ouaga, la jungle urbaine. La courverdoyante du Pavillon Vert, l’hôtel routard célèbre tenupar Guillaume sonne la fin de ce trip. On l’aurait fait dansle sens aller, la virée aurait été aussi forte. Le Togo, c’estcomme le scorpion, plus il est petit… ❚

Par Rodo

Fait pas bon boire l’eau dela Wawa. Vincent a surestiméses intestins qui se sontfaits tout plein d’amibes.Une sieste, du dopantet ça repart !

Ananas frais et Coupe d’Afrique des Nations à la radio…

Déjà testé l’an dernier dans MV de Ouagadougouà Tombouctou AR (Burkina-Mali), Hors Trace nousavait promis une expérience hors norme au Togoau cœur de la forêt équatoriale. Promesse tenue !Les sentiers de jungle sous une végétation densesont ponctués de villages perdus et de passages de

gués d’anthologie. Le Togo c’est notre chéco (chéri coco comme on dit de son fiancé !).Gilles Regat, le Savoyard fondateur de Hors Trace, s’était occupé du groupe aller. Pournotre retour, on a encore eu droit cette année à Guillaume Adeline, son associé et bossde l’agence de voyages Couleurs d’Afrique bien connue au Burkina et dans l’Ouest. Desgars passionnés qui n’ont jamais eu besoin de vous embarquer en aventure pour gagnerleur croûte. Leur philosophie est unique dans la rando moto. Pas de parcours prémoulé,toujours des nouveautés au gré des envies du guide avec son lot d’imprévus qui donneun vrai parfum d’aventure.Pour connaître toutes les formules de Hors Trace : www.horstrace.com.Gilles en France : 0450585109. Guillaume à Ouaga : 0022650341956.

HORS TRACE

MILLE MERCIS... dans l’ordre d’apparition… à Gaston (boss de l’hô-tel Napoléon, ex-boss du Togo Moto-Club) pour sa virée nocturneà Lomé, Jean-Luc Dourson, le médecin du Duché du LuXO qui asauvé Vincent, un autre participant émérite du Royaume du Ma-roc. Jean-Louis et son amour pour Céline Dion et son « Put… »inimitable, Monsieur Siel pour son campement sous les étoiles,Pierre-Nicolas, François et Laurent pour leur endurance aux ar-rêts images et enfin le célèbre dessinateur Babs de Ouaga poursa collaboration inspirée d’une photo de la rando. Vous pouvezlui demander la même via [email protected]

EVASIONTOGO-BURKINA FASO