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L ’enseignement de la contactologie
Bernard BARTHELEMYMaître de conférences associé à l’Université Paris-Sud
A.O.A.American Optometric Association
Les standards
« Clinical practice guidelines »
Les guides servent aux trois parties:A l’optométriste en lui proposant un guide pratique.
Au public en lui assurant une constance dans les services optométriques.
Au gouvernement en lui donnant un système de référence dans le paiement des services optométriques et en lui démontrant la qualité du service rendu au public.
A.O.A.American Optometric Association
Imposeses
standards
C.O.E.Council on Optometric
EducationPraticien
C.O.E.Council on Optometric Education
Les Cinq buts:1. Servir l’intérêt public2. Maintenir un haut degré de connaissance au sujet de la nature, de la continuité et de l’évolution de la profession optométrique et de ses rôles dans le système de santé national.3. Développer, maintenir et appliquer les standards d’accréditation de l’enseignement optométrique et des programmes de formation continue.4. Assurer l’efficacité continue du Conseil.5. Maintenir la reconnaissance par le département d’éducation.
C.O.E.Council on Optometric Education
La mission du COE est d’:• assurer la qualité et l’amélioration continue• du programme optométrique
en établissant et appliquantdes standards d’éducationvalide et sûrs qui reflètent la pratiqueévolutive de l ’optométrie.
C.O.E.Council on Optometric Education
Au niveau de chaque université afin de:• réglementer son fonctionnement• respecter les standards
du C.O.E. et de l’A.O.A.
Les standards du COE
Universités
C.O.E.Council
onOptometric Education
A.O.A.American Optometric
Association Universités
Etudiants
Praticien
I.A.C.L.E.International Association Contact Lens Educators
Cherche à standardiser l’enseignement de la Contactologie dans le monde
I.A.C.L.E.International Association Contact Lens Educators
Sans s’impliquerSans s’impliquer dans la politique…Le programme de l’IACLE influeinflue les «Opticiens–Optométristes»:
–Aux USA sur l’ American Optometric Association–En Europe sur l’ECOO, sur le programme du diplôme européen
l’ECOO influe sur les enseignements de la contactologie en Europe
I.A.C.L.E.International Association Contact Lens Educators
135h74h26h87hNiveau 3
CliniqueTPTDCOURS
Il faudra bien attester en plus du diplôme de cette expérience clinique!!!
LE DIPLÔME EUROPEEN•Le diplôme Européen est un diplôme d’opticien-optométriste.••Il n’est pas prévu des diplômes différents d’opticien ou Il n’est pas prévu des diplômes différents d’opticien ou d’optométriste!d’optométriste!
•Lois du 5 juin 44, 17 novembre 1952 et du 5 novembre 1953•Est considéré comme exerçant la profession d ’opticien toute personne qui titulaire des diplômes visés aux articles L. 505 et suivantes C.S.P., par l’application des lois de l’optique physique, de l’optique physiologique, de l’optométrie et de la technologie:
– Formule, conseille, conçoit, réalise, adapte et contrôle tout équipement optique, de quelque nature qu’il soit destiné à compenser les anomalies de la vision.– Utilise tous les moyens techniques, ou prodique tous, conseils d ’hygiène ou d’entraînement pour améliorer la vision.
•A ces fins, l’opticien emploie tout instrument, appareil et méthode pouvant servir un examen optométrique à l’adaptation ou à la réalisation d’équipements optiques de compensation et à l’amélioration de la vision
Source « France Optique Edition 1997-1998 »
LA LEGISLATION EUROPEENNE
• Prévoit la libre circulation des professionnels au sein de l’Union Européenne
Tout en garantissant un niveau de compétence et d’habilité.
Pour les professions dont le niveau est différent dans les pays de l’UE
• L’harmonisation est prévue par la mise en place d’unexamen européen qui permettra de garantir un niveau de connaissance.
• Le niveau de l’examen est fixé au niveau le plus haut de la profession de chaque pays dans l’UE.
L’opticien – optométriste est la 1ère professionà établir l’harmonisation par le DE
•Soutenue par les instances communautairesUne aide financière importante a été apportéesous la forme d’une bourse
« Léonardo da VINCI »
L ’Opticien - Optométriste prototype de l’harmonisation par examen revêt
• Une importance particulière pour la Commission Européenne.
• Opportunité unique pour l’évolution de la profession en Europe
European Council of Optometry and Optics
• Réunit les organisations professionnelles de 23 pays européens
• L’ECOO est chargé de l’harmonisation de la profession d’opticien - optométriste au sein de l’UE
Par le biais d’un Diplôme Européen unique
Le Diplôme EuropéenNiveau le plus haut de chaque pays de l ’UE
• La loi européenne prévoit que l’harmonisation d’une profession permette dans toute l’Union EuropéenneLa libre circulation des professionnels détendeurs du DE et la pratique de la profession au niveau de ce diplôme
• Ceci crée une opportunité unique pour la profession en France, mais crée des demandes nouvelles pour les formations et l’enseignement.
Le Diplôme Européen de l’ECOO
• Section A : Perception visuelle et technologie optique• Optique• Perception visuelle• Optique lunetterie
• Section B : Management des problèmes visuels• Réfraction• Vision binoculaire• Contactologie
• Section C : Santé générale et anomalies oculaires• Biologie générale• Biologie oculaire• Anomalies oculaires
l’A.G. du 7 novembre 1998 de l’ECOO
• Ses membres ont adopté sous forme de résolution le concept de l’optométriste du
World Council of Optometry
22 / 23
Pour l’application de ce conceptdu World Council of Optometry
à la situation européenne, les objectifs de ses organisations membres sont de :
• Parvenir à la reconnaissance du titre d’optométriste optométriste au plan national.
• Établir une formation qui corresponde au niveau du Diplôme Européen de l’ECOO.
• Développer une formation continue obligatoire.
• Faire pratiquer et reconnaître l’optométrie comme une profession indépendante.
• Les membres de l’ECOO s’engagent, dans leur contexte national, àmettre tout en œuvre pour atteindre ces objectifs.
Autorisés légalement ou inexistence d ’un
texte de loi du pays qui leur interdit.
• Adaptation des LC sans restrictionAutriche, Espagne, Finlande, France, Hollande, Ireland, Italie, Luxembourg, Royaume-Uni.
Souligné et en italique sauf les kératocônes
• Adaptation des LC avec un examen de non contre indication
Allemagne, Belgique, Danemark, Espagne, Ireland, Luxembourg, Portugal, Royaume-Uni, Suède.
Souligné et en italique pour les opticiens
• Interdiction d ’adapter des LCGrèce
La situation del ’Optométrie
Septembre 2002
2002© AOF
La Certification de Services Optométriques
• Une première reconnaissance de l ’optométrie,
• Une exigence de formation,• Une exigence de qualité d ’installation,• Une exigence de qualité de pratique,• Une exigence de formation continue,• > La certification des opticiens.
2002© AOF
Certification de Services OptométriquesQuatre engagements majeurs
• Formation requise: > soit la Maîtrise d ’optométrie, > soit la Licence d ’optométrie + l ’U. E. de Dépistage, > soit les 3 UEs (Optométrie, Adaptation en Optique de Contact, Dépistage) + 5 années de pratique.
• Cadre de pratique: une salle d’examen + refractor, kératomètre, échelle d’acuité + biomicroscope, ophtalmoscope, petit matériel (masqueur,…).
• Pratique standard: histoire de cas, mesure d’acuité, dépistage, réfraction, vision binoculaire, biométrie (lentilles de contact)…
• Formation continue (minimum annuel). 2002© AOF
Je vous remercie de votre attention
L ’enseignement de la contactologieBernard BARTHELEMY
INSTRUMENTS DE MESURES ET D’OBSERVATION EN CONTACTOLOGIE
Contactologie et les évolutions instrumentales
• Subjectif:But de la visite, Histoire de cas
• Objectif:Instruments traditionels pour faire les examens, les mesures, les appréciations...
• Analyse:
• Plan:
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Une instrumentation spécifique qui existe ou verra le jour !
• Techniques instrumentales:– L’Accueil; Le but de la visite; L’ Histoire de cas
• Techniques instrumentales pour les tests d’exploration– Biométrie; Kératométrie; Biomicroscopie;
Réfraction...• Techniques instrumentales pour les tests
complémentaires– Analyse; Choix de la 1ère LC; Contrôle des essais
B. BARTHELEMY 20/11/2000
LES PRINCIPAUX INSTRUMENTS
• BIOMICROSCOPE• KERATOMETRE• REFRACTOR• PROJECTEUR DE TEST
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Le choix du kératomètre Sutcliff ou Javal ?
B. BARTHELEMY 20/11/2000
BIOMICROSCOPE ou une lampe Burton ?
B. BARTHELEMY 20/11/2000
VIDEO TOPOGRAPHE ou Kératomètre ?
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Auto-Réfractor ou Skiascopie ?
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Réfractor & lunette d’essaiou uniquement lunette d’essai ?
B. BARTHELEMY 20/11/2000
PROJECTEUR de test ou Echelle d’acuité ?
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Le temps passé a un côutTime it’s money !
Matériel HiTech
• Réduction de la durée de l’examen
• Permet l’aide d’un assitant
• Conserve l’attention du patient
Matériel désué !
• L’Examen peut prendre plus de 30’ à 45’
• Tout les tests doivent être fait par l’adaptateur
• Le patient a plus du mal à garder son attention
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Le jugement des patients sur la compétence professionnelle !
INSIGHT 94 (Palmspring 1994)image de l’optometriste :
• En 1994: “Vous ne pouvez plus faire de l’optométrie avec un filtre rouge” !
• Le matériel “High Tech” est nécessaire
“La vetusté et ou le manque de matériel donne au patient une impression de mauvaise qualification professionnelle”
B. BARTHELEMY 20/11/2000
La qualité de l’examen !
Le matériel de haute technologie améliore :– La rapidité– La précision– la répétatibilité, le contrôle des mesures et
des observations
B. BARTHELEMY 20/11/2000
INSTRUMENTS DE MESURES ET D’OBSERVATION EN CONTACTOLOGIE
LES INSTRUMENTSet la
KERATOMETRIE
Kératométrie et donne la mesure et l’axe de l’astigmatisme cornéen
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Mesures et les notations
On peut mesurer la kératométrie
• centrale• Périphérique à:
– 20°– 25°– 30°
B. BARTHELEMY 20/11/2000
EVALUATION de la Périphérie
25°
Fixation sur le Kératomètre !
DISQUE DE JESOP
d1
d2
h2 h1B. BARTHELEMY αtgDh ×=
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Obligation de faire plusieurs mesures !
B. BARTHELEMY 20/11/2000
ZEISS CL 150Le système sur Lampe à fente
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Mesures et les calculs de l’asphéricité
P = 1 – e²
Q = - e²
α22
22
sin×−
=s
cs
rrr
e• Excentricité « e »
• Facteur de forme « P »
• Asphéricité « Q »
B. BARTHELEMY 20/11/2000
HAAG STREIT OM 900
B. BARTHELEMY 20/11/2000
HAAG STREIT QM 900
• Trés bonne représentation de la mesure centraleet périphérique
B. BARTHELEMY 20/11/2000
NIDEK ARK700
KERATOMETRIE :Illustration ci-contre
Kératométrie centrale (préférer en mm)1. Rayon le plus plat k associé à son axe2. Rayon le plus cambré k’ associé à son axe3. Ave = km (Rayon moyen)4. Mesures périphériques5. Axil (tangentielle) SUP INF TEM NAS6. Sag (sagitale) SUP INF TEM NAS7. Exc (excentricté associée aux mesures
sagitales) Nas Sup Temp INF8. Méridien Horizontal moyenne exc. et rayons9. Méridien Vertical moyenne exc. et rayons10. Excentricité moyenne de l’œil Comparaison
de l’astigmatisme périphérique et central
B. BARTHELEMY 20/11/2000
ECCENTRICITE avec un TOPOGRAPHE
B. BARTHELEMY 20/11/2000
TOPCON 7000P or 8100P or 8100PA
Affichage des deux yeux et combine
réfractomètre automatiquekératomètrietopographie
1.n… Réfraction cyl (+ ou -) préférer (-)2.Kératométrie centrale préférer en mm3.Rayon le plus plat k associé à son axe4.Rayon le plus cambré k’ associé à son axe5.Astigmatisme cornéen associé à son axe6.Ave = km (Rayon moyen)7.Mesures périphériques en mm8.Excentricité N S T I9.Excentricté moyenne10.Topographie
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Accessoires: Control des “LRPG”
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Accessoires: Control de la régularité de lapériphérie cornéenne
B. BARTHELEMY 20/11/2000
INSTRUMENTS DE MESURES ET D’OBSERVATION EN CONTACTOLOGIE
LA TOPOGRAPHIE
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Représentation générale
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Représentation “3D”
B. BARTHELEMY 20/11/2000
EXCENTRICITE avec un TOPOGRAPHE
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Les méridiens principaux
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Simulation des images fluorescéines
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Epaisseurs du film lacrymal post LRPG
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Les épaisseurs différentes de film lacrymal selon le profil de LRPG
Sphéro asphérique
Multicourbes
Torique postérieure
B. BARTHELEMY 20/11/2000
IRREGULARITES CORNEENNES
•Kératocône•Traumatisme•Chirurgie réfractive•Warepage
KERATOCONE
B. BARTHELEMY 20/11/2000
CHIRURGIE REFRACTIVE Lasic
B. BARTHELEMY 20/11/2000
WAREPAGE Réf:1328
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Les vidéo topographes
•Démonstrations et utilisations
INSTRUMENTS DE MESURES ET D’OBSERVATION EN CONTACTOLOGIE
la BIOMICROSCOPIE
Graduer les observations
– Pour posséder un dossier patient exploitable– Pour permettre une analyse rapide et polyvalente
3 méthodes
Dessin Graduer PhotoNathan EFRON ©Nathan EFRON ©
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Conjonctivite Conjonctivite gigantogiganto papillairepapillaire
Quel grade?
Nathan EFRON ©
Conjonctivite Conjonctivite gigantogiganto papillairepapillaire
Quel grade?
Grade 0 Grade 1 Grade 2 Grade 3 Grade 4Nathan EFRON ©
Conjonctivite Conjonctivite gigantogiganto papillairepapillaire
Papillary conjunctivitis µ = 2.5 σ = 0.5
Num
ber o
f res
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0 1 2 3 4
grade
Grade 0 Grade 1 Grade 2 Grade 3 Grade 4Nathan EFRON ©
ŒŒdème dème stromalstromal
Quel grade?
Nathan EFRON ©
ŒŒdème dème stromalstromal
Quel grade?
Grade 0 Grade 1 Grade 2 Grade 3 Grade 4Nathan EFRON ©
ŒŒdème dème stromalstromalStromal oedema µ = 2.8 σ = 0.7
Num
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0 1 2 3 4
grade
Grade 0 Grade 1 Grade 2 Grade 3 Grade 4Nathan EFRON ©
NéovascularisationNéovascularisation stromalestromale
Quel grade?
Nathan EFRON ©
NéovascularisationNéovascularisation stromalestromale
Quel grade?
Grade 0 Grade 1 Grade 2 Grade 3 Grade 4Nathan EFRON ©
NéovascularisationNéovascularisation stromalestromaleStromal neovascularisation µ = 2.5 σ = 0.4
Num
ber o
f res
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80
100
0 1 2 3 4
grade
Grade 0 Grade 1 Grade 2 Grade 3 Grade 4Nathan EFRON ©
PolymégathismePolymégathisme endothélialendothélial
Quel grade?
Nathan EFRON ©
PolymégathismePolymégathisme endothélialendothélial
Quel grade?
Grade 0 Grade 1 Grade 2 Grade 3 Grade 4Nathan EFRON ©
PolymégathismePolymégathisme endothélialendothélialEndothelial polymegethism µ = 2.7 σ = 0.7
Num
ber o
f res
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40
60
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100
0 1 2 3 4
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Grade 0 Grade 1 Grade 2 Grade 3 Grade 4Nathan EFRON ©
Hyperémie conjonctivaleHyperémie conjonctivale
Quel grade?
Nathan EFRON ©
Hyperémie conjonctivaleHyperémie conjonctivale
Quel grade?
Grade 0 Grade 1 Grade 2 Grade 3 Grade 4Nathan EFRON ©
Hyperémie conjonctivaleHyperémie conjonctivaleConjunctival hyperaemia µ = 3.1 σ = 0.4
Num
ber o
f res
pond
ents
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20
40
60
80
100
0 1 2 3 4
grade
Grade 0 Grade 1 Grade 2 Grade 3 Grade 4Nathan EFRON ©
La Photographie ou graduer les observations
– Pour posséder un dossier patient exploitable– Pour permettre une analyse rapide et polyvalente
3 méthodes
Dessin Graduer PhotoNathan EFRON ©Nathan EFRON ©
B. BARTHELEMY 20/11/2000
La Photographie => et la télémédecine…
Pho
to: B
. Bar
thél
emy
Diffus
B. BARTHELEMY 20/11/2000
La Photographie => et la télémédecine…
Réflection spéculaire
Pho
to: B
. Bar
thél
emy
B. BARTHELEMY 20/11/2000
La Photographie => et la télémédecine…
Pho
to: R
ick
Pot
evin
©
Rebondissement cornéen Dispersion sclérale
B. BARTHELEMY 20/11/2000
La Photographie => et la télémédecine…P
hoto
: B. B
arth
élem
y
Tangentiel
B. BARTHELEMY 20/11/2000
La Photographie => et la télémédecine…
Pho
to: B
. Bar
thél
emy
Les Rétro illuminations
B. BARTHELEMY 20/11/2000
La Photographie et la télémédecineet bientôt l’analyse dynamique = vidéo
Film
: B. B
AR
THEL
EMY
©20
00
B. BARTHELEMY 20/11/2000
La Photographie et la télémédecineet bientôt l’analyse dynamique = vidéo
Film
: B. B
AR
THEL
EMY
©20
00
B. BARTHELEMY 20/11/2000
La Photographie et la télémédecineet bientôt l’analyse dynamique = vidéo
Film
: B. B
AR
THEL
EMY
©20
00
B. BARTHELEMY 20/11/2000
Je vous remercie de votre attention
1. Illumination directe2. Marginale retro directe3. Rétro directe4. Rétro indirecte
Pho
to: B
. Bar
thél
emy
Les zones d’illumination
B. BARTHELEMY 20/11/2000